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RAPPORT DE STAGE
Présenté par :
- Israa Wissal REDOUANE
- Rahma AZIOUNE
- Fateh AZIOUNE
2022/2023
TABLE DES MATIERES
REMERCIEMENTS................................................................................................2
EQUIPEMENTS DE TRANSMISSION................................................................2
LE ROUTEUR............................................................................................................2
LE MODEM DE TRANSMISSION.................................................................................2
LA TRANSMISSION RADIO........................................................................................2
ENCAPSULATION & DECAPSULATION.........................................................2
ENCAPSULATION......................................................................................................2
DÉCAPSULATION......................................................................................................2
SIGNALISATION ET SYNCHRONISATION....................................................2
SIGNALISATION........................................................................................................2
SYNCHRONISATION..................................................................................................2
MULTIPLIXAGE....................................................................................................2
LE PDH : PLESIOCHRONOUS DIGITAL HIERARCHY................................................2
LE SDH : SYNCHRONOUS DIGITAL HIERARCHY.....................................................2
WDM (WAVELENGTH DIVISION MULTIPLEXING)..................................................2
LES TECHNOLOGIES XDSL...............................................................................2
ADSL – ASYMETRIC DIGITAL SUBSCRIBER LINE --...............................................2
HDSL – HIGHT BIT RATE DIGITAL SUBSCRIBER LINE --.......................................2
SDSL – SYMETRIC DIGITAL SUBSCRIBER LINE --..................................................2
RADSL – RATE ADAPTIVE DIGITAL SUBSCRIBER LINE --.....................................2
VDSL – VERY HIGHT BIT RATE DIGITAL SUBSCRIBER LINE --.............................2
IDSL – ISDN DIGITAL SUBSCRIBER LINE --..........................................................2
2
REMERCIEMENTS
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EQUIPEMENTS DE TRANSMISSION
Routeur - CISCO
-
Le modem de transmission
Le modem (mot-valise, pour modulateur-démodulateur), est un périphérique servant à
communiquer avec des utilisateurs distants par l'intermédiaire d'une ligne téléphonique. Il
permet par exemple d’échanger (envoi/réception) des fichiers, des fax, de se connecter
à Internet, d’échanger des courriels, de téléphoner ou de recevoir la télévision. Il peut
également être défini comme un acronyme.
Techniquement, l’appareil sert à convertir les données numériques de l’ordinateur en
données analogiques transmissibles par une ligne de téléphone classique et
réciproquement. Aujourd’hui dans le monde de la voix sur IP ces données analogiques
peuvent être également transmise dans une communication voix encodée sans aucun type
de compression.
Modem de transmission 4
La transmission radio
5
Encapsulation
Le paquet est l’unité de base des informations transférées sur un réseau, consistant au
minimum d’un en-tête avec les adresses des hôtes émetteur et récepteur et d’un corps avec
les données à transférer. Lorsque le paquet traverse la pile de protocoles TCP/IP, les
protocoles de chaque couche ajoutent ou suppriment des champs de l’en-tête de base.
Lorsqu’un protocole sur l’hôte émetteur ajoute des données à l’en-tête du paquet, le
processus s’appelle encapsulation de données. De plus, chaque couche a un terme
différent pour le paquet modifié, comme le montre la figure suivante.
Décapsulation
La décapsulation est le processus d’ouverture des données encapsulées qui sont
généralement envoyées sous forme de paquets sur un réseau de communication. Cela peut
être littéralement défini comme le processus d’ouverture d’une capsule, qui dans ce cas,
fait référence à des données encapsulées.
La décapsulation des données est simplement l’inverse de l’encapsulation. Cela se produit
lorsqu’une transmission entrante (à recevoir par l’ordinateur de destination) est
décompressée lorsqu’elle monte dans la pile de protocoles. Les informations contenues
dans l’en-tête sont utilisées pour déterminer le réseau vers lequel les données doivent être
livrées.
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SIGNALISATION ET SYNCHRONISATION
Signalisation
b- Signalisation hors-bande :
La signalisation hors-bande ou signalisation par voie commune se fait sur un canal dédié
qui est différent de celui des données ou de la voix. Ce canal dédié et appelé lien de
signalisation. La version la plus répandue dans les réseaux téléphoniques fixes et les
premières générations de réseaux mobiles était le système de signalisation #7 (SS7) et sa
variante Sigtran. Il est remplacé par le protocole SIP sur les réseaux récents en VOIP et
les réseaux mobiles 4G / LTE.
