Sous la direction de
Clément Cholet
Interne en radiologie et imagerie médicale, Paris
Pierre Seners
Neurologue, Paris
Gynécologie-
Obstétrique
Coordonné par
Nicolas Nocart
Président de l'AGOF (Association des gynécologues obstétriciens en formation)
Bernard Hédon
Président du CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français)
3
Ce logo a pour objet d'alerter le lecteur sur la menace que représente pour l'avenir de l'écrit, tout
DANGER particulièrement dans le domaine universitaire, le développement massif du « photocopillage ».
Cette pratique qui s'est généralisée, notamment dans les établissements d'enseignement, provoque
une baisse brutale des achats de livres, au point que la possibilité même pour les auteurs de créer
des œuvres nouvelles et de les faire éditer correctement est aujourd'hui menacée.
Nous rappelons donc que la reproduction et la vente sans autorisation, ainsi que le recel, sont
passibles de poursuites. Les demandes d'autorisation de photocopier doivent être adressées à
LE l'éditeur ou au Centre français d'exploitation du droit de copie : 20, rue des Grands-Augustins,
PHOTOCOPILLAGE 75006 Paris.
TUE LE LIVRE Tél. 01 44 07 47 70.
Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays.
Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées
dans le présent ouvrage, faite sans l'autorisation de l'éditeur est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont
autorisées, d'une part, les reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une
utilisation collective et, d'autre part, les courtes citations justifiées par le caractère scientifique ou d'information
de l'œuvre dans laquelle elles sont incorporées (art. L. 122-4, L. 122-5 et L. 335-2 du Code de la propriété
intellectuelle).
VII
7KLVSDJHLQWHQWLRQDOO\OHIWEODQN
L'esprit de la collection ECNintensif
Chers Étudiants,
Le mode de validation des ECN a changé (BO du 16 mai 2013) : dans ce contexte, cette nouvelle collection
ECNintensif, que nous sommes heureux de vous présenter, met à votre disposition toute une batterie d'entraî-
nements variés, conformes au programme du DFASM et aux nouvelles épreuves ECNi : dossiers progressifs,
également en ligne, pour vous tester dans les conditions réelles, questions isolées QCM ou QROC, et, selon les
ouvrages, TCS ou LCA.
Nous avons conçu ces livres comme un outil de travail essentiel et complet pour vos révisions, en nous inspirant
de nos attentes lorsque nous étions à votre place. Nous avons voulu créer des ouvrages dont nous rêvions à
cette époque.
La préparation aux ECNi est une épreuve longue et angoissante. La masse de connaissances à acquérir est
énorme et son apprentissage est un défi. Le temps est difficile à gérer, malgré les deux années de préparation
dont on dispose, et tout passe toujours trop vite. Enfin, le choix parmi les ouvrages proposés est difficile. Qui n'a
pas hésité une heure, voire plus, dans une librairie médicale spécialisée, entre différents ouvrages plus alléchants
les uns que les autres, pour au final toujours se demander si l'on a fait le bon choix ? La qualité et la validité de
l'information procurée sont au cœur de vos préoccupations, nous le savons.
C'est pourquoi nous avons voulu vous transmettre d'une part l'expérience de jeunes internes brillants, encore
formatés au concours et qui ont su s'adapter pour vous aux nouveaux types de questions, et, d'autre part, le
point de vue et la caution des collèges de spécialité, afin de vous procurer de solides informations.
Les ouvrages de cette nouvelle collection sont tous relus et validés par les enseignants de la spécialité concernée,
vous offrant ainsi des contenus solides et de qualité, afin que vous soyez certains de vous entraîner de façon
efficace et utile pour les ECNi.
Au-delà des exercices proposés, ces ouvrages allient la précision des corrections aux fiches de synthèse qui
vous permettent de revoir rapidement les points essentiels des items abordés au fur et à mesure de votre
entraînement.
IX
L'étudiant se préparant au concours est un sportif de haut niveau. Au même titre que l'apprentissage de cours,
nous sommes convaincus que l'entraînement répété est une des clés essentielles de la réussite, car il permet
d'améliorer son score, son temps, son classement.
Dans cette collection, comme vous le constaterez, qui se démarque des autres collections d'entraînements exis-
tantes par le label des Collèges, gage de la qualité des contenus, et par la diversité des exercices, conformes au
programme et aux épreuves des ECNi 2016, toutes les conditions sont réunies pour que vous soyez le mieux
préparé possible.
Votre succès est l'objectif de notre travail.
Bonne chance.
I Énoncés
1 Cas cliniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2 Questions isolées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
II Corrigés
3 Cas cliniques corrigés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
XI
7KLVSDJHLQWHQWLRQDOO\OHIWEODQN
Note au lecteur sur les barèmes
des dossiers cliniques
Questions sous forme de QRM : aux ECNi, le score des questions à réponses multiples est fondé sur le
nombre de discordances entre les réponses de l'étudiant et la grille de correction — discordance : un
item attendu n'a pas été coché ou un item non attendu a été coché. Les questions peuvent proposer
de cinq à huit items. Pour une question comportant cinq items et notée sur 10 points :
– en l'absence de discordance, l'étudiant a la note maximale (donc 10 points) ;
– dans le cas d'une discordance, la note est divisée par 2 (elle passe donc de 10 points à 5 points) ;
– dans le cas de deux discordances, la note est divisée par 5 (elle passe donc de 10 points à 2 points) ;
– dans le cas de trois discordances ou plus, la note est de zéro.
En l'absence de réponse, la note est de zéro. Ce barème peut être modifié selon les mêmes principes
pour des questions à plus de cinq items. Une réponse peut être indispensable (PMZ) ou inacceptable
(SMZ) : en cas d'erreur sur cet item cela entraîne un zéro à la question.
Questions sous forme de QROC : le nombre de points fonctionne par mots-clés trouvés. Aux ECNi
le nombre de mots attendus aux QROC ne dépassera pas deux ou trois. Dans cette collection, ce
nombre est fréquemment dépassé pour des raisons pédagogiques.
Notez que sur un support papier, les dossiers peuvent apparaître moins « progressifs » qu'ils ne le
seront le jour des ECNi.
Dans le cadre des ouvrages de la collection ECNintensif, nous avons noté chaque dossier progressif
sur 100 points. Pour s'autoévaluer, il faut appliquer les règles mentionnées ci-dessus. Les dossiers XIII
sont accessibles en ligne également et permettent un calcul automatique des scores aux QRM.
7KLVSDJHLQWHQWLRQDOO\OHIWEODQN
Abréviations
ACE Antigène carcino-embryonnaire
ACR American College of Radiology
AINS Anti-inflammatoires non stéroïdiens
AMP Aide médicale à la procréation
ARCF Anomalies du RCF
ASC-H Atypical Squamous Cells, cannot exclude HSIL
ASCUS Atypical Squamous Cell of Unknowned Significance
ASP Abdomen sans préparation
AVK Antivitamine K
BAV Bloc auriculo-ventriculaire
β-hCG β-Human Chorionic Gonadotropin
BRCA BReast CAncer
CCI Carcinome canalaire infiltrant
CCIS Carcinome canalaire in situ
CGR Concentré de globules rouges
CIN Cervical Intraepithelial Neoplasia
CIVD Coagulation intravasculaire disséminée
CPDPN Centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal
CRIP Cellule départementale de recueil des informations préoccupantes
CRP C-Reactive Protein
DIU Dispositif intra-utérin XV
DPPNI Décollement prématuré du placenta normalement inséré
ECBU Examen cytobactériologique des urines
ECG Électrocardiogramme
EEG Électroencéphalogramme
EPF Estimation de poids fœtal
EPP Évaluation des pratiques professionnelles
ERCF Enregistrement du rythme cardiaque fœtal
FC Fréquence cardiaque
FCS-R Fausses couches spontanées à répétition
FCV Frottis cervicovaginal
FEC fluoro-uracil, épirubicine, cyclophosphamide
FIGO Fédération internationale de gynécologie obstétrique
FIV Fécondation in vitro
GEU Grossesse extra-utérine
HBPM Héparines de bas poids moléculaires
HELLP Hemolysis, Elevated Liver enzyme Levels, and Low Platelet levels
HER2 Human Epidermal Growth Factor Receptor-2
HGPO Hyperglycémie provoquée par voie orale
HNPCC Hereditary Non Polyposis Colorectal Cancer
HPP Hémorragie du post-partum
HPV Human Papillomavirus
HRP Hématome rétroplacentaire
HSIL High-grade Squamous Intraepithelial Lesion
HTA Hypertension artérielle
HTAP Hypertension artérielle pulmonaire
IEC Inhibiteurs de l'enzyme de conversion
Abréviations
1
Cas cliniques
Cas clinique 1 ++ A la longueur cranio-caudale
B le diamètre bipariétal
Madame D. est une patiente de 35 ans, troisième geste, C la clarté nucale
deuxième pare, qui a accouché deux fois à terme sans D les os propres du nez
complication. Son groupe sanguin est A rhésus positif ; E le décollement des membranes
elle pèse 58 kg pour 1,63 m. La patiente est immunisée
contre la toxoplasmose, non immunisée contre la rubéole. Question 2
Son oncle du côté maternel est décédé à l'âge de 45 ans Concernant le dépistage de la trisomie 21 à partir des
et présentait un trouble du comportement sévère. marqueurs du premier trimestre, quelle(s) est (sont) la
La plus jeune sœur de la patiente a eu des difficultés (les) proposition(s) exacte(s) ?
scolaires. Elle est actuellement titulaire d'un certificat A le test de dépistage de la trisomie 21 est obligatoire
d'aptitude professionnelle (CAP). Les deux neveux de la B il s'agit d'un calcul de risque combiné
patiente, Timéon et Léo, sont pris en charge en institut C un risque > 1/250 doit faire discuter une amniocen-
Énoncés
médico-éducatif pour un retard mental. tèse
La grossesse actuelle est spontanée, sans particularité. D un caryotype fœtal est systématiquement proposé
aux femmes de plus de 38 ans
Question 1 E le caryotype fœtal est l'examen qui confirme le
Vous voyez la patiente pour son échographie de data- diagnostic
tion à 12 SA. Que représente la mesure ci-dessous ? 3
Question 3
Quelle pathologie vous évoque les antécédents fami-
liaux de la patiente ?
A trisomie 21
B syndrome de Turner
C syndrome de Klinefelter
D trisomie 18
E syndrome de l'X fragile
Question 4
Ci-dessous, une partie de l'arbre généalogique de la
famille de Madame D.
Gynécologie-Obstétrique
© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
Cas cliniques
Énoncés
maternelle
traitement de votre patiente et celle-ci débute une
grossesse quelques semaines plus tard. Elle consulte Question 8
pour son échographie du premier trimestre. Vous recevez le bilan du 8e mois et votre externe
Quels sont les objectifs de cet examen ? vous interpelle devant la sérologie toxoplasmose :
A recherche de malformation des membres IgM+ IgG–. La sérologie du mois précédent était bien
B recherche des anomalies de la placentation négative. 5
C confirme le sexe du fœtus Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
D confirme la date exacte du début de grossesse A il s'agit d'une possible séroconversion toxo-
E permet de mesurer la clarté nucale plasmose
B il s'agit d'une séroconversion toxoplasmose
Question 4
certaine
Malheureusement votre patiente fait une crise convul-
C la patiente est dans une période où le risque de
sive traumatique. Transférée aux urgences du CHU, la
transmission est maximal
patiente bénéficie d'un scanner cérébral en phase de
D la patiente est dans une période où le risque de
confusion post-critique. L'interne de neurologie de
transmission est minimal
garde ignorait la grossesse en cours.
E il faut réaliser d'emblée une amniocentèse
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A à partir de 1 000 mGy le risque de déficience men- Question 9
tal est élevé Quelle est la principale complication d'une toxoplas-
B une irradiation extrême peut entraîner une mort in mose congénitale à ce terme ?
utero A microcéphalie
C le risque fœtal est élevé pour cette patiente B choriorétinite
D pour un scanner cérébral, l'utérus est en dehors du C mort fœtale in utero
faisceau de rayonnement D ascite
E la dose-gonade correspond à la dose délivrée à E anasarque
l'utérus
Question 10
Question 5 Quelle est votre prise en charge ?
Le scanner et l'EEG sont normaux. La grossesse se A il faut proposer une interruption médicale de
poursuit sans autres crises et Madame D. bénéficie grossesse
d'un suivi régulier en consultation prénatale. B abstention thérapeutique
Quels sont les paramètres de surveillance systéma- C le traitement curatif repose sur la prescription
tique à chaque consultation ? de pyriméthamine et de sulfadiazine associée
A toucher vaginal à de l'acide folinique en cas de confirmation
B hauteur utérine diagnostique
C protéinurie D il faut traiter par spiramycine en attendant la
D monitoring fœtal confirmation diagnostique
E tension artérielle E la surveillance est échographique
Cas cliniques
Énoncés
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? chement. L'estimation des pertes sanguine est de
A vous le rassurez, l'examen est normal 400 cc.
B la patiente présente une cicatrice chéloïde Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
C la patiente a subi une mutilation sexuelle A l'enfant est né en acidose
D la patiente a une malformation vulvaire B l'enfant est bien portant
C la délivrance s'est faite tardivement 7
E vous suspectez une tumeur clitoridienne
D on doit vérifier la vacuité utérine grâce à une révi-
Question 4 sion utérine
L'enregistrement RCF et tocographique externe est le E nous sommes face à une hémorragie de la délivrance
suivant.
Question 9
La patiente est hospitalisée en suite de couches.
Le nouveau-né a été examiné par les pédiatres.
L'examen est normal. Il est de rhésus O négatif.
On a récupéré l'ensemble du bilan concernant la
patiente : Ag HBs négatif ; anti-VHC négatif ; séro-
logie VIH positive (western blot et ELISA), charge
virale 500 copies.
Que prévoyez-vous pour cette patiente ?
A injection de gammaglobulines anti-D
B promotion de l'allaitement maternel Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
C bilan de thrombophilie A l'image peut correspondre à une rétention
D débuter des traitements antirétroviraux chez la trophoblastique
mère B il peut s'agir d'une môle hydatiforme partielle
E débuter des traitements antirétroviraux chez l'enfant C un épanchement est visible sur cette coupe
D les β-hCG quantitatifs sont indispensables
Question 10 E le rhésus est inutile ici, devant l'absence de
La patiente souhaite une contraception par DIU. métrorragie
Quelle est votre ordonnance de sortie ?
A supplémentation en vitamine K pour le nouveau-né Question 4
B supplémentation en vitamine D pour le nouveau-né Le bilan que vous avez demandé retrouve : Hb =
C ordonnance de rééducation périnéale 12,3 g/dl ; plaquettes = 300 G/l ; hémostase normale ;
D anticoagulation à dose préventive groupe O négatif, RAI négatives ; β-hCG = 150 000 UI ;
8 E ordonnance de DIU en cuivre K+ = 2,8 mmol/l ; Na+ = 150 mmol/l ; créatininémie =
125 mmol/l.
Quelle sera votre prise en charge ?
Cas clinique 4 ++ A aspiration endo-utérine avec anatomopathologie
Madame F. est une patiente G1P0 âgée de 21 ans, B méthotrexate IM
tabagique (4 paquets-années), qui se présente aux C Rhophylac® 200 μg en SC car rhésus-prophylaxie
urgences gynécologiques pour des vomissements D ECG
incoercibles au terme de 8 SA. E voie veineuse périphérique et 1 litre de Ringer lactate
Question 1 Question 5
Quelles complications des vomissements recherchez- Que pouvez-vous dire au sujet de la surveillance ?
vous ? A elle nécessite des β-hCG hebdomadaires puis
A un pli cutané mensuels
B une cétonurie B il faudra faire des RAI
C une hyperkaliémie C en l'absence de traitement, l'évolution peut se
D une hématémèse faire vers l'adénocarcinome
E une perte de poids > 5 % D la contraception efficace est obligatoire pendant
6 mois à 1 an
Question 2
E le risque de récidive est de 1 %
À l'examen physique, la patiente est asthénique, les yeux
cernés, et rapporte des douleurs pelviennes sans défense
palpable. Vous décidez de faire une échographie. Question 6
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? Quatre jours après son intervention, Madame F.
A à ce terme, la grossesse est visible en sus-pubien consulte à nouveau pour une récidive des douleurs
B Madame F. est à risque de GEU pelviennes, associées à une hyperthermie (39,5 °C).
C si l'embryon est aperçu, vous évoquez une gros- Vous lui trouvez un abdomen sensible en hypogastre
sesse évolutive et une douleur à la mobilisation de l'utérus.
D les annexes sont encore visibles à ce terme-là Quel(s) diagnostic(s) vous semble(nt) plausible(s) ?
E l'espace de Morrisson est situé entre le foie et le A récidive de grossesse môlaire
rein gauche B endométrite postopératoire
C rétention trophoblastique
Question 3 D perforation utérine
Vous obtenez le cliché suivant. E cervicite
Cas cliniques 1
Question 7 Question 9
Trois ans plus tard, Madame F. est à nouveau enceinte. Quels sont les facteurs de risque présents ici ?
Elle a l'an passé subi une conisation pour un CIN 2. Elle A âge maternel
est actuellement à 22 SA + 3 jours et consulte pour B tabagisme
des contractions utérines isolées depuis le matin. C conisation
Quel(s) examen(s) complémentaire(s) proposez-vous ? D geste endo-utérin
A NFS et RAI E antécédent d'infection génital haute
B PV et ECBU
Question 10
C rythme cardiaque fœtal
Quelle sera votre prise en charge ?
D test de Kleihauer
A hospitalisation et repos strict au lit
E échographie cervicale
B phloroglucinol
Question 8 C tocolyse par inhibiteur calcique
La BU est négative. Le reste du bilan est en cours. D corticothérapie maturative
Vous obtenez les clichés suivants. E antibiothérapie probabiliste par amoxicilline
Question 11
Après une courte hospitalisation, Madame F. rentre
en hospitalisation à domicile. Elle revient à 29 SA
pour des métrorragies associées à des pertes de
liquide. Elle a eu sa consultation du 7e mois il y a
3 jours.
Quel(s) examen(s) complémentaire(s) allez-vous réaliser ?
A une échographie de vitalité fœtale et localisation
placentaire
Énoncés
B un PROM Test®/Amniodiag®
C un Kleihauer
D un rythme cardiaque fœtal
E un hémogramme
Question 12 9
Quel(s) diagnostic(s) faites-vous ? Les RAI et le PROM Test® sont positifs. L'hémoglobine
A une menace de fausse couche tardive est à 10 g/dl, les leucocytes à 15 G/l. Le Manning est
B une béance cervico-isthmique coté à 4/8 pour un oligoamnios et une diminution des
C une menace d'accouchement prématuré mouvements périphériques. Madame F. frissonne, est
D une rupture spontanée des membranes tachycarde à 110 bpm et contracte douloureusement.
E une malformation utérine Le RCF est le suivant.
Énoncés
chement minime du Douglas. Les β-hCG sont néga- dossier obstétrical :
tifs, la CRP = 120, les leucocytes = 14 G/l. t (1øBDDPVDIFNFOUQBSWPJFCBTTFJMZBøBOT
Madame M. frissonne. Sa fréquence cardiaque à 38 SA d'un garçon de 3 900 g compliqué d'une
est à 110 bpm pour une tension artérielle à hémorragie de la délivrance (atonie utérine).
85/66 mm Hg. t 1BTEhBOUÏDÏEFOUTNÏEJDPDIJSVSHJDBVYOPUBCMFTOJ
Quel(s) diagnostic(s) faites-vous ? d'allergie. 11
A SRIS t (SPVQF"SIÏTVTQPTJUJG
B sepsis sévère t "H)#T
51)"7%3-FU7*)OÏHBUJGT
C kyste de l'ovaire droit t /PO JNNVOJTÏF DPOUSF MB UPYPQMBTNPTF FU MB
D infection génitale haute rubéole.
E pyosalpinx droit t 3JTRVF DPNCJOÏ EF USJTPNJFø BV QSFNJFS USJ-
mestre : 1/6 000.
Question 12
t %ÏQJTUBHFEVQPSUBHFËTUSFQUPDPRVFEVHSPVQF#
Quelle sera votre prise en charge thérapeutique ?
positif.
A tri-antibiothérapie intraveineuse
t 4VJWJEFHSPTTFTTFTBOTQBSUJDVMBSJUÏQBSBJMMFVST
B cœlioscopie exploratrice isolée
t ²DIPHSBQIJF EV USPJTJÒNF USJNFTUSF Ë ø 4" +
C ponction échoguidée
5 jours :
D aspiration endo-utérine
– fœtus eutrophe, poids estimé au 85e percentile ;
E pose d'une voie veineuse périphérique et
– présentation céphalique dos à gauche ;
remplissage
– placenta postérieur non bas inséré ;
Question 13 – liquide amniotique en quantité normale.
Quelle conduite adoptez-vous vis-à-vis du DIU ? t 7JUFODPVQMF
TFDSÏUBJSFNÏEJDBMF
A laissé en place encore 3 ans
Question 1
B retrait immédiat
Votre examen clinique retrouve :
C contre-indication définitive à la pose d'un nouveau
t 1"øøNNø)H
D contrôle du PV à 2 semaines t VUÏSVTDPOUSBDUJMFIBVUFVSVUÏSJOFøøDN
E modification pour un DIU à la progestérone t UPVDIFS WBHJOBMø DPM FO QPTJUJPO JOUFSNÏEJBJSF
Question 14 mou, court, 3 cm de dilatation ;
Deux ans plus tard, Madame M. se présente à nou- t ÏDPVMFNFOUEFMJRVJEFDMBJS
veau aux urgences après un malaise dans la rue. Elle Concernant le (les) diagnostic(s) évoqués, quelle(s) est
n'a pas eu ses règles depuis 5 semaines et l'abdomen (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
est sensible en fosse iliaque gauche. A menace d'accouchement prématuré
Vous évoquez une GEU gauche. Quels en sont les fac- B mise en travail spontané
teurs de risque présent chez Madame M. ? C rupture prématurée des membranes
A l'âge D rupture spontanée des membranes
B l'infection à HPV E rupture artificielle des membranes
Cas cliniques
Question 2
La sage-femme vous présente l'électrocardiotocogra-
phie de la patiente enregistrée aux urgences.
Énoncés
A traction sur le cordon
A 300 ml B délivrance dirigée : oxytocine (Syntocinon®) intravei-
B 500 ml neuse directe au dégagement de l'épaule antérieure
C 600 ml C sac de recueil des pertes sanguines afin d'évaluer
D 800 ml le volume des pertes
E 1 000 ml D surveillance systématique de toute accouchée 13
30 minutes en salle de travail
Question 9
E délivrance artificielle en cas de non-décollement à
Vous atteignez rapidement 500 ml de pertes sanguines
30 minutes de l'accouchement
et déclenchez le protocole « hémorragie de la déli-
vrance ». L'anesthésie péridurale est toujours efficace, Question 13
Madame A. est Glasgow 10 ; PA = 100/60 mm Hg ; Remise des complications de son accouchement, vous
FC = 110 bpm. réalisez l'information de sortie de suite de couche
Parmi les propositions suivantes, lesquelles allez-vous auprès de Madame A. Elle ne souhaite pas allaiter son
réaliser en première intention afin de stopper l'hémor- enfant.
ragie ? Concernant la (les) recommandation(s) ou information(s)
A sondage urinaire que vous allez lui donner, quelle(s) est (sont) la (les)
B révision utérine proposition(s) exacte(s) ?
C utérotonique de première ligne : oxytocine A le retour de couche surviendra dans les 6 à
(Syntocinon®) 12 semaines du post-partum
D utérotonique de première ligne : sulprostone B vaccination maternelle contre la rubéole
(Nalador®) C vaccination maternelle contre la toxoplasmose
E embolisation des artères utérines D vaccination contre la coqueluche des parents et de
l'ensemble des personnes amenées à s'occuper du
Question 10 nouveau-né
Vous réalisez la prise en charge de première ligne : E visite postnatale avec le gynécologue-obstétricien
t MBSÏWJTJPOVUÏSJOFOFSBNÒOFRVFRVFMRVFTDBJMMPUT dans les 6 à 8 semaines
t MhFYBNFOTPVTWBMWFOFSFUSPVWFQBTEFMÏTJPOEV
col ou de déchirure vaginale ; Question 14
t MhVUÏSVTSFTUFNPVFUTVTPNCJMJDBMøNJOVUFTBQSÒT Madame A. souhaite recevoir des informations sur
le début de la prise en charge malgré l'utéroto- les différents types de contraception possible dans le
nique de première ligne : oxytocine (Syntocinon®). post-partum immédiat.
L'anesthésiste de garde est sur place et prend en Quel(s) type(s) de contraception pouvez-vous lui
charge la patiente sur le plan hémodynamique ; elle proposer jusqu'à la visite postnatale (dans 6 à
est toujours stable. Vous estimez les pertes sanguines 8 semaines) ?
à 800 ml. L'Hémocue® estime le taux d'Hb à 7,5 g/dl. A pilule œstroprogestative
Quelle prise en charge de seconde ligne allez-vous B pilule microprogestative de troisième génération
mettre en route ? (désogestrel, Optimizette®)
Cas cliniques
Énoncés
A prise en charge en externe antibiotiques
B hospitalisation
C corticothérapie pour maturation pulmonaire Question 14
D traitement antihypertenseurs par bêtabloquant À J6 de sa césarienne, la patiente quitte le service.
E surveillance du rythme cardiaque fœtal Quelle(s) ordonnance(s) lui remettez-vous ?
A injection quotidienne d'une HBPM à dose curative
Question 10 15
pendant 15 jours
Quelles sont les complications possibles de la
B prescription d'une contraception œstroprogestative
prééclampsie ?
C bilan vasculo-rénal à réaliser 3 mois après
A la crise d'éclampsie
l'accouchement
B le HELLP syndrome, qui se définit par une choles-
D un bilan de thrombophilie est indiqué en cas de
tase, une hémolyse, une thrombopénie
prééclampsie sévère associée à un RCIU
C un hématome rétroplacentaire
E en cas de retard de croissance d'origine vasculaire,
D une CIVD
une prévention par aspirine 100 mg peut être mise
E un RCIU
en place pour la prochaine grossesse
Question 11
À propos des facteurs de risque de la prééclampsie, Question 15
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? Le lendemain de la sortie de la maternité, la patiente
A la multiparité consulte aux urgences gynécologiques pour une
B l'âge maternel avancé hyperthermie avec des lochies nauséabondes. Vous
C les grossesses multiples évoquez une endométrite du post-partum.
D l'obésité À propos de l'endométrite, quelle(s) est (sont) la (les)
E les antécédents de prééclampsie proposition(s) exacte(s) ?
A l'examen clinique retrouve un utérus mal involué
Question 12 B l'échographie abdominale permet d'éliminer une
Le lendemain, la patiente présente des signes neu- rétention placentaire
rologiques à type de réflexes ostéotendineux polyci- C le diagnostic de certitude repose sur la biopsie de
nétiques. Vous décidez d'instaurer un traitement par l'endomètre
sulfate de magnésium. Malgré cela, 30 minutes après D en cas d'allaitement maternel, le schéma antibio-
l'instauration du sulfate de magnésium, la patiente tique repose sur une céphalosporine de troisième
présente une crise convulsive. génération et du métronidazole
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? E en cas de mauvaise évolution, il faut évoquer une
A une intubation et une ventilation peuvent thrombophlébite pelvienne
s'imposer
B les benzodiazépines sont le traitement de réfé-
rence de la crise d'éclampsie Cas clinique 8 ++
C il existe une indication d'extraction fœtale en Une jeune femme de 25 ans se présente aux
urgence urgences gynécologiques pour des saignements
Cas cliniques
Énoncés
D grossesse môlaire D patch transdermique
E GEU E anneau vaginal
Question 14 Question 3
Vous hospitalisez votre patiente et constatez une mort Parmi les propositions suivantes, lesquels sont des
fœtale in utero avec des tensions artérielles qui aug- contre-indications absolues de la contraception 17
mentent, des céphalées, acouphènes, phosphènes et œstroprogestative ?
des réflexes vifs. A tabagisme avant 35 ans
Quel traitement n'a pas sa place dans la prise en B diabète sévère
charge de la patiente à ce stade ? C cancer du sein
A extraction fœtale D cancer de l'endomètre
B corticothérapie de maturation pulmonaire fœtale E prise d'AINS
C sulfate de magnésium Question 4
D antihypertenseur Vous lui prescrivez finalement un moyen de contra-
E gammaglobulines anti-D ception pouvant lui convenir. Vous avez expliqué
que les règles pourront-être plus longues et plus
Question 15
abondantes, qu'elle doit se méfier du risque de
Quels sont dans ce dossier les arguments pour un
GEU en cas de retard de règles et/ou des douleurs
SAPL (syndrome des antiphospholipides) ?
latéralisées.
A cystite
Quel est ce moyen contraceptif ?
B prééclampsie
A implant sous-cutané
C mort fœtale in utero
B DIU au lévonorgestrel
D avortements spontanés à répétition
C DIU au cuivre
E notion d'un anticorps dans le sang
D patch transdermique
E anneau vaginal
Question 5
Cas clinique 9 ++ Elle porte désormais son stérilet depuis 3 ans et
Il s'agit d'une patiente de 33 ans, deuxième geste et demande à vous voir de toute urgence car elle a
primipare, après accouchement par césarienne d'un depuis ce jour de fortes douleurs en fosse iliaque
garçon de 4 900 g il y a 2 ans. Elle prend actuellement droite. Elle a vomi ce matin et se sent mal.
une pilule œstroprogestative Leeloo®. Elle a depuis Quel doit être le premier diagnostic à évoquer ?
un an un nouveau conjoint et souhaite changer de A appendicite aiguë
contraception car elle l'oublie souvent. Elle dit vou- B GEU
loir une contraception sans œstrogènes car elle a lu C salpingite
qu'il existe des risques de phlébite, alors qu'elle fume D torsion d'annexe droite
10 cigarettes par jour. Le reste de votre interrogatoire E endométrite
Cas cliniques
Énoncés
A prophylaxie anti-D si le conjoint est de rhésus A examens biologiques comprenant : NFS, CRP
positif B corticothérapie préventive
B hyperglycémie provoquée par voie orale C repos stricte
C sérologie toxoplasmose D tocolyse sans délai
D traitement préventif de la toxoplasmose E oxytocine IV
E vitamine D systématique à prendre à partir de 28 SA 19
Question 9
Question 5
Votre externe vous demande quel tocolytique utiliser
Elle est inquiète concernant ses résultats de sérologie.
en première intention dans ce cas ?
Que lui dites-vous ?
A inhibiteur calcique per os
A peu de risque concernant la rubéole : pas de
B inhibiteur calcique par voie IV
contage infectieux et, après 26 SA, le risque de
C antagoniste de l'ocytocine
transmission est faible
D bétaméthasone
B pas de risque concernant la toxoplasmose ni la
E aucun
rubéole
C surveillance mensuelle de la rubéole
Question 10
D prévention de la toxoplasmose : éviter le contacte
Votre bilan sanguin retrouve : CRP = 100 mg/l,
avec les chats et leur litière
hyperleucocytose = 16 G/l. La sage-femme vous
E prévention de la toxoplasmose : consommer la
confirme une température à 38,5 °C et la patiente
viande bien cuite
ressent des contractions de plus en plus importantes
Question 6 ainsi que des frissons. Une seule injection de cortico-
Elle a entendu parler du streptocoque B et sa voisine thérapie a déjà été faite.
lui a dit qu'il fallait prendre des antibiotiques pour ne Quelle est votre attitude ?
pas que le bébé soit infecté. A examen clinique du col de l'utérus
Concernant le streptocoque B, quelle(s) est (sont) la B hémocultures
(les) proposition(s) exacte(s) ? C tocolyse le temps de la deuxième injection de
A le dépistage est fait entre 35 et 38 SA pour les corticoïdes
femmes à risque D césarienne en urgence
B le dépistage se fait par un prélèvement par E arrêt de la corticothérapie
écouvillon
C en cas de dépistage positif, elle sera traitée pen- Question 11
dant la grossesse Quel bilan infectieux prescrivez-vous ?
D un traitement par amoxicilline sera débuté au A sérologie Listeria
cours du travail B ECBU
E un antécédent de dépistage positif lors d'une gros- C PCR Chlamydia sur urines
sesse précédente est une indication de traitement D hémocultures
d'emblée pendant le travail E prélèvement vaginal
Cas cliniques
Énoncés
gistrement continu du RCF Question 13
D réévaluer l'état du col tous les 2 jours jusqu'à ce Chez cette patiente, quel(s) est (sont) l'(es) argument(s)
qu'il soit déclenchable pour dire que son nouveau-né a un retard de crois-
E majorer la tocolyse si elle se met en travail sance intra-utérin ?
A le rhésus négatif de la patiente
Question 8 B le fait que ce soit sa troisième grossesse 21
Vous avez finalement réalisé une césarienne en C l'âge maternel
urgence devant des anomalies du RCF, donnant nais- D le score d'Apgar à 9 à cinq minutes
sance à un garçon de 1 320 g, Apgar 7 à une minute, E le contexte de prééclampsie
9 à cinq minutes et 10 à dix minutes. Le pH artériel au
cordon était à 7,18. La patiente a saigné 1 800 ml au Question 14
cours de l'intervention. Cette patiente a fait une prééclampsie sévère tardive.
L'évolution de la prééclampsie dans le post-partum : Que va comporter votre bilan étiologique ?
A montre constamment une amélioration immédiate A la recherche des thrombopénies constitutionnelles
dès la naissance B la recherche d'un déficit en protéine S
B peut s'aggraver dans les premiers jours avant de C la recherche d'une sténose des artères rénales
s'améliorer D la recherche d'un syndrome des antiphospholipides
C peut s'aggraver d'un HELLP syndrome E aucune recherche étiologique
D peut s'améliorer progressivement
E ne nécessite plus de surveillance particulière Question 15
Lors d'une visite en suite de couche à la patiente, elle
Question 9 vous demande s'il y a un risque que cette situation se
Les critères diagnostiques du HELLP syndrome sont : reproduise et, si oui, comment la prévenir.
A une protéinurie supérieure à 5 g/24 heures Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
B une hémolyse A oui, et on lui prescrira de l'aspirine lors de sa pro-
C une thrombopénie chaine grossesse
D des réflexes ostéotendineux vifs B non, car ce sera alors une quatrième pare
E une élévation des transaminases C non, mais il faut quand même prescrire de l'aspirine
D oui, et on lui prescrit de la vitamine C et E
Question 10
E non, mais il faut quand même lui prescrire de la
Parmi les propositions suivantes, lesquels sont des fac-
vitamine C et E
teurs de risque de thrombose veineuse profonde chez
cette patiente ?
A l'hémorragie du post-partum
B la prééclampsie Cas clinique 12 +++
C la période de post-partum Vous voyez en consultation du 7e mois Madame G.,
D l'accouchement à 35 SA 27 ans, enceinte de 29 SA. Il s'agit d'une première
E le traitement antihypertensif grossesse dont le début a été daté au 13 mai 2014.
Cas cliniques
Il s'agit d'une grossesse obtenue par FIV à la suite A HTA chronique avec syndrome néphrotique
d'une stérilité primaire de couple ayant abouti au dia- B HTA gravidique
gnostic d'azoospermie chez le conjoint. C éclampsie sévère et précoce
En reprenant le dossier, vous notez dans les antécé- D prééclampsie sévère et précoce
dents de la patiente un tabagisme actif à 5 paquets- E phéochromocytome
années et une allergie aux acariens. Les antécédents
Question 4
familiaux mettent en évidence un diabète de type 2
Quel est le mécanisme physiopathologique de cette
chez la mère. Les frottis réalisés avant la grossesse
maladie ?
étaient normaux.
A pathologie d'origine maternelle
Les premières consultations n'ont mis aucune ano-
B pathologie d'origine placentaire
malie en évidence, mis à part une constipation légère
C pathologie impliquant le cytotrophoblaste extra-
améliorée par des règles hygièno-diététiques élémen-
villeux
taires.
D pathologie impliquant le syncitiotrophoblaste
La patiente est de groupe A rhésus négatif. Elle n'est
E pathologie de l'endothélium maternel
pas immunisée contre la toxoplasmose ni contre la
rubéole. Question 5
t *POPHSBNNF TBOHVJOø /B ø ø NNPMM ,
Question 1
= 3,9 mmol/l ; Cl = 98 mmol/l ; bicarbonates
Quelle sera la date théorique de surveillance du
= 28 mmol/l ; glucose = 4,5 mmol/l ; créa-
terme ?
tinine = 90 μmol/l ; protides = 62 g/l ; Ca =
A 13 mai 2014
2,25 mmol/l ; acide urique = 390 μmol/l.
B 13 janvier 2015
t #JPDIJNJFø-%)øø6*M /< 33) ; haptoglobine =
C 13 février 2015
0,3 g/l (N = 0,5–2,5).
D 13 mars 2015
t )ÏNPHSBNNFø)Cø
øHEM(3ø
ø5M)Uø
E 13 avril 2015
44 % ; réticulocytes = 80 G/l ; GB = 12,5/l ; pla-
Question 2 quettes = 99 G/l.
L'interrogatoire de la patiente ne révèle aucun élé- t #JMBOIÏQBUJRVFø"4"5øø/"-"5øø/
ment notable. Les constantes sont les suivantes : Quelles anomalies relevez-vous ?
température à 37,3 °C, PA = 130/80 mm Hg, FC A thrombopénie
22 = 78 bpm. L'examen clinique retrouve un œdème B hypokaliémie
des membres inférieurs léger. La prise de poids est C cytolyse hépatique
stable et conforme aux normes. La hauteur uté- D anémie hémolytique
rine est à 24 cm. Les bruits du cœur fœtal sont E insuffisance rénale aiguë
entendus au Doppler. Vous palpez une présenta-
Question 6
tion céphalique dos à gauche. Le col est long au
Vous décidez d'hospitaliser la patiente.
toucher vaginal, postérieur, tonique et fermé à
Parmi les thérapeutiques suivantes, lesquelles sont
l'orifice externe.
possibles pour traiter cette patiente ?
Quels sont les examens biologiques qui ont dû être
A α-méthyldopa jusqu'à 2 000 mg par jour
prescrits au 6e mois ?
B labétolol jusqu'à 600 mg par jour
A protéinurie sur échantillon
C nicardipine jusqu'à 1 000 mg par jour
B NFS
D ramipril jusqu'à 50 mg par jour
C ferritinémie
E nifédipine jusqu'à 100 mg par jour
D Ag HBs
E TSH Question 7
Quels sont les facteurs de risque connus de cette
Question 3
pathologie ?
Vous revoyez Madame G. à 31 SA + 4 jours aux
A âge supérieur à 40 ans
urgences obstétricales lors d'une de vos gardes. Elle
B obésité
a été adressée par une sage-femme libérale pour une
C grossesse gémellaire
HTA gravidique. La patiente se plaint de céphalées
D anomalie chromosomique du fœtus lors de la
persistantes sans troubles visuels et auditifs.
grossesse
À l'examen clinique, vous notez une PA à
E antécédent de mort fœtale in utero
170/110 mm Hg, une FC à 105 bpm, une tempéra-
ture à 37,1 °C, une prise de poids de 6 kg par rap- Question 8
port à la dernière consultation. L'examen pulmonaire Finalement, vous prenez la décision d'extraire l'enfant
est normal. Vous notez un œdème important des par césarienne quelques heures après devant des ano-
membres inférieurs prenant le godet. Les réflexes malies cardiaques fœtales.
ostéotendineux sont vifs avec une extension de la Quel(s) bilan(s) allez-vous prescrire à distance de l'ac-
zone réflexogène des rotuliens. La BU note l'absence couchement concernant le suivi de cette patiente ?
de leucocytes, de nitrites et d'hématies et la présence A bilan de recherche de thrombophilie
de 3 croix de protéines. B bilan de recherche de parvovirus B19 et de CMV
Quel diagnostic suspectez-vous ? C bilan rénal avec recherche de protéinurie
Cas cliniques 1
D bilan hépatique avec échographie hépatique Question 14
E bilan hématologique avec biopsie ostéomédullaire Finalement, l'histoire est résolutive et le taux de pla-
quettes remonte progressivement sans complication.
Question 9 Lors d'une prochaine grossesse, quels signes échogra-
Quel(s) traitement(s) diminue(nt) le risque de récidive phiques faudra-t-il surveiller concernant le surrisque
de prééclampsie lors d'une prochaine grossesse lorsque de prééclampsie ?
l'introduction thérapeutique se fait précocement ? A biométries fœtales
A inhibiteur calcique B quantification du liquide amniotique
B antivitamine K C insertion du placenta
C HBPM D Doppler des artères utérines
D aspirine à faible dose E Doppler de l'artère cérébrale moyenne fœtale
E calcium
Question 10 Question 15
La patiente, après avoir consulté un site internet spé- Vous revoyez en échographie votre patiente 2 ans plus
cialisé, vous demande si un traitement par sulfate de tard pour une nouvelle grossesse. Voici l'image que
magnésium aurait pu changer le cours de sa gros- vous retrouvez au Doppler de l'artère utérine gauche.
sesse. Que lui répondez-vous ?
A oui, car il s'agit du meilleur traitement contre les
complications de la prééclampsie
B oui, car il procure une neuroprotection fœtale per-
mettant la poursuite de la grossesse jusqu'à 34 SA
C oui, car l'association inhibiteur calcique et sulfate
de magnésium permet de contrôler les chiffres
Énoncés
tensionnels
D non, car ce traitement nécessite plusieurs heures
de perfusion incompatible avec une extraction en
urgence
E non, car ce médicament n'a pas fait la preuve de
son efficacité 23
Question 11
La patiente est sous HBPM à la suite de la césarienne.
Que devez-vous surveiller biologiquement concernant
ce traitement dans ce contexte ?
A hémoglobine Qu'observez-vous ?
B créatinémie A examen normal avec absence de notchs
C taux de plaquettes B examen normal avec présence de notchs
D haptoglobine physiologiques
E ASAT/ALAT C examen anormal avec présence de notchs profonds
D examen anormal avec diastole nulle permanente
Question 12 E examen anormal avec reverse flow
En suivant le taux de plaquettes sous HBPM, vous
observez une diminution de son taux de 45 %. Vous
suspectez une thrombopénie induite à l'héparine (TIH). Cas clinique 13 ++
Concernant cette complication, quelle(s) est (sont) la
(les) proposition(s) exacte(s) ? Madame M., 30 ans, 3e pare, suivie pour une gros-
A la TIH de type 1 est la plus grave sesse gémellaire bichoriale biamniotique est hospitali-
B la TIH de type 2 est la plus grave sée à 29 SA pour menace d'accouchement prématuré.
C la TIH d'origine immune est confirmée par le Elle a comme antécédent deux accouchements par
dosage d'anticorps anti-PF4 voie vaginale (à 38 SA et 35 SA), une conisation pour
D la TIH est une pathologie hémorragique un CIN 2 et une appendicectomie. Elle fume trois
E la TIH est une pathologie thrombotique cigarettes par jour et boit un verre de vin par semaine.
Un prélèvement vaginal a été réalisé en début de
Question 13 grossesse et montrait une vaginose bactérienne.
Il s'agit bien d'une TIH de type 2. La patiente n'allaite Elle se plaint de contractions utérines depuis la veille
pas. au soir. Aucun autre signe fonctionnel.
Quelle est la suite de la prise en charge ? À l'examen clinique, elle est apyrétique, l'abdomen
A poursuite de l'HBPM à plus faible dose est souple et indolore, l'utérus est contractile.
B relais de l'HBPM par un antivitamine K À l'examen obstétrical, le col est mi-long, tonique,
C relais de l'HBPM par un héparinoïde sodique centré, perméable à un doigt à l'orifice interne. Il n'y
D relais de l'HBPM par un antiagrégant plaquettaire a pas d'écoulement de liquide. Les bruits des cœurs
E arrêt de l'HBPM sans traitement de relais fœtaux sont perçus.
Cas cliniques
Question 1 Question 6
Quels éléments figurent dans la définition de la Quelle est votre prise en charge thérapeutique ?
menace d'accouchement prématuré (MAP) ? A hospitalisation
A la présence de contractions utérines régulières B tocolyse en l'absence de contre-indications
B la présence de modifications cervicales C corticothérapie de maturation pulmonaire
C un âge gestationnel supérieur à 20 SA D transfert dans une maternité de niveau 2b
D une tachycardie fœtale E antibiothérapie pendant 5 jours
E une vaginose bactérienne
Question 7
Question 2 À 30 SA + 2 jours, suite à un écoulement vaginal
Quels facteurs de risque de MAP retrouve-t-on chez franc de liquide clair, elle perçoit des contractions uté-
cette patiente ? rines régulières et douloureuses toutes les 5 minutes.
A grossesse gémellaire La température est de 38,1 °C. Le rythme cardiaque
B antécédent de d'accouchement prématuré à 36 SA fœtal montre une tachycardie fœtale des deux fœtus
C antécédent de conisation à 165 et 175 bpm et la tocométrie une contractilité
D une vaginose bactérienne régulière. Le prélèvement vaginal qui avait été réalisé
E un verre d'alcool par semaine à 29 SA met en évidence une Escherichia coli.
Quels seraient les éléments définissant une chorioam-
Question 3
niotite ?
Quels examens complémentaires biologiques prati-
A hyperthermie maternelle
quez-vous dans l'immédiat ?
B tachycardie fœtale
A prélèvement vaginal
C contractions utérines
B ECBU
D écoulement d'un liquide fétide
C bilan hépatique
E rupture des membranes
D NFS
E ionogramme sanguin Question 8
Quelle prise en charge peut être proposée ?
Question 4
A tocolyse ne dépassant pas 24 heures dans ce contexte
Quels sont les autres éléments du bilan paraclinique ?
B corticothérapie (bétaméthasone)
A ECG
C sulfate de magnésium si entrée en travail
24 B hyperglycémie provoquée par voir orale (75 g)
D amoxicilline
C échographie du col
E aminosides
D échographie fœtale
E rythme cardiaque fœtal Question 9
Elle entre finalement en travail 4 heures plus tard et
Question 5
accouche par voie basse sans difficultés. Les deux
L'échographie du col est réalisée et figure ci-dessous.
enfants sont hospitalisés en réanimation néonatale.
Quels sont les risques néonataux que vous devez
expliquer aux parents ?
A risque de décès
B risque de leucomalacie périventriculaire
C risque d'entérocolite ulcéro-nécrosante
D risque de dysplasie bronchopulmonaire
E risques métaboliques
Question 10
Deux ans après cet accouchement, votre patiente
revient vous voir. Elle est de nouveau enceinte de
jumeaux et est très inquiète des risques de récidive de
la prématurité.
Quels sont les moyens de prévention que vous pouvez
lui proposer ?
A arrêt du tabac
B cerclage
C progestérone
Distance OI-OE = 18 mm. D repos strict au lit à partir de 12 SA
Qu'en déduisez-vous ? E tocolyse dès 12 SA
A la longueur cervicale est courte
B il y a un risque élevé d'accouchement prématuré
C il y a une protrusion de la poche des eaux
D il faudrait proposer un cerclage en urgence Cas clinique 14 +++
E le risque d'accouchement prématuré est supérieur Madame X., 35 ans, se présente aux urgences gyné-
à 50 % cologiques de l'hôpital de S. (niveau 1) ce jour. Elle est
Cas cliniques 1
enceinte de 30 SA mais ne fait pas suivre sa grossesse. A toxoplasmose
Durant l'interrogatoire, vous apprenez que c'est une B rubéole
patiente tabagique (un paquet de cigarettes par jour), C VIH
qui fume aussi régulièrement du cannabis. Elle a déjà D CMV
une petite fille de 5 ans qui est née à 37 SA et qui E EBV
pesait 1,6 kg.
Vous lui faites une échographie et vous estimez le Question 7
poids fœtal aux alentours de 1 200 g. Le Doppler Quelle est l'origine la plus fréquente du RCIU ?
ombilical est normal. A génétique
B infectieuse
Question 1 C vasculaire
Comment qualifiez-vous l'estimation de poids fœtal D immunologique
(EPF) pour ce fœtus ? E idiopathique
A RCIU
B PAG Question 8
C poids normal Que faites-vous ?
D macrosomie A transfert in utero en maternité de type 2 ou 3
E aucune bonne réponse B extraction en urgence après cure de maturation
pulmonaire
Question 2 C hospitalisation pour surveillance
Quels examens cliniques et paracliniques permettent D contrôle de l'EPF à 7 jours
de dépister un PAG ou un RCIU ? E tocolyse
A électrotococardiographie
B hauteur utérine Question 9
Énoncés
C largeur utérine À propos des conduites addictives de la patiente,
D échographie pelvienne quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
E amniocentèse A le test de Fagerström permet d'évaluer la dépen-
dance au tabac
Question 3
B on parle de dépendance forte si le résultat du test
Quelles biométries fœtales sont en général utilisées
de Fagerström est supérieur ou égal à 6 25
pour faire l'estimation du poids fœtal ?
C la consommation de tabac et de cannabis peut
A périmètre crânien
entraîner un syndrome polymalformatif chez l'en-
B périmètre thoracique
fant à naître
C périmètre abdominal
D les patchs nicotiniques sont autorisés pendant la
D longueur de l'humérus
grossesse
E longueur du fémur
E il est nécessaire de rechercher la présence de
Question 4 co-intoxications lors d'une consultation avec un
Quelle est votre conduite à tenir en ce qui concerne le addictologue
suivi échographique ?
A échographie de contrôle le lendemain puis 2 fois Question 10
par semaine jusqu'à accouchement Le petit Lucas naît le lendemain à 3 h 48, avec un
B échographie de contrôle dans 1 semaine Apgar de 1/3/5/8. Il pèse 1 350 g et est transféré
C échographie de contrôle dans 2 ou 3 semaines immédiatement en néonatologie.
D échographie de contrôle dans plus de 3 semaines Qu'est ce qui est évalué dans le score d'Apgar ?
E pas d'échographie de contrôle A mouvements respiratoires
B battements cardiaques
Question 5 C ouverture des yeux
Vous revoyez donc la patiente 3 semaines plus tard D tonus
et elle est maintenant à 33 SA. L'EPF est estimée à E coloration des téguments
1 300 g et vous retrouvez un Doppler ombilical avec
reverse flow. Le rythme cardiaque fœtal (RCF) est Question 11
normal. Quelle doit être la prise en charge immédiate pour
Comment qualifiez-vous alors l'EPF pour ce fœtus ? cet enfant ?
A RCIU A transfert en néonatologie
B PAG B mise en couveuse
C poids normal C intubation systématique
D macrosomie D mise en place d'une sonde nasogastrique
E aucune bonne réponse E antibiothérapie systématique
Question 6 Question 12
Quelle est l'infection à rechercher systématiquement Quelles complications peut-on redouter chez cet
devant un RCIU ? enfant ?
Cas cliniques
Question 9 Question 15
Quatre jours plus tard, Madame R. se plaint de douleurs Quelles complications fœtales sont à redouter ?
abdominales. À l'examen, la PA est à 100/60 mm Hg, A asphyxie néonatale
le pouls à 85 bpm. L'utérus est tendu et douloureux B anémie périnatale
spontanément et à la palpation. Lors de votre exa- C décès
men, vous notez quelques taches de sang noirâtre sur D séquelles neurologiques
la garniture de Madame C., taches qu'elle n'avait pas E bronchodysplasie
remarquées. Quel diagnostic suspectez-vous ?
A hématome rétroplacentaire
B rupture utérine Cas clinique 16 ++
C début de travail
D placenta praevia Madame B.A., 28 ans, sans antécédent particulier,
Énoncés
E hémorragie de Benckiser consulte pour des métrorragies d'apparition sponta-
née. Elle vous apporte un dosage sanguin des β-hCG
Question 10 effectué il y a 2 jours : 4 517 UI/l. Son groupe sanguin
Quels sont les facteurs de risque de cette pathologie est O rhésus négatif.
que vous notez dans cette observation ?
