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Comprendre les parasites

Article - janvier 1999

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2 2,773

1 auteur :

Omar Amin
Institut des maladies parasitaires et Centre de parasitologie
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Traduction et contact, groupe telegram :
Térébenthine et nettoyages naturels
Merci de me signaler toute erreur de traduction (Rosie Posie, version du 18-10-22)

Comprendre les parasites


@Copyright 1999 by Dr. Omar M.Amin, MD, USA

Table des matières


1. Introduction..................................................................................................................................... 2
2. Comment nous contractons des parasites ...................................................................................... 2
2.1. L'eau potable .................................................................................................................................... 3
2.2. Contact de la peau avec de l'eau contaminée.................................................................................. 3
2.3. Alimentation ..................................................................................................................................... 3
2.4. Insectes ............................................................................................................................................. 3
2.5. Air ..................................................................................................................................................... 4
2.6. Animaux domestiques ...................................................................................................................... 4
2.7. Les gens ............................................................................................................................................ 4
2.8. Le sol ................................................................................................................................................. 4
3. Parasites communs en Amérique du Nord et leurs répercussions sur la santé .............................. 5
Protozoaires ............................................................................................................................................ 5
Helminthes .............................................................................................................................................. 6
4. Périodicité et parasites cycliques .................................................................................................... 6
FACTEUR I : .............................................................................................................................................. 6
FACTEUR 2 : ............................................................................................................................................. 6
5. Gestion des infections parasitaires ................................................................................................. 7
6. Recherche de parasites ; comment, quand, où............................................................................... 7
À propos de l’auteur ................................................................................................................................ 8
COMPLETER L'ARTICLE AVEC LA LISTE DES PRODUITS ............................................................................ 8

Explore ! Volume 9, Numéro 2, 1999


INFECTIONS
MALADIES DÉCÈS ANNUELS
HUMAINES
Malaria 489 millions 1-2 millions
Tous les vers 4.5 milliards
Ascaris 1000 millions 20 000
Ankylostomes 900 millions 50-60 000
Trichuris 750 millions
Filaires 657 millions 20-25 000 +
Schistosomes 200 millions 0.5-1 millions

1. Introduction
Nous sommes nombreux à avoir entendu parler de maladies telles que la giardiase ou l'amibiase, mais
nous avons tendance à négliger la relation entre ces parasites et les maladies et troubles digestifs et
systémiques. La croyance commune que les gens aux États-Unis sont exempts de parasites est une
grande illusion. Certains estiment qu'environ 50 millions d'enfants américains sont infectés par des
parasites de type vers. Dont seule une petite partie est détectée et signalée. Ceci est particulièrement
inquiétant quand on sait que les parasites microscopiques (protozoaires unicellulaires) représentent
environ 90 % de toutes les infections parasitaires aux États-Unis, selon les Centres de contrôle et de
prévention des maladies (CDC). Si les infections parasitaires existantes étaient réparties de manière
égale, il y aurait plus qu'assez de parasites pour que chaque personne vivante en ait un. Voici les
statistiques les plus récentes sur la prévalence de certains parasites sélectionnés dans le monde entier
: Ce n'est qu'un échantillon des nombreuses maladies parasitaires qui compromettent la santé
humaine dans le monde entier. Dans les régions tempérées, nous ne sommes pas informés de la gravité
des maladies parasitaires dont l’impact est le plus grand dans les pays "tropicaux" d'où proviennent de
nombreux immigrants des États-Unis. Les facteurs contribuant aux maladies parasitaires aux États-
Unis, autres que nos propres parasites endémiques et l'immigration, incluent la malnutrition, la densité
de population, les conditions économiques, les pratiques sanitaires et les styles de vie. Les facteurs
aggravants en Amérique du Nord sont le manque de sensibilisation du public/médias, de matériel
éducatif/conseil et de formation du public, ainsi que, dans certains cas, de la communauté
professionnelle. C'est dans cet esprit que cet article éducatif vous est proposé.

2. Comment nous contractons des parasites


Un parasite est un micro- ou macro-organisme qui doit satisfaire ses besoins nutritionnels vitaux en se
nourrissant de certains tissus, ou liquides organiques de l'hôte qui contiennent les substances
biochimiques spécifiques dont il a besoin. Il existe des parasites pour chaque tissu du corps humain,
une fois qu'ils y ont accès. Pour provoquer une infection, un parasite intestinal doit passer par la cavité
buccale avec des aliments ou des boissons contaminés. Les autres portes d'entrée ne sont pas
pertinentes. Les huit voies par lesquelles les humains peuvent contracter des infections parasitaires
sont brièvement résumées ci-dessous.

