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Index
I. OBJET
VII. SENSIBILISATION
VIII. CONCLUSION
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I. OBJET
Le Plan d’Hygiène et de Sécurité définit les dispositions prises par l’Entreprise, dans le cadre de ses
engagements contractuels afin d’assurer les conditions les plus favorables d’hygiène et de sécurité
durant la période de réalisation de ses travaux conformément au code de travail et aux textes
réglementaires en matière de sécurité et en tenant compte des recommandations du marché.
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II. PLAN D’HYGIENE ET DE SECURITE
I.1. Hygiène et Sécurité en Législation
La législation tunisienne définit les mesures d’hygène et de sécurité lors de l’utilisation des
moyens et équipements de travail et d’accès dans les travaux de génie civil à savoir :
- les caractéristiques techniques et les conditions de mise en place des plateformes de travail,
des échafaudages fixes à échelles, à consoles et suspendus, des passerelles et passages supérieurs ;
- la conduite et la manipulation des engins et équipements dangereux du chantier.
A cet effet, la législation tunisienne stipule que chaque entreprise exécutant un projet et employant
plus que 20 salariés doit désigner un Responsable d’Hygiène et Sécurité qu’on nommera par la suite
par : R.H.S.
I.2. Rôle du Responsable Hygiène et Sécurité (R.H.S.)
Le R.H.S. veuillera à l’application des dispositifs légaux, réglementaires et conventionnels
relatifs à la sécurité et à la santé du travail des travailleurs. Il contrôlera aussi les lieux de travail
pour la détection des sources de danger et les signaler afin de prévenir la survenance des risques et
de s’assurer de l’utilisation des moyens de prévention. Il veuillera entre autre à l’élaboration et
l’application des procédures de sécurité, au choix des moyens de protection individuelle, à
l’aménagement des postes de travail, à l’achât de nouveaux équipements de sécurité et bien d’autres
actions visant l’amélioration des conditions de travail.
Le R.H.S. peut aussi, suivant la disponibilité et la gravité des travaux, organiser des séances de
sensibilisation des salariés aux risques professionnels.
Enfin, le R.H.S. présente les procédures d’hygiène et de sécurité dans un rapport dont il rédige
appelé Plan d’Hygiène et de Sécurité (P.H.S) à la Direction du chantier.
I.3. Equipe d’Hygiène et de Sécurité
Le Groupement d’entreprises SOMATRA-GET et GTPH a mis à la diposition du chantier un sous-
traitant à désigner ultérieurement dont le rôle est d’assurer l’Hygiène et la Sécurité des ouvriers et
personnel du chantier.
Une ambulance équipée d’une boite de pharmacie peut etre disponible à la demande. En outre, un
local équipé par les soins primaires et les équipements de sécurité est construit dans le campement
principal.
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III. CONTENU DU PLAN D’HYGIENE ET DE SECURITE
II.1. Contenu du P.H.S
Ce plan définit les sources de danger et les procédures d’hygiène et de sécurité concernant le
projet, prévoit les survenances des risques et indique les dispositions de sécurité prévues.
Le P.H.S sera préparé en deux parties : Plan Général et Plan par Tâche.
Il comprendra les consignes communes à toutes les tâches dans le cadre de l’organisation
générale de chantier et particulièrement au niveau des locaux communs à toutes les tâches à savoir :
installation de chantier avec ses constituants (laboratoires, ateliers, centrales, etc), section courante,
gîtes d’emprunt, ouvrages, zones de décharge, zone de déblai par explosif, etc.
Il comprendra les consignes particulières pour chaque tâche des travaux, à savoir :
- Exécution des ouvrages d’art ;
- Travaux de fondation ;
- Travaux de préfabrication ;
- Travaux de chaussées ;
- Tranchées et canivaux ;
Et autres travaux faisant partie du marché.