A origine antillaise Question 1
Très inquiète, elle vous demande quelles sont vos prin- 27
B tabac
C HTA gravidique cipales hypothèses diagnostiques.
D multiparité A grossesse intra-utérine évolutive
E antécédent de gémellité B fausse couche spontanée
C GEU
Question 11 D règles
Le rythme cardiaque fœtal retrouve des signes de E hémorragie intrakystique
souffrance fœtale avec un rythme de base à 100 bpm,
micro-oscillant. Quel est le mécanisme de cette souf- Question 2
france fœtale ? Quels examens allez-vous faire en première intention
A interruption des échanges fœtomaternels au pour avancer dans le diagnostic ?
niveau du décollement placentaire A échographie abdominale
B compression cordonale lié à la contraction utérine B échographie endovaginale
C souffrance fœtale chronique secondaire au RCIU C dosage des β-hCG
D anémie fœtale D pipelle de Cornier
E infection maternofœtale E aucun autre examen que ceux cités
Question 12 Question 3
Quels examens complémentaires effectuez-vous en L'échographie endovaginale montre cette image.
urgence ?
A NFS
B groupe, rhésus, RAI
C échographie par voie endovaginale à la recherche
d'un placenta praevia
D aucun
E protéinurie
Question 13
Quelle est la prise en charge la plus adaptée dans le
contexte ?
A césarienne en urgence
B transfert en maternité de type 3
C hospitalisation pour maturation pulmonaire
Cas cliniques
Énoncés
grossesse suivante
C 1 g 2 fois par jour
D 1 g 3 fois par jour Question 3
E 2 g 3 fois par jour Six mois plus tard, cette patiente débute une nou-
velle grossesse et vous la voyez en consultation à
Question 14 30 SA. Elle ne prend aucun traitement. La hauteur
L'évolution est favorable grâce à votre prise en charge. utérine est à 22 cm, l'activité cardiaque fœtale est 29
Vous revoyez la patiente à 37 SA. Quel examen indis- perçue, le col est long, postérieur et fermé, la PA est
pensable vous permettra de choisir la voie d'accou- à 161/103 mm Hg et il existe deux croix de protéi-
chement ? nurie à la BU.
A toucher vaginal Qu'évoquez-vous ?
B examen au spéculum A prééclampsie
C échographie endovaginale B éclampsie
D pelvimétrie par scanner C MAP
E échographie de croissance D RCIU
Question 15 E macrosomie fœtale
Votre échographie endovaginale montre un placenta Question 4
recouvrant. Vous préconisez donc : Quelles peuvent être les complications maternelles et
A épreuve du travail fœtales de ce diagnostic ?
B déclenchement du travail A fausse couche précoce
C césarienne prophylactique B hématome rétroplacentaire
D césarienne en cas de saignement au cours du C HELLP syndrome
travail D mort fœtale in utero
E réévaluation à 41 SA E GEU
Question 5
Cas clinique 17 ++ Quelle conduite tenez-vous dans ce cas ?
A retour à domicile
Une patiente de 24 ans vient en consultation pour B hospitalisation en maternité de niveau 1
avis concernant la survenue de fausses couches spon- C prescription d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion
tanées à répétition. D prescription de bétaméthasone à visée de matura-
Antécédents : tion pulmonaire
t NÏEJDBVYøHSPVQF"SIÏTVTOÏHBUJG
BTUINFUSBJUÏ E hydratation de la patiente
par Ventoline® (salbutamol), hypothyroïdie sous
Lévothyrox® (lévothyroxine sodique) ; Question 6
t DIJSVSHJDBVYøBQQFOEJDFDUPNJF Plusieurs années après, cette femme consulte pour une
t HZOÏDPMPHJRVFTø USPJT '$4 QSÏDPDFT FOUSF FU cinquième grossesse. Enceinte de 32 SA, elle présente
10 SA, avec curetage endo-utérin ; des métrorragies de sang rouge et des contractions
Cas cliniques
Énoncés
proposition(s) exacte(s) ?
B échographie pelvienne A une datation exacte de l'âge gestationnel de la
C HCG qualitatifs grossesse est indispensable
D dosage de β-hCG plasmatiques quantitatifs B l'entretien psychosocial est obligatoire pour
E NFS Mademoiselle L.
Question 3 C un dépistage des IST est obligatoire 31
Le test de grossesse sanguin s'avère positif mais D un frottis cervico-utérin est systématiquement réalisé
Mademoiselle L. ne veut pas de cette grossesse. Elle E nous pouvons dès la première consultation lui
vous demande de réaliser une interruption volontaire prescrire une contraception
de grossesse (IVG). Elle est finalement à 12 SA. Question 7
Concernant les modalités réglementaires légales Concernant le délai de réflexion relatif à une IVG,
de l'IVG, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
exacte(s) ? A il est de 5 jours entre la première demande et la
A le délai légal de l'IVG en France depuis la loi Aubry réalisation de l'IVG
est de 12 SA B il est de 7 jours entre la première demande et la
B le délai légal de l'IVG en France depuis la loi Aubry réalisation de l'IVG
est de 14 semaines de grossesse C ce délai doit être respecté
C le délai légal de l'IVG en France depuis la loi Aubry D ce délai peut être raccourci si l'âge gestationnel est
est de 10 semaines de grossesse situé en 12 et 14 semaines de grossesse
D le délai légal de l'IVG en France depuis la loi Aubry E en 2015, le délai de réflexion a été supprimé
est de 12 semaines de grossesse
E le délai légal de l'IVG en France depuis la loi Aubry Question 8
est de 14 SA À la fin de cette première consultation, vous établis-
sez le certificat de demande initiale de l'IVG.
Question 4
Concernant l'examen biologique à prescrire à
Concernant les modalités réglementaires légales
Mademoiselle L. à l'issue de cette première consul-
de l'IVG et la contraception d'urgence, quelle(s) est
tation, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
(sont) la (les) proposition(s) fausse(s) ?
exacte(s) ?
A dans les structures scolaires, les infirmières sont
A la détermination d'un groupe rhésus
autorisées à délivrer une contraception d'urgence
B une recherche d'agglutinines irrégulières
B pour les mineures non émancipées, le médecin
C un bilan de coagulation
doit s'efforcer d'obtenir l'autorisation d'un des
D une NFS
deux parents ou du représentant légal
E une quantification d'hématies fœtales par test de
C en cas d'absence de consentement parental, la
Kleihauer compte tenu du rhésus négatif
mineure doit se faire accompagner d'une personne
majeure de son choix Question 9
D cette personne majeure désignée par la patiente Concernant les différentes techniques d'IVG, quelle(s)
mineure se voit attribuer un rôle d'autorité parentale est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
Cas cliniques
A seules deux techniques (chirurgicale ou médicale) Concernant les différentes méthodes de contracep-
existent tion envisageable chez Mademoiselle L., quelle(s) est
B la technique retenue dépend de la qualification du (sont) la (les) proposition(s) fausse(s) ?
praticien qui prend en charge l'IVG A la prescription d'une contraception est obligatoire
C jusqu'à 7 SA, la technique chirurgicale est la tech- chez les patientes mineures
nique de choix B la pose d'un DIU est possible le jour même de l'IVG
D de 7 SA + 1 jour à 9 SA, les deux techniques sont C la pilule ne devra être débutée que 7 jours après
réalisables l'IVG
E après 9 SA, la technique médicale est la technique D seule une pilule microprogestative peut être pres-
de choix crite chez cette patiente fumeuse
Question 10 E la pose d'un implant sous-cutané est possible dès
Mademoiselle L. décide de la réalisation d'une IVG le jour de l'IVG
médicamenteuse après vos explications sur l'ensemble Question 15
des techniques possibles. Vous revoyez Mademoiselle L. en consultation après
Concernant l'IVG médicamenteuse, quelle(s) est la réalisation de l'IVG.
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? Concernant cette quatrième consultation, quelle(s)
A elle repose sur l'utilisation de deux produits : la est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
mifépristone et les ocytociques A elle est conseillée mais non obligatoire
B une des complications est l'hémorragie B elle est obligatoire pour les patientes mineures
C le risque d'endométrite post-IVG médicamenteuse C elle permet de vérifier la bonne utilisation de la
est nul contraception prescrite lors de l'IVG
D la prévention de l'allo-immunisation rhésus n'est D elle permet de vérifier la vacuité utérine
pas nécessaire dans cette technique E le bilan IST est obligatoirement prescrit lors de
E la quatrième consultation post-IVG médicamen- cette consultation
teuse est conseillée
Question 11
Parmi les contre-indications absolues de la mifépris-
tone, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
Cas clinique 19 ++
32 A asthme sévère non équilibré par un traitement Mademoiselle S., 16 ans, vous consulte en urgence
B insuffisance hépatique affolée car elle ne veut pas être enceinte à la
C insuffisance rénale suite de son premier rapport sexuel non protégé
D porphyrie héréditaire la veille.
E anémie sévère Elle ne présente pas d'antécédent médical particulier,
fume 20 cigarettes par jour. Elle mesure 1,70 m pour
Question 12 55 kg. Sa PA est mesurée à 120/60 mm Hg.
Concernant les mécanismes d'action du misoprostol,
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? Question 1
A il s'agit d'un analogue de la prostaglandine E1 Quelles sont les différentes possibilités pour une
B il possède des propriétés anti-progestérone contraception d'urgence chez Madame S. ?
C il permet de stimuler les contractions utérines A lévonorgestrel (Norlevo®) dans les 48 heures maxi-
D son action principale est d'induire un décollement mum suivant le rapport
de l'œuf par nécrose déciduale péri-ovulaire B ulipristal d'acétate dans les 5 jours maximum sui-
E il provoque une maturation cervicale vant le rapport
Question 13 C DIU au cuivre dans les 5 jours suivant le rapport
Finalement Mademoiselle L. opte pour une IVG chirur- D lévonorgestrel (Norlevo®) dans l'heure suivant le
gicale. L'équipe médicale accède à sa demande. rapport
Concernant l'IVG chirurgicale, quelle(s) est (sont) la E ulipristal d'acétate dans 24 heures suivant le
(les) proposition(s) exacte(s) ? rapport
A la mifépristone peut être administrée 48 heures Question 2
avant le geste La patiente très inquiète vous pose de nombreuses
B un contrôle échographique peropératoire est questions sur le fonctionnement de la contraception
obligatoire orale d'urgence par lévonorgestrel, où se la procurer
C le risque de perforation utérine est de 1 % et comment, alors qu'elle est mineure.
D le risque hémorragique est nul Que lui répondez-vous ?
E le geste peut se compliquer de synéchie utérine A efficacité de 100 %
secondaire à l'origine d'une aménorrhée ou d'une B nécessité d'une ordonnance
infertilité C délivrance gratuite pour les mineures
Question 14 D nécessité d'un majeur accompagnant
L'IVG chirurgicale de Mademoiselle L. se déroule sans E se substitue à une contraception journalière si prise
complication. Vous lui remettez les papiers de sortie précocement après chaque rapport non protégé si
le soir même. rapports sexuels peu fréquents
Cas cliniques 1
Question 3 C le DIU présente un risque infectieux prévenu par
Mademoiselle S. prend sa contraception d'urgence une antibioprophylaxie systématique
et revient vous voir 1 mois après accompagnée de D le DIU est contre-indiqué en cas d'antécédent d'IVG
sa tante de 40 ans. Elle ne manifeste pas de préfé- E le DIU est contre-indiqué en cas d'antécédent de
rence particulière envers un mode de contraception. GEU
L'examen clinique et l'interrogatoire de Madame S.
ne retrouve rien de particulier. Question 8
Que pouvez-vous lui prescrire ? Madame S. vous demande les différences entre le DIU
A frottis cervico-utérin de dépistage au cuivre et le DIU aux progestatifs.
B pilule œstroprogestative de deuxième génération Que lui répondez-vous ?
C patch transdermique A le DIU aux progestatifs entraîne souvent des
D contre-indication aux œstroprogestatifs car ménorragies
patiente tabagique B le DIU aux progestatifs peut entraîner une
E bilan métabolique à réaliser 3 mois après le début aménorrhée
de la contraception C les DIU aux progestatifs et au cuivre sont contre-
indiqués en cas de grande multiparité
Question 4 D le DIU au cuivre doit être changé tous les 18 mois
La tante de 40 ans a pour antécédents des migraines E le DIU aux progestatifs est contre-indiqué en cas de
sans aura, une thrombose veineuse superficielle, une prise de médicaments inducteurs enzymatiques
hyperlipidémie et un tabagisme actif à 20 cigarettes
par jour. Elle est également suivie pour une tumeur Question 9
bénigne du foie. Elle mesure 1,70 m pour 70 kg et a Madame S. vous demande des informations complé-
une PA à 150/90 mm Hg. mentaires sur la pilule œstroprogestative.
Quelles sont les contre-indications absolues à une Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
Énoncés
contraception orale œstroprogestative chez la tante ? A la pilule œstroprogestative doit être arrêtée régu-
A migraine sans aura lièrement environ tous les 2 ans pendant 2 à
B thrombose veineuse superficielle 3 mois pour éviter un arrêt définitif de la fonction
C tabagisme (plus de 15 cigarettes par jour) ovarienne
D tumeur bénigne hépatique B la pilule œstroprogestative entraîne souvent une
E hyperlipidémie aménorrhée à l'arrêt de la pilule par synéchie 33
utérine
Question 5 C la pilule œstroprogestative est déconseillée en cas
Quelles sont alors les informations vraies sur les pos- d'endométriose
sibilités de contraception hormonale chez la tante ? D la pilule œstroprogestative peut être prise en
A la prescription d'un patch contraceptif est autorisée continue
B la prescription d'un anneau vaginal est autorisée E la pilule œstroprogestative est contre-indiquée
C la prescription d'une pilule à base d'œstrogène chez les patientes migraineuses avec aura
naturelle est autorisée
D la prescription d'une pilule œstroprogestative mini- Question 10
dosée est autorisée La pose d'un DIU au cuivre est décidée. La pose se fait
E la prescription d'un implant sous-cutané est en première partie de cycle au cabinet ; pendant celle-
autorisée ci, la patiente présente un malaise vagal.
Madame S. se présente 1 mois après la pose pour
Question 6 douleurs pelviennes généralisées ; elle est apyrétique,
Madame S. vous demande plus d'informations sur les présente des métrorragies minimes et vous ramène
contraceptions en dehors de la pilule afin d'améliorer un bilan avec une CRP à 30 mg/l. L'examen clinique
son observance. retrouve un abdomen souple avec une douleur diffuse
Que lui répondez-vous ? à la mobilisation utérine.
A l'implant sous-cutané est une contraception Que pouvez-vous suspectez chez cette patiente ?
œstroprogestative A infection génitale haute
B le patch est une contraception microprogestative B GEU
C l'anneau est une contraception œstroprogestative C appendicite
D l'implant sous-cutané est le moyen de contracep- D perforation utérine
tion ayant le meilleur indice de Pearl E pyélonéphrite
E la stérilisation tubaire est interdite avant 45 ans
Question 11
Question 7 Concernant le bilan à réaliser, quelle(s) est (sont) la
Madame S. vous demande des informations sur le dis- (les) proposition(s) exacte(s) ?
positif intra-utérin (DIU). A échographie pelvienne
Que lui répondez-vous ? B dosage des HCG
A le DIU est contre-indiqué chez les nulligestes C IRM pelvienne
B le DIU aux progestatifs est contre-indiqué en cas D scanner abdomino-pelvien
d'antécédent de cancer du sein E ablation systématique du DIU et mise en culture
Cas cliniques
Énoncés
D une deuxième dose de méthotrexate
E un traitement antalgique
Question 12
Question 8 Un DIU au cuivre a été mis en place à la consul-
Une échographie endovaginale est réalisée. tation de suivi postopératoire après s'être assuré
de la négativation du taux de β-hCG. Elle revient
35
2 mois plus tard pour des douleurs dans le bas du
ventre. Elle a peur d'une récidive. Elle est apyré-
tique ; l'abdomen est sensible en hypogastre sans
défense ni contracture. La biologie ne retrouve pas
de syndrome inflammatoire biologique. Une écho-
graphie a été réalisée.
Que voyez-vous ?
A un épanchement dans le cul-de-sac de Douglas
B une GEU
C un sac gestationnel intra-utérin
D un kyste de l'ovaire
E un pyosalpinx
Question 9
Une salpingectomie a été réalisée. Que faites-vous en
postopératoire ? Commentez l'échographie :
A un examen anatomopathologique A DIU en place
B un contrôle β-hCG B migration du DIU
C un contrôle de la NFS C présence d'un abcès
D arrêt du tabac D échographie par voie abdominale
E un dépistage d'IST chez la patiente et son partenaire E échographie par voie endovaginale
Cas cliniques
Question 13 Question 2
Quelle est votre prise en charge ? Quels éléments non renseignés ici vous semblent indis-
A une cœlioscopie pensables afin de compléter votre examen clinique ?
B une laparotomie A toucher vaginal
C une ablation du DIU B BU
D une antibiothérapie C température, FC, PA
E une hystéroscopie D échographie pelvienne
E échographie endovaginale
Question 14
Quel(s) est (sont) le(s) risque(s) à long terme de la Question 3
GEU ? La patiente est inquiète : elle vous précise que sa situa-
A récidive tion est un peu précaire et, si elle s'avère enceinte, elle
B dégénérescence cancéreuse serait désireuse de réaliser une IVG.
C infection génitale haute Que lui expliquez-vous ?
D douleur pelvienne chronique A le délai légal est de 14 SA
E ménopause précoce B le délai légal est de 16 SA
C le délai légal est de 12 SA
D il existe un délai de réflexion de 7 jours
Cas clinique 21 ++ E si elle prend la décision de réaliser une demande
d'IVG, un entretien psychosocial sera obligatoire
Vous recevez aux urgences gynécologiques une jeune
femme de 36 ans, Mademoiselle A., d'origine vietna- Question 4
mienne, G2P1 : elle a bénéficié d'une IVG chirurgi- Quelles sont vos trois principales hypothèses
cale à 18 ans et a une enfant de 10 ans, qui vit avec diagnostiques ?
son père. Elle vous dit être inquiète car elle a réalisé A grossesse évolutive
un test de grossesse urinaire ce matin qui s'est révélé B torsion d'annexe
positif. Elle utilise le préservatif masculin ou féminin C cancer du col utérin
comme contraceptif. Elle a des rapports hebdoma- D GEU
daires, mais pas de partenaire régulier. Il ne lui semble E endométriose en poussée
pas avoir oublié de se protéger, mais elle ne pourrait
36 Question 5
l'assurer complètement.
Quels facteurs de risque de GEU présente cette patiente ?
Lors de sa grossesse menée à terme, elle se souvient
A antécédent d'IVG
avoir pris un traitement car on lui avait trouvé des
B IMC inférieur à 25
Chlamydiae. Elle ne vous rapporte pas d'autres anté-
C antécédent de FIV
cédents particuliers, ni chirurgicaux ni médicaux. Elle
D tabagisme
fume 12 cigarettes par jour depuis 16 ans, consomme
E antécédent de salpingite
occasionnellement du cannabis ; elle vit seule.
Elle ne se souvient pas de la date de ses dernières Question 6
règles, mais c'était il y a plus d'un mois et demi. En À l'examen clinique, vous notez lors de la pose du
revanche, elle présente de petits saignements marron speculum des leucorrhées blanches, grumeleuses,
sporadiques depuis environ 2 semaines. caillebottées.
Taille et poids : 1,72 m pour 50 kg. Quel diagnostic évoquez-vous ?
L'examen clinique est sans particularité mais une sen- A salpingite à Chlamydia trachomatis
sibilité en fosse iliaque droite marquée, sans défense, B salpingite à gonocoque
vous interpelle. L'examen cutané en regard de la fosse C mycose fongique
iliaque droite retrouve une cicatrice mince et claire D infection à Gardnerella
évoquant la réalisation d'un McBurney. E mycose à Candida albicans
Mademoiselle A. vous signale des douleurs abdomi-
Question 7
nales depuis environ 1 semaine.
La réalisation d'une échographie endovaginale met
Question 1 en évidence une masse latéro-utérine gauche, hété-
À propos de Chlamydia trachomatis, quelle(s) est rogène ; la masse est très sensible au passage de la
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? sonde et mesure 5 cm sur 7 cm ; il existe un épan-
A c'est une bactérie intracellulaire obligatoire chement d'allure liquidien du Douglas de 4 cm. Vous
B c'est une maladie sexuellement transmissible dont suspectez une GEU droite.
la prévalence est moins importante que celle de la À propos des diverses localisations des GEU, quelle(s)
gonorrhée est (sont) la (les) proposition(s) fausse(s) ?
C elle peut être à l'origine de péri-hépatites A les GEU de localisation ovarienne sont fréquentes
D elle peut être traitée par azithromycine en une B une GEU infundibulaire correspond à la présence
seule prise orale chez la femme enceinte d'une GEU au niveau de la corne de la trompe
E elle peut être traitée par tétracycline en une seule C une GEU tubaire peut siéger dans l'isthme de la
prise orale chez la femme enceinte trompe
Cas cliniques 1
D une GEU tubaire peut siéger dans l'ampoule de la Que pouvez-vous affirmer à l'échographie.
trompe
E la localisation ampullaire est la plus fréquente
Question 8
Quelles attitudes thérapeutiques avez-vous déjà
écartées ?
A traitement médicamenteux par méthotrexate
B traitement chirurgical par cœlioscopie
C traitement chirurgical par laparotomie
D abstention thérapeutique et contrôle des β-hCG
sériques dans 48 heures
E traitement médicamenteux par misoprostol
Question 9
En cas de traitement par méthotrexate, les contrôles
sériques des β-hCG :
A sont réalisés à J4 et J7 A on observe une vacuité utérine
B sont réalisés à J6 et J10 B on observe une masse latéro-utérine gauche sus-
C sont réalisés jusqu'à négativation totale des β-hCG pecte d'être une GEU
D peuvent retrouver une augmentation transitoire C il s'agit d'un avortement spontané du premier
des β-hCG à J2 trimestre
E permettent de surveiller l'ascension des β-hCG D il y a une grossesse intra-utérine évolutive
jusqu'à J20 E vous allez revoir Mademoiselle A. avec un contrôle
Énoncés
Question 10 de β-hCG sérique réalisé dans le même laboratoire
Que comporte au minimum le bilan préthérapeutique dans 48 heures
avant méthotrexate ?
Question 14
A NFS
La grossesse se poursuit et évolue normalement.
B créatininémie
À 4 mois de grossesse environ, Mademoiselle A. vient 37
C ALAT/ASAT
vous voir : elle vous présente une analyse d'urine
D bilirubinémie
retrouvant une leucocyturie à 10/ml et une bactériu-
E RAI
rie à 106/ml ; on identifie un bacille Gram-négatif. Le
Question 11 mois précédent vous l'aviez déjà prise en charge pour
Vous optez pour un traitement chirurgical cœliosco- la même pathologie. Elle ne présente aucune plainte
pique : quelles attitudes envisagez-vous ? et est apyrétique.
A salpingographie cœlioscopique Quel est votre diagnostic ?
B salpingotomie cœlioscopique A cystite aiguë
C salpingectomie cœlioscopique B bactériurie asymptomatique
D ponction-aspiration échoguidée C pyélonéphrite aiguë
E hystéroscopie D salpingite
E rupture prématurée des membranes
Question 12
Vous réalisez un traitement radical. La patiente rentre Question 15
à domicile à J2 ; les suites opératoires sont simples. Quelles propositions thérapeutiques pouvez-vous
Vous revoyez Mademoiselle A. en consultation post- proposer ?
opératoire à un mois. Les β-hCG sont négative, elle se A mesures hygiéno-diététiques
porte bien et ne présente aucune plainte. B sertaconazole pendant 7 jours
Quels examens complémentaires allez-vous réaliser ? C cefixime pendant 7 jours
A FCV D traitement minute par fosfomycine-trométamol
B dosage du CA 19.9 dose unique
C écouvillonnage HSV-2 E nitrofurane pendant 7 jours
D sérologies VIH
E recherche de Chlamydiae sur le premier jet d'urine
Question 13 Cas clinique 22 ++
Les résultats sont rassurants. Mademoiselle A. viens Une patiente de 37 ans, d'origine antillaise, se pré-
vous revoir un an plus tard : elle se porte comme un sente à votre consultation de gynécologie. Elle est
charme, elle présente un désir de grossesse, présente très inquiète : depuis quelques mois, elle note un
un retard de règle depuis 15 jours et elle a refait un allongement de la durée de ses règles, qui sont anor-
test de grossesse sanguin ; le laboratoire rapporte un malement abondantes. Femme de ménage dans
taux de β-hCG à 250 UI/l. une grosse entreprise, elle se sent fatiguée depuis
Cas cliniques
quelques mois, mais ses quatre enfants lui causent un A ce sont des tumeurs malignes développées aux
peu de soucis. Elle n'a pas pu venir consulter plus tôt, dépens du muscle utérin
mais redoute un cancer ; elle n'a pas eu de suivi gyné- B c'est une pathologie fréquente atteignant jusqu'à
cologique depuis sa dernière grossesse il y a 5 ans. 20 % des femmes vers 40 ans
Elle prend une pilule contraceptive de deuxième C ce sont des tumeurs bénignes développées aux
génération, œstroprogestative. Elle mesure 1,70 m et dépens du muscle utérin
pèse 80 kg. Elle ne se souvient pas avoir été opérée ni D ce sont des tumeurs bénignes développées aux
soignée pour des maladies particulières. Elle a mené dépens de l'endomètre utérin
à terme sa première grossesse à l'âge de 17 ans ; elle E c'est une pathologie rare, atteignant moins de
a fait trois fausses couches précoces dans sa vie. Ses 5 % des femmes avant 40 ans
enfants sont issus de deux conjoints différents.
À l'examen, l'abdomen est souple. Au toucher vagi- Question 6
nal, vous notez la présence d'un gros utérus bosselé ; Quelle est la circonstance de découverte des myomes
il vous semble percevoir une masse latéro-utérine la plus fréquente ?
ferme, lisse, bien délimitée déformant la surface de A découverte fortuite
l'utérus. L'examen au spéculum met en évidence un B ménorragies
col d'aspect sain ; il n'y a pas de saignement actif. C douleurs pelviennes
Vous réaliser un frottis cervico-vaginal. D pollakiurie
E prolapsus pelvien
Question 1
Quelle est votre principale hypothèse diagnostique ? Question 7
A môle hydatiforme Quels facteurs de risque de fibromes retrouvez-vous
B GEU chez cette patiente ?
C cancer du col utérin A âge
D fibrome(s) du corps utérin B ménarche précoce
E infection génitale haute C obésité
D multiparité
Question 2
E contraception orale
Quels sont les deux termes médicaux à utiliser pour
parler des « règles abondantes et trop longues » pré- Question 8
38 sentées par cette patiente ? Quelles complications des fibromes peut-on évoquer
A aménorrhée devant une douleur abdominale aiguë ?
B métrorragies A nécrobiose aseptique
C polyménorrhées B pollakiurie
D ménorragies C torsion d'un myome pédiculé
E hyperménorrhées D ténesme
Question 3 E occlusion intestinale
À propos du cycle menstruel, quelle(s) est (sont) la
Question 9
(les) proposition(s) exacte(s) ?
À l'examen d'imagerie demandé, le service d'imagerie
A le cycle menstruel dure environ 21 jours
répond : « 10 myomes type 3 à 5 de 4 à 8 cm de dia-
B le début du cycle est défini par le premier jour
mètre. » Hb = 9,9 g/dl ; ferritine = 3 ng/ml. La patiente
après les règles
vous avertit qu'elle n'a pas renoncé à l'idée d'avoir
C la période d'ovulation a lieu aux alentours du
une grossesse et refuse l'hystérectomie.
4e jour du cycle
Quelle doit être selon vous l'attitude thérapeutique à
D le pic de LH vers le 14e jour du cycle aboutit à
l'ovulation proposer ?
E après l'ovulation, il y a transformation du follicule A progestatifs
B SPRM (modulateurs sélectifs des récepteurs à la
en corps jaune sécrétant de la progestérone et de
progestérone) ou agonistes GnRH
l'œstradiol
C embolisation utérine
Question 4 D myomectomie cœlioscopique
Quels examens complémentaires allez-vous deman- E myomectomie par laparotomie
der en première intention ?
A une hystérosalpingographie Question 10
B une échographie pelvienne Quel doit être le bilan préchirurgical avant une
C une IRM pelvienne myomectomie par laparotomie ? [Une seule réponse.]
D un scanner abdomino-pelvien A échographie 2D
E une NFS B échographie 3D
Question 5 C IRM
À propos des fibromes utérins, quelle(s) est (sont) la D hystérosalpingographie
(les) proposition(s) exacte(s) ? E scanner injecté
Cas cliniques 1
Question 11 Cas clinique 23 ++
Vous proposez l'intervention à Madame S. pour le
Madame F., 29 ans, nulligeste, sans antécédents
mois suivant.
médico-chirurgicaux particuliers, vient consulter aux
À J1 postopératoire, le bilan biologique demandé
urgences pour des douleurs pelviennes évoluant
retrouve une hémoglobinémie à 7 g/dl. La patiente
depuis 3 jours, associées à des métrorragies et à des
présente un abdomen souple ; elle est bien soulagée
brûlures mictionnelles. Elle est apyrétique. Sa PA est
par les antalgiques usuels. PA : 120/80 mm Hg ; FC :
normale. L'examen clinique retrouve une douleur à
85 bpm ; température : 37,1 °C.
la palpation de la fosse iliaque droite, sans défense.
Que proposez-vous ?
L'examen au spéculum objective des traces de sang
A reprise chirurgicale en urgence
malodorant dans le vagin. Le col est sain. Il existe une
B transfusion sanguine
douleur à la mobilisation utérine.
C fer par voie IV
D fer per os Question 1
E expectative 48 heures Quels examens complémentaires demandez-vous
dans ce contexte ?
Question 12 A NFS avec dosage de la CRP
Un mois plus tard, lors de la visite postopératoire, B hémocultures
vous constatez que Madame S. présente une cicatrice C biopsie d'endomètre
de laparotomie boursoufflée, indurée, dépigmentée. D dosage des β-hCG urinaires
Quel est votre diagnostic ? E échographie pelvienne
A désunion de cicatrice
B cicatrice chéloïde Question 2
C allergie aux pansements Les résultats de ces examens vous orientent vers une
D cicatrice sphénoïde infection génitale haute non compliquée.
Énoncés
E allergie au nickel À quel niveau effectuez-vous des prélèvements bac-
tériologiques ?
Question 13 A vagin
À cette occasion, vous lui transmettez les résultats de B urines
son frottis cervico-vaginal : on y retrouve des lésions C sang
de type « ASC-H ». D endocol 39
Que faites-vous ? E endomètre
A conisation
Question 3
B colposcopie
Quels sont les trois germes le plus fréquemment res-
C suivi cytologique par FCV
ponsables d'infection génitale haute ?
D hystérectomie
A Escherichia coli
E trachélectomie
B Neisseria gonorrhoeae
Question 14 C Mycoplasma genitalium
Quels facteurs de risque de cancer du col utérin D Enterobacter cloacae
retrouvez-vous chez cette patiente ? E Chlamydia trachomatis
A multiparité Question 4
B âge Quel traitement antibiotique proposez-vous ?
C origine ethnique A amoxicilline 3 g par jour per os
D obésité B amoxicilline + acide clavulanique 3 g par jour en IV
E rapports sexuels précoces C ceftriaxone 500 mg en IM
D ofloxacine 400 mg × 2 par jour + métronidazole
Question 15 500 mg × 2 par jour per os
Cinq ans plus tard, Madame S. revient vous voir ; elle E érythromycine 1 g × 2 par jour per os
est désireuse d'une contraception définitive.
À propos de la stérilisation, quelle(s) est (sont) la (les) Question 5
proposition(s) exacte(s) ? Quelle est la durée du traitement antibiotique ?
A un délai de réflexion de 4 mois après la demande Question 6
est nécessaire Vous la revoyez quelques jours plus tard. Les dou-
B un délai de réflexion de 6 mois après la demande leurs persistent. Elle est fébrile à 38,5 °C. Les autres
est nécessaire constantes sont normales. Les examens que vous réa-
C l'accord du conjoint est recueilli sur un consente- lisez montrent une masse latéro-utérine hétérogène
ment écrit de 3,5 cm à droite.
D la démarche n'est pas prise en charge par la Quel est votre diagnostic ?
Sécurité sociale A GEU
E la patiente est informée du caractère réversible de B cancer de l'ovaire
l'intervention C hydrosalpinx
Cas cliniques
Énoncés
Question 8 D poursuite du THS inchangé
Vous avez instauré un THS de type combiné continu : E augmentation du progestatif
Estréva® 1 dose par jour, Utrogestan® 1 cp. par jour.
Elle revient vous voir 3 mois plus tard, parce qu'elle a Question 13
toujours des bouffées de chaleur, moins invalidantes La patiente est opérée de son cancer du sein. Il s'agit
d'une tumeur pT1N0M0 et l'anatomopathologie 41
mais qui la gênent toujours.
Que proposez-vous ? définitive confirme exactement les données de la
A arrêter le progestatif (Utrogestan®) biopsie.
B diminuer le progestatif (Utrogestan®) Concernant le traitement hormonal de ce cancer,
C augmenter l'œstrogène (Estréva®) quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
D diminuer l'œstrogène (Estréva®) A pas besoin d'hormonothérapie (tamoxifène ou
E arrêter le THS car il est inefficace anti-aromatase) car cancer de bon pronostic
B la patiente a une indication d'hormonothérapie
Question 9 C la patiente aura du tamoxifène pendant 5 ans
Elle revient un an plus tard. Elle a subi une hystérec- D la patiente aura un anti-aromatase pendant 5 ans
tomie pour hyperplasie de l'endomètre. Son médecin E la patiente aura tout d'abord du tamoxifène puis
traitant a tenté d'interrompre son THS, mais les bouf- switch avec anti-aromatase au bout de 2 ans
fées de chaleur sont revenues toujours très invalidantes.
Question 14
Que faites-vous ?
Quels sont les effets de l'hormonothérapie ?
A j'arrête le THS à cause du risque de cancer de
A le tamoxifène peut aggraver les bouffées de chaleur
l'endomètre
B le tamoxifène peut aggraver l'ostéoporose
B je continue le THS inchangé (Estréva® + Utrogestan®
C les anti-aromatase peuvent aggraver l'ostéoporose
en continu)
D le tamoxifène augmente le risque de cancer de
C j'arrête Utrogestan®
l'endomètre
D j'arrête Estréva®
E les anti-aromatase augmentent le risque de cancer
E j'arrête le THS et je donne du raloxifène
de l'endomètre
Question 10 Question 15
Elle revient vous voir un an plus tard car elle a senti La patiente revient vous voir un an après son diag-
une « boule » dans son sein gauche. À l'examen vous nostic de cancer, car ses bouffées de chaleur sont
confirmez la présence d'un nodule de 1,5 cm dans le redevenues très invalidantes. Que peut-on lui
quadrant supéro-externe du sein gauche Sa dernière proposer ?
mammographie date d'un an ; elle était normale. A reprise du THS
Que proposez-vous ? B mise sous raloxifène
A revoir la patiente dans 6 mois C mise sous tibolone
B simple échographie puisque la mammographie D mise sous Abufène®
date de moins de 2 ans E pas de traitement
Cas cliniques
Énoncés
E microcalcifications en foyer E trastuzumab
Question 9 Question 14
La mammographie montre une image de 6 cm classée Pamela vous demande alors quels peuvent être
ACR 5 au niveau du sein droit. Vous décidez de faire les effets secondaires les plus fréquents de son
réaliser un prélèvement percutané. hormonothérapie.
Que permet ce prélèvement ? Que lui répondez-vous ? 43
A la confirmation du diagnostic histologique A augmentation de l'incidence du cancer de l'endo-
B de déterminer les traitements adjuvants mètre
C il n'est pas nécessaire pour la prise en charge B bouffées de chaleur
chirurgicale C complications thromboemboliques
D de rechercher la présence de récepteurs aux œstro- D douleurs ostéoarticulaires
gènes et à la progestérone E ostéoporose
E de permettre un repérage de la tumeur
Question 15
Question 10 Alors que vous pensiez la connaître après toutes
L'histologie met en évidence un carcinome canalaire ces années, Pamela A. vous révèle que son père
infiltrant HER2 : 1 +, récepteurs hormonaux positifs. est décédé d'un cancer du côlon à l'âge de 35 ans,
Cliniquement, vous palpez une adénopathie axillaire que sa tante paternelle a bénéficié d'une hystérec-
droite qui vous semble suspecte, malgré sa mobilité. tomie totale à 40 ans pour cancer de l'endomètre
Quelle(s) est (sont) votre (vos) option(s) de bilan d'ex- et que son frère de 42 ans est, quant à lui, pris en
tension en première intention ? charge par votre confrère le Pr Bladder pour une
A dosage du CA 15-3 tumeur de la vessie.
B IRM cérébrale, TDM thoraco-abdomino-pelvienne Que vous évoque en priorité cette histoire familiale ?
et scintigraphie osseuse A une mutation BRCA1
C radiographie du thorax et scintigraphie osseuse B une tendance au tabagisme
D TDM thoraco-abdomino-pelvienne et scintigraphie C un syndrome de Klinefelter
osseuse D un syndrome de Krukenberg
E pas de bilan d'extension E un syndrome de Lynch
Question 11
De quoi Pamela A. va-t-elle bénéficier dans le cadre
de la prise en charge générale de son cancer ? Cas clinique 26 ++
A ALD 30 Madame Debbie H. est âgée de 58 ans et est méno-
B consultation d'oncogénétique pausée depuis 2 ans. Elle mesure 1,68 m et pèse
C dispositif d'annonce 87 kg. Elle vous consulte pour un nodule palpable,
D présentation de son cas en RCP légèrement sensible, localisé au niveau du quadrant
E secret médical vis-à-vis de son médecin traitant inféro-externe du sein gauche.
Cas cliniques
Dans les antécédents familiaux de Debbie H., vous D ses antécédents familiaux de cancer du sein
relevez un cancer du sein unilatéral chez sa mère à E son obésité
l'âge de 60 ans, et bilatéral chez sa tante maternelle
Question 2
à l'âge de 41 ans. Sur le plan personnel, l'interroga-
L'examen clinique révèle une légère fossette cuta-
toire révèle des premières règles à l'âge de 10 ans et
née et, à la palpation, un nodule arrondi de 2 cm de
demi, une seule grossesse à l'âge de 37 ans et une
diamètre légèrement douloureux. On retrouve une
prise de 8 kg en péri-ménopause. Debbie H. signale
adénopathie dure au niveau de l'aire ganglionnaire
également une phlébite authentifiée après son accou-
axillaire gauche.
chement. La dernière mammographie, réalisée il y a
Quel(s) est (sont) le (les) signe(s) évocateur(s) d'une
un an dans le cadre de la campagne de dépistage
lésion maligne ?
organisé, était normale.
A l'adénopathie axillaire dure
Question 1 B la découverte de la lésion à l'autopalpation
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) C la fossette cutanée
correspond(ent) à un (des) facteur(s) de risque de can- D la présence de contours arrondis
cer mammaire chez cette patiente ? E le caractère sensible de la lésion
A l'âge de sa première grossesse Question 3
B le cumul de plusieurs facteurs de risque Les clichés en incidence oblique de la mammographie
C le fait d'être ménopausée tardivement sont présentés ci-dessous.
44
Énoncés
A elle est destinée aux femmes âgées de 50 à 74 ans
C mastite carcinomateuse B elle est à réaliser tous les 3 ans, comme le frottis
D mastite infectieuse cervico-vaginal
E état fibro-kystique C seule une incidence est obligatoire
Question 10 D la densité mammaire est classée ainsi : 1 = très
Quatre ans plus tard, la fille de Madame Debbie H. dense, 4 = très graisseux 45
vous consulte pour un carcinome canalaire infiltrant. E un résultat ACR 4 ou 5 nécessite un prélèvement
Que lui proposez-vous ? anatomopathologique
A une consultation d'annonce
Question 4
B une consultation d'oncogénétique
Comment orientez-vous votre interrogatoire à la
C une recherche de mutation chez sa fille de 17 ans
recherche de facteurs de risque de cancer du sein ?
D un examen gynécologique
A l'absence de mutation délétère identifiée de
E un soutien psychologique
BRCA1 ou BRCA2 chez la sœur de Madame L.
B les antécédents familiaux de cancer du sein, même
en l'absence de mutation identifiée
Cas clinique 27 + C les hyperplasies canalaires atypiques, les cicatrices
Vous êtes médecin traitant et vous voyez ce jour radiaires et les papillomes
Madame L., 50 ans, G4P3 (une fausse couche), sans D les situations d'hypo-œstrogénie : puberté pré-
antécédent particulier, dans le cadre de son suivi coce, ménopause tardive, nulliparité, l'absence
gynécologique annuel. Elle n'est pas ménopausée, d'allaitement…
sous contraception œstroprogestative, porte des sou- E un niveau socio-économique bas
tiens-gorge de taille 100 D et a un indice de masse Question 5
corporelle à 30. Son dernier frottis date de 2 ans. Elle Vous revoyez Madame L. 15 jours plus tard qui vous
s'inquiète d'avoir reçu une convocation pour réali- ramène ses clichés de mammographie. Elle présente
ser une mammographie dans le cadre du dépistage au niveau du sein droit une tumeur a priori bénigne
ADECA. du quadrant inféro-externe de 20 mm.
Question 1 À propos des tumeurs bénignes du sein, quelle(s) est
Elle vous questionne donc sur le cancer du sein. (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
À propos du cancer du sein, quelle(s) est (sont) la (les) A la mastopathie fibro-kystique est la maladie
proposition(s) exacte(s) ? bénigne du sein la plus fréquente
A le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez B les fibroadénomes touchent principalement les
la femme femmes de 25 à 30 ans
B en 2012, le nombre de nouveaux cas était estimé à C la découverte d'un fibroadénome impose systéma-
80 000 tiquement un prélèvement anatomopathologique
C l'âge médian de diagnostic est de 51 ans D la découverte d'un fibroadénome impose systéma-
D le taux de survie à 5 ans est de près de 90 % tiquement une exérèse chirurgicale
Cas cliniques
E la sémiologie radiologique des mastopathies asso- B on peut proposer à cette patiente un stérilet au
cie : des masses kystiques, un placard de fibrose et cuivre
des microcalcifications C le DIU au cuivre est efficace 15 jours après la
pose
Question 6
D la stérilisation féminine par voie hystéroscopique
La mammographie du sein gauche retrouvait par
(Essure®) est une bonne alternative chez cette
contre une lésion du quadrant supéro-externe de
patiente
7 mm. Une biopsie a été réalisée, correspondant à un
E cinq ans après son cancer du sein, cette patiente
carcinome canalaire infiltrant (CCI) de grade 2 (3, 2, 1),
pourra bénéficier d'un traitement hormonal de la
RE 100 %, RP 90 %, HER2 non fait ; associé à du car-
ménopause
cinome canalaire in situ (CCIS) de grade intermédiaire.
Concernant les CCIS, quelle(s) est (sont) la (les) Question 11
proposition(s) exacte(s) ? Elle se demande maintenant si « des cellules cancé-
A il s'agit de carcinome ne comportant pas d'enva- reuses n'ont pas pu aller se balader partout dans son
hissement de la membrane basale corps ».
B ils représentent 15 % des cancers du sein Concernant le bilan d'extension, quelle(s) est (sont) la
C ils se traduisent le plus souvent radiologiquement (les) proposition(s) exacte(s) ?
sous forme de microcalcifications A il est recommandé de réaliser un bilan d'extension
D le risque métastatique est nul pour toutes les patientes présentant une tumeur
E ils ne nécessitent pas de bilan d'extension classée T2, T3 et T4
B il est recommandé de réaliser un bilan d'extension
Question 7
pour toutes les patientes présentant une tumeur
Concernant le traitement chirurgical des CCIS,
classée T3, T4 ou N + clinique
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
C le bilan d'extension recommandé peut être une
A il s'agit le plus souvent de lésions palpables donc
radiographie pulmonaire associée à une échogra-
ne nécessitant pas de repérage radiologique
phie abdominale et une scintigraphie osseuse
B une mastectomie peut être proposée en cas de
D le bilan d'extension recommandé peut être un
CCIS étendu
scanner thoraco-abdomino-pelvien et une tomo-
C il n'existe pas d'indication de ganglion sentinelle
graphie par émission de positrons au 18-fluoro-
pour les CCIS
46 déoxyglucose (TEP-TDM)
D la radiothérapie est systématique après un traite-
E il est nécessaire de réaliser un bilan d'extension en
ment conservateur
post-chirurgie pour les envahissements ganglion-
E les marges de tissu sain doivent être au moins de
naires macrométastatiques confirmés
2 mm
Question 12
Question 8
Concernant HER2, quelle(s) est (sont) la (les)
On est donc face à un CCI de 7 mm de grade 2 (3, 2,
proposition(s) exacte(s) ?
1), RE 100 %, RP 90 %, HER2 score 1 + ; associé à du
A il s'agit d'un oncogène faisant partie de la famille
CCIS de grade intermédiaire. L'échographie axillaire
des gènes SRC
réalisée dans le même temps que la mammographie
B il code un récepteur membranaire de type tyrosine
ne retrouve pas d'adénopathies suspectes.
kinase
Quel est le stade TNM de cette patiente ?
C son amplification est un facteur de bon pronostic
A T1aN0Mx
D un score à 1 croix est considéré comme un résultat
B T1aN0M0
négatif
C T1bN0Mx
E le trastuzumab est un anticorps monoclonal qui
D T1cN0Mx
bloque spécifiquement les récepteurs HER2
E T2N0M0
Question 9 Question 13
Quels sont les facteurs de mauvais pronostic du can- Vous la confiez au Dr M., chirurgien sénologue, pour
cer du sein ? la réalisation de son traitement chirurgical.
A âge < 35 ans À propos du traitement chirurgical, quelle(s) est (sont)
B taille de la tumeur > 10 mm la (les) proposition(s) exacte(s) ?
C envahissement ganglionnaire A en cas de foyer de microcalcifications, il est néces-
D grade SBR 3, Ki67 élevés et RH négatifs saire de réaliser un repérage préopératoire (harpon
E HER2 négatif ou repère cutané)
B l'examen extemporané permet de connaître la
Question 10 taille de la tumeur, le caractère in sano de l'exérèse
Elle s'inquiète, à juste titre, par rapport à sa contra- C en cas de foyer de microcalcifications, on réalise
ception hormonale. une radiographie de la pièce opératoire
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? D on réalise une lymphadénectomie sélective du
A seules les contraceptions contenant des œstro- ganglion sentinelle pour les tumeurs unifocales de
gènes sont contre-indiquées moins de 5 cm
Cas cliniques 1
E une mastectomie peut être indiquée en cas d'im- D le FCV est à réaliser après le toucher vaginal
possibilité de réaliser une radiothérapie E le FCV doit concerner l'exocol et l'endocol
Question 14 Question 2
Vous revoyez votre patiente 1 semaine après son trai- Vous recherchez des facteurs de risque de cancer du
tement chirurgical qui a consisté en une zonectomie col chez Madame D.
après repérage par harpon et technique du ganglion Citez les facteurs de risque du cancer du col.
sentinelle à gauche. Elle va plutôt bien, la cicatrisation A le HPV (Human Papillomavirus), principalement le
est en cours. Elle vous dit que son dossier doit être 6 et le 18
présenté en RCP pour discuter des traitements com- B le tabac
plémentaires dont elle bénéficiera. C l'âge précoce du premier rapport, les partenaires
À propos des traitements adjuvants, quelle(s) est multiples
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? D l'absence d'utilisation de contraceptifs oraux
A la radiothérapie est systématique après tout traite- E une population défavorisée
ment chirurgical, qu'il soit conservateur ou radical
Question 3
B la chimiothérapie néoadjuvante peut permettre de
À propos des HPV, quelle(s) est (sont) la (les)
réduire la taille tumorale et ainsi de réaliser une
proposition(s) exacte(s) ?
conservation mammaire
A il s'agit de virus à ARN
C la chimiothérapie de référence associe une anthra-
B ils sont associés aux cancers du col, de la vulve, de
cycline et du docétaxel
l'anus, voire de la sphère ORL
D l'hormonothérapie est prescrite, en cas de récep-
C les types 16 et 18 sont les plus rares
teurs hormonaux positifs, pour une durée de 3 ans
D l'infection à HPV est sexuellement transmissible
E l'hormonothérapie prescrite chez une patiente non
E les infections à HPV peuvent guérir seules en 1 à
ménopausée est un anti-aromatase (létrozole)
2 ans
Énoncés
Question 15
Question 4
Vous revoyez la patiente 6 mois après la fin de sa
Vous recevez les résultats du frottis de Madame D. et
radiothérapie. Elle est actuellement sous tamoxifène,
vous constatez un ASC-US.
plutôt bien toléré.
À propos du système Bethesda 2001, quelle(s) est
Comment organisez-vous son suivi à long terme ?
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? 47
A le suivi est uniquement réalisé par le médecin
A en cas de frottis ASC-US, on peut réaliser d'emblée
traitant
une colposcopie
B l'examen clinique est à réaliser de façon bi-annuel
B un résultat ASC-H impose un contrôle par frottis à
pendant 5 ans puis une fois par an à vie
6 mois
C une mammographie couplée à une échographie
C une colposcopie immédiate peut être réalisée
mammaire de façon annuelle
devant un frottis LSIL
D une échographie pelvienne annuelle est nécessaire
D un frottis HSIL impose une colposcopie d'emblée
pour les traitements par anti-aromatase
E les anomalies glandulaires au frottis peuvent être
E surveillance de la tolérance de l'hormonothérapie :
négligées et le FCV peut être contrôlé à 3 ans
bouffées de chaleur, arthralgies
Question 5
Vous avez également réalisé d'emblée une recherche
Cas clinique 28 ++ HPV qui revient positive pour les HPV 16 et 18. Vous
Vous êtes gynécologue et voyez ce jour en consulta- décidez devant l'association de ces deux résultats de
tion Madame D., agréable patiente de 47 ans G4P2, reconvoquer votre patiente pour une colposcopie.
dans le cadre d'une consultation gynécologique À propos de la colposcopie, quelle(s) est (sont) la (les)
standard. Elle est fumeuse et a bénéficié d'une sté- proposition(s) exacte(s) ?
rilisation tubaire lors d'une césarienne. Son dernier A elle n'est pas indispensable pour diriger les biopsies
frottis date de sa dernière grossesse, c'est-à-dire B elle permet de préciser la topographie des lésions
15 ans. C l'examen a lieu sous anesthésie locale, au bloc
opératoire
Question 1
D l'examen a lieu en trois temps : sans préparation, à
Vous réalisez un examen gynécologique ainsi que le
l'acide acétique puis au Lugol
frottis du col.
E ce n'est qu'après les trois temps que les biopsies
Quelles sont les affirmations vraies à propos du frottis
sont pratiquées
cervico-vaginal ?
