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Définition de concepts
Concept de développement et notions voisines
Le développement économique est selon F. PERROUX : la
combinaison des changements mentaux et sociaux d’une
population qui la rendent apte à faire croitre,
cumulativement et durablement son produit réel global.
Le développement a deux aspects : quantitatif
(accroissement du PIB) et qualitatif.
Selon Amartya Sen, le développement peut être
appréhendé comme un processus d’expansion des libertés
réelles dont jouissent les individus (approche par les
capabilités : importance du bien-être)
Selon Perroux, la croissance est l’augmentation soutenue
[durable] pendant une ou plusieurs périodes longues, d’un
indicateur de dimension, pour une nation, le produit global
en termes réels.
Selon le PNUD, le développement est le fait d’élargir les
éventails des possibilités offertes aux hommes. (Approche
par les capabilités : importance du bien-être)
Selon Kuznets, la croissance est essentiellement un
phénomène quantitatif. A cet effet, on peut devenir la
croissance économique d’une nation comme un
accroissement durable de la production et du produit par
tête.
Selon Chenery, le développement économique est un
ensemble de transformation intimement liés qui se
produisent dans la structure d’une économie, et qui sont
nécessaires à la poursuite de sa croissance.
Selon, P.Guillaumot , l’économie du développement
s’intéresse aux caractères généraux , ainsi qu’aux variétés
du sous-développement , aux raisons générales , mais aussi
particulières , qui font qu’une économie se développe ou ne
se développe pas .
Selon Hirschman, l’économie du développement est
réservée à l’un des courants théoriques qui analysent les
problèmes de développement et de sous-développement.
L’économie mondiale est donc structurée en pole d’influence entretenant des relations asymétriques
entre eux base sur les dominations.
L’analyse centre périphérique sera amplifiée par cette approche à travers la notion de dépendance
dans le cadre d’une théorie de l’impérialisme des pays développés sur les pays du sud.
Les principaux tenants de cette approche sont les économistes Egyptien Samir Amin (1973) et le
grecque Emmanuel Aghiri (1972). Ils fondent leurs arguments surs :
Selon eux, le développement des pays riches se nourrit du sous développent des pays pauvres.
N.B : à côte de ces trois garndes causes , l’on peut citer egalement :
Le développement est une question globale dont la mise en œuvre nécessite , pour les
acteurs, d’établir des priorités relativement aux potentialités du pays et à ses objectifs.
L’agriculture est le secteurs dominant dans les PED constitue le domaine ou l’on peut aisément tirer
un surplus