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but-rucratif
(
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!* S P I R A L E . !
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Revue Mensuelle, parait 10 fois par an, n° 70- 10ème année- novem-
bre 1973- éditée par le Centre IG NORAMUS de Be lgique (A.S.B.L.),
fondé pour diffuser l'ens e ignement de Ma ître G. OHSAWA.
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!* SOMMA I R E . !*
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2•
1 1
un impoll.i.ani. con/Ji.duani. de ced i.lwi.J élémeni..J, c edi.-à-di.Ae gu il.J ani.
la même .JiA..uci.WLe d 1 éguilib!Le. Ceu edi. une con/Jéguence néced.Jai!Le du
11 1
moni/.Jme. A 1 1aveniiL, on pou11_11_aii. éi.abliiL une di.<J cipline dde 1 I.Jo!Lo-
poloffie11 (du ff!LeC I/.Jo/1_/Lopia, 11 gui.J_Ib1Le 11 ) gui /.J 1occupe!Laii. .Jpécialemeni.
de i.ou/.J le-:1 p!Loblèmed !Lelai.I~ à 1 1 éguilib/Le daM n 1impoll.i. e guel domai-
ne, "L1 L/.JO!Lopo
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Vous vous rappelez que le Prof. Kervran est intervenu ù plusieurs re-
prises dans des camps organisés par G. OHSAWA, et qu' il a eu l 'occas ion de nous
expose r directement le résultat de sa vie de recherc hes. Le Prof . Kervran es t
un physico-chimiste français , titulaire d 1 une chaire de physique à l'Institut
de France, et il a découvert, et peut-on dire vraiment inventé, car le terme
est académique, les transmutations biologi que s.
Vous pouvez donc constater que dans cette équation chimique, on re-
trouve d'un côté les mêmes éléments exact ement que c eux mis en prés ence lors
de la réaction. Donc , dans ce cas, le princi pe de Lavoisier, "rien ne se perd,
rie n ne se crée" est appliq~é, étant donné que pond éralement et au point de
vue élémentaire, on retrouve la même chose . On retrouve les éléments sous une
autre forme puisque la réact i on d'un acide avec une base donne un sel plus de
l 'e au. Mais si on fait l'addition des poid s mis en oeuvre de chaque côté, on
retrouve les mêmes poids .
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L L~
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h e.u.t ('0 tt
prot'oh +
I l se compose d'un noyau qui se compose lui-même de t~ois protons et
quaj re ne }ltrons. Ceux-ci forment la partie centrale autour de laquelle gravi-
tent les électrol}_s_. Ceux- ci so nt toujours du même nombre que c elui des protons.
Il faut considé rer ici deux orbites, l'orbite K et l'orbite ~ ' cela dépend du
nombre d'élec trons . ·Il y a des corps qui n'ont qu'un seul électron, comme l'hy-
drogè ne qui n ' a évidemment qu'une seule orbite
A.ft'otoo
·H
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0 (A) (B)
....._
0 Jill""""'
0
~8 '\ H
0 H20
9.
d'H se sont rapprochés à une distance critique d e l'atome d'O et les phénomènes
d'attirance ont joué : en effet, les réactions chimiques sont uniquement des
réactions d'attirance. Ce sont des phénomènes qui ne se passent qu'au niveau
de l'électron et ici l'électron s'est trouvé capté dans le système de 1'0, au-
trement dit un nouvel élément complexe a été créé qui est une molécule. Ce
qui se passe dans l'exemple de l'eau se passe dans tous les exemples de réac-
tions chimiques. Reprenons l'exemple cité ci-dessus : chlorure de Na+ acide
chlorhydrique : quatre éléments sont mis en piste ; il faut ici quatre dif-
fére nts dessins pour montrer deux molécules qui se transforment en deux autres
molécules à structure différente. Attirance est sJmonyme d'affinité chimique,
mais il ne suffit pas que les corps soient mis en présence, il faut des con-
ditio ns, soit de température ou de pression ou de temps de contact ou de ca-
talyse. Le catalyseur est justement un produit qui favorise les différentes
réactions chimiques. Par définition, il favorise la réaction sans y partici-
pe r, c'est-à-dire que du point de vue chimique, si on voulait le dessiner dans
le schéma, il ne rentrerait jamais dans l a réaction et en réalité il n'y ren-
tre pas, mais il crée des conditions favorables à celle-ci.
(à suivre)
Conférence faite par Monsieur Hubert DESCAMPS
au Centre Ignoramus de Belgique, le 20.6.1970,
enregistrée et transcrite par J. BAGNO.
