Depuis le 1er octobre 2022, il est désormais obligatoire de remplir un certificat sept jours avant de
recueillir un animal de compagnie, pour limiter maltraitance et abandons.
16 457. C’est le nombre d’animaux abandonnés recensés par la SPA, rien qu’entre le 1er mai et le 31
août 2022. Triste chiffre encore cet été.
Pour lutter contre les abandons et la maltraitance des animaux, il est désormais obligatoire, depuis le
1er octobre 2022, de signer un « certificat d’engagement et de connaissance » si vous souhaitez
acheter ou adopter un animal de compagnie, et ce sept jours avant d’accueillir votre nouveau
compagnon à poil ou à plume.
Le but ? Éviter les achats d’impulsion, et les abandons qui s’ensuivent parfois quelques mois plus
tard. Car ce document vise à vous informer sur les besoins et les comportements de votre animal de
compagnie, le coût de son entretien, et sur l’obligation d’enregistrer son identification
« Ce n’est pas forcément la personne cédant l’animal, notamment si c’est un particulier », précise le
site service-public.fr.
Le certificat doit donc être signé et complété de façon manuscrite sept jours avant l’adoption ou
l’achat de l’animal. Attention, si vous ne le respectez pas, vous vous exposez à des sanctions !
L'entrée au collège est aussi le moment où la plupart des jeunes ont leur premier téléphone portable.
Une entrée dans la vie numérique parfois compliquée, avec des risques liés aux réseaux sociaux.
Pour les aider, l'Éducation nationale a élaboré un programme "Internet sans crainte" et et des outils
axés sur les bons comportements.
Les parents sont le premier rempart face aux dangers des réseaux sociaux. Et l'école dans tout ça ?
Parce que l'entrée au collège, c'est généralement l'année du premier téléphone portable, et de
l'entrée dans la vie numérique. Le ministère de l'Éducation nationale a élaboré un programme
"Internet sans crainte". Un cours adressé au sixième, axé sur les bons comportements. Des outils
indispensables que dévoile Europe.
"Les bonnes pratiques qu'on veut leur faire passer, c'est déjà d'être respectueux les uns avec les
autres, de se rappeler que derrière un écran, il y a une vraie personne et que c'est important de bien
se comporter avec elle pour éviter justement que s'installent des situations de cyberviolence. Ensuite,
sur la protection des données personnelles, l'enjeu, c'est surtout le plus longtemps possible de choisir
un pseudonyme, un avatar, de ne pas partager des informations qui vont permettre de découvrir
l'identité ou savoir où on habite par exemple", souligne Axelle Dessaint, qui dirige le programme
"Internet sans crainte", à l'origine de ce projet.