Une utilisation sationnelle du dégrillew
débe
minimale
du relévement (distan
argeur du canal)
tion, sécurité :
Facilité d’exploi
récupération
sckage) doit étre mis
tratte sont
Dans tous les cas, un
dar joutlage
La prévention de
en mouvement impose I'instal
sitils de protection (photo 9).
jés crux piéces
dégrillage (ORCAT)
réalablemer
ent utile que
gence puisse ¢
pas de
arrét simple ne présentar
risque pour le personnel
Photo 10: Bouton d
(ARPE-PACA)
Dégraissage — dessablage
Justification
Le déssableur s lequel les
particules st infériow
re 60,3 m/s vor
principalement
s'y déposer, il s'agit
bles. Il est en effet sou-
je la sta
muler en
on plulot que de les laisser s'ace
s (bassin d'aéra
certains pc
engendrent
aillours, ils limitent lech
meétalliques de:
appareill abrasif
Le dégraisseur a pour objet la rétentior
graisses appréciées analytiquement par la
mesure de
forme). Ces m:
au
ceptibles de muir nase biolog!
traitement (mo! giques,..)
ontribuent pour une part signifi
DCO des eaux résiduaires (1 mo/l
1g DCO — teneur moyenne d'une
pau résiduaire : 150 mg Bien que leifi
cacit des dégraisseurs en entrée de
6s importante (de I
ttc ordre
4c ssiduaires domes
et ouvrage reste er
+} excepté sill est prévu
ine zone de contact
reprise des flottants.
scblage-dégraissage
sssurées simultanément (ouvrage
ement (ouvrages séparés po
es collectivités).
les toute:
Recommandations techniques pratiques
Io dessa
vement. Las
Sur k én
Sur les petites
tallatio}
fonctionnant alter
vitesse par instal
tie a équattion lin our Eiffel
hauieur d'eau au débit
spuration), le fc
vitaire du sable p.
tallation d'une bonde
‘aura une pente et
Lorsquil s‘agit d’un ouvrage com a
bleur-dégraiss a
photo 11), le desso
¢ salisé dar inférieure
(Conique) du bassin. La p tre
inférieure & 45°, Les sables seront récupérés
aprés détassage par un dispositif de type
(insufflation d’air) moins sujet au
et plus i
ompe (fonctionnement en continu
dégraisseu par insufflation d’air
diamétre < | mm) ap
eux principaux
performants. LesPhoto 11 : Dessableur-dégraisseur combine
(SATESE 37)
critéres de mise en ceuvre sont rappel
vitesse ascensionnelle limite 15mimh et
temps de passage de Teau au débit de poi
te = 10 minutes. La puissance spécifique
absorbée ne devrait pas dépasser 30 W/m:
pour les petits cuvrages et une quinzaine de
Wim’ pour les plus grands. Les boftiers de
ception des flottants situés en périphérie
douvrage quront au moins les dimensions
suivantes : 400x200 mm. La conduite d’eva
uation (diamatre minimum 200mm) sera
pei
Les dégraissours statiques présentent un
intérét limité : on parlera plutot de bac récu-
pérateur de flottants.
- Dans tous les cas, il est indispensable de
pouvoir isoler le dégraisseur sans entrainer
Tarrét de la station d’épuration {impossible
pour des ouvrages combinés au. bassin
daération)
Dans les stations a boues actives en aéra-
tion prolongée, le dégraisseur peut sans
dommage étre transformé en zone de contact,
(voir fiche 6) pour prévenir les risques de foi-
sonnement préjudiciables au bon fonction:
nement du décanteur secondaire,
Dispositions facilitant l'exploitation
Nécessité d'un point d’eau so
sion & proximité des ouvrages.
Lévacuation directe (quand c'est possible)
des refus du dessableur sur deux lits de
séchage drainés (I mi/tranche de 1000 habi-
Figure § seption des sales.
tants) donne généralement toute satistaction
(fig. 5).
~ Les refus du dégraisseur sont générateurs
de contraintes lies & la qualité et aux quan
tilés de produits ct évacuer. Pour une reprise
par camion, limportance des volumes &
transporter a une incidence directe sur le
dentrotion de la station,
IL importe donc de réduire au minimum le
volume des flotiants récupérés, cela va de
pair avec une augmentation de leur concen
tration qui peut étre en partie obtenue en
fractionnant le temps de fonctionnement du
racleur de surlace (mise en place d'une
minuterie)
Pour une mise en décharge, l'exploitant se
heurte de plus en plus i la difficulté de four
nir un produit dont la siccité cutorise cott.
forme d'évacuation. Un palliatif est proposé
en réaliscmt un mélange des refus du dessa:
bleur avec les flottants récupérés dans le
dégraisseur, Lo produit final est alors plus
concentré et son acceptation par la décharge
s'en trouve facilitée.
- Llutilisation dadditifs biologiques spécl-
fiques de la dégradation des graisses & pour
objectif final la réduction du volume de refus.
