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1 auteur :
Omar Amin
Institut des maladies parasitaires et Centre de parasitologie
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Travail sur de nouveaux taxons d'Acanthocephala d'Inde, du Pérou, du Golfe Arabique, de Turquie et du Cachemire. Voir le projet
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Traduction et contact, groupe telegram :
Térébenthine et nettoyages naturels
Merci de me signaler toute erreur de traduction (Rosie Posie, version du 18-10-22)
1. Introduction
Nous sommes nombreux à avoir entendu parler de maladies telles que la giardiase ou l'amibiase, mais
nous avons tendance à négliger la relation entre ces parasites et les maladies et troubles digestifs et
systémiques. La croyance commune que les gens aux États-Unis sont exempts de parasites est une
grande illusion. Certains estiment qu'environ 50 millions d'enfants américains sont infectés par des
parasites de type vers. Dont seule une petite partie est détectée et signalée. Ceci est particulièrement
inquiétant quand on sait que les parasites microscopiques (protozoaires unicellulaires) représentent
environ 90 % de toutes les infections parasitaires aux États-Unis, selon les Centres de contrôle et de
prévention des maladies (CDC). Si les infections parasitaires existantes étaient réparties de manière
égale, il y aurait plus qu'assez de parasites pour que chaque personne vivante en ait un. Voici les
statistiques les plus récentes sur la prévalence de certains parasites sélectionnés dans le monde entier
: Ce n'est qu'un échantillon des nombreuses maladies parasitaires qui compromettent la santé
humaine dans le monde entier. Dans les régions tempérées, nous ne sommes pas informés de la gravité
des maladies parasitaires dont l’impact est le plus grand dans les pays "tropicaux" d'où proviennent de
nombreux immigrants des États-Unis. Les facteurs contribuant aux maladies parasitaires aux États-
Unis, autres que nos propres parasites endémiques et l'immigration, incluent la malnutrition, la densité
de population, les conditions économiques, les pratiques sanitaires et les styles de vie. Les facteurs
aggravants en Amérique du Nord sont le manque de sensibilisation du public/médias, de matériel
éducatif/conseil et de formation du public, ainsi que, dans certains cas, de la communauté
professionnelle. C'est dans cet esprit que cet article éducatif vous est proposé.
2.3. Alimentation
L'ingestion de nourriture est peut-être l'un des modes de transmission les plus courants des infections
parasitaires causées par des parasites microscopiques (protozoaires), aussi bien que par des parasites
macroscopiques (vers, helminthes). Par exemple, le blastocystis et les kystes des amibes (tous deux
sont des protozoaires) sont infectieux lorsqu'ils sont avalés avec des aliments contaminés par la voie
fécale-orale. Cela peut se produire dans un foyer ou dans un restaurant. De même, l'ingestion des œufs
de l'ascaride de l’humain, ascaris, se produit facilement lorsque des légumes frais, comme par exemple
la laitue, sont cultivés dans des fermes fertilisées par des déchets humains infectés, et sont consommés
sans être correctement lavés.
2.4. Insectes
La plupart des insectes suceurs de sang sont capables de transmettre des agents infectieux par leur
morsure lorsqu'ils tentent de se nourrir de sang humain. Aux États-Unis, les tiques transmettent la
maladie de Lyme, la fièvre boutonneuse des montagnes Rocheuses, la fièvre à tiques du Colorado, la
babésiose, et la fièvre du lapin ; les puces transmettent la peste et le typhus endémique, les moustiques
transmettent le paludisme et le ver du cœur du chien, les punaises Triatoma (« kissing bugs »)
transmettent la maladie de Chagas et les poux peuvent transmettre le typhus épidémique. Si une
personne a été récemment piquée par un insecte dans une région tempérée ou tropicale du monde,
son sang devrait être testé pour les parasites. Les agents pathogènes transmis par les insectes ne
causent normalement aucun dommage à leurs hôtes naturels (réservoirs), par exemple les rongeurs,
mais deviennent hautement pathogènes chez l'homme (leur hôte non naturel).
2.8. Le sol
Certains parasites de type vers ronds (nématodes) passent leurs étapes de transition entre un hôte et
un autre, sous forme de larves immatures, dans un sol chaud et humide. Marcher pieds nus, ou
s'asseoir sur un tel sol "ensemencé" de matières fécales dans une zone boisée ou au bord d'un lac, etc.
invitera les larves d'ankylostomes ou de Strongyloides à pénétrer dans la peau exposée et à migrer
dans le corps, pour devenir finalement adultes dans le tractus intestinal où les dégâts sont faits.
Protozoaires
Tous les parasites protozoaires énumérés ci-dessus provoquent des symptômes et des pathologies
gastro-intestinaux (entériques) et systémiques (extra-intestinaux) à des degrés divers, Endolinax
provoquant les infections les plus bénignes, et tous sont transmis par des aliments/boissons
contaminés. Les symptômes entériques comprennent généralement les ballonnements, la diarrhée, la
flatulence, la constipation, les crampes et la maldigestion/malabsorption. Les symptômes entériques
moins fréquents sont les saignements, l'intestin irritable, les fuites intestinales et la sécrétion excessive
de mucus. Les symptômes extra-intestinaux comprennent les allergies, la fatigue, les nausées, les
troubles nerveux et sensoriels (p. ex. brouillard cérébral, perte de mémoire, mauvaise coordination),
les éruptions et les troubles cutanés, la douleur et les problèmes musculaires. Les troubles extra-
intestinaux moins fréquents sont la fièvre, les maux de tête, les déficiences immunitaires, l'insomnie
et les variations de poids. Certains de ces symptômes sont probablement liés aux sous-produits
métaboliques toxiques des parasites, en particulier chez les patients immunodéprimés. Certains des
protozoaires susmentionnés sont suffisamment invasifs pour se transmettre par le sang, par exemple
Entamoeba histolytica, et peuvent causer de graves lésions au foie ou au cerveau.