A le frottis est à réaliser à partir de 20 ans et jusqu'à Question 6
65 ans chez les femmes qui ont eu des rapports Madame D. vous fait part de ses recherches sur
B le FCV est à réaliser tous les 2 ans, comme la mam- internet et sur les néoplasies intraépithéliales cervi-
mographie de dépistage cales (CIN) et donc de ses questions. Concernant les
C le FCV est à réaliser tous les 3 ans après deux FCV néoplasies intraépithéliales cervicales (CIN), quelle(s)
normaux à 6 mois d'intervalle est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
Cas cliniques
Énoncés
tuel. Il s'agit d'une patiente fumeuse à raison de vous appelle car Madame H., que vous n'avez pas
15 paquets-années. Elle présente une obésité avec revue depuis, se présente aux urgences pour un
un IMC à 33. Elle est actuellement traitée par met- tableau de douleurs lombaires associées à des nau-
formine pour un diabète de type 2. La dernière sées et vomissements depuis cette nuit. Elle men-
HbA1c du mois dernier était à 7,8 %. Elle n'a pas tionne également des métrorragies de sang rouge de
vu l'endocrinologue depuis 2 ans. Elle ne présente faible abondance après les rapports sexuels depuis 49
pas d'autres antécédents médico-chirurgicaux 4 mois.
notables. Son traitement est composé de metformine et d'une
Sur le plan gynécologique et obstétrical, cette contraception microprogestative par Antigone Gé®
patiente est réglée depuis l'âge de 11 ans. Elle est (désogestrel).
G5P4 et actuellement sous contraception orale La patiente est apyrétique, la PA est à 123/68 mm Hg
(Leeloo Gé® : lévonorgestrel-éthynilestradiol). Ses et la FC à 93. L'EVA est estimée à 9/10 et la patiente
dernières règles remontent à la semaine passée. ne tient pas en place.
Le dernier frottis cervico-utérin réalisé il y a 2 ans L'abdomen est souple et dépressible à la palpation, le
retrouvait une lésion intraépithéliale de bas grade transit est normal. Les orifices herniaires sont libres. Il
(LIEBG = LSIL) pour laquelle elle ne s'est pas fait existe un choc lombaire franc à droite.
suivre. Le toucher vaginal retrouve un col induré, irrégulier, et
Elle vous dit ne pas avoir de partenaire fixe depuis la votre doigtier est taché de sang rouge. Le cul-de-sac
séparation avec son ex-mari il y a 5 ans. Elle n'exclut vaginal gauche semble empâté.
pas d'avoir d'autres enfants à l'avenir. Elle ne présente Quelle est l'étiologie la plus probable de ces métror-
aucune plainte fonctionnelle. ragies ?
A métrorragies sous progestatif
Question 1 B cancer de l'endomètre
Lors de la consultation, l'examen clinique que vous C cancer du col de l'utérus
pratiquez est sans particularité. Vous réalisez égale- D fausse couche débutante
ment un frottis cervico-utérin de dépistage. E GEU
Madame H. vous demande à la fin de la consultation
de lui renouveler son ordonnance de pilule pour 1 an. Question 4
²UBOU TPO HZOÏDPMPHVF EFQVJT MPOHUFNQT
DPNNFOU Quel bilan préconisez-vous ?
accédez-vous à sa requête ? A SCC
A vous acceptez B β-hCG
B vous lui prescrivez également un bilan biologique C glycémie
avec une exploration des anomalies lipidiques D bilan hépatique
C vous refusez et lui proposez une pilule E BU
microprogestative
D vous lui proposez un autre moyen de contracep- Question 5
tion à plus long terme compte tenu du défaut L'examen au spéculum retrouve une lésion bourgeon-
d'observance possible chez cette patiente nante d'au moins 4 cm sans atteinte vaginale.
Cas cliniques
Que faite vous ? Quel est le stade minimum de la d'un carcinome épidermoïde du col de l'utérus chez
lésion ? Madame H. Vous lui annoncez le diagnostic et envisa-
A biopsie du col gez de réaliser un bilan d'extension avant de discuter
B colposcopie de la prise en charge avec elle.
C stade IA2 Quels examens demandez-vous ?
D stade IB1 A IRM pelvienne
E stade IB2 B TDM abdomino-pelvienne
C scintigraphie osseuse
Question 6
D TEP-TDM
Vous récupérez le bilan de votre patiente, qui est légè-
E échographie hépatique
rement améliorée par les AINS et antispasmodiques :
Hb = 11,9 g/dl ; VGM = 79 ; leucocytes = 8 G/l ; pla- Question 10
quettes = 270 G/l ; TP = 92 % ; TCA = 1,02 ; glycémie = Concernant la figure ci-dessous :
0,86 g/l ; β-hCG : négatif ; Na+ = 141 mmol/l ; K+ =
3,1 mmol/l ; ASAT = 28 UI/l (N < 20) ; ALAT = 32 UI/l (N
< 23) ; gamma-GT = 36 UI/l (N < 60) ; créatininémie =
225 μmol/l (N < 110) ; urée = 12 mmol/l (N < 7) ; BU :
sang +, protéines +, leucocytes –, nitrites –. L'ECG
réalisé de principe est strictement normal.
Vous évoquez donc ici le diagnostic de colique
néphrétique.
Quel examen d'imagerie demandez-vous en urgence ?
Avec quelle(s) précaution(s) ?
A échographie rénale
B TDM abdomino-pelvienne
C IRM pelvienne
D aucune précaution
E arrêt de la metformine
Question 7
50 L'échographie rénale que vous avez réalisée montre
une dilatation pyélocalicielle bilatérale sans objectiver
de calcul. Les bas uretères sont mal visualisés compte
tenu d'un pelvis d'aspect largement remanié sans Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
que le radiologue n'ait pu conclure sur cet aspect A il s'agit d'une IRM en coupe coronale séquence T1
iconographique. B il s'agit d'une IRM en coupe sagittale en séquence
Quelle mesure thérapeutique urgente doit être mise T1 gadolinium
en place ? C il s'agit d'une IRM en coupe sagittale en séquence T2
A correction de l'hypokaliémie D il s'agit d'une TEP-TDM en coupe sagittale
B mise en route d'une insulinothérapie IVSE E il s'agit d'une TDM-TAP injectée
C antibioprophylaxie en prévention d'une pyélo-
néphrite obstructive Question 11
D dérivation des urines par sonde urétérale ou L'IRM montre une lésion hétérogène de 5 cm de grand
néphrostomie percutanée axe avec une atteinte paramétriale gauche. Le toucher
E transfusion de deux CGR rectal retrouve une atteinte du paramètre gauche mais
le rectum est bien libre. Le bilan d'extension clinique et
Question 8 paraclinique est négatif chez cette patiente.
L'évolution de la patiente est rapidement favorable Quel est le stade FIGO de cette tumeur ?
après une prise en charge adéquate. Vous souhaitez A stade IA1
profiter de son hospitalisation pour faire le point sur B stade IB2
le plan gynécologique et notamment sur ces épisodes C stade IIIA
de métrorragies. Dans ce contexte, vous suspectez D stade IIIB
fortement un cancer du col utérin. E stade IV
Quels en sont les facteurs de risque ?
A rapports sexuels précoces Question 12
B hyperœstrogénie relative Madame H. est inquiète et vous interroge sur les
C tabagisme suites de la prise en charge.
D multiparité Quelle prise en charge thérapeutique lui proposez-
E exposition prolongée aux HPV oncogènes vous ?
A traitement chirurgical seul (colpohystérectomie
Question 9 élargie)
Malheureusement, comme vous le suspectiez, le B chimiothérapie néoadjuvante puis chirurgie en
résultat de l'anatomopathologie confirme l'existence second temps
Cas cliniques 1
C radiothérapie exclusive Elle a quatre enfants de trois pères différents ; elle a
D radio-chimiothérapie concomitante eu son premier fils à 17 ans et n'a pas vu de gyné-
E chimiothérapie et hormonothérapie pendant 5 ans cologue depuis la naissance de sa dernière fille. Mais
elle s'est fait prescrire par son médecin traitant une
Question 13 mammographie, qu'elle n'a toujours pas réalisée, et
Alors que tout se passait bien jusque-là, Madame H. un traitement substitutif de la ménopause, qu'elle
se présente à vous 10 jours après sa dernière cure prend maintenant depuis 10 ans, car il l'aide à bien
de chimiothérapie car elle ne se sent pas bien et se dormir.
sent plus fatiguée que d'habitude. Elle présente une
dyspnée à l'effort d'apparition progressive et vous Question 1
signale une prise de poids récente. Sa fréquence car- L'interrogatoire vous indique des saignements faibles
diaque est à 120 bpm et sa tension à 118/72 mm Hg. mais récidivants depuis plusieurs mois survenant sou-
Elle est fébrile à 38,7 °C. La saturation est à 98 % vent après un rapport sexuel.
en air ambiant. Cliniquement, il n'y a pas de signe Quelle est votre hypothèse diagnostique privilégiée ?
de lutte. A fibrome
Quel bilan préconisez-vous ? B polype
A NFS C cancer de l'endomètre
B procalcitonine D cancer du col
C hémocultures E ectropion
D ECG
E D-dimères Question 2
La patiente apporte un vieux dossier dans lequel vous
Question 14 retrouvez les résultats d'un frottis cervical indiquant
Le bilan résultat du bilan montre : Hb = 8,7 g/dl, un frottis HSIL (High Grade Squamous Lesion) effec-
Énoncés
leucocytes = 910/mm3 dont 430/mm3 PNN, pla- tué il y a 10 ans. L'absence de frottis depuis plus de
quettes = 25 000, CRP = 160, CA 125 augmenté. 10 ans vous paraît anormale.
L'ECG montre une tachycardie sinusale sans autre Quelle (s) est (sont) la (les) recommandation(s)
signe associé. La radiographie de thorax montre un actuelle(s) en France en matière de dépistage du can-
épanchement pleural bilatéral de légère abondance. cer du col ?
L'écho-Doppler des membres inférieurs est normal. A le dépistage commence à 25 ans 51
Quelle est votre prise en charge ? B le dépistage est proposé dès le premier rapport
A isolement sexuel
B antibiothérapie probabiliste à large spectre de type C le frottis peut être substitué par une colposcopie
pipéracilline-tazobactam (Tazocilline®) et amika- D le frottis sera répété tous les 3 ans, après deux frot-
cine (Amiklin®) tis normaux à 1 an d'intervalle
C anticoagulation préventive E le dépistage est proposé jusqu'à 80 ans
D injection de G-CSF
E corticothérapie systémique 1 mg/kg Question 3
Si vous aviez été le destinataire des résultats de ce
Question 15 frottis, qu'auriez-vous fait ?
Madame H décèdera finalement quelques mois plus A une conisation
tard malgré votre prise en charge. Sa fille s'interroge B une échographie pelvienne
sur son risque personnel de cancer du col et vous C un typage du virus HPV
demande quelle surveillance mettre en place. Que lui D une biopsie guidée par la colposcopie
répondez-vous ? E un frottis de contrôle
A FCU tous les ans
B surveillance standard par FCU tous les 3 ans
Question 4
C enquête génétique
Parmi les documents que vous remet la patiente, il
D colposcopie ± biopsie tous les ans
apparaît qu'elle avait bénéficié d'une colposcopie avec
E conisation à titre prophylactique
une biopsie d'une anomalie de la lèvre antérieure du
col. Le compte rendu de l'examen histologique de la
biopsie indique qu'il s'agissait d'une dysplasie de haut
Cas clinique 30 ++ grade (CIN 3).
Une patiente de 50 ans consulte pour des métror- Quel(s) aurai(en)t dû être le(s) traitement(s) de cette
ragies évoluant depuis quelques semaines. Elle dysplasie sévère (CIN 3) ?
vous parle de sa mère décédée d'un cancer du A une conisation à l'anse électrique
sein et d'une sœur chez qui a été diagnostiqué B une hystérectomie
un cancer du sein à 45 ans, mais elle ne déclare C une hystérectomie avec annexectomie
aucun antécédent personnel particulier hormis D une destruction au laser des anomalies
une consommation régulière de tabac, estimée à E une simple surveillance avec nouvelle colposcopie
30 paquets-années. 6 mois plus tard
Cas cliniques
Énoncés
En présence d'un frottis ASC-US, quelles sont les Les biopsies réalisées sous colposcope mettent en évi-
options thérapeutiques ? dence des lésions histologiques malpighiennes de haut
A une conisation à l'anse grade de type CIN 3 (Cervical Intraepithelial Neoplasia).
B une surveillance clinique Votre examen clinique est sans particularité.
C une biopsie cervicale sous anesthésie générale Que proposez-vous ?
D une colposcopie avec biopsies dirigées 53
A une hystérectomie
E un contrôle cytologique à 6 mois B un dosage du marqueur sanguin SCC
F une recherche d'HPV à haut risque C un contrôle clinique à 6 mois
Question 2 D une surveillance à 3–6 mois avec nouveau FCU
Quel est le risque de lésion de type CIN 2–3 devant un ± colposcopie
frottis initialement ASC-US ? E une conisation à l'anse
A 5 à 15 % Question 8
B 20 à 30 % Finalement, malgré vos conseils, Madame C. est per-
C < 1 % due de vue pendant 2 ans. Elle revient vous voir car
D > 50 % depuis quelques semaines elle est gênée par des sai-
E aucune de ces propositions gnements pendant les rapports sexuels. Elle souhaite
Question 3 une contraception pour arrêter ces saignements.
Quelle est la cellule impliquée en cas de FCU de type Quelle complication redoutez-vous ?
ASC-US ? A adénocarcinome malpighien
A la cellule glandulaire cervicale B adénocarcinome endométrial
B la cellule malpighienne cervicale C une récidive de CIN 3
C la cellule transitionnelle cervicale D carcinome in situ
D la cellule de la membrane basale E aucune de ces propositions
E aucune de ces propositions Question 9
Question 4 Vous suspectez un cancer du col envahissant le vagin.
Vous apprenez que la patiente a consulté aux Au spéculum, vous percevez une tumeur bourgeon-
urgences il y a 10 jours pour une infection génitale nante du col de 2 cm, saignant au contact et légère-
haute non compliquée. ment nécrotique.
Quels peuvent être les symptômes associés à ce diag- En cas de cancer du col HPV-induit, quelle est la forme
nostic ? histologique la plus fréquente ?
A leucorrhées malodorantes A adénocarcinome
B dysménorrhée B carcinome épidermoïde
C brûlures mictionnelles C carcinosarcome
D pertes sanglantes D carcinome à petites cellules
E fièvre E carcinome à grandes cellules
Cas cliniques
Énoncés
RCP
Elle se plaint d'un prurit du sein droit et plus précisé-
B une deuxième opération doit être program-
ment au niveau du mamelon.
mée pour réaliser une hystérectomie totale, une
annexectomie controlatérale, des curages pelvien,
lombo-aortique et inguinaux
C une chimiothérapie première doit être réalisée pour 55
éviter l'essaimage lors de la reprise chirurgicale
D la résection de la tumeur étant totale, il n'est
pas nécessaire de réaliser d'autre traitement ; la
patiente est guérie
E une deuxième opération doit être programmée
pour réaliser une hystérectomie totale, une
annexectomie controlatérale, des curages pelvien
et lombo-aortique, une omentectomie infragas-
trique, une appendicectomie ainsi que des biopsies
péritonéales
Question 9
La patiente a été réopérée. Vous la revoyez en consul-
tation postopératoire. Elle est accompagnée de sa
fille, étudiante en médecine, qui souhaite vous poser Quels sont les diagnostics les plus probables ?
plusieurs questions. Elle est inquiète pour sa mère et A un eczéma de la plaque aréolo-mamelonnaire
pour elle-même. B une réaction allergique à la chimiothérapie
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? C une maladie de Paget
A la fille de la patiente doit faire de toute urgence un D un carcinome mammaire
bilan oncogénétique E une érosion due aux frottements avec les vêtements
B une chimiothérapie adjuvante n'est pas nécessaire
Question 13
C le tabac est un facteur de risque du cancer de
Vous supposez qu'il s'agit d'une maladie de Paget du
l'ovaire
sein.
D chez une femme, le cancer de l'ovaire est plus fré-
Quelle est la prise en charge adaptée ?
quent que le cancer du sein
A un traitement par corticoïdes
E l'incidence du cancer de l'ovaire est de 8 pour
B une biopsie cutanée de la plaque aréolo-
100 000 femmes par an
mamelonnaire
Question 10 C une cytoponction
Quelles sont les indications de recherche oncogéné- D une macrobiopsie
tique ? E une exérèse complète de la lésion
Cas cliniques
Énoncés
Question 11
Concernant le dépistage du streptocoque B chez
cette patiente, vous optez pour :
A un dépistage du portage vaginal entre 24 et 28 SA
B un dépistage du portage vaginal entre 38 et 41 SA 57
C une recherche de l'ADN du streptocoque B à l'en-
trée en travail de la patiente A il s'agit d'une présentation OIDP
D un traitement maternel en cas de positivité du pré- B il s'agit d'une présentation OIGA
lèvement vaginal C il s'agit d'une présentation du sommet
E l'absence de traitement d'un portage maternel du D il s'agit d'une présentation au bon pronostic
streptocoque B mécanique
E la rotation de la tête se fera de 45° en arrière pour
Question 12
le dégagement de la tête fœtale
La patiente arrive le 28 avril sans avoir accouché.
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A le dépassement de terme affecte 20 % des
grossesses Cas clinique 34 ++
B on ne peut être sûr du terme chez cette patiente Une femme de 30 ans, ayant eu trois enfants à terme
car elle a des cycles irréguliers avec des accouchements non compliqués, consulte
C vous déclenchez immédiatement l'accouchement pour le début d'une nouvelle grossesse le 23 mars.
dans tous les cas La date des dernières règles est le 12 février. Elle a
D vous pouvez surveiller le bien-être fœtal par toujours eu des cycles réguliers d'environ 28 jours et
enregistrement du rythme cardiaque fœtal et l'échographie de datation que vous pratiquez est en
échographie toutes les 48 heures jusqu'à 41 SA accord avec la date de l'ovulation. Elle bénéficie d'un
+ 6 jours traitement anticoagulant au long cours par antivita-
E vous pouvez surveiller le bien-être fœtal par enre- mine K pour antécédent d'embolie pulmonaire sans
gistrement du rythme cardiaque fœtal et échogra- causes favorisantes retrouvées. Ce traitement a été
phie toutes les 48 heures jusqu'à 42 SA + 6 jours immédiatement remplacé par une HBPM à dose cura-
tive par son cardiologue dès le diagnostic de gros-
Question 13
sesse connu. Son IMC est de 22.
Le 2 mai à 19 h 00, la patiente consulte pour des
contractions utérines et un écoulement liquidien. Les Question 1
bruits du cœur sont perçus, la présentation est lon- Concernant les dates clefs de sa grossesse, quelle(s)
gitudinale, céphalique, le col est mi-long, perméable est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
au doigt, le segment inférieur est amplié, la tête est A la date présumée de début de grossesse est le
engagée. Il y a une rupture prématurée des mem- 26 février
branes. Comment affirmeriez-vous que cette femme B la date présumée de début de grossesse est le
est en travail ? 5 mars
Cas cliniques
58 Question 9
Le 10 septembre, la hauteur utérine devrait être :
A 24 cm
B 26 cm
C 29 cm
D 32 cm
E 34 cm
Question 10
Le 23 septembre, la patiente consulte pour quelques
contractions utérines. L'échographie effectuée en
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? urgence est la suivante.
A la clarté nucale est normale
B la clarté nucale est anormale
C la clarté nucale est mesurée correctement
D la clarté nucale n'est pas mesurée correctement
E la clarté nucale peut indiquer un risque d'anomalie
autre que la seule trisomie 21
Question 5
Que proposeriez-vous si la clarté nucale de l'embryon
à 12 SA avait été mesurée à 4,3 mm ?
A contrôle échographique 8 jours plus tard
B amniocentèse
C biopsie de trophoblaste
D détermination des taux de la PAPP-A et de la frac-
tion libre de la β-hCG
E avis auprès d'un centre pluridisciplinaire de dia-
gnostic prénatal (CPDPN) Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
Question 6
Quels sont les examens obligatoires au 6e mois ? A le col est normal
A NFS B le col est trop court pour l'âge gestationnel
B ferritine C le col est fermé
Cas cliniques 1
D le col a un orifice interne ouvert Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
E l'état du col utérin indique un risque élevé d'ac- A c'est un ECG fœtal
couchement prématuré B c'est un tracé anormal car peu réactif
C c'est un tracé normal car réactif et oscillant
Question 11
D le rythme cardiaque fœtal pendant le travail ne
Vous revoyez cette patiente le 5 octobre et la gros-
peut être interprété qu'en fonction des contrac-
sesse se déroule normalement. Quelles sont vos pres-
tions utérines
criptions à ce terme ?
E le rythme cardiaque durant le travail va évoluer
A échographie obstétricale
physiologiquement et progressivement vers une
B radiopelvimétrie
tachycardie jusqu'à la naissance
C protéinurie et glycosurie
D consultation d'anesthésie Question 15
E enregistrement hebdomadaire du rythme car- La douleur des contractions utérines est jugée très
diaque fœtal jusqu'au terme importante chez cette femme lors de son accouche-
ment et elle vous demande de la soulager. Elle est à
Question 12 3 cm de dilatation. Vous pourriez proposer :
Lors de votre examen le 12 octobre, vous mettez en A une analgésie péridurale
évidence une présentation du siège. B le protoxyde d'azote
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? C l'administration de morphiniques de type nalbu-
A cette présentation du siège à ce terme est courante phine (Nubain®)
B cette présentation à ce terme est définitive D l'administration de morphine sous-cutanée
C vous programmez une césarienne lors de cette E l'association paracétamol-codéine
consultation
D vous proposez à la patiente une version par
Énoncés
manœuvre externe
E la présentation du siège est parfois associée à une
Cas clinique 35 ++
malformation utérine ou fœtale Madame R., 25 ans, G2P0 (deux fausses couches
spontanées en 2011 et 2012), consulte car elle vou-
Question 13 drait une contraception d'urgence suite à un rapport
La patiente entre en travail à 39 SA. Concernant les sexuel non protégé la veille avec son petit ami. Elle ne
modifications cervicales chez cette patiente durant présente pas d'antécédent médical particulier. Elle ne 59
le travail, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) fume pas. Sa PA est mesurée à 120/60 mm Hg.
exacte(s) ?
A elles débuteront vraisemblablement par un efface- Question 1
ment du col suivi de la dilatation Quelles sont les différentes possibilités pour une
B elles débuteront vraisemblablement par une dilata- contraception du lendemain chez Madame R. ?
tion concomitante de l'effacement du col A lévonorgestrel dans les 72 heures maximum
C l'engagement de la présentation est concomitant B DIU aux progestatifs dans les 5 jours
de la dilatation C DIU au cuivre dans les 5 jours
D l'engagement de la présentation est indépendant D ulipristal d'acétate dans les 72 heures maximum
de la dilatation E absence de contraception d'urgence si rapport
E la dilatation cervicale s'accompagne toujours non protégé avec oubli de pilule il y a 3 jours
d'une rupture de la poche des eaux Question 2
Question 14 Quelles sont les précautions d'emploi du lévonorges-
Voici le rythme cardiaque fœtal enregistré durant le trel ?
travail de la patiente à 4 cm de dilatation. A hypersensibilité au produit
B le poids n'est pas un facteur prédictif du succès du
lévonorgestrel
C il est déconseillé en cas d'antécédent de salpingite
ou de GEU
D il est contre-indiqué en cas de diabète
E il peut être inducteur enzymatique
Question 3
Finalement, la patiente ne prend pas de traitement et
débute une grossesse qu'elle souhaite conserver. Vous
lui rappelez les règles hygiéno-diététiques du début de
grossesse et la mettez en garde vis-à-vis des toxiques.
À propos du syndrome d'alcoolisation fœtale, on peut
observer classiquement :
A une dysmorphie faciale
B un retard de croissance
Cas cliniques
Énoncés
Les suites de couche se passent bien. La patiente est t "OUÏDÏEFOUT DIJSVSHJDBVYø BQQFOEJDFDUPNJF QBS
inquiète car elle ressent des contractions depuis l'ac- cœlioscopie à l'âge de 15 ans sans complication.
couchement, surtout lorsqu'elle allaite son enfant. t "OUÏDÏEFOUTHZOÏDPMPHJRVFTø
À quel phénomène rattachez-vous cette symptoma- – premières règles à l'âge de 13 ans ;
tologie ? – cycles réguliers de 27 à 29 jours, règles nor-
A une endométrite males durant 5 jours. 61
B un engorgement mammaire Il n'y a pas d'antécédent familial particulier en dehors
C des tranchées (physiologiques) d'une trisomie 21 chez une cousine germaine du côté
D une bouffée délirante aiguë de sa mère. Elle ne fume pas.
E une crise d'angoisse Taille : 1,65 m, poids : 52 kg ; PA : 120/60 mm Hg ;
Question 12 groupe sanguin O rhésus négatif.
La patiente sort avec son bébé au 3e jour L'examen clinique est sans particularité.
d'hospitalisation. Question 1
Elle consulte aux urgences 8 jours plus tard pour des Quel(s) examen(s) gynécologique(s) proposez-vous
douleurs pelviennes importantes. Elle a 39 °C de tem- systématiquement chez cette patiente ?
pérature, un ventre souple avec un utérus mou, dou- A examen mammaire
loureux et des pertes vaginales sales. Vous évoquez le B toucher vaginal
diagnostic d'endométrite du post-partum. C examen vulvaire et hyménéal
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? D frottis cervico-vaginal
A la patiente peut être traitée par céphalosporine de E échographie endovaginale
troisième génération et métronidazole Question 2
B la patiente peut être traitée par amoxicilline-acide Quelle sérologie obligatoire en cas de grossesse vous
clavulanique paraît prioritaire chez Madame X. ?
C une échographie peut être réalisée pour éliminer A sérologie CMV
une rétention intra-utérine B sérologie grippale
D une IRM pelvienne est nécessaire au diagnostic C sérologie VIH
E le diagnostic est principalement clinique D sérologie hépatite C
Question 13 E sérologie rubéole
Concernant le post-partum, quelle(s) est (sont) la (les) Question 3
proposition(s) exacte(s) ? La sérologie rubéole est négative. Quelle proposition
A une nouvelle grossesse est possible avant le retour vous paraît la plus adaptée ?
de couche A sérovaccination vis-à-vis de la rubéole
B la contraception orale à privilégier est la pilule B vaccination contre la rubéole si la patiente dit
œstroprogestative n'avoir jamais été vaccinée
C la contraception orale à privilégier est la pilule C vaccination itérative contre la rubéole malgré deux
microprogestative vaccinations documentées
Cas cliniques
D sérothérapie spécifique contre la rubéole en cas de C thrombose veineuse profonde surale gauche car il y
contact très récent a un risque d'embolie pulmonaire deux fois sur trois
E la patiente n'est pas protégée contre la rubéole D thrombose veineuse profonde surale gauche car il
congénitale si elle a déjà été vaccinée deux fois faut anticoaguler la patiente malgré la grossesse
Question 4 E thrombose veineuse profonde surale gauche car il
Madame X. s'inquiète du risque de trisomie 21 à faut envisager une thrombolyse
cause de ses antécédents familiaux. On lui a indiqué Question 8
que la trisomie 21 du cas familial était une forme clas- Le diagnostic de thrombose veineuse profonde surale
sique au caryotype. gauche a été confirmé. Madame X. est traitée par une
Quelles conclusions pouvez-vous en tirer ? héparinothérapie (HBPM) à dose décoagulante.
A il s'agit probablement d'une trisomie 21 libre et Quel examen biologique obligatoire en début de
homogène grossesse aurait pu vous faire craindre une thrombo-
B un caryotype constitutionnel normal chez Madame X. philie acquise ?
écarterait tout risque de trisomie 21 fœtale chez elle A recherche d'anticorps irréguliers
C le test de dépistage combiné de la trisomie 21 ne B sérologie syphilitique
pourra pas être envisagé C NFS-plaquettes
D le risque a priori de trisomie 21 fœtale pour une D glycémie à jeun
grossesse à venir est très élevé E glycosurie
E dans tous les cas, la mesure de la clarté nucale fœtale Question 9
pour une future grossesse devra être proposée À 37 SA, Madame X. se présente en salle d'accou-
Question 5 chement pour un écoulement liquidien issu du vagin.
Six mois plus tard, le 28 avril, Madame X. consulte car Quels arguments plaident en faveur du diagnostic de
elle débute une grossesse obtenue naturellement. La rupture de la poche des eaux ?
date des dernières règles était le 10 mars. A la présence de liquide citrin dans le cul-de-sac vagi-
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? nal postérieur
A le terme théorique de cette grossesse est le 24 décembre B la présence de liquide verdâtre dans le cul-de-sac
B le terme théorique de cette grossesse est le vaginal postérieur
10 décembre C un prélèvement vaginal positif pour le strepto-
62 C le terme réel de cette grossesse est le 24 décembre coque du groupe B
D le nouveau-né sera considéré comme prématuré D une recherche d'IGFBP1 positive au niveau vaginal
s'il naît le 8 décembre E une sensation de cuisson au niveau vulvo-vaginal
E le terme théorique sera fixé au mieux par une Question 10
échographie de datation précoce Le diagnostic de rupture spontanée des membranes
Question 6 est confirmé. Le col est mi-long ouvert à un doigt
Lors de cette consultation, Madame X. vous présente juste, avec une présentation céphalique amorcée.
les résultats d'une sérologie CMV demandée par son Madame X. ne ressent pas de contraction. Le prélève-
médecin traitant : ment vaginal est positif pour le streptocoque B.
t *H.GBJCMFNFOUQPTJUJWFT Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
t *H(GBJCMFNFOUQPTJUJWFT A Madame X. est en travail car les membranes ovu-
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? laires sont rompues
A il s'agit sans aucun doute d'une séroconversion B le prélèvement vaginal est positif pour le strepto-
récente au CMV coque B une fois sur deux après 34 SA
B il faut contrôler l'évolution de la sérologie C un traitement antibiotique doit être administré à
C les IgM contre le CMV peuvent persister plus de Madame X
3 mois dans le sang après une primo-infection D des hémocultures seront réalisées systématique-
D une recherche de virémie à CMV peut aider au diagnostic ment chez le nouveau-né
E une amniocentèse à la recherche de CMV dans le E une extraction instrumentale est contre-indiquée
liquide amniotique doit être proposée immédiatement de principe à cause du traitement par HBPM chez
Question 7 la mère
Finalement, la grossesse évolue normalement jusqu'à Question 11
32 SA quand Madame X. se présente aux urgences Finalement Madame X. accouche par voie basse spon-
pour une douleur du mollet gauche survenue sponta- tanée le lendemain d'un enfant de 2 850 g Apgar 10 à
nément après un trajet de 4 heures en voiture. Il n'y a 5 minutes, de groupe sanguin A rhésus négatif.
pas d'œdème à l'examen. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
Quel diagnostic devez-vous évoquer en priorité et A le père biologique n'est probablement pas de
pourquoi ? groupe sanguin A
A thrombose veineuse superficielle gauche du mollet B une injection de gammaglobulines anti-D n'est pas
gauche car c'est une urgence thérapeutique nécessaire chez la mère
B thrombose veineuse superficielle gauche du mollet C une injection de gammaglobulines anti-D doit être
gauche car il n'y a pas d'œdème administrée au nouveau-né
Cas cliniques 1
D le nouveau-né ne présente pas de risque d'ictère depuis 2 heures (depuis qu'elle est arrivée à Lille en
néonatal par allo-immunisation antiérythocytaire venant de Strasbourg en voiture). Elle pense qu'elle
E des tests de coagulation doivent être réalisés sur le était mal positionnée quand elle s'est endormie dans
cordon ombilical la voiture, mais est venue « pour se rassurer ». La
patiente est G2P1 (une FCS traitée par curetage il y
Question 12
a 4 ans et une césarienne pour présentation en siège il
Les suites de couches se déroulent sans problème particu-
y a 11 mois), présente un diabète gestationnel et fume
lier et Madame X. a interrompu son traitement par HBPM
(mais a diminué à 2 cigarettes par jour, contre 10 par jour
lorsque vous la revoyez un an après son accouchement.
en dehors de la grossesse). Son échographie du troisième
Quels moyens de contraception sont indiqués dans
trimestre réalisée il y a 28 jours était sans particularité.
son cas ?
Elle ne présente pas de métrorragies, pas de contrac-
A pilule œstroprogestative de première génération
tions utérines, et sent bien son bébé bouger.
B pilule microprogestative
La sage-femme l'examine à titre systématique et
C implant sous-cutané de progestatifs
retrouve un col long, tonique, fermé, postérieur, une
D DIU hormonal
tête haute et mobile. Le doigtier ramène quelques
E DIU au cuivre
minimes traces de sang mais un ectropion est connu
chez cette patiente, ceci est donc probablement lié au
Cas clinique 37 ++ toucher vaginal sur cet ectropion.
Madame C. vient aux urgences, enceinte de 28 SA, La sage-femme démarre donc une cardiotocométrie,
pour douleurs hypogastriques continues, violentes, présentée ci-dessous.
Énoncés
63
Question 5
La BU que vous avez demandée retrouve 3 croix de Cas clinique 38 +++
protéines.
Concernant les éléments cliniques que vous recher- L'histoire de la maladie vous montre qu'il s'agit d'une
chez en priorité, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) première grossesse à 34 SA + 1 jour, correctement
exacte(s) ? suivie par son médecin traitant. Il n'y a pas d'antécé-
A localisation des céphalées, notamment latéralité dent notable obstétrical ou médical, il s'agit d'un syn-
B diurèse drome pseudo-grippal isolé avec une fièvre à 39 °C et
C barre épigastrique une tachycardie à 110 depuis 24 heures.
64 La patiente n'a pas d'antécédent particulier.
D acouphènes et phosphènes
E vivacité des réflexes ostéotendineux L'examen obstétrical retrouve une hauteur utérine en
rapport avec le terme, la présentation est céphalique,
Question 6 un col long postérieur ouvert à l'orifice externe, fermé
La patiente se stabilise finalement. à l'orifice interne, les mouvements actifs fœtaux sont
Deux ans après, vous la revoyez pour sa deuxième perçus normalement, elle ne ressent pas de contrac-
grossesse. Elle est enceinte de 11 SA. tions utérines, n'a pas senti d'écoulement de liquide, il
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? n'y a pas d'œdèmes des membres inférieurs, et vous ne
A Dopplers en début de deuxième trimestre notez pas d'autre anomalie à l'examen clinique général.
B vous pouvez éventuellement entamer une pres- La BU retrouve : leucocytes : + ; hématies : + ; pro-
cription d'Aspegic® téines : traces ; glucose : traces ; nitrites négatifs.
Cas cliniques 1
Question 1 contractions utérines et un RCF normoréactif normo-
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? oscillant. Le toucher vaginal est inchangé. Tempéra-
A les quatre étiologies à évoquer en premier si vous ture : 37,1 °C.
aviez retrouvé une polyadénopathie chez cette Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
patiente seraient : grippe, toxoplasmose, EBV, adéno/ A le diagnostic est : rupture spontanée des mem-
rhinovirus branes
B les quatre étiologies à évoquer en premier si vous B vous prescrivez systématiquement de l'amoxicilline
aviez retrouvé une polyadénopathie chez cette d'emblée
patiente seraient : lymphome, VIH, grippe, rubéole C si le liquide est méconial, vous réalisez une césa-
C les trois étiologies à évoquer en premier si vous aviez rienne
retrouvé une polyadénopathie chez cette patiente D il s'agit d'une MAP
seraient : toxoplasmose, VIH, cytomégalovirus E la prise en charge peut être ambulatoire devant
D si la patiente présente un facteur de risque de l'absence de critères de gravité ou de signes de
Listeria, vous écrirez « avec recherche de Listeria » début de travail
sur votre bon d'ECBU
Question 5
E la patiente présente une hypercinésie utérine
La CRP demandée est à 213. Quelle(s) est (sont) la
Question 2 (les) proposition(s) exacte(s) ?
Concernant votre prise en charge, quelle(s) est (sont) A vous attendez le résultat des prélèvements bacté-
la (les) proposition(s) exacte(s) ? riologiques pour adapter votre antibiothérapie
A vous attendez les résultats de vos prélèvements B vous réalisez une césarienne d'emblée
pour mettre en place une antibiothérapie C vous déclenchez le travail
B vous attendez d'avoir réalisé les prélèvements mais D vous prescrivez une CRP de contrôle 6 heures après
n'attendez pas les résultats avant de débuter une la CRP précédente
Énoncés
antibiothérapie E vous ne réalisez pas d'injection de corticoïdes dans
C votre antibiothérapie probabiliste de premier choix ce contexte infectieux
sera : Augmentin®
Question 6
D vous prescrivez un antipyrétique, même si vous
Finalement, vous déclenchez le travail. Voici le parto-
ne pourrez plus surveiller la température correcte-
gramme.
ment ensuite 65
E vous prescrivez une tocolyse en urgence car il y a
un risque important d'accouchement prématuré
devant des contractions utérines aussi importantes
Question 3
Quel diagnostic évoqueriez-vous si vous retrouviez
des microabcès jaunâtres sur le placenta ?
Question 4
La patiente présente une évolution favorable sous
amoxicilline et sort du service de grossesses patholo-
giques 2 jours plus tard.
Elle revient aux urgences 6 jours plus tard pour perte
de liquide. Vous faites un Amniocator®, qui revient
positif. L'échographie retrouve une quantité de liquide
amniotique normale et le monitoring une absence de
A c'est un partogramme normal dant, mais pas s'il est comme des règles ou infé-
B le fœtus est présenté initialement en OIGA rieur (étiologie déjà connue donc pas d'indication
C vous ajoutez du Syntocinon® (ocytociques) à tout recommencer à chaque fois)
D vous avez probablement déjà réalisé un sondage F vous recherchez des signes de placenta accreta
urinaire et posturer la patiente 30 %
Question 3
E vous réalisez une césarienne
La patiente n'a plus de métrorragies et sort 2 jours
plus tard après cure de corticoïdes.
Cas clinique 39 ++ Elle consulte 8 jours après (donc à 26 SA + 6 jours)
Madame B., 23 ans, G3P1 (une césarienne pour ARCF pour contractions utérines douloureuses (EN à 8/10),
il y a 3 ans et un curetage pour grossesse arrêtée irrégulières, toutes les 5–7 minutes. Vous réalisez un
à 8 SA il y a 2 ans), consulte pour métrorragies de toucher vaginal (précautionneux +++) et trouvez un
faible abondance ce matin, à un terme de 25 SA + col dilaté à 2 cm, raccourci de longueur et ramolli,
3 jours. Elles sont actuellement taries. La patiente une tête fœtale appliquée.
est de groupe sanguin A rhésus positif. Vous faites Concernant votre conduite à tenir à court terme,
une échographie qui retrouve une bonne vitalité quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
fœtale, un liquide amniotique normal, des biométries A vous ne pouvez pas diagnostiquer une MAP sans
normales et un placenta comme ceci : enregistrement cardiotocographique (monitoring)
prouvant la présence de contractions
B vous avez besoin d'une échographie de col utérin pour
connaître sa longueur et poser le diagnostic de MAP
C vous recherchez des signes fonctionnels urinaires
D parmi les trois points primordiaux de votre prise en
charge en urgence, vous décidez un transfert in
utero en maternité de niveau adapté (niveau 3)
E vous prescrivez une cure de corticoïdes
Question 4
Concernant votre conduite à tenir à court terme,
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
66 A une fois la prise en charge thérapeutique classique
débutée (pas de prescription d'inhibiteurs de l'ocy-
(À droite : col de l'utérus ; puis, vers la gauche : pla- tocine ; prescription aux indications limitées), vous
centa, tête fœtale). devez surveiller de près la PA
B vous appelez le pédiatre
Question 1
C vous appelez le réanimateur adulte
Concernant votre conduite à tenir à court terme,
D vous avez besoin d'une échographie de localisa-
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
tion du placenta en urgence
A prise en charge ambulatoire
E si la patiente a des métrorragies très abondantes,
B vous demandez des RAI
le fœtus peut être anémié
C vous prescrivez une cure de Célestène®
D devant l'évidence du diagnostic et la bonne vitalité Question 5
fœtale en échographie, vous ne réalisez pas d'en- Finalement, vous parvenez à arrêter le travail. La
registrement électrocardiotocographique patiente accouche par voie basse à 37 SA + 2 jours (le
E césarienne en urgence placenta était remonté à 30 mm de l'orifice interne) ;
40 minutes après l'accouchement de Matteo, 4 200 g,
Question 2
la délivrance n'a pas encore eu lieu et les saignements
Le placenta est recouvrant (recouvre l'orifice interne
sont estimés à 900 cc ; ils sont en nappe, sans caillot.
du col utérin). Vous poursuivez l'interrogatoire et l'in-
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
formation de la patiente.
A il s'agit d'une hémorragie de la délivrance sévère
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
B vous massez l'utérus d'emblée
A vous prévenez la patiente qu'elle accouchera de toute
C vous pratiquez une délivrance artificielle avec révi-
façon par césarienne (mais pas en urgence ce jour)
sion utérine
B vous avez une nécessité absolue des résultats du
D vous suspectez une CIVD
dernier FCV
E vous faites un examen de la filière génitale sous valves
C le test de Kleihauer peut avoir un intérêt si reprise
des saignements Question 6
D si la patiente ne saigne pas à nouveau pendant Concernant les moyens de prévention de cette compli-
48 heures, elle pourra sortir de l'hôpital cation, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
E si la patiente, stabilisée, rentre à domicile, vous A délivrance artificielle dans l'heure suivant l'accou-
lui conseillez de ne pas avoir de rapports sexuels ; chement
si elle saigne à nouveau, vous lui conseillez de B poche de recueil de sang après la délivrance
reconsulter en urgence si le saignement est abon- C examen du placenta
Cas cliniques 1
D délivrance dirigée La patiente n'a pas d'antécédent en dehors d'un
E position maternelle en Trendelenburg tabagisme actif (pas d'autre facteur de risque car-
diovasculaire). Elle est depuis le début de grossesse
immunisée contre la toxoplasmose et la rubéole. Son
Cas clinique 40 +++ groupe sanguin est A négatif.
Vous voyez une patiente, primigeste, enceinte de Vous réalisez une biométrie et reportez vos mesures
22 SA, pour son échographie du deuxième trimestre. sur les courbes suivantes.
Énoncés
380
80
360
75
340
70
320
65
300
60
280
55
260
240 50
220 45 67
200 40
180 35
160
30
140
25
120
20
100
15
80
10
16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36 38 40
16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36 38 40
SA
SA
80 280
75 260
70
240
65
220
60
55 200
50 180
45
160
40
140
35
30 120
25 100
16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36 38 40
16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36 38 40
SA
SA
68
2
CHAPITRE
2
Questions isolées
QI 1 QI 4
Quel(s) est (sont) le(s) examen(s) biologique(s) Quel(s) est (sont) le(s) critère(s) permettant de définir
obligatoire(s) à réaliser pendant la grossesse ? une prééclampsie sévère ?
A détermination du groupe sanguin (deux détermina- A une pression artérielle systolique supérieure à
tions), rhésus complet et recherche d'agglutinines 160 mm Hg et une pression artérielle diastolique
irrégulières supérieure à 110 mm Hg
B en cas de présence d'agglutinines irrégulières, B une protéinurie supérieure à 5 g/l
l'identification et le titrage des anticorps sont C une barre épigastrique
obligatoires D une éclampsie, un HELLP syndrome ou un héma-
C dépistage de la syphilis et du VIH, sérologie rubéole, tome rétroplacentaire
sérologie toxoplasmose E des modifications cervicales
D surveillance mensuelle de la sérologie toxoplas-
Énoncés
mose en cas d'immunité acquise
E recherche mensuelle de sucre et d'albumine dans QI 5
les urines
À propos de la prise en charge de la prééclampsie,
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A il convient de réaliser un bilan biologique com- 69
QI 2 plet : NFS, bilan de coagulation, bilan hépatique,
À propos de la consultation du 8e mois de grossesse, protéinurie
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? B une échographie hépatique doit être réalisée en cas
A elle peut être réalisée par le médecin généraliste de HELLP syndrome ou de barre épigastrique
B il convient de réaliser le prélèvement vaginal à la C un enregistrement du rythme cardiaque fœtal per-
recherche du streptocoque B met d'évaluer la vitalité fœtale
C en cas de portage de streptocoque B, l'accouche- D une corticothérapie doit être réalisée en cas de
ment par voie basse est contre-indiqué à cause du terme inférieur à 34 SA
risque d'infection maternofœtale E une crise d'éclampsie est une indication de césa-
D une ampoule de vitamine D à 100 000 UI doit être rienne en urgence
prescrite afin d'éviter le risque d'hypocalcémie
néonatale
E la consultation d'anesthésie est conseillée QI 6
Une patiente échappe à la tocolyse à 33 SA et
accouche d'un garçon de 1 000 g (< 3e percentile) ; PC
QI 3 = 26 cm (< 3e percentile). Parmi les suivantes, quelle(s)
est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
À propos de la prééclampsie, quelle(s) est (sont) la (les)
A vous suspectez un RCIU
proposition(s) exacte(s) ?
B cet enfant est eutrophe
A on parle de prééclampsie à partir de 30 SA
C cet enfant est hypotrophe
B on parle de prééclampsie précoce lorsqu'elle sur-
D il s'agit d'une prématurité spontanée
vient avant 32 SA
E le risque métabolique majeur est l'hypoglycémie
C elle se définit par une tension artérielle supérieure
à 140/90 mm Hg et une protéinurie supérieure à
0,3 g/24 heures
D le HELLP syndrome, qui est une complication de la QI 7
prééclampsie, associe une hémolyse, une cytolyse Parmi les signes suivants, lesquels sont évocateurs
et une thrombopénie d'une trisomie 21 à la naissance ?
E l'éclampsie est une complication du HELLP A hypotonie
syndrome B ASP avec aspect de double bulle
Gynécologie-Obstétrique
© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
Questions isolées
QI 9
Quels sont les risques fœtaux d'une toxoplasmose QI 14
congénitale ? Quels sont les facteurs de risque de transmission
A macrocéphalie maternofœtale du VIH ?
B choriorétinite A placenta postérieur
C macrophtalmie B rupture prématurée des membranes
D hydrocéphalie C terme < 20 SA
E anasarque D chorioamniotite
70 E charge virale > 100 000 copies
QI 10
Vous voyez en consultation une patiente de 32 ans
QI 15
atteinte d'un lupus cutanéo-articulaire associé à Quelle est la prise en charge d'une varicelle maternelle
un syndrome des anti-phospholipides secondaire avant 20 SA chez une patiente naïve de varicelle ?
découvert dans les suites d'une phlébite surale A sérologie en urgence
droite spontanée. Elle est traitée par 20 mg par jour B abstention thérapeutique
de prednisolone, 200 mg par jour d'hydroxychloro- C aciclovir IV
quine et par AVK. Sa pathologie est stable. Elle est D surveillance échographique
enceinte. Quelles modifications de son traitement E le risque de varicelle congénitale est majeur avant
entreprenez-vous ? 20 SA
A arrêt des AVK
B arrêt de l'hydroxychloroquine
C arrêt de la prednisolone QI 16
D poursuite de l'hydroxychloroquine Au sujet du mobile fœtal, quelle(s) est (sont) la (les)
E poursuite de la prednisolone proposition(s) exacte(s) ?
A la fontanelle antérieure est également nommée
lambda
QI 11 B la variété de dégagement la plus fréquente est
l'OIGA
Concernant le tabac, quelle(s) est (sont) la (les)
C le score de Manning évalue les dimensions du bas-
proposition(s) fausse(s) ?
sin maternel
A une faible consommation de tabac est autorisée au
D le signe de Farabeuf permet d'évaluer l'engage-
troisième trimestre de grossesse
ment du fœtus
B il faut tenter un sevrage tabagique complet et défi-
E le plus grand diamètre du bassin est le bi-épineux
nitif chez toute femme fumeuse et en début de
grossesse
C seule la nicotine est fœtotoxique
D les hydrocarbures passent la barrière placentaire QI 17
E les métaux lourds ne passent pas la barrière Quelle(s) phrase(s) retenez-vous au sujet de la pre-
placentaire mière partie du travail ?
Questions isolées 2
A le début du travail est souvent précédé de la perte C la CRIP
du bouchon aqueux D le directeur de l'hôpital
B les contractions utérines sont irrégulières, ryth- E aucune réponse n'est juste
mées et douloureuses
C la rupture de la poche des eaux se fait avant le
début du travail QI 23
D la courbe de Friedman définit la progression fœtale
Au sujet de la corticothérapie maturative, quelles sont
au cours du temps
les propositions justes ?
E cette phase du travail est souvent plus rapide chez
A elle nécessite deux injections de bétaméthasone
les multipares
sur 72 heures
B elle est contre-indiquée chez les patientes diabétiques
C elle augmente le risque de rupture prématurée des
QI 18 membranes
Quelles sont les topographies atteintes par le cancer D elle peut être répétée une seconde fois au cours de
dans le spectre HNPCC ? la grossesse
A seins E elle diminue le risque d'entérocolite ulcéro-nécro-
B côlon sante
C ovaires
D voies biliaires
E voies urinaires QI 24
Madame N., 41 ans, est une G2P0 à 20 SA, ayant
comme principal antécédent une conisation au laser
QI 19 pour un CIN 1 et un tabagisme actif à 18 paquets-
Énoncés
Quels sont les médicaments contre-indiqués au troi- années. Quels sont les risques pour cette grossesse ?
sième trimestre de la grossesse ? A un diabète gestationnel
A énalapril (IEC) B une MAP
B aspirine C un placenta praevia
C AINS D une trisomie 21
E une infection maternofœtale à streptocoque B 71
D tétracycline
E coumadine (AVK)
QI 25
QI 20 Quelles sont les possibles complications d'une infec-
Quelles sont les contre-indications absolues à la tion par parvovirus B19 au cours d'une grossesse ?
contraception microprogestative ? A anémie fœtale
A antécédent de cancer de l'endomètre B atteinte hépatique fœtale
B antécédent d'embolie pulmonaire C inclusions cyto-nucléaires
C hépatite B chronique D anasarque
D lupus érythémateux diffus E mort fœtale in utero
E allaitement maternel
QI 26
Une jeune fille de 19 ans vous consulte pour des leu-
QI 21 corrhées verdâtres spumeuses et abondantes asso-
Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous devant une dou- ciées à des sensations de brûlures au moment des
leur à la mobilisation utérine ? rapports. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
A une endométrite exacte(s) ?
B une infection génitale haute compliquée A il s'agit d'une infection à Gardnerella vaginalis
C un fibrome B il faudra dépister le partenaire
D une endométriose de grade II C il s'agit d'une infection à Trichomonas vaginalis
E une GEU D le test à la potasse sera positif
E le traitement est le métronidazole
QI 22
Qui devez-vous avertir en cas de suspicion de viol chez QI 27
une jeune femme de 19 ans ne souhaitant pas porter Parmi les suivants, quels sont les facteurs de risque de
plainte ? trouble de la statique pelvienne ?
A l'unité de police judiciaire A accouchement voie basse d'enfants macrosomes
B le procureur de la République B obésité
Questions isolées
QI 32
Madame S., G1P0, est admise aux urgences obsté-
tricales d'une maternité de type 1 à 30 SA + 4 jours
72 pour MAP. Parmi les suivantes, quelle(s) est (sont) la
(les) proposition(s) exacte(s) ?
Quel(s) est (sont) le (les) diagnostic(s) envisageable(s) ?
A la recherche d'une hémorragie génitale est une
A endométriome rompu
donnée essentielle de l'interrogatoire
B kyste fonctionnel ovarien gauche rompu
B un bilan infectieux (NFS, CRP, PV, ECBU) doit être
C GEU tubaire droite
réalisé afin d'éliminer une infection en cours, pour-
D torsion d'annexe
voyeuse d'accouchement prématuré
E fausse couche spontanée précoce
C une corticothérapie anténatale par bétaméthasone
doit être administrée à Madame S. afin de prévenir
les complications néonatales liées à la prématurité
QI 29 D elle doit être transférée dans une maternité de type II
Quel(s) âge(s) fait (font) partie de la population cible E une naissance au terme actuel correspondrait à
pour la vaccination anti-HPV en deux doses depuis une prématurité extrême
2014 ?