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Synchronisation
La synchronisation d'horloges est un mécanisme permettant à deux systèmes distincts
d'être synchronisés, c'est-à-dire d'avoir une différence entre leurs temps subjectifs la plus
faible possible.
En sciences de l'information (Informatique, télécommunications et traitement du signal),
le temps est une notion omniprésente. Les signaux manipulés et échangés dépendent en
effet du temps qu’il s’agisse par exemple des signaux audio dans un microphone ou les
signaux de radionavigation reçus par un récepteur GPS, des hyperfréquences en
téléphonie mobile, des signaux d’un sonar dans un sous-marin, des signaux biomédicaux,
des signaux vidéo en télévision, des données informatiques au sein d’un ordinateur ou
circulant à travers un réseau informatique…
La mesure du temps dans les dispositifs électroniques est faite localement à l'aide
d'horloges électroniques pilotées par des quartz. Les fréquences sont en général très
précises mais on observe des fluctuations dues à de nombreux facteurs (par exemple aux
variations de température, aux variations d’altitude, à la mobilité par effet Doppler) et des
différences de phase. Les fluctuations entraînent des dérives plus ou moins importantes
(jusqu’à plusieurs secondes en fin de journée) et sont aléatoires. Le temps étant mesuré en
comptant les impulsions d'horloge, les petites fluctuations sur la fréquence d'horloge
peuvent conduire à des erreurs de temps importantes, dès lors que celles-ci sont cumulées
sur un grand nombre d'impulsions.
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b- Synchronisation par justification :
Le réseau téléphonique d'aujourd'hui transporte beaucoup de données numériques, et dans
ce cas, la perte ou la répétition d'un mot peut avoir des conséquences très fâcheuses. Pour
éviter le problème des glissements, on utilise la synchronisation par justification qui
consiste à insérer de temps en temps (ex. dans chaque trame) un bit de bourrage dans le
plus rapide des deux flux à synchroniser (D0 ou Dk).
MULTIPLIXAGE
Multiplexage en PDH :
Le multiplexage permet de mettre en relation plusieurs utilisateurs, à travers une liaison
partagée, en point à point. Il s'agit d'une méthode de gestion de l'information physique qui
permet à un canal de transporter des informations de plusieurs sous canaux, et en full
duplex. Un multiplexeur "n" voies simule sur une seule ligne "n" liaisons points à points.
Chaque voie d'entrée et de sorties est appelée voie incidente. Le multiplexage des voies,
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c'est-à-dire la voie véhiculée par le support partagé et appelée voie composite. Le
multiplexage peut être bit à bit, ou octet à octet.
Comme illustré sur la figure, le PDH adopte un multiplexage hiérarchique (ici., chaque
débit est transporté dans un débit immédiatement supérieur). Le multiplex primaire à 30
voies à 2.048 Mb/s est regroupé par ensembles de 4 pour fournir un multiplex du second
ordre de 120 voies à 8,448 Mbps. Ce débit est légèrement supérieur à la somme des 4
débits primaires car on insère dans la trame à 8 Mbps des octets de bourrage pour
individualiser les 4 multiplex constituants. De même, des liens à partir de 2 Mbit/s de
tailles supérieures 8 Mbit/s, 34 Mbit/s, 140 Mbit/s et 560 Mbit/s.
Avant les années 90, le réseau de transmission des Opérateurs était basé sur la hiérarchie
plésiochrone PDH. L'un des inconvénients de ce mode est le multiplexage bit à bit de la
trame plésiochrone, ce qui ne permet pas l'accès aux niveaux inférieurs sans
démultiplexage complet, ce qui fait que pour accéder à un signal, il faut nécessairement
démultiplier toute la structure de la ligne, niveau par niveau, jusqu'aux derniers affluents.
Un deuxième inconvénient est l'absence de normalisation, ce qui veut dire qu'on ne peut
pas interconnecter deux hiérarchies sans passer par un équipement intermédiaire. En 1998
est apparue la hiérarchie synchrone SDH (Synchronous Digital Hierarchy). Elle se
distingue essentiellement de la hiérarchie plésiochrone par la présence d’horloge de
référence à tous les niveaux du réseau réduisant les écarts d’horloges, et répond au besoin
de normalisation. Le SDH est basé sur une technologie de multiplexage entrelacé d'octets,
chaque signal qui est multiplexé dans le train de signaux peut donc être consulté
individuellement. Cependant, la technologie PDH reste malgré tout aujourd'hui la
10
technologie dominante dans la partie accès sur plusieurs réseaux de télécommunications
du monde, figure ci-dessous.