4.A Un certain nombre de patients testés positifs aux parasites avaient des infections subcliniques et
ne présentaient pas de symptômes intestinaux ou extra-intestinaux manifestes. Ces patients ont été
traités et leur état de santé général s'est amélioré.
4.B. Un autre groupe de patients était symptomatique, mais aucun parasite n'a été détecté à partir
des échantillons fécaux fournis. Ces derniers cas sont liés à l'un ou aux deux facteurs suivants :
FACTEUR I :
D'autres organismes pathogènes, par exemple des bactéries pathogènes, peuvent causer des
symptômes comparables à ceux produits par les parasites typiques. Il s'agit notamment des bactéries
entérotoxinogènes Escherichia coli, Salmonella, Shigella ou Campylobacter. Comme les parasites
typiques, ces parasites bactériens peuvent également être traités avec succès par des produits à base
de plantes.
FACTEUR 2 :
En raison de la distribution hétérogène et de la nature cyclique de certains des parasites humains les
plus courants, les infections peuvent ne pas être détectées dans les échantillons de selles, s'ils sont
collectés lorsque les parasites ne circulent pas dans l'écoulement fécal principal. Par exemple, des
intervalles de plusieurs jours peuvent s'écouler entre les "passages" d’amibes, ce qui peut rendre
Les relations hôte-parasite qui provoquent des traumatismes physiques ou psychologiques peuvent
intervenir à un niveau subclinique ou passer inaperçues depuis la petite enfance. Une maladie
manifeste, progressive ou soudaine, peut survenir plus tard dans la vie. Cette réactivation de l'infection
est généralement liée à un état immunitaire déprimé, à l'âge, aux changements hormonaux et aux
pressions physiques ou psychologiques. Compte tenu de ce qui précède, il est absolument important
d'atteindre le bien-être en élevant ses énergies physiques, mentales, émotionnelles et intuitives à un
état de stabilité et d'équilibre fonctionnel. L'expérience démontre que les antibiotiques dépriment
l'immunité de l'hôte, tuent la flore intestinale bénéfique et favorisent la croissance de champignons,
comme le Candida, qui entrent ensuite en compétition avec les bonnes bactéries ou les excluent.
Les traitements à base de plantes semblent donc être le moyen naturel de gérer les infections
parasitaires et autres infections pathogènes, sans effets secondaires à craindre. À l'IPD, nous avons
travaillé avec de nombreuses formules à base de plantes et avons suivi un certain nombre de
protocoles à base de plantes. Nous avons découvert que les meilleurs sont ceux qui procurent une
guérison par l'intégration de 3 fonctions : traitement, nettoyage et restauration.
En d'autres termes, les préparations doivent éliminer le(s) parasite(s), nettoyer le corps de ses sous-
produits toxiques et restaurer la paroi intestinale et les autres tissus endommagés jusqu'à leur état
sain normal.
Pour le dépistage des parasites intestinaux, appelez UROKEER (602) 545-9236, pour commander un kit
IPD ; n'hésitez pas à poser des questions. Le coût du kit est d'environ 10 $ plus les frais d'expédition et
les frais de laboratoire sont de 80 $ par test. Chaque kit de test est basé sur 2 échantillons fécaux
distincts prélevés sur 2 jours distincts. Une liste d'instructions, un formulaire de demande, une
enveloppe adressée, des récipients de collecte et des flacons sont inclus. Une fois reçus au laboratoire
(US postal, UPS, FED EX, etc.), les échantillons sont entrés dans le système, traités à l'aide d'une
technique de concentration/sédimentation utilisant les colorants Protofix et CONSED, puis analysés au
microscope pour détecter les parasites. En plus des résultats des tests de parasites, le rapport de
diagnostic comprendra également un profil d'autres organismes intestinaux, par exemple, des
champignons (y compris Candida et les levures), des cellules, des particules, des aliments non digérés,
du sang occulte et des biodégradations de cristaux, entre autres. Les résultats seront faxés et envoyés
par courrier au praticien référent dans les 3 jours suivant la réception de l'échantillon. Voir les
instructions fournies avec le kit pour de plus amples informations.
À propos de l’auteur
Le Dr Omar M. Amin, Ph. D., est professeur de parasitologie à l’Université d'État de l'Arizona, à
Tempe et le directeur de l'Institut des Maladies Parasitaires (IPD = Institut of Parasitic Diseases) et
de son Laboratoire Diagnostique et Educatif (DEL=Diagnostic and Educational Laboratory) à
Phoenix, Arizona. Il est un auteur reconnu dans le domaine de la parasitologie et compte plus de
100 articles et livres scientifiques majeurs à son actif.