Quelques effets positifs ont été constatés cu
niveau des béches de stockage des graisses
(diminution du volume de graisse). L'emploi
dladditifs demoure copendant enéroux pour
les petites installations (apport régulier de
produit.)15
Fiche 4
Dispositifs de mesures
En entrée en station
Liamélioration du, fonctionnement des sta-
tions nécessite I'acquisition de données
fiables relatives aux conditions dalimenta-
tion, Ces données concement principale-
ment les debits et les concentrations des
eaux résiduaires.
Pour les petites installations, cos mesures en
entrée sont la plupart du temps réalisées par
los SATESE,
Mesures de débits
la non-conservation des débits sur des ins-
tallations & long temps de passage (ex.
Lagunage naturel) implique d'effectuer des
mesures en entrée,
- la présence d'un déversoir dorage on
réseau unitaire rend obligatoire la mesure
de debit en entrée (nécessité dajusier écr
tage des débits en fonction des potentialités
de la station)
Disposition pratique
Les mesures de débit sont assujetties & un
certain nombre de contraintes pratiques diffi
ciles a mattriser (régime laminaire, mise en
charge du canal pour certains seulls...). Dans
ce domaine il convient donc de rechercher le
point denirée qui permet de réduize les
contraintes (seuil aprés un dégraisseur,
déversoir & contraction pouvemt étre facile.
ment installé dans un dessableur longitud!
nal.)
Répartiteur des débits
De nombreuses stations sont équipées de
bassins alimentés en paralléle ; le probleme
de la répartition des débits entre les i
Tenis ouvrages se pose alors avec aculté.
Pour les petites installations, un systéme
simple et satisiaisant peut étre conseillé
(fig. 6): ouvrage cylindro-conique ou rectan-
gulaire, alimenté par le fond et muni d'un
dispositif permettant la dissipation d’énergie.
Les retours de boue recirculée peuvent &tre
lirectement dans chaque bassin (une
pompefbassin) ou a Tamont du répartteur
recirculation commune)
Dans les cas oit une extension est envisagée,
iLy a lieu de favoriser lalimentation en sér:
des bassins (le plus petit en position 1) dans
la mesure o¥ les polentialités de Yaérateur
du premier bassin le permetient. Cette dispo-
sition évite donc le répartiteur et peut contri-
buer partiellement é mattriser un foisonne-
ment des boues.
Pour donner plus de souplesse d’exploitation
préserver la fiabilité du fonctionnement, il
est nécessaire de prévoir toules possibilités
pour lalimentation en eaux us
sulation des boues (circuits alimenta.
tion en série ou en paralléle).
Prélévements d’eaux brutes
Une bonne connaissance des caractéris-
tiques des eaux résiduaires brutes admises
en traitement dépend de Ja qualité des prélé-
vements réalisés, Outre le type de matériel,
le point de mesure a également une impor-
tance.
Bien souvent, il est difficile pow
nismes chargés de ces mesures dopérer
dans de bonnes conditions car cet aspect
pratique n’est pas pris en compte lors de
Velaboration du projet. Par exemple, les
mesures réalisées dans les baches de releve-
ment sont pariois biaisées par différents
(surnageant
retour en téte épaississeur,
cefevlenent
HW ae dese
jure 6 : Répartition de débit.retours, déshydratation...) qui modifient les
caractéristiques des eaux brutes.
Pour éviter ces problémes, il serait done sou-
haitable d’aménager un regard d'accés au
collectour et mont immeédiat de toute bache
de relevement.
En sortie de station
- La mise en place d'un canal de mesure cor-
rectement adapté aux débits traversiers est
indispensable. ll convient de ne pas oublier
nstaller une lame de tranquillisation &
‘amont du déversoir le plus souvent triangu-
aire et amovible (photo 12).
Lorsque le canal est situé au niveau du sol,
est souhaitable de matérialiser sa présence
par une chaine, pour éviter tout accident.
En zone inondable, la conduite d’vacuc:
tion des eaux traitées doit & ipée d'un
clapet anti-reteur
16
- Dans le cas des boues activées, il est
conseillé de mettre en place des canaux de
mesures de debit des boues recirculées.
