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mehdi Posté le: Ven 27 Fév - 23:27 (2009) Sujet du message: la kinesithérapie
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2009
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Kinésithérapie
A la Mémoire de Monsieur
Abouazaime Boubker
Objectifs spécifiques :
Objectifs pratiques :
. Contrôlé le dosage en kinésithérapie.
. Appliquer les techniques kinésithérapiques de base applicable à la
formation musculaire.
. Utiliser les lois du développement musculaire pour développer :
. La vigueur musculaire (force), tonus, endurance.
. L’élasticité musculaire.
. La coordination.
Schéma du cours
1er chapitre : Kinésithérapie :
* Définition.
* Conditions d’efficacité.
* Moyens.
* Buts.
* indication et contre indication.
Les moyens :
- Les mouvements sont les moyens de traitement, mais de quels
mouvements s’agit-il ? Ce sont des mouvements thérapeutiques qui ont
le même principe que le traitement médical avec leurs indications,
contre indication et leur dosage.
- La base en kinésithérapie c’est d’abord ne pas nuire c à d ne pas
aggraver la situation du malade, ne causer de dommage. Donc on peut
dire que la kinésithérapie c’est l’exercice thérapeutique consacré au
développement ou à la récupération de la musculature et la fonction du
squelette.
L’activité du malade est très minime, parfois elle n’existe pas du tout si
le sujet est totalement flasque ; quelque soit le patient il sera éduquer
de façon à ne pas accélérer ni freiner le mouvement en
cours exécution, dans ce cas : c’est l’activité mentale du patient qui est
demandée.
1-Précoce :
Certains orthopédistes conseillent d’entreprendre la rééducation dés le
lendemain du traumatisme par des contractions statiques sous plâtre et
par des mobilisations des articulations libres.
La douleur est un signe d’alarme qui doit faire cesser toute
manipulation. Une rééducation passive brutale est une mauvaise
rééducation.
2-Indolore :
Ce qui importe en rééducation, et la répétition des exercices, si la
séance exécuter est douloureuse, il est évident que le patient se gardera
de mobiliser ses articulations jusqu'à la science suivante de peur de
réveiller la douleur .Au contraire si la rééducation a été
progressive surtout active et non passive dans la limite de la
tolérance la séance terminée le malade ne sentant aucune
douleur, sera prêt à recommencer seul quelque heure plus tard.
3-Active :
C.à.d faite de contraction musculaire volontaire, la participation du
malade doit être effective le résultat définitif dépend de cette
participation.
Les contractions musculaires s’accompagnent des mouvements qui
chassent le sang qui irrigue l’appareille musculo-tendineux et articulaire
par conséquent les contractions musculaires et l’irrigation assouplissent
les raideurs et facilitent les récupérations d’amplitudes.
4 - complète :
La rééducation ne doit pas s’adresser seulement à un segment de
membre, mais à une fonction globale, rien ne sert de récupérer la
mobilité du genou et la force musculaire si le malade marcher avec
boiterie. Il faut donc au cours de votre rééducation penser à faire
exécuter des gestes usuels de la vie courantes qui sont les seuls tests
valables de la récupération motrice.
5 - Continue :
Il ne s’agit pas de faire une séance quotidienne de 20 à 45 mm/ jours
pour arriver à un bon résultat. Il est important pour le malade de
continue son traitement chez lui au lit, en exécutant des mouvements
simple ne nécessitant pas de matériel mais ses exercices doivent être
schématisé montrer aux malades et donner peu d’exercices à la fois ; il
faut faire comprendre au malade que la rééducation doit être
persévèrent que seul se travail personnel a de la valeur et qu’il ne doit
pas être passif à attendre la séance prochaine du lendemain. Il perdrait
tout bénéfice des exercices accomplissant des séances sous direction.
6-Progressive :
La rééducation doit être continue, mais elle doit être aussi progressive. Il
n’est pas nécessaire d’aller trop vite pour apprendre à marcher à un
traumatisé ; on commence d’abord avec des béquille, deux cannes, une
canne puis indépendant.