A 8 ans
B 11 ans QI 33
C 13 ans
Concernant le calcul du risque combiné de triso-
D 15 ans
mie 21 au premier trimestre, quelle(s) est (sont) la (les)
E 17 ans
proposition(s) exacte(s) ?
A l'âge maternel est une des données pris en compte
dans le calcul
QI 30 B la mesure de la clarté nucale entre 11 SA + 0 jour
Concernant l'amniocentèse, quelle(s) est (sont) la (les) et 13 SA + 6 jours est une des données prise en
proposition(s) fausse(s) ? compte dans le calcul
A pratiquée avant 15 SA, elle peut causer des ampu- C le dosage des marqueurs sériques maternels
tations de membres PAPP-A et β-hCG est une des données pris en
B elle permet d'obtenir le caryotype maternel compte dans le calcul
C elle est possible jusqu'au terme D le dosage des marqueurs sériques maternels
D elle peut être à l'origine d'une allo-immunisation α-fœtoprotéine et β-hCG est une des données pris
rhésus en compte dans le calcul
E le risque de fausse couche spontanée est de 0,5 à E un risque combiné ≥ 1/350 impose la réalisation
0,7 % d'un caryotype fœtal
Questions isolées 2
QI 34 QI 39
Quelle est l'étiologie la plus fréquente devant une Concernant la MAP, quelle(s) est (sont) la (les)
fièvre pendant la grossesse ? proposition(s) fausse(s) ?
A listériose A la multiparité est un facteur protecteur
B chorioamniotite B la corticothérapie a une indication fœtale
C pyélonéphrite aiguë C la tocolyse est toujours indiquée en cas de contractions
D méningite virale D la grossesse gémellaire est un facteur de risque de
E grippe saisonnière MAP
E la chorioamniotite peut se manifester par une MAP
avec fièvre
QI 35
Concernant la toxoplasmose, quelle(s) est (sont) la QI 40
(les) proposition(s) exacte(s) ? Concernant le diabète gestationnel, quelle(s) est
A la transmission maternofœtale augmente avec (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
l'âge gestationnel A il est un facteur de risque de diabète de type 2
B le risque d'embryofœtopathie sévère augmente ultérieur
avec l'âge gestationnel B l'HGPO est un test réalisé en début de grossesse
C « consommer la viande bien cuite » est l'une permettant d'en faire le diagnostic
des recommandations à donner aux patientes C c'est un facteur de risque de MAP
séronégatives afin de réduire le risque de D il est fréquemment la cause d'une hypotrophie à la
séroconversion naissance
D la majorité des enfants contaminés in utero ont E il peut se compliquer d'une mort fœtale in utero
Énoncés
une atteinte infraclinique
E une séroconversion toxoplasmique en début de
grossesse est une indication formelle à une inter-
ruption médicale de grossesse
QI 41
Quelles sont les atteintes maternelles contre-indi-
quant l'allaitement ?
73
A herpès
QI 36 B VIH
Parmi les antibiotiques suivants, lesquels sont autori- C hépatite B
sés pendant la grossesse ? D hépatite C
A fluoroquinolones E varicelle
B macrolides
C pénicillines
D doxycycline QI 42
E céphalosporines Parmi les critères suivants, lesquels font partie du
dépistage anténatal de la trisomie 21 ?
A l'âge maternel
QI 37 B l'amniocentèse
C le dosage de marqueurs sériques
Quel contraceptif a le meilleur indice de Pearl (meil- D la mesure de la clarté nucale autour de 12 SA
leure efficacité) ? E la biopsie de trophoblaste
A spermicide
B pilule œstroprogestative
C préservatifs QI 43
D retrait
E ligature tubaire Quels sont les traitements possibles dans le cancer du
sein avec une mutation du gène BRCA2 ?
A la chimiothérapie
B la curiethérapie
QI 38 C l'ovariectomie bilatérale
Parmi les sérologies suivantes, laquelle n'est pas D l'hormonothérapie
recherchée dans les bilans systématiques de la E la reconstruction mammaire après mastectomie
grossesse ? bilatérale
A VIH
B syphilis
C VHC QI 44
D rubéole Quelle est la cause de fièvre la plus fréquente pendant
E VHB la grossesse ?
Questions isolées
A pyélonéphrite QI 50
B listériose
Concernant le dépistage de la trisomie 21, quelle(s)
C montée de lait
est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
D grippe
A il est obligatoire chez toutes les patientes
E chorioamniotite
B il est obligatoire chez les patientes présentant des
facteurs de risque
C il est possible au premier trimestre
QI 45 D le risque combiné associe la mesure de la clarté
Quelles sont les deux causes redoutées justifiant d'une nucale avec le dosage de l'HCG et la PAPPA san-
hémoculture lors d'une fièvre pendant la grossesse ? guines associé à l'âge maternel
A pyélonéphrite E le seuil fixé est de 1/250
B listériose
C montée de lait
D grippe
E chorioamniotite QI 51
Concernant l'hypertension artérielle gravidique,
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
QI 46 A elle peut survenir à tout moment au cours de la
grossesse
Concernant la MAP, quelle(s) est (sont) la (les)
B elle peut être associée à une protéinurie
proposition(s) exacte(s) ?
C elle peut nécessiter un traitement antihypertenseur
A elle n'existe pas après 34 SA
D elle peut être associée à des symptômes tels que
B une infection peut en être sa cause
des céphalées
C on retrouve toujours des modifications cervicales
E elle peut précéder la grossesse
D son diagnostic est clinique
E sa complication est la prématurité
QI 52
74
QI 47 Concernant l'hypertension artérielle chronique
Concernant l'étiologie de la MAP, quelle(s) est (sont) au cours de la grossesse, quelle(s) est (sont) la (les)
la (les) proposition(s) exacte(s) ? proposition(s) exacte(s) ?
A le tabac A on peut poser le diagnostic devant une hyperten-
B le jeune âge maternel sion artérielle avant 20 SA
C un antécédent d'accouchement prématuré B elle se normalise le plus souvent dès la fin du pre-
D le diabète gestationnel mier trimestre
E les infections C elle peut réapparaître en fin de grossesse
D elle peut se compliquer d'une prééclampsie
E aucune de ces propositions
QI 48
Concernant le traitement de la MAP, quelle(s) est
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? QI 53
A le repos Concernant le diabète de type 1 au cours de la
B une anticoagulation efficace grossesse, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
C la corticothérapie exacte(s) ?
D les inhibiteurs calciques A il augmente le risque de malformation
E l'accouchement B il augmente le risque de mort fœtale in utero
C il augmente le risque de prématurité
D il augmente les fausses couches précoces
QI 49 E il augmente les risques de prééclampsie
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A la corticothérapie réduit de 50 % les complica-
tions néonatales
B la corticothérapie peut être initiée par bétamétha- QI 54
sone ou dexaméthasone Concernant le diabète gestationnel, quelle(s) est
C l'échographie endovaginale de la mesure du col uté- (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
rin a une meilleure spécificité que le toucher vaginal A il augmente le risque de malformation
D la rupture prématurée est une contre-indication à B il augmente le risque de mort fœtale in utero
la tocolyse C il augmente le risque de prématurité
E une antibiothérapie n'est commencée en cas de D il augmente les fausses couches précoces
MAP uniquement en cas d'infection suspectée E il augmente les risques de prééclampsie
Questions isolées 2
QI 55 QI 59
Concernant l'infection urinaire au cours de la grossesse, Madame D., 25 ans, avec comme unique antécédent
quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? un surpoids avec un IMC à 29, se présente à votre
A la cystite est plus souvent asymptomatique au consultation car elle n'a plus ses règles depuis 7 mois.
cours de la grossesse Elle a effectué plusieurs tests de grossesse qui sont tous
B la cystite ne nécessite pas de traitement au cours revenus négatifs. Elle ne comprend pas pourquoi elle
de la grossesse ne tombe pas enceinte alors qu'elle ne prend plus de
C la bactériurie symptomatique ne nécessite pas de contraception depuis 3 ans maintenant. Par ailleurs,
traitement au cours de la grossesse elle ne supporte plus d'avoir des boutons d'acné et de
D la pyélonéphrite peut bénéficier d'un traitement prendre du poids depuis l'arrêt de sa contraception et
minute si la patiente n'est pas septique se plaint d'être trop poilue du visage et des jambes.
E il est possible d'utiliser des aminosides en cas d'in- Elle vous montre un cliché d'échographie endovaginale
fection sévère faites à la suite de douleurs au niveau des ovaires.
QI 56
Madame T., 19 ans, G0P0, sans antécédent, vient
consulter son médecin traitant car elle souhaite débu-
ter une grossesse. Elle a arrêté sa contraception il y a
3 mois maintenant et pense être enceinte car le test
urinaire qu'elle a effectué est positif. Quels sont les
examens obligatoires avant 15 SA ?
A NFS
Énoncés
B sérologies rubéole/toxoplasmose
C sérologie VIH
D dépistage combiné de la trisomie 21 au premier
trimestre par échographie et marqueurs Quel est votre diagnostic ?
E frottis cervico-utérin si le précédent date de plus de A syndrome de Cushing
3 ans 75
B tumeur surrénalienne
C syndrome des ovaires polykystiques
D tumeur ovarienne virilisante
QI 57 E déficit enzymatique surrénalien
Quelle est l'antibiothérapie à instaurer en cas d'infec-
tion génitale haute non compliquée ? QI 60
A ofloxacine + métronidazole
B amoxicilline Madame Z., 75 ans, a des métrorragies depuis 2 jours
C amoxicilline + acide clavulanique peu abondants. Elle a déjà eu un épisode similaire
D ceftriaxone + métronidazole il y a 6 mois, mais n'avait pas consulté. Elle vous
E amoxicilline + aminoside + métronidazole signale avoir pris un traitement hormonal pour la
ménopause pendant 5 ans. L'abdomen est souple et
indolore. Le spéculum retrouve un col normal avec
des traces de saignements venant du col. Le toucher
QI 58 vaginal ne retrouve pas de douleur à la mobilisation uté-
Madame C., 32 ans, G2P1, se présente aux urgences rine ni de masse latéro-utérine. Une échographie endo-
gynécologiques pour des céphalées à 31 SA + 3 jours. vaginale retrouve une image endo-utérine. Une hysté-
Il n'y a pas eu d'anomalie pendant le début de gros- roscopie est donc réalisée afin d'effectuer des biopsies.
sesse. À l'examen clinique, on retrouve une pression
artérielle à 155/95 mm Hg, FC = 70/min, une hauteur
utérine à 24 cm, un col long, postérieur et fermé au
toucher vaginal, une bandelette urinaire positive avec
3 croix de protéines. À l'échographie, les biométries
fœtales sont au 9e percentile, avec une morphologie
normale et une quantité de liquide amniotique nor-
male. Le Doppler ombilical est normal.
Quelle est votre première hypothèse diagnostic ?
A une hypertension artérielle
B une prééclampsie
C une prééclampsie sévère
D une prééclampsie sévère précoce
E une éclampsie
Questions isolées
QI 70
Quels sont les critères de malignité devant la décou-
QI 74
verte d'un kyste ovarien de 4 × 5 cm chez une femme On parle de PAG sévère quand les biométries fœtales
de 45 ans ? sont inférieures :
A présence de végétations intrakystiques A au 20e percentile
B âge B au 10e percentile
C épanchement intra-abdominal C au 5e percentile
D CA 125 diminué D au 3e percentile
E taille E au 1er percentile
QI 71 QI 75
Citez les différentes complications possibles des Un RCIU survenant dès le deuxième trimestre de la
Énoncés
fibromes utérins. grossesse est le plus souvent :
A anémie microcytaire hyposidérémique A d'origine infectieuse
B anémie macrocytaire hypersidérémique B d'origine placentaire
C nécrobiose aseptique C d'origine chromosomique
D dégénérescence cancéreuse D dû à une malformation de l'utérus
E compression nerveuse : sciatalgies E d'origine toxique 77
QI 72 QI 76
Vous recevez une patiente en consultation ; elle vient Un RCIU survenant plus tardivement, à partir du troi-
d'avoir une fausse couche spontanée tardive ; elle vous sième trimestre de la grossesse, est le plus souvent :
raconte avoir subi une IVG dans sa jeunesse, une césa- [Une seule réponse.]
rienne pour la naissance de ces jumeaux il y a 4 ans, et A d'origine infectieuse
pour son petit dernier il y a 2 ans. Elle a accouché par voie B d'origine placentaire
basse de son premier enfant. Elle a fait une fausse couche C d'origine chromosomique
spontanée il y a 12 ans. Quelle est la proposition juste ? D dû à une malformation de l'utérus
A la patiente est G6P4 E d'origine toxique
B la patiente est G6P6
C la patiente est G5P4
D la patiente est G6P5
E la patiente est G5P3
QI 77
Quels sont les facteurs de risque du RCIU ?
A âges extrêmes
QI 73 B multiparité
Vous réalisez une cœlioscopie. C milieu socio-économique défavorisé
D antécédents de RCIU
E consommation de toxiques (tabac, alcool)
QI 78
Comment prévenir un RCIU lors de la grossesse
suivante ?
A arrêt du tabac et de l'alcool
B réalisation d'une échographie mensuelle jusqu'à la
fin de la grossesse
C traitement par aspirine en cas de RCIU précoce
dans un contexte vasculaire
D traitement par anticoagulant
E supplémentation en fer per os
Questions isolées
QI 79 QI 85
Parmi les symptômes et signes suivants, lesquels défi- Parmi les infections suivantes, lesquelles s'accom-
nissent une MAP ? pagnent d'un risque de RCIU ?
A douleurs ligamentaires A toxoplasmose
B contractions utérines B parvovirus B19
C modifications cervicales C cytomégalovirus
D pertes de liquide amniotique D rubéole
E augmentation de la hauteur utérine E syphilis
QI 80 QI 86
Quelles sont les caractéristiques des contractions uté- La corticothérapie prescrite dans le cadre d'une MAP :
rines associées à la MAP ? A diminue le risque de maladie des membranes hyalines
A régulières B diminue le risque d'accouchement prématuré
B prolongées C est indiquée jusqu'à 37 SA
C à l'emporte-pièce D diminue le risque d'entérocolite ulcéro-nécrosante
D douloureuses E est administrée à la dose de 0,5 mg/kg par jour
E fréquentes
QI 81 QI 87
Quels éléments sont évocateurs d'une origine vas-
Quels éléments recherchez-vous à l'échographie dans
culo-placentaire face à un RCIU au 5e percentile ?
le cadre d'une MAP ?
A hyperclarté nucale au premier trimestre
A mesure Doppler de la vitesse maximale systolique
B Doppler utérins perturbés
dans l'artère cérébrale moyenne
C apparition dès 16 SA
B évaluation de la quantité de liquide amniotique
D oligoamnios
C position du placenta
E prééclampsie maternelle associée
D estimation de poids fœtal
78
E longueur du col utérin
QI 88
QI 82 Une consommation d'alcool pendant la grossesse
peut être responsable de :
Quels sont les facteurs de risque potentiel de MAP ?
A syndrome de Down
A antécédents d'IVG par aspiration
B RCIU
B travail pénible
C fausse couche
C diabète
D accouchement prématuré
D macrosomie probable
E syndrome d'alcoolisation fœtale
E antécédent d'IVG médicamenteuse
QI 83 QI 89
Quels sont classiquement les éléments de la prescrip- À propos de l'injection d'immunoglobulines anti-Rh D,
tion médicamenteuse d'une MAP ? quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A antibiothérapie préventive, couvrant le strepto- A elle ne s'envisage qu'en cas de groupe rhésus posi-
coque B tif chez la mère
B tocolyse B elle ne s'envisage qu'en cas de groupe rhésus
C corticothérapie de maturation pulmonaire fœtale négatif chez la mère
D héparinothérapie préventive C elle ne sera pas effectuée en cas de père de groupe
E insulinothérapie rhésus négatif
D elle permet de prévenir de l'allo-immunisation
fœtomaternelle
QI 84 E il n'y a pas d'indication à faire une injection systé-
matique au cours de la grossesse en cas de groupe
Quel(s) médicament(s) à visée tocolytique peu(ven)t
rhésus négatif chez la mère
être(s) utilisé(s) ?
A dérivés nitrés
B β2-mimétiques
C inhibiteurs calciques QI 90
D corticoïdes Quelles sont les deux principales causes d'hémorragie
E antagonistes de l'ocytocine sévère au troisième trimestre de la grossesse ?
Questions isolées 2
A l'allo-immunisation fœtomaternelle A la prééclampsie
B la MAP B l'héroïne
C l'hématome rétroplacentaire C la rupture prématurée des membranes
D le placenta accreta D l'existence d'un cordon ombilical court
E le placenta praevia E l'iso-immunisation rhésus
QI 91 QI 96
Quels sont les arguments cliniques permettant de Concernant le diagnostic différentiel de l'héma-
s'orienter vers un placenta praevia ? tome rétroplacentaire, quelle(s) est (sont) la (les)
A une hémorragie de sang foncé proposition(s) exacte(s) ?
B la présence de contractions utérines intermittentes A dans le placenta praevia, il existe une contracture
C la présence d'une contracture utérine permanente utérine
D une HTA B la rupture utérine peut survenir sur un utérus non
E un antécédent de césarienne cicatriciel
C au troisième trimestre de la grossesse, la môle
hydatiforme donne des métrorragies noirâtres
QI 92 D l'hémorragie de Benckiser est liée à la rupture
La survenue d'une hémorragie génitale en cas de pla- d'une artère cervico-vaginale
centa praevia impose : E la fréquence du cancer du col utérin au cours de la
A un bilan à visée étiologique grossesse est inférieure à un pour 1 000
B une surveillance simple
C un traitement à visée tocolytique
Énoncés
D une antibiothérapie QI 97
E une césarienne en urgence
Concernant la clinique de l'hématome rétropla-
centaire, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
QI 93 exacte(s) ?
A le début des symptômes est brutal
À propos du placenta praevia, quelle(s) est (sont) la B durant les semaines précédentes, des métrorragies 79
(les) proposition(s) exacte(s) ? de sang rouges peuvent exister
A un placenta praevia non recouvrant à terme C il existe constamment une hypertension artérielle
impose une césarienne associée
B l'hématome rétroplacentaire et le placenta praevia D il peut exister en cas d'hématome rétroplacentaire
sont deux entités proches uniquement une hypercinésie utérine
C une HTA est fréquemment retrouvée E les métrorragies peuvent être absentes du tableau
D les altérations du rythme cardiaque fœtal sont très clinique
souvent retrouvées
E une corticothérapie prénatale sera réalisée avant
34 semaines en cas de saignement
QI 98
Concernant la biologie de l'hématome rétropla-
QI 94 centaire, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
Concernant l'hématome rétroplacentaire, quelle(s) exacte(s) ?
est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? A il existe constamment une protéinurie
A l'hématome rétroplacentaire complique environ 1 B les transaminases peuvent être élevées
% des grossesses C les plaquettes sont toujours augmentées
B l'hématome rétroplacentaire est un décollement D l'hématocrite peut être élevé
prématuré d'un placenta bas inserré E la connaissance du rhésus maternel est utile à la
C par définition, l'hématome rétroplacentaire sur- prise en charge
vient toujours avant 20 SA
D la mortalité maternelle liée à un hématome rétro-
placentaire peut être secondaire à une coagulation QI 99
intravasculaire disséminée Concernant les complications de l'hématome rétro-
E la mortalité périnatale liée à un hématome rétro- placentaire, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
placentaire est proche de 20 % exacte(s) ?
A la coagulation intravasculaire disséminée corres-
pond à une consommation excessive des facteurs
QI 95 de la coagulation et des plaquettes
Quels sont les facteurs de risque d'hématome B la coagulation intravasculaire disséminée diminue
rétroplacentaire ? les saignements
Questions isolées
QI 102
Concernant le traitement d'une coagulation intra- QI 106
vasculaire disséminée, quelle(s) est (sont) la (les) Concernant les modalités pratiques de prise en charge
proposition(s) exacte(s) ? de l'IVG, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
A il survient dans 90 % des cas d'hématome exacte(s) ?
rétroplacentaire A l'IVG médicamenteuse peut être réalisée jusqu'à
B il nécessite une bonne coopération entre l'obstétri- 15 SA
cien et l'anesthésiste B le délai légal autorisant la pratique de l'IVG est de
C il vise à compenser l'augmentation du fibrinogène 12 SA
observée dans le cas d'une coagulation intravascu- C le principal risque de l'IVG médicamenteuse est la
laire disséminée perforation utérine
D il comprend des culots globulaires et l'apport des D après l'IVG, il faut attendre une semaine avant de
facteurs de la coagulation débuter une contraception orale
E il nécessite initialement le traitement de la cause E la pose d'un dispositif intra-utérin est possible le
de la coagulation intravasculaire disséminée jour même de l'IVG chirurgicale
Questions isolées 2
QI 107 A le DIU présente un risque d'infection pelvienne
B le DIU présente un risque d'infertilité
Concernant les principales complications précoces
C le DIU présente un risque de cancer ovarien
de l'IVG chirurgicale, quelle(s) est (sont) la (les)
D le DIU aux progestatifs est contre-indiqué après
proposition(s) exacte(s) ?
45 ans
A le risque d'endométrite est de 20 %
E le DIU au cuivre est contre-indiqué en cas de mala-
B il existe un risque de complications thromboembo-
die inflammatoire de l'intestin
liques
C il existe un risque de rétention intra-utérine par-
tielle pouvant être à l'origine d'hémorragie
D il existe un risque de perforation utérine secondaire QI 112
E l'OMS retient les valeurs de 0,6 à 1,2 décès pour À propos de l'implant contraceptif, quelle(s) est (sont)
100 000 avortements légaux avant 13 SA la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A l'implant peut entraîner une aménorrhée
B l'implant a une durée d'efficacité diminuée en cas
d'IMC élevé
QI 108 C l'implant est parfois difficilement perçu après la
Concernant « l'IVG en ville », quelle(s) est (sont) la (les) pose
proposition(s) exacte(s) ? D l'implant doit être contrôlé régulièrement par un
A seules les IVG médicamenteuses peuvent être pra- dosage sanguin de son composé actif
tiquées dans le cadre de ce dispositif E l'implant est contre-indiqué en cas d'allaitement
B le délai gestationnel maximum est de 5 semaines
de grossesse
C le délai gestationnel maximum est de 8 semaines
QI 113
Énoncés
d'aménorrhée
D tous les médecins peuvent pratiquer ces IVG À propos de la contraception orale à base de proges-
E le médecin réalisant ces IVG passe une convention tatifs de troisième génération, quelle(s) est (sont) la
avec un établissement de santé autorisé à prati- (les) proposition(s) exacte(s) ?
quer des IVG A il s'agit d'une contraception orale en continu
B il s'agit d'une contraception orale à prendre entre
le 5e et 25e jour du cycle 81
C il s'agit d'une contraception orale nécessitant une
QI 109 prise à heure fixe
À propos de l'implant contraceptif, quelle(s) est (sont) D il s'agit d'une contraception possible dans le
la (les) proposition(s) exacte(s) ? post-partum
A l'implant est composé d'un progestatif E il s'agit d'une contraception contre-indiquée chez
B l'implant a une efficacité diminuée par la prise de la tabagique après 35 ans
médicaments inducteurs enzymatiques
C l'implant est posé à la face interne de la cuisse
D l'implant doit être retiré en cas de chirurgie avec QI 114
alitement postopératoire
Concernant les caractéristiques générales de l'adé-
E l'implant est contre-indiqué en cas d'antécédent
nofibrome, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s)
du cancer du sein
exacte(s) ?
A c'est une prolifération mixte épithéliale et
conjonctive
QI 110 B il touche préférentiellement les patientes méno-
À propos du dispositif intra-utérin (DIU), quelle(s) est pausées
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? C on ne peut pas le visualiser à l'échographie
A le DIU est contre-indiqué chez la nulligeste D on le prend en charge chirurgicalement s'il induit
B le DIU est contre-indiqué chez l'adolescente une gêne fonctionnelle
C le risque de GEU est augmenté en cas de grossesse E c'est une lésion précancéreuse
sur DIU
D le DIU est contre-indiqué en cas d'antécédent de
césarienne QI 115
E le DIU est contre-indiqué en cas d'antécédent
Madame Mona L. a 45 ans. Elle fume et n'est pas
d'endométriose
ménopausée. Sa mère a eu une mastectomie totale
pour cancer du sein à 38 ans. Lors de sa consultation
à votre cabinet, que vous lui prescrivez-vous ?
QI 111 A une IRM mammaire
À propos du dispositif intra-utérin (DIU), quelle(s) est B une mammographie dans le cadre du dépistage
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? individuel du cancer du sein
Questions isolées
QI 119
Parmi ces propositions, quelle(s) est (sont) le (les) QI 124
facteur(s) de mauvais pronostic du cancer du sein ? Concernant le dépistage organisé du cancer du sein,
A grande taille de la tumeur quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
B grade II histopronostique de Scarff-Bloom-Richardson A il est gratuit pour les patientes
C âge > 50 ans B il est annuel
D présence de signes inflammatoires C il correspond à une mammographie composée de
E absence de récepteurs hormonaux deux incidences : face et oblique externe
Questions isolées 2
D si une anomalie est détectée à la première lecture, QI 129
la mammographie doit obligatoirement être relue
Concernant le cancer du col utérin, quelle(s) est (sont)
E il permet le diagnostic précoce de lésions
la (les) proposition(s) exacte(s) ?
infracliniques
A la pratique triennale du frottis réduit le risque de
cancer du col de 90 %
B le frottis cervical a une très bonne sensibilité (> 95
QI 125 %) pour le dépistage du cancer du col
Quels facteurs de risque du cancer du sein sont à l'ori- C dans la majorité des cas, l'HPV est un agent
gine d'une hyperœstrogénie ? pathogène
A un IMC < 25 kg/m2 D sa prévalence le place au deuxième rang des can-
B une grande multiparité cers dans le monde
C une absence d'allaitement maternel E les adénocarcinomes représentent la forme histo-
D des antécédents familiaux de cancer du sein logique la plus fréquente
E une puberté précoce et une ménopause tardive
QI 130
À propos du frottis, quelle(s) est (sont) la (les)
QI 126 proposition(s) exacte(s) ?
Le diagnostic de cancer du sein est apporté par : A le frottis est à réaliser à partir de 20 ans jusqu'à
A une mammographie l'âge de 65 ans
B un examen clinique B le frottis est à réaliser à partir de 25 ans jusqu'à
C une microbiopsie mammaire et examen anatomo- l'âge de 65 ans
pathologique C deux frottis sont réalisés à 1 an d'intervalle puis
Énoncés
D une macrobiopsie mammaire et examen anatomo- tous les 2 ans
pathologique D deux frottis sont réalisés à 1 an d'intervalle puis
E une cytoponction axillaire tous les 3 ans
E il n'y a pas d'indication à réaliser de frottis si la
patiente n'a jamais eu de rapports sexuels et ceci
quel que soit l'âge 83
QI 127
Une patiente de 54 ans a réalisé une mammogra-
phie de dépistage retrouvant une masse de 1 cm du
QI 131
quadrant supéro-externe gauche. L'examen clinique Concernant les propositions recommandées en fonction
ne retrouve pas d'anomalie mammaire ni axillaire. La du résultat cytologique exprimé selon le système Bethesda,
biopsie réalisée retrouve un carcinome canalaire infil- quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
trant de grade II, RH+, HER2-négatif, Ki67 : 7 %. Cela A en cas de frottis ininterprétable, il convient de le
signifie que : refaire entre 3 et 6 mois
A elle peut bénéficier d'une zonectomie avec recherche B les frottis ASCUS doivent bénéficier d'une détec-
du ganglion axillaire sentinelle homolatéral tion HPV
B elle peut bénéficier d'une tumorectomie avec C la seule proposition acceptable pour les frottis LSIL
recherche d'un ganglion sentinelle axillaire senti- est la réalisation d'une colposcopie immédiate
nelle homolatéral D les frottis ASCUS peuvent soit être contrôlés par frottis
C elle recevra de la radiothérapie à 6 mois soit bénéficier d'une colposcopie immédiate
D elle ne pourra pas bénéficier d'un traitement par E les atypies des cellules glandulaires nécessitent un
trastuzumab contrôle par frottis à 3 mois
E le cancer est décrit comme peu proliférant
QI 132
Quels sont les principaux facteurs de risque du cancer
QI 128 du col ?
Cette patiente a été traitée et s'interroge sur la A l'activité sexuelle
surveillance. B l'obésité
A elle répond aux critères de consultation d'oncogé- C le tabagisme
nétique D l'absence de dépistage
B la première mammographie doit être réalisée E la contraception orale
6 mois après la fin du traitement
C la surveillance sera à vie
D elle repose sur un examen clinique et une mammo- QI 133
graphie annuelle Concernant le cancer du col utérin, quelle(s) est (sont)
E la surveillance est multidisciplinaire la (les) proposition(s) exacte(s) ?
Questions isolées
QI 135 QI 140
Concernant les marqueurs biologiques des tumeurs À propos de la ligature tubaire, quelle(s) est (sont) la
gynécologiques, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) (les) proposition(s) exacte(s) ?
exacte(s) ? A l'âge minimal est de 41 ans
A le marqueur du cancer du sein est le CA 15-3 B elle nécessite deux consultations avec un délai de
84 B dans le cancer du col de l'utérus, on peut doser réflexion de 4 mois
l'ACE C elle est définitive
C en cas de cancer de l'ovaire, il est recommandé de D elle ne se réalise qu'au cours d'une césarienne
doser CA 125, CA 19-9 et ACE E elle peut se faire par hystéroscopie
D chez la femme jeune avec cancer de l'ovaire, on F un contrôle par hystérosalpingographie est recom-
peut aussi doser β-hCG et PSA mandé afin de s'assurer de la réussite de la ligature
E le marqueur du cancer de l'endomètre est le SCC tubaire
QI 141
QI 136 Quels sont les facteurs de risque du cancer de
Une patiente de 60 ans sans suivi gynécologique se l'endomètre ?
présente à votre consultation pour une douleur du A la nulliparité
sein droit. À l'examen, vous découvrez une lésion B la multiparité
d'environ 3 cm du quadrant supéro-externe du sein C l'obésité
droit, ulcérée à la peau, avec la palpation d'un gan- D l'exposition aux progestatifs
glion axillaire droit mobile. Quel est le stade TNM ? E la ménopause précoce
A T2N1Mx F la puberté précoce
B T4N2Mx G l'hypertension artérielle
C T3N3Mx H le tabac
D T4N1Mx
E T2N2Mx
QI 142
Quelle est la première cause de découverte des
QI 137 fibromes ?
Quels sont les critères échographiques en faveur A des ménorragies
d'une tumeur ovarienne maligne ? B des métorrragies
A végétations exokystiques C des douleurs pelviennes
B taille supérieure à 4 cm D une constipation
C paroi fine E une pollakiurie
D hétérogénéité F une pesanteur pelvienne
E cloisons intrakystiques G au cours d'un examen systématique
Questions isolées 2
QI 143 A le schéma vaccinal est à réaliser sur des patientes
âgées de 12 à 14 ans
Concernant le frottis cervico-vaginal, quelle(s) est
B le dépistage du cancer du col de l'utérus, au
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
même titre que le cancer du sein, est un dépistage
A il permet de dépister la présence d'HPV
systématisé
B il dépiste le cancer du col
C la vaccination pourra être réalisée si le frottis cervi-
C il dépiste le cancer de l'endomètre
covaginal est négatif
D il se réalise sur lame
D le frottis cervicovaginal est à réaliser tous les ans
E il n'est plus recommandé après la ménopause
chez les femmes ayant une activité sexuelle
E le frottis cervicovaginal permet d'établir le diag-
nostic de cancer du col
QI 144
Que doivent faire évoquer en premier lieu des métror-
ragies post-ménopausiques ? QI 148
A un utérus polymyomateux En ce qui concerne les cancers de l'endomètre,
B un cancer du col utérin quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
C un cancer de l'endomètre A l'échographie est un bon test de dépistage
D un cancer de la vulve B le diabète est un facteur de risque
E une adénomyose C les femmes jeunes ne développent pas de cancer
de l'endomètre ; c'est un cancer spécifique de la
femme ménopausée
QI 145 D les facteurs pronostiques sont : le grade et le type
histologique, le stade FIGO
Énoncés
Quels examens complémentaires prescrivez-vous en
E le tamoxifène, qui est un anti-œstrogène, protège
première intention chez une patiente de 25 ans se
du cancer de l'endomètre
présentant aux urgences gynécologiques pour dou-
leurs pelviennes d'apparition brutale ?
A bandelette urinaire
B NFS QI 149
85
C CRP En ce qui concerne les cancers du sein, quelle(s) est
D β-hCG plasmatiques (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
E échographie pelvienne par voie sus-pubienne A le dépistage national se fait de 50 à 64 ans
F échographie pelvienne par voie endovaginale B les lésions classées ACR 4 et ACR 5 nécessitent
G scanner abdomino-pelvien un prélèvement pour examen anatomopatholo-
H abdomen sans préparation de face gique
I procalcitonine C un adénofibrome chez la femme jeune nécessite
en toutes circonstances une exérèse pour examen
histologique
D lors de la prise en charge d'un carcinome intraca-
QI 146 nalaire, il n'est pas nécessaire de réaliser un bilan
Quel diagnostic évoquez-vous en première intention d'extension
chez une femme jeune se présentant aux urgences E il est nécessaire de réaliser une recherche de gan-
pour douleurs pelviennes ? glions sentinelles lors d'une tumorectomie pour
A torsion annexielle carcinome in situ
B GEU
C rupture de kyste
D syndrome menstruel
E cystite
QI 150
F appendicite En ce qui concerne les cancers du sein, quelle(s) est
G endométriose (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A après chimiothérapie néoadjuvante, une mastecto-
mie totale sera toujours proposée
B lors du bilan d'extension, une scintigraphie osseuse
QI 147 doit être réalisée lorsqu'un TEP-TDM ne peut être
Une de vos patientes ayant un antécédent de réalisé
CIN 2, lors de son suivi annuel vous fait part de C le CA 19-9 peut être utilisé pour le suivi
son inquiétude concernant sa fille. Leur médecin D la radiothérapie du creux axillaire doit être réalisée
traitant ne veut pas réaliser le vaccin contre le HPV en cas d'atteinte de celui-ci
(papillomavirus humain) car celle-ci est âgée de E le repérage du ganglion sentinelle se fait par
19 ans. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) une injection de bleu de méthylène et de
exacte(s) ? gadolinium
Questions isolées
QI 158
Parmi les situations suivantes, lesquelles contre-
indiquent un traitement par méthotrexate pour une
GEU ?
A insuffisance rénale chronique
B hématosalpinx mesuré à 2 cm
C patiente à risque de suivi défectueux (habitant loin
d'un centre chirurgical, parlant mal la langue…)
D activité cardiaque visible dans la masse latéro-utérine
E score de Fernandez à 7
QI 159
Énoncés
Voici un enregistrement électrocardiotocographique.
87
QI 162 QI 167
Les malformations cardiaques sont fréquentes chez La nutrition de la femme enceinte comporte des parti-
les sujets atteints de trisomie 21. Laquelle de ces mal- cularités qu'il est important de connaître pour pouvoir
formations est la plus fréquente ? adapter un régime voire introduire une supplémen-
A communication interventriculaire tation. Quelles sont les supplémentations à proposer
B communication inter-atriale systématiquement lors de toute grossesse ?
C tétralogie de Fallot A supplémentation en fer
D canal atrioventriculaire B supplémentation en vitamine B9
E canal artériel persistant C supplémentation en vitamine B12
D supplémentation en vitamine D
E supplémentation en iode
QI 163
Le travail se déroule en quatre étapes. La deuxième
étape du travail qui correspond à la descente du QI 168
mobile fœtal dans la filière génitale se décompose en Le retard de croissance intra-utérin (RCIU) peut être
trois phases. Quelles sont-elles ? d'origine placentaire. Parmi les anomalies placentaires
A dilatation cervicale macroscopiques suivantes, laquelle (lesquelles) peut
B engagement (peuvent) causer un RCIU ?
C délivrance A placenta praevia recouvrant
D dégagement B placenta circumvallata
E descente C placenta avec insertion vélamenteuse du cordon
D placenta bi-partita
E placenta accreta
QI 164
La mucoviscidose est une maladie génétique fré-
quente. Quelle est la proposition exacte concernant
QI 169
88 les caractères génétiques de cette maladie ? L'hématome rétroplacentaire est une urgence obsté-
A maladie chromosomique autosomique dominante tricale qui impose une extraction fœtale en urgence.
B maladie chromosomique autosomique récessive Quels signes cliniques sont en faveur de ce diagnostic ?
C maladie génique autosomique dominante A utérus de bois
D maladie génique autosomique récessive B utérus en sablier
E maladie génique gonosomique dominante C saignement rouge et abondant d'origine endo-utérine
D saignement noirâtre et peu abondant d'origine
endo-utérine
E contractions utérines fréquentes et régulières
QI 165
L'allaitement maternel doit être privilégié selon
l'OMS qui a émis des recommandations sur le sujet. QI 170
Il existe néanmoins certaines contre- indications à
Certains médicaments sont contre-indiqués pendant
respecter. Quelles sont les contre-indications abso-
la grossesse notamment pour leur effet tératogène.
lues maternelles parmi les propositions suivantes ?
Parmi les médicaments suivants, lesquels sont térato-
A infection en cours à VHB
gènes chez le fœtus ?
B infection en cours à VHC
A valproate de sodium
C infection en cours à VIH
B hydroxychloroquine
D infection en cours à Treponema pallidum
C ramipril
E infection en cours à Trypanosoma cruzi
D halopéridol
E gentamycine
QI 166
L'endométrite du post-partum est une complication QI 171
infectieuse possible lors des suites de couches. Quels Chez une patiente non immunisée contre la toxoplas-
sont les facteurs de risque de cette pathologie ? mose, quelles règles hygiéno-diététiques préconisez-vous ?
A accouchement par césarienne A éviter les enfants en bas âge
B MAP B éviter les fromages à pâte molle
C révision utérine pour délivrance artificielle C éviter le contact avec les félidés domestiques
D choriocentèse à 17 SA D éviter le contact direct avec la terre
E travail long E éviter la consommation d'œufs crus
Questions isolées 2
QI 172 C peut ne pas être associée à une fièvre maternelle
D peut être suspectée sur la présence de bacilles
Sont des facteurs de risque thromboemboliques :
Gram-positifs au prélèvement vaginal
A une pilule œstroprogestative de seconde génération
E est traitée par l'association bactéricide amoxicilline
B une mutation hétérozygote du facteur V
et aminosides
C une contraception microprogestative
D une contraception macroprogestative
E toute intervention chirurgicale
QI 178
Une prééclampsie au cours de la grossesse est sévère :
QI 173 A en cas d'association à un RCIU
Sont des facteurs de risque de travail prématuré : B en cas de protéinurie supérieure à 5 g/24 heures
A un antécédent d'accouchement prématuré C en cas d'insuffisance rénale associée
B une grossesse gémellaire D en cas d'association à un HELLP syndrome
C une hypertension artérielle E en cas d'œdèmes majeurs des membres inférieurs
D une activité sportive modérée et du visage
E des métrorragies du second trimestre
QI 179
QI 174
La prise en charge d'une MAP :
Quels sont les moyens de prévention de la prématu- A peut comprendre un inhibiteur calcique
rité chez une patiente ayant un antécédent d'accou- B implique le repos allongé le plus longtemps
chement prématuré ? possible
A l'arrêt du tabac
Énoncés
C associe une corticothérapie anténatale pour dimi-
B le repos au lit nuer la morbi-mortalité néonatale
C la progestérone D associe une antibiothérapie par amoxicilline
D l'aspirine E associe une antibiothérapie par pénicilline G
E un arrêt de travail avant 10 SA
89
QI 175 QI 180
Un HELLP syndrome est : Une crise comitiale pendant la grossesse chez une
A toujours associé à une prééclampsie femme sans antécédents médicaux :
B implique en général un accouchement rapide A fait évoquer en premier une éclampsie
C doit faire prescrire une corticothérapie anténatale B est le plus fréquemment associée à une thrombo-
pour diminuer le risque de thrombopénie phlébite cérébrale
D associe une thrombopénie, une hémolyse, une C fait rechercher une tumeur cérébrale
augmentation des transaminases et une diminu- D fait rechercher une protéinurie et une hypertension
tion du facteur V artérielle
E peut être associé à un hématome sous-capsulaire E implique une extraction fœtale en cas d'éclampsie
du foie
QI 181
QI 176
Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont)
Des nausées et des vomissements au cours de la une (des) contre-indication(s) absolue(s) à un traite-
grossesse : ment œstroprogestatif ?
A peuvent être associés à une hyperthyroïdie au pre- A le tabac
mier trimestre de la grossesse B l'obésité
B peuvent être associés une élévation des transami- C un mauvais état veineux des membres inférieurs
nases au premier trimestre de la grossesse D un diabète insulinodépendant
C peuvent être un symptôme de stéatose aiguë E une cardiopathie arythmique
gravidique
D peuvent être un symptôme de prééclampsie
E peuvent être un symptôme d'appendicite
QI 182
Quels sont les effets à court terme de la ménopause ?
QI 177 A spanioménorrhée
La listériose au cours de la grossesse : B bouffées de chaleur
A survient plus volontiers au deuxième trimestre C troubles de l'humeur
B peut provoquer une chorioamniotite par voie D ostéoporose
ascendante E augmentation du risque cardiovasculaire
Questions isolées
QI 185 QI 190
Quels sont les signes qui font partie du syndrome cli- À propos de l'IRM mammaire, quelles propositions
matérique de la ménopause ? sont exactes ?
A les bouffées de chaleur A l'IRM mammaire est un examen de première
B l'incontinence urinaire d'effort intention
C l'ostéoporose B l'IRM mammaire est un examen de deuxième
D les troubles de l'humeur intention
90 C l'IRM mammaire doit être réalisée en deuxième
E l'alopécie
partie de cycle
D la surveillance d'une patiente mutée BRCA peut
être une indication d'IRM mammaire
QI 186 E la chimiothérapie néoadjuvante est une indication
Quelles sont les recommandations pour le THS ? d'IRM mammaire
A l'indication principale en est « les troubles invali-
dants du climatère »
B œstrogènes seuls en cas d'antécédent d'hystérec-
tomie
QI 191
C pas plus de 10 ans Quelle(s) proposition(s) vous semble(nt) exacte(s) à
D commencer par la dose la plus basse en propos du bilan d'extension d'un cancer du sein ?
œstrogènes A la taille de la tumeur et l'envahissement ganglion-
E privilégier les progestatifs par voie transcutanée naire sont les deux principaux facteurs prédictifs de
métastases asymptomatiques
B les sites métastatiques préférentiels sont les gan-
glions axillaires, les os, le cerveau et les poumons
QI 187 C il n'y a pas d'indication à réaliser un bilan d'exten-
Quelles sont les contre-indications formelles au THS ? sion en cas de tumeur classée T1
A antécédent familial de cancer du sein D il n'y a pas d'indication à réaliser un bilan d'exten-
B antécédent personnel de cancer du sein sion en cas de tumeur classée T2
C antécédent personnel de phlébite E il y a une indication à réaliser un bilan d'extension
D antécédent personnel d'HTA sévère en cas de tumeur classée T4 et suspicion d'envahis-
E antécédent de cancer de l'ovaire sement ganglionnaire clinique
QI 188 QI 192
Que doit comporter l'examen clinique mammaire ? À propos de la classification TNM des cancers du sein,
A un interrogatoire recherchant les facteurs de risque quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
du cancer du sein A une tumeur de 5 mm correspond à un stade TNM T1a
B la taille de soutien-gorge B une tumeur de 5 mm correspond à un stade TNM
C un examen bilatéral et comparatif des seins T1b
Questions isolées 2
C le stade T4a correspond à une extension à la peau QI 197
D le stade T4b correspond à une extension à la paroi
Parmi les propositions suivantes, lesquelles décrivent
thoracique
une mammographie normale ?
E le stade T4c correspond à un cancer inflammatoire
A ACR 0
B ACR 1
C ACR 2
QI 193 D ACR 3
Concernant la vaccination anti-HPV, quelle(s) est E ACR 4
(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
A elle concerne les jeunes filles de 11 à 14 ans.
B elle est prise en charge à 100 % par la CPAM QI 198
C il s'agit d'une méthode de prévention secondaire Quels sont les critères de malignité d'une tumeur de
D il existe une vaccination de rattrapage jusqu'à l'ovaire ?
23 ans pour les patientes vierges ou dans la pre- A absence de végétation endo- ou exokystique
mière année suivant les rapports sexuels. B kyste uniloculaire
E elle dispense d'un dépistage ultérieur par frottis C contenu homogène
cervico-utérin D cloisons intrakystiques
E hypervascularisation au Doppler
QI 194 QI 199
Concernant le dépistage du cancer du sein, quelle(s) Quel est le principal facteur de risque clinique du can-
Énoncés
est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? cer de l'endomètre parmi les suivants ?
A il s'agit d'un dépistage individuel A tabagisme
B il est obligatoire pour toutes les femmes de 50 à B âge
75 ans C obésité
C il est réalisé par une mammographie tous les 2 ans D multiparité
D les clichés sont lus par deux radiologues différents E HTA 91
E il est pris en charge à 100 % par la CPAM
QI 200
QI 195 Concernant le frottis cervico-utérin, quelle(s) est (sont)
Concernant le cancer du sein, quelle(s) est (sont) la la (les) proposition(s) exacte(s) ?
(les) proposition(s) exacte(s) ? A il s'agit d'un examen de dépistage
A c'est le cancer le plus fréquent chez la femme B il s'agit d'un examen anatomopathologique
B il n'existe pas chez l'homme C il est proposé à partir de 25 ans
C les patientes avec une mutation du gène BRCA1 D un FCU anormal justifie la réalisation d'une
ou du gène BRCA2 développent des cancers plus conisation
agressifs E il peut se réaliser sur lame ou en phase liquide
D le traitement réside principalement en une chimio-
thérapie seule
E l'histologie la plus fréquente est le carcinome lobu- QI 201
laire infiltrant
Quelle(s) est (sont) votre (vos) option(s) face un frottis
revenu ASC-US ?
A conisation
QI 196 B colposcopie ± biopsies cervicales
C contrôle du FCU à 6 mois
Concernant le cancer du sein, quelle(s) est (sont) la
D contrôle du FCU à 1 mois
(les) proposition(s) exacte(s) ?
E test HPV
A tous les cancers du sein nécessitent un traitement
adjuvant par Herceptin
B le scanner cérébral fait partie du bilan d'extension
standard QI 202
C la technique du ganglion sentinelle peut être pro- Concernant le cancer de l'endomètre, quelle(s) est
posée pour des tumeurs de moins de 2 cm (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
D la nulliparité apparaît comme un facteur de risque A une pipelle de Cornier négative permet d'éliminer
de cancer du sein le diagnostic avec certitude
E l'IRM mammaire a tendance à supplanter la mam- B il s'agit d'un cancer gynécologique rare
mographie dans le dépistage du cancer du sein C le principal symptôme est la métrorragie post-coïtale
Questions isolées
Énoncés
de la grossesse E épisiotomie
93
7KLVSDJHLQWHQWLRQDOO\OHIWEODQN
II
Corrigés
7KLVSDJHLQWHQWLRQDOO\OHIWEODQN
3
CHAPITRE
3
Cas cliniques corrigés
Corrigés
dépistage prévus par la loi. et compliquée.
Question 3 t #ø%JBHOPTUJDGBJUTVSMFEPTBHFEFTTFMTCJMJBJSFT
Réponse : E. pas le contexte ici.
Commentaire : le syndrome de l'X fragile est la pre- t $ø%JBHOPTUJDEhÏMJNJOBUJPOEFWBOUVOFUISPNCP-
mière cause de déficience mentale héréditaire. Les gar- pénie chez la femme enceinte.
çons sont malades et les femmes sont conductrices. t %ø 5SJBEFø IÏNPMZTF
DZUPMZTF IÏQBUJRVF FU
UISPNCPQÏOJF
Question 4
3ÏQPOTFø% Question 12
Question 5 Réponse : B.
3ÏQPOTFø$
% Commentaire : on vous demande de choisir une seule
Commentaire : retenez dans les maladies liées à l'X : WBDDJOBUJPO-BNJTFËKPVSEVWBDDJODPOUSFMBSVCÏPMF
les femmes sont conductrices et les hommes sont est majeure ici.
malades ; il n'y a pas de transmission père-fille.
Question 13
Question 6 3ÏQPOTFø"
#
$
%
3ÏQPOTFø"
#
$
%
& Commentaire : les autres complications fœtales de la
Commentaire : la difficulté dans ce cas serait d'avoir SVCÏPMFDPOHÏOJUBMFTTPOUMFTBOPNBMJFTDÏSÏCSBMFTFU
un fœtus de sexe féminin ; dans ce cas, il n'est pas les anomalies ophtalmologiques.
QPTTJCMFEFQSÏDJTFSBVDPVQMFTJMhFOGBOUTFSBTZNQUP- t "ø "QSÒT ø 4"
JM OhZ B BVDVO SJTRVF
matique ou non. malformatif.
Question 7 Question 14
Réponse : C, E. Réponse : B, C, E.
Commentaire : Commentaire :
t "ø/PODhFTUMFHÒOFFMR1. t #ø6OGBDUFVSEFSJTRVFøÉHF> øBOT
t %ø®QBSUJSEFMBQVCFSUÏ t $ø ® SFDPNNBOEFS EFWBOU MhBOUÏDÏEFOU EF QSÏ
t &ø.BMBEJFTPVTEJBHOPTUJRVÏFDBSNÏDPOOVF éclampsie sévère.
Gynécologie-Obstétrique
© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
Cas cliniques corrigés
11 A, B, C 6 D Question 3
Réponse : C. 99
12 B 10 Commentaire : les mutilations sexuelles concernent
Corrigés
13 A, B 8 ø NJMMJPOT EF GFNNFT EBOT MF NPOEF &O 'SBODF
des peines sont prévues par le Code pénal pour l'au-
Total 100
UFVSEhVOFNVUJMBUJPO6OFPCMJHBUJPOEFTJHOBMFNFOU
existe sous peine d'être poursuivi pour non-assistance
à personne en danger.
t "ø4.;
t $ø 0O OPUF MhBCTFODF EV DBQVDIPO FU HMBOE DMJ-
toridien, ainsi qu'une excision des petites lèvres. Il
Pour aller plus loin s'agit d'une excision grade II.
Corrigés
souvent, elle est favorisée par la rétention de matériel à cause du sang, mais il existe un doute de fis-
endo-utérin. TVSBUJPO EFT NFNCSBOFT
JM GBVU EPOD QSÏWFOJS
MhJOGFDUJPONBUFSOPGUBMFQBSVOFBOUJCJPUIÏSBQJF
Question 7 QSPCBCJMJTUF
Réponse : A, B, E. t $
4.;ø1BTEFUPDPMZTFEBOTVODPOUFYUFEhJOGFD-
Commentaire : éliminer une infection quel qu'en soit tion avec doute sur une rupture : tocolyser un cho-
le site, à l'origine de contractions ; mesurer la lon- rioamniotite est tout simplement uen erreur.
gueur cervicale efficace. t &ø-FTVMGBUFEFNBHOÏTJVN IPSTQSPHSBNNF
FTU
t $ø3$'JNQPTTJCMFBWBOUø4" un neuroprotecteur pour le grand prématuré. Il
t %ø,MFJIBVFSJOVUJMFøQPVSSFDIFSDIFSVOFIÏNPS- peut être administré en cas de risque d'accouche-
ragie fœtomaternelle. ment prématuré imminent < 32 SA.