Photo 12: Canal de mesure de débit en sortie
(SATESE 37)17
Fiche 5
Bassins d’aération
Dispositions générales
Les bassins d’aération (photo 19) sont par
definition les reacteurs biologiques dans les-
quels seffectue Ia transformation de la
matiére organique par les microorganismes
aérobies, lls constituent un élément fonda:
mental de la filire definie sous le terme de
boues activées. Dans le domaine des petites
stations d’épuration, la technique des boues
activées en aération prolongée est la plus
répandue. Elle est caractérisée par les para
‘tres suivants
Charge _ Pollution journaligre DBO
massique ""Biomasse présente
< 011 kg DBO/kg MVS§
Charge __ Pollution journaliére DBO
volumique
Volume du bassin d’aération
<0,35 ka DBOlmj
Concentration en biomasse
dans le bassin
Charge volumique
< 35gi (MVS)
Charge massique
Photo 13: Bassin d'aération (ARPE-PACA)
La fourniture de Voxygene nécessaire aux
Jicroorganismes et la puissance a mettre en
ceuvre pour éviter les dépéts en fond de bas:
sin sont déterminantes. L’adéquation du
couple aérateur-bassin daération reste
essenticlle comme en témoigne le tableau
(page suivante).
lest de plus rappelé que les temps de fone:
tionnement des aérateurs varient selon le
niveau de traitement recherché et selon le
type daérateur
- pour I'élimination des composés carbonés
Je temps de fonctionnement optimal est com-
pris entre 16h et 18 hij ¢ la charge nominale
(cas des turbines et des brosses)
- pour 'élimination des composés azotés, le
temps de fonctionnement ne doit pas dépas-
ser 14 hy pour les brosses et les turbines (des
periodes d'arrét de 2.h maximum sont néces-
saires pour dénitrifier)
- dans le cas de diffuseurs fines bulles en
céramique ou équivalent, on installera deux
surpresseurs dont un a deux vitesses, le sur-
presseur fonctionnera en continu pour éviter
fout risque de colmatage. A noter que les
nouvedux diffussurs (matériaux souples per-
forés) autorisent des périodes d’arrét des sur
presseurs et sont donc mieux adaptés pour
réaliser correctement I’élimination de l'azote.
Toutes les nourrices d'air sont & écruiper de
clapets anti-retou
Pulsonce | Proton
Type spécifique mari Observations
minimale
Tustin, 30 Wim’ pees (44) | pos an
Sh=2am | pratoeen
‘esses 25 KM) | Bassin Gece
S35 peu poor
Bosses 25Wim—n=22m lecteur 8
inalimméat |
dia bros
tte onpé-
‘iar our ot
seria vtesse
Sueourart,
Insut- 128 «3.5m —_—_rocommandd en
filon 16m regions res
bie) |
La tendance actuelle est & la séparation des
fonctions aération-brassage —_(agitateurs
grandes pales) pour optimiser \'élimination
de Iazote. Les puissances des agitateurs sont
variables selon la géomeétrie des bassins
@ Win’ minimum pour une forme annulaire
& 15 Whn' pour des formes rectangulaires de
grande longueur (DUCHENE, 1989).
‘Afin de favoriser le mélange des eaux usées
et des boues, il est conseillé de mettre en
place une cloison siphoide & 'entrée du bas.
sin, on limite ainsi par la méme ocoasion les
risques de court-circuit hydraulique.
Lévacuation de la liqueur mixte doit étre
dussi éloignée que possible de l'arrivée des
effluents et du retour des boues recirculées
(proches l'un de autre).
Il est recommandé de placer une cloison
siphoide & lamont de la lame déversante et
de minimiser l'effet des chutes d'eau & Yaval
pour éviler Introduction d’air dans laon bassin aération/décar
teur (lame déversante munie d'un large
chantrein magonné). Le diamétre de la
conduite de liaison ne doit jamais étre inié-
rieur & 150 mm (vitesse de ordre de 1 mis. &
respecter dans la conduite),
Recommandations pratiques et dis-
positions facilitant l’exploitation
Les aérateurs étant une piéee maftresse du
fonctionnement des stations, achat par une
structure départementale’ de systémes
diaération de secours assurerait la perennite
du fonctionnement et une rationalisation des
investissements.
Turbines
Los turbines ouvertes sont préférables aux
turbines fermées (colmatage toujours pos-
sible)
La hauteur de revanche du bassin doit étre
suffisante (h = $0 cm) et le mur extérieur muni
d'un acrotére (retour incliné ou, horizontal
vers lintérieur du bassin) (photo 14).
Le démarrage variation de fréquences est
recommande.
- Les poteaux de soutien des passerelles ne
doivent pas éire situés trop prés des turbines,
la gotbe ne doit pas étre brisée par les
poteaux,
Le fonctionnement des turbines sera de pré-
ference assuré par une horloge de 24 heures,
a plots de 10 minutes pouvant étre completée
par des horloges horaires permettant la diffé
Tenciation des réglages jour-nuit.
- La présence de jupes est un facteur favo:
rable au développement de mousses biolo-
giques stables en surface des basins,
+ Un réductour en secours est souhaital
(petites installations).
Les motoréducteurs sont ct positionner &
Yextériour du bassin et doivent étre acces
sibles pour les commodités d'entretien
(vidange....)
2 asain
Photo 14: Mur extérieur du bassin : revanche
+ acrotére (SATESE 37)
18
Le fonctionnement des brosses sera asservi
@ une horloge de 24h munie de plots de
10 minutes.
