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ÉPIGRAPHE

« Montrez aux gens les problèmes, puis montrez-leur les solu-


tions : ils seront incités à agir. »

Bill Gates
ii

DÉDICACE

A notre mère NSIMIRE NZONGERI Jeanne, pour le soutien et les


sacrifices consentis en vue de me façonner et de facilité mon
intégration sociale, qu’elles trouvent ici l’expression de ma plus
grande considération.
iii

REMERCIEMENTS

Nous adressons nos remerciements aux autorités de l'Institut


Supérieur d'Informatique, Programmation et Analyse « I.S.I.P.A » en
sigle, au PDG Rifine EKANDA, DG Prof. Michel LODI ainsi qu'à tout le
corps professoral pour les conseils et l'encadrement.

Nous adressons nos remerciements au professeur docteur


NEPANEPA KIBUNDILA Julien qui a bien voulu assurer la direction de
ce travail et qui a toujours été à l'écoute et très disponible tout
au long de la réalisation de ce travail.

Nous adressons nos remerciements au C.T Moise DIMANDJA LUKE qui a


bien voulu assurer la supervision de ce travail et qui a toujours
été à l'écoute et très disponible tout au long de la réalisation de
ce travail.

Nous adressons nos sentiments de gratitude à nos


enseignants : Professeur Joseph MULAMBA, C.T. Emmanuel MATONDO,
Professeur Henri KISOKI, C.T. DIMANDJA Moise, C.T MUTOMBO Patrick,
Samy, C.T BOFANDO Sammy pour la bonne formation.

Aux amis et connaissances, pour tous les biens faits, nous


citons ici, Maisha BUHENDWA, Guy VUNINGOMA

Nous exprimons notre gratitude à tous nos collègues de promotion qui


ont été d'un grand apport moral durant ces trois dernières années.
Il s'agit de Josué, David, Esther, Joël, ciceron, Nehema

Enfin, tous ceux que je n'ai pas pu citer qui ont contribué à
la réalisation de ce travail, je pense notamment à mes frères,
sœurs, cousins et cousines, mes oncles et tantes, mes camarades de
promotion, je les exprime ma gratitude.

David BARAKA MASONGA


iv

LISTE DES CAPTURE

Capture 1: Branchement afficheur LCD 16x2.........................66


Capture 2: Aperçu de l’interface Mikropascal......................67
Capture 3: Barres d’outils........................................68
Capture 4: Aperçu de la configuration du projet...................69
Capture 5: Aperçu de la syntaxe de la programmation...............70
Capture 6: Types de variables utilisées en Mikropascal............71
Capture 7: schéma de circuit......................................77
Capture 8: schéma de circuit......................................77
Capture 9: schéma de circuit......................................78
v

LISTE DES FIGURES

Figure 1: les actionneurs.........................................11


Figure 2: les actionneurs.........................................12
Figure 3: Caractéristiques principales d'un système embarqué typique
..................................................................15
Figure 4 : Système embarqué.......................................18
Figure 5 : Structure simplifiée des réseaux GSM (sans GPRS).......23
Figure 6: représentation d’une tâche..............................37
Figure 7: représentation d’une étape..............................38
Figure 8: représentation d’un réseau PERT.........................38
Figure 9: structure internet du microcontrôleur...................47
Figure 10: Bloc de diagramme du PIC16F887.........................55
Figure 11: Symboles de la résistance..............................56
Figure 12: Marquage d’une résistance..............................57
Figure 13: Code des couleurs des résistances......................58
Figure 14: Symbole de la diode....................................59
Figure 15: Symbole du régulateur..................................60
Figure 16: Symbole du condensateur................................60
Figure 17: Constitution des zones du transistor bipolaire.........61
Figure 18: Symboles du transistor.................................61
Figure 19: Principe de fonctionnement de l’électrovanne...........64
Figure 20: Organigramme du programme principal....................73
Figure 21: Organigramme du programme d’interruptions.............74
Figure 22: quartz.................................................78
Figure 23: schéma équivalent du quartz............................79
Figure 24: circuit intégré hd44780 intégré........................81
Figure 25: LCD LM041L.............................................82
vi

LISTE DES GRAPHES

Graphe 1: Graphe ordonné de la méthode PERT.......................40


vii

LISTE DES IMAGES

Image 1: compteur radio relevée...................................31


Image 2: Brochage du PIC16F887....................................51
Image 3: Module GSM GPRS SIM900...................................65
viii

LISTE DES SCHEMAS

Schema 1: Schéma synoptique d’un système automatise................9


ix

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1: liste précise des tâches...............................39


Tableau 2: Matrice booléen........................................41
Tableau 3: Analyse des Besoins....................................76
x

LISTE DES ACRONYMES ET SIGLES

ADP: adenosine-diphosphate
APP : application
ASIC : Application Specifique Intergrated Circuit
ASL : langue des signes américaine
ATP : Adenosine-triphosphate
CAN: Controller Area netwok
CONFIG: configuration
DC : direct current
DSP : Digital-Signal Processor
DTA : date au plus tard
DTO : date au plus tôt
EEPROM: electrically erasable programmable read only memory
EPROM: erasable programmable read only memory
FPGA: Field Programmable Gate Array
Go: giga octet
GSM: Global systèm mobil
I2C: inter integrated circuit
IA : Intelligence Artificielle
Icmax : courant de collecteur maxi
Ie: courant électroaimant
If : Le courant traversant la LED
IHM : interface homme machine
ISIPA : Institut supérieur d’Informatique Programmation et
Analyse
labs: Anti-lock braking system
LCD: Liquide Cristal display
LED: light Emitting diode
LMP: batterie lithium métal polymère
LS : Langue de Signe
MCLR: Master clear
MCU: Micro Controller unit
xi

MEMS: Micro Electro Mechanical System


mV: millivolt
N°: Numéro
Nm : newton mètre
P.T : prix total
P.U : prix unitaire
PIC: peripheral interface controller.
PWM: pulse width modulation
Qté: quantité
RAM: Random Access Memory
RF: Radiofréquence
ROM: Read Only Memory
SPI : serial peripheral interface
SRG : Systèmes de Reconnaissance de Gestes
TR : Temps Réel
USART: Universal synchronous receiver transmitter
USB: Universal serial bus
Vbe : tension de base
Vcc : common collector voltage
Vf : La tension de fonctionnement
Vf : tension de fonctionnement
VIORM: vendor specified working voltage
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INTRODUCTION GÉNÉRALE

0. Énoncé du sujet

Dans le domaine de la quantification du fluide, le processus à


appliquer pour trouver la valeur exacte lors du sondage de ceci,
reste une étape contenant beaucoup de risque d’inexactitude. Et cela
a suscité l’implication scientifique de plusieurs chercheurs, Qui
avait pour objectif, de concevoir un compteur qui quantifiera la
valeur du fluide consommer ou stocker.

Vue qu’aussi le procédé de sondage est diffèrent quand on prend


en compte les caractéristiques du fluide à sonder, l’enjeu pour
obtenir une valeur exacte reste un dilemme parce qu’aussi le
comportement de ce fluide dans la zone de captage de données sera
pris en compte.

Parlant de la caractéristique du fluide, nous signalons que nous


allons projeter nos études sur la quantification l’eau. Et pour ce
faire nous allons recourir à l’informatique et à l’électronique pour
résoudre cette équation qui nous préoccupe. En effet sur le plan
actuel, un système y est associé mais dans la plupart des cas ce
système est manuel et par analyse, son système de fonctionnement sur
le point de prélèvent d’index (valeur comptée), on trouve que dans
le diagramme temporaire, ceci crée un grand retardement et cela est
en vue parce que tout se fait manuellement en matière de prélèvement
d’index.

Comme nous avons trouvé une petite défaillance sur le point de


vue du prélèvement des indexes dans les systèmes actuels, notre
apport soutenu par une intégration d’un système informatiser viendra
pour proposer une résolution sur cette défaillance connue dans le
système précèdent. Ce système proposé fera l’objet d’une intégration
d’un module GSM qui permettra à faire un pont entre le client et le
système de gestion en régulent le temps de prélèvement qui due à la
proposition d’informatiser le système sera maintenant automatique.
xiii

1. Problématique

Connaissant déjà les obstacles qui sont lier au prélèvement de


la quantité consommée dans un circuit hydraulique et quels sont les
défaillances dans les systèmes actuels, cela nous a suscité quelques
constats lorsque nous avons pris connaissance des quelques
dysfonctionnements dans le circuit de sondage du fluide en étude.

Par constats nous avons remarqué qu’un problème se pose


dans :

 Le système de facturation du fluide consommé, vu que


l’inexactitude des valeurs prélevées est ici inévitable la société
de distribution d’eau propose un système de facturation
forfaitairement calculer envers le client.

 L’économie quantitative de l’eau qui doit être utilisé, en


mettant en application proposition les clients seront bien
conscients de l’utilité de savoir bien gérer la quantité d’eau
consommée car tout sera compté et le payement sera en fonction du
prélèvement en action.

Avec ces constants, voici la question qui a suscité notre


curiosité :

 Comment allons-nous établir un système permettant d’exécuter


la facturation automatique et stabiliser les linges des
distributions en jouant sur son économie via un système de
prélèvement automatique et de transfert des données?
xiv

2. Revue de la littérature

Nous ne sommes pas la seule à avoir l’idée sur ce genre de


système, un autre là fait avant nous et nous en avons retenu ceci
sur son étude.

Intitulée « Étude d’un système automatique de distribution d’eau


contrôlé à travers une interface web », un thème présenté et défendu
par NJANGU CITU Emmanuel dans le cadre de son travail de fin de
cycle de gradué. Sa problématique était basée sur la question
suivante :

 Comment créer une insuffisance qui limitera l’insécurité du web


lors de la transmission des données ?

 Comment configurer un système qui répond présente au moyen de


tracer les opérations après usages ?

Il a proposé comme solution :

S’il faudrait utiliser système automatique de distribution d’eau


contrôlé à travers une interface web, on serait obligé d’acheter un
routeur pour chaque distributeur, d’où nous avions pensé à réaliser
le même système avec le microcontrôleur PIC16F887 qui coûterait
moins cher et qu’on peut facilement trouver surplace en lui
associant le module DT-06 afin de le rendre sans fil.

3. Hypothèse du travail

Le compteur hydraulique intelligent serait l’équipement


technique approprié pour apporter une solution à tous ces problèmes
évoquer dans notre questionnaire, parce qu’avec cette technique on
serait capable de consulter à distance les données qui seraient
prélever par ceci en assurant une fiabilité sur les charges des
lignes de distribution, il serait aussi capable d’être autonome dans
le calcul une facture qui ne serait plus forfaitaire.
xv

4. Objectif du travail

Le sujet que nous traitons parle de l’étude conceptuelle d’un


compteur hydraulique consultable à distance via un module GSM. Étant
un étudiant finaliste en science informatique, notre objectif est
d’approfondir notre connaissance en effectuant des recherches sur
les compteurs hydrauliques intelligents et amener une solution sur
le plan économique de l’eau, cherchant à taxer la consommation de
celle-ci en fonction de l’utilisation de celle-ci.

5. Délimitation du travail

Dans le temps, les données qui ont été récolté, étant même la
préoccupation de notre travail ont été récolté dans la durée de
temps allant du mois janvier 2022 jusqu’au mois de juillet 2022.

Dans l’espace notre étude se limite à l’étude conceptuelle d’un


compteur hydraulique consultable à distance via un module GSM.

6. Méthodologie

a. Méthodes

I. La méthode historique, qui par elle nous avons connu


l’historique sur l’automatisation et les compteurs
hydrauliques.
II. La méthode descriptive, qui par elle nous avons connu
quels sont les failles qui se présentent dans le système
en étude par la connaissance des fonctions du compteur
hydraulique connecté.
III. La méthode PERT, qui nous permettra d’élaborer le
cadrage de notre travail.
xvi

b.Techniques

Pour la réalisation de notre travail, nous avons utilisé les


techniques suivantes :

I. Technique d’observation directe, elle nous a permis d’entrer


en possession des certains inconvénients précieux qui sont en
relation avec notre étude.

II. Technique documentaire, C’est une technique qui nous a


permis de puiser une part importante de données qui font l’objet de
notre travail.

7. Subdivision du travail

Dans le présent travail, nous donnerons d’abord un bref aperçu


sur l’automatisation et les systèmes embarquées puis aussi celle des
compteurs hydrauliques et nous citerons les différents types des
compteurs hydrauliques existant.

Nous terminerons par une étude de configuration et interaction du


module GSM pour créer un réseau local de consultation à distance.

Hormis cette introduction générale et la conclusion générale,


notre travail est subdivisé en quatre chapitres qui sont :

 CHAPITRE I : CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES ET THÉORIQUES


 CHAPITRE II : CADRAGE DU PROJET.
 CHAPITRE III : ÉTUDE CONCEPTUELLE.
 CHAPITRE IV : SIMULATION DU PROJET.
xvii

CHAPITRE I : CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES ET THÉORIQUES.

Section I : GÉNÉRALITÉ SUR L’AUTOMATISATION ET LES SYSTÈMES


EMBARQUÉES.

I.0 Introduction

Ce travail scientifique, est rédigé sur des normes et des


principes qui ferons référencées aux notions et principes de base
qui interviendront dans cette étude conceptuelle d’un compteur
hydraulique consultable à distance via un module GSM.
Ces références faciliteront la compréhension de toute personne
qui serait intéressée par ce travail. Par cette planification nous
allons commencer à définir et détailler quelques concepts de base.

I.1 Définition des concepts

I.1.1 Automatique

Par définition, l’automatique est une science qui oriente ses


études sur les automates. (wikipedia, fr.wikipedia.org, consulter le
09 mars 2022, à 15h43’)

I.1.2 Automate

Par définition, l’automate est un appareil est équipé des


dispositifs qui permettrons l’exécution des certaines tâches sans
interventions humaine. (wikipedia, fr.wikipedia.org, consulter le 09
mars 2022, à 15h52’)

I.1.3 Automatisation

Par définition, l’automatisation est l’ensemble des méthodes


visant à réduire l’intervention humaine dans un processus de
production industrielle et de traitement de l’information.
Il peut aussi être défini comme l’étape d’un progrès techniques
susceptibles de seconder l’homme non seulement dans ses efforts
musculaires, mais également dans son travail intellectuel.
xviii

Automatiser un système vise l’apport d’une solution du point de


vue de la technicité que peut être employé pour limiter
l’intervention d’un homme à tout temps dans un système.

On peut parler aussi d’un automate programmable qui est un


appareil dédié au contrôle d’une machine au d’un processus
industriel, constituer des composants électroniques, des mémoires
programmables à l’aides d’un langage adapté.

