I2
V2
I1
V1
Culasse
Enroulement
basse tension
Enroulement
haute tension
noyau
Isolants
Type à colonnes Type cuirassé
Enroulement
basse tension
Enroulement
haute tension
noyau
Isolants
Type à colonnes Type cuirassé
Փ
i1(t) Փ1 Փ2 i2(t)
Փ2=flux secondaire ;
Փ=flux commun.
4) Convention et schéma électrique équivalent : Pour faciliter le schéma électrique équivalent on
considère que les enroulements sont situés comme suite :
-Le primaire à gauche, de résistance R1 d’inductance de fuite Lf1 (par définition Lf1i1=N1Փf1),
constitue un récepteur vis-à-vis de la source, il absorbe du courant et de la puissance et
développe une f.c.e.m e1(t)=-N1dՓ/dt.
-Le secondaire à droite, de résistance R2 d’inductance de fuite Lf2 (par définition Lf2i2=N2Փf2),
se comporte comme un générateur vis-à-vis de la charge, il débite du courant et de la
puissance et il est le siège d’une f.e.m e2(t)=-N2dՓ/dt
-Dans le schéma électrique équivalent on fait apparaitre une branche qu’on appelle branche
magnétisante, composée d’une résistance Rf et d’une réactance Xm.
Rf=rend compte des pertes ferromagnétiques Pfer= Rf I20a
Xm=Lpω avec Lp=N21/ℛ , LP= inductance principale et ℛ=reluctance du circuit magnétique
donc Xm rend compte de la perméabilité du circuit magnétique.
Փ+Փ Փ
= + = + = + +
Փ Փ
= + + = + +
Փ
Փ−Փ Փ
=− + =− + =− − +
Փ Փ
=− − + =− − +
Փ
I0a I0r
S v1(t) Rf Xm e1(t) e2(t) v2(t) charge
= + + (2)
= + + (3)
= + !"# $ + % 4 '()* % = !+ $Փ
Փ
I1 I2=0
V1 V N1 N2 V V20
>? A?B C?
= = = ; = <DDEF F<GH EF;< EG
>@ A@ C@
(7)
V1 V N1 N2 V V2
La loi d’Hopkinson donne N1I1-N2I2=ℛՓ=0 car ℛ=0 ⇒ N1I1=N2I2 conservation des Ampères tours
K
= = Les intensités sont transformées dans un rapport inverse des tensions
K ;
6) Transformateur Réel : Le transformateur parfait n’existe pas en pratique, en effet Les
enroulements possèdent des résistances (R1 R2), il existe toujours des flux de fuite (Lf1 , Lf2) et le
circuit magnétique n’est pas infiniment perméable (ℛ n’est pas nulle).
a) Essai à vide : On alimente le transformateur sous tension nominale et on mesure la tension
primaire V1, le courant primaire I1, la puissance consommée W1 et la tension secondaire V20.
à vide I2=0 et %, = , , + !"#, $ , + , = ,L = −!+, $Փ
I2=0 ⇒I’1=m I2=0 ⇒ I1=I’1 +I0=I0= courant à vide, qui est faible devant I1 et I’1 ⇒
>? A?B C?
= = =; le rapport de transformation se mesure à vide
>@ A@ C@
I0a I0r
S V1 V Rf Xm E1 E2 V V20
b) Pertes fer : Cet essai nous permet de quantifier les pertes ferromagnétiques
Les pertes joules sont proportionnelles au courant au carré, les pertes fer sont proportionnelle à la
tension au carré. L’essai à vide se fait sous tension nominale, mais le courant absorbé est faible, donc
dans cet essai on néglige les pertes Joules devant les pertes fer.
Q10= V1I0 sinϕ0= V1I0r =Lf1ωI20+ XmI20r≃ XmI20r = puissance magnétisante, donc on néglige les pertes
dues au flux de fuite
q → (1T)2
q’ → (Bmax)2 ⇒ q’=q (Bmax)2 coefficient de qualité de tôle à l’induction de travail
d) Essai en charge diagramme vectoriel
I1 R1 Lf1 I’1=m.I2 I2 Lf2 R2
A W
I0
I0a I0r
S V1 V Rf Xm E1 E2=m.E1 V V2
= + !"# $ + % 4 '()* R
=S , )T %, = S %
Pour tracer le diagramme vectoriel on suppose connu le régime au secondaire (V2, I2, cosϕ2) et les
paramètres du transformateur (R1, R2, Lf1, Lf2, N1,N2, Rf, Xm, m et I0).
On trace V2, I2, ϕ2 puis R2I2 parallèle à I2 et jLf2ωI2 perpendiculaire à R2I2 ⇒ E2 (équation 5).