~ Les pannes de brosse entratnent génér
ment des interventions lourdes (démontage,
remontage): prévoir Taccessibilité aux
engins de levage.
Insufflation d’air
Les tampes immergées portant des diff
seurs fines bulles seront impérativement iso
lables ot romontables,
Il est utile de disposer de surpressours
double vitesse (souplesse de fonctionne-
ment).
Lisolation phonique et la ventilation du
local abritant les surpressours sont ct réaliser
correctement.
Lorsque plusieurs bassins sont en service, i
convient de mettre en place un surpresseur
par bassin, les circuits dair pouvant étre
interchangés (systéme de vannage adapis)
Un surpresseur de secours est souhaitable
méme pour les petites installations.
Sur les dispositifs d'insufflation dir, le
contréle du colmaiage des rampes peut étre
facilement effectué par mesure de la pression
sur les conduites d’amenée. Dans I'hypothése
ott ces contrdles sont périodiques, un piquage
simple sur la conduile permettra & lexploi-
tant de vérilier Ia pression en quelques
minutes avec un manométre démontable. Le
contréle des débits diair a l'aide de dia-
phragmes est également préconise.
Entretien, hygiéne et sécurité
- La vidange des motoréductours est souvent
délicate, cette opération pratiquée réguliére-
ment conditionne la durée de vie des appa-
reillages. Il importe que Taccés au bouchon
vidangeur soit simple pour permettre dans
de bonnes conditions, la vérification du
niveau d/huile par jaugeage et la récupéra:
tion des huiles usagées,
- Lat circulation sur les passerelles d’accds
ux aérateurs ne doit pas étre entravée par
des obstacles divers (conduites,..). La passe:
relle sera suffisamment large pour que lon
puisse passer facilement autour des motoré-
ducteurs. Le revétement de sol sera rugueux
ot la passerelle équipée de plinthes.
- Des boutons diarrét d'urgence (fiche 3) sont
a installer proximite de tous les céroteurs
Un filin de sécurité est indispensable &
Yamont immédiat d'une brosse (d = 2m).
Pour une sécurité accrue, le filin peut faire
oflice de coupe-cire
+ Les ouvrages situés au ras du sol sont &
entourer de garde-corps.
- Liaccés aux basins situés cu-dessus du sol
sera de préférence assuré par un escalier
avec une rambarde de protection (preferable
écune échelle avec crinoline).19
Fiche 6
Ouvrages annexes au bassin d’aération
Zones de contact
Les boues activées en aération prolongée
délivrent normalement une excellente quali-
té d'eau épurée. Cependant ces techniques
sont sujettes & des défaillances qui limitent Ia
fiabilité des performances épurcttoires. Le foi-
sonnement des boues, conséquence du
développement de microorganismes fila-
menteux, affecte négativement la décantabi-
Iité des Boues et par conséquent les potentia-
ites hydrauliques de la station. En France,
prés d'une station & boues activées sur
quatre est atteinte de fagon chronique ou
transitoire par ce phénomene qui provoque
des peries de boues dans 77 % des cas, Pour
faire face & ce type de probléme dont lorigi-
ne est souvent & rapprocher de carences
nutritionnelles au niveau du microenviron-
nement, i] est recommandé d’aménager une
zone de contact dont l'efficacité a €16 démon-
trée sur le terrain.
Cet aménagement est de nature & optimiser
et & fiabiliser le fonctionnement des petites
stations d’épuration @ boues activées en
ération prolongée (PUJOL et CANLER, 1990),
Principe (fig. 7)
La technique consiste & créer une zone &
forte concentration en substrat soluble assi-
milable qui stimule les vitesses de capture et
les capacités de stockage du substrat des
germes floculants. Ces derniers ont alots un
taux de croissance supérieur aux microorga-
nismes filamenteux ce qui permet aux
germes du floc d’étre dominants,
Au niveau de la station, cela nécessite la
mise on osuvre d'un bassin de faible capaci-
té situé & lamont immédiat du bassin d'aéra-
tion, dans lequel on réalise un mélange
déterminé de boue recirculée et d'eau usée.
Dimensionnement et fonctionnement
- Temps de contact en pointe de Yordre de
10 minutes (1)
- Volume de la zone de contact (Vz)
Vie = TIQe + Qs)
60
avec
Qe: Débit d'eau résiduaire pendant les
heures les plus concentrées (en m’/h).
(Qg : Debit de boue recirculée en (m'/h).
~ Charge appliquée dans Ia zone: 100mg
DCO assimilable/g de MS (valeur indicative
pour des petites installations ne devant pas
faire face & de fortes variations qualitatives,
ou quantitatives de la charge & traiter).
- Nécessité d'un brassage continu de la zone.
————— oe
,
Figure 7 : Schémas de zones de contact.
- Un systéme de récupération des flottants est
souhaitable.
Recommandations pratiques
- Il est important de vérifier péricdiquement
les conditions de fonetionnement, notamment
le débit de boues recirculées, cela implique
la mise en place d'un dispositif de mesure
approprié.
