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La nature de la lumière
L’observation courante montre que la lumière est constituée de rayons, qui se propagent en ligne droite
s'ils ne rencontrent aucun obstacle. On les voit par exemple lorsque la lumière du soleil traverse un trou
dans un nuage
Dans son sens le plus habituel, la lumière est le phénomène à l'origine d'une sensation visuelle.
Comme le son, la lumière est aussi une onde, c’est-à-dire une vibration qui se propage. Dans le cas du son
c’est la pression de l’air qui varie. Dans le cas de la lumière, c’est un champ électromagnétique. La
fréquence de vibration est très élevée pour la lumière: typiquement un million de milliard de vibrations
par seconde alors que le son vibre typiquement mille fois dans le même temps.
La vibration lumineuse se propage très vite: elle parcourt 300000 km en une seconde alors que le son ne
se déplace que de 340 mètres en une seconde.
La lumière est une onde électromagnétique perceptible par l’œil humain. Elle est formée de deux
champs: un champ électrique E et un champ magnétique B oscillant (vibrant) à la même fréquence. Ces
deux champs sont perpendiculaires entre eux et vibrant dans une direction perpendiculaire à la
direction de propagation de l’onde. C’est donc une onde transversale (champ électrique
perpendiculaire à la direction de propagation de l’onde)
La propagation d’une onde lumineuse est donc caractérisée par la propagation d’un champ électrique et
d’un champ magnétique.
Le champ électrique oscille en interaction avec le champ magnétique, et inversement. Ils ont tout deux la
même longueur d'onde et oscillent généralement en phase l'un avec l'autre. Combinés, ces deux champs
forment une onde électromagnétique.
Propagation de la lumière
La lumière se propage à une vitesse qui dépend du milieu considéré. Dans le vide la lumière se propage à
la vitesse c = 3x10 8 m/s et dans les milieux matériels transparents à une vitesse v caractéristique du
milieu. En conséquence un milieu sera caractérisé par :
-son indice de réfraction n : n = c/v
n est toujours ≥ 1, c’est-à-dire, v ≤ c.
-La période (T) : elle représente le temps nécessaire pour que l’onde effectue un cycle. L’unité est la
seconde.
-La fréquence (f) : inverse de la période, elle traduit le nombre de cycles par unité de temps. Elle
s’exprime en Hertz (Hz) -un Hz équivaut à une oscillation par un cycle.
Longueur d’onde et fréquence sont inversement proportionnelles et unies par la relation suivante : λ= c/v
Où :
-λ : longueur d’onde de l’onde électromagnétique (en mètre)
-c : vitesse de la lumière (3.108 m/s)
-ν : la fréquence de l’onde (en Hertz)
Le spectre électromagnétique
Le spectre électromagnétique représente la répartition des ondes électromagnétiques en fonction de leur
longueur d'onde, de leur fréquence ou bien encore de leur énergie (figure ci-dessous).
Le domaine du visible
La fenêtre du visible dont la longueur d’onde 𝛌 est comprise entre 400nm (violet) et 700nm (rouge) est la
seule fenêtre du spectre électromagnétique qui est perceptible par l'œil humain. C'est la portion du spectre
qui permet de visualiser les couleurs. En effet, la lumière blanche émise par le soleil, lorsqu'elle passe à
travers un prisme, est décomposée en une multitude de couleurs constituantes, qui vont du violet au rouge
en passant par le bleu, le vert, le jaune et l’orange.
la lumière blanche est appelée polychromatique (composée de plusieurs longueur d’onde). Si cette
lumière possède une seule longueur d’onde, elle est dite monochromatique
Pour comprendre certains phénomènes colorés, nous avons besoin d’une autre caractéristique de la
lumière: son énergie. Cette énergie est portée par des particules appelées photons, émises en grand
nombre (un petit pointeur laser émet typiquement un million de milliard de photons par seconde !).