Question 8 Question 13
Réponse : B, C. Réponse : A, B, C, E.
Commentaire : Commentaire : le cinquième critère est la sollicitation
t "ø %ÒT ø 4"
MB WJBCJMJUÏ 0.4 FTU BDRVJTFø EVDPMQBSMFNPCJMFGUBMFUOPOMBQSÏTFOUBUJPOEF
EPOD ."1 FU OPO NFOBDF EF GBVTTF DPVDIF DFEFSOJFS$IBRVFJUFNFTUDPUÏEFËø6ODPMFTU
tardive. GBWPSBCMFËMhBDDPVDIFNFOUEÒTRVFMFTDPSFFTU≥ 6.
t #ø -B QSPUSVTJPO FO j6x EF MB QPDIF EFT FBVY
WJTJCMFJDJFUMFTBOUÏDÏEFOUTEF.BEBNFø'MBJTTFOU Question 14
TVTQFDUFSVOFCÏBODFDFSWJDBMF Réponse : B, E.
Commentaire :
Question 9 t #ø -FT BOPNBMJFT EV 3$' MBJTTFOU QSÏTBHFS VO
3ÏQPOTFø#
$
% EÏCVU EhJOGFDUJPO NBUFSOPGUBMF 7PVT SJTRVF[
Commentaire : la conisation et l'antécédent de l'asphyxie fœtale aiguë et les séquelles neurolo-
DVSFUBHF QPVS MB NÙMF IZEBUJGPSNF TPOU Ë MhPSJHJOF HJRVFT JOGFDUJFVTFTy ±B OF TFSU QMVT Ë SJFO EhBU-
d'une incompétence cervicale : vous pouvez voir ici tendre → césarienne.
MB QPDIF EFT FBVY CPNCFS EBOT MF DBOBM DFSWJDBM FU t &ø*MGBVUBSSÐUFSMFTVMGBUFEFNBHOÏTJVN JOUFSBD-
MhPSJGJDFJOUFSOFPVWFSU-FUBCBHJTNFBDUJGQFOEBOUMB UJPOBWFDMFTQSPEVJUTBOFTUIÏTJBOUT
EFQMVT
TPO
HSPTTFTTFFTUVOGBDUFVSEFSJTRVFEFGBVTTFDPVDIF FGGFUCÏOÏGJRVFOFVSPQSPUFDUFVSFTUPCUFOVBQSÒT
prématurité. VOFQFSGVTJPOEFøNJOVUFT
Cas cliniques corrigés
t "ø1BTEFDPSUJDPÕEFT*MGBVUøIFVSFTQPVSRVF
MFVSFGGJDBDJUÏTPJUQBUFOUF1BSBJMMFVSTWPVTSJTRVF[ Césarienne : conséquences et indications (CNGOF,
EhÐUSF QMVT JBUSPHÒOFT RVF CÏOÏGJRVFTø MFT DPSUJ- 2000). ( http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/
DPÕEFTWPOUDSÏFSVOFEÏQSFTTJPOEFMhBYFDPSUJDP- PURPC_08.HTM).
trope du nouveau-né et une mauvaise adaptation
à la vie extra-utérine. Fiche de synthèse : voir p. 148.
Question 15
Réponse : A, B, C.
Commentaire : Cas clinique 5
t "ø%ÏGBVUEFSÏTPSQUJPODBSDÏTBSJFOOF Question 1
t #ø*OGFDUJPONBUFSOPGUBMF
DBSDPOUFYUFEFQSP- Réponse : A, C.
CBCMFDIPSJPBNOJPUJUF Commentaire :
t $ø.BMBEJFEFTNFNCSBOFTIZBMJOFT
DBSQSÏNBUV- t #ø$FSUBJOT%*6TPOUVUJMJTÏTøBOTNBJOUFOBOU MFT
risme important. OPVWFBVY%*6ËMBQSPHFTUÏSPOF
t &ø1BTEFNÏDPOJVNÏNJT
QBTEhJOIBMBUJPONÏDP- t %ø-FNÏDBOJTNFEhBDUJPOQSJODJQBMFTUMBHÐOFËMB
niale suspectée. nidation : la présence du stérilet rend l'endomètre
architecturalement impropre à la nidation.
Grille d'évaluation t &ø-FT"*/4OFTPOUQMVTDPOUSFJOEJRVÏTDIF[MB
No Réponses Points PMZ SMZ QBUJFOUFQPSUFVTFEhVO%*6DhFTUJEÏFGBVTTFRVF
1 A, B, D, E 7 de penser que la contraception est simplement liée
à une inflammation et qu'empêcher cette dernière
2 A, B, D 7 SFOEMF%*6OPOFGGJDJFOU
3 A, B, D 7 Question 2
4 A, D, E 7 3ÏQPOTFø"
#
$
%
5 A, D, E 7 Question 3
Réponse : A, E.
6 B, C 6
$PNNFOUBJSFø OhPVCMJF[ QBT MB QSJTF FO DIBSHF EV
102 7 A, B, E 7 partenaire sexuel ; il faut en théorie également réaliser
8 B, C 6 VOEÏQJTUBHFEFT*45
9 B, C, D 7 Question 4
3ÏQPOTFø"
#
%
&
10 B 5 Commentaire :
11 A, C, D, E 7 t "ø*MFTUSFDPNNBOEÏEFËøBOT
12 A, B, E 7 C t $ø$hFTUVOFBOBMZTFDZUPMPHJRVFRVJOÏDFTTJUFVOF
analyse histologique en cas d'anomalie.
13 A, B, C, E 7
Question 5
14 B, E 6 3ÏQPOTFø$
%
15 A, B, C 7 $PNNFOUBJSFø PO QFVU QSPQPTFS EF SFGBJSF VO '$7
mais à 6 mois.
Total 100
Question 6
Réponse : B, C, E.
Commentaire :
Pour aller plus loin t "ø$hFTUVOQBQJMMPNBWJSVT
t $ø-FTGBDUFVSTEFSJTRVFEh)17TPOUøMhBOUÏDÏEFOU
Principaux items abordés : Eh*45 IFSQÒT
FUMhBOUÏDÏEFOUEh*7(ËVOÉHFQSÏ-
item 22 : Grossesse normale DPDF EPODSBQQPSUTTFYVFMTQSÏDPDFT
item 23 : Principales complications de la grossesse Question 7
item 26 : Prévention des risques fœtaux Réponse : B, C, E.
item 33 : Suites de couches pathologiques : patho- Commentaire :
logie maternelle dans les 40 jours t "ø *M OhZ B QBT EhJOUÏSÐU Ë SÏBMJTFS VOF BOBMZTF
extemporanée car on ne va pas réaliser le reste de
Référence : la prise en charge immédiatement, même en cas
Maladies trophoblastiques gestationnelles (môles de malignité.
hydatiformes et tumeurs trophoblastiques gestation- t %ø -hBDJEF BDÏUJRVF CMBODIJU MB [POF EF KPODUJPO
nelles). (CNGOF, avril 2010). (http://www.cngof.asso. comme les lésions dysplasiques, donc il ne permet
pas de les séparer, simplement de repérer la jonc-
fr/D_TELE/100611_maladies_trophoblastiques.pdf).
tion épithélio-glandulaire.
Cas cliniques corrigés 3
Question 8 Question 15
Réponse : B, E. Réponse : A, B.
Commentaire : la présence de lésions dysplasiques de $PNNFOUBJSFø MFT DSJUÒSFT EV TDPSF EF 'FSOBOEF[
haut grade est une indication à réaliser une conisation sont :
UIÏSBQFVUJRVF4JMFTCFSHFTTPOUTBJOFT
JMGBVESBTJN-
QMFNFOUDPOUSÙMFSËøNPJTQVJTøBOQBSVOFOPVWFMMF 1 2 3
colposcopie.
Âge gestationnel >8 7–8 <6
Question 9 (SA)
3ÏQPOTFø"
#
$
% Taux d'hCG < 1 000 1 000–5 000 > 5 000
Commentaire : (mUI/ml)
t $ø .BMHSÏ MhIZQFSUIFSNJF
WPVT OF QPVWF[ QBT
DPNQMÒUFNFOU ÏDBSUFS VOF (&6 JDJ 5PVUFT EPV- Taux de <5 5–10 > 10
leurs pelviennes chez une femme en âge de pro- progestérone
DSÏFSyet cette jeune femme qui a déjà présenté (ng/ml)
VOF JOGFDUJPO HÏOJUBMF QFVU USÒT CJFO BWPJS VOF Douleurs Absente Provoquée Spontanée
QBUIPMPHJFUVCBJSF
Hématosalpinx <1 1–3 >3
t &ø -B DPMJRVF OÏQISÏUJRVF BTTPDJÏF Ë VOF IZQFS-
thermie est une colique néphrétique compliquée :
(cm)
VOFQZÏMPOÏQISJUFPCTUSVDUJWF Hémopéritoine 0 1–100 > 100
(ml)
Question 10
3ÏQPOTFø"
#
$
%
Commentaire : avant la cœlioscopie, il vous faut une Un score corrigé > TBOT QSFOESF MB QSPHFTUÏSPOF
CJPMPHJFFUTVSUPVUVOFÏDIPHSBQIJFQFMWJFOOF ou entier > 12 est une indication au traitement
chirurgical.
Question 11 Les autres contre-indications au traitement médical
3ÏQPOTFø#
%
& sont :
Commentaire : t MhÏMPJHOFNFOUQBSSBQQPSUBVDFOUSFEFTPJOT 103
t "ø 43*4 BTTPDJÏ Ë VO QPJOU EhBQQFM JOGFDUJFVY t MhBCTFODFEFDPNQSÏIFOTJPO
→ sepsis. t MBNBVWBJTFPCTFSWBODFBUUFOEVF
Corrigés
t #ø 4FQTJT BTTPDJÏ Ë VO USPVCMF IÏNPEZOBNJRVF t VOFJOTVGGJTBODFSÏOBMFPVIÏQBUJRVF
VOFDZUPQÏOJF
IZQPUFOTJPO BSUÏSJFMMF FU UBDIZDBSEJF
→ spesis t VO SFGVT EF MB QBUJFOUF BV USBJUFNFOU NÏEJDB-
sévère. menteux.
Question 12
Grille d'évaluation
Réponse : A, E.
Commentaire : No Réponses Points PMZ SMZ
t "ø -hBOUJCJPUIÏSBQJF EFT JOGFDUJPOT HÏOJUBMFT 1 A, C 7
IBVUFT FTU EFQVJT ø NÏUSPOJEB[PMF + cef-
triaxone + ofloxacine. 2 A, B, C, D 7
t #ø-BDMJPTDPQJFFTUÏHBMFNFOUUIÏSBQFVUJRVFø 3 A, E 5
FMMF WB QFSNFUUSF EF NFUUSF Ë QMBU MhBCDÒT UVCP 4 A, B, D, E 7
ovarien ou le pyosalpinx retrouvé ; elle est utile
également pour réaliser l'adhésiolyse. 5 C, D 7
6 B, C, E 7
Question 13
3ÏQPOTFø#
% 7 B, C, E 7
Commentaire : 8 B, E 7
t "ø4.;-F%*6EPJUBCTPMVNFOUÐUSFÙUÏFUFOWPZÏ 9 A, B, C, D 7
FODVMUVSFCBDUÏSJPMPHJRVF
t $ø -B DPOUSFJOEJDBUJPO SFMBUJWF BVY BOUÏDÏ- 10 A, B, C, D 7
dents d'infection génitale haute n'est plus 11 B, D, E 7
vraie ; mais si on pose de nouveau un disposi-
UJG
DFTFSBËEJTUBODFFUBQSÒTCJMBOJOGFDUJFVY 12 A, E 7
négatif. 13 B, D 7 A
Question 14 14 B, D, E 4
3ÏQPOTFø#
%
& 15 A, B 7
Commentaire :
t $ø&MMFOhBQMVTTPO%*6FOUIÏPSJF Total 100
Cas cliniques corrigés
Question 5
Pour aller plus loin Réponse : C.
Commentaire :
Principaux items abordés :
t "ø4.;4BDSVN→ Repère d'une présentation du
item 23 : Principales complications de la grossesse siège.
item 30 : Accouchement, délivrance et suites de t #ø.FOUPO→ Repère d'une présentation de la face.
couches normales t $ø0DDJQVU
item 33 : Suites de couches pathologiques : patho- t %ø/F[→ Repère d'une présentation du front.
logie maternelle dans les 40 jours t &ø "DSPNJPO → Repère d'une présentation de
l'épaule.
Référence :
Question 6
Les infections génitales hautes (CNGOF, 2012). Réponse : A, E.
( http://www.cngof.asso.fr/D_TELE/RPC_ $PNNFOUBJSFø0*(" øEFTDBT
> 0*%1> 0*(1
> 0*%"
infections_2012.pdf).
Prévention du cancer du col de l'utérus (CNGOF, Question 7
Réponse : A.
décembre 2007). ( http://www.cngof.asso.
#PV$PV%PV&ø4.;
fr/D_PAGES/PURPC_19.HTM).
Prise en charge de la grossesse extra-utérine Question 8
Réponse : B.
(CNGOF, 2003). ( http://www.cngof.asso. Commentaire : pertes > ø NM EBOT MFT ø IFVSFT
fr/D_PAGES/PURPC_11.HTM). suivant l'accouchement.
"PV$PV%PV&ø4.;
Fiche de synthèse : voir p. 150.
Question 9
3ÏQPOTFø" 1.;
# 1.;
$ 1.;
Cas clinique 6 Commentaire :
Question 1 t "ø6OFWFTTJFSFNQMJFFNQÐDIFMhVUÏSVTEFTFSÏUSBDUFS
3ÏQPOTFø# 1.;
% 1.;
t #ø4ZTUÏNBUJRVF
104 t %ø4.;4FDPOEFMJHOF
Commentaire :
t "ø4.;5FSNFFOUSFFUø4"EPODBCTFODFEF t &ø4.;5SPJTJÒNFMJHOF
prématurité. Question 10
t #ø $POUSBDUJPOT VUÏSJOFT > QBS ø NJOVUFT Réponse : B, E.
+ modification cervicale > ø4" Commentaire :
t $ø4.;3VQUVSFTQPOUBOÏFËUFSNFFUBQSÒTNJTF t "ø5SPJTJÒNFMJHOF
en travail. t #ø4PVTTDPQF&$( ++
t &ø4.; t $ø&OEFSOJFSSFDPVST
Question 2 t &ø)C< øHEM
3ÏQPOTFø"
#
% Question 11
Commentaire : Réponse : E.
t $ø 4.; -F USBDÏ EV bas correspond à l'enre- Commentaire :
HJTUSFNFOU EFT DPOUSBDUJPOT VUÏSJOFT Ë QBS t "ø1BTEFGBDUFVSEFSJTRVF VUÏSVTDJDBUSJDJFM
QMB-
øNJOVUFT
DFOUBQSBFWJB
t %ø0VJ
OPSNPGSÏRVFOU ËøCQN
PTDJMMBOU t #ø4.;3ÏWJTJPOVUÏSJOFOFSBNFOBOURVFEFTDBJMMPUT
FUSÏBDUJG"CTFODFEFEÏDÏMÏSBUJPO t $ø4.;
t &ø"OUÏDÏEFOU+øCÏCÏEFøH+ révision sans
Question 3
particularité.
Réponse : A, B, C.
Commentaire : Question 12
t "ø"OUÏDÏEFOUEhIÏNPSSBHJFEFMBEÏMJWSBODFMPST Réponse : B, C, E.
EF MB QSFNJÒSF HSPTTFTTF ø GBDUFVS EF SJTRVF EF Commentaire :
récidive. t "ø3FTQFDUFSMFNÏDBOJTNFQIZTJPMPHJRVF +++
t #
$ø1PSUBHFËTUSFQUPDPRVFEVHSPVQF#QPTJUJG t %ø4VSWFJMMBODFøIFVSFT
øGBDUFVSEFSJTRVF
Question 13
t %
&ø1BTEFTVSSJTRVFQBSSBQQPSUËMBQPQVMBUJPO
3ÏQPOTFø"
# 1.;
% 1.;
&
générale.
Commentaire :
Question 4 t #ø$BSOPOJNNVOJTÏF +++
Réponse : A. t $ø4.;1BTEFWBDDJOFYJTUBOUDPOUSFMBUPYPQMBT-
$PNNFOUBJSFøQÏOJDJMMJOF(PVBNPYJDJMMJOF*7FOQSF- NPTF $POUSÙMF EF MB TÏSPMPHJF EBOT ø NPJT BGJO
mière intention. d'éliminer une séroconversion du péri-partum.
Cas cliniques corrigés 3
Question 14
Réponse : B, C, E. mai 2016). ( http://www.has-sante.fr/portail/
Commentaire : upload/docs/application/pdf/suivi_des_femmes_
t "ø 4.; "VHNFOUBUJPO EV SJTRVF UISPN- enceintes_-_recommandations_23-04-2008.pdf).
CPFNCPMJRVF EBOT MFT Ë ø TFNBJOFT EV
Hémorragies du post-partum immédiat (CNGOF,
post-partum.
t %ø 5BVY ÏMFWÏ EhFYQVMTJPO FO post-partum 2004). ( http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/
immédiat ; préférer une pose lors de la visite PURPC_12.HTM).
postnatale. Les hémorragies du post-partum. CNGOF, 2014.
t &ø"VNJOJNVN +++
( http://www.cngof.asso.fr/data/RCP/
Question 15 CNGOF_2014_HPP.pdf).
Réponse : B, C, E.
Commentaire : Post-partum (CNGOF, 2015). ( http://www.
t "ø+o+ cngof.fr/pratiques-cliniques/recommandations-
t %ø-BQBUJFOUFOhBMMBJUFQBT→øUSÒTQFVQSPCBCMF pour-la-pratique-clinique/apercu?path=RPC%2BCO
t &ø TUSFQUPDPRVF EV HSPVQF # QPTJUJG FU SÏWJTJPO LLEGE%252F2015-RPC-POSTPARTUM.pdf&i=2176).
utérine →øMFQMVTQSPCBCMF
Fiche de synthèse : voir p. 152.
Grille d'évaluation
No Réponses Points PMZ SMZ
1 B, D 12 B, D A, C, E
Cas clinique 7
Question 1
2 A, B, D 4 C 3ÏQPOTFø"
$
%
3 A, B, C 6 Commentaire :
t #ø -B TÏSPMPHJF 7*) FTU QSPQPTÏF TZTUÏNBUJRVF-
4 A 4 NFOUNBJTOPOPCMJHBUPJSF
5 C 6 A
Question 2
6 A, E 6 Réponse : A, B, C. 105
7 A 4 B, C, D, E Commentaire :
t $ø.ÐNFTJEFQVJTMFEÏMBJEFSÏGMFYJPOBÏUÏ
Corrigés
8 B 12 A, C, D, E supprimé.
9 A, B, C 12 A, B, C D, E t %ø-hFOUSFUJFOFTUPCMJHBUPJSFQPVSMFTNJOFVSFT
t &ø-FEÏMBJMÏHBMFO'SBODFQPVSMBSÏBMJTBUJPOEhVOF
10 B, E 6
*7(FTUEFøTFNBJOFTEhaménorrhée.
11 E 4 B, C
Question 3
12 B, C, E 6 Réponse : A, C, E.
13 A, B, D, E 6 B, D C Commentaire :
t %ø6OJRVFNFOUBVQSFNJFSEFHSÏ
14 B, C, E 6 A
Question 4
15 B, C, E 6 3ÏQPOTFø"
%
Total 100 Question 5
3ÏQPOTFø"
#
%
&
Commentaire : le dépistage de la trisomie 21 ne peut
ÐUSFSÏBMJTÏQBSMFEÏQJTUBHFDPNCJOÏFODBTEFHSPT-
sesse gémellaire.
Pour aller plus loin t $ø *M FTU JOEJTQFOTBCMF EhÏUBCMJS MF EJBHOPTUJD EF
chorionicité au premier trimestre. Le cliché doit
Principaux items abordés : être imprimé et mis dans le dossier.
item 23 : Principales complications de la grossesse Question 6
item 30 : Accouchement, délivrance et suites de Réponse : A.
couches normales Commentaire :
item 33 : Suites de couches pathologiques : patho- t #ø0OSFDIFSDIFMFTBOUJHÒOFT)#T
logie maternelle dans les 40 jours t %ø&ODBTEFGBDUFVSTEFSJTRVFEFEJBCÒUFHFTUBUJPO-
nel et malgré une glycémie à jeun normale au premier
Référence : USJNFTUSF
MB QBUJFOUF EPJU CÏOÏGJDJFS EhVO EÏQJTUBHF
Suivi et orientation des femmes enceintes en fonc- EVEJBCÒUFHFTUBUJPOOFMQBS)(10FOUSFFUø4"
t &ø -hJOKFDUJPO EF 3IPQIZMBD® doit être réalisée
tion des situations à risque identifiées (HAS,
après dosage des RAI sans attendre les résultats.
Cas cliniques corrigés
Question 7 6 A 7
3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
7 A, B, C, D, E 7
Question 8
8 A, C, D, E 7
3ÏQPOTFø"
$
%
&
Commentaire : il s'agit de signes devant faire évoquer 9 B, C, E 7
une prééclampsie sévère. 10 A, C, D, E 7
t #ø 6OF 1" TZTUPMJRVF ≥ø ø NNø )H PV VOF 1"
diastolique ≥øøNNø)H 11 B, C, D, E 7
12 A, B, C 7
Question 9
Réponse : B, C, E. 13 A, B, C, D 7
Commentaire : 14 C, D, E 7
t $ø+VTRVhËø4"
t %ø 4.; -FT CÐUBCMPRVBOUT TPOU DPOUSFJOEJRVÏT 15 A, B, D, E 7
pendant la grossesse. Le traitement de référence Total 100
est la nicardipine.
Question 10
3ÏQPOTFø"
$
%
&
Commentaire : Pour aller plus loin
t #ø*MThBHJUEhVOFDZUPMZTFFUOPOEhVOFDIPMFTUBTF
Principaux items abordés :
Question 11
item 22 : Grossesse normale
3ÏQPOTFø#
$
%
&
Commentaire :
item 23 : Principales complications de la gros-
t "ø -B QSJNJQBSJUÏ PV VO DIBOHFNFOU EF sesse
procréateur. item 32 : Allaitement maternel
t #ø&UMFKFVOFÉHF < øBOT
item 33 : Suites de couches pathologiques : patho-
logie maternelle dans les 40 jours
106 Question 12
item 35 : Contraception
Réponse : A, B, C.
Commentaire :
item 36 : Interruption volontaire de grossesse
t &ø&ODBTEFTVSEPTBHF
MFTSÏGMFYFTTPOUBCPMJT Référence :
Question 13 Contraception chez la femme adulte en âge de
3ÏQPOTFø"
#
$
% procréer (hors post-partum et post-IVG) (HAS,
Commentaire :
t &ø -F USBJUFNFOU EF SÏGÏSFODF FTU MF ESBJOBHF 2013, 2015). ( http://www.has-sante.fr/por-
chirurgical. tail/upload/docs/application/pdf/2015-02/1e_
maj_contraceptionfadulte-procreer-060215.
Question 14
3ÏQPOTFø$
%
&
pdf).
Commentaire : Suivi et orientation des femmes enceintes en
t "ø-h)#1.EPJUÐUSFQSFTDSJUFËEPTFQSÏWFOUJWF fonction des situations à risque identifiées (HAS,
t #ø -FT TUSPQSPHFTUBUJGT TPOU DPOUSFJOEJRVÏT JM mai 2016). ( http://www.has-sante.fr/por-
faut privilégier les microprogestatifs. tail/upload/docs/application/pdf/suivi_des_
Question 15 femmes_enceintes_-_recommanda-
3ÏQPOTFø"
#
%
& tions_23-04-2008.pdf).
Commentaire : Prise en charge multidisciplinaire des formes
t %ø&OMhBCTFODFEhBMMBJUFNFOU
MFTDIÏNBFTUDMJO- graves de prééclampsie (SFAR, CNGOF, SFMP,
damycine + gentamycine.
SFNN, janvier 2009). ( http://www.cngof.
Grille d'évaluation asso.fr/D_TELE/RPC_preeclampsie_fr_BM2.
pdf).
No Réponses Points PMZ SMZ
Post-partum (CNGOF, 2015). ( http://www.
1 A, C, D 4
cngof.fr/pratiques-cliniques/recommandations-
2 A, B, C 7 pour-la-pratique-clinique/apercu?path=RPC%2BC
3 A, C, E 7 O L L E G E % 2 5 2 F 2 0 1 5 - R P C- P O S T PA RT U M .
4 A, D 5 pdf&i=2176).
5 A, B, D, E 7 Fiche de synthèse : voir p. 153.
Cas cliniques corrigés 3
Cas clinique 8 10 E 4
Question 1 11 A, B, C, E 7
3ÏQPOTFø"
#
$
%
Commentaire : 12 C, E 7
t &ø*MThBHJUEhVOFYBNFOQBSBDMJOJRVF 13 B 7 D, E
Question 2 14 B 7
Réponse : C.
15 B, C, D, E 7
Question 3 Total 100
3ÏQPOTFø#
$
& 1.;
Question 4
3ÏQPOTFø#
$
%
&
"ø4.;
Pour aller plus loin
Question 5
Réponse : C. Principaux items abordés :
#ø4.; item 23 : Principales complications de la grossesse
Question 6 Référence :
3ÏQPOTFø$
%
Question 7 Les pertes de grossesse (CNGOF, 2014). (
3ÏQPOTFø"
% http://w w w.cngof.a ss o.f r/dat a/RCP/
CNGOF_2014_pertes_grossesse.pdf).
Question 8
Prise en charge multidisciplinaire des formes
Réponse : A, B, C.
graves de prééclampsie (SFAR, CNGOF, SFMP,
Question 9
SFNN, janvier 2009). ( http://www.cngof.asso.
3ÏQPOTFø#
$
%
fr/D_TELE/RPC_preeclampsie_fr_BM2.pdf).
Question 10
Réponse : E. Fiche de synthèse : voir p. 153 et 154. 107
Question 11
Corrigés
Réponse : A, B, C, E.
Question 12 Cas clinique 9
Réponse : C, E. Question 1
Question 13 3ÏQPOTFø"
#
$
%TPOUGBVTTFT
Réponse : B. Question 2
%PV&ø4.; Réponse : A, B, C.
Question 14 Question 3
Réponse : B. 3ÏQPOTFø#
$
%
Question 15 Question 4
3ÏQPOTFø#
$
%
& Réponse : C.
Question 5
Réponse : B.
Grille d'évaluation
Question 6
No Réponses Points PMZ SMZ
Réponse : B, C, E.
1 A, B, C, D 7
Question 7
2 C 5 3ÏQPOTFø#
$
%
3 B, C, E 7 E Question 8
4 B, C, D, E 7 A 3ÏQPOTFø"
#
%
&
5 C 7 B Question 9
6 C, D 7 3ÏQPOTFø%
&
7 A, D 7 Question 10
Réponse : A.
8 A, B, C 7
Question 11
9 B, C, D 7 Réponse : C.
Cas cliniques corrigés
1 A, B, C, D 5 Question 2
2 A, B, C 7 Réponse : A, E.
Commentaire :
3 B, C, D 7 t %ø3FDIFSDIÏFTËMhJOUFSSPHBUPJSF
4 C 5 Question 3
5 B 6 3ÏQPOTFø"
%
Commentaire :
6 B, C, E 7
t "ø)BVUFVSVUÏSJOFø
7 B, C, D 7 o FOUSFFUøNPJTøNVMUJQMJFSMFOPNCSFEFNPJT
8 A, B, D, E 7 par 4 ;
o BVe et 9e NPJTø 5ø×ø
oøøDN
9 D, E 7 t #ø-BEÏGJOJUJPODhFTU1"TZTUPMJRVF≥øøNNø)H
10 A 7 et/ou1"EJBTUPMJRVF≥øøNNø)H+ protéinurie des
24 heures > øNHM
11 C 7
t %ø5PVUFJOGFDUJPOVSJOBJSFEFMBGFNNFFODFJOUF
108 12 D 7 doit être traitée.
13 D 7 t &ø/PO
MFUSBJUFNFOUEPJUÐUSFEFNJOJNVNøKPVST
chez la femme enceinte, les traitements minute
14 A, C, E 7 et courts de 3 jours ne sont pas recommandés.
15 C 7 Attention au piège classique de l'allergie : on
BVSBJUQVWPVTQSPQPTFSVOUSBJUFNFOUEFøKPVST
Total 100
par amoxicilline 1 g 3 fois par jour, qui est rece-
WBCMFFODBTEhBCTFODFEhBMMFSHJF
Corrigés
la dexaméthasone est aussi utilisée. 6 B 4 D
t $øOPOTUSJDUFËDBVTFEFTSJTRVFTUISPNCPFN-
CPMJRVFTQFOTFSBVYCBTEFDPOUFOUJPOQPVSMFT 7 C, D 3
."1 8 A, B 10
t %ø/PODBSJDJPOBVOFUFNQÏSBUVSFË
ø¡$JM
9 E 6
GBVUÏMJNJOFSVOFDIPSJPBNOJPUJUFBWBOUEFEÏCV-
ter le traitement tocolytique. 10 A, B 3
t &ø-hPDZUPDJOFFTUMhIPSNPOFEFTDPOUSBDUJPOT
DF 11 B, D, E 10
qu'on voudrait diminuer à 26 SA.
12 B, C, D, E 10
Question 9
Réponse : E. 13 C 5 C
$PNNFOUBJSFø QBT EF UPDPMZTF BWBOU MF CJMBO 14 A, C 3
infectieux. 15 B, C, D 3
Question 10 Total 100
Réponse : A, B.
Commentaire :
t $ø1BTEFUPDPMZTFFODBTEFDIPSJPBNOJPUJUF
t %ø$FQPJOUQFVUÐUSFEJTDVUÏTJMBQBUJFOUFOhFTU
pas en travail et qu'elle est septique. Pour aller plus loin
Question 11 Principaux items abordés :
3ÏQPOTFø#
%
& item 22 : Grossesse normale
Commentaire : item 23 : Principales complications de la grossesse
t "ø1BTEFTÏSPMPHJFøGBJSFVOFSFDIFSDIFTQÏDJGJRVF item 26 : Prévention des risques fœtaux : infection
sur les hémocultures.
(…)
t %ø 1FOTFS Ë GBJSF VOF SFDIFSDIF TQÏDJGJRVF EF
Listeria. item 27 : Connaître les particularités de l'infection
urinaire au cours de la grossesse
Question 12 item 32 : Allaitement maternel
3ÏQPOTFø#
$
%
& X
Cas cliniques corrigés
X Question 6
Référence : 3ÏQPOTFø%
Suivi et orientation des femmes enceintes en fonc- Commentaire :
tion des situations à risque identifiées (HAS, t #PV$ø4.;$POUSFJOEJRVÏTQFOEBOUMBHSPTTFTTF
mai 2016). ( http://www.has-sante.fr/portail/ Question 7
upload/docs/application/pdf/suivi_des_femmes_ Réponse : A.
Commentaire :
enceintes_-_recommandations_23-04-2008.pdf).
t "ø*MGBVUNBJOUFOBOUSBQJEFNFOUMBGBJSFBDDPVDIFS
La menace d'accouchement prématuré (MAP) à car elle a une prééclampsie sévère après 34 SA.
membranes intactes (CNGOF, 2002). ( http:// t #ø4.;-FOJWFBVEFTNBUFSOJUÏTFTUËQSFOESFFO
www.cngof.asso.fr/D_PAGES/PURPC_10.HTM). compte en dehors d'un contexte d'urgence : on ne
Les infections génitales hautes (CNGOF, 2012). peut pas transférer une patiente qui risquerait de faire
une éclampsie sur le trajet. Il faut dans ce cas provo-
( http://www.cngof.asso.fr/D_TELE/RPC_ quer la naissance sans délai pour sauvetage mater-
infections_2012.pdf). OFM FU EBOT VO TFDPOE UFNQT TJ OÏDFTTBJSF MF CÏCÏ
Post-partum (CNGOF, 2015). ( http://www. sera transféré dans un niveau adapté à son terme.
cngof.fr/pratiques-cliniques/recommandations- 5PVKPVSTQFOTFSQPVSEFVYøMBNÒSFetMFCÏCÏ
pour-la-pratique-clinique/apercu?path=RPC%2BC Question 8
O L L E G E % 2 5 2 F 2 0 1 5 - R P C- P O S T PA RT U M . 3ÏQPOTFø#
$
%
pdf&i=2176). Commentaire :
t "ø .ÏGJF[WPVT EFT UFSNFT DPNNF jDPOTUBN-
Fiche de synthèse : voir p. 157. NFOUx
jUPVKPVSTx
jKBNBJTxy
t #ø4JMFUSBJUFNFOUEFMBQSÏÏDMBNQTJFFTUMBOBJT-
sance, elle peut s'aggraver dans les premiers jours
du post-partum ; une éclampsie est toujours pos-
Cas clinique 11 TJCMFKVTRVhËRVFMRVFTKPVSTBQSÒTMhBDDPVDIFNFOU
Question 1 Question 9
3ÏQPOTFø#
$
% Réponse : B, C, E.
110 $PNNFOUBJSFøTBOTJOGPSNBUJPOTVSMFTBVUSFTTZNQUÙNFT Commentaire :
FUTVSMB1"
POOFQFVUQBTÏMJNJOFSDFTUSPJTIZQPUIÒTFT t "ø-BQSPUÏJOVSJF≥øøHøIFVSFTFUMFTSÏGMFYFT
La réponse « E » aurait été juste si on avait le contexte. ostéotendineux vifs sont des critères de prééclamp-
Question 2 sie sévère.
3ÏQPOTFø#
% 0O QFVU EJSF RVhVOF QSÏÏDMBNQTJF FTU TÏWÒSF TJ PO
$PNNFOUBJSFø Mh)5" HSBWJEJRVF TF EÏGJOJU QBS VOF retrouve au moins un critère parmi :
1"TZTUPMJRVF≥øøNNø)Het/ouVOF1"EJBTUPMJRVF t 1" TZTUPMJRVF ≥ø ø NNø )H FUPV EJBTUPMJRVF
≥ø ø NNø )H
Ë EFVY SFQSJTFT BV NPJOT Ë ø IFVSFT ≥øøNNø)H
d'intervalle, en position assise ou couchée, au repos, t BUUFJOUF SÏOBMFø PMJHVSJF < ø NMø IFVSFT PV
BWFDVOCSBTTBSEBEBQUÏËMBUBJMMFEVCSBT créatinine > øμNPMMPVQSPUÏJOVSJF≥øøHM
t 0"1
Question 3 t CBSSF ÏQJHBTUSJRVF QFSTJTUBOUF
OBVTÏFT PV
3ÏQPOTFø"
#
% vomissements ;
Commentaire : t )&--1TZOESPNF
t &ø-FTFVJMEFQSPUÏJOVSJFFTU≥øøHøIFVSFTQPVS t ÏDMBNQTJF PV USPVCMFT OFVSPMPHJRVFTø USPVCMFT
faire le diagnostic de prééclampsie sévère. visuels, réflexes ostéotendineux vifs ou polycinétiques,
Question 4 céphalées violentes, phosphènes, acouphènes ;
3ÏQPOTFø"
#
$
% t )31
Commentaire : t SFUFOUJTTFNFOUGUBMø3$*6
t #ø -B QSJTF FO DIBSHF EF Mh)5" OF QFSNFU QBT 1PVSMF)&--1TZOESPNF
UPVUFTUEBOTMhBOBHSBNNF FO
EF EJNJOVFS MFT DPNQMJDBUJPOT PCTUÏUSJDBMFT
NBJT BOHMBJT
CJFOTßS
øHaemolysis IÏNPMZTF
Elevated Liver
va protéger la mère des risques des poussées enzymes (augmentation des enzymes hépatiques : cyto-
hypertensives. MZTF
Low Platelets QMBRVFUUFTCBTTFTøUISPNCPQÏOJF
Question 10
Question 5
Réponse : A, B, C.
Réponse : B, E.
Commentaire : Question 11
t "ø1BTCFTPJOEFDPSUJDPÕEFTDBSOPVTTPNNFT> 34 SA 3ÏQPOTFø#
$
%
&
et c'est une perte de temps en contexte d'urgence. Commentaire :
t &ø-FUSBJUFNFOUEFQSFNJÒSFJOUFOUJPOEVSJTRVF t &ø 6OF CPOOF HFTUJPO EF MhBOBMHÏTJF GBWPSJTF MB
d'éclampsie ou de l'éclampsie elle-même est la NPCJMJTBUJPOFUEPODMBQSÏWFOUJPOEFTUISPNCPTFT
perfusion de sulfate de magnésium. veineuses profondes.
Cas cliniques corrigés 3
Question 12 Cas clinique 12
Réponse : B, C, E.
Question 1
Question 13 Réponse : C.
Réponse : C, E.
Question 2
Question 14 3ÏQPOTFø"
#
%
Réponse : E.
Commentaire : la recherche des anti-phospholipides Question 3
est indiquée dans les formes précoces. 3ÏQPOTFø%
Question 15 Question 4
Réponse : A. Réponse : B, C, E.
Commentaire : l'aspirine est à introduire avant 12 SA
Question 5
FUËEPTFBOUJBHSÏHBOUFQMBRVFUUBJSF
øNHQBSKPVS
3ÏQPOTFø"
$
%
&
KVTRVhËø4"
Question 6
Grille d'évaluation Réponse : A, B, E.
No Réponses Points PMZ SMZ Question 7
1 B, C, D 7 3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
2 B, D 10 Question 8
Réponse : A, C.
3 A, B, D 10
Question 9
4 A, B, C, D 6
3ÏQPOTFø$
%
&
5 B, E 4 A
Question 10
6 D 4 B, C 3ÏQPOTFø%
7 A 4 B Question 11
8 B, C, D 5 Réponse : B, C.
9 B, C, E 10 Question 12 111
Réponse : B, C, E.
10 A, B, C 5
Corrigés
11 B, C, D, E 9 Question 13
Réponse : C.
12 B, C, E 6
13 C, E 6 Question 14
3ÏQPOTFø%
14 E 6
15 A 6 Question 15
Réponse : A.
Total 100
Grille d'évaluation
Pour aller plus loin
No Réponses Points PMZ SMZ
Principaux items abordés : 1 C 5
item 23 : Principales complications de la grossesse 2 A, B, D 7
item 339 : Prise en charge d'une patiente atteinte
de pré-éclampsie 3 D 4
4 B, C, E 7
Référence :
5 A, C, D, E 7
Prise en charge multidisciplinaire des formes
graves de prééclampsie (SFAR, CNGOF, SFMP, 6 A, B, E 7
13 C 7 Grille d'évaluation
14 D 7 No Réponses Points PMZ SMZ
15 A 7 1 A, B 10
Total 100 2 A, B, C, D 10
3 A, B, D 10
4 C, D, E 10
5 A, B, C, E 10
Pour aller plus loin
6 A, B, C 10
Principaux items abordés : 7 A, B, C, D 10
item 23 : Principales complications de la grossesse 8 A, C, D, E 10
item 326 : Prescription et surveillance des
9 A, B, C, D, E 10
antithrombotiques
item 339 : Prise en charge d'une patiente atteinte 10 A 10
de pré-éclampsie Total 100
Référence :
Prise en charge multidisciplinaire des formes
graves de prééclampsie (SFAR, CNGOF, SFMP,
SFNN, janvier 2009). ( http://www.cngof.asso.
fr/D_TELE/RPC_preeclampsie_fr_BM2.pdf). Pour aller plus loin
Prévention de la maladie thromboembolique
Principaux items abordés :
veineuse périopératoire et obstétricale (SFAR,
item 23 : Principales complications de la grossesse
2005). ( http://sfar.org/wp-content/
112
uploads/2015/09/2_AFAR_Prevention-de- Référence :
la-maladie-thromb o emb olique-veineus e-
Les grossesses gémellaires (CNGOF, 2009). (
perioperatoire-et-obstetricale.pdf).
http://www.cngof.asso.fr/D_TELE/RPC%20
Fiche de synthèse : voir p. 153. GEMELLAIRE_2009.pdf).
La menace d'accouchement prématuré (MAP) à
membranes intactes (CNGOF, 2002). ( http://
Cas clinique 13 www.cngof.asso.fr/D_PAGES/PURPC_10.HTM).
Question 1 Rupture prématurée des membranes (CNGOF,
Réponse : A, B.
1999). ( http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/
Question 2 PURPC_06.HTM).
3ÏQPOTFø"
#
$
%
Question 3
Fiche de synthèse : voir p. 157.
3ÏQPOTFø"
#
%
Question 4
3ÏQPOTFø$
%
& Cas clinique 14
Question 5 Question 1
Réponse : A, B, C, E. Réponse : B.
Question 6 Question 2
Réponse : A, B, C. 3ÏQPOTFø#
%
Question 7 Question 3
3ÏQPOTFø"
#
$
% Réponse : A, C, E.
Question 8 Question 4
3ÏQPOTFø"
$
%
& Réponse : C.
Question 9 Question 5
3ÏQPOTFø"
#
$
%
& Réponse : A.
Question 10 Question 6
Réponse : A. 3ÏQPOTFø%
Cas cliniques corrigés 3
Question 7
Réponse : C. Référence :
Le retard de croissance intra-utérin. RPC (CNGOF,
Question 8
3ÏQPOTFø"
#
% 2013). ( http://www.cngof.asso.fr/data/RCP/
CNGOF_2013_FINAL_RPC_rciu.pdf).
Question 9
Réponse : B.
Fiche de synthèse : voir p. 158.
Question 10
3ÏQPOTFø"
#
%
& Cas clinique 15
Question 1
Question 11 Réponse : B, C, E.
Réponse : A, B.
Question 2
Question 12 Réponse : B, C.
Réponse : B, C, E. Question 3
Réponse : C, E.
Question 13
3ÏQPOTFø% Question 4
Réponse : A, B, C.
Question 14 Question 5
3ÏQPOTFø"
%
& Réponse : A, B.
Question 15 Question 6
Réponse : A, E. 3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
Question 7
Grille d'évaluation 3ÏQPOTFø$
%
No Réponses Points PMZ SMZ Question 8
Réponse : C.
1 B 6
Question 9 113
2 B, D 7
Réponse : A.
Corrigés
3 A, C, E 7
Question 10
4 C 6 Réponse : A, B, C.
5 A 6 Question 11
6 D 6 Réponse : A.
7 C 6 Question 12
3ÏQPOTFø%
8 A, B, D 7
Question 13
9 B 7
Réponse : A.
10 A, B, D, E 7
Question 14
11 A, B 7 3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
12 B, C, E 7 Question 15
13 D 7 3ÏQPOTFø"
$
%
&
14 A, D, E 7 Grille d'évaluation
15 A, E 7
No Réponses Points PMZ SMZ
Total 100
1 B, C, E 7
2 B, C 7
3 C, E 7
4 A, B, C 7
Pour aller plus loin 5 A, B 7
Principaux items abordés : 6 A, B, C, D, E 7
item 29 : Prématurité et retard de croissance intra- 7 C, D 7
utérin : facteurs de risque et prévention 8 C 6
Cas cliniques corrigés
9 A 6 Question 3
3ÏQPOTFø"
1.;
10 A, B, C 7 Commentaire : la vésicule vitelline permet de poser le
11 A 6 diagnostic de grossesse intra-utérine.
12 D 6 Question 4
13 A 6 Réponse : B.
Commentaire :
14 A, B, C, D, E 7 t "ø1BTEFMJFO
15 A, C, D, E 7 t $ø 4.; "UUFOUJPO -hJOKFDUJPO OF QSPUÒHF EF
Total 100 l'allo-immunisation que pour 2 à 3 mois.
t %ø1BTEFMJFO
t &ø4JMFQÒSFCJPMPHJRVFFTUEFHSPVQFOÏHBUJG
JMOhZ
a pas lieu de faire cette injection.
Question 5
Pour aller plus loin Réponse : B.
Principaux items abordés : Commentaire : l'examen au spéculum permettra
EhPCKFDUJWFSMhPSJHJOFEFTTBJHOFNFOUT
item 23 : Principales complications de la grossesse t "ø 4.; 'PSNFMMFNFOU DPOUSFJOEJRVÏ BWBOU
item 339 : Prise en charge d'une patiente atteinte d'avoir éliminé un placenta praevia.
de pré-éclampsie
Question 6
Référence : 3ÏQPOTFø%
La menace d'accouchement prématuré (MAP) à $PNNFOUBJSFøPOPCTFSWFTVSDFUUFDPVQFMFQMBDFOUB
recouvrant l'orifice interne du col.
membranes intactes (CNGOF, 2002). ( http://
www.cngof.asso.fr/D_PAGES/PURPC_10.HTM). Question 7
Prise en charge multidisciplinaire des formes Réponse : A, C, E.
114 graves de prééclampsie (SFAR, CNGOF, SFMP, Commentaire :
SFNN, janvier 2009). ( http://www.cngof.asso. t #
%ø&OGBWFVSEhVOIÏNBUPNFSÏUSPQMBDFOUBJSF
fr/D_TELE/RPC_preeclampsie_fr_BM2.pdf). Question 8
Césarienne : conséquences et indications (CNGOF, 3ÏQPOTFø"
%
2000). ( http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/ Commentaire :
PURPC_08.HTM). t "ø5SBDÏPTDJMMBOUFUSÏBDUJGBWFDVOSZUINFEFCBTF
ËøCQN
Fiche de synthèse : voir p. 153 et 157. t #ø"CTFOUTVSDFUSBDÏ
t $ø3ZUINFEFCBTFJOGÏSJFVSËøCQN
Question 9
3ÏQPOTFø%
Cas clinique 16 Commentaire : la seule indication de césarienne en
urgence serait la présence d'une hémorragie cataclys-
Question 1
NJRVF
MFSZUINFDBSEJBRVFGUBMOFQSÏTFOUBOUIBCJ-
3ÏQPOTFø"
#
$ 1.;
tuellement pas d'altération sévère.
Commentaire :
t #ø-FSZUINFDBSEJBRVFGUBMFTUOPSNBM1BTEhJO-
t $ø 5PVUF NÏUSPSSBHJF FO EÏCVU EF HSPTTFTTF FTU
EJDBUJPOËGBJSFOBÔUSFMhFOGBOU
VOF(&6KVTRVhËQSFVWFEVDPOUSBJSF
t $ø4.;
t %ø4.;βI$(QPTJUJGT
t &ø1BUJFOUFIÏNPEZOBNJRVFNFOUTUBCMF
Question 2 Question 10
Réponse : A, B, C. 3ÏQPOTFø" 1.;
#
$
%
&
Commentaire : lorsqu'il n'y a pas de précisions appor- Commentaire : le traitement tocolytique est sympto-
tées, le terme « examen » fait référence à la fois à la matique. Il faut recherche un éventuel facteur déclen-
clinique et à la paraclinique. chant de ces contractions.
t $ø4VSUPVUFODBTEhFYBNFOTDMJOJRVFFUÏDIPHSB- t "ø ® OF KBNBJT PVCMJFS FO DBT EF SJTRVF EF
phique non concluants. prématurité.
t %ø1BTFOQSFNJÒSFJOUFOUJPO SFDIFSDIFEFWJMMP- t #ø*MGBVUMBSFGBJSF
MBQSÏDÏEFOUFEBUBOUEFQMVTEF
TJUÏT USPQIPCMBTUJRVFT FO GBWFVS EhVOF HSPTTFTTF 3 mois.
JOUSBVUÏSJOF
t $ø"GJOEhÏWBMVFSMhÏWFOUVFMMFQBSUJDJQBUJPOGUBMF
t &ø4.;&YBNFODMJOJRVFËOFQBTPVCMJFS à l'hémorragie.
Cas cliniques corrigés 3
Question 11
3ÏQPOTFø% Pour aller plus loin
Commentaire : même s'il faut toujours penser à une
Principaux items abordés :
listériose en cas de fièvre au cours de la grossesse, la
QZÏMPOÏQISJUFSFTUFCFBVDPVQQMVTGSÏRVFOUF item 23 : Principales complications de la grossesse
item 27 : Connaître les particularités de l'infection
Question 12 urinaire au cours de la grossesse
Réponse : A.
Commentaire : le traitement de première inten- Référence :
tion d'une pyélonéphrite aiguë au cours de la gros-
sesse repose sur une céphalosporine de troisième Les infections génitales hautes (CNGOF, 2012). (
génération. http://www.cngof.asso.fr/D_TELE/RPC_infec-
t $ø3ÏTJTUBODFÏMFWÏFEFTFOUÏSPCBDUÏSJFT tions_2012.pdf).
t %ø 1FVU ÐUSF JOEJRVÏ FO DBT EhJOGFDUJPO VSJOBJSF
CBTTF
Fiche de synthèse : voir p. 159.
t &ø4.;*MGBVUEÏCVUFSVOUSBJUFNFOUQSPCBCJMJTUF
RVJTFSBBEBQUÏTFDPOEBJSFNFOUËMhBOUJCJPHSBNNF
Cas clinique 17
Question 13 Question 1
3ÏQPOTFø% Réponse : A, B, C.
Commentaire : en attendant les résultats de l'anti-
Question 2
CJPHSBNNF -F SFMBJT QBS WPJF PSBMF TF GFSB BQSÒT
Réponse : A, B, E.
øIFVSFTEhBQZSFYJF
Question 3
Question 14
3ÏQPOTFø"
%
3ÏQPOTFø$ 1.;
Commentaire : afin de réévaluer la position du pla- Question 4
centa par rapport au col de l'utérus. 3ÏQPOTFø#
$
%
Question 15 Question 5
Réponse : C. 3ÏQPOTFø%
& 115
Commentaire : un placenta recouvrant empêche un Question 6
Corrigés
BDDPVDIFNFOU QBS WPJF CBTTF 6OF DÏTBSJFOOF QSP- 3ÏQPOTFø"
#
$
%
phylactique sera donc réalisée.
t &ø4JMFQMBDFOUBFTUSFDPVWSBOUËø4"
JMMFTFSB Question 7
également à 41. Réponse : B.
Question 8
Grille d'évaluation 3ÏQPOTFø"
%
No Réponses Points PMZ SMZ Question 9
1 A, B, C 9 C D 3ÏQPOTFø$
%
&
2 A, B, C 9 E Question 10
3 A 7 A 3ÏQPOTFø"
$
%
&
4 B 6 C Question 11
3ÏQPOTFø"
%
5 B 5 A
Question 12
6 D 7 Réponse : A, B, E.
7 A, C, E 6
Question 13
8 A, D 8 3ÏQPOTFø$
%
9 D 7 C $PNNFOUBJSFø MB TUÏSJMJTBUJPO UVCBJSF FU MB MJHBUVSF
UVCBJSF OF QFVWFOU TF GBJSF RVhBQSÒT VO EÏMBJ EF
10 A, B, C, D, E 5 A réflexion de 4 mois.
11 D 8 t "ø 4.; $POUSFJOEJRVÏF EBOT MF post-partum
JNNÏEJBU SJTRVFUISPNCPFNCPMJRVF
12 A 5 E
t #PV&ø4.;
13 D 4
Question 14
14 C 7 Réponse : A.
15 C 7 $PNNFOUBJSFø MF DPOUFYUF DÏTBSJFOOF FO VSHFODF
les lochies et l'hyperthermie modérée orientent le
Total 100 EJBHOPTUJD6OFEPVMFVSËMBNPCJMJTBUJPOVUÏSJOF
VO
Cas cliniques corrigés
Question 9
Pour aller plus loin 3ÏQPOTFø"
%
Question 10
Principaux items abordés : Réponse : B, E.
item 23 : Principales complications de la grossesse $ø4.;
item 33 : Suites de couches pathologiques : patho- Question 11
logie maternelle dans les 40 jours 3ÏQPOTFø"
%
item 37 : Stérilité du couple : conduite de la pre-
Question 12
mière consultation
Réponse : A, C, E.