En cas de relévement, la recirculation des
boues doit étre asservie au fonctionnement
des pompes (ou vis). La nuit (charge polluan-
te proche de 2ér0), la recirculation vers Ja
zone de contact peut étre arrétée,
Zones anoxiques
Léélimination des composés azotés (de plus
en plus exigée) dans une station d’épuration
par boues activées en aération prolongée
implique que les phases de nitrification ot
dénitrification soient conduites dans de
bonnes conditions. Bien qu’antagonistes, ces20
conditions sont soit réunies simultanément
dans le bassin daération proprement dit
(moyennant des réglages appropriés), soit
séparées, Dans ce dernier cas, la phase de
nitrification est réalisée dans le bassin
daération, quant « la phase de dénitrifica:
tion elle peut etre accélérée et intensifi6e
dans une zone anoxique.
Principe (tig.8)
La zone anoxique est installée @ !amont
immeédiat du bassin d'aération. Les boues
recirculées et la liqueur mixte concentrée en
nitrates sont ramenées en entrée de la zone
anoxique. La présence de substrat carboné
véhiculé par Vea résiduaire active la déni
tification assurée par les bactéries hétéro-
trophes présentes dans les boues.
bute
tame potteaiooer
po Mea nealation
Wvalaton dad
Figure 8 : Schémas d'une zone anoxique.
Dimensionnement et fonctionnement
Temps de passage : | & 2 houres (calculé a
partir des débits cumulés transitant dans la
zone).
- Volume de la zone anoxique représentant
environ 7 fois le debit moyen d'eau usée.
Il est important que les agitateurs puissent
étre orientables dans les plans horizontaux et
verticcrux. La puissance de ces agitateurs est
fonction de la forme du bassin. En régle
générale, on retiendra: 10 Wim' avec un fonc-
tionnement continu du brasseur, 15 W/m’ si le
fonctionnement est syncopé (50 % du temps).
= 11 est préconisé diutlliser un minimum de
deux pompes pour le circulation de la liqueur
mixte (concentrée en nitrates). Chaque
Pompe est G dimensionner sur la base de
deux fois le débit moyen horaire d’entrée.
Recommandations pratiques
Le bon fonctionnement de la: zone anoxique
est notamment dépendant de la maittrise des
debits qu'il convient de vérifier périodique-
ment. Cela pose parfois un probléme pour le
débit des boues: les mesures par empote-
ments sont possibles si les débits sont infé-
rieurs ¢ 40 m’/h et si lembout des conduites
plongeant dans le bassin peut étre facile-
ment démonté (brides). Une autre possibilité
consiste & isoler hydrauliquement la zone
anoxigue pour faire la mesure (nécessité
d'une vanne de fond entre anoxie et aéra.
tion), En dernier ressort, il sera fait appel é la
mesure de débit sur conduite en place qui
doit étre en charge et de longueur suffisante
@a3m binéaire)
Ouvrage dégazage
Placé & Vaval du bassin d'aérattion, il facilite
Yelimination des bulles d’air présentes dans
la liqueur en transit vers le décanteur secon-
daire. On limite ainsi les bouchons d'air
générateurs d'é-coups hydrauliques préjuci-
Giables cu bon fonctionnement du décanteur.
Cot ouvrage (photo 15) est de préférence
accolé au bassin d'aération, dimensionné
sur la base de 1m/\0Weqhab. et
2,5 m/5000 eq.hab.
Dest prudent de léquiper d'un dispositif
d'évacuation gravitaire des floticnts et d'une
béche, L'évacuation et la destination de ces
refus posent des problémes similaires & celui
des refus du dégraisseur (voir Fiche 3). Il est
possible de les évacuer vers le stockage des
boues par I'intermédiaire d'une pompe péri-
staltique ou volumétrique, la reprise des
relus s'etfectuant en fond de béche.
En cas de problémes biologiques se tradui-
sant par une abondance de mousses en sur:
face des bassins, les interventions du prépo-
86 sur ce poste pourront étre fréquentes voire
quotidiennes (évacuation des mousses stoc-
kées), Les solutions pour limiter la proliféra-
tion de ces mousses biclogiques font appel
(en état actuel des connaissances) ¢t la zone
de contact ou tla chlorattion des mousses.
Photo 15 : Quvrage de dégazage (SATESE 41)21
Fiche 7
Les décanteurs secondaires
Dispositions générales
Dans une station d'épuration le décanteur
secondaire (fig.8, photo 16) est fouvrage fon
damental qui assure la séparation gravitaire
de la boue et de l'eau épurée rejetée dan:
milieu récepteur
Figure 9 : Schéma type d'une décanteur
secondaire,
Photo 16: Décantour secondaire (SATESE 41)
Le bon fonctionnement de cet ouvrage
implique le respect des ragles de conception,
une gestion rationnelle de la production de
boue ainsi que la mattrise de sa décantabilite
Surface de louvrage
Les ouvrages de forme cylindrique sont pré.
conisés.
