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(1) La particule est repéré à l’aide de ses trois coordonnées cartésiennes
(x = q1 , y = q2 , z = q3 )
et on a
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m q̇12 + q̇22 + q̇32 .
T =
2
(2) Les trois équations de Lagrange sont:
d ∂T ∂T
(2.1a) − = Q1 =⇒ mq̈1 + 0 = 0,
dt ∂ q̇1 ∂q1
d ∂T ∂T
(2.1b) − = Q2 =⇒ mq̈2 + 0 = 0,
dt ∂ q̇2 ∂q2
d ∂T ∂T
(2.1c) − = Q3 =⇒ mq̈1 + 0 = −mg.
dt ∂ q̇3 ∂q3
(3) Si on pose V = mgz (= mgq3 ), on a alors
∂V
(2.2a) 0=− ,
∂q1
∂V
(2.2b) 0=−
∂q2
∂V
(2.2c) −mg = − .
∂q3
(4) Les trois équations de Lagrange sont de la forme
d ∂T ∂T ∂V
(2.3) − =− , j = 1..3.
dt ∂ q̇j ∂qj ∂qj
∂V
En remarquant que l’on a = 0, on a alors
∂ q̇j
d ∂(T − V ) ∂(T − V )
(2.4) − = 0, j = 1..3,
dt ∂ q̇j ∂qj
ce qui est le résultat cherché
(1) Les contraintes cinématiques sont que la roue est indéformable (a) collé au sol (b)
avec son axe de rotation horizontal (c). Elle roule sans glisser sur le plan (d).
(2) On a ainsi:
z1 = r (a)+(b)+(c)
z2 − z1 = −rcos(ϕ) (a) + trigo
x2 − x1 = r sin(ϕ)cos(θ) (a) + trigo
y2 − y1 = −r sin(ϕ)sin(θ) (a) + trigo
ẋ1 + r ϕ̇cos(θ) = 0 (d)+trigo
ẏ1 − r ϕ̇sin(θ) = 0 (d)+trigo
Les 4 premières liaisons sont holonômes et les deux dernières liaisons sont non-
holonômes;
(3) Le nombre de degré de liberté est donc de 4 (8-4). Néanmoins on peut remarquer
que sur ce cas que l’ensemble des 8 coordonnées donné au départ est déjà lui même
non indépendant dans la mesure où la connaissance des coordonnées cartésiennes
permet d’avoir les deux angles. Ces relations sont dans notre cas deux liaisons
holonômes supplémentaires.
PS: à titre de culture, la liaison de roulement sans glissement est une liaison dite semi-
dl
holonôme, c’est à dire de la forme = 0 avec l(qi ). Elle peut réduire le nombre de degrés
dt
de liberté au cas où l’on connaı̂t les conditions initiales.