En résumer :
La kinésithérapie doit se faire sous la direction du médecin, chirurgien ou
médecin spécialiste.
La rééducation ne doit pas être faite par automatisme, mais pratiqué par
intelligence de la part du kinésithérapeute, elle doit prendre
considération de l’état social, psychique du sujet, sa volonté et son
désirent de récupération
La réussite de la kinésithérapie dépend en grand parti de la coopération
et la participation du malade.
Indication de la kinésithérapie
La kinésithérapie tout comme toutes les autres méthodes
thérapeutiques à ses indictions :
Grâce à la kiné la force musculaire peut être augmentée dans tout les
cas ou elle se trouve diminuée, soit par la parésie, soit que muscle est
normale elle se trouve diminué par une inactivité prolongée; mais aussi
chaque fois que le muscle est normale, on peut augmenter la force
musculaire.
Le but de la kinésithérapie sera d’augmenter la force par des moyens
propre à la kinésithérapie
2-L’élasticité musculaire
L’inactivité musculaire provoque une perte de force, mais encore perte
de l’élasticité (rétraction) la conséquence de des rétractions est la
diminution d’amplitude articulaire, les muscles en partie paralysées
subissent un raccourcissement et se rétractent.
5 - La coordination du mouvement
Lorsque les quatre points ont été traités permettant de rétablir la
normalité, il faut rétablir la coordination normale du mouvement, cette
coordination doit être en rapport avec les séquelles laisser par l’invalidité
.pour arriver à cette coordination il faut utiliser les forces existantes et
faire appelle et crée des suppléances, lorsque certain muscles sont
fonctionnellement inapte, il faut toujours automatisée les mouvements
de remplacements.
8-Rééduquer la fonction
Certain fonction sont détruite par une invalidité définitive, il faut rendre
au malade une indépendance dans les besoins de la vie courante.
Lorsqu’on traite un sujet par la kiné, il faut que la 1 ère loi de médecine
soit toujours respectée : (En 1erlieu : ne pas nuire).
Si le kinésithérapeute à le droit d’utiliser les indications, il le devoir de
respecter les contre indications (cette connaissance est donnée par
l’anatomie, la physiologie, la pathologie et la kinésiologie) avant le
début de traitement le diagnostic doit être établie par le médecin est
communiquer au kinésithérapeute avant d’établir un plan de traitement,
il faut pense quel sera le résultat final du traitement c à d quel sera le
but final du traitement. Chaque kinésithérapeute doit se posé trois
questions avant d’établir un plan de traitement de chaque patient .Il doit
pouvoir répondre lui-même et trouver une réponse logique qui sera
juste et correcte sans cela le traitement n’est pas valable
1ère question :
Quel est le but du traitement de se malade ? vers quel but final
sera diriger se traitement ?
Exemple : le but final peut être de faire marcher le malade avec béquille,
comme il être pour un autre malade le port d’une prothèse.
2eme question :
Pourquoi à ton choisie se but ?
L’amputé pour qui on choisi une béquille et l’autre une prothèse
1er cas : le 1er amputé 25 ans AVP état général bien : prothèse
2eme cas : 2eme amputé 60ans cardiaque, arthrite, campagnard donc
béquille.
3eme question :
Comment arriver ace but ?
Il faut un examen détaillé du malade, pour pouvoir répondre, il faut un
établir un plan de traitement logique, basé sur la bonne connaissance du
malade, il faut aussi connaître les indications et contre indication, nous
allons établir un plan de traitement pour l’amputé qu’on pris comme
exemple
Dans le plan de traitement des amputés il y a quatre phases :
Fin de chapitre
2eme chapitre :
Le Dosage en Kinésithérapie
1 - Diagnostic de la maladie
2 - La phase de la maladie
3 - La localisation du processus
4 - Etat actuel du malade
5 - Le but du traitement
6 – l’âge, le sexe, le milieu, et la situation sociale.
7- le milieu géographique.