Le dimensionnement de leur surface ost
fonction de la charge hydraulique limite
admissible (ou vitesse ascensionnelle) qui
elle-méme dépend des caractéristiques de la
boue (fig.10) (d’aprés CTGREF, 1979).
Va =Q = vitesse ascensionnelle (en tn’/n?.h)
Ss
Q: dabit max horaire « 'entrée de la
station
S: surlace utile (partie cylindrique) *
Ve =I, x C; = Volume corrigé
I, = Indice de boue (en ml/g)
G, = Teneur en MES & lentrée du
décanteur (en gi).
Figure 10 ; Relation vitesse ascensionnelle —
nature de la boue.
En régle générale, il est recommandé de
retenit une vitesse ascensionnelle de
0,6mi/mh pour dimensionner les décan
tours de petites collectivités (boues activees
en aération prolongée). Cette valeur corres~
pond 4 une boue de qualité moyenne (I = 150
ml/g) dont la concentration est égale a 5 g/l. I
va de soi que tout dépassement de ces
chifires sur une durée prolongée (fonction du
temps de remplissage du décanteur) se tra-
duira par des pertes de boue méme si le
débit nominal d'entrée n'est pas dépassé.
Liexemple ci-aprés illustre effet d'un
ecroissement de la concentration en boue
dans le bassin d’aération sur le débit admis.
sible, pour une station de 1000 eq-hab.
* sous la goulotte, si elle est intérieure
[Station 1000 eq hab.
‘pomp reverent
win
5m)
» 151A, | oe
| oth |S | Statist |
sans pe] Bee
leant? fae |e | aoe
fees]? |e || BaUn accroissement de 3 g/l dans le bassin
d‘aération (& indice constant) entraine une
diminution du débit admissible de 50%
dans le décanteur (Situation 1 & 2). Lorsque
Yindice augmente de 30%, le debit admis-
sible sur le décanteur diminue d’environ
30 % (Situation 1 & 3).
rages cylindrique:
de fond sont a preserire pot
dea
x la périphérie ne
& 2m. Toute surpro-
eur secondai
Pas toujours
quer de reco jations sur les ouv:
iques (ou tronconiques) réservés a c
de station.
Recommandations relatives aux
équipements
ur objet de dissiper au
irulique « Tentrée du
turbulences
équipement a
jeux léne
décanteur
(photo 17).
hoto 17: Jupe de rép
Dans cette optique il est souhaitable di
* dimensionner le clifford sur la base d’ur
vilesse de passage < 4 2,5 cm/s., calculée sur
ia base des débits cumulés (entrée + recircu:
lation).
Bemple TOODeqhab | 8000 oy ad
entrée 20min (oie) | 100 myn (ponte)
| oreo. 2am s00m3in
Ototal 10m 200m3in
citi’ 075m 2am
odécanteu 85m 45,5m
22
ililé du débouché du clit
‘immersion du clif
de la proto:
ler & horizon
rd dans le d
ner ite damenée des
plus prés de la surface libre du clif:
afin de faciliter 'écouler Doues
préférence @ lexiérieur du
et protégée par une cloison
iaiblement immergée (h = 1S cm),
pout facile
n de ba
flottants) et d'un
e fond (concentration des
le centre de louvrage).
ration des flct
n place de large
x) dk
usquet Ia prer
n du raclour de fond (photo
de
ar Jt
passe
te
» radier
tans diffi
@ entra!
chemin de
d'une attention par
.»). La roue d’entraineme:
int démontable, il est souhait
d'impla; e résista
le chem pulement F
jemes de gel et une petite lame de pro-Liensemble pont racleur doit étre
bouton d‘arrat d’urgence (voir fiche 3)
Dans les petites stations, pour des diamétres
douvrage inférieurs a 6m, des racleurs &
entrainement central peuvent étre préconi:
sés, La récupération des flotiants s‘effectue
alors sec, par l'intermédiaire d'une lame
radiale en caoutchouc et d'une goulotte de
récupération placée sur un rayon du bassin
{photo 19).