Cas cliniques corrigés 3
Question 13 Cas clinique 19
Réponse : A, C, E.
Question 1
%ø4.;
3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
Question 14 Question 2
3ÏQPOTFø"
$
%TPOUGBVTTFT Réponse : C.
Question 15 Question 3
3ÏQPOTFø"
$
% Réponse : B, E.
Question 4
Grille d'évaluation
3ÏQPOTFø$
%
&
No Réponses Points PMZ SMZ
Question 5
1 C 6 Réponse : E.
2 B, D 7 D
Question 6
3 D, E 7 E 3ÏQPOTFø$
%
4 D, E 7 Question 7
5 C 6 Réponse : B.
6 A, B, E 7 Question 8
7 E 6 Réponse : B.
8 B 6 Question 9
3ÏQPOTFø%
&
9 A, D 6
Question 10
10 B, E 7 C
3ÏQPOTFø"
#
%
11 A, D 7
Question 11
12 A, C, E 7 Réponse : A, B, E.
117
13 A, C, E 7 D
Question 12
Corrigés
14 A, C, D 7 3ÏQPOTFø#
$
%
&
15 A, C, D 7 Question 13
Total 100 Réponse : A, B, C.
Question 14
3ÏQPOTFø#
$
%
Question 15
Pour aller plus loin Réponse : A, E.
Référence : 1 B, C, D, E 7
13 B 6 Question 13
Réponse : B, E.
14 B, C, D 7
Question 14
15 A, E 7 Réponse : A, C.
Total 100 Question 15
Réponse : A.
Grille d'évaluation
No Réponses Points PMZ SMZ
Pour aller plus loin 1 B 6
Principaux items abordés : 2 A, B, C 7 A
item 35 : Contraception 3 B 6
4 A, B, C, E 7 E
Référence :
5 B, D, E 7
Contraception d'urgence (HAS, 2013, 2015). (
6 A, B, C, D 7
http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1754842/
fr/contraception-d-urgence?xtmc=&xtcr=5). 7 B, E 7
Contraception chez l'adolescente (HAS, 2013, 8 B 6
2015). ( http://www.has-sante.fr/portail/ 9 A, D 7
upload/docs/application/pdf/2015-02/1emaj_ 10 A, B, C, D, E 7
contraception-ado-060215.pdf).
11 B, C, D, E 7 A
Fiche de synthèse : voir p. 164. 12 A, B, C, D 7
13 B, E 7
118 14 A, C 6
Cas clinique 20
Question 1 15 A 6
Réponse : B. Total 100
Question 2
3ÏQPOTFø" 1.;
#
$
Question 3
Réponse : B.
Pour aller plus loin
Question 4
3ÏQPOTFø"
#
$
& 1.;
Principaux items abordés :
Question 5 item 24 : Grossesse extra-utérine
3ÏQPOTFø#
%
& item 35 : Contraception
Question 6 Référence :
3ÏQPOTFø"
#
$
%
Prise en charge de la grossesse extra-utérine
Question 7
(CNGOF, 2003). ( http://www.cngof.asso.
Réponse : B, E.
fr/D_PAGES/PURPC_11.HTM).
Question 8 Contraception chez la femme adulte en âge de
Réponse : B. procréer (hors post-partum et post-IVG) (HAS,
Question 9 2013, 2015). ( http://www.has-sante.fr/por-
3ÏQPOTFø"
%
tail/upload/docs/application/pdf/2015-02/1e_
Question 10 maj_contraceptionfadulte-procreer-060215.pdf).
3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
Fiche de synthèse : voir p. 150.
Question 11
3ÏQPOTFø#
$
%
&
"ø4.; Cas clinique 21
Question 12 Question 1
3ÏQPOTFø"
#
$
% 3ÏQPOTFø"
$
%
Cas cliniques corrigés 3
Commentaire : $POUSFJOEJDBUJPOCJPMPHJRVFBVNÏUIPUSFYBUFø
t #ø -FT *45 Ë Chlamydia TPOU CFBVDPVQ QMVT GSÏ- t UISPNCPQÏOJF> NN3 ;
quentes que les infections à gonocoques ou la t MFVDPQÏOJF> NN3 ;
syphilis. t DSÏBUJOJOÏNJF< øμNPMM
t &ø-FTUÏUSBDZDMJOFTTPOUDPOUSFJOEJRVÏFTDIF[MB t ÏMÏWBUJPOEFTFO[ZNFTIÏQBUJRVFT< ø/
femme enceinte ; le traitement n'est pas en prise
Question 11
unique mais dure 14 jours.
Réponse : B, C.
Commentaire : salpingectomie : exérèse de la trompe,
Question 2
traitement radical ; salpingotomie : ouverture de la
Réponse : A, B, C.
trompe, traitement conservateur.
Commentaire :
t "ø/hFYJTUFQBT
t %
&ø&YBNFODPNQMÏNFOUBJSF
Question 12
Question 3 3ÏQPOTFø" 1.;
%
&
Réponse : A. Commentaire : la patiente présente un risque accru
Commentaire : délai légal 14 SA ; entretien Eh*45
QTZDIPTPDJBM PCMJHBUPJSF VOJRVFNFOU QPVS MFT t $ø*OVUJMFIPSTQPVTTÏF
mineures ; le délai de réflexion peut être raccourci
Question 13
ËøIFVSFTFODBTEFSJTRVFEFEÏQBTTFNFOUEV
Réponse : A, E.
délai légal.
$ø4.;
Question 4 $PNNFOUBJSFøEÏCVUEFHSPTTFTTFFUWBDVJUÏVUÏSJOFø→
3ÏQPOTFø"
$
% réalisation d'une cinétique de βI$(TJMBQBUJFOUFOF
Commentaire : présente pas de signes cliniques inquiétant.
t #ø%PVMFVSBJHVÑFUCSVUBMF
t $ø/FQFVUÐUSFÏDBSUÏDIF[DFUUFQBUJFOUFEPOUMF Question 14
TVJWJTFNCMFÐUSFTQPSBEJRVF Réponse : B.
t &ø1BTEhIJTUPJSFEhFOEPNÏUSJPTFSBQQPSUÏFQBSMB Commentaire : patiente asymptomatique.
patiente. Question 15
Réponse : A, C, E. 119
Question 5 #ø4.;
Corrigés
3ÏQPOTFø%
& Commentaire :
$PNNFOUBJSFøMhPCÏTJUÏFUMB'*7OFTPOUQBTEFTGBD- t %ø 0O OF QFVU SÏBMJTFS VO USBJUFNFOU NJOVUF
UFVSTEFSJTRVFSFDPOOVTEF(&6 devant une infection récidivante.
Question 6
Réponse : C, E. Grille d'évaluation
Question 7 No Réponses Points PMZ SMZ
Réponse : A, B sont fausses. 1 A, C, D 8
2 A, C, D 5
Question 8
3ÏQPOTFø"
%
& 3 A, D 6 B, C
Commentaire : 4 A, C, D 6
t "ø $SJUÒSFT EF HSBWJUÏ FU DPOUFYUF OPO
DPNQBUJCMFT 5 D, E 6
t %ø/PO 6 C, E 6
t &ø5SBJUFNFOUNÏEJDBNFOUFVYFODBTEh*7(PV'$4
7 A, B 10
précoce avec rétention utérine.
8 A, D, E 6
Question 9
3ÏQPOTFø"
$ 1.;
% 9 A, C D 6 C E
&ø4.; 10 A, B, C, E 6
$PNNFOUBJSFøEPTBHF+FU+VOFBTDFOTJPOQFVU
être présente ; on peut discuter une seconde injection 11 B, C 6
de méthotrexate. 12 A, D, E 6 A
13 A, E 6 C
Question 10
Réponse : A, B, C, E. 14 B 10
Commentaire : 15 A, C, E 7 B
t &ø 1FOTFS BV SJTRVF EhBMMPJNNVOJTBUJPO
maternofœtale. Total 100
Cas cliniques corrigés
Corrigés
item 34 : Anomalies du cycle menstruel. No Réponses Points PMZ SMZ
Métrorragies 1 A, D, E 12 D
item 35 : Contraception 2 A, D 8
item 42 : Tuméfaction pelvienne chez la femme
3 B, C, E 12 E
item 325 : Transfusion sanguine et produits dérivés
du sang 4 D 4
5 14 jours (ou 4
Référence :
2 semaines ou
Actualisation de la prise en charge des myomes 15 jours)
(CNGOF, 2011). ( http://www.cngof.asso. 6 E 4
fr/D_TELE/RPC_fibrome_2011.pdf). 7 B, C 8 E
Contraception chez la femme adulte en âge de
procréer (hors post-partum et post-IVG) (HAS, 8 C 4
9 GEU avec activité 8
2013, 2015). ( http://www.has-sante.fr/por-
cardiaque et
tail/upload/docs/application/pdf/2015-02/1e_
antécédent d'abcès
maj_contraceptionfadulte-procreer-060215.pdf).
tubo-ovarien
Fiche de synthèse : voir p. 165. homolatéral
10 E 4
Cas clinique 23 11 A, B, C, D, E 20
Question 1 12 Injection unique 12
3ÏQPOTFø"
% 1.;
& de 200 μg
Question 2 d'immunoglobulines
3ÏQPOTFø"
% anti-D par voie IM
ou IV
Question 3
3ÏQPOTFø#
$
& 1.;
Total 100
Cas cliniques corrigés
Grille d'évaluation
Pour aller plus loin No Réponses Points PMZ SMZ
Principaux items abordés : 1 A 6
item 24 : Grossesse extra-utérine 2 A, B, C, E 7
item 39 : Algies pelviennes chez la femme 3 E 6
item 42 : Tuméfaction pelvienne chez la femme
4 B, C 7
Référence : 5 A, D 7
Prise en charge de la grossesse extra-utérine 6 E 7
(CNGOF, 2003). ( http://www.cngof.asso. 7 A 6
fr/D_PAGES/PURPC_11.HTM).
Prévention de l'allo-immunisation Rhésus–D 8 C 6
Corrigés
l'ovaire chez des apparentés du premier degré.
Réponse : A, E.
t $ø -F EJTQPTJUJWF EhBOOPODF TF GBJU FO RVBUSF
Commentaire :
temps :
t %ø 1BT EF DIJSVSHJF FO QSFNJÒSF JOUFOUJPO
TBVG
o UFNQTNÏEJDBM
gêne fonctionnelle importante ou souhait de la
o UFNQTEhBDDPNQBHOFNFOUTPJHOBOU
patiente.
o UFNQTEhBSUJDVMBUJPOBWFDMBNÏEFDJOFEFWJMMF
Question 5 o BDDÒTËVOFÏRVJQFJNQMJRVÏFEBOTMFTTPJOTEF
3ÏQPOTFø% support.
Commentaire : t &ø 4.; -F SFMBJT BWFD MB NÏEFDJOF EF WJMMF FTU
t "ø$hFTUMhÉHFTVQÏSJFVSËøBOT essentiel dans la prise en charge du cancer.
t $ø*MOFThBHJUQBTEhVOFMÏTJPOQSÏDBODÏSFVTF
Question 12
t %ø -PSTRVhJM FTU BTTPDJÏ Ë VO ÉHF TVQÏSJFVS Ë
Réponse : C.
øBOT
$PNNFOUBJSFø BCTFODF EF NÏUBTUBTF Ë EJTUBODF
Question 6 ø.
3ÏQPOTFø#
%
& t $ø-FjQxTJHOJGJFRVFMhBOBMZTFBOBUPNPQBUIPMP-
Commentaire : gique a été faite.
t "ø*MThFGGFDUVFUPVTMFTøBOT t %ø-BUVNFVSGBJUQMVTEFøDN
TBOTFYUFOTJPOËMB
t #ø -F EÏQJTUBHF JOEJWJEVFM TBOT EPVCMF MFDUVSF QBSPJUIPSBDJRVFPVËMBQFBVø5
est notamment réservé aux patientes ayant un t &ø -FT USPJT BEÏOPQBUIJFT BYJMMBJSFT TPOU NPCJMFT
antécédent familial de cancer du sein au premier ø/
degré.
Question 13
Question 7 Réponse : A, B.
3ÏQPOTFø#
$
%
& Commentaire :
Commentaire : le cancer du sein est un cancer le plus t "ø %V GBJU EF MB HSBOEF UBJMMF UVNPSBMF
EF MhBU-
souvent hormonodépendant, favorisé par l'hyperœs- teinte ganglionnaire et du grade II.
trogénie relative. t #ø-BUVNFVSQSÏTFOUFEFTSÏDFQUFVSTIPSNPOBVY
t &ø*.$ø
PCÏTJUÏËMBNÏOPQBVTF et la patiente est ménopausée.
Cas cliniques corrigés
t $ø5SBJUFNFOUQSPQPTÏQMVUÙUBWBOUMBNÏOPQBVTF
contre-indiqué ici en raison de l'antécédent de item 291 : Traitement des cancers : chirurgie,
QIMÏCJUF radiothérapie, traitements médicaux des cancers
t %ø 4.; *SSBEJBUJPO EV DSFVY BYJMMBJSF DPOUSF (chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra-
indiquée en cas de curage axillaire : risque de pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire
lymphœdème. et l'information du malade
t &ø-BUVNFVSOFQSÏTFOUFQBTEFSÏDFQUFVS)&3 item 292 : Prise en charge et accompagnement
Question 14 d'un malade cancéreux à tous les stades de la
3ÏQPOTFø#
%
& maladie
Commentaire : item 309 : Tumeurs du sein
A, C : Complications du tamoxifène.
Référence :
Question 15
Réponse : E. Cancer du sein. Guide ALD. HAS, INCa, janvier 2010.
Commentaire : ( http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/
t $ø 1SÏEJTQPTF MFT IPNNFT BUUFJOUT BV DBODFS EV application/pdf/2010-02/ald_30_gm_ksein_vd.
sein. pdf).
t %ø.ÏUBTUBTFPWBSJFOOFEhVODBODFSEJHFTUJG Dépistage du cancer du sein en France : identification
t &ø0VTZOESPNF)/1$$(Hereditary Non Polyposis
des femmes à haut risque et modalités de dépistage.
Colorectal Cancer
HAS, mars 2014. ( http://www.has-sante.fr/por-
Grille d'évaluation tail/upload/docs/application/pdf/2014-05/
N° Réponses Points PMZ SMZ depistage_du_cancer_du_s ein_chez_les_
1 A, C, D 6
femmes_a_haut_risque_synthese_vf.pdf).
2 B 6 E Fiche de synthèse : voir p. 167.
3 C, D, E 6
4 A, E 6
124
5 D 4 Cas clinique 26
6 B, D, E 10 Question 1
3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
7 B, C, D, E 8 Commentaire :
8 C, D 6 t #ø -FT EJGGÏSFOUT GBDUFVST EF SJTRVF TPOU
cumulatifs.
9 A, B, D 10 A C
t $ø $hFTU MF GBJU EhBWPJS VOF NÏOPQBVTF UBSEJWF
10 A, D 6 qui est un facteur de risque, pas la ménopause en
11 A, C, D 10 D E elle-même.
t &ø-hPCÏTJUÏBQSÒTMBNÏOPQBVTFFTUVOGBDUFVSEF
12 C 4 SJTRVF
QBTMhPCÏTJUÏBWBOUMBNÏOPQBVTF
13 A, B 6 D Question 2
14 B, D, E 8 Réponse : A, C.
Commentaire :
15 E 4
t $ø-BGPTTFUUFDVUBOÏFFTUFOSBQQPSUBWFDMBSÏBD-
Total 100 UJPOMPDBMFFUMBGJCSPTFSÏUSBDUJMF
t %ø -FT DPOUPVST BSSPOEJT TPOU QMVUÙU FO GBWFVS
EhVOFMÏTJPOCÏOJHOF
NBJTQFVWFOUTFSFODPOUSFS
dans certains cancers : cancer de croissance rapide,
cancer de type histologique particulier (médullaire,
Pour aller plus loin DPMMPÕEF
t &ø1MVUÙUFOGBWFVSEhVOLZTUF
NBJTOFQFVUFYDMVSF
Principaux items abordés : le cancer.
item 120 : Ménopause Question 3
item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré- Réponse : E.
vention et dépistage des cancers Commentaire :
item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique t #ø .BTTF Ë DPOUPVST SÏHVMJFSTø MF TFJO ESPJU FTU
item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel normal.
et investigations para-cliniques ; caractérisation du t $ø.BTTFËDPOUPVSTJSSÏHVMJFST
t %ø-hBCTFODFEVDMJDIÏEFGBDFOFOPVTQFSNFUQBT
stade ; pronostic
de savoir si cette opacité est externe, centrale ou
Cas cliniques corrigés 3
interne (même si cliniquement on sait que la masse 4 C, E 10 E
FTUFYUFSOF
5 B, C, E 10
Question 4 6 B, D 10 C
3ÏQPOTFø$
& 1.;
Commentaire : 7 B, D 10
t "ø4.; 8 A, B, C 10 B
t $ø-FTBOUÏDÏEFOUTGBNJMJBVYQPVTTFOUËDIFSDIFS 9 A, C, D 10
une autre localisation cancéreuse, notamment un
cancer de l'ovaire. 10 A, B, D, E 10
t &ø -B DPOGJSNBUJPO EV EJBHOPTUJD IJTUPMPHJRVF Total 100
FTU JOEJTQFOTBCMF QPVS MB TVJUF EF MB QSJTF FO
charge.
Question 5
Pour aller plus loin
Réponse : B, C, E. Principaux items abordés :
Commentaire :
t #ø 5VNPSFDUPNJF BWFD NBSHFT PV NBTUFDUPNJF item 120 : Ménopause
QPTTJCMF TJ MB QBUJFOUF MF TPVIBJUF BOUÏDÏEFOUT item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré-
GBNJMJBVY
vention et dépistage des cancers
t %ø 3ÏBMJTBUJPO EhVO DVSBHF BYJMMBJSF DBS QSÏTFODF item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique
EhVOFBEÏOPQBUIJFQBMQBCMFFUTVTQFDUF item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel
et investigations para-cliniques ; caractérisation du
Question 6
stade ; pronostic
3ÏQPOTFø#
%
item 291 : Traitement des cancers : chirurgie,
Commentaire :
t "ø$IJNJPUIÏSBQJFBEKVWBOUF DBSQPTUDIJSVSHJDBMF
radiothérapie, traitements médicaux des cancers
DBS/+ et grade III. (chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra-
t $ø4.;"OUÏDÏEFOUEFQIMÏCJUFøDPOUSFJOEJDBUJPO pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire
chez cette patiente. et l'information du malade 125
t %ø .ÐNF TJ SÏBMJTBUJPO EhVOF NBTUFDUPNJF
DBS item 292 : Prise en charge et accompagnement
Corrigés
HSBEF/+. d'un malade cancéreux à tous les stades de la
t &ø1BTEhJOEJDBUJPODBS)&3OÏHBUJG maladie
item 309 : Tumeurs du sein
Question 7
3ÏQPOTFø#
% Référence :
Commentaire :
Cancer du sein. Guide ALD. HAS, INCa, janvier 2010.
t $
&ø1BTEFNÏUBTUBTF→ pas d'indication.
( http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/
Question 8 application/pdf/2010-02/ald_30_gm_ksein_vd.pdf).
3ÏQPOTFø"
# 1.;
$ Dépistage du cancer du sein en France : identification
Commentaire : des femmes à haut risque et modalités de dépistage.
t "ø&GGFUJOEÏTJSBCMFGSÏRVFOU
t #ø 1SFNJFS TJUF NÏUBTUBUJRVF EV DBODFS HAS, mars 2014. ( http://www.has-sante.fr/por-
mammaire. tail/upload/docs/application/pdf/2014-05/
depistage_du_cancer_du_s ein_chez_les_
Question 9 femmes_a_haut_risque_synthese_vf.pdf).
3ÏQPOTFø"
$
%
Fiche de synthèse : voir p. 167.
Question 10
3ÏQPOTFø"
#
%
&
Commentaire :
t $ø1BTEFEÏQJTUBHFBWBOUMBNBKPSJUÏ
Cas clinique 27
Grille d'évaluation Réponses 1
3ÏQPOTFø"
%
&
N° Réponses Points PMZ SMZ
Réponses 2
1 A, B, C, D, E 10 3ÏQPOTFø$
%
2 A, C 10 Commentaire :
t "ø$BODFSEVTFJODIF[MhIPNNFRVFMRVFTPJUMhÉHF
3 E 10
t #ø6ODBODFSEVTFJOBWBOUøBOT
Cas cliniques corrigés
t &ø2VBOEEFVYDBTEBOTMBNÐNFCSBODIF
EPOU t $ø %BOT MF CVU EF WJTVBMJTFS MB QSÏTFODF EF
VODBODFSEVTFJOBWBOUøBOTou un cancer du microcalcifications.
TFJOCJMBUÏSBM
Réponses 14
Réponses 3 Réponse : B, C.
Réponse : A, E. Commentaire :
Commentaire : t "ø*OEJDBUJPOTEFMBSBEJPUIÏSBQJFBQSÒTNBTUFDUP-
t #ø-BNBNNPHSBQIJFEFEÏQJTUBHFFTUËSÏBMJTFS NJFø5
5
/+.
tous les 2 ans. t #ø $hFTU MF QSJODJQBM JOUÏSÐU EF MB DIJNJPUIÏSBQJF
t $ø%FVYJODJEFODFTPCMJHBUPJSFTøDSBOJPDBVEBMF néoadjuvante.
GBDF
FUNÏEJPMBUÏSBM PCMJRVFFYUFSOF
t %ø1FOEBOUøBOT
t %ø $hFTU MhJOWFSTFø < EF HMBOEF t &ø -hBOUJBSPNBUBTF MÏUSP[PMF
FTU EPOOÏ BQSÒT
øø> EFHMBOEF la ménopause ; avant, c'est un anti-œstrogène
Réponses 4 UBNPYJGÒOF
Réponse : B, C.
Réponses 15
Commentaire :
Réponse : B, C, E.
t "ø4.;
Commentaire :
t $ø%FNÐNFRVFMFT-*/PVMhBEÏOPTFTDMÏSPTBOUF
t "ø1SJTFFODIBSHFDPOKPJOUFQBSMFDIJSVSHJFO
MhPO-
t %ø*MThBHJUEFTJUVBUJPOTEhIZQFSTUSPHÏOJF
RVhFMMF
cologue, le radiothérapeute et le médecin traitant.
TPJUSFMBUJWFPVBCTPMVF
t %ø1PVSMFUBNPYJGÒOF
DBSJMBVHNFOUFMFSJTRVFEF
Réponses 5 cancer de l'endomètre.
Réponse : A, B, E. t &ø &O QMVT
QPVS MF UBNPYJGÒOF
ÏQBJTTJTTFNFOU
Commentaire : de l'endomètre, et pour les anti-aromatases l'os-
t #ø*MTQFVWFOUÏHBMFNFOUUPVDIFSMFTBEPMFTDFOUFT UÏPQPSPTFFUMFTQFSUVSCBUJPOTEVCJMBOMJQJEJRVF
t $ø-FTNJDSPCJPQTJFTTPOUËSÏBMJTFSFODBTEFøÉHF
> øBOT
DPOUFYUFËSJTRVF
EJTDPSEBODFDMJOJRVF Grille d'évaluation
imagerie.
No Réponses Points PMZ SMZ
t %ø6OFDIJSVSHJFFTUJOEJRVÏFFODBTEFEPVMFVS
gêne fonctionnelle ou préjudice esthétique. 1 A, D, E 8
126 Réponses 6 2 C, D 6
3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
3 A, E 8
Réponses 7
3ÏQPOTFø#
% 1.;
& 4 B, C 7 A
Commentaire : 5 A, B, E 6
t $ø*MFTUTFVMFNFOUJOEJRVÏFODBTEFNBTUFDUPNJF
6 A, B, C, D, E 7
ou en cas de suspicion de micro-infiltration.
Réponses 8 7 B, D, E 6 D
Réponse : C. 8 C 8
Réponses 9 9 A, C, D 7
3ÏQPOTFø"
$
%
Commentaire : ces facteurs dont pris en compte dans 10 B, D 7 A, E
les indications de traitements adjuvants. 11 B, C, E 6
Réponses 10 12 B, D, E 6
3ÏQPOTFø#
%
Commentaire : 13 A, B, C, D, E 6
t "ø4.;5PVUFDPOUSBDFQUJPOIPSNPOBMFPV5). 14 B, C 6
FTUDPOUSFJOEJRVÏ F
ËWJF
15 B, C, E 6
t $ø*MFTUFGGJDBDFJNNÏEJBUFNFOU
t &ø4.; Total 100
Réponses 11
Réponse : B, C, E.
Réponses 12
3ÏQPOTFø#
%
&
Pour aller plus loin
Commentaire :
t "ø'BNJMMFEFTHÒOFTErbB. Principaux items abordés :
Réponses 13 item 35 : Contraception
3ÏQPOTFø"
#
$
%
& item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré-
Commentaire : en cas de récidive, il faut réaliser une
vention et dépistage des cancers
NBTUFDUPNJFDPNQUFUFOVEFMhJNQPTTJCJMJUÏEFSÏBMJ-
ser une nouvelle radiothérapie.
item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique
Cas cliniques corrigés 3
t $ø1BTEhBOFTUIÏTJF
BVDBCJOFUMPSTEhVOFDPOTVM-
item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel tation classique.
et investigations para-cliniques ; caractérisation du
stade ; pronostic Question 6
3ÏQPOTFø"
$
%
&
item 291 : Traitement des cancers : chirurgie,
radiothérapie, traitements médicaux des cancers Question 7
(chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra- 3ÏQPOTFø"
#
$
%
pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire Commentaire :
t &ø5PVUEÏQFOEEFTNBSHFT
EFMhÉHF
et l'information du malade
item 292 : Prise en charge et accompagnement d'un Question 8
malade cancéreux à tous les stades de la maladie 3ÏQPOTFø#
$
%
item 309 : Tumeurs du sein Commentaire :
t %ø1BSFYFNQMF
BDDPVDIFNFOUQSÏNBUVSÏFUQFUJU
Référence : poids de naissance.
Cancer du sein. Guide ALD. HAS, INCa, janvier 2010. t &ø 4UÏOPTF DFSWJDBMF DJDBUSJDJFMMF QPVWBOU SFOESF
difficile la surveillance de la nouvelle zone de
( http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/ jonction.
application/pdf/2010-02/ald_30_gm_ksein_vd.pdf).
Question 9
Dépistage du cancer du sein en France : identification
Réponse : B, E.
des femmes à haut risque et modalités de dépistage. Commentaire :
HAS, mars 2014. ( http://www.has-sante.fr/por- t $ø-FQSJODJQBMGBDUFVSEFSJTRVFFTUMh)17MFUBCBD
tail/upload/docs/application/pdf/2014-05/ quant à lui multiple le risque par 3.
depistage_du_cancer_du_s ein_chez_les_ t %ø $BSDJOPNF ÏQJEFSNPÕEF Ë ø
BEÏOPDBSDJ-
femmes_a_haut_risque_synthese_vf.pdf). OPNF Ë ø FU BVUSFT ø DBSDJOPNF BEÏOP
TRVBNFVY
TBSDPNF
Fiche de synthèse : voir p. 167.
Question 10
3ÏQPOTFø#
$
%
&
Commentaire : 127
*UFNTUSBJUÏTø
t "ø*MThBHJUEhVOFDMBTTJGJDBUJPODMJOJRVFDPVQMÏFË
Corrigés
Mh*3.
Question 15
Réponse : A, C. Référence :
Commentaire : Cancer invasif du col utérin. Guide ALD. HAS, INCa,
t #ø3FNCPVSTÏFËøTJøKFVOFTGJMMFTEFøBOT
janvier 2010. ( http://www.has-sante.fr/portail/
ouKFVOFTGFNNFTEFËøBOT
WJFSHFTPVEBOT
la première année qui suit le premier rapport.
upload/docs/application/pdf/2010-02/ald_30_gm_
t %ø4.; col_uterin_web_2010-02-12_09-57-34_599.pdf).
t &ø4.;1BTBWBOUøBOT Recommandations pour le dépistage du cancer du
col de l'utérus en France. HAS, juillet 2010. (
Grille d'évaluation http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/appli-
No Réponses Points PMZ SMZ cation/pdf/2010-11/fiche_de_synthese_recomman-
dations_depistage_cancer_du_col_de_luterus.pdf).
1 A 8
Dépistage et prévention du cancer du col de l'uté-
2 B, C, E 7 rus. HAS, juin 2013. ( http://www.has-sante.
3 B, D, E 7 fr/portail/upload/docs/application/pdf/2013-
4 A, C, D 8 E 08/referentieleps_format2clic_kc_col_ute-
rus_2013-30-08__vf_mel.pdf).
5 B, D, E 6
6 A, C, D, E 6 Fiche de synthèse : voir p. 169.
7 A, B, C, D 6
8 B, C, D 6 Cas clinique 29
9 B, E 7 Question 1
3ÏQPOTFø#
$
%
10 B, C, D, E 7
Commentaire :
11 D, E 7 t "ø 4.; -B QBUJFOUF QSÏTFOUF QMVTJFVST DPOUSF
12 B, E 6 JOEJDBUJPOTBCTPMVFTËMBQJMVMFTUSPQSPHFTUBUJWFø
âge > øBOTFUUBCBHJTNF*MFTUEPODOÏDFTTBJSF
128 13 B, D, E 6 de lui proposer un autre moyen de contraception
14 A, B, C 6 QJMVMF NJDSPQSPHFTUBUJWF
JNQMBOUy
-hPCÏTJUÏ FU
MFEJBCÒUFEÏTÏRVJMJCSÏBQQBSBJTTFOUJDJDPNNFEFT
15 A, C 7 D, E
contre-indications supplémentaires à la poursuite
Total 100 d'une pilule œstroprogestative.
t #ø*OUÏSÐUDIF[DFUUFQBUJFOUFBWFDVOSJTRVFDBS-
diovasculaire élevé pour discuter l'indication d'as-
pirine en préventif.
t $ø7PVTQPVSSJF[ÏHBMFNFOUQSPQPTFSVOFDPOUSB-
DFQUJPOQBS%*6 DVJWSFPVBVMÏWPOPSHÏTUSFM
Pour aller plus loin t &ø4.;-BQBUJFOUFOhFYDMVUQBTEhBWPJSEhBVUSFT
enfants, il n'est donc pas licite de lui proposer une
Principaux items abordés : NÏUIPEF EF DPOUSBDFQUJPO EÏGJOJUJWF %F QMVT
item 120 : Ménopause MB TUÏSJMJTBUJPO UVCBJSF EPJU ÐUSF EFNBOEÏF QBS MB
item 143 : Vaccination patiente et non par le médecin, sauf si une gros-
item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré- sesse peut engager le pronostic vital de la patiente.
vention et dépistage des cancers Question 2
item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique Réponse : B.
item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel $PNNFOUBJSFø ® WPUSF OJWFBV
UPVU GSPUUJT BOPSNBM
et investigations para-cliniques ; caractérisation du EPJUÐUSFFYQMPSÏQBSVOFDPMQPTDPQJF1PVSMFTGVUVST
gynécologues, un frottis LSIL peut éventuellement être
stade ; pronostic
SFDPOUSÙMÏËËøøNPJTBWBOUEhFOWJTBHFSVOFDPMQPTDP-
item 291 : Traitement des cancers : chirurgie, QJFFOSBJTPOEFMBDMBJSBODFOBUVSFMMFEFMh)17.BJTJDJ
radiothérapie, traitements médicaux des cancers MBMÏTJPOFTUQFSTJTUBOUFEFQVJTQMVTEFøNPJT
EPOD
(chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra- un traitement par vaporisation laser est nécessaire.
pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire t "ø5PVUFBOPNBMJFEV'$6GBJUTPSUJSEVDBESFEV
et l'information du malade dépistage classique, au moins temporairement.
item 292 : Prise en charge et accompagnement d'un t %ø+BNBJTEFDPOJTBUJPOTBOTQSFVWFIJTUPMPHJRVF
malade cancéreux à tous les stades de la maladie RVhJMFYJTUFVOFMÏTJPOEFIBVUHSBEF $*/øPV
item 297 : Tumeurs du col utérin, tumeur du corps MF'$6EPOOFVOFJOGPSNBUJPODZUPMPHJRVFFUOPO
pas histologique.
utérin
t &ø)PSTSFDPNNBOEBUJPO
Cas cliniques corrigés 3
Question 3 Commentaire :
Réponse : C. t #ø$FOhFTUQBTVODBODFSIPSNPOPEÏQFOEBOU
DPOUSBJ-
Commentaire : SFNFOUBVDBODFSEVTFJOFUBVDBODFSEFMhFOEPNÒUSF
t $ø"CTFODFEFTVJWJEhVOFMÏTJPO$*/øFUNÏUSPS-
ragies provoquées (+++
Question 9
t &ø5PVKPVSTËÏMJNJOFS 3ÏQPOTFø" 1.;
%
$PNNFOUBJSFø MF CJMBO EhFYUFOTJPO DIFSDIF TVSUPVU
Question 4 ËÏWBMVFSMhFOWBIJTTFNFOUMPDPSÏHJPOBMFUMFTDIBÔOFT
3ÏQPOTFø# 1.;
$ 1.;
%
& HBOHMJPOOBJSFTMPNCPBPSUJRVF-FTNÏUBTUBTFTËEJT-
$PNNFOUBJSFø*DJ
POWPVTEFNBOEFVOCJMBOJOJUJBM tance sont rares dans le cancer du col.
.ÐNFTJPOWPVTMBJTTFTPVTFOUFOESFEBOTMFEPTTJFS t "ø&MMFQFSNFUEFEÏUFSNJOFSMFTUBEFQSÏTVNÏEF
qu'il s'agit d'un sujet de cancérologie, les marqueurs la tumeur.
tumoraux, l'évaluation de l'état nutritionnel ne font t %ø *M QFSNFU MB SFDIFSDIF EF MPDBMJTBUJPO TFDPO-
QBTQBSUJFEVCJMBOEhVSHFODF EBJSF
OPUBNNFOUMhFYQMPSBUJPOEFMBSÏHJPOMPNCP
t "ø 1BT EF EPTBHF EFT NBSRVFVST UVNPSBVY FO aortique à la recherche d'adénopathies suspectes.
urgence.
Question 10
t #ø4ZTUÏNBUJRVFEFWBOUUPVUFTNÏUSPSSBHJFTDIF[
Réponse : C.
la femme en âge de procréer.
t $ø5SPVCMFTEJHFTUJGTDIF[VOFQBUJFOUFEJBCÏUJRVF Question 11
t %ø%BOTMFDBESFEVCJMBOEFWPNJTTFNFOUT 3ÏQPOTFø%
Question 5 Question 12
3ÏQPOTFø" 1.;
& 3ÏQPOTFø%
Commentaire : Commentaire :
t $ø1BTEFDPMQPTDPQJFTVSVOFMÏTJPOWJTJCMF t "ø *M ThBESFTTF BVY UVNFVST EF QFUJUF UBJMMF TBOT
t %ø/PODBSMBMÏTJPOFTUWJTJCMF envahissement locorégional.
t &ø-FTTUBEFT*#*DPSSFTQPOEFOUËEFTUVNFVSTEF t %ø*MThBHJUEVUSBJUFNFOUEFCBTFEFTTUBEFT5C
moins de 4 cm. Ë 5D VOF DIJSVSHJF QFVU ÐUSF QSPQPTÏF EBOT VO
second temps.
Question 6 t &ø*MOFThBHJUQBTEhVODBODFSIPSNPOPEÏQFOEBOU
129
3ÏQPOTFø"
% donc l'hormonothérapie n'a pas de place.
Corrigés
$PNNFOUBJSFøEÏTPSNBJT
QPVSMFT5%.JOKFDUÏFTDIF[
Question 13
les patients sous metformine, il est recommandé d'ar-
3ÏQPOTFø" 1.;
$ 1.;
%
SÐUFSMBNFUGPSNJOFMFKPVSEFMhFYBNFOFUøIFVSFT
Commentaire :
BQSÒT JM OhFTU QMVT OÏDFTTBJSF EF MhBSSÐUFS ø IFVSFT
t "ø®MBSFDIFSDIFEhVOTZOESPNFJOGMBNNBUPJSFPV
BWBOU1PVSSBQQFM
VOFDPMJRVFOÏQISÏUJRVFIZQFSBM-
EhVOFBOÏNJF EZTQOÏF
gique est définie par les urologues comme résistantes
t #ø /hB ÏUÏ ÏWBMVÏ RVhFO OÏPOBUPMPHJF EPOD OPO
BVY"*/4FUOPOBVYNPSQIJOJRVFT
recommandé.
t "ø*3"→ échographie rénale en urgence.
t %ø#JMBOEFUBDIZDBSEJF
t #ø-hVSP5%.FTUKVTUJGJÏFEBOTMFTDPMJRVFTOÏQISÏ-
t &ø*OJOUFSQSÏUBCMFTDIF[MFTQBUJFOUTBUUFJOUTEhVO
UJRVFT IZQFSBMHJRVFT PV GÏCSJMFT QPVS SFDIFSDIFS
cancer.
une complication rénale ; de plus, ici, la créatinine
est élevée, ne permettant pas l'injection de produit Question 14
de contraste. Réponse : E.
t $ø1BTEFQMBDFEBOTMhVSHFODF
Question 15
t &ø®GBJSFQPVSMFT5%.JOKFDUÏFT
DBSSJTRVFEhBDJ-
Réponse : B.
dose lactique avec l'injection de produit de contraste.
Commentaire : il s'agit d'un cancer lié à l'infection à
Question 7 )17JMOhZBQBTEFDPNQPTBOUFHÏOÏUJRVFOhBZBOU
3ÏQPOTFø% 1.;
pas de composante héréditaire, il n'y a pas lieu de
Commentaire : modifier la surveillance.
t "ø -B TVQQMÏNFOUBUJPO EPJU ÐUSF NJTF FO QMBDF
SBQJEFNFOUNBJT
EFWBOUMhBCTFODFEFTJHOFT&$(
Grille d'évaluation
le pronostic vital n'est pas engagé ; d'autant plus
RVFMBDBVTFEFMhIZQPLBMJÏNJF MFTWPNJTTFNFOUT
No Réponses Points PMZ SMZ
sera prise en charge par des antiémétiques per- 1 B, C, D 6 A, E
NFUUBOUEFOFQBTBHHSBWFSMFUSPVCMFJPOJRVF 2 B 5
t %ø*MThBHJUEhVOFDPMJRVFOÏQISÏUJRVFDPNQMJRVÏF
KVTUJGJBOUVOFEÏSJWBUJPOVSJOBJSFFOVSHFODF 3 C 4
4 B, C, D, E 8 B, C
Question 8
3ÏQPOTFø"
$
& 1.;
5 A, E 5 A
Cas cliniques corrigés
6 A, D 8 Cas clinique 30
7 D 10 D Question 1
3ÏQPOTFø%
8 A, C, E 5 Commentaire : métrorragies provoquées → cancer du
9 A, D 10 A col jusqu'à preuve du contraire.
10 C 6 Question 2
3ÏQPOTFø"
%
11 D 7 Commentaire :
12 D 10 t $ø4.;
13 A, C, D 5 C t &ø+VTRVhËøBOT
14 E 8 Question 3
3ÏQPOTFø"
%
15 B 3 Commentaire :
Total 100 t "ø)JTUPMPHJFBWBOUDPOJTBUJPO
t $ø *OUÏSÐU EV UZQBHF )17 EBOT MFT GSPUUJT
ASCUS.
Question 4
Pour aller plus loin Réponse : A.
Principaux items abordés : Commentaire :
t %ø-FMBTFSFTUVOUSBJUFNFOUQPTTJCMFEFTMÏTJPOT
item 35 : Contraception
EFCBTHSBEF
item 262 : Lithiase urinaire
item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré- Question 5
Réponse : B.
vention et dépistage des cancers
Commentaire :
item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique t "ø-FGSPUUJTFTUVOFYBNFOEFEÏQJTUBHFDIF[MFT
item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel patientes asymptomatiques.
et investigations para-cliniques ; caractérisation du
130 Question 6
stade ; pronostic 3ÏQPOTFø%
item 291 : Traitement des cancers : chirurgie, Commentaire :
radiothérapie, traitements médicaux des cancers t #ø6OUPVDIFSWBHJOBMEÏMJDBUQFSNFUEhÏWBMVFSMB
(chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra- taille de la tumeur et son infiltration.
pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire t $ø -F ESBJOBHF HBOHMJPOOBJSF EV DBODFS EV DPM
et l'information du malade TF GBJU FO QFMWJFO FU MPNCPBPSUJRVF
FU OPO FO
item 292 : Prise en charge et accompagnement d'un inguinal.
malade cancéreux à tous les stades de la maladie t %ø.ÏUSPSSBHJFTQPTUNÏOPQBVTJRVFT→ cancer de
l'endomètre à éliminer.
item 297 : Tumeurs du col utérin, tumeur du corps
utérin Question 7
Réponse : A, B.
Référence :
Question 8
Cancer invasif du col utérin. Guide ALD. HAS, INCa,
3ÏQPOTFø$
%
&
janvier 2010. ( http://www.has-sante.fr/portail/
upload/docs/application/pdf/2010-02/ald_30_gm_ Question 9
col_uterin_web_2010-02-12_09-57-34_599.pdf). Réponse : A, B.
Recommandations pour le dépistage du cancer du &ø4.;
col de l'utérus en France. HAS, juillet 2010. ( Question 10
http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/ 3ÏQPOTFø"
$
%
&
application/pdf/2010-11/fiche_de_synthese_ Commentaire :
recommandations_depistage_cancer_du_col_de_ t #ø)JTUPMPHJFQBSMhBOBUPNPQBUIPMPHJF
luterus.pdf). Question 11
Dépistage et prévention du cancer du col de l'uté- Réponse : B.
rus. HAS, juin 2013. ( http://www.has-sante. Commentaire : IIB.
fr/portail/upload/docs/application/pdf/2013- Question 12
08/referentieleps_format2clic_kc_col_ute- 3ÏQPOTFø#
%
&
rus_2013-30-08__vf_mel.pdf). Commentaire :
t "ø4.;
Fiche de synthèse : voir p. 169.
t $ø4.;$VSJFUIÏSBQJF
Cas cliniques corrigés 3
Question 13
3ÏQPOTFø$
%
& ald_30_gm_col_uterin_web_2010-02-12_09-57-
$PNNFOUBJSFø(BSEBTJM®ø
FU$FSWBSJY® : 34_599.pdf).
FU Recommandations pour le dépistage du cancer du
col de l'utérus en France. HAS, juillet 2010. (
Grille d'évaluation
http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/
No Réponses Points PMZ SMZ application/pdf/2010-11/fiche_de_synthese_
1 D 10 recommandations_depistage_cancer_du_col_
2 A, D 8 B de_luterus.pdf).
Dépistage et prévention du cancer du col de l'uté-
3 A, D 7
rus. HAS, juin 2013. ( http://www.has-sante.
4 A 7 D, E
fr/portail/upload/docs/application/pdf/2013-08/
5 B 6 re f e re n t i e l e p s _ f o r m a t 2 c l i c _ k c _ c o l _ u t e -
6 D 6 rus_2013-30-08__vf_mel.pdf).
7 A, B 6 Fiche de synthèse : voir p. 169.
8 C, D, E 9
9 A, B 10 A
10 A, C, D, E 10 Cas clinique 31
11 B 6 Question 1
3ÏQPOTFø%
&
'
12 B, D, E 9
Question 2
13 C, E, E 6
Réponse : A.
Total 100
Question 3
Réponse : B.
131
Question 4
3ÏQPOTFø"
$
%
&
Corrigés
Pour aller plus loin
Question 5
Principaux items abordés : Réponse : A, B, C.
item 34 : Anomalies du cycle menstruel. Question 6
Métrorragies 3ÏQPOTFø%
&
item 143 : Vaccination Commentaire : la conisation ne se fait qu'après docu-
item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré- mentation histologique -F '$6 OhBQQPSUF RVF EFT
vention et dépistage des cancers données cytologiques.
item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique Question 7
item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel Réponse : E.
et investigations para-cliniques ; caractérisation du Question 8
stade ; pronostic Réponse : E.
item 291 : Traitement des cancers : chirurgie, $PNNFOUBJSFøMhÏWPMVUJPOEV$*/øOPOUSBJUÏFTUMF
radiothérapie, traitements médicaux des cancers DBSDJOPNFÏQJEFSNPÕEFMFTNÏUSPSSBHJFTQSPWPRVÏFT
(chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra- sont assez caractéristiques, puis deviennent sponta-
pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire nées à un stade plus avancé.
et l'information du malade Question 9
item 292 : Prise en charge et accompagnement Réponse : B.
d'un malade cancéreux à tous les stades de la Question 10
maladie 3ÏQPOTFø"
%
&
item 297 : Tumeurs du col utérin, tumeur du corps Commentaire : le cancer du col est associé à une
utérin JOWBTJPOQSJODJQBMFNFOUMPDPSÏHJPOBMFMF1&5TDBOOFS
n'est pas systématique : que si stade >ø**C/
Référence :
Question 11
Cancer invasif du col utérin. Guide ALD. HAS, 3ÏQPOTFø"
#
$
%
INCa, janvier 2010. ( http://www.has-sante.
Question 12
fr/portail/upload/docs/application/pdf/2010-02/
Réponse : C.
Cas cliniques corrigés
Question 13
Réponse : A, C, E. fr/portail/upload/docs/application/pdf/2010-02/
ald_30_gm_col_uterin_web_2010-02-12_09-57-
Question 14 34_599.pdf).
Réponse : A, C.
Recommandations pour le dépistage du cancer du
Question 15 col de l'utérus en France. HAS, juillet 2010. (
Réponse : B. http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/
application/pdf/2010-11/fiche_de_synthese_
Grille d'évaluation
recommandations_depistage_cancer_du_col_
No Réponses Points PMZ SMZ de_luterus.pdf).
1 D, E, F 7 Dépistage et prévention du cancer du col de l'uté-
2 A 6 rus. HAS, juin 2013. ( http://www.has-sante.
fr/portail/upload/docs/application/pdf/2013-
3 B 6
08/referentieleps_format2clic_kc_col_ute-
4 A, C, D, E 7 rus_2013-30-08__vf_mel.pdf).
5 A, B, C 7
Fiche de synthèse : voir p. 169.
6 D, E 7
7 E 6
Cas clinique 32
8 E 6 Question 1
9 B 6 Un frottis cervico-utérin (cervico-vaginal également
10 A, D, E 7 BDDFQUÏ
11 A, B, C, D 7 Question 2
3ÏQPOTFø%
12 C 7
Question 3
13 A, C, E 7 Réponse : C.
132 14 A, C 7 Question 4
15 B 7 3ÏQPOTFø"
#
%
Total 100 $PNNFOUBJSFø MB DMBTTJGJDBUJPO *05" International
Ovarian Tumor Analysis
EÏDSJUDFTDSJUÒSFTQPVSEJTDSJ-
miner les masses ovariennes suspectes.
Question 5
Pour aller plus loin Réponse : A.
$PNNFOUBJSFø UPVU GBDUFVS BVHNFOUBOU MF OPNCSF
Principaux items abordés : de cycles ovulatoires augmente le risque de cancer
item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré- ovarien : stimulation ovarienne, ménopause tardive,
vention et dépistage des cancers QVCFSUÏQSÏDPDF
OVMMJQBSJUÏy
item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique Question 6
item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel 3ÏQPOTFø$
'
et investigations para-cliniques ; caractérisation du Commentaire :
stade ; pronostic t "ø-BCJPQTJFEFMhPWBJSFFYQPTFËVOSJTRVFEFEJT-
sémination très élevé chez une patiente ayant une
item 291 : Traitement des cancers : chirurgie,
maladie localisée ; cependant, de manière excep-
radiothérapie, traitements médicaux des cancers UJPOOFMMF QBUJFOUT JOPQÏSBCMFT EhFNCMÏF PV TVT-
(chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra- QJDJPO EF TBSDPNF
VOF UFMMF TUSBUÏHJF QFVU ÐUSF
pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire proposée.
et l'information du malade t #ø *M FTU OÏDFTTBJSF EF SÏBMJTFS VOF *3. abdo-
item 292 : Prise en charge et accompagnement d'un mino-pelvienneRVJQFSNFU
DPOUSBJSFNFOUËMh*3.
malade cancéreux à tous les stades de la maladie pelvienne, d'évaluer les ganglions lymphatiques
item 297 : Tumeurs du col utérin, tumeur du corps pelviens et aortiques.
utérin Question 7
3ÏQPOTFø#
$
%
Référence : Commentaire :
Cancer invasif du col utérin. Guide ALD. HAS, t "ø4.;-F$"FTUVONBSRVFVSEhJOGMBNNB-
INCa, janvier 2010. ( http://www.has-sante. tion péritonéale ; il n'est pas spécifique du cancer
de l'ovaire.
Cas cliniques corrigés 3
Question 8
Réponse : A, E. item 287 : Épidémiologie, facteurs de risque, pré-
vention et dépistage des cancers
Question 9 item 288 : Cancer : cancérogenèse, oncogénétique
Réponse : B, E. item 289 : Diagnostic des cancers : signes d'appel
Commentaire : et investigations para-cliniques ; caractérisation du
t $ø-FUBCBDFTUVOGBDUFVSEFSJTRVFEFDBODFSEV stade ; pronostic
col. item 291 : Traitement des cancers : chirurgie,
t %ø -F DBODFS EF MhPWBJSF FTU MF EFVYJÒNF DBODFS radiothérapie, traitements médicaux des cancers
gynécologique pelvien par ordre de fréquence
(chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothéra-
après le cancer de l'endomètre.
pie). La décision thérapeutique pluridisciplinaire
Question 10 et l'information du malade
3ÏQPOTFø"
#
$
%
& item 292 : Prise en charge et accompagnement d'un
malade cancéreux à tous les stades de la maladie
Question 11 item 297 : Tumeurs du col utérin, tumeur du corps
3ÏQPOTFø"
% utérin
item 303 : Tumeurs de l'ovaire
Question 12 item 309 : Tumeurs du sein
3ÏQPOTFø$
%
Référence :
Question 13 Cancer invasif du col utérin. Guide ALD. HAS, INCa,
Réponse : B.
janvier 2010. ( http://www.has-sante.fr/portail/
Question 14
upload/docs/application/pdf/2010-02/ald_30_gm_
3ÏQPOTFø#
$
% col_uterin_web_2010-02-12_09-57-34_599.pdf).
Cancer du sein. Guide ALD. HAS, INCa, janvier 2010.
Grille d'évaluation ( http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/
No Réponses Points PMZ SMZ application/pdf/2010-02/ald_30_gm_ksein_vd.pdf). 133
Cancer de l'ovaire. Guide ALD. HAS, INCa, janvier
1 Frottis cervico-vaginal 6
Corrigés
2010. ( http://www.has-sante.fr/portail/upload/
2 D 5 docs/application/pdf/2010-02/ald30_gm_k_ovaire_
3 C 6 vd_2010-02-11_15-00-56_15.pdf).
4 A, B, D 4 Tumeurs de l'ovaire présumées bénignes. CNGOF,
2013. ( http://www.cngof.asso.fr/data/RCP/
5 A 6 CNGOF_2013_FINAL_RPC_tumeurs%20ovaire.
6 C, F 3 pdf).
7 B, C, D 10 A Fiche de synthèse : voir p. 171.
8 A, E 10
9 B, E 6
10 A, B, C, D, E 6
Cas clinique 33
Question 1
11 A, D 8 Réponse : E.
12 C, D 10 Commentaire : datation à ± 3 jours par la longueur
cranio-caudale à 12 SA.