Sans oublier d’autres facteurs, telque :
- l’âge.
- le sexe.
- le milieu social.
Qui nous permettent de donner à la kinésithérapie sa valeur
thérapeutique.
1 - Diagnostic de la maladie :
Il faut connaître le diagnostic causal posé par le médecin en fonction
des bilans ; exemple : poliomyélite, paralysie spastique, séquelle de
traumatisme.
Connaitre le diagnostique, c’est vague, il faut pour complété cela :
connaitre le 2eme point.
2 - Connaître la phase de la maladie :
Le dosage est dicté par la période d’évolution de la maladie, le
traitement kinésithérapique doit répondre à la phase de la maladie.
3 - La localisation du processus :
Doit être connu avant le début de traitement.
Les malades viennent d’un service hospitalier avec une étiquette
d’affection, la localisation de la maladie nous aide au niveau du
traitement.
4 - L’état actuel :
Examen clinique du malade, bilan articulaire, bilan musculaire
mensuration, etc. tous ceci nous donne une idée objective lorsqu’elle
s’accompagne de chiffres, ce sont ces chiffres qui permettent de suivre
l’évolution de la maladie.
En résumé :
Pour que la kinésithérapie soit efficace il faut que :
a- le mouvement soit bien choisi.
b- le dosage doit être adapté aux circonstances de la
maladie.
Si notre mouvement a été bien choisi et le dosage bien fait, ici quelques
éléments qui vont nous aidée au choix du mouvement et au dosage bien
adapter, afin d’aboutir à un bon résultat.
1-Il faut établir quels sont les muscles et les articulations qui
doivent participer aux mouvements.
5 - Le repos :
Doit être prévu entre deux contractions à la fin d’une série de dix
mouvement et à la fin des contractions de se groupe, ceci peut
permettre la régénération en oxygène ou à permettre la relaxation du
malade. En kiné le muscle doit être fatigué lentement. Une force
musculaire moindre exige de longue période de repos. Au fur et à
mesure que la force musculaire augmente le repos exigé est encore plus
importante
6 - Le nombre de mouvement :
7 - La fatigue :
Elément très important et capital, soit que le malade soit fatigué avant
le traitement, soit que la fatigue s’installe qu’au cours le traitement et le
dosage dépendra du degré de la fatigue et ceci n’est pas valable que
dans le cas de renforcement musculaire, si on veut augmenter l’élasticité
musculaire il faut éviter la fatigue.
8 - La préparation musculaire :
Il faut utilisée des recettes passe par tous .Le dosage doit être fait
séparément pour chaque groupe musculaire ; surtout si chaque groupe
est atteint a des degrés différents.
On doit se renseigner sur la force musculaire par un testing précis ; lors
du testing en test la force maximale et qui ne doit pas être appliqué
emblée au cours du traitement ; si on fait un exercice contre la même
résistance qui nous a servie au testing on aura pour effet de fatigué le
muscle rapidement et puisqu’on va fatiguer le muscle, il va diminuer de
sa force .
On conclusion :
- le dosage pour l’augmentation de la force musculaire se fait pour
chaque groupe musculaire séparément suivant la cotation du Testing.
- il faut savoir que le 1er Testing est un test de diagnostic, les Testing
suivant sont ceux du control et de l’évolution de la maladie et du dosage
de traitement.
- le Testing doit être fait que si les muscles sont au repos et chauffés.
Comment utilisée les renseignements apporté par le testing
v Influence de la pesanteur :
Si le segment est horizontal l’efficacité de la pesanteur est maximal .si le
segment est vertical la pesanteur est nul. Entre les deux positions
l’efficacité de la pesanteur est moyenne.