Photo 19: Trémie radiale c
flottants (SAT!
récupération
7)
Destination des flottants du décanteur
Tout systéme visant & ramener en iéte di
traitement les flottants récupérés n'est pas
souhaitable (aggravation des problemes bio:
logiques),
Lievacuation de ces produits est en général
source de difficuliés pour Yexploitant. Il y a
lieu d’éviter leur contact avec l'eau pour que
Jes volumes & exiraire soient minimisés. De
plus, pour réduire les interventions exté-
rieures générant des coats supplémentaires
(vidangour), il est utile de prévoir des circuits
permettant incorporation de ces produits
soit dans la béiche de stockage des flottants
du dégazage, soit directement dans le silo &
boues (et non lepaississour)
Le poste de recirculation (fig.11)
Situé & proximité du décanteur, le poste com:
une fosse alimentée par les boues décan-
tées. Les risques de colmatage de la conduite
(alimentation étant élevés, son diamétre
sera tel que la vitesse de passage ne soit pas
férioure a Im/s., co qui interdit les
conduites inférieures & 150 mr de diamétre ;
des équipements (vis ou pompe) permettant
de diriger les boues vers les bassins corres-
pondant é. leur destination (bassin d’aération
notamment)
Dispositits de recirculation
Dans tous les cas, un dispositif de secours
simpose. Bien que peu utilisées en raison de
leur codi, lea vis d’Archiméde stavérent étre
23
Je moyen le plus adap'é pour recirculer des
boues. Elles présentent lavantage de deli
vrer des débits « constants », modifiables par
simple changement de poulie; de plus elles
sont « imbouchables »
En cas dlutilisation de pompes, on choisira
plulét des popes & débit variable asservies
@ un automate pour sadapter aux variations
da dgbit entrée (cas de relevement, voir
iche 2)
do réduire les risques de bouchage. ily
@ lieu de minimiser le nombre de coudes
(ainsi que Ia longueur de la conduite de
refoulement vers le bassin d'cération)
Pour des destinations autres que la recircula-
tion classique (vers le bassin daération), il
est recommandé de mettre en place des dis.
positifs spécifiques de refoulement (cas de
zones de contact, extraction de boues vers
épaississeur...).
Fonctionnement, entretien, sécurité
Le débit de boue recirculé est tributaire du
debit journalier arrivant sur la station. En
ragle générale le volume recirculé ne dépas.
sera pas deux fois le volume d’eaux usées ¢
‘raiter. Pour le dimensionnement, on retien:
dra que le débit des dispositifs de recircula-
tion sera égal cu débit nominal de pointe
horaire de Ic station
I convient de rechercher dans la mesure du
possible un fonctionnement continu de la
recirculation. Cette pratique accrott cepen-
dant les risques de bouchage sur une pompe :
il faut alors ménager de brefs temps d'arrét
—————
Figure 11: Poste de recirculation des boues.ou prévoir une alternance dans le fonction-
nement des pompes.
Alin d’éviter le fonctionnement de la pompe
en cas de non- alimentation du poste (bou-
chage ou isolement accidentel du poste), un
contacteur d'arrét du pompage (niveau tres
bas) est & installer.
Une exploitation correcte implique de facili-
ter Taceés au poste de tecirculation. Les
interventions nécessitent souvent une
vidange de la béche, ce qui rend obligatoi-
re Installation d'une vanne d’isolement sur
la conduite d’amenée des boues. Une pente
de fond sera également bienvenue. IL
importe qu'une potence (éventuellement
mobile) équipée d'un treuil de levage soit
installée pour manceuvrer et remonter les
organes de pompage en toute sécurité (voir
fiche 2)25
Fiche 8
Filiére traitement des boues
La station d'épuration produit en permanen-
ce des boues dont l'excés doit étre évacué &
intervalles réguliers pour garantir un bon
fonctionnement du systéme. Ces boues, prin-
cipalement constituées d’eau (> 97%, le plus
souvent) représentent des volumes impor-
tants que la filiére de traitement des boues
va sfattacher é réduire autant que faire se
peut, afin dabaisser les conts d’évacuation
de ces sous-produits de lépuration.
Extraction réguliére des boues
Une gestion rationnelle de la production de
boue dans la station reste une condition
nécessaire de la qualité de !épuration. Le
role du personnel exploitant apparait er cet
égard fondamental.
La production de boue est directement liée ¢
le quantite de pollution retenue, il s'en suit
une augmentation de la biomasse dans le
aystéme, ce qui induit un accroissement des
concentrations en MES. Les extractions de
Boues réalisées & partir du circuit de recircu-
lation ont pour objet de maintenir & un
niveau aussi stable que possible Ia concen-
tration en MES dons Tinstallation. Elles doi-
vent done étre réguliéres et peu importantes.
Dans le cas coniraire, des incidences
néfastes sont é attendre: diminution des
potentialités hydrauliques du décanteur,
risques de problémes biologiques, modifica
tion des parametres tels que charge mas-
sique, réglages d'aération....
Ladémarche
Dans la pratique, & chaque purge de boue,
la: concentration en MES du bassin d'aéra-
tion ne doit pas diminuer de plus de | g/l.
Pour les stations sous-chargées devant élimi-
ner T'azote, chaque extraction correspondra
écune diminution de la concentration dans le
bassin d'aération égale & Kx I g/l K étant le
rapport charge requelcharge nominale).
Ceci conduit naturellement & une fréquence
de purge constante quelle que soit la charge.
regue.
Recommandations techniques
~ En cas dextraction vers un épaississeur, il
est conseillé d'utilisor un dispositif spécilique
pour évacuer les boues (HMT plus importan-
te que pour la recirculation).