Chaque photon transporte une énergie reliée à la fréquence de vibration de l’onde lumineuse: plus l’onde
oscille rapidement plus l’énergie du photon est élevée. Le côté violet du spectre correspond aux hautes
fréquences donc aux hautes énergies. A plus haute fréquence encore, on entre dans le domaine des ultra-
violets, plus énergétiques et donc plus dangereux: les photons UV ont une énergie suffisante pour casser
certaines molécules organiques.
Les photons sont les particules élémentaires qui composent la lumière. Le photon n’est cependant pas
uniquement associé à la lumière, mais à toutes les ondes électromagnétiques.
Nous avons dit que la lumière est une onde électromagnétique. Or couramment quand on parle d'onde
électromagnétique on pense plutôt à des ondes invisibles. De même qu'il existe des ondes acoustiques que
l'oreille humaine n'entend pas (infrasons et ultrasons), il existe des ondes électromagnétiques que l'œil
humain ne voit pas : c'est une question de fréquence, nos yeux sont insensibles en dehors d'une certaine
gamme.C'est le cas pour les ultraviolets (UV) qui nous font bronzer, les infrarouges (IR) qu'on utilise
pour la vision nocturne car ils sont émis par les objets à température courante, mais aussi les rayons X
utilisés en radiographie, les rayons gamma émis par la matière radioactive, et les ondes radio utilisées par
la radio FM mais aussi par notre téléphone portable ou four à micro-ondes.
La surface d’onde
Une surface d'onde est l'ensemble des points situés à chemins optiques égaux depuis le point source.
Autrement dit, pour un point source O, une surface d'onde est l'ensemble des points M tels que [OM] soit
constant. Si l'on se place dans un milieu homogène avec une seule source lumineuse ponctuelle, les
rayons qui en partent seront tous rectilignes. Ils arrivent donc tous en même temps à une certaine distance
r de la source. Ainsi les surfaces d'onde sont toutes des sphères. L'onde obtenue est appelée onde
sphérique.
Dans un milieu isotrope la surface d’onde, d’une source ponctuelle, est une sphère
Si l'on place une lentille sur le trajet de l'onde sphérique précédente, l'onde que l'on obtient présente des
surfaces d'ondes ayant la forme de plans. On parle alors d'onde plane.
La lumière polarisée
La lumière blanche ne présente pas de polarisation. Dans un plan perpendiculaire à la direction de
propagation (plan d'onde), la lumière vibre dans toutes les directions du plan ; la lumière est dite non
polarisée (figure .a).
Lumière non polarisée : il y a des vibrations dans toutes les directions dans le plan d'onde
Un polariseur est conçu pour ne sélectionner qu'une seule vibration dans le plan d'onde; la lumière est
alors dite polarisée (figure .b).
Un polariseur ne laisse passer q’une seule direction de vibration, la lumière est dite polarisée
L'interaction de certaines substances naturelles (notamment les cristaux) avec la lumière est d'induire une
polarisation naturelle de la lumière.
Si un autre polariseur ayant une direction de polarisation perpendiculaire au premier polariseur est placé
sur la trajectoire du rayon lumineux polarisé, aucune lumière ne sortira du second polariseur. Dans ce cas,
on dira que la lumière a été éteinte (figure 5).
Figure 5 : Extinction de la lumière après la traversée de deux polariseurs
LOI DE MALUS :
Pour une lumière non polarisée d'intensité I0, l'intensité I, transmise à travers un analyseur, peut être
décrite par la loi de Malus, où θ est l'angle entre la polarisation linéaire incidente et l'axe de polarisation.
I = (I0/2) cos2θ
I : l’intensité de la lumière transmise par l’analyseur, c’est l’intensité de la lumière transmise de la source
de lumière à un écran de réception à travers le polariseur et l’analyseur
I0 : l’intensité de la lumière transmise par de la source de lumière
(I0/2): l’intensité de la lumière transmise par le polariseur, c’est la moitié de l’intensité de la lumière
transmise par de la source de lumière
L’intensité transmise à travers un polariseur est égale à (I0/2)
LA LOI DE MALUS
Pour des axes parallèles entre le polariseur et l’analyseur (θ=0°), on obtient une transmission de 100 %, (I
= (I0/2)).
