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1. Quel roi a signé l'ordonnance de Villers-Cotteréts ? 2. Pourquoi Paul-Marie Cofiteaux a- 3. Dans I'empire de Charlemagne, on parlait l'ancien francais. ea ions Justification : Peat ed Bee ee etna eras St ets © Le frangais a pour origine le roman. a eet eet eat 5. Parlait-on encore gaulois a l’époque de Charlemagne ? Bren) et Le Renee ee ee — eer 7. Selon Paul-Marie Cotiteaux, que vont provoquer les nouvelles technologies ? Peed eek ura oer tc) Pere tae Pao ea ER are 10. Selon Paul-Marie Cofiteaux, les langues : Stein Set eet a ers ES a rere aco te ae rans re 12. Comment s'intitule le premier texte rédigé en ancien francais ? 13. Quel était le sumom du fils de Charlemagne ? o Le Pieux. eS Odor as ped one 14, Qu'est-il advenu de Empire de Charlemagne aprés la mort de son fils? PE od oad ead I point ad od od Od yd 2points > Document 1 : ee eee at tae Ta ror Tee Brew tas Bro regs Oe eR Sai oad ced ern arcs ee a) > Document 2 : 3. Le spot publicitaire que vous avez entendu cherche & promouvoir : coun médicament contre la douleur. Breton atte Srna eer re ears Sree os > Document 3 : Dae 4. Quelle est sa position par rapport la réforme de lorthographe ? Sere ten Slates ees rotten 5. Pour cette personne : Se tet a nous ence Bee eae treet cnetan as St ea rete ue eae a > Document 3 : Oar eT ea 6. Quelle est sa position par rapport a la réforme de Torthographe ? Sere rs Tay sas eons Santen oS I point Pron eg tea nate nem ea tos Brg ee nears Ls Pe} > Document 3 eager) 8. Quelle est sa position par rapport a la réforme de lorthographe ? Ore S Oar Pang ea Lora aegis 9. Selon lui les enfants communiquent trop en langage sms. Cena Den oy ug Pour distinguer entre ce qui est bien et ce qui est mal, les théologiens mosaiques, bouddhistes, chrétiens et musulmans avaient recours a Iinspiration divine. Ils voyaient que "homme, qu’il soit sauvage ou civilisé,illettré ou savant, pervers ou bon et honnéte, sait toujours s'il agit bien ou s'il agit mal, et le sait surtout quand il agit mal ; mais, ne trouvant pas d°explication a ce fait général, ils y ont ‘Wu une inspiration divine. Les philosophes métaphysiciens nous ont parlé a leur tour de conscience. d’impératif mystique, ce qui d’ailleurs n’était qu’un changement de mots. Mais, ni les uns ni les autres n’ont su constater ce fait si simple et si frappant que les animaux vivant en société savent aussi distinguer entre le bien et le mal, tout a fait comme "homme. Et, ce qui est plus que leurs conceptions sur le bien et Je mal sont absolument du méme genre que celles de l'homme Chez les représentants les mieux développés de chaque classe séparée — poisons, insectes, oiseaux mammiféres — elles sont méme identiques L’idée du bien et du mal n’a ainsi rien a voir avec la religion ou la conscience mystérieuse ; ¢"est un besoin naturel des races animales, et quand les fondateurs des religions, les philosophes et les moralistes nous parlent d’entités divines ou métaphysiques, ils ne font que ressasser ce que chaque fourmi, chaque moineau pratiquent dans leurs petites sociétés Est-ce utile a la société ? Alors c’est bon. — Est-ce muisible ? Alors c'est mauvais. Cette idée peut étre trés rétrécie chez les animaux inférieurs, ou bien elle s’élargit chez les animaux les plus avancés, mais son essence reste toujours la méme. [ Quand nous étudions le monde animal et que nous cherchons a nous rendre compte de la lutte pour existence soutenue par chaque étre vivant contre les circonstances adverses et contre ses enne nous constatons que plus le principe de solidarité égalitaire est développé dans une société animale et passé a l'état d’habitude, — plus elle a de chances de survivre et de sortir riomphante de la lutte contre les