1 0.
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!* RETOURNER A LA VIE AGRAIRE OU PERIR . !*
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( S ui t e )
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!* LES PLANTES MEDICINALES. !*
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(Suite)
LE TILLEUL.
-=-=-==-=-=-=
oubli~
Au stade actuel de notre civilisation, nous avons presque
que nos ancêtres viva ient dans la forêt et qu'ils se nourris-
soient des fruits de ses arbres, de plantes, de champignons et de
ba ies. Notre alimentation journa li~re devrait en fait comporter da-
van tage de d~coctions à base de tilleul, de bou lea u, de surea u.
I.B.
15 •
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*~ LA PAGE DES ENFANT S . *~
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Cornélia AIHARA est née à Fukushima au Japon. Elle commença à étud ier
la macrobiotique dans l ' école de G. OHSAWA et el l e avait pour tâche de vendre
dans les rues de Tokyo la revue "Gouvernement mondial" d' OHSAivA. Elle raconte
que ce fut ainsi qu'elle apprit sa plus important e leçon : ne pas s'isoler
et comprendre ce que signifie la vraie fraternité, en bref, comment devenir
un &tre heureux. Elle partit aux Etats-Unis et se maria avec Herman AIHARA,
guide et professeur en macrobiotique aux E.U., et président de la "Georges
OHSAWA Macrobiotic Foundation". Leur premi ère fille, Marie, naquit en 1958
et leur fils Jiro en 1959 . Corné lia apprit à cuisiner aux E.U. en aidant
Mme OHSAivA au cours des camps d'été macrobiotiques de 1960, 1961, 1963 et
1964. Et depuis 1969, elle cuisine seule au cour s de ces camps. Depuis 1961,
elle donne des cours de cuisine macrobiotique et se rend chaque mois avec son
mari dans des communautés de la c8te Est, et en ét é, elle voyage avec .l ui à
travers tout le pays. De G. OHSAWA et de Lima, elle apprit la philosophie de
la puériculture macrobiotique, de Marie et de Jiro, ell e apprit so n art et sa
pratique .
Quand Marie avait cinq mois, elle attrapa la rubéole. Son visage
était tout rouge de fièvre. Je la tins dans mes bras près de la porte de der-
rière qui donnait sur le jardin. C'était la première fois que je la gardais
aus s i longtemps et elle me regardait en riant avec sa petite face toute rouge.
En moi-même je pleurais en la voyant rire ainsi car je suis très sentimentale.
J 'étais très reconnaissante envers Georges OHSAWA pour les conseils qu'il m'a-
vait prodigués. Comme enfant, j'étais toujour s maladive, j'attra pais toujours
froid et j'avais aussi des problèmes cardiaques . Je rejetais toujours mes
couvertures et ma mère ne savait qu'y faire . Quoique je ne pleurais pas, je me
sentais très mal dans ma peau. Quand je me souviens de cela, je peux constater
si claire ment combien grande est la différence entre la jeunesse de Marie et
la mienne,
(à suivre).
1 7.
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:* HIST OIRE DES OEUVRES DE G. OHSAWA. !*
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(Suite et fin).
Le pre mier février 1 946 , G. OHSAWA crée "Le Comp as", organe
mens uel d e l' Associ ation " Vivere Ve ro" . Dans les premiers numéros
du "Compas", i l étud ie la t héorie de A. Toynbee , s ous le titre "Le
Principe Unique du Professeur To ynbee" .
traduit "The meeting of East and West" par Northrop (2) Le positi-
visme et le réalisme en Extrême-Orient (3) Conception de la vie se-
lon Wells (4) Conception de la vie selon Einstein (5) Correspon-
dance entre G. Ohsawa et F .S.C. Northrop (6) Lettre ouverte aux
leaders du mouvement pacifiste (7) Taïsetsu Suzuki et la paix
(8) Le christianisme formaliste (9) Le gouvernement mondial et
Erewhon (10) La signification de la date de naissance (1 1 ) A.
Schweitzer, l'hamme du siècle (12) Un pauvre prisonnier dans un
pays heureux.
R.Y./J.B.
22.
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!* R E C E T T E S. !*
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(6 personnes)
par Mme K. YAMADA
d'apr ès le cours d e cuisine spécial du 10/ 11/73)
POTAGE DE POTIRON.
BOULETTES DE BARDANE .
AN KAKE,
KINPIRA.
l'eau soit absorbée tout en tournant dans les légumes avec une cuil-
ler en bois. Terminer en parsemant de sésame grillé,
SALADE.