Pour des axes de polarisation à θ=45°entre les lentilles du polariseur et l’analyseur, on obtient une
transmission de 50 %, (I = (I0/2)/2).
Enfin, pour les lentilles du polariseur et l’analyseur dont l'axe est à θ=90°, également appelées polariseurs
croisés, la transmission est de 0 %, aucune lumière n’est transmise (lumière éteinte =écran noir, (I =0).
Lorsqu’un rayonnement électromagnétique atteint un objet, certaines longueurs d’onde sont absorbées
tandis que d’autres sont réfléchies par l’objet. Une partie du rayonnement peut éventuellement être
transmise à travers l’objet si celui-ci est plus ou moins transparent, avec un changement de direction de la
propagation dû à la réfraction.
INTERACTIONS DU RAYONNEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE AVEC LA MATIÈRE -
ABSORPTION, RÉFLEXION, TRANSMISSION
Tous les objets sont ainsi caractérisés par un coefficient d’absorption noté α un coefficient de réflexion
noté ρ et un coefficient de transmission noté τ qui expriment respectivement la part d’énergie absorbée,
réfléchie et transmise.
Ces trois coefficients ont des valeurs qui varient entre 0 et 1 et leur somme est toujours égale à 1 selon le
principe de la conservation de l’énergie
αλ + ρλ + τλ = 1
Avec :
Réflexion de la lumière
La lumière une fois arrivée sur une surface séparant deux milieux d'indices optiques différents, elle est
totalement ou partiellement réfléchie dans le milieu d'incidence. le rayon incident et le rayon réfléchi sont
dans un même plan, l'angle d'incidence i étant égal à l'angle de réflexion i’ ,(i = i‘), par rapport à la
normale (droite perpendiculaire) passant par le point d’incidence I du plan d’incidence
Réflexion de la lumière sur un miroir
L’angle d’incidence i est l’angle formé par le rayon incident et la normale à la surface réfléchissante en I.
L’angle de réflexion i' est l’angle formé par le rayon réfléchi et la normale à la surface réfléchissante en I.
Réfraction de la lumière
Lorsque la lumière traverse la surface séparant deux milieux transparents différents (n’ayant pas le
même indice de réfraction), elle subit généralement un changement de direction (une déviation de la
trajectoire du rayonnement). Ce phénomène est appelé réfraction. La réfraction se produit à l’interface
entre les deux milieux
En passant d'un milieu à un autre, le rayonnement lumineux qui passe d’un milieu à un autre se propage à
des vitesses différentes et subit une déviation
Phénomène de réfraction
Le phénomène de réfraction est responsable de l’aspect «coupé» des pailles.
n1×sini = n2×sinr
n1et n2: indices de réfraction des milieux 1 et 2.
Dans le cas où le milieu 1 est l’air,n1= 1 et la relation devient:
sini=n2×sinr.
◗Un rayon qui arrive perpendiculairement à la surface de séparation n’est pas dévié: sii= 0 alors r = 0.
Cas particulier où le milieu 1 est l’air ou le vide :
-Si n2 >n1 alors sin i1 >sin i2 ⇒i1 >i2 .Le rayon réfracté se rapproche de la normale.
-Si n1 >n2 alors sin i2 > sin i1 ⇒i2 >i1 alors le rayon réfracté s’écarte de la normale.
-Plus l’indice d’un milieu est grand, plus le milieu est dit réfringent
Le trajet de la lumière est réversible ; la lumière suit le même trajet en allant dans un sens ou dans l’autre
; le sens des flèches indique le sens de propagation de la lumière.