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2.1. L'eau potable
Certains des parasites humains microscopiques les plus courants (Protozoaires) sont transmis par l'eau
potable contaminée par des matières fécales provenant de personnes infectées. Ce cycle simple se
déroule dans l'eau des cours d'eau, et dans l'eau du robinet dans les maisons des grandes villes
américaines et canadiennes, desservies par des stations de traitement des eaux de surface. Les
parasites transmis de cette manière comprennent le Cryptosporidiurn et le Giardia.

2.2. Contact de la peau avec de l'eau contaminée


C'est la seule méthode d'infection disponible pour certains parasites tels que les schistosomes, qui sont
parmi les plus mortels des douves (trématodes) chez les humains. Après avoir émergées de l'escargot
hôte, les larves infectieuses (cercaires) pénètrent dans la peau d'une personne (nageur, travailleur
agricole, enfants jouant, etc.) et migrent dans le corps humain pour se retrouver à l'état adulte dans
les vaisseaux sanguins (système porte hépatique). Pour être infecté, il faut être exposé dans une zone
endémique. Par exemple, en Afrique, en Chine, au Mexique ou à Porto Rico. À l'IMP (L'Institut des
maladies parasitaires), nous avons identifié des œufs dans des échantillons fécaux provenant d'une
zone isolée près d'un ruisseau en Californie où une population d'immigrants vietnamiens s'est
installée.

2.3. Alimentation
L'ingestion de nourriture est peut-être l'un des modes de transmission les plus courants des infections
parasitaires causées par des parasites microscopiques (protozoaires), aussi bien que par des parasites
macroscopiques (vers, helminthes). Par exemple, le blastocystis et les kystes des amibes (tous deux
sont des protozoaires) sont infectieux lorsqu'ils sont avalés avec des aliments contaminés par la voie
fécale-orale. Cela peut se produire dans un foyer ou dans un restaurant. De même, l'ingestion des œufs
de l'ascaride de l’humain, ascaris, se produit facilement lorsque des légumes frais, comme par exemple
la laitue, sont cultivés dans des fermes fertilisées par des déchets humains infectés, et sont consommés
sans être correctement lavés.

2.4. Insectes
La plupart des insectes suceurs de sang sont capables de transmettre des agents infectieux par leur
morsure lorsqu'ils tentent de se nourrir de sang humain. Aux États-Unis, les tiques transmettent la
maladie de Lyme, la fièvre boutonneuse des montagnes Rocheuses, la fièvre à tiques du Colorado, la
babésiose, et la fièvre du lapin ; les puces transmettent la peste et le typhus endémique, les moustiques
transmettent le paludisme et le ver du cœur du chien, les punaises Triatoma (« kissing bugs »)
transmettent la maladie de Chagas et les poux peuvent transmettre le typhus épidémique. Si une
personne a été récemment piquée par un insecte dans une région tempérée ou tropicale du monde,
son sang devrait être testé pour les parasites. Les agents pathogènes transmis par les insectes ne
causent normalement aucun dommage à leurs hôtes naturels (réservoirs), par exemple les rongeurs,
mais deviennent hautement pathogènes chez l'homme (leur hôte non naturel).

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2.5. Air
Les virus, bactéries et champignons transmis par voie aérienne sont généralement éliminés avec les
excréments (parfois par voie orale) d'un hôte réservoir naturel (généralement la faune sauvage), mais
infectent l'homme en cas d'inhalation accidentelle. L'histoplasmose, la fièvre des vallées et le virus
Hanta en sont des exemples en Amérique du Nord. Ces maladies sont associées au guano des chauves-
souris, à la poussière et aux excréments des rongeurs, respectivement.

2.6. Animaux domestiques


Malgré ce que l'on a pu vous dire, le chien, parmi d'autres animaux de compagnie, n'est pas le meilleur
ami de l'homme, parasitologiquement parlant. Les chiens sont porteurs d'un ver plat (ténia) intestinal,
l'Echinococus, dont les œufs se répandent dans leur pelage à partir de l'orifice anal lors du toilettage.
Un contact humain peu soigneux avec des chiens infectés, par exemple en les embrassant, fait passer
les œufs dans l'intestin de l'homme, où ils pénètrent sous forme de larves et s'enkystent dans la cavité
corporelle, par exemple le foie ou même le cerveau, sous forme de kystes hydatiques potentiellement
mortels. D'autres parasites vermiformes (helminthes) sont également facilement transmis à l'homme
par les animaux domestiques et autres animaux. Les plus dangereux sont les vers plats du bœuf et du
porc, Taenia, par la consommation de bœuf et de jambon contaminés par les larves de ces vers plats.