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II.2. Organisation logistique du P.H.S :
Le P.H.S nécessite un effectif spécial en personnel et matériel afin d’appliquer les procédures
de sécurité et faciliter les interventions de protection après les accidents.
1. Personnel nécessaire :
Pour chaque tâche, les consignes d’hygiène et de sécurité sont précisées et les dispositions
utiles pour éviter les accidents de travail seront consignées et largement divulguées à tout le
personnel concerné par les moyens d’information adéquats : note, affiche, formation, etc.
Le Responsable d’Hygiène et Sécurité s’assurera que toutes ces informations sont parvenues à
leurs destinations. Il veuillera à leur application stricte par le personnel du chantier.
Des plans d’intervention d’urgence seront élaborés et divulgués à tous les responsables des
travaux.
Une équipe d’intervention est désignée et intervient en cas d’urgence. Elle n’est pas affectée
uniquement à la sécurité mais elle est connue à l’avance pour se former dès que le besoin s’en fera
sentir.
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5. Mise à jour du P.H.S :
Une mise à jour constante se fera en fonction des cas précis rencontrés sur le chantier et un
compte rendu mensuel d’Hygiène et Sécurité sera élaboré systématiquement et transmis pour
information à tous les intervenants de l’Entreprise sur chantier.
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IV. PREVENTION PENDANT L’EXECUTION DES TRAVAUX
III.1. Matériels, engins, et outillages utilisés sur chantier
1. Bureaux de chantier :
- Meubles ;
- Ordinateurs ;
- Imprimantes ;
- Photocopieuses ;
et autres matériels de bureau.
2. Base-vie :
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7. Ateliers de travaux de fondation :
L’analyse des risques est une identification systématique et permanente de la présence des
dangers et des facteurs de risques dans des processus et situations de travail concret sur chantier.
L’analyse des risques concerne l’organisation dans son ensemble, chaque groupe de postes de
travail, chaque groupe de fonctions et chaque individu. Elle nécessite l’idendification des dangers,
la détérmination des risques et leur évaluation.
La prévention des risques professionnels sur chantier exige une bonne connaissance des
méthodes de travail et des outils employés. Cette connaissance nécessite une organisation
particulière du travail et une conception adéquate du cadre dans lequel ce travail sera efféctué.
Cette démarche devrait s’articuler autour d’une programmation (traduction des besoins et des
exigences du marché).
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surveillées (Exemple : utilisation de matériel de laboratoire : Troxler) ;
Dans ce qui suit, nous allons traiter tous ces cas communs.
Par ailleurs, les fiches de sécurité par tâche seront élaborées ultérieurement au fur et à mesure de
l’avancement des travaux.
1. Organisation de chantier :
Elle concerne le campement, la section courante, les ouvrages importants et tout autre front de
travail :
- Les accès : séparation entre flux du personnel et flux des matériels roulants ;
- Balisage de l’emprise du chantier, de l’emprise des ouvrages, des oueds et écoulements
importants et des fouilles ouvertes au cours des travaux ;
- Balisage de pistes latérales traversant les agglomérations ;
- Organisation du trafic à l’intérieur de l’emprise du chantier : circulation en boucle, largeur adapté
des voies, signalisation nécessaire ;
- Délimitation des zones de stockage des agrégats, d’approvisionnement, de préfabrication, de l’aire
couverte par la grue et toute zone présentant un danger quelconque ;
- Gestion des différents fronts de la section courante et organisation des accès de secours ;
- Contrôle des permis et des autorisations de conduire des conducteurs d’engins et des appareils de
levage.
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2. Mise en conformité :
Elle consiste au contrôle et vérification technique des engins, du matériel de transport, des
appareils de levage et leurs accessoires, des équipements et matériels lourds ou légers affectés à ce
chantier conformément à la législation en vigueur.
- Protection :
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Travail de nuit :
En cas de nécessité du travail de nuit, les postes de travail seront éclairés à l’aide des phares
sur trépieds alimentées par un groupe électrogène avec des baladeuses sur des outillages portatifs et
des gyrophares si nécessaires.