intempéries et contre ses ennemis. Mieux, chaque membre de la société sent sa solidarité avec chaque autre membre de la société — mieux se développent, en eux tous, ces deux qualités qui sont les facteurs principaux de la victoire et de tout progrés — le courage d'une part, et d’autre part la libre initiative de I’individu. Et plus, au contraire, telle société animale ou tel petit groupe d’animaux perd ce sentiment de solidarité (ce qui arrive a la suite d’une misére exceptionnelle, ou bien a la suite d'une abondance exceptionnelle de nourriture), plus les deux autres facteurs du progrés — le courage et initiative individuelle — diminuent : ils finissent par disparaitre, et la société, tombée en décadence, succombe devant ses ennemis. Sans confiance mutuelle, point de lutte possible ; point de courage point d’initiative, point de solidarité — et point de victoire ! C'est la défaite assurée. [..] Et maintenant, disons, avant de terminer, un mot de ces deux termes, issus de I'école anglaise altruisme et e, dont on nous écorche continucllement les orei Jusqu’a présent nous n’en avons méme pas parlé dans cette étude. C’est que nous ne voyons méme pas la distinction que les moralistes anglais ont cherehé & introduire nous disons : « Traitons les autres comme nous voulons étre traités nous-mémes » — est-ce de I'égotsme ou de I’altruisme que nous recommandons ? Quand nous nous élevons plus haut et que nous disons : « Le bonheur de chacun est intimement lié au bonheur de tous ceux qui I'entourent. On peut avoir par hasard quelques années de bonheur relatif dans une société basée sur le malheur des autres mais ce bonheur est biti sur le sable. Il ne peut pas durer, la moindre des choses suffit pour le briser; et il est misérablement petit en comparaison du bonheur possible dans une société déaaux. Aussi, chaque fois que tu viseras le bien de tous, tu agiras bien » ; quand nous disons cela, est-ce de laltruisme ou de I'égotsme que nous préchons ? Nous constatons simplement un fait. Et quand nous ajoutons, en paraphrasant une parole de Guyau : « Sois fort; sois grand dans tous tes actes ; développe ta vie dans toutes les directions ; sois aussi riche que possible en énergie, et pour ce sois I’étre le plus social et Je plus sociable, — si tu tiens a jouir d'une vie pleine, entigre et feconde. Guidé toujours par une intelligence richement développée, lutte, risque, — le risque a ses jouissances immenses — jette tes forces sans les compter, tant que tu en as, dans tout ce que tu sentiras étre be et grand — et alors tu auras joui de la plus grande somme possible de bonheur. Sois un avec les masses, et alors, quoi qu’il arrive dans la vie, tu sentiras battre avec toi précise- ment les caeurs que tu estimes, et battre contre toi ceux que tu méprises ! » Quand nous disons cela, est-ce de l'altruisme ou de 'égotsme que nous cnscignons ? ea ee Ree co tte ra ers Stream tert rs rai Rielatebeelze he cI eyed © Prouver que la morale est naturel Ser eet ees Ser eet mars LTS aa} Oeste nc ket ts ©Ce qui est bon pour elle. ret es Ce qui est bon pour I'individu. 5. Quel adjectif synonyme Kropotkine utilise-t-il pour remplacer le terme « mauvais » ? pad a C. Deuxitme partie du texte (lignes 20 4 33) 6. En reformulant le texte, expliquez ce qui, selon Kropotkine, peut faire progresser une société ou la faire Cees pre ede a Cee ee a ea a eto te eet rere ty eee sera See neues © Lialtruisme et I’égoisme ne sont pas antithétiques. Dee ie cee de 10. Le concept « Traitons les autres comme nous voulons étre traités nous-mémes » est : wt Bonney een ts ere eT aCe Ree ae ey od eee et toon ene eat PER sed nee ec Oot tice an eee sa théorie dans le dernier paragraphe. 3 points Leia}

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