2.7. Les gens


Les contacts étroits entre les humains sont propices à la transmission d'un large éventail de maladies
sexuellement transmissibles, dont le SIDA et l'herpès, ainsi que d'autres virus responsables du rhume
et de la grippe. La consommation d'aliments dans un restaurant ou à la maison qui ont pu être
contaminés par des œufs de Taenia ou des kystes d'Entamoeba provenant des matières fécales des
serveurs, en raison de pratiques sanitaires impropres, produira certainement des infections par
cysticercosi (apparaissant sous forme de bosses dans le corps ou les organes nerveux) ou par amibiase
(causant de graves troubles gastro-intestinaux, etc.), respectivement. Une inspection récente d'un
restaurant luxueux de Los Angeles a montré que 100 % de tous les employés (pas seulement les
serveurs) avaient des matières fécales sous les ongles.

2.8. Le sol
Certains parasites de type vers ronds (nématodes) passent leurs étapes de transition entre un hôte et
un autre, sous forme de larves immatures, dans un sol chaud et humide. Marcher pieds nus, ou
s'asseoir sur un tel sol "ensemencé" de matières fécales dans une zone boisée ou au bord d'un lac, etc.
invitera les larves d'ankylostomes ou de Strongyloides à pénétrer dans la peau exposée et à migrer
dans le corps, pour devenir finalement adultes dans le tractus intestinal où les dégâts sont faits.

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3. Parasites communs en Amérique du Nord et leurs répercussions sur
la santé
Les parasites les plus courants identifiés chez les patients nord-américains au Laboratoire de diagnostic
et d'éducation (DEL) de l'Institut des maladies parasitiques (IPD), Phoenix, Arizona, sont énumérés ci-
dessous dans l'ordre de leur prévalence, de forte à faible :

 Protozoaires (organismes unicellulaires microscopiques)


 Blastocystis hominis
 Endolimax nana
 Cryptosporidium parvum
 Entamoeba histolytica
 Entamoeba coli
 Entamoeba hartmanni
 Giardia lamblia
 Chilomastix mesnili
 Cyclospora cayetanensis
 Helminthes(vers multicellulaires macroscopiques)
 Ascaris lumbricoides (ascaris humain)
 Strongyloides stercoralis (ver filiforme)
 Ancylostoma duodenale/ Necator americanus (ankylostomes)
 Enterobius vermicularis (oxyure)
 Trichuris trichiura (trichocéphale)

Protozoaires
Tous les parasites protozoaires énumérés ci-dessus provoquent des symptômes et des pathologies
gastro-intestinaux (entériques) et systémiques (extra-intestinaux) à des degrés divers, Endolinax
provoquant les infections les plus bénignes, et tous sont transmis par des aliments/boissons
contaminés. Les symptômes entériques comprennent généralement les ballonnements, la diarrhée, la
flatulence, la constipation, les crampes et la maldigestion/malabsorption. Les symptômes entériques
moins fréquents sont les saignements, l'intestin irritable, les fuites intestinales et la sécrétion excessive
de mucus. Les symptômes extra-intestinaux comprennent les allergies, la fatigue, les nausées, les
troubles nerveux et sensoriels (p. ex. brouillard cérébral, perte de mémoire, mauvaise coordination),
les éruptions et les troubles cutanés, la douleur et les problèmes musculaires. Les troubles extra-
intestinaux moins fréquents sont la fièvre, les maux de tête, les déficiences immunitaires, l'insomnie
et les variations de poids. Certains de ces symptômes sont probablement liés aux sous-produits
métaboliques toxiques des parasites, en particulier chez les patients immunodéprimés. Certains des
protozoaires susmentionnés sont suffisamment invasifs pour se transmettre par le sang, par exemple
Entamoeba histolytica, et peuvent causer de graves lésions au foie ou au cerveau.