I.1.4 Système

Par définition un système est un ensemble de l’élément qui


interagit entre eux en les organisant dans un but précis.
(ressouces2, ressources2.techo.free.fr, consulter le 09 mars 2022, à
16h02’)

I.1.5 Intelligence d’un système

Par définition, cela est compris comme une capacité qu’a un


système de gérer et résoudre les problèmes qui peuvent se présenter
dans ceci sans l’intervention de l’homme. (wikipedia,
fr.wikipedia.org, consulter le 09 mars 2022, à 16h15’)

I.1.6 Système Autonome

On parle d’un système autonome quand, un système est capable de


gérer et résoudre les problèmes qui peuvent se présenter dans ceci
sans l’intervention de l’homme. Autrement dit aussi système
intelligent, il est conçu pour exécuter les taches en fonction d’une
demande donnée. (wikipedia, fr.wikipedia.org, consulter le 09 mars
2022, à 16h25’)

I.1.7 Système automatisé


xix

On parle d’un système automatisé, un système est capable


d’effectuer une action sans la présence d’un humain. Il est conçu
pour exécuter les taches en fonction d’une demande donnée par des
capteurs. (wikipedia, fr.wikipedia.org, consulter le 09 mars 2022, à
16h35’)

I.1.7.1 constitution d’un système automatisé


Par distinction, on en trouve deux grandes parties importantes
qui sont :

 Une partie de commande 

 Une partie opérative

 Une poste de contrôle

I.1.7.1.1 Partie de commande

La de commande a l’utilité du cerveau dans un système


automatisé, elle a le rôle la partie opérative et recevoir les
informations provenant du pupitre de commande et de capteurs ou
détecteur programmables aussi pouvant contenir des modules embarqués
ou même une interface micro-informatique.

Il est aussi comme un bloc de traitement de l’information qui


provient d’un API (Automate programmable industriel) qui peut être
un microcontrôleur ou une unité centrale.

En outre, c’est la partie qui gère le fonctionnement d’un


système automatisé. Généralement composer d’un ordinateur et
contenant dans sa mémoire un programme, elle transmet les
instructions contenue dans sa mémoire vers la partie opérative
partant du programme exécuté par celle-ci, son rôle est aussi de
transmettre les consignes aux opérateurs des informations reçues par
les capteurs existant dans les systèmes. Prenons l’exemple du
circuit électronique d’un convertisseur de tension qui est autonome.

I.1.7.1.2 Partie opérative


xx

Cette partie, est celle qui exécute les instructions reçues de


la partie de commande via les actionneurs par exemple, les moteurs,
sonneries… ces capteurs qu’il contient recueil les informations qui
seront traiter par un contrôleur.

I.1.7.1.3 Poste de contrôle

Cette partie est connectée avec la partie de commande,


permettant une interaction entre l’opérateur du système avec le
système en question. Doté avec des consignes et des signalisations
et même les dispositifs de visualisions des différents états du
système à l’aide des voyant elle peut contenir aussi des terminaux
des dialogues et des interfaces hommes machines.
 Schéma synoptique d’un système automatise

Entrée

Actionneurs

Pupitre de Prés-actionneurs
commande / Effecteurs
IHM Traitement
des infos
Capteurs et
Sortie détecteurs

Poste de Partie de commande Partie opérative


Contrôle
Schéma I.1: Schéma synoptique d’un système automatise

I.1.7.1.4 Interface homme machine (IHM)


xxi

Un simple navigateur web peut être pris comme interface


humaine pour toutes ces applications. Une application sur un système
d’exploitation androïde, Apple, ou Windows est également courante.

L’interface homme machine n’est pas seulement reconnue sur les


caractéristiques dès l’écran et du clavier mais peut aussi être un
système de reconnaissance vocale,
Un mure tactile ou d’autre surfaces rendu tactile ; du badge ; du
mouvement des mains…

I.1.7.2 Traitement des informations

Parlant du traitement des informations on sous attend un bloc


de traitement de l’information qui peut être un API (Automate
programmable industriel), un microcontrôleur ou une unité centrale.

I.1.7.2.1 Actionneurs

Ils sont placés dans la partie opérative D’un système


automatisé, Les actionnaires permettent. De transformer l’énergie
reçue en énergie utile. Autrement, Cela veut dire Il a une
fonctionnalité de transformer l’énergie reçue en phénomènes
physiques.
Exemple d'actionneurs :
xxii

Figure I.1: les actionneurs

I.1.7.2.2 Capteurs

Les capteurs sont placés dans la partie opérative d’un


système automatisé. Ces capteurs permettent. La détection de
phénomènes physiques Comme la présence D’une personne,
La présence d’une chaleur, la présence d’une lumière… En
tout, cela veut dire Que le rôle des capteurs Et de transformer la
variation D’une grandeur physique en signal électrique.
Parlant de l’existence des types Des capteurs, il en existe
deux grandes familles, Les capteurs à contact et les capteurs sans
contact. Dans ces deux familles, On en trouve à la fois des capteurs
qui sont logiques et d’autres qui sont capables à détecter seulement
que deux États Et ces derniers sont appelés des capteurs
analogiques.
Exemple : Une jauge d’essence est un détecteur des types analogiques
puisqu’il permet de détecter tous les États possibles du réservoir
d’une voiture.
xxiii

Figure I.2: les actionneurs

I.1.7.3 L’interface

Comme nous l’avons défini précédemment, une différence se


trouve entre la partie de commande et celle qui est opérative. Pour
qui aie une bonne circulation d’information entre ces deux, on va
utiliser une interface. Cette interface est un traducteur qui
relient la partie commande à la partie opérative.

I.1.7.4 La commande d’un système automatisé et ses différents


modes.

Un système automatisé utilise deux mode de fonctionnement :


- Le fonctionnement en boucle qui est un mode de commande direct,
ici la partie de commande ne reçoit aucun compte rendu de la
partie opérative. Par conséquent, la partie commande du système
automatisé adressera toujours les mêmes instructions à la
partie opérative.
xxiv

- Le fonctionnement en boucle fermée qui en sois est en mode de


commande avec compte-rendu d’exécution, ici la partie de
commande reçoit un compte-rendu à chaque fois il en envoie une
instruction de la part de la partie opérative. Et une
modulation se fera par la partie de commande.

I.2 Les systèmes embarqués

Un système est dit embarqué, quand il est autonome et ne


possède pas des entrées/sorties standards tels qu'un clavier ou un
écran d'ordinateur. (wikipedia, fr.wikipedia.org, consulter le 09
mars 2022, à 17h35’)

I.2.1 Définition du système embarqué

On peut définir les systèmes embarqués comme des composants


électroniques issus de la combinaison de matériel, de logiciel qui
interagissent avec l’environnement.
Ils sont modélisés pour effectuer des tâches spécifiques
plutôt que des tâches multiples comme c’est le cas pour les systèmes
traditionnels tel que l’ordinateur.

Contrairement aux systèmes traditionnels qui utilisent des


fonctions pour transformer des données d’entrée en des données de
sortie, les systèmes embarqués doivent prendre en compte, en plus
des données en entrée, des contraintes physiques.

Un système embarqué peut être défini comme un système


électronique et informatique autonome, qui est dédié à une tâche
bien précise.

Il ne possède généralement pas des entrées/sorties standards et


classiques comme un clavier ou un écran d'ordinateur.

Le système matériel et l’application sont intimement liés, le


logiciel embarqué étant enfoui, noyé dans le matériel. Le matériel
et le logiciel ne sont pas aussi facilement discernables comme dans
un environnement de travail classique de type ordinateur PC.
L'embarqué est un terme plus général qui regroupe plusieurs notions
selon le contexte :
xxv

 Le marché des systèmes embarqués ;

 Les systèmes embarqués par abus de langage.

I.2.2 Caractéristiques principales d'un système embarqué

Les principales caractéristiques d'un système embarqué sont


les suivantes :

 C'est un système principalement numérique ;

 Il met en œuvre généralement un processeur ;

 Il exécute une application logicielle dédiée pour réaliser une


fonctionnalité précise et n'exécute donc pas une application
scientifique ou grand public traditionnelle ;

 Il n'a pas réellement de clavier standard (Bouton Poussoir,


clavier matriciel) ;

 Ce n’est pas un PC en général mais des architectures similaires


(x86) basse consommation est de plus en plus utilisées pour
certaines applications embarquées.

I.2.3 Les grands secteurs des systèmes embarqués

Les grands secteurs des systèmes embarqués concernent les


domaines suivants. (Abdelmajid, O., 2012, p.142).

 Jeux et calcul général : Application similaire à une


application de bureau mais empaquetée dans un système
embarqué : jeux vidéo, set top box ;

 Contrôle de systèmes : automobile, processus chimique,


processus nucléaire, système de navigation ;

 Traitement du signal : radar, sonar, compression vidéo ;

 Communication et réseaux : transmission d’information et


commutation, téléphonie, Internet.
xxvi

I.2.4 Caractéristiques principales d'un système embarqué typique.

Figure I.3: Caractéristiques principales d'un système embarqué typique

On retrouve en entrée des capteurs généralement analogiques


couplés à des convertisseurs A/N. On retrouve en sortie des
actionneurs généralement analogiques couplés à des convertisseurs
N/A. Au milieu, on trouve le calculateur mettant en œuvre un
processeur embarqué et ses périphériques d'E/S.
Il est à noter qu'il est complété généralement d'un circuit
FPGA jouant le rôle de coprocesseur afin de proposer des
accélérations matérielles au processeur.

On retrouve en fait un beau système d'asservissement entre les


entrées et les sorties ! Il est à noter que l’expression la plus
simple de cette figure est de considérer comme capteurs, des
interrupteurs et comme actionneurs, des leds. Contrairement au PC
ronronnant bien au chaud dans un bureau, un système embarqué doit
faire face à des environnements plus hostiles. Il doit faire face à
un ensemble de paramètres agressifs :

 Variations de la température ;
 Vibrations ;

 Chocs ;

 Variations des alimentations ;

 Interférences RF ;
xxvii

 Corrosion ;

 Eau, feu, radiations.

I.2.5 Caractéristiques Spécifiques

Les systèmes embarqués fonctionnent généralement en temps réel


(TR), où les opérations de calcul sont alors faites en réponse à un
événement extérieur (interruption matérielle). La validité et la
pertinence d'un résultat dépend du moment où il est délivré. Une
échéance manquée induit une erreur de fonctionnement qui peut
entraîner soit une panne du système (plantage), soit une dégradation
non dramatique de ses performances. Lorsque les systèmes embarqués
sont utilisés dans les produits de grande consommation, ils sont
fabriqués en grande série. Les exigences de coût se traduisent alors
en contraintes sur les différentes composantes du système :
utilisation de faibles capacités mémoires et de petits processeurs
(4 bits ou 8 bits), mais en grand nombre.
Ainsi, les systèmes embarqués sont particulièrement sensibles
au coût de production.

Il existe des applications dans lesquelles les contraintes de


coût de production et de maintenance ont une importance de même
niveau que les performances envisagées.

Dans les systèmes embarqués autonome la consommation d'énergie


est un point critique pour le coût. En effet, une consommation
excessive augmente le prix de revient du système embarqué, car il
faut alors des batteries de forte capacité.

I.2.6 Complexité du système embarqué

Les systèmes embarqués requièrent souvent un faible


encombrement (faible poids) PDA (Personal Digital Assistant). Leur
technologie fait alors appel à une électronique et à des
applications portables où l'on doit minimiser aussi bien
l'encombrement que la consommation électrique. Par conséquent, la
réalisation du packaging afin de faire cohabiter sur une faible
surface de l'électronique analogique, de l'électronique numérique,
des composantes RF (Radiofréquence) sans interférences est une tâche
difficile.
xxviii

En effet, les performances des systèmes sur carte deviennent


obsolètes dans le contexte des besoins actuels. Dans les stratégies
de conception actuelles, un système embarqué est généralement
intégré sur un support silicium unique constituant ainsi un système
complet intégré sur une puce SoC (System on a Chip).

Les systèmes sur puce contiennent généralement une grande


variété de dispositifs programmables tels que des microcontrôleurs,
des processeurs de traitement de signaux DSP (Digital-Signal
Processor) et des ASIC qui sont développés pour des applications
complexes nécessitant une production en grande série. Les mémoires
(ROM et RAM) y sont intégrés pour le stockage des données et des
programmes.

L'objectif est d'obtenir une coopération harmonieuse entre


composants embarqués afin de garantir des services globaux. Des
contraintes d'implémentation physique sont liées à la consommation
de ressources et au contexte de déploiements tels que le poids, la
taille physique, la résistance aux vibrations, ou à l’irradiation.

I.2.7 Fiabilité

Du fait de leur portabilité et de la mobilité des produits dans


lesquels ils sont incorporés, les systèmes embarqués évoluent
généralement dans de conditions environnementales non déterministes
et souvent non maîtrisées. Ils sont exposés à des variations et
autres contraintes environnementales susceptibles d'induire des
défaillances telles que les vibrations, chocs, variations de
température, variations d'alimentation, interférences RF,
corrosions, humidités, radiation.

D'où la nécessité de prendre en compte des évolutions des


caractéristiques des composants en fonction des conditions
environnementales. En même temps que s'accroît leur sophistication,
les systèmes embarqués sont utilisés dans des applications de plus
en plus critiques dans lesquels leur dysfonctionnement peut générer
des nuisances, des pertes économiques ou des conséquences
inacceptables pouvant aller jusqu'à la perte de vies humaines.
(Alonso, E., 2005, p.331).
xxix

C'est le cas, par exemple, des applications médicales ou


celles de transports pour lesquelles une défaillance peut avoir un
impact direct sur la vie d'êtres humains. C'est aussi le cas des
applications spatiales, souterraines ou sous-marines où la
défaillance peut entraîner des conséquences redoutables aussi bien
en termes de sécurité qu'au niveau économique. Ce type de systèmes
doit garantir une très haute fiabilité et doit pouvoir réagir en cas
de panne de l'un de ses composants.

Quelle que soit la nature et la complexité du système, on


décompose un système embarqué en :

 Le système contrôlé ; Le système de contrôle est composé des


éléments matériels et logiciels dont la mission est d'agir sur
le procédé via les actionneurs en fonction de l'état de ce
procédé indiqué par les capteurs de manière maintenir ou
conduire le procédé dans un état donné.

 Le système de contrôle.

Figure I.4 : Système embarqué

Un système électronique embarqué ou enfoui est un élément


constitutif d'un système plus complexe pour lequel il rend des
services bien précis (contrôle, surveillance, communication…). Il
est constitué de parties matérielles et logicielles qui sont conçues
spécifiquement pour réaliser une fonction dédiée.