13 B 10
Question 2
14 B, C, D 10
Réponse : A, C, E.
Total 100 Commentaire :
t "ø-FTQSBUJDJFOTEPJWFOUBWPJSSÏBMJTÏVOFÏWBMVB-
UJPOEFTQSBUJRVFTQSPGFTTJPOOFMMFT &11
BVQSÒTEhVO
PSHBOJTNF SFDPOOV DPNNF GPSNBUFVS $/(0'
$'&'y
FUEJTQPTFSEhVOOVNÏSPEhBHSÏNFOUEÏMJ-
Pour aller plus loin WSÏBVWVEFMBSÏBMJTBUJPOEhVOF&11QBSMFTSÏTFBVY
de périnatalité auxquels ils appartiennent.
Principaux items abordés : t $ø 'UVT FO QPTJUJPO TBHJUUBMF
OJ FO GMFYJPO OJ
item 120 : Ménopause déflexion.
t &ø$FTPOUMFTEBUFTGJBCMFTEFNFTVSFEFMBDMBSUÏ
item 143 : Vaccination
nucale.
Cas cliniques corrigés
Corrigés
BNPJOESJTTFNFOU EFT EJBNÒUSFT GUBVY GBJCMF
décembre 2015). ( http://www.infectiolo-
WBMFVS EV EJBNÒUSF TPVT PDDJQJUPCSFHNBUJRVF gie.com/UserFiles/File/spilf/recos/infections-
ø
øDN
FUMBSPUBUJPOTFSBTFVMFNFOUEFøWFST urinaires-grossesse-spilf-2015.pdf).
FOBWBOUQPVSVOEÏHBHFNFOUFOPDDJQJUPQVCJFO
Fiche de synthèse : voir p. 146 et 147.
Grille d'évaluation
No Réponses Points PMZ SMZ Cas clinique 34
1 E 6 Question 1
Réponse : A, C, E.
2 A, C, E 7 Commentaire :
3 C 6 t "øøKPVSTEFQMVTRVFMFQSFNJFSKPVSEFTSÒHMFTøEBUF
4 A, B, C, D 7 de l'ovulation chez cette femme aux cycles réguliers, le
EÏCVUEFMBHSPTTFTTFÏUBOUBTTJNJMÏËMhPWVMBUJPO
5 A, B, C, D 7 t $øDBSOPWFNCSFøø4"SÏWPMVFT
6 A, B, C, E 7 t &øø4"øMBEÏGJOJUJPOEFMhBDDPVDIFNFOUQSÏNB-
turé est une naissance < ø4"
7 E 6
8 A 6 Question 2
3ÏQPOTFø$
%
9 A 6 Commentaire :
10 B 7 t $ø &O MhBCTFODF EF EPDVNFOUBUJPO BOUÏSJFVSF
11 C, E 7 d'une immunité.
t %ø0CMJHBUPJSFËDIBRVFHSPTTFTTF
12 A, D, E 7
Question 3
13 E 7 3ÏQPOTFø"
%
14 C, D, E 7 Commentaire :
15 B, C, D 7 t "ø0OQFVUGBJSFMBEÏDMBSBUJPOKVTRVhËø4"
t %ø $hFTU DFUUF TFVMF EBUF RVhJM FTU PCMJHBUPJSF
Total 100 de mentionner sur la déclaration.
Cas cliniques corrigés
Question 4 NBUVSÏ
CJFO RVF DF DSJUÒSF OF TPJU QBT EhVOF QFSUJ-
Réponse : A, C, E. OFODFBCTPMVF
Commentaire :
Question 11
t "ø-BDMBSUÏOVDBMFFTUGJOF
< à 3 mm.
3ÏQPOTFø"
$
%
t $ø .FTVSÏF DPSSFDUFNFOU TVS VO FNCSZPO FO
Commentaire :
coupe sagittale stricte.
t "ø$FTFSBMhÏDIPHSBQIJFEFø4"
t &ø -B DMBSUÏ OVDBMF JOEJRVF OPO TFVMFNFOU VO
t #ø-B#6FTUPCMJHBUPJSFËDIBRVFDPOTVMUBUJPO
risque accru de trisomie 21 mais aussi un risque
t $ø -B DPOTVMUBUJPO EhBOFTUIÏTJF FTU OÏDFTTBJSF
accru de malformations fœtales (surtout car-
FU EPJU ÐUSF QSPHSBNNÏF BV e ou 9e mois, voire
EJBRVFTNBJTBVTTJPTTFVTFT
SÏOBMFTy
avant en cas de pathologie maternelle ou de risque
Question 5 hémorragique.
Réponse : B, C, E.
Commentaire : Question 12
t #FU$ø-FSJTRVFEhBOPNBMJFDISPNPTPNJRVFFTU 3ÏQPOTFø"
%
&
élevé car la clarté nucale est importante, > 3 mm. Commentaire :
%BOT DFT DBTMË
PO QFVU QSPQPTFS EhFNCMÏF Ë MB t "ø®DFUFSNF ø4"
JMOhFTUQBTSBSFRVhJMZBJU
QBUJFOUFMhPCUFOUJPOEhVODBSZPUZQFGUBMTPJUQBS une présentation podalique (siège complet ou
CJPQTJFEFUSPQIPCMBTUF SÏTVMUBUTSBQJEFTQBSFYB- EÏDPNQMÏUÏ
MBQSÏTFOUBUJPOEVTJÒHFOhFTUEPOD
NFOEJSFDU
TPJUQBSBNOJPDFOUÒTF SÏTVMUBUTSBQJEFT pas définitive.
QBS'*4)TVJWJTEhVOFDVMUVSFDFMMVMBJSF
FUBVNJFVY t %ø0OQFVUPQUFSËDFUFSNFFUEÒTMFEJBHOPTUJD
après une consultation médicale de génétique. Les pour une version par manœuvre externe qui n'est
risques de pertes fœtales pour les deux techniques pas toujours couronnée de succès (recommanda-
TPOUJEFOUJRVFTQPVSEFTÏRVJQFTFOUSBÔOÏFT UJPOT$/(0'
t &ø 6O BWJT BVQSÒT EhVO $1%1/ FTU VUJMF ÏUBOU t &ø-FTQSÏTFOUBUJPOTEVTJÒHFQFVWFOUÐUSFJNQP-
donné le risque d'anomalie fœtale et les risques sées par des anomalies de forme utérine (utérus
génétiques autres que la trisomie 21, même si DMPJTPOOÏ
CJDPSOF
VOJDPSOFy
PV EFT NBMGPS-
l'hyperclarté nucale régresse en cas de caryotype mations utérines (hydramnios associé, tératomes
fœtal normal. Il faudra au minimum un suivi écho- GUBVYy
136 graphique par des spécialistes de médecine fœtale Question 13
et une échocardiographie fœtale à 22 SA. 3ÏQPOTFø#
%
Question 6 Commentaire :
Réponse : A, E. t #ø $BS DIF[ DFUUF NVMUJQBSF
MB EJMBUBUJPO FTU
Commentaire : l'hépatite C est recommandée mais non concomitante de l'effacement du col voire peut le
PCMJHBUPJSF-h)(10TFQSBUJRVFTVSEFTQBUJFOUFTËSJTRVFT précéder, à la différence de la primipare.
EFEJBCÒUFHFTUBUJPOOFM
MBGFSSJUJOFOhFTUVUJMFRVhFO t %ø &OHBHFNFOU EF MB QSÏTFOUBUJPO FU EJMBUBUJPO
cas de forte présomption d'anémie par carence martiale. du col sont deux phénomènes indépendants, sans
TJNVMUBOÏJUÏBCTPMVF
Question 7
3ÏQPOTFø"
#
% Question 14
Commentaire : le risque hémorragique est réel, de 3ÏQPOTFø$
%
même que celui de rupture prématurée des mem- Commentaire :
CSBOFT$FUUFQPTJUJPOEVQMBDFOUBËø4"OhFTUQBT t $ø-h&3$'OhFTUQBTVO&$(NBJTVOFBOBMZTFEFMB
définitive, l'ampliation du segment inférieur au troi- GSÏRVFODFDBSEJBRVF CBUUFNFOUQBSCBUUFNFOU
FU
sième trimestre le refoulant parfois à distance du col. de ses variations.
t %ø%VSBOUMFUSBWBJM
TFTWBSJBUJPOTÏWFOUVFMMFTTPOU
Question 8
analysées en fonction des contractions utérines,
3ÏQPOTFø$
%
&
ce qui permet de classer les ralentissements en
Commentaire : pas de contre-indication à ces antal-
types de sévérités différentes (précoces, tardifs,
giques en cours de grossesse, ici à 29 SA. L'usage des
WBSJBCMFTy
morphiniques expose à un syndrome d'imprégnation
et de sevrage du nouveau-né lorsqu'ils sont adminis- Question 15
trés au long cours et à l'approche du terme. Réponse : B, C.
Commentaire : pas d'analgésie péridurale chez cette
Question 9
femme car elle reçoit des anticoagulants à doses
Réponse : B.
curatives, ce qui est une contre-indication à l'analgé-
$PNNFOUBJSFøËDFUFSNF
ø4"
MBIBVUFVSVUÏ-
sie péridurale (risques d'hématome péri-médullaire,
SJOF DIF[ DFUUF GFNNF NJODF *.$ Ë
FTU EF
QBSBQMÏHJFy
26 cm.
t #ø-FQSPUPYZEFEhB[PUFQFVUBJEFSTJMFTDPOUSBD-
Question 10 tions ne sont pas trop intenses.
Réponse : A, C. t $ø -B OBMCVQIJOF QFVU ÐUSF VUJMJTÏF
TBOT
Commentaire : à la 32e SA, le col est long et fermé, NÏDPOOBÔUSF MF GBJU EhVOF TÏEBUJPO QPT-
n'indiquant pas un risque accru d'accouchement pré- TJCMF EV OPVWFBVOÏ TJ MB OBJTTBODF TVSWJFOU
Cas cliniques corrigés 3
rapidement après l'administration du produit.
$FT QBUJFOUFT QFVWFOU CÏOÏGJDJFS BWBOU MB Post-partum (CNGOF, 2015). ( http://www.
naissance de préparation à la naissance par cngof.fr/pratiques-cliniques/recommandations-
hypnose ou de techniques de relaxation ou de pour-la-pratique-clinique/apercu?path=RPC%
sophrologie. 2BCOLLEGE%252F2015-RPC-POSTPARTUM.
pdf&i=2176).
Grille d'évaluation
Fiche de synthèse : voir p. 146 et 147.
No Réponses Points PMZ SMZ
1 A, C, E. 6
2 C, D 7 Cas clinique 35
3 A, D 7 Question 1
4 A, C, E 7 Réponse : A, C.
Commentaire :
5 B, C, E 7 t #ø%*6BVDVJWSFTFVMFNFOU
6 A, E 7 t %ø%BOTMFTøKPVST
t &ø4.;
7 A, B, D 7
Les trois contraceptifs d'urgence sont les suivants
8 C, D, E 7 )"4
ø
9 B 6 t MÏWPOPSHFTUSFM EBOT MFT ø IFVSFT
EF QSÏGÏSFODF
dans les 12 heures ;
10 A, C 7 t VMJQSJTUBMEhBDÏUBUFEBOTMFTøKPVST
11 A, C, D 7 t %*6BVDVJWSFEBOTMFTøKPVST
Une contraception d'urgence est indiquée devant un
12 A, D, E 7
SBQQPSU OPO QSPUÏHÏ BWFD PVCMJ EF QJMVMF EBOT MFT
13 B, D 6 ø EFSOJFST KPVST 4BOT PVCMJFSø JOGPSNBUJPO TVS MF
14 C, D 6 SJTRVF EhÏDIFD
MF QPTTJCMF USPVCMF EFT SÒHMFT
I$(
EBOTMFTøKPVSTTJBCTFODFEFTBJHOFNFOUTPVTBJHOF-
15 B, C 6 NFOUTBOPSNBVY
FUMFSJTRVFEh*45 +øQBSUFOBJSF
137
Total 100 Question 2
Corrigés
Réponse : A, C, E.
Commentaire :
t #ø*OFGGJDBDJUÏTJQPJET> øLH
Pour aller plus loin t &ø'BJSFBUUFOUJPOBWFDSFQSJTFEFMBQJMVMF
Utilisation déconseillée des molécules contraceptives
Principaux items abordés : d'urgence dans les situations suivantes :
item 22 : Grossesse normale t MÏWPOPSHFTUSFMø IZQFSTFOTJCJMJUÏ
QPJET > ø LH
item 23 : Principales complications de la grossesse (inefficace > øLH
BOUÏDÏEFOUEFHSPTTFTTFFDUP-
item 30 : Accouchement, délivrance et suites de pique, association médicamenteuse (inducteur
couches normales FO[ZNBUJRVF
t VMJQSJTUBM EhBDÏUBUF per os
ø JOTVGGJTBODF IÏQB-
item 43 : Problèmes posés par les maladies géné-
tique, asthme sévère, association médicamenteuse
tiques : trisomie 21 (…) (inducteur enzymatique, notamment avec pilule
Référence : DPOUSBDFQUJWF
Corrigés
Pour aller plus loin permet d'apprécier l'anatomie de la patiente ; néan-
Principaux items abordés : moins certains gestes ne peuvent être systématiques.
item 22 : Grossesse normale Question 2
item 26 : Prévention des risques fœtaux : infection Réponse : E.
(…) Commentaire :
t "ø4FVMFNFOUTVSQPJOUEhBQQFM
item 30 : Accouchement, délivrance et suites de
t $ø0CMJHBUPJSFNFOUQSPQPTÏF
couches normales t &ø0CMJHBUPJSF
item 33 : Suites de couches pathologiques : patho-
logie maternelle dans les 40 jours Question 3
item 35 : Contraception Réponse : B.
$PNNFOUBJSFøMBTÏSPMPHJFSVCÏPMFFTUPCMJHBUPJSFFU
item 245 : Diabète sucré de types 1 et 2 de l'enfant
QSJPSJUBJSFDBSMBQSJNPJOGFDUJPOSVCÏPMFVTFFODPVST
et de l'adulte. Complications EF HSPTTFTTF QFVU JOEVJSF VOF FNCSZPGUPQBUIJF
item 252 : Nutrition et grossesse sévère. La prévention repose sur la vaccination et la
Référence : connaissance du statut sérologique de la patiente. Si
MBQBUJFOUFFTUTÏSPOÏHBUJWFQPVSMBSVCÏPMF
FMMFOhFTU
Le diabète gestationnel. CNGOF, 2010. ( http:// a priori QBT QSPUÏHÏF /ÏBONPJOT
MFT UFTUT TÏSPMP-
www.cngof.asso.fr/D_TELE/RPC_DIABETE_2010. HJRVFTTUBOEBSETOhPOUQBTVOFTFOTJCJMJUÏEFø
pdf). aussi, en cas de vaccinations itératives antérieures,
Les infections génitales hautes. CNGOF, 2012. ( l'immunité est acquise et toute vaccination supplé-
http://www.cngof.asso.fr/D_TELE/RPC_infec- mentaire est superflue. En outre, il n'existe pas de
tions_2012.pdf). TÏSPUIÏSBQJFTQÏDJGJRVFDPOUSFMBSVCÏPMF
Les hémorragies du post-partum. CNGOF, 2014. ( Question 4
http://www.cngof.asso.fr/data/RCP/CNGOF_2014_ 3ÏQPOTFø"
& 1.;
HPP.pdf). Commentaire :
Surpoids et obésité de l'enfant et de l'adolescent. t $ø %ÏQJTUBHF DPNCJOÏ ø NBSRVFVST TÏSJRVFT +
clarté nucale mesurée au premier trimestre + âge
HAS, septembre 2011. ( http://www.has-sante.
maternel.
Cas cliniques corrigés
La plupart des trisomies 21 résultent d'une anomalie des femmes sont porteuses de streptocoque B vaginal.
de la ségrégation méiotique des gamètes (surtout ovo- %BOTDFDBT
MFTSFDPNNBOEBUJPOTEV$/(0'JOEJRVFOU
DZUBJSF
-BGPSNFMBQMVTDMBTTJRVFFTUMBUSJTPNJFø VOUSBJUFNFOUBOUJCJPUJRVFNBUFSOFM
VOBDDPVDIFNFOU
MJCSF USPJTDISPNPTPNFTøJOEÏQFOEBOUT
FUIPNP- EBOTMFTøIFVSFTFOWJSPOBQSÒTMBSVQUVSFNFNCSB-
HÒOF DPODFSOFUPVUFTMFTDFMMVMFTEhVOJOEJWJEV
OBJSF FU VOF TVSWFJMMBODF OÏPOBUBMF -FT BOUJCJPUJRVFT
chez le nouveau-né ne sont pas systématiques.
Question 5
3ÏQPOTFø"
& 1.;
Question 11
Commentaire : Réponse : B.
t #ø5FSNFUIÏPSJRVFøø4" Commentaire :
t %ø1SÏNBUVSÏTJ< ø4" t #ø$BSOPVWFBVOÏSIÏTVTOÏHBUJGøQBTEFSJTRVF
Le terme théorique (à ne pas confondre avec le d'allo-immunisation rhésus chez la mère.
terme réel de l'accouchement toujours inconnu au t $ø+BNBJTDIF[MFOPVWFBVOÏ
EÏQBSU
FTU EF ø 4" BKPVUFS ø NPJT Ë MB EBUF EF t %ø.ÒSFHSPVQF0OPVWFBVOÏHSPVQF"
EÏCVUEFHSPTTFTTFUIÏPSJRVFøJDJøNBST+ 9 mois t &ø-FT)#1.OFQBTTFOUQBTMBCBSSJÒSFQMBDFOUBJSF
øøEÏDFNCSF
-FNPZFOMFQMVTGJBCMF
IPST1."
-BNÒSFFTUEFHSPVQFTBOHVJO0SIÏTVTOÏHBUJGFUMF
QPVSDPOOBÔUSFMhÉHFEhVOFHSPTTFTTFFTUEFNFTVSFSMB OPVWFBVOÏ " SIÏTVT OÏHBUJG -FT HBNNBHMPCVMJOFT
-$$FNCSZPOOBJSFFOEÏCVUEFHSPTTFTTF BOUJ%OFTPOUEPODQBTJOEJRVÏFT*MFYJTUFVOSJTRVF
EhJDUÒSF QBS JODPNQBUJCJMJUÏ "#0 DIF[ MF OPVWFBV
Question 6
né. Les tests de coagulation sont sans intérêt car les
3ÏQPOTFø#
$
%
)#1.OFQBTTFOUQBTMBCBSSJÒSFQMBDFOUBJSF
Commentaire : question assez spécialisée.
t "ø6OFTÏSPDPOWFSTJPOSÏDFOUFBVSBJUNPOUSÏEFT Question 12
*H.TFVMFT 3ÏQPOTFø#
$
%
&
t &ø 1BT EhVSHFODF EJBHOPTUJRVF DBS NBMIFVSFVTF- Commentaire :
ment il n'existe pas de traitement. t "ø4.;$POUSFJOEJDBUJPOGPSNFMMFEFTQJMVMFTTUSP-
-B TÏSPMPHJF $.7 OhFTU QBT PCMJHBUPJSF FO DPVST EF QSPHFTUBUJWFTDBSBOUÏDÏEFOUUISPNCPFNCPMJRVF
grossesse normale. Cette sérologie a pour caracté-
SJTUJRVF EF EÏUFDUFS EFT *H. MPOHUFNQT BQSÒT VOF Grille d'évaluation
QSJNPJOGFDUJPO6OFTÏSPMPHJF$.7QPTJUJWFOFQFVU No Réponses Points PMZ SMZ
140 QBTFYDMVSFVOFGUPQBUIJFË$.7 SÏBDUJWBUJPOWJSBMF
PVJOGFDUJPOQBSVOFOPVWFMMFTPVDIFQFVTFOTJCMFBVY 1 A, C 8 D
BOUJDPSQTNBUFSOFMT
2 E 8
Question 7 3 B 8
3ÏQPOTFø%
4 A, E 8 E
&ø4.;
Commentaire : la grossesse multiplie par 6 environ 5 A, E 8 E
MFT SJTRVFT UISPNCPUJRVFT WFJOFVY -FT USBKFUT MPOHT 6 B, C, D 8
constituent un facteur de risque supplémentaire. Une
TÏSPMPHJF TZQIJMJUJRVF EJTTPDJÏF 51)"o
7%3-+
FO 7 D 8 E
EÏCVUEFHSPTTFTTFEPJUGBJSFSFDIFSDIFSVOTZOESPNF 8 B 10
des anti-phospholipides.
9 A, B, D 10
Question 8 10 C 8 A
Réponse : B.
11 B 8
Commentaire : évoque un lupus.
12 B, C, D, E 8 A
Question 9
3ÏQPOTFø"
#
% Total 100
Commentaire :
t "ø4JMFMJRVJEFFTUDMBJS
t #ø4JMFMJRVJEFFTUNÏDPOJBM
%V MJRVJEF WFSU EBOT MF DVMEFTBD WBHJOBM QPTUÏSJFVS Pour aller plus loin
évoque la présence de liquide amniotique méconial.
Question 10
Principaux items abordés :
Réponse : C. item 22 : Grossesse normale
Commentaire : item 23 : Principales complications de la grossesse
t "ø 4.; 5SBWBJM ø NPEJGJDBUJPOT DFSWJDBMFT item 26 : Prévention des risques fœtaux : infection
+ contractions utérines régulières rapprochées. (…)
-B SVQUVSF EFT NFNCSBOFT FTU VO QIÏOPNÒOF JOEÏ- item 30 : Accouchement, délivrance et suites de
pendant de la définition du travail même si elle peut
couches normales
GBWPSJTFSMBTVSWFOVFEFDPOUSBDUJPOT&OUSFFUøø
Cas cliniques corrigés 3
magnésium +++ TJOPO CFO[PEJB[ÏQJOF FODPSF QBS
item 35 : Contraception DFSUBJOFTÏRVJQFT
*NBHFSJFDÏSÏCSBMFEBOTMBKPVSOÏF
item 43 : Problèmes posés par les maladies géné-
tiques : trisomie 21 (…) Grille d'évaluation
item 143 : Vaccination No Réponses Points PMZ SMZ
Référence : 1 B, C 25 B
Suivi et orientation des femmes enceintes en 2 E 25 E
fonction des situations à risque identifiées (HAS, 3 A, C, D, E 10
mai 2016). ( http://www.has-sante.fr/portail/
upload/docs/application/pdf/suivi_des_femmes_ 4 A, B, C, D 10 A
enceintes_-_recommandations_23-04-2008.pdf). 5 B, C, D, E 10
Infections cervico-vaginales et grossesse (CNGOF, 6 A, B, D, E 10
1997). ( http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/ 7 D, E 10
PURPC_02.HTM).
Infections urinaires au cours de la grossesse. Total 100
Colonisation urinaire gravidique, cystite gravi-
dique, pyélonéphrite aiguë gravidique (SPILF,
décembre 2015). ( http://www.infectiologie.
com/UserFiles/File/spilf/recos/infections-uri-
naires-grossesse-spilf-2015.pdf). Pour aller plus loin
Post-partum (CNGOF, 2015). ( http://www. Principaux items abordés :
cngof.fr/pratiques-cliniques/recommandations-
item 22 : Grossesse normale
pour-la-pratique-clinique/apercu?path=RPC%2BCO
item 23 : Principales complications de la grossesse
LLEGE%252F2015-RPC-POSTPARTUM.pdf&i=2176).
item 30 : Accouchement, délivrance et suites de
Contraception chez la femme en post-partum
couches normales
(HAS, 2013, 2015). ( http://www.has-sante.fr/ 141
portail/upload/docs/application/pdf/2015-02/1e_ Référence :
Corrigés
maj-contraception-post-partum-060215.pdf). Césarienne : conséquences et indications (CNGOF,
Fiche de synthèse : voir p. 146 et 147. 2000). ( http://www.cngof.asso.fr/D_PAGES/
PURPC_08.HTM).
Cas clinique 37 Fiche de synthèse : voir p. 160.
Question 1
3ÏQPOTFø# 1.;
$
Commentaire : césarienne il y a moins d'un an.
Question 2 Cas clinique 38
3ÏQPOTFø& 1.;
Question 1
Commentaire : rhésus. 3ÏQPOTFø$
%
&
Question 3 Question 2
3ÏQPOTFø"
$
%
& 3ÏQPOTFø#
%
Commentaire : &ø4.;
t #øNBORVFMFQÏEJBUSF
Question 3
Question 4 Infection maternofœtale à Listeria monocytogenes
3ÏQPOTFø" 1.;
#
$
% DIPSJPBNOJPUJUF
Commentaire : césarienne il y a moins d'un an.
Question 4
Question 5 Réponse : B.
3ÏQPOTFø#
$
%
& Commentaire :
$PNNFOUBJSFøCBSSFÏQJHBTUSJRVFøSVQUVSFEhIÏNB- t "ø"WBOUø4"
SVQUVSFQSÏNBUVSÏF
tome capsulaire hépatique. t #ø 1PVSTVJUF EF MhBNPYJDJMMJOF DBS Listeria suspec-
UÏFQSÏDÏEFNNFOU
BOUJCJPUIÏSBQJFOPOUFSNJOÏF
Question 6
TJOPO
EBOTMFDBESFEhVOFSVQUVSF
BOUJCJPUIÏSBQJF
3ÏQPOTFø"
#
%
&
fonction du terme et du résultat du prélèvement
Question 7 TUSFQUPDPRVFø#FOUSFFUø4"
3ÏQPOTFø%
& /#ø
Commentaire : si prochaine grossesse, césarienne ité- t 4FOTJCMF NBJT QFV TQÏDJGJRVF
CPO NBSDIÏø
rative. Anticonvulsivants avant la césarienne (sulfate de Amniocator®, test à la nitrazine.
Cas cliniques corrigés
Corrigés
3ÏQPOTFø"
#
%
Commentaire : antithrombotiques
t &ø1BTEFDVSFEFDPSUJDPÕEFTBWBOUø4" Référence :
t $ø3IPQIZMBD® avant amniocentèse.
Suivi et orientation des femmes enceintes en fonc-
Question 2 tion des situations à risque identifiées (HAS,
3ÏQPOTFø"
#
%
$PNNFOUBJSFøJNNVOJTÏFDPOUSFMBSVCÏPMF mai 2016). ( http://www.has-sante.fr/portail/
upload/docs/application/pdf/suivi_des_femmes_
Question 3
enceintes_-_recommandations_23-04-2008.pdf).
3ÏQPOTFø#
$
% 1.;
Prévention de l'allo-immunisation Rhésus–D
Question 4
Réponse : A, E.
fœto-maternelle (CNGOF, 2005). ( http://
$PNNFOUBJSFøWBDDJO303øFOpost-partum. www.cngof.asso.fr/D_PAGES/PURPC_13.HTM).
Le retard de croissance intra-utérin. RPC (CNGOF,
Question 5
3ÏQPOTFø"
#
%
& 2013). ( http://www.cngof.asso.fr/data/RCP/
$PNNFOUBJSFø SFEJTUSJCVUJPO EV GMVY TBOHVJO FO CNGOF_2013_FINAL_RPC_rciu.pdf).
IZQPQFSGVTJPOøEJNJOVUJPOEFTSÏTJTUBODFTDÏSÏCSBMFT
Fiche de synthèse : voir p. 158.
"CPVUJUËVOFJOWFSTJPOEFTEPQQMFST
Cas cliniques corrigés
144
Cas cliniques corrigés 3
145
Corrigés
Cas cliniques corrigés
Grossesse normale
Le diagnostic de terme repose sur la date des dernières règles et, en cas d'incertitude, sur une échogra-
phie réalisée avant 12 SA.
&OEÏCVUEFHSPTTFTTF
JMFTUJNQPSUBOUEhévaluer les risques gravidiques afin de diriger cette femme
FODFJOUFWFSTMBTUSVDUVSFBEBQUÏFËTBQBUIPMPHJF PVËTPOSJTRVF
Sept consultationsTPOUPCMJHBUPJSFTBVDPVSTEFMBHSPTTFTTF%FTexamens complémentaires sont
PCMJHBUPJSFT BV DPVST EF MB HSPTTFTTF DG infra
-FT trois échographies conseillées sont réalisées à
12 SA, 22 SA et 32 SA. Une consultation au niveau de la maternité qui prendra en charge la parturiente
FTUPCMJHBUPJSFBVEFSOJFSUSJNFTUSF
Le dépistage de la trisomie 21 repose sur l'analyse des facteurs de risque à partir des antécédents, de
l'échographie de 12 SA et des marqueurs sériques.
Au cours de la grossesse, aucune supplémentation n'est conseillée en dehors de l'acide folique jusqu'à
ø4" FUFOQSÏDPODFQUJPOOFM
EFMhJPEFFUMBWJUBNJOFø%BVe mois.
Facteurs de risque de dysthyroïdie :
t âge > øBOT
t IJTUPJSFGBNJMJBMFEFQBUIPMPHJFUIZSPÕEJFOOFBVUPJNNVOFPVEhIZQPUIZSPÕEJF
t présence d'un goitre ;
t QSÏTFODFEhBOUJDPSQTBOUJUIZSPÕEJFO
QBSUJDVMJÒSFNFOUEhBOUJ510
t TJHOFTDMJOJRVFTEhIZQPUIZSPÕEJF
t BVUSFQBUIPMPHJFBVUPJNNVOFPVEJBCÒUFEFUZQFø
t notion d'infertilité ;
t antécédent d'accouchement prématuré ;
t BOUÏDÏEFOUEhJSSBEJBUJPODFSWJDBMFPVEFDIJSVSHJFUIZSPÕEJFOOF
t patiente sous Lévothyrox®.
146 Facteurs de risque de diabète gestationnel :
t TVSDIBSHFQPOEÏSBMFø*.$ KVTUFBWBOUHSPTTFTTF
≥øøLHN2 ;
t âge ≥øøBOT
t BOUÏDÏEFOUTGBNJMJBVYBVQSFNJFSEFHSÏEFEJBCÒUFEFUZQFø
t BOUÏDÏEFOUTQFSTPOOFMTEFEJBCÒUFHFTUBUJPOOFMPVEFNBDSPTPNJF
Le bilan paraclinique obligatoire comprend :
t EFTTÏSPMPHJFTøSVCÏPMF
UPYPQMBTNPTF
TZQIJMJT
t MBQSFNJÒSFEÏUFSNJOBUJPOEVHSPVQFTBOHVJO"#0
3IFU,FMM
3"*
t VOFCBOEFMFUUFVSJOBJSFøSFDIFSDIFEFQSPUÏJOVSJFTFUEFHMZDPTVSJF
Le bilan paraclinique non obligatoire comprend :
t TÏSPMPHJFT7*)
7)$
7)#
t /'4EFEÏQJTUBHFQSÏDPDFEhVOFBOÏNJF
Note sur les congés :
t DPOHÏTNBUFSOJUÏøøTFNBJOFTBWBOU
øTFNBJOFTBQSÒT
+ 14 jours si grossesse pathologique ;
t congés paternité : 11 jours.
Cas cliniques corrigés 3
147
Corrigés
Descente et rotation dans l'excavation :
t parcours de la tête fœtale dans l'excavation pelvienne ;
t SPUBUJPOFOPDDJQJUPQVCJFOOFEBOTMBNBKPSJUÏEFTDBT
Expulsion : dégagement de la tête fœtale.
Troisième étape du travail
DélivranceEVQMBDFOUBFUEFTNFNCSBOFTø
t SFTQFDUFSMFNÏDBOJTNFQIZTJPMPHJRVF QBTEFNBOVWSFUSPQIÉUJWF
t TBWPJSSFDPOOBÔUSFMFEÏDPMMFNFOUQMBDFOUBJSF
t FYUSBDUJPOEPVDFEVQMBDFOUBFUEFTNFNCSBOFT
t FYBNFONBDSPTDPQJRVFEVQMBDFOUB DPNQMFU
Quatrième étape du travail
1IBTFEFSFUPVSËMBOPSNBMF
Surveillance 2 heuresFOTBMMFEhBDDPVDIFNFOU DPOTUBOUFT
SÏUSBDUJPOVUÏSJOF
Expression utérine.
Cas cliniques corrigés
Indications de la césarienne
Césarienne programmée
&ODBTEFDPOUSFJOEJDBUJPOEFMhBDDPVDIFNFOUQBSWPJFCBTTF-BDÏTBSJFOOFFTUQMBOJGJÏFËMhBWBODF
FO
fin de grossesse.
Principales indications (HAS)
t 1MBDFOUBQSBFWJBEFTUBEF***PV*7
t .BDSPTPNJFGUBMF> øH PVøHFODBTEFEJBCÒUFBTTPDJÏ
t Antécédent de dystocie des épaules.
t Antécédent de rupture utérine.
t 1SÏTFOUBUJPOEVTJÒHFBWFDBOPNBMJFEFMBDPOGSPOUBUJPOGUPQFMWJFOOF
EÏGMFYJPOEFMBUÐUFPVOPO
coopération de la patiente.
t 1BUJFOUF7*)+ avec réplication virale.
t 1BUJFOUFBWFDQSJNPJOGFDUJPO)47
t Utérus cicatriciel.
Les situations suivantes doivent être évaluées au cas par cas
t Cicatrice utérine corporéale verticale ou segmento-corporéale.
t Utérus pluricicatriciel.
t Cicatrice utérine d'origine gynécologique.
t Cicatrices utérines traumatiques.
t $JDBUSJDF EF DÏTBSJFOOF TFHNFOUBJSF BWFD DPNQMJDBUJPOT QPTUPQÏSBUPJSFT FOEPNÏUSJUF
BCDÒT EF
QBSPJy
Césarienne en urgence
La césarienne en urgence peut être indiquée soit au cours de la grossesse, soit au cours du travail.
148 Extrême urgence (code couleur : rouge)
-FTVSHFODFTBCTPMVFTPOUVODBSBDUÒSFWJUBMTPJUQPVSMhFOGBOUËWFOJS
TPJUQPVSMBNÒSF
-BDÏTBSJFOOFEPJUÐUSFGBJUFEBOTMFTQMVTCSFGTEÏMBJT-hBCTFODFEFDBUIÏUFSEhBOFTUIÏTJFQÏSJEVSBMFFO
QMBDFPCMJHFËSFDPVSJSËVOFBOFTUIÏTJFHÏOÏSBMF
t Urgence fœtale : principalement l'hypoxie fœtale, dont les étiologies sont :
o QBUIPMPHJFGVOJDVMBJSF QSPDJEFODFEVDPSEPO
o IZQPQFSGVTJPOGUPQMBDFOUBJSF
o IZQFSUPOJFVUÏSJOF
o IZQPYJFNBUFSOFMMF
o ÏDIFDEFGPSDFQTQPVSBOPNBMJFEVSZUINFDBSEJBRVFGUBMTÏWÒSF
o ÏDIFDEFHSBOEFFYUSBDUJPOTVS+
t Urgence maternelle : il s'agit d'hémorragies ou de complications particulièrement graves d'une
pathologie maternelle, en rapport direct avec la grossesse ou associée à la grossesse :
o EÏDPMMFNFOUQMBDFOUBJSF
o DSJTFEhÏDMBNQTJF
)31
o IÏNPSSBHJFVUÏSJOFø%11/* EÏDPMMFNFOUQSÏNBUVSÏEVQMBDFOUBOPSNBMFNFOUJOTÏSÏ
QMBDFOUB
QSBFWJBy
o TVTQJDJPOEFSVQUVSFVUÏSJOF
Urgence relative (code couleur : orange)
-FTVSHFODFTSFMBUJWFTMBJTTFOUVOEÏMBJEFQMVTEFøNJOVUFTQPVSQFSNFUUSFTPJUMhFYUFOTJPOEhVOFQÏSJ-
durale analgésiante, soit la pratique d'une rachianesthésie.
t ²DIFDEFMhÏQSFVWFEVUSBWBJM
t 1SÏTFOUBUJPOEZTUPDJRVFFODPVSTEFUSBWBJM
t %ZTUPDJFEZOBNJRVFøBSSÐUEFMBEJMBUBUJPOSFCFMMFËUPVUFUIÏSBQFVUJRVF
t Souffrance fœtale compensée entre les contractions utérines.
Cas cliniques corrigés 3
Césarienne de convenance
%BOTTFTSFDPNNBOEBUJPOTEFCPOOFQSBUJRVFDPODFSOBOUMFTJOEJDBUJPOTEFDÏTBSJFOOFQSPHSBNNÏF
ËUFSNF
MB)"4BCPSEFMBRVFTUJPOEFMBDÏTBSJFOOFEFDPOWFOBODF
ËMBEFNBOEFEFMBQBUJFOUF
TBOT
JOEJDBUJPOTNÏEJDBMFTPVPCTUÏUSJDBMFT
Un médecin peut refuser une césarienne de convenance. Il adresse alors la patiente à un autre confère.
La demande maternelle n'est pas en soi une indication à la césarienne. Il est recommandé de rechercher
les raisons spécifiques à cette demande, de les discuter et de les mentionner dans le dossier médical.
-PSTRVhVOFGFNNFEFNBOEFVOFDÏTBSJFOOFQBSQFVSEFMhBDDPVDIFNFOUQBSWPJFCBTTF
JMFTUSFDPN-
NBOEÏEFMVJQSPQPTFSVOBDDPNQBHOFNFOUQFSTPOOBMJTÏMFQMVTUÙUQPTTJCMFFUVOFJOGPSNBUJPOTVSMB
prise en charge de la douleur.
-FTCÏOÏGJDFTBUUFOEVTQPVSMBQBUJFOUFEPJWFOUÐUSFNJTFOSFHBSEEFTSJTRVFTBTTPDJÏTËMBDÏTBSJFOOF
et lui être expliqués (en particulier, le risque accru de placenta praevia et placenta accreta pour
les grossesses futures
Au terme de la grossesse, après toutes ces démarches, lors d'une dernière consultation, l'acceptation
d'une césarienne sur demande nécessite une analyse concertée avec la patiente de ses motivations. Le
résultat et la décision sont consignés dans le dossier.
149
Corrigés
Cas cliniques corrigés
Grossesse extra-utérine
-B HSPTTFTTF FYUSBVUÏSJOF (&6
SFTUF MB QSFNJÒSF DBVTF EF NPSU NBUFSOFMMF BV QSFNJFS USJNFTUSF EF
grossesse.
Terrain : femme en période d'activité génitale, retard de règles ou aménorrhée secondaire.
-B (&6 FTU MB OJEBUJPO FDUPQJRVF EF MhVG FO EFIPST EF MB DBWJUÏ VUÏSJOF -B QMVQBSU EFT HSPTTFTTFT
FDUPQJRVFTTPOUEFTHSPTTFTTFTUVCBJSFT-FTEJGGÏSFOUFTQBSUJFTBOBUPNJRVFTEFMBUSPNQFQFVWFOUÐUSF
DPODFSOÏFTøUSPNQFø
BNQPVMFøEFTDBT
JTUINFø
QBWJMMPOø
JOGVOEJCVMVN
PWBJSF
FOEFSOJFSBCEPNFO < ø
Le diagnostic doit être évoqué de principe en cas de douleurs associées à des métrorragies
en début de grossesse.
Les facteurs de risqueTPOUDFVYFOUSBÔOBOUø
t VOFBMUÏSBUJPOEFTUSPNQFTøTBMQJOHJUFFU*45
DIJSVSHJFQFMWJFOOF
UBCBD
ÉHFBWBODÏ
t EFTBOPNBMJFTIPSNPOBMFTTQPOUBOÏFTPVJBUSPHÒOFTø%*6
DPOUSBDFQUJPONJDSPQSPHFTUBUJWFPVEhVS-
HFODF
'*7FUUSBOTGFSUEhFNCSZPOT
JOEVDUFVSTEFMhPWVMBUJPO
Le diagnostic repose sur le trépied :
t clinique ;
t ÏDIPHSBQIJFøWBDVJUÏVUÏSJOF
ÏQBODIFNFOUMJRVJEJFOEBOTMF%PVHMBT
GPSNBUJPOMBUÏSPVUÏSJOFIÏUÏ-
rogène correspondant à un hématosalpinx ou la visualisation directe du sac ovulaire ;
t dosage des βI$(øDJOÏUJRVFQFSUVSCÏFEVGBJUEhVOFOPONVMUJQMJDBUJPOQBSøEFTUBVYEFβI$(
UPVUFTMFTøIFVSFT
En cas de vacuité utérine associée à un taux de β-hCG > 1 500 UI/l, la probabilité de GEU
est importante.
GEU non rompue :
t EPVMFVSVOJMBUÏSBMFTVTQVCJFOOFPVEBOTVOFGPTTFJMJBRVF
150 t ±øNÏUSPSSBHJFTQFVBCPOEBOUFT
SÏQÏUÏFT
t FYBNFOBVTQÏDVMVNøTBJHOFNFOUQBSMhPSJGJDFEVDPM
DPOHFTUJG HSPTTFTTF
t toucher vaginal : utérus peu volumineux pour le terme, ± masse latéro-utérine, ± douleur au cul-de-
TBDEF%PVHMBT
GEU rompue → urgence chirurgicale :
t EPVMFVSTPVWFOUCSVUBMFQFMWJFOOFQVJTBCEPNJOBMFEJGGVTF
t ±øÏUBUEFDIPDIÏNPSSBHJRVFøIZQPUFOTJPO
UBDIZDBSEJF
NBSCSVSFT
PMJHVSJF
MJQPUIZNJF
t EÏGFOTFTVTQVCJFOOF
t touchers pelviens très douloureux.
Examens complémentaires :
t ÏDIPHSBQIJFQFMWJFOOFQBSWPJFBCEPNJOBMFFUTVSUPVUWBHJOBMFø
o WBDVJUÏVUÏSJOFNBMHSÏUFSNF> ø4"FUPVβI$(> ø6*M
o ±øÏQBODIFNFOUMJRVJEJFOEBOTMF%PVHMBT IÏNPQÏSJUPJOF
o ±øJNBHFMBUÏSPVUÏSJOFIÏUÏSPHÒOF IÏNBUPTBMQJOYPVTBDPWVMBJSF
t βI$(QMBTNBUJRVFTRVBOUJUBUJGTQPTJUJGT
OPONVMUJQMJÏTQBSøBQSÒTøIFVSFT
t /'4 EÏHMPCVMJTBUJPO
CJMBOQSÏUSBOTGVTJPOOFM HSPVQF
3I
3"*
t CJMBOQSÏUIÏSBQFVUJRVFø51
5$"
DPOTVMUBUJPOEhBOFTUIÏTJF +ø"4"5
"-"5
VSÏF
DSÏBUJOJOFTJUSBJUF-
NFOUNÏEJDBNFOUFVY
Le traitementBQMVTJFVSTPCKFDUJGTø
t traitement symptomatique :
o WPJFWFJOFVTF
o ± expansion volémique par macromolécules ;
o ±øUSBOTGVTJPOEF$(3
o TVSWFJMMBODFIÏNPEZOBNJRVFFU/'4
t USBJUFSMB(&6BWBOURVhFMMFOFQSPWPRVFVOIÏNPQÏSJUPOF
t préserver la fertilité ;
t limiter le risque de récidive ;
t MJNJUFSMBNPSCJEJUÏUIÏSBQFVUJRVF
t éviter une immunisation rhésus chez les patientes de groupe sanguin rhésus négatif.
Cas cliniques corrigés 3
Corrigés
Hystérosalpingographie à discuter après 3 mois : état des trompes
après 3 mois : état des trompes
Possibilité de réaliser une seconde
injection
Taux d'échec 10 à 20 % 1 pour 10 000
-FUBVYEFHSPTTFTTFJOUSBVUÏSJOFBQSÒTUSBJUFNFOUFTUEFËø
BWFDËøEF(&6
InformationøSJTRVFEFSÏDJEJWF ø
TUÏSJMJUÏUVCBJSF
ÏDIPHSBQIJFPCTUÏUSJDBMFËø4"
/FQBTPVCMJFSøMFTGPSNFTDBUBDMZTNJRVFTEF(&6 (&6SPNQVF
→ stratégie urgente organisée.
Cas cliniques corrigés
Hémorragie de la délivrance
Définition
1FSUFTTBOHVJOFT> øNMEBOTMFTøIFVSFTBQSÒTMhBDDPVDIFNFOU
Prise en charge
t Urgence obstétricale.
t "QQFMEFMhPCTUÏUSJDJFOFUEFMhBOFTUIÏTJTUFEFHBSEF
t /PUFSMhIFVSF
t .JTFFODPOEJUJPOø
o QPTFEhVOFEFVYJÒNF771EFCPODBMJCSF
o réchauffer la patiente ;
o NPOJUPSJOH1"
'$
4Q02 ;
o PYZHÏOPUIÏSBQJFBVNBTRVFËIBVUFDPODFOUSBUJPO
o CJMBOøCJPMPHJRVFøHSPVQF"#0
3I
3"*
/'4
515$"'H
o NJTFFOSÏTFSWFEF$(3FU1'$
Retenir quatre gestes systématiques
Assurer la stabilité hémodynamique :
t FYQBOTJPOWPMÏNJRVFQBSDSJTUBMMPÕEFT± vasopresseur ;
t USBOTGVTJPOøEF$(3QIÏOPUZQÏT1'$DVMPUTQMBRVFUUBJSFTø
o PCKFDUJGTø)C> øHEM
QMBRVFUUFT> ø(M
GJCSJOPHÒOF> øHM
o FOQSBUJRVFøSBQQPSU1'$$(3FOUSFFU
Assurer la vacuité utérine :
t délivrance artificielle puis révision utérine ;
t BTFQTJF
BOBMHÏTJF
BOUJCJPQSPQIZMBYJF
152 Assurer la contraction utérine :
t sondageWÏTJDBM ËEFNFVSFQPVSNPOJUPSBHFEFMBEJVSÒTF
t utérotonique : oxytocine (Syntocinon®
Ëø6**7-QVJTËø6*ITVSøIFVSFT
t massage utérin.
Assurer l'intégrité de la filière génitale : examen sous valve ± suture.
Si persistance à 15–30 minutes → Hémorragie du post-partum grave
t 6UÏSPUPOJRVFTEFOJWFBVTVQÏSJFVSøTVMQSPTUPOF /BMBEPS®
*74&TPVTTDPQF
t 3FDIFSDIFSVOF$*7%ø%EJNÒSFT
QMBRVFUUFT
515$"'H
Si échec à 30 minutes : hémostase locale
Radiologie interventionnelle pour embolisation des artères utérines :
t conditions :
o SBEJPMPHJFJOUFSWFOUJPOOFMMFBDDFTTJCMF
o ÏUBUIÏNPEZOBNJRVFstable ;
o USBOTQPSUNÏEJDBMJTÏSBQJEFNFOUQPTTJCMF
t JOEJDBUJPOTQSÏGÏSFOUJFMMFTøBDDPVDIFNFOUQBSWPJFCBTTFPVQMBJFDFSWJDPWBHJOBMF
Chirurgie : ligature vasculaire :
t conditions :
o SBEJPMPHJFJOUFSWFOUJPOOFMMFJOBDDFTTJCMF
o ÏUBUIÏNPEZOBNJRVFinstable ;
o USBOTQPSUNÏEJDBMJTÏSBQJEFJNQPTTJCMF
t indications préférentielles :
o )11FODPVSTEFDÏTBSJFOOF
o ÏDIFDEhFNCPMJTBUJPO
Dernier recours
Hystérectomie d'hémostase.
Cas cliniques corrigés 3
Prééclampsie
Les facteurs de risque de prééclampsies sont :
t les antécédents familiaux et personnel de prééclampsie ;
t la nulliparité ;
t MhPCÏTJUÏ
t Mh)5"DISPOJRVF
t MFEJBCÒUFHFTUBUJPOOFM
t les maladies auto-immunes de type lupus érythémateux disséminé, syndrome des anti-phospholipides ;
t MF%PQQMFSVUÏSJOQBUIPMPHJRVF
t les grossesses multiples.
Les signes de gravité de la prééclampsie sont :
t signes de gravité maternels :
o 1"4>øNNø)HFUPVMB1"%>øNNø)HTJHOFTGPODUJPOOFMTEFMh)5"
o PMJHVSJF
o SÏGMFYFTPTUÏPUFOEJOFVYWJG
t signes de gravité biologiques :
o UISPNCPQÏOJF
o IÏNPMZTFNÏDBOJRVF
RVJEPOOFEFTTDIJ[PDZUFT
o DZUPMZTFIÏQBUJRVF
o JOTVGGJTBODFSÏOBMFBJHVÑ
o QSPUÏJOVSJFTVQÏSJFVSFËøHQBSøIFVSFT
t signes de gravité fœtaux :
o 3$*6TÏWÒSF
o %PQQMFSPNCJMJDBMFUDÏSÏCSBMBOPSNBM
o PMJHPBNOJPT 153
o 3$'QBUIPMPHJRVF
Les complications de la prééclampsie existent tant pour la mère comme pour le fœtus :
Corrigés
t QPVSMBNÒSFøMhÏDMBNQTJF
Mh)31
MF)&--1TZOESPNF
MhJOTVGGJTBODFSÏOBMFBJHVÑ
MFTUSPVCMFTEFMB
DPBHVMBUJPO
MFT"7$IÏNPSSBHJRVFT
Mh0"1
t pour le fœtus : prématurité induite, RCIU, mort fœtale in utero.
%BOTVOFQSÏÏDMBNQTJF
MBsurveillanceFTUNBKPSÏF
UPVTMFTøKPVSTFODBTEFQSJTFFODIBSHFBNCV-
latoire, et comporte :
t pour la mère :
o DMJOJRVFøMB1"
MFQPJET
MBEJVSÒTFEFTøIFVSFT
o QBSBDMJOJRVFø/4'QMBRVFUUFT
51
5$"
QSPUÏJOVSJFEFTøIFVSFT
GJCSJOPHÒOF
GPODUJPOSÏOBMF
transaminases ;
t QPVSMFGUVTøVOFÏDIPHSBQIJFPCTUÏUSJRVFPCKFDUJWBOUMFQPJET
MBWJUBMJUÏFUMBRVBOUJUÏEFMJRVJEF
BNOJPUJRVF
BJOTJRVhVO%PQQMFSPNCJMJDBM
En post-partum
MFTDPNQMJDBUJPOTTPOUUPVKPVSTQPTTJCMFT
1FOTFS BV bilan vasculo-rénal ø NPJT BQSÒT MhBDDPVDIFNFOUø SFDIFSDIF EF OÏQISPQBUIJF
CJMBO EF
UISPNCPQIJMJF
EFQBUIPMPHJFTBVUPJNNVOFTFUFYBNFOBOBUPNPQBUIPMPHJRVFEVQMBDFOUB
Cas cliniques corrigés
Origine utérine ?
β-HCG quantitatif
et rhésus
Corrigés
Alternatives Ceftriaxone 500 mg IM Dose unique Hors AMM
possibles + Azithromycine 1 g par semaine 14 jours Protocole à
l'efficacité limitée
sur les anaérobies
Moxifloxacine 400 mg par jour 14 jours Coût plus élevé que
l'ofloxacine
Précautions si
troubles hépatiques
connus
Ceftriaxone 500 mg, 1 injection Dose unique
IM
+ Métronidazole 500 mg × 2 par 14 jours
jour per os
+ Doxycycline 100 mg × 2 par 14 jours
jour per os
Critères
Douleur pelvienne spontanée majeurs
Interrogatoire : (en l’absence d’autres pathologies)
− antécédent d’IST − et s DOULEUR ANNEXIELLe provoquée
− CONTEXTE DE post-partum, s ETOU DOULEUR à la mobilisation utérine
post-abortum, manœuvre
endo-utérine récente ± critères cliniques
− métrorragies additifs
− syndrome rectal (ténesme,
épreinte)
Examen clinique :
− T° > 38 °C
− leucorrhées purulentes INFECTION GÉNITALE HAUTE
156
Cas cliniques corrigés 3
Corrigés
-FNPOJUPSJOHPCKFDUJWFMFTDPOUSBDUJPOTVUÏSJOFT
"QSÒTø4"
JMGBVUIPTQJUBMJTFSPVTVJWSFËEPNJDJMFTFMPOMBTÏWÏSJUÏEF."1-FSFQPTFTUQSÏDPOJTÏ-F
traitement est étiologique ; la surveillance rapprochée par une sage-femme à domicile éventuellement.