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Helminthes
Les dommages causés par les parasites des vers dépendent largement des tissus envahis par les larves
migrantes ou du type de dommages intestinaux causés par les adultes. Par exemple, après l'ingestion
et l'éclosion des œufs d'ascaris dans l'intestin d'un nouvel hôte, la larve émergée va migrer à travers
la muqueuse intestinale, les vaisseaux lymphatiques/sanguins, le système porte hépatique, le foie, le
cœur droit, les poumons, puis se faire ré-avaler et s'établir comme adulte de 30 cm dans l'intestin
grêle. Les réactions allergiques aux sous-produits métaboliques des vers adultes sont connues pour
provoquer de l'asthme, de l'insomnie, des douleurs oculaires et des éruptions cutanées. Une migration
larvaire anormale peut provoquer une réaction inflammatoire dans la rate, le foie, les ganglions
lymphatiques et le cerveau. Les sites hémorragiques pulmonaires peuvent être accompagnés de toux,
de fièvre et de difficultés respiratoires. Une pneumopathie mortelle est une complication possible. Un
blocage mécanique peut être provoqué par un grand nombre d'adultes dans le tractus intestinal,
entraînant une toxémie et la mort. Les vers adultes pénètrent parfois la paroi intestinale ou
l'appendice, provoquant une hémorragie locale, une péritonite et/ou une appendicite. Voir la section
2 ci-dessus (nourriture, animaux domestiques, personnes, sol) pour les méthodes de contamination
par les vers.

4. Périodicité et parasites cycliques


Dans une récente étude détaillée sur les IPD portant sur environ 700 patients atteints d'IPD, il a été
noté que :

4.A Un certain nombre de patients testés positifs aux parasites avaient des infections subcliniques et
ne présentaient pas de symptômes intestinaux ou extra-intestinaux manifestes. Ces patients ont été
traités et leur état de santé général s'est amélioré.

4.B. Un autre groupe de patients était symptomatique, mais aucun parasite n'a été détecté à partir
des échantillons fécaux fournis. Ces derniers cas sont liés à l'un ou aux deux facteurs suivants :

FACTEUR I :
D'autres organismes pathogènes, par exemple des bactéries pathogènes, peuvent causer des
symptômes comparables à ceux produits par les parasites typiques. Il s'agit notamment des bactéries
entérotoxinogènes Escherichia coli, Salmonella, Shigella ou Campylobacter. Comme les parasites
typiques, ces parasites bactériens peuvent également être traités avec succès par des produits à base
de plantes.

FACTEUR 2 :
En raison de la distribution hétérogène et de la nature cyclique de certains des parasites humains les
plus courants, les infections peuvent ne pas être détectées dans les échantillons de selles, s'ils sont
collectés lorsque les parasites ne circulent pas dans l'écoulement fécal principal. Par exemple, des
intervalles de plusieurs jours peuvent s'écouler entre les "passages" d’amibes, ce qui peut rendre

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nécessaire l'examen microscopique de plusieurs échantillons de selles pour confirmer une infection
positive par Entamoeba histolytica. Le même type de périodicité et/ou d'adhérence à la paroi
intestinale est également connu chez Giardia lamblia et Cyclospora cayetanensis. Cela explique
l'excrétion intermittente et la récupération cyclique de ces parasites dans les échantillons fécaux
prélevés pour les tests. Il est important de tester les parasites cycliques lorsqu'ils sont "actifs". Le kit
DEL-IPD est conçu pour collecter 2 échantillons fécaux distincts sur 2 jours différents afin de maximiser
le taux de récupération des parasites. Dans certaines occasions, cependant, il peut arriver que les tests
doivent être répétés.

5. Gestion des infections parasitaires


Les parasites compromettent à des degrés divers le système immunitaire de l'hôte, ainsi que son état
de bien-être physique, mental et émotionnel. Le ver plat diphyllobothrium Latum prive l'organisme de
la moitié de ses ressources en vitamine B 12, essentielles au bon fonctionnement du système nerveux
central, à la propagation de l'influx nerveux, à la coordination musculaire et à la mémoire. Lorsque ce
ver de 9 mètres de long est expulsé après un traitement approprié, les fonctions ci-dessus seront
rétablies à la normale.

Les relations hôte-parasite qui provoquent des traumatismes physiques ou psychologiques peuvent
intervenir à un niveau subclinique ou passer inaperçues depuis la petite enfance. Une maladie
manifeste, progressive ou soudaine, peut survenir plus tard dans la vie. Cette réactivation de l'infection
est généralement liée à un état immunitaire déprimé, à l'âge, aux changements hormonaux et aux
pressions physiques ou psychologiques. Compte tenu de ce qui précède, il est absolument important
d'atteindre le bien-être en élevant ses énergies physiques, mentales, émotionnelles et intuitives à un
état de stabilité et d'équilibre fonctionnel. L'expérience démontre que les antibiotiques dépriment
l'immunité de l'hôte, tuent la flore intestinale bénéfique et favorisent la croissance de champignons,
comme le Candida, qui entrent ensuite en compétition avec les bonnes bactéries ou les excluent.