I.2.8 Classification Des Systèmes Embarqués


xxx

I.2.8.1 Système Transformationnel

C’est un système caractérisé par une activité de calcul, qui


lit ses données et ses entrées lors de son démarrage, qui fournit
ses sorties, puis meurt.

I.2.8.2 Système Interactif

C’est un système en interaction quasi permanente avec son


environnement, y compris après l'initialisation du système ;
la réaction du système est déterminée par les événements reçus et
par l'état courant (fonction des événements et des réactions passés)
; le rythme de l'interaction est déterminé par le système et non par
l'environnement.

I.2.8.3 Système Réactif ou Temps Réel

C’est un système en interaction permanente avec son


environnement, y compris après l'initialisation du système, la
réaction du système est déterminée par les événements reçus et par
l'état courant (fonction des événements et des réactions passées),
mais le rythme de l'interaction est déterminé par l'environnement et
non par le système.

I.3 : Global System for Mobile Communications (GSM)

Historiquement « Groupe spécial mobile » (wikipedia,


fr.wikipedia.org, consulter le 12 Avril 2022, à 12h25’) est un
standard numérique de seconde génération (2G) pour la téléphonie
mobile. Le groupe de travail chargé de définir cette norme a été
établie en 1982 par la Conférence européenne des administrations des
postes et télécommunications (CEPT). Elle a été spécifiée et mise au
point par l'ETSI (Institut Européen des Normes de Télécommunication)
pour la gamme de fréquences des 900 MHz.

Une variante appelée Digital Communication System (DCS) utilise


la gamme des 1 800 MHz. Cette norme est particulièrement utilisée en
Europe, en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. Deux autres
xxxi

variantes, en 850 MHz et en 1 900 MHz PCS (personal communications


services), sont également utilisées. La protection des données est
assurée par les algorithmes de chiffrement A5/1 et A5/2.

Tel qu'il a été conçu, le réseau GSM est idéal pour les
communications de type « voix » (téléphonie). Le réseau
étant commuté, les ressources ne sont allouées que pour la durée de
la conversation, comme lors de l'utilisation de lignes téléphoniques
fixes. Les clients peuvent soit acheter une carte prépayée, soit
souscrire un abonnement.
Sous l'égide de l'organisation 3GPP la norme GSM a ensuite été
étendue pour prendre en charge de plus hauts débits et le transport
de données en mode « paquet » par les extensions GPRS (General
Packet Radio Services) puis EDGE (Enhanced Data rates for GSM
Evolution).

Ces deux modes peuvent cohabiter avec le mode « voix commutée »


du GSM et utilisent les mêmes antennes et les mêmes bandes de
fréquence.

Le concept de réseau cellulaire tient son origine des réseaux


de première génération mis en service au début des années 1980.
Plusieurs pays développent à leur tour des réseaux exploitant leurs
propres systèmes dits analogiques (les conversations sont transmises
en clair), fonctionnant sur des bandes de fréquences souvent
différentes d'un État à un autre.

Les réseaux sont organisés au mieux, selon des zones (des


cellules) de tailles variables correspondant grosso modo à des
cercles de 30 à 50 kilomètres de rayon, jointifs ou pas, au centre
de chacun desquels est installée une antenne-relais.

Si en cours de communication le terminal vient à quitter la


cellule en perdant la liaison avec la station à laquelle il est
relié, la conversation est peu à peu dégradée, voire subitement
interrompue, même s'il vient à se trouver dans une autre cellule du
même réseau où le terminal cherche immédiatement à se réinscrire.
Cet inconvénient oblige souvent les utilisateurs à arrêter leur
véhicule pour garder (quand ils le peuvent) ou retrouver une bonne
qualité de communication. Longtemps inconnue, la technique
du transfert intercellulaire (possibilité de maintenir une
communication sans limite d'espace à l'intérieur des frontières
nationales) reste à définir et à développer.
xxxii

Malgré le coût élevé de l’installation des terminaux et quelques


défauts, les différents systèmes connaissent un succès certain
débouchant vers un engorgement des ressources.

La capacité de chaque station de base limitée en connexions en


veille en plus des communications simultanées rend obligatoire une
amélioration de quelques systèmes via l'allocation d'une bande de
fréquence de service,
Permettant d'augmenter le nombre d'abonnés jusqu'à un certain
stade, dans l'hypothèse où ceux-ci ne téléphonent pas tous en même
temps. Les systèmes de téléphonie mobile en sont encore
à leurs balbutiements. Les antennes-relais des BTS nécessitent alors
des puissances assez importantes pour desservir les terminaux
mobiles de 2 ou 10 watts aux poids différents selon qu'ils équipent
de rares piétons ou des automobilistes.

En 1991, une première communication expérimentale est faite


par le groupe GSM. Le sigle GSM change également de signification
pour devenir Global System for Mobile communications. Les
spécifications techniques sont ensuite complétées pour pouvoir
fonctionner dans la bande des 1 800 MHz. Au salon Telecom 91 de
Genève, au moyen de stations de transmission de base installées en
territoire français proche, des démonstrations sont faites de
l'utilisation de terminaux GSM embarqués dans des véhicules
automobiles.

I.3.1 : Bandes des fréquences GSM

I.3.1.1 GSM 850 et 1900 

Ils sont présents aux États-Unis et au Canada. Certains pays


n'utilisent que la norme GSM 850 (Équateur, Panama…). Le GSM 1900
est également appelé PCS 1900 (Personal Communications Service).

I.3.1.2 GSM 900 et 1800

On rencontre ces deux types de réseaux en Europe, notamment, en


Belgique, Espagne, France, Allemagne, Italie, Suisse. Le GSM 900
utilise la bande 880-915 MHz pour l'envoi de la voix ou des données
depuis le mobile et la bande 925-960 MHz pour la réception des
informations venant du réseau.
xxxiii

Le GSM 1800 utilise la bande 1 710 MHz-1 785 MHz pour l'envoi


des données depuis le terminal mobile (upload) et la bande
1 805 MHz-1 880 MHz pour la réception des informations (download).
Les appareils qui fonctionnent tant en 900 qu'en 1800 sont
appelés GSM dual band ou simplement dual band.
Le GSM 1800 est également appelé DCS 1800 (Digital
Communication System).

I.3.1.3 GSM 450

L'implantation d'un réseau GSM en 900 MHz avec une bonne


couverture est souvent coûteuse dans les pays en développement. Les
étendues à couvrir sont énormes, la densité de population faible par
endroits et les moyens financiers pour mettre en place
l'infrastructure sont réduits. Le principal problème dans les zones
peu peuplées est le nombre élevé de stations de base à installer.
Même les pays industrialisés sont confrontés à ce problème de
couverture dans les zones rurales. L'utilisation de fréquences moins
élevées augmente sensiblement la portée des stations de base. Ainsi
en 450 MHz, leur portée serait près du double de ce qu'elle est en
900 MHz. (wikipedia, fr.wikipedia.org, consulter le 13 Avril 2022, à
02h25’) Ericsson  et Nokia ont travaillé au début des années 2000, à
la mise au point d'une norme GSM fonctionnant dans la bande de
fréquence de 450 MHz et de 480 MHz. (wikipedia, fr.wikipedia.org,
consulter le 14 Avril 2022, à 12h25’)

Avec ces fréquences, la couverture radio pourrait atteindre


120 km. Ce serait particulièrement adapté aux zones côtières,
désertiques ou rurales, là où le trafic est faible et le terrain
plat. Mais cette technologie n'a pas connu de succès commercial ; en
2012 cette bande de fréquence n'est utilisée nulle part pour des
réseaux GSM et aucun téléphone compatible GSM-450 n'est
commercialisé.

I.3.2 Architecture réseau et protocole

Le réseau spécifique pour le GSM s'appelle PLMN (Public Land


Mobile Network), chaque opérateur ayant le sien propre. Il est relié
au Réseau Téléphonique Commuté Public (RTCP), mais aussi directement
aux autres réseaux de téléphonie mobile (UMTS, LTE) et à ceux des
autres opérateurs.
xxxiv

Figure I.5 : Structure simplifiée des réseaux GSM (sans GPRS)

I.3.3 Communication entre le téléphone mobile et la station de base

L'AMRT (accès multiple à répartition dans le temps ou en


anglais, TDMA pour Time division multiple access) et l'AMRF (accès
multiple à répartition en fréquence ou en anglais, FDMA
pour Frequency Division Multiple Access) sont utilisées pour
permettre à plus d'utilisateurs d'être connectés aux stations de
base sans saturer le réseau.

I.3.4 Caractéristiques de l'interface radio

Le GSM utilise deux bandes de fréquences, l'une pour la voie


montante (TX), l'autre pour la voie descendante (RX) auxquelles
s'intègrent des canaux de signalisation ; la puissance du signal est
modulée selon la distance entre l'antenne et le GSM considéré, ce
qui permet d'avoir une estimation de la distance entre un
utilisateur et l'antenne.

La bande 880-915 MHz est utilisée en Europe, pour la voie


montante, tandis que la bande 925-960 MHz est utilisée pour la voie
descendante. Chacune de ces bandes comprend 175 porteuses (canaux)
espacées de 200 kHz entre elles ; elles sont, en France, réparties
entre 4 opérateurs (voir fréquences GSM en France). La modulation
utilisée sur ces porteuses est la GMSK, qui permet d'éviter les
chevauchements de porteuses.
xxxv

Chaque porteuse comporte huit time slots (TS). Ils durent


environ 577 μs. Les canaux physiques servant à émettre la voix (ou
la signalisation) sont ces slots.
Chaque porteuse a un débit brut de 271 kbit/s, tandis que les
canaux physiques ont un débit brut de 33,8 kbit/s. Le débit utile
est quant à lui de 24,7 kbit/s en GSM. Ce débit est plus élevé avec
les normes, optimisées pour le transfert de données GPRS et EDGE qui
dérivent du GSM et utilisent les mêmes bandes de fréquence et les
mêmes antennes-relais.

Le plan de fréquence GSM est assez complexe car il faut


répartir les longueurs d'onde utilisées entre les antennes de
manière à éviter un effet de mise en résonance11 qui brouillerait les
communications.
Donc, la portée des antennes ainsi que la distribution des
longueurs d'onde sont un travail assez délicat afin que les cellules
ne se brouillent pas entre elles (une cellule = la surface radiante
d'une antenne).

Dans la pratique, s'il est placé en limite de cellule radio, un


GSM peut voir jusqu'à 7 antennes, celle à laquelle il est
actuellement attaché et 6 en réserve sur lesquelles il pourra
permuter en cas de déplacement, dès que la puissance d'émission
nécessaire pour communiquer avec l'une des antennes de réserve
deviendra plus faible que celle nécessaire pour atteindre son
antenne actuelle ; une règle étant d'utiliser en permanence
l'énergie minimale pour communiquer.

I.3.5 les services du GSM

Le réseau GSM permet plusieurs services :

 la voix ;
 les données (le WAP, le Fax ou bien les fonctions d'un modem
filaire classique) ;
 les messages écrits courts ou SMS ainsi que leur successeur, le
MMS ou Multimedia Messaging Service ;
 le Cell Broadcast (diffusion dans les cellules), qui permet
d'envoyer le même SMS à tous les abonnés à l'intérieur d'une zone
géographique ;
 les services supplémentaires (renvois d'appels, présentation du
numéro, etc.) ;
xxxvi

 Les services à valeur ajoutée, par exemple les services de


localisation (Location Based Services), d'information à la
demande (météo, horoscope), de banque (consultation de compte,
recharges de compte prépayées).

I.3.6 Couverture GSM dans en Afrique (RDC)

En République démocratique du Congo, il existe cinq opérateurs de


télécommunication :

 Vodacom du groupe Vodafone
 Airtel
 Orange et Tigo (ces deux opérateurs travaillent en partenariat et
sont considérés dans le pays comme une même entreprise).
 africel .
xxxvii

Section II. ÉTUDE PRÉALABLE

Dans ce chapitre nous allons faire une étude par rapport aux
systèmes qui existent enfin bien comprendre l’objectif de notre
thème.

II.1. Présentation de l’existant

Dans le domaine de la gestion d’eau nous trouvons plusieurs


types des compteurs depuis son invention.
Par définition le compteur d'eau est un appareil de mesure permettant
d'évaluer la consommation d'eau d'une installation.
Le coût du traitement de l'eau étant très important, la surveillance
et le calcul exact de la consommation est une nécessité pour les
consommateurs. L'installation de compteurs d'eau individuels
(logements, industries et commerces, collectivités, etc.) est une
réponse à cette attente malgré quelques voix discordantes.

La mesure de la consommation est un problème ancien, que ce


soit pour un usage agricole, industriel ou domestique. L'exemple de
la table de Frontin montre que le technicien a depuis longtemps
cherché à évaluer de façon objective les volumes d'eau consommés car
cette évaluation est utile à plusieurs titres : dimensionnement des
équipements, contrôle des pertes d'eau, répartition des coûts de
production, etc.

Pendant longtemps les compagnies distributrices ont vendu


l'eau à forfait, sur base du nombre de robinets installés, le nombre
de ménages dans l'immeuble,  Afin de limiter le gaspillage que cette
méthode induisait,
des compteurs furent installés dans les appartements sans toutefois
aucune obligation réglementaire. En 1952, à Marseille,
l’installation de compteurs, en remplacement des jauges, devient
obligatoire dans toute nouvelle construction, mais dans les années
1960, en région parisienne, des HLM nouvellement construites n'en
sont toujours pas équipées.
xxxviii

De nombreux modèles de compteurs ont été inventés et soumis


aux collectivités. Par exemple :

 le compteur Frager (1883) ;


 le compteur Hirt ;
 le compteur Jacquet ;
 le compteur Lambert ;
 le compteur Payton  ;
 le compteur Pioz .

En termes de prospective, une télé relève intelligente est


envisagée (Smart metering pour les anglophones), associée à une mise
en « réseau intelligent » des compteurs d'eau, des compteurs de gaz
et des compteurs électriques, dits compteurs communicants (on trouve
parfois le terme compteur intelligent venant de l'anglais w:Smart
meter), intégrés dans un smart grid via le Web 2.0. Les compteurs
communiqueraient des données sur la qualité de l'eau, une dérive de
consommation ou une suspicion de fuite sur le réseau.

II.3 Types de compteurs d'eau et mode de fonctionnement

Tout compteur comporte un numéro de série, numérique ou


alphanumérique, gravé dans le matériau de la carcasse, sur le cadran
ou sur le volet mobile protecteur de la fenêtre de l'index. Il est
souvent muni d'un scellé, placé sur le raccordement amont, pour
prévenir toute tentative d'utilisation frauduleuse.