Les mouvements qui se font sur un plan vertical, le segment à la fin du
mouvement devient horizontal, dans ce cas il est soumis à l’action de la
pesanteur qui maximal .Au moment où le segment est vertical la
pesanteur est nulle. Au cours des exercices on besoin soit de facilité soit
de compliqué le mouvement, on peut augmenter la résistance c'est-à-
dire de la pesanteur, on ajoutant des poids (main du kiné sac de sable),
on peut aussi éliminer la pesanteur dans l’eau, on travaillant sur un plan
incliné ou on suspension.
v Le rythme
En principe pour l’augmentation de la force musculaire , le rythme des
mouvements doit être lent. Le rythme serait un peu plus rapide si notre
but de traitement vise a augmenté la vitesse.
En résumé, le rythme des mouvements dépend du but de traitement
ainsi que le nombre des mouvements. Un grand nombre de mouvement
fatigue vite le sujet tandis qu’avec un petit nombre la fatigue s’installe
lentement.
Pour augmenter la force musculaire la vitesse n’est pas indiquer, elle est
même dangereuse.
Pour mémoire, les traitements qui fatiguent modérément les muscles
augmentent leurs forces. Mais les traitements qui fatiguent trop les
muscle diminuent leurs forces musculaires cela est grave car le
1erprincipe en kinésithérapie : ne pas nuire.
Conclusion :- une fatigue modérée égale augmentation de la force
musculaire.
§ aucune fatigue n’égale aucun changement de la force musculaire.
§ Fatigue importante égale diminution de la force.
Chaque fois qu’on doit faire augmenter la force d’un muscle, c’est qu’il il
y a faiblesse ; le dosage est basé sur le testing.
Muscle à zéro.
Ici il faut du mouvement passif avec effort et participation du malade,
ces mouvements passifs font une sensation dans l’espace, s’inscrivent
dans le système de la sensibilité profonde et permettent au patient de
reconstruisent les éléments perdus ou oubliés de l’image motrice ou bien
d’encrée des nouveaux.
Muscles à 1 ou 1+
Ces muscles exigent des mouvements passifs avec un maximum d’effort
de la part du patient, l’effort volontaire doit toujours accompagner le
mouvement qui doit être fait lentement.
Muscle à 2
Pour ces muscles on demande des mouvements actif ou actif aidé
.L’angle entre le tendon et le levier est dans une position favorable .les
mouvements doivent être lent proche du statique .le nombre des
mouvements dépendra des 1er signes de fatigue.
Muscle à 3
Le travail doit se faire on éliminant partiellement la pesanteur
En principe pour toutes les catégories de maladie, il faut les faire
travailler à un point au dessous de leur cotation de testing (c’est la
règle).
Muscle à 4
Ces muscles s’accommodent dans n’importe quelle position ; le nombre
de mouvement dépendra des signes de la fatigue.
Le control du dosage
Dans notre métier on est jamais sûr si notre dosage est dépasser ou non
atteint la plus part des contrôles exigent une correction plus ou moins
important, soit qu’elle porte sur :
- la résistance qui est plus ou moins grande.
- la rapidité d’exécution des mouvements.
- la durée des périodes de repos.
- la quantité de mouvement ou de sa qualité ou sa fréquence.
C’est une méthode qui n’est pas sûr, il est difficile de préciser si on a
tenu compte de tous les éléments dont dépend le dosage, plusieurs
erreurs sont possibles.
1er exemple : par l’analyse du plan de traitement, on peu
avoir sur estimé ou sous estimé une image pathologique du cœur.
2eme exemple : on peut avoir aussi négligé certains
facteurs secondaires importants (malade ne pouvant pas marché avec
béquille l’état du membre supérieur ne le permet pas)
Mais cette méthode permet d éviter uniquement les grosses erreurs mais
n a de valeur que si elle est reprise par une tiers a personne
II - Contrôle des réactions du patient au cour du traitement
2 - Signes Subjectifs
Signes subjectifs avec la collaboration du malade, on le lui demande :
§ les sensations de douleur.
§ Les mouvements faits par le patient avec effort et les signes de
fatigue sont visibles.
§ Les maux de tête.
§ Les tremblements que fait le malade.
§ Nausée et tendances à la syncope.