Les traitements à base de plantes semblent donc être le moyen naturel de gérer les infections
parasitaires et autres infections pathogènes, sans effets secondaires à craindre. À l'IPD, nous avons
travaillé avec de nombreuses formules à base de plantes et avons suivi un certain nombre de
protocoles à base de plantes. Nous avons découvert que les meilleurs sont ceux qui procurent une
guérison par l'intégration de 3 fonctions : traitement, nettoyage et restauration.

En d'autres termes, les préparations doivent éliminer le(s) parasite(s), nettoyer le corps de ses sous-
produits toxiques et restaurer la paroi intestinale et les autres tissus endommagés jusqu'à leur état
sain normal.

6. Recherche de parasites ; comment, quand, où


Si vous avez un ou plusieurs des symptômes ci-dessus (section 3 ci-dessus), ou si vous avez des raisons
de croire que vous êtes un patient asymptomatique en raison d'un voyage à l'étranger, d'un contact
domestique infecté, d'un mauvais repas, etc. Bien qu'il existe de nombreux laboratoires hospitaliers
dans tout le pays qui testent toutes sortes d'agents pathogènes, y compris les parasites, IPD est le seul
laboratoire spécialisé uniquement dans la parasitologie et possède de loin les meilleurs résultats et la
meilleure réputation nationale et internationale en matière de test et d'identification des parasites.
IPD dispose d'un kit de collecte et d'envoi d'échantillons fécaux à domicile, où qu'ils se trouvent dans

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le monde. IPD peut également identifier séparément les vers parasites, les différentes parties de vers,
le matériel (tissu) de biopsie et les parasites du sang ; appelez pour obtenir des instructions.

Pour le dépistage des parasites intestinaux, appelez UROKEER (602) 545-9236, pour commander un kit
IPD ; n'hésitez pas à poser des questions. Le coût du kit est d'environ 10 $ plus les frais d'expédition et
les frais de laboratoire sont de 80 $ par test. Chaque kit de test est basé sur 2 échantillons fécaux
distincts prélevés sur 2 jours distincts. Une liste d'instructions, un formulaire de demande, une
enveloppe adressée, des récipients de collecte et des flacons sont inclus. Une fois reçus au laboratoire
(US postal, UPS, FED EX, etc.), les échantillons sont entrés dans le système, traités à l'aide d'une
technique de concentration/sédimentation utilisant les colorants Protofix et CONSED, puis analysés au
microscope pour détecter les parasites. En plus des résultats des tests de parasites, le rapport de
diagnostic comprendra également un profil d'autres organismes intestinaux, par exemple, des
champignons (y compris Candida et les levures), des cellules, des particules, des aliments non digérés,
du sang occulte et des biodégradations de cristaux, entre autres. Les résultats seront faxés et envoyés
par courrier au praticien référent dans les 3 jours suivant la réception de l'échantillon. Voir les
instructions fournies avec le kit pour de plus amples informations.

À propos de l’auteur
Le Dr Omar M. Amin, Ph. D., est professeur de parasitologie à l’Université d'État de l'Arizona, à
Tempe et le directeur de l'Institut des Maladies Parasitaires (IPD = Institut of Parasitic Diseases) et
de son Laboratoire Diagnostique et Educatif (DEL=Diagnostic and Educational Laboratory) à
Phoenix, Arizona. Il est un auteur reconnu dans le domaine de la parasitologie et compte plus de
100 articles et livres scientifiques majeurs à son actif.

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Le Dr Omar Amin, MD, a rassemblé une incroyable ressource d'informations sur les parasites et les
herbes qui les combattent. Malheureusement, il compte soixante pages, ce qui est beaucoup trop
long pour être publié dans Explore ! à l'heure actuelle. Toutefois, cette ressource d'informations
de soixante pages est disponible gratuitement pour les abonnés et 14,00 $ pour les non-abonnés.
Écrivez, téléphonez ou faxez à Explore Publications, et il vous sera envoyé : Post Office Box 1508,
Mt.Vernon, WA98273, téléphone : 360-424-6025, fax : 360-424-6029, mail:explorepub@sos.net.

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