(a) Quand un faisceau de lumière passe d’un milieu à un autre milieu plus réfringent, c’est-à-dire d’indice
de réfraction plus grand (ni< nt), il dévie en s’approchant de la normale.
(b) Quand un faisceau passe d’un milieu a un milieu moins réfringent (ni > nt), il dévie en s’éloignant de
la normale.
L'indice de réfraction d'un milieu varie avec la longueur d’onde de la lumière qui le traverse, donc avec la
couleur. L’indice est légèrement plus faible pour les lumières de longueur d'onde élevée. Une des
conséquences de ce phénomène est qu'il se produit une diffraction différente pour des lumières de
longueurs d'onde différentes.
Comme pour le reste des minéraux anisotropes, l’indice de réfraction varie entre deux valeurs extrêmes.
on définis ces deux valeurs par les symboles No (indice de réfraction du rayon ordinaire) et Ne (indice
de réfraction du rayon extraordinaire). Les valeurs entre No et Ne sont désignées par N.
La biréfringence absolue des minéraux est définie par |No– Ne| (c’est la valeur absolue de la différence
entre les deux indices de réfraction extrême).
RÉFRACTION DE LA LUMIÈRE DANS LES CRISTAUX
Dans les cristaux non cubiques (milieux anisotropes), la vitesse de la lumière est fonction de la direction
de propagation.
En pénétrant dans un cristal anisotrope, un rayon lumineux se dédouble en deux rayons polarisés dont les
directions de vibration sont perpendiculaires entre elles.
Cette double réfraction, appelée biréfringence, due à l'anisotropie du cristal produit un rayon ordinaire
et un rayon extraordinaire.
Les vitesses de propagation de ces rayons étant différentes, l'un des rayons ayant acquis un retard optique
par rapport à l'autre.
La différence entre les indices dans la direction de vibration des rayons ordinaires et extraordinaires est
appelée biréfringence.
Dans les milieux non cristallisés (verres, liquides, gaz), ainsi que dans les cristaux cubiques, l'indice de
réfraction N est invariant quelle que soit la direction de propagation dans la matière. Ces milieux sont des
milieux isotropes ou monoréfringents.
Biréfringence
Expérience fondamentale
En 1669, E. Bartholin mit en évidence le phénomène de double réfraction. Une lame à faces parallèles,
taillée dans de la calcite, suivant un plan de clivage, et éclairée, sous incidence normale, par un fin
pinceau de lumière naturelle, transmet deux rayons: un rayon non réfracté, appelé ordinaire, et un rayon
anormalement réfracté, appelé extraordinaire. les faisceaux transmis transportent des vibrations
rectilignes dont les directions sont perpendiculaires
Dans les cristaux non cubiques (milieux anisotropes), la vitesse de la lumière est fonction de la direction
de propagation.
En pénétrant dans un cristal anisotrope, un rayon lumineux se dédouble en deux rayons polarisés dont les
directions de vibration sont perpendiculaires entre elles.
Cette double réfraction due à l'anisotropie du cristal produit un rayon ordinaire et un rayon extraordinaire
Les vitesses de propagation de ces rayons étant différentes, l'un des rayons ayant acquis un retard
optique par rapport à l'autre.
La différence entre les indices dans la direction de vibration des rayons ordinaires et extraordinaires est
appelée biréfringence.
Dans les milieux non cristallisés (verres, liquides, gaz), ainsi que dans les cristaux cubiques, l'indice
de réfraction N est invariant quelle que soit la direction de propagation dans la matière. Ces milieux sont
des milieux isotropes ou monoréfringents.
Tout matériau anisotrope possède deux indices de réfraction différent : l’un pour le rayon ordinaire qui
suit les lois de Snell-Descartes et l’autre pour le rayon extraordinaire qui ne les suit pas
Deux séries de rayons déviés différâmes et se propageant à des vitesses différentes dans le cristal
produisent ainsi deux images d’où la Biréfringence observée
Axe optique: Un axe optique d’un cristal est une direction selon laquelle un cristal se comporte de
manière isotrope. En pratique, c'est une direction selon laquelle on note une absence de biréfringence et
où le cristal est complètement éteint en lumière polarisée analysée.