Fin de chapitre
I –L’examen
1 – Troubles circulatoires :
Les troubles circulatoires sont de règles d’immobilisation : les muscles
on se contractant compriment les vaisseaux, ils vident les vaisseaux est
accélère la circulation sanguin. Les physiologies le nomment cœur
physiologique. Lorsque les contractions musculaires font défaut la
circulation veineuse se trouve ralentie dans le membre atteint d’où
perturbation dans nutrition, (retard de croissance : amyotrophie).
Lorsque le corps est allongé, la circulation général et la circulation
veineuse en particulier se trouve considérablement ralentie. Le sang
non oxygéné stagne dans les veines et celles ci sont souvent
comprimées par un œdème de réaction des tissus traumatisés.
:
2 – Limitation des articulaire
Facile à trouver ; attention ne pas confondre un blocage, raideur,
ankylose.
L’examen articulaire doit être déterminé par un examen attentif des
positions ou des déformations permanentes, car le but de la rééducation
est avant tout de rendre au malade une fonction.
3 – Examen musculaire :
II - plan de traitement
1 – troubles circulatoires
Une immobilisation quelque soit le motif, apporte toujours, surtout au
moment de la mise en charge, une perturbation circulatoire qui se
traduit par des stases veineuses ou œdèmes.
La circulation est la 1er chose dont le rééducateur doit s’en occuper car la
bonne irrigation des membres atteints est la condition du succès.
§ Céderont (disparaitront après certains manœuvres de massage)
§ On général pour les troubles circulatoires : on peut utiliser les bains
de contraste dont le protocole est le suivant :
10 mm------------------- eau chaude.
1 mm------------------- eau froide.
4 mm ------------------ eau chaude.
1 mm ------------------ eau froide.
4 mm ------------------ eau chaude.
1 mm ------------------ eau froide.
4 mm ------------------ eau chaude.
1 mm ------------------ eau froide.
5 mm ------------------ eau chaude.
____________________________
Total : 31 mm
2 – Troubles ostéo-articulaires
Traitement :
§ Commencer par une mobilisation précoce qui peut être effectué
selon les possibilités avec une mobilisation minime aurait un intérêt
énorme, car les contractions musculaires approcher les surfaces
articulaires en présence puis les éloigner pendant les périodes de
relâchement.
§ Les contractions statiques : alternances, compression puis
relâchement
c à d les mécanismes lubrifiants intra-articulaires fonctionnent et
empêchent la calcification des bourses et des culs de sacs synoviaux.
§ Massage
§ La cryothérapie fait disparaître la douleur et l’œdème ; l’en emploie
sous forme de vessie de glace utilisée dans les inflammations récente.
§ Chaleur lésion ancienne.
§ Posture utile pour spasme musculaire qui limite la mobilisation de
l’articulation.
:
b – la phase du cal conjonctif
Le tissu conjonctif de la moelle osseuse et celui des canaux de havers
ouvert par le traumatisme se mettent à se proliférer pour former le
tissu conjonctif embryonnaire.
Les cellules de celui ci va envahissent le caillot sanguin et elles sécrètent
réseau de fibrilles qui vont former une nappe conjonctif : c’est le cal
conjonctif initial.
Ce nouveau tissu conjonctif appeler milieu ossifiable c’est sur lui qu’a la
phase suivante les sels minéraux vont se déposer pour réaliser la
consolidation proprement dite.
a- l’atrophie :
Le seul fait d’immobiliser un segment de membre sain, donne une
atrophie musculaire, on constate :
§ Une diminution du volume du muscle.
§ Une diminution du tonus musculaire.
§ Une diminution de la force du muscle.
Ce sont des phénomènes réversibles disparaissant par la reprise de
l’activité normale.
v L’atrophie musculaire post traumatique.
Elle est de règle même sans immobilisation même de courte durée.
Dans le cas de lésion musculaire, le tissu musculaire qu’est normalement
élastique est remplacer par une cicatrice fibreuse.
Les muscles représentent la fonction motrice, l’organe actif, sans lequel,
aucun mouvement n’est possible.