Multiplexage en SDH :
La fonction de base assurée par le multiplexeur consiste à charger (à l’origine) et à
extraire (à l’arrivée) les affluents des différents clients qui ont été assemblées dans les
trames STM-n véhiculée par le réseau. Le mécanisme des pointeurs permet d’extraire ou
d’injecter aisément un affluent dans un multiplex. Cette fonction est assurée par un
élément appelé multiplexeur SDH à injection/extraction MIE et plus généralement ADM
(Add Drop Mux). En fait, en pratique et pour un équipement SDH, trois sources d’horloge
sont possibles (horloge interne, horloge externe, ou extraction d’horloge de la ligne de
transmission). Un multiplexeur est disposé dans les liaisons de réseaux pour effectuer des
tâches d’extractions et d’insertions sur les flux multiplexés, ADM (Add Drop Multiplex).
Les multiplexeurs dits MUX terminaux ou accès, permettent la projection et le
multiplexage des affluents PDH, des affluents produits par d’autres standards (ATM,
FDDI, ...) et des affluents SDH pour constituer des trames STM-n.
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STM-1 à une longueur de 2430 octets.
Sa fréquence de transmission est de 125ns ; ce qui nous donne un débit de :
2430*8/125=155,52 Mbit/s.
Dans cette trame, 9 octets sont réservés à la gestion et à l’adressage, il reste donc une
charge utile de 150,336 Mbit/s.
La trame STM-1 contient 3 blocs.
- Pour la norme SDH, les niveaux sont organisés en n niveaux appelés STM-n
(Synchronous Transport Module, niveau n).
SDH Débit
STM-1 155 Mb/s
STM-4 622 Mb/s
STM-16 2 Gb/s
STM-64 10 Gb/s
STM-128 20Gb/s
STM-256 40Gb/s
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Il est facile de comprendre WDM. Les couleurs sont transmises dans l'air ensemble et
peuvent se mélanger, mais elles peuvent être facilement séparées à l'aide d'un simple
appareil comme un prisme, tout comme nous séparons la lumière "blanche" du soleil en
un spectre de couleurs avec le prisme, figure ci-dessous.
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Les technologies xDSL
Le terme DSL ou xDSL signifie Digital Subscriber Line (Ligne numérique d’abonné) et
regroupe l’ensemble des technologies mises en place pour un transport numérique de
l’information sur une simple ligne de raccordement téléphonique.
Les technologies xDSL sont divisées en deux grandes familles, celle utilisant une
transmission symétrique et celle utilisant une transmission asymétrique.
- Les solutions symétriques : La connexion s’effectue au travers de paires torsadées
avec un débit identique en flux montant comme en flux descendant.
- Les solutions asymétriques : En étudiant différents cas de figure, on s’est aperçu qu’il
était possible de transmettre les données plus rapidement d’un central vers un
utilisateur mais que lorsque l’utilisateur envoie des informations vers le central, ceux-
ci sont plus sensibles aux bruits causés par des perturbations électromagnétiques car
plus on se rapproche du central, plus la concentration de câble augmente et donc ces
derniers génèrent plus de diaphonie.
L’idée est donc d’utiliser un système asymétrique, en imposant un débit plus faible de
l’abonné vers le central.
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VDSL – Very Hight Bit Rate Digital Subscriber Line --
VDSL est une technologie de transmission asymétrique sur fil de cuivre permettant un
débit en voix descendante de 53 Mbits/s et 2.3 Mbits/s en voix montante sur une distance
généralement située entre 300 et 1 500 mètres.
Technologi
Description Débits de transmission Portée du service
e
Ligne d’abonnée 3 à 5 km maximums
Réception :1,5 à 8,5 Mbit/s
ADSL numérique selon la qualité de la
Emission : 16 à 756 Kbit/s
asymétrique ligne utilisée
Ligne d’abonnée
numérique Emission/réception
HDSL Environ 3,6 km
asymétrique à haut symétriques à 2 Mbit/s
débit
Emission/réception en full
Ligne d’abonnée
duplex à des débits
SDSL numérique Environ 3 km
symétriques de 192 Kbit/s
symétrique
à 2 Mbit/s
300 m à 1,5 km selon
Ligne d’abonnée
Réception :15 à 50 Mbit/s la qualité de la ligne
VDSL numérique à très
Emission :1,5 à 2,3 Mbit/s et le débit maximal
haut débit
souhaité
5 à 6 km selon la
Ligne d’abonnée Emission/réception à 128
IDSL qualité de la ligne
numérique RNIS Kbit/s
utilisée
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