II.3.1 Caractéristiques techniques générales

Un compteur est posé au début du réseau dont on veut


surveiller la consommation. Un robinet de fermeture (vanne d'arrêt)
permet de couper son alimentation afin de faciliter son démontage.
Il est recommandé de placer ce robinet à proximité du compteur.

Arrivée principale → vanne → scellé → compteur → réseau


secondaire → robinets

Les installations sont parfois équipées d’un réducteur de


pression placé après le compteur d’eau car une pression élevée peut
endommager le réseau.
xxxix

Un compteur d'eau ne fonctionne que dans la plage de pressions


pour laquelle il a été conçu. Il est équipé d'un cadran sec ou noyé.
Le passage de l'eau fait tourner un rotor à ailettes ou un piston
excentrique. Un système d'engrenages à échappement entraîne le
déplacement par cliquets successifs d'une flèche ou une roue dentée.
En système décimal, chaque fois qu'une roue dentée a effectué dix
pas, elle fait avancer la roue suivante d'un pas.

II.3.2 Compteur de vitesse ou à turbine

Fonctionne comme les moulins à eau. Une turbine tourne dans le


liquide et transmet sa rotation à un système de comptage. Ce dernier
totalise le nombre de rotations ce qui permet de déterminer la
quantité d'eau passée dans les canalisations en connaissant le
rapport 1 tour de turbine / quantité d'eau passée dans le compteur.

Il est peu sensible aux impuretés contenues dans l'eau.


Susceptible de ne pas détecter les fuites légères. Pose horizontale.

II.3.3 Compteur volumétrique

Il contient un cylindre creux, qui bascule pour alimenter le


circuit. Sensible aux impuretés contenues dans l'eau. Enregistre les
faibles débits.

II.3.4 Compteur de calories

Ce compteur est disposé sur une conduite destinée à véhiculer


un fluide caloriporteur. Il est placé à l'entrée d'une boucle de
chauffage où des calories pourraient être consommées. Il intègre une
sonde de température destinée à la mesure de la température d'entrée
dans la boucle. Il est raccordé à une sonde de température externe
destinée à la mesure de la température de sortie de la boucle. Il
possède, comme pour un compteur d'eau, un mécanisme de mesure des
volumes consommés. Il est coiffé d'un intégrateur (calculateur) doté
d'une horloge qui lui permet par pas de temps de déterminer le
différentiel de température entre l'entrée et la sortie et le débit
d'écoulement du fluide.
Il en déduit les calories consommées au fil du temps qu'il
cumule et mémorise dans un registre. Il permet notamment de calculer
les frais de chauffage d'un immeuble doté d'un chauffage centralisé.
xl

II.4 Genres de compteurs d'eau

Les compteurs d'eau se rangent en deux catégories : compteurs


principaux et compteurs divisionnaires. Pour des besoins ponctuels,
la construction d'un immeuble, un chantier de ravalement de façade,
il est fait usage de compteurs temporaires appelés compteurs de
chantier, posés par le Service des eaux concerné.

II.4.1 Compteur principal

Le compteur principal d'une installation est généralement celui


auquel est raccordé l'arrivée d'eau destinée à desservir le site (un
immeuble, une propriété, un bâtiment industriel, un terrain
agricole). Ce compteur, qui appartient habituellement à la
collectivité organisatrice du service public de l'eau ou à son
éventuel délégataire, est placé sous la surveillance de l'abonné.

II.4.2 Compteur divisionnaire

On appelle compteur divisionnaire ou sous-compteur ou compteur


de répartition, un compteur situé en aval d'un autre compteur,
généralement dénommé compteur principal ou compteur de première
prise. Cette installation est destinée à calculer la consommation
d'une installation particulière :
 les différents logements d'un immeuble (cas le plus fréquent) ;
 les activités d'un site, par nature (production, arrosage,
nettoyage, etc.).

II.4.4 Relevé de la consommation d'eau

L'index du compteur principal est relevé par les agents de la


société distributrice. Le consommateur peut être mis à contribution
pour certains relevés.
Ce qui permet aux agents de la société distributrice de
réduire leurs déplacements annuels. La gestion des compteurs
divisionnaires peut faire l'objet d'un contrat de sous-traitance qui
peut inclure jusqu'au transfert de propriété des compteurs. Cela
peut donner lieu à une facturation de location de compteur.
xli

À noter que dire que l'on relève l'index de son compteur est
un abus de langage: on effectue le relevé de l'index, pas la relève.
Dans le métier, il est de coutume de dire « on relève la garde et on
effectue le relevé de l'index de son compteur ».

 Relevé manuel

Lecture visuelle de l'index du compteur et saisie manuelle de ce


dernier.

 Radio-relève ou radio-relevé

Le relevé déporté consiste en un compteur équipé d'un système


de contact dont l'extrémité est déportée par fil vers un endroit
aisément accessible pour un agent releveur (il s'agit là d'un télé
répétiteur ou d'un plot inductif).
La radio-relève (ou "mobile") s'effectue grâce à une tête
émettrice, fixée (voire clipsée) sur le compteur, qui envoie, par
ondes radio, les données de consommation à un appareil récepteur
radio que le releveur déplace durant sa tournée de relevés.

Les systèmes les plus complexes prévoient un relevé à distance


par réseau fixe (filaire ou radio) : il s'agit là de télé relevé.
Ces systèmes permettent un plus grande réactivité pour signaler des
anomalies de comptage (ex. : surconsommation, fuite).
xlii

Image I.1: compteur radio relevée.

II.4.5 Facturation (en RDC)

La fréquence de relevé et de facturation est fixée dans le


règlement du service public ; elle peut être adaptée au volume
consommé. La réglementation n'impose pas explicitement de procéder à
au moins un relevé de compteur par an, mais c'est systématiquement
prévu par le règlement du service. En cas d’impossibilité d’accès au
compteur, la facture est établie sur une estimation de la
consommation.

Les éléments constitutifs d’une facture sont très nombreux et


variables selon les collectivités locales. Ils sont collectés par le
concessionnaire. On trouve principalement l’accès au service
(abonnement destiné au concessionnaire), la location du compteur ,
et ceux, dont le coût est proportionnel au volume consommé:
 la distribution (pompage, utilisation des réseaux et des
ouvrages) ;
 l’épuration et le traitement des eaux usées ;
 les taxes collectées pour le compte des organismes publics et
syndicats :

La totalité est assujettie à la TVA.


Modalités de la répartition du coût de la consommation d'eau
en immeuble collectif.
xliii

À l'issue de la période des charges à répartir, il est fait un


relevé des index des compteurs divisionnaires. La comparaison avec
le relevé de la période n-1 permet d'établir les m³ décomptés par
chaque compteur. Parallèlement, les factures reçues du
concessionnaire procurent, pour la période considérée, à la fois, le
total de la fourniture (nombre de m³ relevés au compteur principal)
et le montant de la dépense, On en déduit le prix moyen du m³ d'eau.

Selon les dates auxquelles sont effectués les divers relevés,


une discordance peut apparaître entre le volume livré et celui
consommé. Pour que le décompte soit parfait, il convient, pour
chaque période, de noter dans le même temps, les index de tous les
compteurs (principal et divisionnaires).

Il faut, également, que la consommation destinée aux


équipements communs (ménage, arrosage, chaufferie, etc.) soit aussi
desservie par compteur. S'il y a persistance d'un écart significatif
et répété, il convient de faire expertiser l'installation pour
déceler des fuites dans le réseau ou des compteurs défaillants.

Méthode 1 - Le prix du m³ est affecté au volume calculé par chaque


compteur et imputé à son usager. Celui-ci paye ainsi le prix réel
facturé à la collectivité. Les écarts, en plus ou en moins, sont
considérés comme étant utilisés par le service des communs. Cet
écart, de toute façon, se corrige de fait au cours de l'exercice
suivant.
Méthode 2 - Les volumes individuels sont transformés en volumes
relatifs (en pourcentage) et les factures sont réparties selon ce
pourcentage. Il n'y a pas d'écart mais le prix moyen du m³ ne
reflète pas la réalité.

Méthode 3 - Abonnement direct. Chaque lot est desservi directement


par la Société concessionnaire qui, dans ce cas, adresse une facture
à son client abonné. Les communs disposent d'un compteur individuel
dont les frais sont répartis aux tantièmes de copropriété.

Le règlement de copropriété peut prévoir d'autres formes de


répartition. La part du coût de l'abonnement du compteur principal,
peut être répartie selon le nombre de compteurs. Cela a pour effet
d'alléger la note des gros consommateurs. Mais on peut aussi
admettre que ceux-ci, consommant davantage, concourent à
l'accélération du vieillissement de l'équipement.
xliv

II.5 Critique d’existant

La plus part des compteurs actuelle sont manuelles et ceci


sont très ancien. Nous pouvons trouver d’autre compteur qui ne
fonctionnent plus correctement parce qu’il n’y a plus même une
séance qui était consacré pour l’entretient. Parlent de l’entretient
nous touchons sur le point de l’hygiène de cette eau distribuer.

II.6 Proposition de la solution

Le compteur hydraulique intelligent serait l’équipement


technique approprié pour apporter une solution à tous ces problèmes
évoquer dans notre questionnaire, parce qu’avec cette technique on
serait capable de consulter à distance les données qui seraient
prélever par ceci en assurant une fiabilité sur les charges des
lignes de distribution, il serait aussi capable de récolter des
données qui seraient déjà numérique et prêt pour être utiliser dans
le calcul une facture qui ne serait plus forfaitaire.

II.7 Choix de la solution

Notre choix se porte sur la conception d’un compteur


hydraulique consultable à distance via un GSM. Nous avons fait le
choix de cette solution vu les énormes avantages que nous présente à
savoir :

1.On sera capable de consulter à distance les données


2.Une fiabilité sur les charges des lignes de distribution,
3.Récolter des données qui seraient déjà numérique
4.Le calcule d’une facture qui ne serait plus forfaitaire.
xlv

III. Conclusion partielle

Ce chapitre, a fait objet d’une étude sur les généralités en


rapport avec notre travail. Il a aussi été question d’expliqué ce
que les systèmes embarqués, les techniques utilisés, et la
technologie qui est ainsi que le système GSM et ses différentes
normes. il a été aussi question de mené une étude préalable, sur
les différents systèmes utilisés sur les compteur hydraulique d’eau,
nous avons trouvé les insuffisances dans ces systèmes et proposé les
solutions. Dans le chapitre suivant nous allons décrire notre
solution en claire.
xlvi

CHAPITRE II : CADRAGE DU PROJET

II.1. Le Projet dans son contexte

L'évolution innovatrice qui est d’actualité nous permet, tant


en nouvelle construction qu'en rénovation. Nous devons ces nouvelles
possibilités principalement aux progrès réalisés en électronique et
à la nouvelle conception des réseaux de communication tant à
l'extérieur qu'à l'intérieur des habitations. Les systèmes embarqués
ouvre non seulement de nouvelles possibilités dans le domaine de
l'automatisation de équipements, mais constitue aussi et surtout un
moyen offert à l'individu de contrôler et de gérer son
environnement. Grâce à cette nouvelle technologie, l'opérateur sera
à même de mieux gérer son milieu de travail et de vue sur le plan de
la sécurité, du confort, des communications et des applications
ménagères.
Notre mission consiste à faire une étude conceptuelle d’un
compteur hydraulique consultable à distance via un module GSM.

II.2. Planification du Projet

Ceci étant un ensemble d’activités ou d’éléments inter reliés


dans le but d’obtenir un résultat unique pendant une période de
temps déterminée et à l’aide d’un budget préétabli des ressources.
elle doit être envisagée comme un système à la recherche d’équilibre
entre les éléments ou activités d’un projet. Cette gestion doit se
bosser sur les points essentiels suivants :

 La spécification du système ;

 Le temps de développement ;

 Le coût de développement.

Pour atteindre les objectifs assignés, tout concepteur d’un


projet devra donc définir une programmation des différentes tâches
ou opérations successives à réaliser de tel enseigne qu’un ordre
soit respecté dans un délai nominal. D’une manière générale, un
projet est constitué de cinq phases à savoir :
 Exploitation du projet (5%)

 Etude de faisabilité (7%)


xlvii

 Implantation du projet (8%)

 Elaboration et planning du projet (20%)

 Exécution du projet (60%)

II.2.1. Méthodes d’ordonnancement de tâche

On en trouve Plusieurs méthodes permettant la représentation de


problème d’ordonnancement, nous pouvons épingler :

 PERT : Program Evaluation and Review Technique (Programme ou


projet d’évaluation et répétition des tâches) ;

 CPM : Critical Post Methode ;

 MPM Méthode des potentiels Métra ;

 PDM : Prudence Diagram Methode.


Dans le cas qui nous concerne, parce qu’il est vraiment
difficile d’utiliser toutes ces méthodes, nous options pour la
méthode PERT en estimation triple avec la notation A on A où la
tâche ou l’activité est représenté par un arc tandis que l’élément
par un nœud. Les sommets représentent les étapes dans la réalisation
d’un projet.

II.2.1.1. Principes de présentation en PERT

La méthode PERT est une méthode de gestion de projet visant


prévoir les propriétés d’un projet en terme du temps, délais et
coûts. Son principe est de découper un projet en un ensemble
d’actions appelées tâches et de les représenter sous forme graphique
selon un graphe de dépendances.
Grâce à la chronologie et l’interdépendance de chacune des
tâches, on structure ainsi l’ensemble du projet et on peut
alors planifier la réalisation de chacune des tâches les unes par
rapport aux autres, afin de minimiser les délais, ainsi
que réduire l’impact des retards lors de l’exécution des différentes
tâches.
xlviii

Afin de finaliser la mise en œuvre de la méthode PERT, un


certain nombre d’activités doivent être menées à bien :
 Définir de manière précise le projet ;
 Définir un responsable de projet auquel on rendra compte et qui
prendra les décisions importantes ;
 Analyser le projet par grands groupes de tâches, puis détailler
certaines tâches si besoin est ;
 Définir très précisément les tâches et déterminer leur durée ;
 Rechercher les coûts correspondants, ce qui peut éventuellement
remettre en cause certaines tâches ;
 Mettre en œuvre les tâches selon la chronologie décidée ;
 Effectuer des contrôles périodiques pour vérifier que le
système ne dérive pas ;

II.2.1.1 une tâche

Une tâche est le déroulement dans le temps d’une action ;


elle permet au projet d’avancer vers son état final.
On attribue une lettre à chaque tâche afin d’alléger le schéma.
La tâche a des propriétés d’ordre temporel qui
qualifient le temps de réalisation : la durée, exprimée en minutes
ou bien heures, jours, semaines, mois, etc.