Il est donc logique que la technique de récupération fonctionnelle lui
accorde une place importante et principale.
Donc, la récupération musculaire doit commencer le plus tôt possible
avant la reprise de toute fonction.
Elle débutera par l’entrainement de la musculature des activités
normales.
Rétraction musculaire et les déformations du squelette .
- Leurs causes.
- Leurs traitements.
La lutte contre les déformations, appartient uniquement aux
rééducateurs, cette lutte doit être poursuivie au sein de la famille. Le
rééducateur a donc un double rôle (d’action).
§ Prévenir par une excellente prophylaxie les déformations de
négligences ou d’ignorance.
§ Eduquer la famille pour que cette prévention soit mise en action à la
maison et obtenir la collaboration des patients, des parents et de
l’entourage.
4 – les rétractions :
Elles peuvent être de deux sortes :
Soit : définitive, parce que, une fois installées seule la chirurgie peut
intervenir.
Soit : transitoire, lorsque ces rétractions passagères surviennent à un
début de paralysie.
En principe :
Les rétractions définitives : proviennent des rétractions capsulo-
ligamentaires le plus souvent provoquées par de mauvaises positions.
Elles peuvent être évitées par une bonne prévention et la mobilisation.
Les rétractions transitoires : sont provoquées par un déséquilibre
agoniste antagoniste.
Elles sont passagères au début d’une poliomyélite, elles peuvent être
redressé manuellement à la période initial, et disparaissent si la
manipulation et entretenue, mais elles finissent par devenir définitives
si elles sont négligées.
Comment cela : les muscles sains se raccourcissent et perdent leurs
élasticités, la déformation osseuse s’installe car l’os est en croissance qui
subit une pression ne se développe pas normalement.
Le traitement : consiste à évité les pertes d’élasticité et les
raccourcissements de compensation, ceci en entretenant la souplesse
articulaire. Les gouttières de nuit indispensable.
A la phase aigue :
L’application de la chaleur, cette chaleur n’a pas une action curative. Elle
apporte au malade une sédation des douleurs et des contractures
musculaires, on entretien aussi l’intégrité articulaire par une mobilisation
passive douce, et parce que les rétractions surviennent très rapidement.
A la phase de récupération :
Une parties des paralysies régresse spontanément, souvent les
déséquilibres musculaires installées laissent au niveau de l’articulation
une déformation définitive dûe aux rétractions.
Le traitement sera avant tout constitué par une mobilisation passive de
toutes les articulations des membres atteints.
Pour conserver la bonne attitude seuls mes maintiens orthopédiques la
nuit sont efficaces.
Fin du chapitre
IV – Chapitre : Technique de kinésithérapie de base applicable à la fonction
musculaire
A – effets mécaniques :
§ Effets circulatoires : drainage veineux de posture.
§ Effets de préservation motrice :
· Manœuvres d’élongation et de relâchement musculaire.
· Assouplissement de l’appareil ligamento-capsulaire se produit sous
l’effet des mouvements imprimés à l’articulation. Les frottements
réciproques des surfaces articulaires leur rendent leur poli, leur élasticité
et préserve le fonction motrice.
B – effets physiologiques :
d’autre de l’adresse.
D’autre de l’endurance.
· La localisation de l’effort.
· La résistance.
· La répétition.
Fin de chapitre
I– la vigueur:
Le problème de diminution de la force musculaire chez l’handicape est
un problème courant ; le testing peut nous donner des éléments de
diagnostic et de travail.
On général : on admet que l’augmentation de la force musculaire ou
vigueur est fonction de trois éléments :
1- le travail musculaire et l’entraînement améliore la circulation
sanguine et développe la conscience motrice.
2- L’hypertrophie des fibres.
3- L’augmentation du nombre des unités motrices participant à l’effort
de contraction.
- la section = 40 cm2.
- Poids à supporté par cm2 = 10 kg /cm2 de
section.
• Le muscle N° 2 :
- longueur : 10 cm.