Concernant le traitement avant 34 semaines
-F CÏOÏGJDF EF MB corticothérapie réside dans la maturation pulmonaire qui diminue le risque de
EÏUSFTTF SFTQJSBUPJSF
MB NBUVSBUJPO OFVSPMPHJRVF RVJ EJNJOVF MB NPSCJEJUÏ OFVSPMPHJRVF FU DFMMF EF
l'hémorragie intraventriculaire, la diminution du risque d'entérocolite ulcéro-nécrotique, la diminution
EFMBNPSCJNPSUBMJUÏOÏPOBUBMF
Place des tocolytiques :
t JOIJCJUFVSTDBMDJRVFTøOJGÏEJQJOF
OJDBSEJQJOF
t β2NJNÏUJRVFTøTBMCVUBNPM FGGFUTTFDPOEBJSFTøIZQPLBMJÏNJF
IZQFSHMZDÏNJF
UBDIZDBSEJF
t BOUBHPOJTUFTEFMhPDZUPDJOF
DPNNFMhBUPTJCBO
Sans oublier que la chorioamniotite est la contre-indication de la tocolyse.
Dans certains cas (chorioamniotite, HRP, etc.), les modifications cervicales et les contractions utérines
TPOUVONÏDBOJTNFEFTBVWFUBHFGUBMDBSMBQPVSTVJUFEFMBHSPTTFTTFNFUFOKFVMFQSPOPTUJDWJUBM%BOT
ces cas, la tocolyse est strictement contre-indiquée et l'extraction fœtale doit être réalisée en urgence.
Cas cliniques corrigés
159
Corrigés
Cas cliniques corrigés
Hématome rétroplacentaire
'SÏRVFODFEFTIÏNBUPNFTSÏUSPQMBDFOUBJSFT )31
ø
Ëø
FONPZFOOFFOWJSPOEFTHSPTTFTTFT
'PSUFNPSUBMJUÏQÏSJOBUBMF
BMMBOUEFË
WPJSFøNPSUBMJUÏNBUFSOFMMFEhFOWJSPOø
Étiologie :
t Mh)5"HSBWJEJRVFFUMBQSÏÏDMBNQTJFTPOUFODBVTFEBOTËøEFTDBTEh)31
BWFDVOSJTRVF
BVHNFOUÏMPSTRVFDFMMFTDJTPOUQSÏDPDFTFUPVTÏWÒSFT 33ø
ËMhPQQPTÏ
Mh)5"DISPOJRVFJTPMÏF
OhFTUQBTËFMMFTFVMFVOGBDUFVSEFSJTRVFEh)31
t MFUBCBHJTNF 33ø
Ë
MhBMDPPMFUMBDPDBÕOF
t MFTBDDJEFOUTGVOJDVMBJSFT DPSEPOTDPVSUTPVDJSDVMBJSFT
MFTWFSTJPOTQBSNBOVWSFTFYUFSOFTBWFDVO
QMBDFOUBBOUÏSJFVSPVGVOEJRVFDIF[VOFGFNNFQSÏTFOUBOUVOF)5"
MFTBNOJPDFOUÒTFTQSÏDPDFTFO
cas de placenta antérieur ;
t Mh)31 TVSWFOBOU BQSÒT VO BDDJEFOU EF WPJUVSF BWFD DFJOUVSF EF TÏDVSJUÏ KVTUJGJF VOF TVSWFJMMBODF
PCTUÏUSJDBMFFUGUBMFEBOTMFTøIFVSFTRVJTVJWFOUDFMVJDJ )31SFUBSEÏTKVTRVhËøKPVSTBQSÒTMF
USBVNBUJTNF
t MBSVQUVSFQSÏNBUVSÏFEFTNFNCSBOFT 33ø
PVMhÏWBDVBUJPOUSPQSBQJEFEhVOIZESBNOJPT
5FSNFEÏQBTTÏøDJSDPOTUBODFPáMFTNPSUTGUBMFTin uteroQFVWFOUTVSWFOJSBQSÒTVO)31
-h)31
PV%11/* EÏDPMMFNFOUQSÏNBUVSÏEVQMBDFOUBOPSNBMFNFOUJOTÏSÏ
FOUSBÔOFVOQBTTBHFBCPO-
EBOU EBOT MB DJSDVMBUJPO NBUFSOFMMF EF UISPNCPQMBTUJOFT EÏDJEVBMFT FU QMBDFOUBJSFT FU EF GBDUFVST EF
MB DPBHVMBUJPO BDUJWÏT
FOUSBÔOBOU EBOT Ë ø EFT DBT Eh)31 VOF coagulation intravasculaire
disséminée $*7%
Il existe des formes plus frustes pouvant prendre l'aspect d'une simple menace d'accouchement pré-
NBUVSÏTBOTNÏUSPSSBHJFTPVEFTDBTEh)31EÏWFMPQQÏTTVSVOQMBDFOUBQSBFWJB NÏUSPSSBHJFTEFTBOH
SPVHF
Le diagnostic différentielEFMh)31SFHSPVQFMFTDBVTFTEFTIÏNPSSBHJFTEVUSPJTJÒNFUSJNFTUSFEF
160 MBHSPTTFTTF
DPNNFMFQMBDFOUBQSBFWJB
MBSVQUVSFVUÏSJOF
MhIÏNPSSBHJFEF#FODLJTFSFUMFTDBVTFT
DFSWJDBMFTø MhFDUSPQJPO PV MhFYDFQUJPOOFM DBODFS EV DPM BV DPVST EF MB HSPTTFTTF
QPVS
HSPTTFTTFT
Une poussée aiguë d'hydramnios peut s'accompagner d'une hypertonie utérine, qui fait croire à la sur-
WFOVFEhVO)31
Mise en condition de la patiente et bilan en urgence
t .JTFFOQMBDFEFEFVYWPJFTWFJOFVTFTEFCPODBMJCSF*MFTUQBSGPJTOÏDFTTBJSFEhJOTUBMMFSVODPOUSÙMF
de la pression veineuse centrale, en particulier en cas d'oligoanurie.
t 1FSGVTJPOEFDSJTUBMMPÕEFT 3JOHFSMBDUBUF
øMBSFTUJUVUJPOWPMÏNJRVFEV3JOHFSMBDUBUFFTUGBJCMF øDD
QPVSøDDEhBQQPSU
FUUFNQPSBJSF øIFVSFTFOWJSPO
MFNBJOUJFOEFMBWPMÏNJFQFVUOÏDFTTJUFSEFT
NBDSPNPMÏDVMFTPVEFMBTÏSVNBMCVNJOFËøTJOÏDFTTBJSF
t $PSSFDUJPOEFTUSPVCMFTEFMBDSBTFøDVMPUTHMPCVMBJSFT
QMBTNBGSBJTDPOHFMÏEÏDPOHFMÏ 1'$BQQPS-
UBOUEVGJCSJOPHÒOFFUEFTGBDUFVSTEFMBDPBHVMBUJPO
USBOTGVTJPOTEFDPODFOUSÏTVOJUBJSFTEFQMB-
RVFUUFT TJOPNCSFEFQMBRVFUUFTJOGÏSJFVSË
t 4VSWFJMMBODFQBS%ZOBNBQ® QPVMTFU1"
TPOEFVSJOBJSFËEFNFVSF EJVSÒTFOPSNBMFTJTVQÏ-
SJFVSF Ë ø NMIFVSF
PYZHÏOPUIÏSBQJFOBTBMF TJ OÏDFTTBJSF
SBTBHF TVTQVCJFO FO WVF EhVOF
césarienne.
t Examen clinique de la patiente, en particulier neurologique : il doit être pratiqué à l'entrée et répété
régulièrement.
t #JMBOTBOHVJOøHSPVQFSIÏTVT EFVYEÏUFSNJOBUJPOT
FU3"*
/'4QMBRVFUUFTCJMBODPNQMFUEhIÏNP
TUBTFø515$"
GJCSJOPHÒOF
GBDUFVSTEFMBDPBHVMBUJPO
QSPEVJUTEFEÏHSBEBUJPOEFMBGJCSJOF 1%'
PV
%EJNÒSFTVSJDÏNJF
DSÏBUJOJOÏNJF
JPOPHSBNNFTBOHVJO
USBOTBNJOBTFT
QSPUÏJOVSJFTVSCBOEFMFUUF
FUTVSøIFVSFTDFCJMBOTFSBSÏQÏUÏ
FOGPODUJPOEVDPOUFYUFDMJOJRVF
UPVUFTMFTøIFVSFTFUQBSGPJT
QMVTUÙUEBOTDFSUBJOFTTJUVBUJPOT
Traitement obstétrical
Dans la quasi-totalité des cas d'HRP, l'évacuation utérine est impérative et urgente øEFT
NPSUTGUBMFTTVSWJFOOFOUEBOTMBQSFNJÒSFIFVSFFUEFNJF
øQPVWBOUÐUSFUFNQPSBJSFNFOUEJGGÏSÏF
QBSVOFOÏDFTTBJSFDPSSFDUJPOQSÏBMBCMFEhVOHSBWFUSPVCMFIÏNPEZOBNJRVFDIF[MBQBSUVSJFOUF%FVY
cas se présentent alors :
Cas cliniques corrigés 3
t soit l'enfant est mort : l'accouchement doit alors être conduit par les voies naturelles, après rupture
EFT NFNCSBOFT
ÏWFOUVFMMF QFSGVTJPO EhPDZUPDJRVFT -hFYQVMTJPO EPJU ÐUSF MB QMVT SBQJEF QPTTJCMF
BWBOU MhBQQBSJUJPO PV MhBHHSBWBUJPO EFT USPVCMFT EF MB DSBTF IFVSFVTFNFOU MhIZQFSDJOÏTJF EF GSÏ-
RVFODFBJEFTPVWFOUËDFUUFÏWBDVBUJPOSBQJEF
$FOhFTURVhFODBTEhIÏNPSSBHJFHSBWFPVEhBMUÏSB-
UJPOQSPGPOEFEFMBDSBTFTBOHVJOF $*7%JNQPSUBOUFFUÏWPMVUJWF
RVhVOFDÏTBSJFOOFTVSFOGBOUNPSU
sera exceptionnellement réalisée ;
t soit l'enfant est vivant :MhFYUSBDUJPOTFGFSBQBSWPJFIBVUF
TBVGFYDFQUJPO TJWPJFCBTTFQMVTSBQJEF
RVFWPJFIBVUF
%BOTUPVTMFTDBT
MBdélivrance doit être dirigée sous ocytociques car il existe un risque de décompen-
sation hémodynamique à ce moment-là. En cas de mauvaise rétraction utérine ou d'hémorragie persis-
tante, des analogues de prostaglandines seront prescrits en remplacement des ocytociques.
En cas de mère de groupe rhésus négatif, la prévention des immunisations devra tenir compte des
SÏTVMUBUTEVUFTUEF,MFJIBVFS
DBSMhJOKFDUJPOEhVOFEPTFIBCJUVFMMFEFHBNNBHMPCVMJOFTBOUJ%SJTRVF
EhÐUSFJOTVGGJTBOUFEVGBJUEhVOFUSBOTGVTJPOGUPNBUFSOFMMFJNQPSUBOUFBVDPVSTEFMh)31&OFGGFU
MF
QBTTBHFEFøNMEFTBOHGUBMDPSSFTQPOEËø(3GUBVYQPVS(3NBUFSOFMT EPTFEFøμg
TVGGJTBOUF
QBSDPOUSF
FODBTEFQBTTBHFQMVTJNQPSUBOU
JMGBVUBVHNFOUFSMBQSÏWFOUJPOEFøμg par
ml de sang supplémentaire.
1BSGPJT
FO SBJTPO EhVO UFSNF EF HSPTTFTTF QSÏDPDF FU EF MhFYJTUFODF EhVO )31 EF QFUJU WPMVNF TBOT
USBEVDUJPODMJOJRVFNBUFSOFMMFFUGUBMF TPVWFOUEÏDPVWFSUBVDPVSTEhVOFÏDIPHSBQIJFTZTUÏNBUJRVF
VOFBCTUFOUJPOUIÏSBQFVUJRVFFTUQPTTJCMFTPVTDPVWFSUEhVOFTVSWFJMMBODFDMJOJRVFFUQBSBDMJOJRVFTUSJDUF
® MhPQQPTÏ
MFT DBT EhIZTUÏSFDUPNJF EhIÏNPTUBTF BWBOU PV BQSÒT ÏWBDVBUJPO EhVO )31 TPOU EFWFOVT
exceptionnels en raison d'un dépistage plus précoce et d'une prise en charge thérapeutique mieux
DPEJGJÏF DFQFOEBOU
VOF BQPQMFYJF VUÏSJOF
VOF IÏNPSSBHJF JODPOUSÙMBCMF NBMHSÏ VOF FNCPMJTBUJPO
BSUÏSJFMMFFOQSFNJÒSFJOUFOUJPO
PVVOFTVSJOGFDUJPOVUÏSJOFBWFDDIPDJOGFDUJFVYSFTUFOUEFTJOEJDBUJPOT
à ce traitement radical.
161
Corrigés
Cas cliniques corrigés
163
Corrigés
Cas cliniques corrigés
Contraception
Contraception d'urgence
La contraception d'urgence hormonale donne le choix entre deux produits en prise unique qui doivent
ÐUSF QSJT MF QMVT UÙU QPTTJCMF TVJWBOU MF SBQQPSU
EBOT MFT ø IFVSFT NBYJNVN QPVS MF MÏWPOPSHFTUSFM
/PSMFWP®
FUøIFVSFTNBYJNVNQPVSMhVMJQSJTUBMBDÏUBUF &MMBPOF®
"VDVOFEFTEFVYOhFTUFGGJDBDFËø
Seul le lévonorgestrel peut être délivré sans ordonnance. Il peut être délivré de façon anonyme et gra-
tuite aux mineures en pharmacie, centre de planification et par les infirmières scolaires.
L'ulipristal d'acétate est délivré uniquement sur ordonnance mais peut être délivré gratuitement et sous
confidentialité en pharmacie pour les mineures.
Initiation d'une contraception hormonale
La consultation est centrée sur l'interrogatoire. Il n'y a pas d'examen gynécologique systématique.
L'interrogatoire doit éliminer les contre-indications, interactions médicamenteuses et le risque de mala-
EJFT NÏUBCPMJRVFT GBNJMJBMFT PV EF UISPNCPQIJMJF IÏSÏEJUBJSF 4J UPVT DFT ÏMÏNFOUT TPOU ÏMJNJOÏT
VO
CJMBONÏUBCPMJRVFTFSBGBJUøNPJTBQSÒTMFEÏCVUEFMBDPOUSBDFQUJPO$FUUFEFSOJÒSFQSJWJMÏHJFMBQJMVMF
minidosée de deuxième génération.
Lors du suivi d'une contraception hormonale, il n'y a aucune indication à effectuer des périodes d'arrêt
de la pilule. Le seul risque est la survenue d'une grossesse non désirée. Il n'existe pas d'impact sur la
fertilité. Il existe souvent une aménorrhée post-pilule, mais cette étiologie doit être retenue une fois
éliminé les autres causes.
Contraception œstroprogestative
Les contre-indications aux œstroprogestatifs sont les mêmes quelle que soit la voie d'administration
BOOFBV
QBUDI
MFEPTBHFEFMhTUSPHÒOF
MBHÏOÏSBUJPOEFQJMVMFFUMFUZQFEhTUSPHÒOF OBUVSFMPV
164
TZOUIÏUJRVF
Contraception par DIU
L'antécédent de grossesse extra-utérine n'est pas une contre-indication.
Il s'agit d'une contraception pouvant être réalisée chez les adolescentes et nulligestes ou nullipares.
-FQSJODJQBMSJTRVFEV%*6FTUMFSJTRVFJOGFDUJFVY
RVJTVSWJFOUFOHÏOÏSBMEBOTMFTøNPJTTVJWBOUTMBQPTF
Une douleur importante lors de la pose doit faire suspecter une perforation ou un faux trajet.
Contraception du post-partum
&ODBTEhBMMBJUFNFOU
MBDPOUSBDFQUJPOTUSPQSPHFTUBUJWFFTUDPOUSFJOEJRVÏF-BQPTFEhVO%*6FTUQPT-
TJCMFøTFNBJOFTBQSÒTMhBDDPVDIFNFOUQBSWPJFOBUVSFMMF
Contraception chez la femme à risque cardiovasculaire
7PJS MB 'JDIF .ÏNP )"4
IUUQXXXIBTTBOUFGSQPSUBJMKDNTD@GSDPOUSBDFQUJPO
DIF[MBGFNNFBSJTRVFDBSEJPWBTDVMBJSFGJDIFNFNP YUNDYUDS
Cas cliniques corrigés 3
Fibromes
5VNFVSCÏOJHOFEFMhVUÏSVTMBQMVTGSÏRVFOUFDIF[MBGFNNFFOÉHFEFQSPDSÏFSøEFTGJCSPNFTTPOU
BTZNQUPNBUJRVFT
MhBCTUFOUJPOUIÏSBQFVUJRVFFTUBMPSTEFNJTF
-FGJCSPNFFTUVOFUVNFVSNÏTFODIZNBUFVTFEÏWFMPQQÏFBVYEÏQFOTEVNVTDMFMJTTFFUTPVWFOUTÏQBSÏF
du myomètre normal par une pseudo-capsule. Elle est œstrogène-dépendante. Son risque de dégéné-
SFTDFODFFTUGBJCMF
Principale indication d'hystérectomie chez les femmes en pré-ménopause.
Les facteurs de risqueTPOUøÉHF
FUIOJF
BOUÏDÏEFOUTGBNJMJBVY
NÏOBSDIFQSÏDPDF
JOGFSUJMJUÏ
PCÏTJUÏ
nulliparité.
Les facteurs protecteurs sont : multiparité, âge tardif à la dernière grossesse, contraception orale,
UBCBD
Complications et symptômesøIÏNPSSBHJF
BOÏNJF
UPSTJPOEhVONZPNFQÏEJDVMÏ
OÏDSPCJPTFBTFQ-
UJRVFEhVOGJCSPNF
JOGFSUJMJUÏ
DPNQMJDBUJPOTNÏDBOJRVFT DPNQSFTTJPOEFTPSHBOFTEFWPJTJOBHF
Myome
Symptomatique Myomectomie
Choix du traitement
= analyse du contexte Myomes sous-muqueux Infertilité hystéroscopique
et choix de la patiente
En première intention
Désir de grossesse
dans le futur
Myomes interstitiels
ou pédiculés
DIU lévonorgestrel
en attendant
165
Corrigés
Désir de grossesse Symptomatique
Infertilité
sans infertilité Pas de désir de grossesse
− progestatifs Embolisation
− DIU au lévonorgestrel des artères utérines
Myomectomie − antifibrinolytiques
coelioscopique
− AINS Modulateurs sélectifs des
si possible,sinon
laparotomie − suplémentation martiale récepteurs à la progestérone
Cas cliniques corrigés
Ménopause
²UBQFQIZTJPMPHJRVFEVWJFJMMJTTFNFOUOPSNBMEFMBGFNNFRVJTVSWJFOUFONPZFOOFWFSTøBOT
FMMF
correspond à un épuisement de la réserve folliculaire ovarienne. Les conséquences à long terme de la
carence en œstrogènes sont les coronaropathies et l'ostéoporose.
InterrogatoireTVSMhÉHFEFTBOUÏDÏEFOUT
SFDIFSDIFEFDPOUSFJOEJDBUJPOBVUSBJUFNFOUIPSNPOBMTVCT-
titutif, la date des dernières règles et la recherche de syndrome climatérique.
Le diagnostic est clinique : aménorrhée secondaire > BO
ÏWFOUVFMMFNFOUDPOGJSNÏFCJPMPHJRVFNFOU
'4)IBVUF
DPVSCFEFUFNQÏSBUVSFy
-BDBSFODFTUSPHÏOJRVFFTUEÏGJOJUJWF
Les complicationsTPOUøQSJTFEFQPJETBOESPÕEF
PTUÏPQPSPTF
BUIÏSPTDMÏSPTF
BUSPQIJFWVMWBJSF
VUÏ-
rine, des seins, syndrome climatérique.
La présence du syndrome climatérique impose la réalisation d'une mammographie + FCV.
-BQSFTDSJQUJPOEhTUSPHÒOFTDPSSJHFMFTUSPVCMFTDMJNBUÏSJRVFT#JFOSFUFOJSRVFMFTFGGFUTCÏOÏGJRVFTEV
THMQFOEBOUøBOTTPOUTVQÏSJFVSTBVYFGGFUTTFDPOEBJSFTFOUFSNFTEFRVBMJUÏEFWJFFUEFTVSWJFNBJT
RVF
DIF[MFTGFNNFTFOCPOOFTBOUÏRVJOFQSÏTFOUFOUQBTEFTZOESPNFDMJNBUÏSJRVFOJEFGBDUFVST
EF SJTRVF EhPTUÏPQPSPTF
MhBENJOJTUSBUJPO EhVO 5). OhFTU QBT SFDPNNBOEÏF FO SBJTPO EhVO SBQQPSU
CÏOÏGJDFSJTRVFEÏGBWPSBCMF-FTDPOUSFJOEJDBUJPOTBCTPMVFTTPOUSÏEVJUFT DBODFSEVTFJOFUNBMBEJFT
UISPNCPFNCPMJRVFT
-BSÏÏWBMVBUJPOEFMBCBMBODFCÏOÏGJDFTSJTRVFTEPJUTFGBJSFUPVTMFTBOT
La péri-ménopauseFTUMBQÏSJPEFRVJQSÏDÒEFMBNÏOPQBVTFEVSBOUVOFEJ[BJOFEhBOOÏFT
FMMFFOUSBÔOF
une hyperœstrogénie relative et une insuffisance lutéale.
Les manifestations dues à l'hyperœstrogénie relative sont :
t MBQFSUVSCBUJPOEVDZDMFNFOTUSVFM
t les métrorragies ou ménorragies, qui imposent l'élimination du cancer de l'endomètre ;
t MhBHHSBWBUJPOEVTZOESPNFQSÏNFOTUSVFMøQSJTFEFQPJET
USPVCMFTQTZDIJRVFT
-FUSBJUFNFOUEFMhIZQFSTUSPHÏOJFSFMBUJWFSFQPTFTVSMFTQSPHFTUBUJGTEVeBVeøKPVSEVDZDMF
EhPá
166 MhJOUÏSÐUEV%*6ËMBQSPHFTUÏSPOF
L'insuffisance ovarienne précoce :
t ménopause < øBOT
t antécédents familiaux ;
t EPTBHFIPSNPOBVYø'4)
-)ÏMFWÏFT
TUSPHÒOFTEJNJOVÏT
BOESPHÒOFTOPSNBVY
L'insuffisance ovarienne précoce est souvent primitive, ou secondaire à une radiothérapie, une chimio-
thérapie ou une maladie auto-immune.
/PUFø MB densitométrie minérale osseuse %.0
FTU EFNBOEÏF EFWBOU EFT GBDUFVST EF SJTRVF
d'ostéoporose :
t période d'hypo-œstrogénie ;
t corticothérapie au long cours ;
t âge < øBOT
t BOUÏDÏEFOUTEFGSBDUVSFBQSÒTøBOT
t antécédents familiaux de fracture ou d'ostéoporose ;
t JNNPCJMJTBUJPOQSPMPOHÏF
t *.$< 19 ;
t IZQFSUIZSPÕEJFFUIZQFSQBSBUIZSPÕEJF
t JOTVGGJTBODFPWBSJFOOFQSJNJUJWFQSÏNBUVSÏF DhFTUËEJSFBWBOUøBOT
Cas cliniques corrigés 3
Cancer du sein
C'est le premier cancer chez la femme. Une femme sur huit aura un cancer du sein. Âge médian :
oøBOT4POEÏQJTUBHFFTUPSHBOJTÏ*MFTUIPSNPOPEÏQFOEBOU-hBEÏOPDBSDJOPNFDBOBMBJSFJOGJMUSBOU
est le type le plus souvent retrouvé.
Les facteurs de risque sont :
t individuels :
o BOUÏDÏEFOUTGBNJMJBVY
UBCBD
ÉHF
NVUBUJPOBRCA ;
o IZQFSTUSPHÏOJFø *.$ >
GBJCMF QBSJUÏ
QSFNJÒSF HSPTTFTTF > ø BOT
BCTFODF EhBMMBJUFNFOU
NBUFSOFM
QVCFSUÏQSÏDPDF
NÏOPQBVTFUBSEJWF
t JBUSPHÒOFTø5)4
DPOUSBDFQUJPOQBSQJMVMFTUSPQSPHFTUBUJWF
L'étape cliniqueEVEJBHOPTUJDDPNQSFOEVOFYBNFOCJMBUÏSBMFUDPNQBSBUJG
RVJJNQPTFMBSFDIFSDIF
de :
t NBTTF
OPEVMFQBMQBCMF
t douleur mammaire persistante ;
t placard érythémateux ;
t TFJOJOGMBNNBUPJSFøNBTUJUFDBSDJOPNBUFVTF
t écoulement mammaire sanglant ;
t BOPNBMJFEVNBNFMPO NBMBEJFEF1BHFU
t adénopathie axillaire.
La mammographieCJMBUÏSBMF
GBDFFUQSPGJMø
t FMMFEPJUÐUSFFGGFDUVÏFTJQPJOUEhBQQFM NBTTF
ÏDPVMFNFOUTBOHMBOUy
øPOQBSMFBMPSTEFmammo-
graphie diagnostique ;
t FO MhBCTFODF EF QPJOU EhBQQFM DMJOJRVF FU EhBOUÏDÏEFOU QFSTPOOFM PV GBNJMJBM BV QSFNJFS EFHSÏ EF
cancer du sein, on fait appel au dépistage organisé :
o QPVSMFTQBUJFOUFTEFËøBOT 167
o FOSFTQFDUBOUMBjSÒHMFEFTxøUPVTMFTøBOT
MFTTFJOT
TFMPOJODJEFODFT
BWFDEPVCMFMFDUVSF
par 2 radiologues ;
Corrigés
t si antécédent personnel ou familial au premier degré de cancer du sein, on utilise le dépistage
individuel ;
t elle recherche : masse, microcalcification, destruction des travées, attraction cutanée ;
t FMMFQFVUÐUSFDPVQMÏFËMhÏDIPHSBQIJF ËMBSFDIFSDIFEhVOFNBTTFJSSÏHVMJÒSF
IÏUÏSPHÒOF
ËDÙOF
EhPNCSFQPTUÏSJFVSF
FUÐUSFDPNQMÏUÏFQBSÏDIPHSBQIJFBYJMMBJSF
*3.NBNNBJSF
5&15%.
Le diagnostic de certitude est toujours histologique :
t NJDSPCJPTQJFBVQJTUPMFUQPVSMFTQFUJUFTUVNFVSTRVJOÏDFTTJUFOUVOSFQÏSBHFÏDIPHSBQIJRVF
t NBDSPCJPTQJFBVNBNNPUPNFTJMÏTJPOCJFOQBMQBCMF
t ± cytoponction du ganglion axillaire homolatéral ;
t MFDPNQUFSFOEVEFCJPQTJFDPNQSFOEMFUZQFEFDBSDJOPNF JOGJMUSBOUPVin situ
MFUZQFIJTUPMPHJRVF
MFHSBEFTFMPO4#3
MFT3)FOQPVSDFOUBHFT
MFTUBUVU)&3
MhJOEJDFEFQSPMJGÏSBUJPOø,J TFVJMø
ø
Enfin, le bilan d'extension est indiqué pour les tumeurs agressives, les récidives, devant des signes
cliniques en faveur d'une extension à distance. Les examens indiqués sont la radiographie thoracique +
ÏDIPHSBQIJFIÏQBUJRVF
5%.BCEPNJOPQFMWJFOOF
TDJOUJHSBQIJFPTTFVTF
5%.DÏSÏCSBMF
5&15%.BV
'%(
Cas cliniques corrigés
Classification TNM :
T Tumeur primitive
Tx Indéterminé
T0 Non palpable
T1 Tumeur ≤ 20 mm
– T1a : ≤ 5 mm
– T1b : > 5 mm et ≤ 10 mm
– T1c : > 10 mm et ≤ 20 mm
T2 Tumeur > 20 mm et ≤ 50 mm
T3 Tumeur > 50 mm
T4 Tumeur avec extension à la paroi ou à la peau
– T4a : atteinte de la paroi thoracique
– T4b : atteinte cutanée
– T4c : T4a + T4b
– T4d : cancer inflammatoire
N Adénopathies axillaires
Nx Indéterminé
N0 Pas d'envahissement axillaire clinique
N1 Adénopathies axillaires homolatérales mobiles
N2 Adénopathies axillaires homolatérales fixées
N3 Adénopathies mammaires internes homolatérales
168
Traitement chirurgicalFOQSFNJÒSFJOUFOUJPOTJMBUVNFVSFTUPQÏSBCMFEhFNCMÏF
OPONÏUBTUBUJRVFFU
non inflammatoire.
Technique du ganglion sentinelleøTJUVNFVS55FUQFUJU5TBOTHBOHMJPOTVTQFDU
Curage axillaireøTJHBOHMJPOTFOUJOFMMFQPTJUJG
TJUVNFVS5PV5
Bilan d'extensionTFVMFNFOUTJ
BWBOUDIJSVSHJF
MBUVNFVSFTUDMJOJRVFNFOU55
TVTQJDJPODMJOJRVF
d'envahissement ganglionnaire, et, après chirurgie, si l'envahissement ganglionnaire macrométastatique
est confirmé.
Le CA 15-3 est utile : sa valeur sert de référence pour la surveillance.
Chimiothérapie si : grande taille tumorale, agressivité histologique, adénopathie.
Consultation d'oncogénétiqueøTJUSPJTDBODFSTPVQMVTEVTFJOFUPVEFMhPWBJSFDIF[EFTBQQBSFOUÏT
au premier degré.
/PUFøMhadénofibromeFTUMBUVNFVSMBQMVTGSÏRVFOUFEFMBGFNNFEFNPJOTEFøBOTJMOhFTUQBTVOF
MÏTJPOQSÏDBODÏSFVTFÏWPMVUJPOQPTTJCMFWFSTMBDBMDJGJDBUJPO
Cas cliniques corrigés 3
Corrigés
t CJPMPHJFø±ø4$$QPVSDBSDJOPNFÏQJEFSNPÕEF
Classification FIGO :
Traitement :
t Stade IA1 → conisation.
t Stade IA2 →øDPOJTBUJPOBWFDQSÏTFODFEhFNCPMFT→ évaluation ganglionnaire pelvienne.
o 4J/oFUEÏTJSFVTFEFHSPTTFTTF→ trachélectomie ;
o 4J/oFUOPOEÏTJSFVTFEFHSPTTFTTF→ hystérectomie simple peut être préconisée.
o 4J/+ → radio-chimiothérapie concomitante.
t Stade IB1 (<øDN
ø
o 1BTEFTUBOEBSE
o -F QMVT DMBTTJRVF FTUø DPMQPIZTUÏSFDUPNJF ÏMBSHJF +ø BOOFYFDUPNJF CJMBUÏSBMF FU DVSBHF JMJBRVF
FYUFSOFCJMBUÏSBMF
o 4JUVNFVSEFNPJOTEFøDNFUEÏTJSEFHSPTTFTTF
POQSPQPTFSBVOFUSBDIÏMFDUPNJFÏMBSHJF
t Stade IB2 à IIB : lymphadénectomie commune et aortique.
o 4JQ/+, radio-chimiothérapie concomitante exclusive.
o 4JQ/o
SBEJPDIJNJPUIÏSBQJFFUDIJSVSHJFEFDMÙUVSF
t > Stade IIB : radio-chimiothérapie concomitante exclusive.
.FTVSFT BTTPDJÏFTø QSJTF FO DIBSHF NVMUJEJTDJQMJOBJSF
3$1
QBSDPVST QFSTPOOBMJTÏ EF TPJO
QSJTF FO
DIBSHFËø
Le pronostic est fonction du stade tumoral, du volume tumoral, du type histologique et de l'envahisse-
NFOUHBOHMJPOOBJSF*MFTUHMPCBMFNFOUCPODBSMF'$6QFSNFUEFTQSJTFTFODIBSHFËVOTUBEFQSÏDPDF
-BTVSWJFËøBOTFTUEFø
t øBVTUBEFø*#
t oøBVTUBEFø*7
Surveillance :
t une fois tous les 4 mois pendant 1 an puis une fois tous les 6 mois pendant 3 ans puis une fois par an ;
t clinique (+++
170
Cas cliniques corrigés 3
Cancer de l'ovaire
OPVWFBVYDBTQBSBO
QPVSVOÉHFNÏEJBOøEFøBOT
Les facteurs de risque sont : prédisposition génétique (mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2
OVMMJQB-
rité, règles précoces, ménopause tardive, âge.
Les facteurs protecteurs sont : contraception orale, grossesse, allaitement, ligature de trompes.
Se manifeste par des symptômes non spécifiquesøHÐOF
EPVMFVSTBCEPNJOBMFT
BVHNFOUBUJPOEV
QÏSJNÒUSFBCEPNJOBM BTDJUF
TZOESPNFDPNQSFTTJG USPVCMFEVUSBOTJU
DPMJRVFOÏQISÏUJRVF
UÏOFTNF
L'échographie BCEPNJOPQFMWJFOOF TVTQVCJFOOF FU MhÏDIPHSBQIJF FOEPWBHJOBMF TPOU JNQPSUBOUFT
pour poser la suspicion.
Si suspicion de néoplasie, bilan d'extensionQBS5%.UIPSBDPBCEPNJOPQFMWJFOOF
*3.BCEPNJOP
QFMWJFOOF
$"ø PVBVUSFTNBSRVFVSTTJTVTQJDJPOEFUVNFVSQBSUJDVMJÒSFøHFSNJOBMF
EFTDPSEPOT
TFYVFMT
Le diagnostic de certitude de cancer est anatomopathologique.
Traitement :
t DIJSVSHJF
EPOU MhPCKFDUJG FTU MB SÏTFDUJPO DPNQMÒUF EFT MÏTJPOT DBODÏSFVTFT QSJODJQBM GBDUFVS EF
QSPOPTUJD
FURVJQFVUDPNQPSUFSø
o VOFBOOFYFDUPNJFCJMBUÏSBMF
o VOFIZTUÏSFDUPNJFUPUBMF
o VOFPNFOUFDUPNJFJOGSBHBTUSJRVF
o VOFBQQFOEJDFDUPNJF
o VODVSBHFQFMWJFOFUMPNCPBPSUJRVFJOGSBSÏOBM
o BWFDCJPQTJFTFUDZUPMPHJFQÏSJUPOÏBMFT
t DIJNJPUIÏSBQJFø FMMF QFVU ÐUSF BEKVWBOUF PV OÏPBEKVWBOUF TJ JNQPTTJCJMJUÏ EF SÏTFDUJPO DPNQMÒUF
JOJUJBMF
Le suivi EFT QBUJFOUFT FTU FTTFOUJFMMFNFOU DMJOJRVF FU CJPMPHJRVF EPTBHF EFT NBSRVFVST JOJUJBMFNFOU 171
ÏMFWÏT
Le bilan oncogénétique a sa place pour tout carcinome ovarien séreux de haut grade, quel que
Corrigés
soit l'âge.
7KLVSDJHLQWHQWLRQDOO\OHIWEODQN
4
CHAPITRE
4
Questions isolées corrigées
QI 1 QI 7
Réponse : A, B, E. 3ÏQPOTFø"
#
$
%
&
Commentaire : $PNNFOUBJSFøMhBTQFDUFOEPVCMFCVMMFFTUDBSBDUÏSJT
t $ø -B TÏSPMPHJF 7*) FTU QSPQPTÏF NBJT OPO UJRVFEFMhBUSÏTJFEVPEÏOBMF
PCMJHBUPJSF
t %ø$hFTUFODBTEhJNNVOJUÏOPOBDRVJTF DhFTUËEJSF
EF TÏSPMPHJF OÏHBUJWF
RVF MB TVSWFJMMBODF EPJU ÐUSF
NFOTVFMMF QI 8
Réponse : A, C.
$PNNFOUBJSFø MhBNOJPDFOUÒTF FTU SÏBMJTBCMF TFVMF
QI 2 NFOUBQSÒTø4"FUøTFNBJOFTBQSÒTMFEJBHOPTUJDEF
TÏSPDPOWFSTJPO
3ÏQPOTFø#
%
&
Commentaire :
t "ø-BDPOTVMUBUJPOTQÏDJBMJTÏFEPJUDPNNFODFSBV
EÏCVUEVUSPJTJÒNFUSJNFTUSF
DhFTUËEJSFËQBSUJSEV QI 9
7e mois. 3ÏQPOTFø#
%
&
t $ø'BVYø&ODBTEFQPSUBHFEFTUSFQUPDPRVF#
VOF 173
BOUJCJPUIÏSBQJF QSPQIZMBDUJRVF QBS BNPYJDJMMJOF
EFWSBÐUSFNJTFFOQMBDFEÒTMFEÏCVUEVUSBWBJM
Corrigés
t %ø2VFMMFRVFTPJUMBSÏHJPO
ZDPNQSJTFOTPMFJMMÏF QI 10
3ÏQPOTFø"
%
&
$PNNFOUBJSFøMFT"7,TPOUDPOUSFJOEJRVÏTQFOEBOU
QI 3 MBHSPTTFTTF SJTRVFUÏSBUPHÒOF
*MGBVUGBJSFVOSFMBJT
3ÏQPOTFø#
$
% QBS)#1.ËEPTFDVSBUJWFFOMhBCTFODFEhJOTVGGJTBODF
Commentaire : SÏOBMF-hBSSÐUEFTDPSUJDPÕEFTFUEFTBOUJQBMVEÏFOTEF
t "ø0OQBSMFEFQSÏÏDMBNQTJFËQBSUJSEFø4" TZOUIÒTF FYQPTF MB QBUJFOUF Ë EFT QPVTTÏFT MVQJRVFT
t &ø-hÏDMBNQTJF
DSJTFDPOWVMTJWFUPOJDPDMPOJRVF
FTU HSBWFT QPVWBOU DPNQMJRVFS MB HSPTTFTTF -B CBMBODF
VOFDPNQMJDBUJPOEFMBQSÏÏDMBNQTJF CÏOÏGJDFSJTRVFFTUEÏGBWPSBCMF
QI 4 QI 11
3ÏQPOTFø$
% 3ÏQPOTFø"
$
&TPOUGBVTTFT
Commentaire : $PNNFOUBJSFø UPVT MFT DPNQPTBOUT EF MB DJHBSFUUF
t "ø 6OF QSFTTJPO BSUÏSJFMMF TZTUPMJRVF TVQÏSJFVSF Ë TPOUOPDJGTFUQBTTFOUMBCBSSJÒSFQMBDFOUBJSF
ø NNø )H FUPV VOF QSFTTJPO BSUÏSJFMMF EJBTUP
MJRVFTVQÏSJFVSFËøNNø)H
t #ø6OFQSPUÏJOVSJFTVQÏSJFVSFËøHøIFVSFT QI 12
Réponse : A, B, E.
QI 5
3ÏQPOTFø"
#
$
%
& QI 13
Réponse : A.
$PNNFOUBJSFø MB WBDDJOBUJPO BOUJHSJQQBMF FTU ÏHB
QI 6 MFNFOU BVUPSJTÏF FU SFDPNNBOEÏF QPVS UPVUFT MFT
3ÏQPOTFø"
$
%
& GFNNFTFODFJOUFTFOMhBCTFODFEhBMMFSHJFEPDVNFOUÏF
Gynécologie-Obstétrique
© 2017, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés
Questions isolées corrigées
QI 14 t "ø-FT*&$TPOUBTTPDJÏTËVOFUPYJDJUÏSÏOBMFQBS
GPJTJSSÏWFSTJCMF PMJHPBOBNOJPT
FUVOFNBMGPSNB
3ÏQPOTFø#
%
&
UJPOEFMBWPßUFEVDSÉOF
t $ø -FT "*/4 TPOU SFTQPOTBCMFT EhVOF GFSNFUVSF
QSÏDPDFEVDBOBMBSUÏSJFMSFTQPOTBCMFEhVOF)5"1
QI 15 t %ø -FT UÏUSBDZDMJOFT TPOU MhVO EFT DJOR BOUJCJP
3ÏQPOTFø"
$
%
& UJRVFT DPOUSFJOEJRVÏT DIF[ MB GFNNF FODFJOUF
TVMGBNJEFT
RVJOPMPOFT
BNJOPTJEFT
UÏUSBDZDMJOFT
QIÏOJDPMÏT
*MT DPMPSFOU MFT EFOUT EF MBJU ø FGGFU
QI 16 RVJTFNCMFEÏSJTPJSFNBJTCPOy
3ÏQPOTFø% t &ø-FT"7,TPOUDPOUSFJOEJRVÏTBVUSPJTJÒNFUSJ
$PNNFOUBJSFøMFTJHOFEF'BSBCFVGQFSNFUEhÏWBMVFS NFTUSFQPVSMFSJTRVFIÏNPSSBHJRVF
MhFOHBHFNFOU EV GUVT -hBVUSF TJHOF QPVS ÏWBMVFS
MhFOHBHFNFOUFTUMFTJHOFEF%FNFMJO%BOTMFTEFVY
DBT
PO JOUSPEVJU MhJOEFY PV EFVY EPJHUT
QFSQFOEJ QI 20
DVMBJSFNFOUËMBTZNQIZTF4hJMTWJFOOFOUCVUFSTVSMB
Réponse : A, C.
UÐUFGUBMF
FMMFFTUFOHBHÏF
Commentaire :
t "ø$hFTUMBGPOUBOFMMFQPTUÏSJFVSFMFMBNCEB DFMMF
t #ø -B NBMBEJF UISPNCPFNCPMJRVF WFJOFVTF OhFTU
RVJFTUQFSÎVFMFQMVTGBDJMFNFOUBVDPVSTEVTVJWJ
VOF DPOUSFJOEJDBUJPO BVY QSPHFTUBUJGT RVF TJ FMMF
EFUSBWBJMFUEPOOFMBWBSJÏUÏEFMhFOGBOU
MBGPOUB
FTUBDUJWF
OFMMFBOUÏSJFVSFFTUOPNNÏFCSFHNB
t &ø -hBMMBJUFNFOU OhFTU QBT VOF DPOUSFJOEJDBUJPO
t #ø-BWBSJÏUÏEFEÏHBHFNFOUMBQMVTGSÏRVFOUFFTU
OÏBONPJOTJMGBVUQSÏWFOJSMBQBUJFOUFRVFMBNPO
Mh01
DhFTUMhFOHBHFNFOURVJTFGBJUFO0*("
UÏFMBJUFVTFFTUSBMFOUJFJOJUJBMFNFOUFURVhFMMFEPJU
t $ø $hFTU MF TDPSF EF .BHOJO RVJ QFSNFU EhBWPJS
TUJNVMFS TPO TFJO BV NBYJNVN FO HÏOÏSBM
MB
VOF ÏWBMVBUJPO EFT EJNFOTJPOT EV CBTTJOø USBOT
DPOUSBDFQUJPOFTUEÏCVUÏË+EFMhBDDPVDIFNFOU
WFSTFNÏEJBO+øQSPNPOUPSÏUSPQVCJFOMBWBMFVS
FTUDPSSFDUFTJ>øøNN
t &ø-FQMVTHSBOEEJBNÒUSFEVCBTTJOFTUMFUSBOT
174 WFSTFNBYJNVNøDPNNFTPOOPNMhJOEJRVF QI 21
Réponse : A, B, E.
$PNNFOUBJSFø MB EPVMFVS Ë MB NPCJMJTBUJPO VUÏSJOF
QI 17 USBEVJUMBQSÏTFODFEhVOÏQBODIFNFOU
EhVOFJOGMBN
Réponse : E. NBUJPOyCSFGVOFJSSJUBUJPOEVQÏSJUPJOF
Commentaire : t $ø-FGJCSPNFOhFTUQBTEPVMPVSFVYFOEFIPSTEhVO
t "ø $hFTU MF CPVDIPO NVRVFVY RVF QFSEFOU MFT ÏQJTPEFEFOÏDSPCJPTFBTFQUJRVF
QBSUVSJFOUFT t %ø -hFOEPNÏUSJPTF OhFTU QBT EPVMPVSFVTF BV 57
t #ø -FT DPOUSBDUJPOT EF EÏCVU EF USBWBJM TPOU NBJTEPOOFEFTOPEVMFTJOEVSBUJPOTEFTMJHBNFOUT
SÏHVMJÒSFT VUÏSPTBDSÏTQFSNFUUBOUMFEJBHOPTUJD
t $ø-BSVQUVSFEFMBQPDIFEFTFBVYQFVUTFGBJSFË
UPVUNPNFOU"WBOUMFUSBWBJM
FMMFFTUQSÏNBUVSÏF
&MMFQFVUÐUSFTQPOUBOÏFPVBSUJGJDJFMMF QI 22
t %ø -B DPVSCF EF 'SJFENBO EÏDSJU MB EJMBUBUJPO Réponse : E.
DFSWJDBMF BV DPVST EV UFNQT &MMF FTU TJOVTPÕEBMF $PNNFOUBJSFø DhFTU GSVTUSBOU NBJT DIF[ VOF BEVMUF
FU NPOUSF VOF QÏSJPEF JOJUJBMF EF MBUFODF KVTRVF OPO JODBQBCMF NBKFVSF
WPVT ÐUFT UFOVT BV TFDSFU
oøDN MBQMVTMPOHVF
QVJTVOFQIBTFBDUJWF Pá NÏEJDBM 'BJUFT UPVU DF RVF WPVT QPVWF[ QPVS GBJSF
MBEJMBUBUJPOFTUQMVTSBQJEFEFoøDNQBSIFVSF
DIBOHFSEhBWJTMBQBUJFOUF
FU
FOGJO
VOFQIBTFEFEÏDÏMÏSBUJPOFOUSFøDNFU
EJMBUBUJPODPNQMÒUF-hBMMVSFEFDFUUFDPVSCFOPVT
QFSNFU EhÏWBMVFS MB EZOBNJRVF EV USBWBJM
TPO
BWBODÏF
FUÏWFOUVFMMFNFOUEhBHJSFOGPODUJPO
QI 23
3ÏQPOTFø$
%
&
Commentaire :
QI 18 t "ø$hFTUCJFOEFVYJOKFDUJPOT*.EFøNHEFCÏUB
NÏUIBTPOF
NBJTTVSøIFVSFT
3ÏQPOTFø"
#
$
%
& t #ø&MMFQFSUVSCFUSBOTJUPJSFNFOUMFTHMZDÏNJFTNBJT
OhFTUQBTDPOUSFJOEJRVÏFFODBTEJBCÒUF CÏOÏGJDF
>>øSJTRVF
QI 19 t $ø &MMF BVHNFOUF MF SJTRVF EF SVQUVSF EF NFN
3ÏQPOTFø"
$
%
& CSBOFTBVMPOHDPVSTNBJTFOUIÏPSJFQBTTJNQMF
Commentaire : NFOUQBSEFVYJOKFDUJPOT
Questions isolées corrigées 4
t %ø0OQFVUSÏQÏUFSMhBENJOJTUSBUJPOËoøTFNBJOFT QI 29
NBJTQBTQMVTEhVOFGPJTDBSJMFYJTUFVOSJTRVFEF
Réponse : B, C.
EJNJOVUJPO EF MB DSPJTTBODF GUBMF BVEFMË TBOT
$PNNFOUBJSFøMBQPQVMBUJPODJCMFFTUoøBOTBWFD
CÏOÏGJDFTVQQMÏNFOUBJSF
VOTDIÏNBFOEFVYEPTFT1VJTJMFYJTUFVOSBUUSBQBHF
t &ø&MMFEJNJOVFMFTFOUÏSPDPMJUFTVMDÏSPOÏDSPTBOUFT
QPTTJCMFEFËøBOTSÏWPMVTQBSUSPJTEPTFT
FUMBNBMBEJFEFTNFNCSBOFTIZBMJOFT
QI 24 QI 30
3ÏQPOTFø#FTUGBVTTF
3ÏQPOTFø"
#
$
ø%
$PNNFOUBJSFø -F DBSZPUZQF SFDIFSDIÏ FTU DFMVJ EV
$PNNFOUBJSFøMhÉHFNBUFSOFM>øBOTFTUVOGBDUFVS
GUVT -F QSÏMÒWFNFOU FTU QPTTJCMF KVTRVhBV UFSNF
EF SJTRVF NBKFVS EF QBUIPMPHJFT HSBWJEJRVFT %JBCÒUF
NBJTQMVTEJGGJDJMFFOGJOEFHSPTTFTTFDBSMFMJRVJEFFTU
HFTUBUJPOOFM
)5" FU QSÏÏDMBNQTJF
NBMJOTFSUJPO
NPJOTBCPOEBOU
QMBDFOUBJSF
."1y 1BS BJMMFVST
MhÉHF BVHNFOUF
ÏHBMFNFOUMFSJTRVFEhBOFVQMPÕEJFFUNVUBUJPODISPNP
TPNJRVF-FUBCBDFUMBDPOJTBUJPOBVHNFOUFOUEBWBO
UBHFMFSJTRVFEF."1 QI 31
3ÏQPOTFø"
$
%
&
Commentaire :
QI 25 t #ø-FTJOIJCJUFVSTEFMhFO[ZNFEFDPOWFSTJPOTPOU
DPOUSFJOEJRVÏTEVSBOUMhFOTFNCMFEFMBHSPTTFTTF
3ÏQPOTFø"
%
&
FGGFUTGUPUPYJRVFTSÏOBVY
$PNNFOUBJSFø MB QSJODJQBMF DPNQMJDBUJPO FTU MhBOÏ
NJFGUBMFQBSEFTUSVDUJPOEFTÏSZUISPCMBTUFTGUBVY
1VJTDhFTUMBMPJEVUPVUPVSJFOøTPJUMFGUVTjQBTTF
MFDBQxFUQPVSTVJUTBDSPJTTBODF
TPJUMhBOÏNJFFTUË QI 32
MhPSJHJOF EhVOF JOTVGGJTBODF DBSEJBRVF QVJT VOF BOB Réponse : A, B, C.
TBSRVFFUFOGJOVOF.'*6 Commentaire :
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Commentaire : QI 51
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QI 42 QI 56
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QI 43 QI 57
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Questions isolées corrigées 4
QI 58 QI 68
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QI 59 QI 69
Réponse : C.
Réponse : A, B, C.
QI 60
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QI 61
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Corrigés
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Réponse : A, C.
Commentaire :
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Réponse : A, B, C.
QI 65
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Réponse : B, C.
QI 66
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ø% QI 80
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QI 67 QI 81
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Questions isolées corrigées
QI 82 QI 96
3ÏQPOTFø"
#
ø% Réponse : B, E.
QI 83 QI 97
Réponse : B, C. 3ÏQPOTFø"
%
&
QI 84 QI 98
Réponse : B, C, E.
3ÏQPOTFø#
%
&
QI 85
QI 99
Réponse : C.