Un axe optique d’un cristal est une direction plutôt qu'une ligne unique : tous les rayons parallèles à
cette direction présentent le même manque de biréfringence.
Les axes optiques ne sont présents que dans les minéraux anisotropes (non cubiques et non amorphes).
Les cristaux uniaxes (sytèmes trigonal, tétragonal/quadratique ou hexagonal) présentent un seul axe
optique alors que les cristaux biaxes (systèmes triclinique, monoclinique ou orthorhombique) en
présentent deux, l'angle formé par ces deux axes est appelé 2V.
L’axe optique d'un cristal ne doit pas être confondu avec l’axe optique d'un système optique
L’axe optique d'un système optique centré, ou axe principal, est l'axe de symétrie de rotation du système.
Chez les cristaux uniaxes, les indices No et Ne sont différents et l’indicatrice est un ellipsoïde de
révolution : l’axe de révolution est l’axe optique du cristal (figure).
La lumière qui se propage parallèlement à l’axe optique possède un indice de réfraction égal à No et vibre
parallèlement au plan équatorial de l’ellipsoïde dans n’importe quelle direction (figure ).
Comme pour le reste des cristaux anisotropes, l’indice de réfraction des cristaux uniaxes varie entre deux
valeurs extrêmes. Dans le cas des cristaux uniaxes, on définis ces deux valeurs par les symboles No (ou ω
) et Ne (ou ε ). Les valeurs entre ω et ε sont désignées par ε’.
La lumière dont la direction de propagation est perpendiculaire à l’axe optique se divise en deux rayons
polarisés : un rayon ordinaire qui vibre parallèlement au plan équatorial et à la direction de l’indice ω, et
un rayon extraordinaire qui vibre parallèlement à l’axe optique et à la direction de l’indice ε (figure).
La lumière dont la direction de propagation est parallèle à une section quelconque se divise en deux
rayons polarisés : un rayon ordinaire qui vibre parallèlement au plan équatorial et à la direction de l’indice
ω, et un rayon extraordinaire qui vibre parallèlement à la direction de l’indice ε’ (figure )
Figure : Direction de vibration des rayons lumineux se propageant parallèlement à une section
quelconque.
Comme pour les minéraux uniaxes, l’indice de réfraction des cristaux biaxes varie entre deux valeurs
extrêmes, mais ces cristaux possèdent aussi un indice de réfraction intermédiaire qui est unique. Chez les
minéraux biaxes il existe donc trois indices de réfraction. Ces indices de réfraction sont définis de la
manière suivante :
La biréfringence des minéraux biaxes est définie par la différence entre le grand et le petit indice.
Biréfringence = γ – α
La figure illustre l’indicatrice biaxe. C’est un ellipsoïde en trois dimensions dont toutes les sections
centrales, sauf deux, sont des ellipses. Ces deux sections particulières sont circulaires (figure B).
Le rayon de chacune d’elle étant égale à β. Les droites normales (AA’ et BB’) à ces sections circulaires
sont des axes optiques (abréviation O.A.). Les axes optiques sont toujours situés dans le plan αγ (qui est
aussi le plan XZ).
L’angle aigu entre les deux axes optiques est appelé angle 2 V (ou parfois optic axial angle).
L’axe qui sépare en deux parties égales l angle aigu est la bissectrice de l angle aigu des axes optiques (
acutebisectrix; A.B. ou B × a). L axe qui sépare en deux parties égales l angle obtus est la bissectrice de l
angle obtus des axes optiques (obtuse bisectrix; O.B. ou B × o). Dans la figure 9 2 B, la bissectrice de
l’angle aigu (B × a) est X (ou α) alors que la bissectrice de l angle obtus (B × o) est Z (ou γ).
Signe optique des minéraux biaxes