Exprimée via la méthode PERT, une tâche est représentée par


une flèche, précisée par son nom et sa durée.

Figure II.1: représentation d’une tâche

Une tâche ne peut être représentée qu’une seule fois ;


inversement, une flèche ne peut représenter qu’une seule
tâche. La longueur, la courbure et la forme des flèches sont sans
signification particulière.
xlix

II.2.1.2 Étape

Une étape indique le début et/ou la fin d’une tâche. On


numérote les étapes afin de clarifier le schéma. L’étape a des
propriétés d’ordre temporel : dates au plus tôt et au plus tard,
exprimées en minutes, heures, etc.

Exprimée via la méthode PERT, une étape est représentée par


un rond, découpé en 3 zones, précisé par son numéro,
ainsi que ses dates au plus tôt et au plus tard.
La date au plus tôt est le délai minimum, depuis le début du
projet, nécessaire pour atteindre l’étape considérée.
La date au plus tard est la date maximum, depuis le début du projet,
à laquelle doit être atteinte l’étape considérée
pour que le délai de l’ensemble du projet ne soit pas modifié.

Figure II.2: représentation d’une étape

II.2.1.3 Réseau

Un réseau est l’ensemble des tâches et des étapes formant


l’intégralité de la planification du projet (on parle aussi
de diagramme PERT).

Deux tâches qui se succèdent immédiatement dans le temps sont


représentées par deux flèches qui se suivent,
séparées par une étape.

Figure II.3: représentation d’un réseau PERT


l

NB : Les différentes propriétés temporelles (durée, date, etc.)


doivent impérativement être exprimé suivant la même unité, et la
même échelle.

II.3 Début du cadrage.

II.3.1. Identification des tâches

Pour la réalisation de notre projet, nous avons pu identifier


une série de tâches suivantes :

 Etude préalable et de faisabilité

 Elaboration du cahier des charges

 Téléchargement de diffèrent modules et librairies des matériaux

 Réalisation du schéma de principe sur le logiciel de simulation

 Programmation et simulation de fonctions

II.3.2 Établissement de la liste précise des tâches

Durée
Durée Durée
Activité probable Coût
N° Activité
antérieure
optimiste pessimiste
(en ($)
(en jours) (en jours)
jours)
Étude préalable
1 et de _ 4 7 6 15
faisabilité
Élaboration du
2 cahier des 1 7 14 8 10
charges
Téléchargement
3 du modules et 1 1 3 2 20
librairies
Programmation
et
4 simulation de
2 5 7 6 200
fonctions.
Flashage et
5 test.
3 4 8 6 30

Tableau II.1: liste précise des tâches


li

II.3.2 Calcul des durées moyennes

Xi= (ai +bi+4mi) /6

Avec :

 Avec : a : la durée optimiste

 Avec : b : la durée pessimiste

 Avec : mi : la durée probable

Xi1= (4+7+24) /6 = 6
Xi2= (7+14+32) /6 = 9
Xi3 = (1+3+8) /6 = 2
Xi4 = (5+7+24) /6 = 6
Xi5 = (4+8+24) /6 = 6

II.3.3. Graphe PERT

II.3.3.1 Graphe ordonné

Graphe II.1: Graphe ordonné de la méthode PERT


lii

II.3.3.2 Matrice booléen

A B C D E F
A 0 1 0 0 0 0
B 0 0 1 0 0 0
C 0 0 0 1 0 0
D 0 0 0 0 1 0
E 0 0 0 0 0 1
F 0 0 0 0 0 0

Tableau II.2: Matrice booléen


 Calcul de rangs

Rn={f}
Rn-1={e}
Rn-2={d}
Rn-3={c}
Rn-4={b}
Rn-5={a}

 Soit n=5
D’où nous aurons :

R0={A}
R1={B}
R2={C}
R3={D}
R4={E}
R5={F}
liii

II.3.4. Calcul de la durée optimale

II.3.4.1. Date au plus tôt (DTO) en jours

La date au plus tôt est donnée par la formule :

DTO(y)=max {DTO(x)+d(i)}

DTO(a)=0

 DTO(b)=max {DTO(a)+d (1)} = {0+6} = 6

 DTO(c) =max {DTO(b) + d (2)} = {6+9} =15

 DTO(d)=max {DTO(g) + d (7)} = {15+2} =17

 DTO(e)=max {DTO(h)+ d (8)} = {17+6} =23

 DTO(f)=max {DTO(i)+ d (9)} = {23+6} =29

o Date au plus tard (DTA) en jours

DTA(y)=min {DTA(x)-d(i)}

 DTA(f)=DTO(f)=29

 DTA(e)=min {DTA(f)- d (5)} = {29-6} =23

 DTA(d)=min {DTA(e)- d (4)} = {23-6} =17

 DTA(c)=min {DTA(d)-d (3)} = {17-2} =15

 DTA(b)=min {DTA(c)- d (2)} = {15-9} =6


liv

 DTA(a)=min {DTA(b)-d (1)} = {6-6} =0

II.3.5. Calcul des marges

II.3.5.1. Marge Libre en jours

La marge libre d’une activité i est donnée par la formule


ci-dessous :

ML (i) = {DTO(y)-DTO(x)-D(i)}

 ML (1) = {DTO(b)-DTO(a)-d (1)} = {6-6-0} =0

 ML (2) = {DTO(c)-DTO(b)-d (2)} = {15-9-6} =0

 ML (3) = {DTO(g)-DTO(f)-d (3)} = {17-15-2} =0

 ML (4) = {DTO(h)-DTO(g)-d (4)} = {23-17-6} =0

 ML (5) = {DTO(i)-DTO(h)-d (5)} = {29-23-6} =0

II.3.5.2. Marge Total en jours

La marge totale d’une activité i est donnée par la formule ci-


dessous :

MT (i) = {DTA(y)-DT0(x)-d (i)}

 MT (1) = {DTA(y)-DTO(x)-d (1)} = {6-6-0} =0

 MT (2) = {DTA(y)-DTO(x)-d (2)} = {15-9-6} =0

 MT (3) = {DTA(y)-DTO(x)-d (3)} = {17-15-2} =0

 MT (4) = {DTA(y)-DTO(x)-d (4)} = {23-17-6} =0


lv

 MT (5) = {DTA(y)-DTO(x)-d (5)} = {29-23-6} =0

II.3.6. Chemin critique

(1), (2), (3), (4), (5),

II.3.7. Coût total du projet

Le coût total du projet est donné par la formule suivant :

C=∑ 𝐶𝑖

Soit C= 15+10+20+200+30 = 275$

II.3.8. Intervalle de confiance de la durée optimale

II.3.8.1. Variance

La variance d’une activité est donnée par la formule suivante :

𝜎𝑖² = ((𝑏-𝑎) /6) ²

𝜎1² = 0.25

𝜎2² = 1.36

𝜎3² = 0.09

𝜎4² =r 0.003

𝜎5 ² = 0.003
lvi

II.3.8.2. L’écart type du projet

L’écart type du projet est donné par la formule suivant :

𝜎 = √∑ 𝜎𝑖²

𝜎 = √0.25+1.36+0.09+0.003+0.003= 2

II.3.8.3. La durée moyenne du projet

La durée moyenne du projet est donnée par la formule suivante:

X=∑𝑋𝑖

Avec i appartenant au chemin critique


Nous aurons :

X= 6+9+2+6+6+= 29

II.3.8.4 l’intervalle de confiance

Cette intervalle est de la durée optimal d’un projet est


donné par cette formule : I= x-t3. 𝜎, x+t3. 𝜎
Avec t3=3 et à 99,9% de chance nous aurons

I= [29-2,29+2] = [27,31]

Donc la durée optimale du projet est comprise entre 27 et 31 jours à


99,9% de chance.
lvii

II.4. Conclusion partielle

Dans ce chapitre, vu son importance nous avons parcouru les


notions essentielles comme les méthodes, l’ordonnancement et autres.

Nous avons coché pour la méthode PERT à estimation triple vu sa


précision elle nous a permis de cadrer notre projet et nous pouvons
encore dire que notre projet n’a pas des retards donc critiquable.
lviii

CHAPITRE III : ÉTUDE DESCRIPTIVE DU SYSTÈME

III.1 Introduction

Dans ce chapitre nous allons faire l’étude de chaque partie de


notre système en commençant par les matériels jusqu’à la partie
fonctionnelle.

III.1.1. Étude de la partie matérielle

On va aborder dans cette partie les différents organes utilisés


dans notre système embarquée.

III.1.2. Les Micros Contrôleur

Figure III.1: structure internet du microcontrôleur

Un microcontrôleur est un composant électronique autonome doté


de tous les éléments nécessaires pour contrôler un équipement, un
procédé industriel, un robot ou tout autre système électronique.

Un microcontrôleur est un circuit intégré qui contient en


interne, c’est-à-dire dans un seul et même boîtier, l’équivalent de
la structure complète d’un micro-ordinateur. La figure montre quels
sont ces éléments dont voici les fonctions :
lix

 L’unité centrale ou CPU (Central Processing Unit) est le cœur


du microcontrôleur. C’est l’équivalent du microprocesseur avec
une puissance généralement moindre, la vocation n’étant pas la
même. C’est cette unité centrale qui exécute le programme et
pilote ainsi tous les autres éléments. Elle dispose
généralement de deux connexions avec l’extérieur, une pour son
horloge et une pour sa réinitialisation ou reset ;
 La mémoire morte ou ROM (Read Only Memory) est une mémoire dont
le contenu est conservé même en cas de coupure de courant. Elle
contient le programme que va exécuter l’unité centrale. C’est
donc elle en fait qui personnalise le circuit, puisque c’est
elle qui définit sa fonction ;

 La mémoire vive ou RAM (Random Access Memory) est une mémoire


dans laquelle l’unité centrale peut lire et écrire à tout
instant.
Elle est utilisée dans les phases de calcul du programme,
pour stocker des résultats intermédiaires, stocker les
variables d’une application ;

 Les entrées/sorties permettent au microcontrôleur de


communiquer avec le monde extérieur ; C’est donc là que vont
être connectés les claviers, afficheurs, poussoir, moteurs,
relais, etc. que va utiliser l’application.

Tous ces éléments sont reliés entre eux par ce que l’on
appelle un bus, c’est-à-dire un ensemble de liaisons transportant
des adresses, des données et des signaux de contrôle. La majorité
des grands fabricants de circuits intégrés dispose aujourd’hui de
plusieurs gammes de microcontrôleurs qui sont performantes (68HC11,
ST6, PIC, AVR, …).
lx

Les critères principaux que nous devons retenir pour choisir


un microcontrôleur sont les suivants :

 Le ou les circuits de la famille doivent être facilement


disponibles sur le marché ;
 Le prix des circuits doit être à la portée ;
 La programmation de la mémoire morte interne doit être facile ;

 Et enfin, les outils de développement doivent être aussi peu


coûteux que possible voir même gratuit.

A l’heure actuelle, les circuits qui répondent le mieux à


ces critères sont les microcontrôleurs de la famille PIC de
Microchip. Comble de chance, ces circuits connaissent actuellement
un succès que l’on peut, sans exagérer, qualifier de planétaire et
sont très largement utilisés dans l’industrie.

Le PIC (Programmable Interface Controller) est un circuit


fabriqué par la société américaine Arizona MICROCHIP Technology.
Les PIC sont des composants dits RISC (reduced Instructions set
computer) c’est-à-dire composant à jeu d’instructions réduit (à
l’opposé on trouve CISC :

 Complexe Instructions Set Computer). Cela lui confère


l’avantage de la rapidité dans l’exécution et l’exécution en un
seul cycle machine.
 Les familles des PIC sont divisées en 3 grandes familles :

o La famille base line : mot de 12 bits


o La famille Mid-range : mot de 14 bits
o La famille High-End : mot de 16bits
lxi

III.1.2.1 PIC16F887 (BOFANDO, 2018)

C’est un des pics les plus populaires. C’est un élément très


représentatif de la famille Mid-range puisqu’il est doté de la
plupart des modules qui équipent les circuits de cette famille.
Ses éléments essentiels sont :

 Mémoire programmable de type EEPROM flash de 8k mots de


14bits,
 Mémoire EEPROM de données d’une capacité de 256 octets,

 Ports d’entrée sortie 8 bits PORTA, PORTB, PORTC, PORTD


et un port 4 bits PORTE,
 2 comparateurs analogiques,

 Un convertisseur analogique numérique 10 bits à 1 canaux,

 USART, Port série universel, modes synchrone et


asynchrone,
 MSSP, port série synchrone supportant les protocoles I2C

et SPI, trois timers TIMER0, TIMER1, TIMER2,

 Générateur d’horloge jusqu’à 20MHz,


 Tension de fonctionnement de 2 à 5v

III.1.2.1.a. BROCHAGE
lxii

Image III.1: Brochage du PIC16F887.

III.1.2.1.b. REGISTRES

Le Pic16F887 compte beaucoup de registres, nous allons dans ce


point essayer de passer en revu quelques-uns d’entre eux.

b.1. REGISTRE ANSEL (BOFANDO, 2018)

C’est un registre qui permet de configurer les broches en


analogique ou en numérique. Ses différentes broches sont : ANS0,
ANS1, ANS2, ANS3, ANS4, ANS5, ANS6, ANS7.

1. ANSi = 0→L’entrée correspondante est configurée en


Numérique
2. ANSi=1→L’entrée correspondante est configurée en
Analogique

III.1.2.1.b.2. REGISTRE ANSELH


lxiii

C’est aussi un registre qui permet de configurer les broches


en analogique ou numérique comme le registre précédant. Ses
différentes broches sont : ANS8, ANS9, ANS10, ANS11, ANS12, ANS13.

 ANSI=0 :
L’entrée correspondant est configurée en Numérique
 ANSI=1 :

L’entrée correspondant est configurée en Analogique

III.1.2.1.b.3. REGISTRES TRISx

Ce sont les registres de directions suivantes : TRISA, TRISB,


TRISC, TRISD et TRISE. Ils permettent de configurer les broches des
ports soit en entrée soit en sortie.

 TRISXi=0→La broche correspondante est configurée en Sortie.

 TRISXi=1→La broche correspondante est configurée en Entrée.

III.1.2.1.b.4. REGISTRES CM1CON0 ET CM2CON0

Ce sont des registres qui gèrent les deux comparateurs de


tension du PIC16F887. Pour désactiver les deux comparateurs, il
suffit d’éteindre les 7ieme Bits de ces deux registres qui se
nomment respectivement C1ON et C2ON.