E2 jLf1ωI1
I0a E1 ) ϕ1
V2 )ϕ2 jLf2ωI2 R1I1
) ϕ2 ϕ1 R2I2
I0r I0 I’1=m.I2
I2
I1
I0a I0r
V1 Rf Xm E1 E2 V2
= R
+ !"# $ R + % 8 '()* R
=S , )T %, = S %
%, = , , + !"#, $ , + , 9
S =S R
+ !S"# $ R + S% = + !"# $ S R
+ S% = + !"# $ S, , + %,
S = ,L = + !"# $ S, , + , , + !"#, $ , + ,
I1 I’1=m.I2 I2 Ls Rs
I0
I0a I0r
V1 Rf Xm V1 E2=V20=mV1 V2
V20=mV1 V1
)ϕ2
) ϕ2
V2
RsI2 jLsωI2
I0r I0 I’1=m.I2
,L = b , + !"b $ , + , ; ,L =S )T R
=S ,
I2
I1
Figure 11 : Diagramme vectoriel avec impédance ramenée au secondaire
%, , ,
R
,
= , + !"#, $ + =% = , + !"#, $ +
S S S S, S
d@e A
% = − R
− !"# $ R
= , + !"#, $ + f?
f?
R
, , "#, ,
= R
+ !"# $ R + , + !"#, $ + =g + h R + !$ g"# + h R
+
S, S S, S, S
,
= i
R
+ !$"i R
+ = i
R
+ !$"i R
+%
S
I1 Lp Rp I’1=m.I2 I2
I0
I0a I0r
V1 Rf Xm E1 = V2 /m E2=V2
V1
)ϕ2
) ϕ2
V2 /m=E1
RpI’1 jLpωI’1
I0r I0 I’1=m.I2 = i
R
+ !"i $ R + % ; )T R
=S ,
I2
I1
W A I0
~ V V1 V V20
Les pertes joules sont proportionnelles au courant au carré, les pertes fer sont proportionnelle à la
tension au carré. L’essai à vide se fait sous tension nominale, mais le courant absorbé est faible, donc
dans cet essai on néglige les pertes Joules devant les pertes fer.
P10= Pfer +P joules =RFI20a+ R1I20= V1I0 cosϕ0= V1I0a≃ Pfer=RFI20a ⇒ RF=V1/I0a
L = LN + LO avec I0a = I0 cosϕ0 et I0r = I0 sinϕ0 cosϕ0=P10/V1I0
u
⇒ LO = s L, − LN ,
)T t; = = "$
KvF
V V1cc A
V1cc mV1cc
L’essai en court-circuit se fait sous tension réduite V1cc=0.1 V1N Les pertes fer seront faibles et
négligeables devant les pertes Joules car I2cc est fort et V1cc faible.
V1 V20 V2 charge
I2 B’ C’
⇒ V20-V2= OC-OA=AC=AB+BC
AB= Rs.I2 cosϕ2 ⇒ ΔV= V20-V2= Rs.I2 cosϕ2+ XS.I2 sin ϕ2 en volt
| v }|
{| = sans unité en %
| v
En unités relatives
V1
V20=mV1
ϕ2 jLsωI2
I2
RsI2
)ϕ 2 V2 )ϕ2
ϕ2 ˂ 0 ⇒ sin ϕ2 ˂ 0 et ΔV= V20-V2= Rs.I2 cosϕ2+ XS.I2 sin ϕ2 peut devenir négative
ΔV en %
cosϕ2=0.8 (ind)
-6
-4
cosϕ2=1
-2
I2
cosϕ2=08 (cap)
ƒ„
=0⇒• F = HK
ƒ,
• F
Donc le courant pour lequel le rendement est maximal K … = s
H
cosϕ2=0.9
η
cosϕ2=0.8
cosϕ2=0.7
Pertes Joules
Pertes fer
I2M I2
ՓA ՓB ՓC ՓA ՓB ՓC
VA N1 VB N1 VC N1 VA N1 VB N1 VC N1
Va N2 Vb N2 Vc N2 Va N2 Vb N2 Vc N2
Փ‡ + Փ5 + Փˆ = 0 Փ‡ + Փ5 + Փˆ ≠ 0
pour les systèmes équilibrés pour les systèmes déséquilibrés
N1 N1 N1
N1 N1 N1
Couplage ZigZag : Pour former une phase, on met en série deux demi-bobines situées sur des noyaux
différents, les trois phases ainsi formées sont couplées en étoile.
A B C N
N1 /2 N1/2 N1/2
4) Choix des couplages : Possédant trois couplages possibles (Y D Z ) au primaire et trois couplages
(y d z) au secondaire, on peut envisager 09 combinaisons possibles :
( Yy Yd Yz Dy Dd Dz Zy Zd Zz)
NB à la production entre l »alternateur et les lignes on utilise le Dy, pour le transport et les
interconnexions des lignes on utilise Yd et Yz, pour la distribution On préfère le neutre au secondaire
Dy et Yz
5) Rapport de transformation
C’est le rapport entre deux tensions primaire et secondaire homologues, à vide. Il dépend
des nombres de spires primaires et secondaires et du mode de couplage primaire et
secondaire.
N1 A a N2
N1 B b N2
N1 C c N2
b) Rapport de transformation
•‡5 1
•‡5 = !+ $Փ‡ ⇒ •‡5 = + $Փ‡ ⇒ ‡C = = + $Փ‡
√3 √3
6) Tensions adoptées :
-région (30 KV ; 45 KV 63 KV )