Tr emper les algues Wakamé dans l'eau pendant une demi-heure. Couper
ensuite en morceaux d'un cm. Couper la carotte et les chicons en
t rès fines allumettes. Découper les radis en forme de fleurs . Cou-
pe r la pomme en petites perles, Mélanger les algues, les carottes,
les chicons et la pomme dans un saladier où se trouve l'aissaisonne-
me n t fait d'un peu de sel et de tamari, de l'huile et du jus de ci-
t r on. Garnir ensuite avec les graines de sésame.
SHINODA-MOTI.
DESSERT.
2/3 d'une petite tasse de kuzu - 11/3 de petite tasse de tahin (blanc
de préférence ou blanc mélangé avec du tahin brun) - 6 petites tasses
d'un jus de fruit (que l'on presse soi-même).
Diluer le kuzu avec un peu de jus de fruit. Mélanger avec le tahin
et le reste de jus, Faire cuire à petit feu en tournant. Laisser
refroidir dans un endroit frais.
24.
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!* A C T I V I TE S. !*
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!* INFORMATIONS. !*
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!* ABONNEMENT 1974. !*
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!* P E L E - M E L E. !* * TROP DE PLOMB DANS LES SOUPES EN POUDRE.
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************************ Les soupes fabriquées industriellement et les sou-
pes en poudre contiennent souvent plus d e plomb qu'il
n'est to léré par les experts en additifs alimentaires de l'Organisati on Mondia-
le de l a Santé. Ceci ressort des recherches eff e ctuées par D. J e cke l de l'Ins-
titut des Sciences alimentaires de l'Université Justus Liebig à Gies sen. Ainsi,
dans un potage à la queue de boeuf, on a trouvé une quantité de p lomb deux fois
plus él evée que celle tolérée par l'O.M.S. Une s oupe aux tomates en contenait
même quat re fois plus. Vu le fait que de nos jours l'on mange de plus en plus
de soupes préparées industriellement (en Allemagne, elles représ ent ent 50 %
de la c onsommation des soupes), le contrôle plus poussé exigé par Jeckel sur
les pr oclui t s nui si bles serait certainement désirable. (Fr a nkfurter Allgemeine
Zeitung- 24 octobre 1973).
* FRIANDISES.
* Jusqu'à c e que l'on ait pulvérisé des produits chimiques destinés à une cer-
taine es pèce de mites, mais qui éliminèrent également les chenilles de pha-
lènes qui s e trouvaient sur les pommiers, les h orticulteurs ne s'étaient pas
aperç u s du dommage causé par les larves des arai gnées rouges. Ensuite, tan-
dis qu e l es entomologistes cherchaient de nouve aux insecticid e s pour se débar-
rasser de ces larves, les mites évoluèrent et constituèrent une race nouvelle
immunisée contre les poisons précédemment utilis é s. Plus d'un cultivateur
d'arbr e s fruitiers et de pommiers en particulier a conclu récemment que ses
meilleur s alliés n'étaient pas les machines à pulvéri s er les insecticides,
mais b ien les mésanges et autres oiseaux qui se nourriss e nt de s oeufs d'in-
sectes en hiver ainsi que les ~nsectes qui s'attaquent aux chenilles. (Lorus
et Marg e ry Milne : La Féerie animale).
AU SERVICE DE NOS LECTEURS TEN DIEN STE VAN ONZE LEZERS
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" ILS NOUS SOUTIENNENT, SOUTENEZ-LES ! , - "ZIJ STEUNEN ONS, STEUNT HEN ! ,
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Les magasins qui sont disposés à diffuser notre revue sont priés de nous le communiquer en écrivant ou en téléphonant
au secrétariat, en semaine, après 20 h., et le week-end éventuellement toute la journée.
De winkels die ons tijdschrift zouden willen helpen verspreiden worden vriendelijk verzocht het secretariaat schriftelijk of tele-
fonisch (op werkdagen, na 20 uur, zon- en feestdagen, eventueel gans de dag) te willen verwittigen.
(C .I.) : Centre lgnoramus - (A) : Activité Macrobiotique - (U) : Usine - (R) : Restaurant
- (Ml : Magas in de Produits Ohsawa - (Pl : Pension Macrobiotique .
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. --:---", / ··-'·1.
11\ .•
C.C.P. l984.66
Supplément à la revue "SPIRALE" nQ 70.
Secrétariat Josiane BAGNO
Rue Rasson, 79
l040 BRUXELLES.
Tél. 02/36.76.85.
Cher Monsieur,
Chère Madame,