CxON CxOUT CxOE CxPOL - CxR CxCH1 CxCH0

 CxOUT : sortie du comparateur sur RA4∕C1OUT (si x=1) ou sur


RA5∕C2OUT (si x=2)

 C1POL : permet d’inverser CxOUT

 CxR : permet de choisir la tension de référence sur l’entrée +

1. 0 : la tension CxVIN + vient de l’extérieur. Elle doit être


appliquée à l’entrée RA3∕C1IN + (si x=1) ou à l’entrée RA2∕C2IN +
(si x=2)

2. 1 : la tension CxVIN+ vient du module interne.


lxiv

 CxCH<1 :0> : permet de choisir la tension d’entrée C1VIN-

1. 00 : CxVIN- vient de l’entrée RA0∕C12IN0


2. 01 : CxVIN- vient de l’entrée RA1∕C12IN1
3. 10 ! CxVIN- vient de l’entrée RB3∕C12IN2
4. 11 : CxVIN- vient de l’entrée RB1∕C12IN3

III.1.2.1.b.5. REGISTRES PORTx

Ce sont des registres qui gèrent les ports d’entrée sortie, le


PIC16F887 en compte 5 soient : PORTA, PORTB, PORTC, PORTC, PORTE.

III.1.2.1.b.5.1. PORTA

Le PORTA est un port bidirectionnel de 8bits RA0 à RA7 RA6 et


RA7 peuvent être des E∕S numérique ou peuvent être
affectées au générateur d’horloge : OSC1 et OSC2.

 RA4 est un E∕S numérique. En sortie, RA4 a une structure drain


ouvert. Pour l’utiliser comme sortie, il faut ajouter une résistance
de pull-up externe.RA0, RA1, RA2, RA3 et RA5 peuvent être utilisées
soit comme E∕S numériques soit comme entrées analogiques. Quand
elles sont configurées en entrées, le choix entre entrée analogique
ou numérique se fait à l’aide des bits ANS0, ANS1, ANS2, ANS3 et
ANS4 du registre ANSEL.

III.1.2.1.b.5.2. PORTB

Le PORTB est un port bidirectionnel de 8 bits RBO à RB7.

 RB6 et RB7 fonctionnent toujours en E∕S numériques.

 RB0, RB1, RB2, RB3, RB4 et RB5 peuvent être utilisées soit
comme E∕S numériques soit comme entrées analogiques. Quand elles
sont configurées en entrées, le choix entre entrée analogique se
fait à l’aide des bits ANS8, ANS9, ANS10, ANS11, ANS12 et ANS13 du
registre ANSELH.

III.1.2.1.b.5.3. PORTC

Le PORTC est un port bidirectionnel de 8 bits RCO à RC7. Ce


lxv

port fonctionne toujours en numérique.

III.1.2.1.b.5.4.PORTD

Le PORTE est un port bidirectionnel de 8 bits RDO à RD7. Ce


port fonctionne toujours en numérique.

III.1.2.1.b.5.5.PORTE

Le PORTE est un port bidirectionnel de 4 bits REO à RE3

 RE3 peut fonctionner soit comme entrée numérique soit comme


entrée de Reset MCLR. Le choix se fait à l’aide du Switch MCLR du
registre de configuration CONFIG1 ;

 REO,RE1, et RE2 peuvent être utilisées soit comme E∕S


analogiques. Le contrôle se fait à l’aide des bits ANS6 et ANS7 du
registre ANSEL.

III.1.2.1.C. Situation au démarrage

Au démarrage :

1. Tous les ports sont configurés en entrée


2. Les entrées analogiques numériques sont configurées en analogique

III.1.2.1.C.1. Cadencement du pic 16f887

Le pic 16F887 peut fonctionner en 4 modes d’oscillateur.

 LP : Low Power Crystal : quartz à faible puissance ;

 XT : Crystal/Resonator : quartz/résonateur en céramique ;

 HS: High Speed Crystal/resonator: quartz à haute


fréquence/résonateur en céramique HF ;

 RC : Circuit RC (oscillateur externe). Dans le cas du 16F877,


on peut utiliser un quartz allant jusqu’à 20Mhz relié avec deux
condensateurs de découplage, du fait de la fréquence importante du
quartz utilisé. Quel que soit l'oscillateur utilisé, l'horloge
lxvi

système dite aussi horloge instruction est obtenu en divisant la


fréquence par 4.

III.1.2.1.d. Diagramme bloc du PIC16f887

Figure III.2: Bloc de diagramme du PIC16F887

III.1.2.2 Élément résistant (BOFANDO, 2018)


lxvii

III.1.2.2.1 Définition

L’élément résistant appelé aussi résistance, est un Composant


électronique qui a pour rôle de créer une opposition au passage du
courant électrique.

Figure III.3: Symboles de la résistance

III.1.2.2.1.a. Caractéristiques

Trois critères essentiels sont à considérer dans le choix


D’une résistance :

 Sa valeur ohmique ;

 Sa puissance ;

 Sa tolérance.

III.1.2.2.1.b. Type des résistances

On distingue deux types des résistances : les résistances


Fixes et les résistances variables.
 Résistances fixes : ce sont des résistances dont la valeur en
ohm est fixe. Elles sont divisées en deux grands groupes : les
résistances de faible puissance (valeur marquée en code) et les
résistances de puissance (valeur marquée en clair) ;
 Résistances variables : ce sont des résistances dont la valeur
ohmique peut varier soit en fonction d’un réglage opéré par
l’utilisateur, soit en fonction de l’environnement
(température, éclairage…).

III.1.2.2.1.c. Série E12 pour les resistance


lxviii

Lorsqu’on cherche une résistance au marché, on ne louve pas de


n’importe quelle valeur. Les valeurs que l’on peut trouver sont
celles de la série standard appelée E12. Cette série est constituée
de 12 valeurs comprise entre 10 et 100.

Ces douze valeurs sont :10,12,15,18,22,27,33,39,47,56,68,82.

III.1.2.2.1.c.1. Marquage des résistances

Les résistances de faible puissance sont marquées en code.


Elles sont codées suivant quatre anneaux de couleurs différentes
comme l’indique la figure ci-dessous :

Figure III.4: Marquage d’une résistance

III.1.2.2.1.c.2. Code des couleurs


lxix

Figure III.5: Code des couleurs des résistances

Pour lire la valeur d’une résistance à l’aide du code des


couleurs, il faut commencer de gauche vers la droite, les deux premiers
anneaux représentent respectivement le premier ainsi que le deuxième
chiffre significatif, le troisième anneau est le multiplicateur en
puissance de dix et le quatrième est la tolérance. Celle-ci sera presque
toujours de 5%, donc un anneau doré (les résistances à 10%,
identifiables par un anneau argent sont devenues obsolètes). Lorsque le
troisième anneau est or ou blanc, le multiplicateur vaut -1, lorsqu’il
est argent ou gris, le multiplicateur vaut -2.
Il est à noter qu’à partir de la valeur 1000, on parle en
kilo-ohms, et à partir de 1000000, en méga-ohms.

III.1.2.3 DIODE (BOFANDO, 2018)


III.1.2.3.1 Définition

Une diode est un composant électronique à semi-conducteur Qui


a pour rôle de laisser passer le courant dans un sens (sens dit
passant) et pas dans l’autre (sens dit bloquer).

Figure III.6: Symbole de la diode


lxx

III.1.2.3.1.a. Caractéristiques

Une diode est caractérisée par sa tension de seuil et sa


Tension de claquage. La tension de seuil d’une diode est la tension
directe (positive) à partir de laquelle cette diode devient passante.
Cette tension est d’environ 0.7 V. Cette valeur est la barrière de
potentiel à franchir pour que la diode laisse circuler un courant.
Tant que cette valeur de tension dans le sens direct n’est pas
atteinte, aucun courant (ou presque) ne traverse la diode.

Si la diode est soumise à une tension inverse, donc négative, elle


reste bloquée (aucun courant ne la traverse) jusqu’à une certaine
valeur maximale. Cette valeur maximale est par exemple de 1000 V pour
une diode référencée 1N4007. Si cette valeur est atteinte, la diode
parcourue par un courant très important, est immédiatement détruite :
on dit qu’elle claque. Cette tension inverse maximale est appelée
tension de claquage.

III.1.2.4 Régulateur

Un régulateur de tension est un élément qui permet de


Stabiliser une tension à une valeur fixe, et qui est nécessaire pour
les montages électroniques qui ont besoin d'une tension qui ne
fluctue pas, ne serait-ce que peu.
Un régulateur de tension peut être composé d'un ensemble de
composants classiques (résistances, diodes Zener et transistor par
exemple), mais il peut aussi être de type "intégré" et contenir tout
ce qu'il faut dans un seul et même boîtier, pour faciliter son
usage. C'est ce genre de régulateur intégré dont il est question
dans ce travail.

Figure III.7: Symbole du régulateur


lxxi

III.1.2.5 Condensateur

Le Condensateur est un composant électronique élémentaire,


constitué de deux armatures conductrices (appelées « électrodes
») en influence totale et séparées par un isolant polarisable (ou
« diélectrique »). Sa propriété principale est de pouvoir stocker
des charges électriques opposées sur ses armatures. La valeur
absolue de ces charges est proportionnelle à la valeur absolue de
la tension qui lui est appliquée.

Le condensateur est caractérisé par le coefficient de


proportionnalité entre charge et tension appelé capacité
électrique et exprimée en farads (F).

Stabiliser une alimentation électrique (il se décharge lors


des chutes de tension et se charge lors des pics de tension),
Traiter des signaux périodiques (filtrage…) et Séparer le courant
alternatif du courant continu sont là quelques rôles essentiels
d’un condensateur.

Figure III.8: Symbole du condensateur

III.1.2.6 Transistor bipolaire

III.1.2.6.1 Définition

Un transistor bipolaire est un dispositif électronique à base


de semi-conducteur constitué de deux joncions P-N très proches l’une
de l’autre. Une diode ordinaire étant elle-même constituée d’une
unique jonction P-N, on pourrait dire qu’un transistor contient deux
diodes.
lxxii

Un transistor bipolaire est formé de trois zones : N-P-N ou P-


N-P selon son type. Chaque zone est reliée à une électrode :
base(B), émetteur(E) et collecteur(C). (BOFANDO, 2018)

Figure III.9: Constitution des zones du transistor bipolaire

a. Types et symboles

On distingue deux types de transistor bipolaire : le type


NPN et le type PNP. Ces deux types sont complémentaires, c'est-
à-dire que le sens des courants et tensions pour le PNP est le
complément de ceux du NPN. Les transistors NPN ayant en général
des caractéristiques meilleures que les PNP, ils sont les plus
utilisés.

Figure III.10: Symboles du transistor

b. Fonctionnement

D’une manière générale, on peut distinguer deux grands types de


fonctionnement des transistors :
Fonctionnement en amplification : le transistor est utilisé
lorsqu’il s’agit d’amplifier des signaux provenant d’une source
(microphone, antenne…) ;
Fonctionnement en commutation : le transistor commute entre deux
états, l’état bloqué et l’état saturé.
lxxiii

c. Caractéristiques

Les constructeurs des transistors donnent en général des Valeurs


à ne pas dépasser afin d’éviter la détérioration du composant. Parmi
ces valeurs nous pouvons citer :
Vce : Tension collecteur-émetteur ;
Vbe : Tension base-émetteur ;
Ic: courant de collecteur
Ib : Courant de la base ;
Etc.

III.1.2.7 Électrovanne

Une électrovanne ou électrovalve est une vanne commandée


électriquement. Grâce à cet organe, il est possible d'agir sur le
débit d'un fluide dans un circuit par un signal électrique .
Il existe deux types d'électrovannes :
 Tout ou rien : qui sont dites tout ou rien parce qu’ils ont
deux états possibles
 Entièrement ouvertes
 Entièrement fermées
L'état change suivant qu'elles soient alimentées électriquement ou
non.
Il en existe aussi deux sortes d'électrovannes tout ou rien :
 Les électrovannes dites normalement ouvertes, qui sont
entièrement ouvertes en l'absence d'alimentation électrique
(absence de tension) et qui se ferment lorsqu'elles sont
alimentées électriquement.
 Les électrovannes dites normalement fermées, qui sont
entièrement fermées en l'absence d'alimentation électrique et
qui s'ouvrent lorsqu'elles sont alimentées.
 On note également l'existence des électrovannes bistables. Ce
sont également des électrovannes tout ou rien, ouvertes ou
fermées par une alimentation électrique. Leur état est maintenu
mécaniquement, ce qui permet une alimentation très faible.
 De plus, les électrovannes peuvent servir à isoler un circuit.
lxxiv

 L’électrovanne proportionnelle : Les électrovannes


proportionnelles peuvent être ouvertes avec plus ou moins
d'amplitude. Selon les types de vannes l'ouverture peut être
proportionnelle au courant électrique de l'alimentation, ou à la
tension électrique de l'alimentation. Ce type d'électrovanne est
généralement piloté par l'intermédiaire d'une commande.

Les électrovannes les plus courantes sont celles utilisées dans


les lave-linge et lave-vaisselle pour le remplissage de la cuve.
Elles sont aussi beaucoup utilisées sur les chambres froides et
autres systèmes de climatisation.
lxxv

Figure III.11: Principe de fonctionnement de l’électrovanne.

III.1.2.8 Présentation du module GSM Sim900

III.1.2.8.1 Description sur GSM Sim 900

Le SIM900 est un module sans fil fiable et ultra -compact.


C'est un module quadri -bande GSM/GPRS complet de type SMT et conçu
avec un processeur à puce unique très puissant intégrant un cour
ARM926EJ -S, ce qui vous permet de bénéficier de solutions de
petites dimensions et économiques.