- section : 20 cm2.
- poids à supporté par /cm2 de section.
La force absolue : 10kg * 20 = 200kg.
Pour étudier la capacité de travail de ces muscles, il faut la 2eme loi de
Borelli-weberfick qui dit:
« En se contractant, le muscle peut se raccourcir jusqu'à la moitié de sa
longueur »
2 – la résistance :
- déterminer la position de départ du segment avec sans pesanteur.
- Déterminer l’angle d’insertion entre le tendon du muscle et le levier
osseux.
- Apprécier la surcharge que peut supporter un muscle (g + R).
- Déterminer le nombre de mouvement à exécuter et les périodes de
repos entre chaque série.
3 – la répétition :
4 – Étirement du muscle.
On sait qu’un muscle étiré provoque un réflexe, mais son angle
d’insertion étant réduit au minimum (proche de 90°).
Exemple : demander la contraction du triceps le coude étant en
extension au maximum.
Il est favorable de faire une flexion forcée du coude avant de demander
l’extension.
II– Le tonus :
§ Il a été largement utilisé en physiologie et décrit comme la
caractéristique d’un muscle sous le control du système nerveux central.
§ C’est un phénomène réflexe, c’est une propriété qu’a le muscle de
réaliser quand le besoin le demande des contractions réflexes
indépendantes de la volonté.
§ Ces contractions commandent l’équilibre des segments les uns sur
les autres et aussi la statique du corps.
§ On appelle contraction tonique, l’augmentation de tonus dans un
muscle ; étant réflexe, elle est sans dépense d’énergie ce qui la
différencie des contractions statiques.
§ la valeur de la tonicité d’un muscle est liée à sa vigueur : plus le
muscle est fort plus il est tonique.
§ Pour qu’un muscle soit tonique et résistant (qualité du muscle de
soutient), il est nécessaire que toutes ses fibres doivent être développé.
§ On doit donc chercher le travaille de ces muscles en faisant
intervenir une résistance à vaincre qui doit être considérable pour avoir
une excitation maximale le seuil le plus élevé.
§ Les contractions dynamiques rapides d’intensités relativement
faibles n’augmentent pas le tonus, par contre si on utilise des
contractions statiques on aura de bons résultats.
§ S’il s’agit d’augmenter le tonus du quadriceps, on placera la jambe
de tel sorte que le quadriceps travail dans des conditions favorables et le
kiné applique une résistance de plus en plus une forte jusqu'à se
que le segment de membre commence à lâcher c’est le break test.
§ Il faut que la pression soit appliquée dans une direction opposé à
l’action du muscle.
§ Il est recommandé d’utiliser le bras de levier le plus long possible
sans pour cela aller au delà de l’articulation suivante.
Développement de la tonicité du membre supérieur
Un sujet tenant un récipient vide, on remplie ce récipient peu à peu
au fur et à mesure que le volume du récipient augmente la contraction
musculaire augmente d’avantage
III –l’endurance
Fin de chapitre.
L’élasticité Musculaire
Étirement et élasticité :
e – le nombre de mouvement :
Doit être proportionnelle à la résistance du patient de façon à ce que la
fatigue n’apparaisse pas.
En résumé :
La recherche de l’élasticité utilise une méthode opposée à celle de la
rechercher l’augmentation de la force musculaire :
1 - Débuter par une contraction concentrique incomplète du
muscle.
2 - Faire suivre cette contraction par une contraction excentrique
d’amplitude maximale.
3 – la contraction statique maintenue à la fin du mouvement
précédant le relâchement.
4 - Laisser la pesanteur agir à la fin de la période et ceci pendant un
bon moment.
5 - Le nombre de mouvement sera guidé par les sensations du sujet
qui ne doit pas atteindre le seuil de la fatigue.
2eme méthode ou 2eme façon :
Fin de chapitre.
La coordination des mouvements
Fin de la kinésithérapie
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Publici Posté le: Ven 27 Fév - 23:27 (2009) Sujet du message: Publicité
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