4. Protection individuelle :
Moyens de protection :
Un sac comprenant : les vêtements de travail, un casque, les chaussures ou bottes de sécurité, etc.
Certains matériels spécifiques sont fournis en complément dans le cadre des travaux précis (casques
attributs, masques, etc.) ou dans le cadre de conditions climatiques particulières (vêtements de
pluie).
Casque :
La protection des membres inférieurs est assurée par des chaussures possédant un marquage
d’une conformité à une norme de sécurité. Cette protection est assurée soit par l’embout de
protection contre le risque d’écrasement par chute de matériels ou de matériaux, soit par les
semelles anti-perforation contre les blessures par objets saillants traversant la semelle.
Le choix des chaussures doit se faire en fonction de la nature des travaux et des risques
rencontrés.
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Les chaussures de sécurité sont un équipement de protection individuelle personnel et doivent
être échangées après toute détérioration. De même, et pour des conditions d’hygiène, l’entretien de
ces équipements est vivement conseillé.
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- Suivant une périodicité ;
- A chaque importante modification.
Ces vérifications doivent être consignées sur un registre dit « Registre de Sécurité ».
Principales vérifications
Désignation Périodicité
Locaux à pollution non spécifique Annuelle
Aération (installation) Annuelle, semestrielle
Locaux à pollution spécifique
si recyclage
Appareils installés à demeure Annuelle
Appareils de levage et de
manutention Appareils mobiles Semestrielle
Appareils d’élévation du personnel (s’ils existent) Trimestrielle
Echafaudages Echafaudages Trimestrielle
Presses Trimestrielle
Machines
Matériels de terrassement et de battage Annuelle
Essais de matériel Semestrielle
Matériels d’incendie
Extincteurs Annuelle
Installations électriques La vérification à la mise en service par un organisme agréé
Cette qualification permettra évidement d’avoir des impacts positifs sur la qualité du travail,
les délais, le climat social et les bénéfices.
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III.5. Consignes et contrôles
1. Consigne :
Le personnel employé sur le chantier est informé du règlement propre à ce chantier et les
mesures imposées par la sécurité.
Un rapport est élaboré à chaque visite et adressé au Directeur de Projet MDO et à l’entreprise.
3. Registre :
Ce registre est élaboré par l’agent de l’ISST qui effectue des visites quotidiennes sur chantier.
Il indique dans ce registre ses constatations enregistrées et ses recommandations adéquates afin de
remettre le chantier en conformité avec les mesures générales de sécurité du P.H.S.
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Ce registre est transmis directement aux intervenants de l’entreprise sur chantier.
Ce registre est élaboré par le R.H.S. lorsqu’il détecte des non-conformités avec le P.H.S. dans
le chantier. Il idendifie dans ce registre les problèmes rencontrés et leurs causes et propose les
mesures nécessaires pour remedier aux non-conformités rencontrées. Il transmet ce registre
Registre de sécurité :
Ce registre est élaboré mensuellement par le R.H.S. en collaboration avec son personnel et
comprend les mesures de sécurité présentes sur chantier et celles prévues suivant l’avancement des
travaux. Il transmet ce registre au Chef de projet et ses adjoints.
Ce registre est élaboré par le R.H.S. en collaboration avec le Chef personnel du chantier et
comprend la liste du personnel et main d’œuvre affectés sur chantier et leurs états de santé afin de
prévoir le nombre d’équipements nécessaires pour tous les travailleurs (casques, masques, bottes,
chaussures, etc.) ainsi que l’effectif de l’équipe de sécurité et hygiène et ses équipements.
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V. RECOMMANDATIONS GENERALES AVANT
D’ENTREPRENDRE TOUTE REALISATION
1 / S’assurer de la présence d’un responsable d’exécution de position hiérarchique convenable
ayant les connaissances et l’information requise pour diriger et faire exécuter le travail considéré.