Doté d'une interface standard de l'industrie, le SIM900 offre


des performances GSM/GPRS à 850/ 900/ 1 800/ 1 900 MHz pour la voix,
les SMS, le fax et les données dans un petit facteur de forme et
avec une faible consommation d'énergie. Le module Sim 900 nous
fournit un moyen de communiquer en utilisant le réseau de téléphonie
cellulaire GSM à travers une liaison série, ainsi il nous permet
d'atteindre les SMS, MMS, GPRS et audio via UART
lxxvi

Image III.2: Module GSM GPRS SIM900

III.1.8.2.2 Caractéristiques

- Quadri-Bande 850 / 900/ 1800 / 1900 MHz (devrait


fonctionner avec tous les réseaux GSM de tous les
pays) - GPRS multi-slot class 10/8
- GPRS mobile station class B
- Conform à GSM phase 2/2+
Class 4 (2 W @ 850 / 900 MHz)
Class 1 (1 W @ 1800 / 1900MHz)
-Contrôle à l'aide de commandes AT (Commandes
standard : GSM 07.07 &07.05)
-Messages SMS (Il est ainsi possible d'envoyer de
petites quantités de données via le réseau mobile
(ASCII ou données hexadécimales)).
-Embarque une stack TCP/UDP (Permettant d'envoyer des
données sur un serveur web.
Support RTC).
-Port série sélectionnable.
-Prise pour micro et casque.
-Basse consommation (1.5mA(en mode veille))
-Supporte la norme de température industrielle (-40°C
à +85 °C).
-Tension d'entrée 5V-12V DC

III.1.2.9 Module de commande et d’affichage :

III.1.2.9.1 Afficheur LCD 16x2 :

Les afficheurs à cristaux liquides, autrement appelés afficheurs


LCD (LiquidCrystal Display),sont des modules compacts intelligents et
nécessitent peu de composants externes pour un bon fonctionnement. Ils
consomment relativement peu (de 1 à 5 mA), s'utilisent avec beaucoup
de facilité. Ils sont très utilisés dans les montages à
microcontrôleur.
lxxvii

Ils peuvent aussi être utilisés lors de la phase de développement


d'un programme, car on peut facilement y afficher les valeurs de
différentes variables.

Capture III.1: Branchement afficheur LCD 16x2

III.2.1. Plateforme de programmation Micropascal


lxxviii

a. Présentation

Conçu par la société Mikroelektronika™, le compilateur PASCAL


nouvelle génération "MikroPASCAL" pour microcontrôleurs PIC
bénéficie d'une prise en main très intuitive et d'une ergonomie sans
faille.

Ces très nombreux outils intégrés (mode simulateur, terminal de


communication, gestionnaire 7 segments, analyseur statistique,
correcteur d'erreur, explorateur de code...) associé à sa capacité à
pouvoir gérer la plupart des périphériques rencontrés dans
l'industrie (Bus I2C™, 1Wire™, SPI™, RS485, Bus CAN™, cartes compact
Flash, signaux PWM, afficheurs LCD et 7 segments...) on fait un
outil de développement.

b. Description

Capture III.2: Aperçu de l’interface Mikropascal.

Le compilateur Mikropascal nous permet de développer rapidement


des applications complexes :
lxxix

l Écrivez votre code source de Pascal en utilisant le rédacteur


intégré de code (les aides de code et de paramètre, Accentuer de
syntaxe, correction automatique, etc.…)
l Employez les bibliothèques Mikropascal incluses pour accélérer
nettement le développement : acquisition de données, mémoire,
affichages, conversions.
l Surveillez votre structure de programme, variables, et
fonctions dans l'explorateur de code.
l Inspectez l'écoulement de programme et corrigez la logique
exécutable avec le programme de mise au point intégré.
l Obtenez les rapports et les graphiques détaillés : Carte de RAM
et de ROM, codez les statistiques, impression d'assemblage, etc.

1. Barres d’outils

Capture III.3: Barres d’outils.

2. Manipulation
lxxx

Sur votre PC lancer le compilateur mikropascal.

 Première étape Création d’un nouveau projet :

Project --New Projet

 Deuxième étape configuration du projet :

Capture III.4: Aperçu de la configuration du projet .

3. La programmation en langage évolué :

Que ce soit par la méthode graphique ou en langage évolué,


l’écriture du programme ainsi que sa mise au point doivent suivre le
diagramme suivant : Il faut traduire le cahier des charges en une
suite ordonnée d’actions que doit réaliser le processus de commande,
cette suite d’opérations sera décomposée en actions élémentaires ou
instructions c’est l’Algorithme.

Par la suite il suffit de transformer cet algorithme en un


langage évolué tel que le langage PASCAL ou le langage C. Dans la
suite de ce module on s’intéressera au langage MIKROPASCAL
lxxxi

c. Structure d’un programme

Un programme est un texte que le compilateur va traduire en


fichier hexadécimal. Alors il doit avoir une structure particulière.
Le texte d'un programme contient au moins trois parties.

 L'entête

Ne contient qu'une ligne ; commence par le mot réservé «


Program » Et donne un nom au programme.

 Les déclarations

Elles permettent de définir les éléments utilisés dans le


programme. En effet on devra déclarer les variables utilisées pour
permettre au compilateur d'effectuer les réservations de mémoire
ainsi que les sous-programmes (Procédures et fonctions).

 Le corps du programme

Commence par le mot réservé « Begin » Et se termine par le mot


réservé "End" suivi d'un point final. Ce qui suit ce "End" n'est pas
pris en compte par le compilateur. Entre "Begin" et "End" se
trouvent les instructions à effectuer par le programme.

Capture III.5: Aperçu de la syntaxe de la programmation.

d. Les Règles de bases :


lxxxii

l Toutes instructions ou actions se terminent par un point-


virgule ; * Une ligne de commentaires doit commencer par « {"
et se terminer par "}"ou commence par "//".
l Un bloc d’instructions commence par "Begin"et se termine par
"End
;"

e. Les types de variables utilisées en Mikropascal :

Capture III.2: Types de variables utilisées en Mikropascal.

f. Configuration des registres en entrées/ sorties

Pour configurer les broches d'un port en sorties ou en entrées


on utilise la commande Tris Exemple Trisa=5

1. Trisa= (00101) 2donne les broches RA0 et RA2 sont des


entrées et les autres broches sont en sorties Trisb=0
2. Trisb(00000000) toutes les broches du port B sont en sorties
Trisb=240
3. Trisb=(F0)
4. Trisb= (11110000) les broches RB0,RB1,RB2 et RB3 sont en
sorties et les autres broches ( RB4,RB5,RB6 et RB7) en
entrées Les zéros configurent les broches en sorties et les
uns les configurent en entrée.
lxxxiii

III.2.2. Proteus ISIS

Les premiers tests de simulation du système domotique sont


faits sur Proteus ISIS, le logiciel fameux des simulations des
montages électroniques. En plus de sa capacité de simuler des
montages à base de microcontrôleur, il permet davantage de donner
une idée sur la réalisation matérielle et la conception des
circuits imprimés.

III.2.3 Algorithme

Un algorithme est une suite finie et non ambiguë d'opérations ou


d'instructions permettant de résoudre une classe de problèmes
(lebigdata, 2022) pouvoir gérer la plupart des périphériques
rencontrés dans l'industrie (Bus I2C, 1Wire, SPI, RS485, Bus CAN,
cartes compact Flash, signaux PWM, afficheurs LCD et 7 segments...)
on font un outil de développement incontournable et puissant ;
riche de dispositif pour des microcontrôleurs de la famille PIC. Il
est conçu pour fournir les solutions les plus faciles que possibles
pour des applications se développant pour les systèmes à
microcontrôleur. Il contient un large ensemble de bibliothèques de
matériel, de composant et la documentation complète.

III.2.4 Ordinogramme

On appelle ordinogramme, la représentation graphique d’un


algorithme. C’est-à-dire une suite de graphiques représentant chaque
instruction.
lxxxiv

Figure III.12: Organigramme du programme principal


lxxxv

Figure III.13: Organigramme du programme d’interruptions


lxxxvi

III.3 Conclusion partielle

C’est la fin de ce chapitre d’où nous avons décrit tous les


matériels et plateformes logiciel que nous avons utilisé pour la
réalisation de notre système.
lxxxvii

CHAPITRE IV : SIMULATION DU PROJET.

IV .0 : Introduction

Dans ce chapitre nous allons passer à la simulation de notre compteur


hydraulique.

Nous aurons l’aspect théorique qui va parler d’analyse de


besoin ainsi que le choix de la plateforme, puis l’aspect pratique
ce chapitre fera l’objet de dimensionnement des composants,
simulation des schémas et L’algorithme du programme.

IV.1. Évaluation du besoin

Nous allons évaluer le besoin par rapport à une maison disons


didactique car le besoin réel va dépendre de la taille, la
complexité et les exigences de l’habitat sur le terrain. Pour la
réalisation de notre système nous aurons besoin des Éléments ci-
après :

N° Désignation Marque Caractéristique Qté

1 Microcontrôleur PIC16F877A Ref CHAP III 1

2 Module GSM SIM900 Ref CHAP III 1

3 Variateur - 10k, 10W 2

4 Capaciteur - 1nF, 2

5 LCD LM041L 5V , 1000mA 1

6 Oscillateur CRYSTAL 8Mhz 1

Tableau IV.1: Analyse des Besoins


lxxxviii

IV.2 Schéma de circuit

Capture IV.1: schéma de circuit.

Capture IV.2: schéma de circuit


lxxxix

Capture IV.3: schéma de circuit

IV.3. Dimensionnement des composants

Ici nous allons démontrer quelques formules qui nous a permis de


trouver les valeurs de différents composants utilisés. Étant donné
que le système comprend plusieurs organes, entre autre : la
protection, l’oscillation, etc.

IV.4.1. Oscillateur

a. Le quartz

Figure IV.1: quartz

C'est le symbole de Crystal Oscillator. Le cristal de quartz


xc

est constitué d'un mince morceau de plaquette de quartz étroitement


ajusté et contrôlé entre deux surfaces métallisées parallèles. Les
surfaces métallisées sont faites pour les connexions électriques, et
la taille et la densité physiques du quartz ainsi que l'épaisseur
sont étroitement contrôlées car les changements de forme et de
taille ont un effet direct sur la fréquence d'oscillation. Une fois
façonnée et contrôlée, la fréquence produite est fixe, la fréquence
fondamentale ne peut pas être changée en d'autres fréquences. Cette
fréquence spécifique pour le cristal spécifique est appelée
fréquence caractéristique.

Figure IV.2: schéma équivalent du quartz

Dans l'image supérieure, le circuit de gauche représente le


circuit équivalent du cristal de quartz, illustré sur le côté droit.
Comme on peut le voir, 4 composants passifs sont utilisés, deux
condensateurs C1 et C2 et un inducteur L1, résistance R1. C1, L1, R1
est connecté en série et le C2 connecté en parallèle.

Le circuit série qui se compose d'un condensateur, d'une résistance et


d'un inducteur, symbolise le comportement contrôlé et les opérations
stables du cristal et du condensateur parallèle, C2 représente la capacité
parallèle du circuit ou du cristal équivalent.

A la fréquence de fonctionnement, le C1 résonne avec


l'inductance L1. Cette fréquence de fonctionnement est appelée
fréquence série des cristaux (fs). En raison de cette fréquence
série, un point de fréquence secondaire reconnu avec la résonance
parallèle.

L1 et C1 résonnent également avec le condensateur parallèle


C2. Le condensateur parallèle C2 décrit souvent comme le nom de C0
et est appelé capacité de shunt d'un cristal de quartz.
xci

IV.4.1.1 Impédance de sortie du cristal par rapport à la fréquence


Si nous appliquons la formule de réactance à travers deux
condensateurs, alors, pour le condensateur série C1, la réactance
capacitive sera:

-X C1 = 1 / 2πfC 1

Où, F = fréquence et C1 = valeur de la capacité série.


La même formule s'applique également pour le condensateur parallèle,
la réactance capacitive du condensateur parallèle sera:

-X C2 = 1 / 2πfC 2

Si nous voyons le graphique de relation entre l’impédance de


sortie et la fréquence, nous verrons les changements d'impédance.

IV.4.2. Écran LCD

Il a un IC hd44780 intégré qui peut stocker la commande et les


données qui lui sont transmises. Le module LCD a environ 16 broches.

8 d'entre eux sont des broches de données, 4 d'entre elles sont


des broches d'alimentation pour la LED de rétro éclairage et
l'ensemble du module LCD, 3 pour contrôler le fonctionnement et 1
pour le réglage du contraste. Le tutoriel est basé sur la
bibliothèque créée par Dennis Eichmann.

Il est très facile d'utiliser une bibliothèque avec des


fonctions séparées pour imprimer différents types de données. Il a
également des dispositions pour afficher les données sous
différentes formes avec des zéros en début, en blanc et supprimés.
xcii

C'est une bibliothèque assez vaste et complète et est configurable


pour les différentes connexions. Ici, le fichier d'en-tête est
modifié pour accueillir une configuration parallèle à 8 broches pour
la communication de données.

IV.4.2.1.Écran LCD alphanumérique 16x4

Un écran 16x4 génériques a un circuit intégré hd44780 intégré


(entouré en rouge ci-dessous), qui peut stocker la commande et les
données qui lui sont transmises. Le module LCD a environ 16 broches.
8 d'entre eux sont des broches de données, 4 d'entre elles sont des
broches d'alimentation pour la LED de rétroéclairage et l'ensemble
du module LCD, 3 pour contrôler le fonctionnement et 1 pour le
réglage du contraste.

Figure 6: circuit intégré hd44780 intégré

Ce module LCD est illustré ci-dessus polyvalent et utilise un


minimum de broches par rapport aux autres LCD segmentés. Si vous
êtes curieux de savoir comment tout cela fonctionne exactement, vous
devriez vérifier le fonctionnement de l'écran LCD 16x4 où nous avons
déjà discuté en détail du fonctionnement de l'écran LCD.
xciii

Figure IV.4: LCD LM041L

 RS Pin: RS = 1 activera le registre de données dans l'écran


LCD, qui est utilisé pour écrire les valeurs dans le
registre de données dans l'écran LCD. RS = 0 activera le
registre d'instructions de l'écran LCD.

 Activer la broche: déclenchement par front négatif; lorsque


la broche passe de l'état HIGH à l'état LOW, l'écran LCD
est invité à écrire sur les broches de données.
Déclenchement par front positif; lorsque la broche passe de
l'état BAS à l'état HAUT, l'écran LCD est invité à lire à
partir des broches de données.

 Broche R / W: R / W = 0 écrira dans le registre


d'instructions ou le registre de données selon la sélection
de la broche RS. R / W = 1 lira à partir de l'IR ou du DR
selon la sélection de la broche RS.

 Fonctionnement RS R / W 0 0 Écriture IR en tant


qu'opération interne (affichage effacé, etc.) 0 1 Lecture
de l'indicateur occupé (DB7) et du compteur d'adresses (DB0
à DB6) 1 0 DR écriture en tant qu'opération interne (DR
xciv

vers DDRAM ou CGRAM) 1 1 DR lu comme une opération interne


(DDRAM ou CGRAM vers DR)

 Broches D0-D7: Les données sont transférées vers et depuis


les registres de commande et de données via ces broches.

 Broches d'alimentation: Les broches V ss, V dd sont


utilisées pour alimenter le module LCD. Les broches A, K
alimenteront le rétroéclairage LED. Les broches V 0 sont
utilisées pour contrôler le contraste.