- Test recommandé de ne pas installer de
clapet anti- retour sur la conduite d'extrac-
tion et méme de prévoir une purge en point
bas de la canalisation pour pouvoir mettre
hors gel le dispositif d’extraction.
- Il est souhsitable d’automatiser les extrac-
tions, par exemple en asservissant les com-
mandes & une horloge de 24h double piste :
une piste détermine l'arrét de la recirculation
tandis que Iautre, couplée & une temporisa-
tion, assure un syncopage des temps d’extrac-
tion,
- Une période d'arrét limitée de la recircula-
tion peut précéder Yextraction des boues,
cela permet d'accrottre la concentration des
boues soutirées. Toutefois, il convient d'étre
particuliérement attentif aux risques de
pertes de boues pendant cette phase (pério-
de pluvieuse notamment).
Epaississement
Il sagit d'une étape intermédiaire dans la
diminution du volume de boues produites
par la station, Cette étape est obligatolre
quelle que soit la destination finale des
Boues, elle est réalis6e dans des épaissis-
seurs. Elle ne doit pas étre confondue avec le
siockage des boues sur une longue période
(silo) en vue de leur épandage ulterieur.
Deux raisons essentielles militent en faveur
de temps de passage réduits des boues en
phase d'épaississement
un séjour prolongé des boues secondaires
induit rapidement des phénomenes de fer-
mentation, les sumagean's d'épaississeurs
qui retournent en téte du traitement sont
alors souvent responsables de problémes
biologiques (foisonnement, mousses).
- Soules les boues biologiques « fraiches » se
prétent bien & une déshydratation ultérieure
(mécanique ou gravitaire).
Epdississeurs gravitaires
- Les épaississeurs statiques, de forme cylin-
dro-coniques, sont vivement recommandés
(photo 20). Le temps de séjour des boues
dans ce type d’ouvrage ne doit pas exceder
24 heures (raisons évoquées précédemment.
Tis doivent étre équipés de trop-plein et d'un
dispositif ér niveau variable (importance d'un
point trés bas) d’évacuation du surnageant
(a faible debit) (Fig. 12). Apres chaque
bachée _(extraction-épaississement-evacua-
tion du surnageant puis des boues épaissies),
Yépaississeur est & vidanger entiérement.
Des contacteurs haut et bas (« commande
différente) sont conseillés pour éviter des
débordements ou un fonctionnement & sec
de la pompe de reprise des boues.
La concentration des boues épaissies
dépend de celle des boues admises dansPhoto
factour
n.aération
Youvrage, habituellement le
aceroissement de conc
Yordre de 3
prolongée
utilisés essentiell
plus importantes, Valimentation
peut étre continu .abituellement
dim 6s sur ler base de 25 kg M
pour des boues biologiques second
1 sur les concentrations est de lordre de
5 Par rapport aux épaississeurs statiques.
Epaississement par égouttage
Cette technique permet d
des boues
des boues
Dues. Le filtrat reste d'excellenie
Ces dispositifs d’égouttage traitent de 3 &
Smh, ent peu de surveillance et
semblent prometteurs malgré leur surcoat en
Investissement,
Il importe toutefois de souligner qu'un condi-
tionnement préalable de la boue est indis
pensable pour faciliter son égouttage ulté
Hier, De plus, cat équip
gel doit étre abrité dans un local,
Traitement des boues
La destination finale des boues détermine le
type de traitement qu'elle devra subir
26
ren ce is 0 pa
Sse os toes
ure 12 : Dispositif d'évacuation du
surnageant.
soit les boues seront évacuées sous
liquide en vue d’épandage sur terres ax
coles,
soit leur utilisation sous forme solide impo
sera une déshydratation préalable.
Filiare liquide
vre passe par la construction
Ces
ages de stockage des houes.
ouvrages, silos ou lagunes, doivent
mettre une gutonomie de stockage de 3
Smois selon les conditions locales (climatt
culture...), Le volume de ces bassins n’excé-
dera pas 500 m’
A noter que les surnageants des silos de
stockage (concentrés et septiques) seront
dams la mesure du possible épandus plutot
que renvoyés en téte d'un traitement biolo-
gique (foisonnement, moussage....). En géné:
ral, on ne constate pas de surnageant si
‘@paississeur est correctement géré,
Ces ouvrages seront impérativement brassés
(homogénéisation du produit final) et doivent
pouvoir étre vidangeables. Une plate-forme
de travail positionnée au-dessus du plan
d'eau, a la verticale de lagitateur est indis.
pensable pour faciliter !opération de soutira-
ge des boues.
lest nécessaire d’aménager une voirie lour
de pour l'accés des engins cu poste de prise
des boues (photo 21).
Pour plus de détails, le lecteur pourre se
reporter au document SATESE/CEMAGREF
teaitant de la gestion ds flux de boues dans
les st