3 / Désigner et faire reconnaître par chaque membre de l’équipe, pour chaque engin de
production ou de service, une seule personne par engin habilitée à donner des ordres au conducteur
et à le guider (code des manœuvres - gestes de commandement).
Pas de manœuvre sans ordre et sans guidage. S’assurer au préalable de l’éloignement suffisant du
personnel et de l’absence d’obstacle matériel.
4 / Eloigner les membres de l’équipe qui ne sont pas strictement nécessaires à la réalisation
d’une manœuvre.
6 / Faire porter aux membres de l’équipe qui travaillent en hauteur le harnais de sécurité et
veuiller à ce qu’ils s’accrochent à un stop-chute ou à un barreau.
7 / S’assurer de la présence sur l’engin des pièces de bord : plans, schémas, abaques, notices,
registres de sécurité et d’observations, etc.…et d’un extincteur.
8 / Pour les engins soumis aux vérifications périodiques obligatoires, s’assurer de la date à
laquelle la dernière vérification a été faite. En fonction de la durée du chantier, se rapprocher en cas
de besoin du Service Matériel pour provoquer une nouvelle vérification.
9 / S’assurer du niveau convenable de remplissage des différents réservoirs de l’engin :
carburant, huile hydraulique, eau, lubrifiant, etc.…Veuiller à ce que les compléments des pleins
soient effectués avec les produits adéquats.
11 / S’assurer du bon étât mécanique de tous les organes mis en mouvement pour effectuer
une manœuvre, avant, pendant et après chaque manœuvre. Stopper immédiatement la manœuvre si
des bruits ou des phénomènes anormaux sont perçus à partir de l’engin.
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13 / La reprise de la manœuvre est conditionnée par la correction des défauts constatés. La
remise en route de l’engin ne doit être faite que si tous les organes de protection et de sécurité sont
remis en place et en étât de fonctionnement correct.
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VI. CONDUITE A TENIR EN CAS D’ACCIDENT
Uniquement les dommages occasionnés par les accidents ainsi que les secours qu’il faut
dispenser aux victimes seront considérés. Nous citons ci-après la conduite à tenir, par les
responsables d’exécution, en cas d’accident.
V.1. Les Accidents Benins
Pour traiter ce type d’accidents, on fera recours aux moyens d’intervention existants sur
chantier :
- Secouriste de travail, à défaut chef de chantier ou infirmier ou toute autre personne ;
- Boite de pharmacie (consommable entretenue non périmée).
La victime peut éventuellement aller seule ou être accompagnée chez le pharmacien le plus proche.
V.2. Les Accidents Graves
Ils nécessiteront le recours aux moyens existants sur chantier ainsi qu’aux moyens extérieurs.
Une simulation doit être programmée au cours des travaux sans réclamation pour entrainer le
personnel de sécurité de bien réagir en cas d’accident préalable.
Les actions dangereuses pour les sauveteurs (atmosphère toxique, électrocution, éboulement,
incendie, etc.).
N.B.Important : Si les moyens dont on dispose ne sont pas suffisants et si les actions
entreprises dans ces conditions risquent d’être préjudiciables à la victime, il faut alerter de suite,
dans l’intérêt de la victime, sans perte de temps : sang froid et lucidité sont de rigueur.
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2. Rôle du chef de chantier :
Alerter
Police de secours, garde nationale, protection civile, hôpital, ambulance, SAMU, médecin, etc., en
suivant les indications de l’organisation des secours et en indiquant :
- le lieu exact de l’accident ;
- la nature de l’accident ;
- le nombre de blessés et leurs états ;
- les risques particuliers.
Préparer
3. Rôle du secouriste :
Dans tous les cas, la victime doit être maintenue dans la position dans laquelle elle a été
découverte (son déplacement peut créer le risque d’une fracture au niveau de la colonne vertébrale).