IV.3 La Résistance de protection

Utilisées pour limiter un courant d’environs 3mA à l’anode de


la broche VDD de l’écrant, ces résistances sont identiques et leur
valeur est obtenue par la formule suivante :

𝐕𝐬 − 𝐕𝐟
𝐑=
𝐈𝐟

Avec :
Vcc : la tension d’alimentation, VCC=12V, Vf
: La tension de fonctionnement de l’écrant,
Vf=5V,
If : Le courant traversant l’écrant , If=10mA.
Alors,

R=12-5/.003= 2333Ω ou 2kΩ


xcv

IV.4. Conclusion partielle

C’est la fin de ce chapitre dernier, qui nous a permis de


démontrer les phases de la conception de notre système ; Nous avons
toujours dans ce chapitre dimensionné les composants de notre
système.

CONCLUSION GÉNÉRALE
xcvi

Nous voici au terme de notre projet après avoir passé étapes par
étapes qui consistent à faire une étude de possibilité pour concevoir
un compteur hydraulique consultable à distance via un module GSM avec
le pic16F877A. Ce travail nous a montré qu’à partir des connaissances
théoriques apprises, nous pouvons résoudre les multiples problèmes de
la gestion hydraulique.

Pour arriver au niveau où nous sommes, nous avons d’abord


commencé par faire l’étude de plusieurs points entre autres, la
compréhension des quelques généralités.

Au deuxième chapitre nous avons fait l’évaluation de notre


projet en terme de duré et du coût ; Dans le troisième chapitre il
nous était obligatoirement demandé de faire l’étude préalable pour
parler sur les systèmes des comptages existant, nous avons critiqué
l’existant, ensuite nous avons fait la proposition de la solution,
ayant ces données nous avons maintenant eu la possibilité de faire le
choix de la solution.

Dans le quatrième chapitre il nous était utile de parler sur


l’étude détaillée du système où nous trouvons son aspect physique et
fonctionnelle, voir comment et à l’aide de quoi notre projet peut
fonctionner celui-ci nous a permis de démontrer les phases de la
conception de notre système ; Nous avons toujours dans ce chapitre
dimensionné les composants de notre projet. Nous ne prétendons pas
avoir exploité tous les contenus du problème, nous restons en attente
de vos remarques, vos suggestions ainsi que vos apports positifs pour
l’amélioration de ce dit projet.
xcvii

ANNEXES

A. Module GSM
xcviii

BIBLIOGRAPHIE

1. Ouvrages

Abdelmajid, O. (2012. Étude détaillée du PIC 16F887. Paris :


Ellipses.

Alonso, E. (2012). Système embarqués. Toulouse :


Dunod.
Abdelmajid, O. (2015). Microcontrôleur pour le débutant.
Pays-bas : Ellipses.
David, R. (1982). Commande, contrôle et mesure via l’internet.
Paris : Dunod.
Michel, M. (2014). Delphi. Paris : Eni.

2. Notes de cours

BOFANDO, S. (2020). AutomatisationII. kinshasa: isipa.Inédit


BOFANDO, S. (2018). Technologie des composants. Kinshasa :
isipa.inedit.

KALONDA, R. (2012). Méthodes des recherches scientifique. kinshasa,


kinshasa: isipa.Inédit
xcix

3. Mémoires

NJANGU, C. (2020). Étude d’un système automatique de


distribution d’eau contrôlé à travers une interface :
ISIPA, inédit.
David, B. (2019). Étude de la conception d’un compteur
d’énergie électrique consultable à distance et accès
local via un module GSM : ISIPA, inédit.

4. Webographie

https://fr.wikipedia.org/wiki/Automatique, consulté
Le 09/03/2022, à 15h43’.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Automatisation, consulté
Le 09/03/2022, à 15h52’.
https://fr.wikipedia.org/wiki/nteligence_d$un_systeme,
Consulté le 09/03/2022, à 15h58’.
https://fr.wikipedia.org/wiki/systemeAutonnome, consulté
Le 09/03/2022, à 16h25’.
https://fr.wikipedia.org/wiki/systemeAutomatisee, consulté
Le 09 mars 2022, à 16h35’.
https://fr.wikipedia.org/wiki/systemeEnbarquée, consulté
Le 09/03/2022, à 17h35’
c

Table des matières


INTRODUCTION GÉNÉRALE.....................................................................................................................1

0. Énoncé du sujet.............................................................................................................................1

1. Problématique...............................................................................................................................2

2. Revue de la littérature...................................................................................................................3

3. Hypothèse du travail.....................................................................................................................3

4. Objectif du travail..........................................................................................................................4

5. Délimitation du travail...................................................................................................................4

6. Méthodologie................................................................................................................................4

7. Subdivision du travail.....................................................................................................................5

CHAPITRE I : CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES ET THÉORIQUES................................................................6

Section I : GÉNÉRALITÉ SUR L’AUTOMATISATION ET LES SYSTÈMES EMBARQUÉES..........................6

I.0 Introduction..................................................................................................................................6

I.1 Définition des concepts................................................................................................................6

I.1.1 Automatique..............................................................................................................................6

I.1.2 Automate...................................................................................................................................7

I.1.3 Automatisation..........................................................................................................................7

I.1.4 Système.....................................................................................................................................7

I.1.5 Intelligence d’un système..........................................................................................................7

I.1.6 Système Autonome...................................................................................................................8

I.1.7 Système automatisé..................................................................................................................8

I.1.7.1 constitution d’un système automatisé...................................................................................8

I.1.7.1.1 Partie de commande...........................................................................................................8

I.1.7.1.2 Partie opérative...................................................................................................................9

I.1.7.1.3 Poste de contrôle.................................................................................................................9

I.1.7.1.4 Interface homme machine (IHM)......................................................................................10

I.1.7.2 Traitement des informations................................................................................................10

I.1.7.2.1 Actionneurs.......................................................................................................................10

I.1.7.2.2 Capteurs............................................................................................................................11

I.1.7.3 L’interface.............................................................................................................................12
ci

I.1.7.4 La commande d’un système automatisé et ses différents modes........................................12

I.2 Les systèmes embarqués............................................................................................................13

I.2.1 Définition du système embarqué............................................................................................13

I.2.2 Caractéristiques principales d'un système embarqué.............................................................14

I.2.3 Les grands secteurs des systèmes embarqués.........................................................................14

I.2.4 Caractéristiques principales d'un système embarqué typique................................................15

........................................................................................................................................................15

I.2.5 Caractéristiques Spécifiques....................................................................................................16

I.2.7 Fiabilité....................................................................................................................................17

I.2.8 Classification Des Systèmes Embarqués..................................................................................19

I.2.8.1 Système Transformationnel..................................................................................................19

I.2.8.2 Système Interactif.................................................................................................................19

I.2.8.3 Système Réactif ou Temps Réel............................................................................................19

I.3 : Global System for Mobile Communications (GSM)...................................................................20

I.3.1 : Bandes des fréquence GSM...................................................................................................22

I.3.1.1 GSM 850 et 1900 .................................................................................................................22

I.3.1.2 GSM 900 et 1800..................................................................................................................22

I.3.1.3 GSM 450...............................................................................................................................22

I.3.2 Architecture réseau et protocole.............................................................................................23

I.3.3 Communication entre le téléphone mobile et la station de base............................................24

I.3.4 Caractéristiques de l'interface radio........................................................................................24

I.3.5 les services du GSM.................................................................................................................25

I.3.6 Couverture GSM dans en Afrique (RDC)..................................................................................25

Section II. ÉTUDE PRÉALABLE..........................................................................................................26

II.1. Présentation de l’existant.........................................................................................................27

II.3 Types de compteurs d'eau et mode de fonctionnement...........................................................28

II.3.1 Caractéristiques techniques générales...................................................................................28

II.3.2 Compteur de vitesse ou à turbine..........................................................................................29

II.3.3 Compteur volumétrique.........................................................................................................29

II.3.4 Compteur de calories.............................................................................................................29


cii

II.4 Genres de compteurs d'eau.......................................................................................................30

II.4.1 Compteur principal.................................................................................................................30

II.4.2 Compteur divisionnaire..........................................................................................................30

II.4.4 Relevé de la consommation d'eau..........................................................................................30

Relevé manuel............................................................................................................................31

II.4.5 Facturation (en RDC)...............................................................................................................32

Modalités de la répartition du coût de la consommation d'eau en immeuble collectif............33

II.6 Proposition de la solution..........................................................................................................34

II.7 Choix de la solution...................................................................................................................34

III. Conclusion partielle....................................................................................................................35

CHAPITRE II : CADRAGE DU PROJET......................................................................................................35

II.1. Le Projet dans son contexte......................................................................................................35

II.2. Planification du Projet..............................................................................................................36

II.2.1. Méthodes d’ordonnancement de tâche................................................................................37

II.2.1.1. Principes de présentation en PERT.....................................................................................37

II.2.1.1 une tâche.............................................................................................................................38

II.2.1.2 Étape....................................................................................................................................39

II.2.1.3 Réseau.................................................................................................................................39

II.3 Début du cadrage......................................................................................................................40

II.3.1. Identification des tâches........................................................................................................40

II.3.2 Établissement de la liste précise des tâches...........................................................................40

II.3.2 Calcul des durées moyennes..................................................................................................41

II.3.3. Graphe PERT..........................................................................................................................41

II.3.3.1 Graphe ordonné..................................................................................................................41

II.3.3.2 Matrice booléen..................................................................................................................42

II.3.4. Calcul de la durée optimale...................................................................................................43

II.3.4.1. Date au plus tôt (DTO) en jours.........................................................................................43

II.3.5. Calcul des marges..................................................................................................................44

II.3.5.1. Marge Libre en jours..........................................................................................................44

II.3.5.2. Marge Total en jours..........................................................................................................44


ciii

II.3.7. Coût total du projet...............................................................................................................45

II.3.8. Intervalle de confiance de la durée optimale.......................................................................45

II.3.8.1. Variance.............................................................................................................................45

II.3.8.2. L’écart type du projet.........................................................................................................46

II.3.8.3. La durée moyenne du projet..............................................................................................46

II.3.8.4 l’intervalle de confiance.......................................................................................................46

II.4. Conclusion partielle..................................................................................................................46

Chapitre III : ÉTUDE DESCRIPTIVE DU SYSTÈME....................................................................................47

III.1 Introduction..............................................................................................................................47

III.1.1. Étude de la partie matérielle................................................................................................47

III.1.2. Les Micros Contrôleur...........................................................................................................47

III.1.2.1 PIC16F887...........................................................................................................................50

III.1.2.1.a. BROCHAGE......................................................................................................................51

III.1.2.1.b. REGISTRES.......................................................................................................................51

b.1. REGISTRE ANSEL.......................................................................................................................51

III.1.2.1.b.2. REGISTRE ANSELH........................................................................................................52

III.1.2.1.b.3. REGISTRES TRISx..........................................................................................................52

III.1.2.1.b.4. REGISTRES CM1CON0 ET CM2CON0............................................................................52

III.1.2.1.b.5. REGISTRES PORTx........................................................................................................53

III.1.2.1.b.5.1. PORTA.......................................................................................................................53

III.1.2.1.b.5.2. PORTB.......................................................................................................................54

III.1.2.1.b.5.3. PORTC.......................................................................................................................54

III.1.2.1.b.5.4.PORTD.......................................................................................................................54

III.1.2.1.b.5.5.PORTE........................................................................................................................54

III.1.2.1.C. Situation au démarrage..................................................................................................54

III.1.2.1.C.1. Cadencement du pic 16f887........................................................................................55

III.1.2.1.d. Diagramme bloc du PIC16f887.......................................................................................55

III.1.2.2 Élément résistant................................................................................................................56

III.1.2.2.1 Définition.........................................................................................................................56

III.1.2.2.1.a. Caractéristiques...........................................................................................................57
civ

III.1.2.2.1.b. Type des résistances....................................................................................................57

III.1.2.2.1.c. Série E12 pour les resistance.......................................................................................58

III.1.2.2.1.c.1. Marquage des résistances.........................................................................................58

III.1.2.2.1.c.2. Code des couleurs.....................................................................................................59

III.1.2.3 DIODE.................................................................................................................................59

III.1.2.3.1 Définition.........................................................................................................................59

III.1.2.3.1.a. Caractéristiques...........................................................................................................60

III.1.2.4 Régulateur..........................................................................................................................60

III.1.2.5 Condensateur.....................................................................................................................61

III.1.2.6 Transistor bipolaire.............................................................................................................62

III.1.2.6.1 Définition.........................................................................................................................62

a. Types et symboles.......................................................................................................................62

b. Fonctionnement..........................................................................................................................63

c. Caractéristiques...........................................................................................................................63

III.1.2.7 Électrovanne.......................................................................................................................63

III.1.2.8 Présentation du module GSM Sim900................................................................................65

III.1.2.8.1 Description sur GSM Sim 900..........................................................................................65

III.1.8.2.2 Caractéristiques...............................................................................................................66

III.1.2.9 Module de commande et d’affichage :...............................................................................67

III.1.2.9.1 Afficheur LCD 16x2 :........................................................................................................67

III.2.1. Plateforme de programmation Micropascal.........................................................................68

a. Présentation................................................................................................................................68

b. Description..................................................................................................................................68

1. Barres d’outils..............................................................................................................................69

2. Manipulation...............................................................................................................................70

3. La programmation en langage évolué :.......................................................................................70

c. Structure d’un programme..........................................................................................................71

d. Les Règles de bases :...................................................................................................................72

e. Les types de variables utilisées en Mikropascal :.........................................................................72

f. Configuration des registres en entrées/ sorties...........................................................................73


cv

III.2.2. Proteus ISIS...........................................................................................................................73

III.3 Conclusion partielle..................................................................................................................73

CHAPITRE IV : SIMULATION DU PROJET................................................................................................74

IV .0 : Introduction...........................................................................................................................74

IV.1. Évaluation du besoin...............................................................................................................74

IV.2 Schéma de circuit.....................................................................................................................75

Figure 8: schéma de circuit.........................................................................................................76

IV.3. Dimensionnement des composants........................................................................................76

IV.4.1. Oscillateur............................................................................................................................76

a. Le quartz......................................................................................................................................76

IV.4.1.1 Impédance de sortie du cristal par rapport à la fréquence................................................78

IV.4.2. Écran LCD.............................................................................................................................79

IV.4.2.1.Écran LCD alphanumérique 16x4........................................................................................79

IV.3 La Résistance de protection.....................................................................................................82

IV.4. Conclusion partielle.................................................................................................................82

CONCLUSION GÉNÉRALE......................................................................................................................83

BIBLIOGRAPHIE.....................................................................................................................................84

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