- D’abord, s’assurer que la victime respire : Extraire d’éventuels corps étrangers au niveau des
voies aériennes tout en évitant de bouger la tête (risque de fracture du rachis cervical) ;
- La victime ne respire toujours pas : procéder à la ventilation par bouche à bouche par une
personne spécialisée.
Saignement, fractures :
- Le saignement peut être extériorisé : dans ce cas, comprimer énergiquement la zone qui saigne à
l’aide d’un pansement compressif ;
- Au niveau de la plaie, rincer à l’eau, utiliser un antiseptique si possible, veuiller à ce que la plaie
ne soit pas souillée lors de la confection du pansement surtout s’il s’agit d’une fracture ouverte ;
- S’il s’agit d’une fracture ouverte qui saigne : comprimer sans déplacer les fragments osseux et
mettre une attelle pour l’immobiliser en plus du pansement compressif ;
- Le saignement peut être interne, non visible, reconnaissable à la pâleur de la victime le poul
rapide : dans ce cas, surélever les membres inférieurs (toujours en maintenant stable une
éventuelle fracture).
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Brûlures :
C’est le passage d’un courant électrique dans l’organisme suite à un contact accidentel avec
un fil conducteur ou un appareil électrique sous tension.
Il peut être à l’origine d’une simple secousse, une brûlure, des troubles respiratoires et cardiaques
qui peuvent aller jusqu’à l’arrêt cardiaque.
Dans ce cas, le secouriste doit s’abstenir de toute intervention directe sur la victime ou les
installations et allerter immédiatement :
- l’électricien ou le service sécurité ;
Il est interdit à quiconque de s’approcher à la zone dangereuse. Si la victime est suspendue, il faut
prévoir sa chute au moment de la coupure du courant.
V.3. Demarches administratives à faire immediatement après les secours
1. Dans tous les cas d’accidents :
- Etablissement d’une déclaration d’accident du travail à envoyer par lettre recommandée avec
accusée de réception au plus tard 48 heures après l’accident à la Caisse National de Sécurité
Sociale (CNSS) dont dépend la victime ;
- Envoi d’une copie de cette déclaration à l’Inspection de travail dont dépend le chantier ;
- Envoi d’une deuxième copie de cette déclaration et d’un compte rendu d’étude de l’accident au
siège de l’entreprise ;
- Etablissement de la fiche d’information.
La victime conserve une copie de cette déclaration chez lui pour l’utiliser en cas de besoin.
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2. Dans le cas d’accidents graves et mortels :
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VII. SENSIBILISATION
Pour maintenir vivant l’esprit de sécurité et pour garder la perception du risque par tous les
actifs du chantier à un niveau appréciable, des actions de sensibilisation doivent être entreprises tout
le long de la durée du chantier.
Ces actions peuvent être sous forme de manifestations pour large public du chantier (mois
sans accidents, compagne de sensibilisation d’ordre général ou d’ordre spécifique contre un risque
bien déterminé, etc.), des séances de sensibilisation pour un public spécifique sous forme
d’encouragement pour le respect des règles de sécuruté ou sous forme de concours et bien d’autres
façons...
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VIII. CONCLUSION
En conclusion, nous attirons l’attention de tout le personnel du chantier sur les
recommandations suivantes :
L’engagement effectif des dirigeants du chantier dans la réalisation de tous les axes de ce
programme est la plus importante des garanties pour sa réussite ;
La concertation surtout, le plus en amont possible, entre les différents acteurs du chantier
(Entreprise, Maître d’Ouvrage, Maître d’œuvre, sous-traitants, etc.) sur toutes les questions de santé
et de sécurité au travail, les choix des méthodes de travail, les délais, les coûts, etc., restera une
approche préviligiée pour la maîtrise des risques professionnels ;
Les sanctions pour le non respect des règles de sécurité resteront l’ultime recours pour la
sensibilisation des salariés aux risques professionnels.
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