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PIERRE BELIVEAU RENE PARENT INFILLRATIONS / DE CORTICOIDES 2° EDITION a a LES INDICATIONS a ed yr? war (o> —GENERALITES wr = Un plan global de traitement est Ja clé de Yutilisation judicieuse de a © — GENERALITES | ad Certaines conditions cliniques contre-indiquent l’'usage de corticoides en T = injection locale. t = Ces contre-indications peuvent étre décrites comme absolues soit & cause I 2 de Veffet systémique dangereux, soit A cause du danger d’une compli- r a cation sérieuse au site de injection. 3 dites relatives peuvent concerner toutes les = ae —) | 3 Les corticoides sont des armes théra- ‘doit étre précis, puisque les risques ables. La précision du diagnostic e ostéo-chondrale. B) RELATIVES 1. Pour des raisons d’ordre général: une anticoagulothérapie ; un diabéte insulino-dépendant; une tuberculose ancienne. 2. Pour des raisons d’ordre local : sil’articulation est instable ; siTarticulation est non arthrodiale ; silly ahémarthrose; silyaulcére de décubitus; Sily aprésence d'une prothése. émique ou locale » état général par une infection systémique ltration d’un corticoide puisque ce médica- systéme immunitaire et diminue les défenses mire la bactérie ou le virus en cause. peau au site de T'injection est également ition. Il y a danger d’entrainer des bactéries provoquer une infection profonde sérieuse, tique ou un abcés dans les tissus mous. ieuse ou d'un important hématome dans certains contextes particuliers, l'infiltra- sible avec une aiguille de petit calibre lication de glace et de compression locale e technique non traumatique. e est plus fréquemment anticoagulée ll arrive donc assez réguliérement s ce contexte, il est souhaitable dose d’anticoagulants pendant céder a l’injection si le risque duire au minimum les risques ent en ambulatoire. us Re LES COMPLICATIONS Ss : 3 3 rS GENERALITES 3 infiltration de corticoides dans le traitement de pathologies médicales de : Yappareil musculo-squelettique ne se fait pas sans risque de complications. 3 Le médecin traitant ne peut ignorer ces réactions qui, fort heureusement, 3 sont souvent transitoires et réversibles. Dans la majorité des cas, un protocole bien suivi, en présence d’une indication précise, garantit un S minimum de risques de complications. 3 LES COMPLICATIONS 9 5 ata ate 2 2 3 es réactions vasomotrices. ide comprennent des cristaux s dans l'articulation peuvent réactionnelle importante. dans le liquide synovial et, it les confondre avec les . La mise en charge eteur favorisant cette es dans les tissus mous ans les tissus mous au moment de tains Ja formation de granulomes s bénignes et habituellement rritation et de 2. Les lésions granulomateus La déposition de microcristaux di infiltration peut provoquer chez. cel a corps étranger. Il s'agit 14 de lésion: asymptomatiques. Elles peuvent devenir une cause di douleur. 3. L’atrophie cutanée et la dépigmentation Latrophie cutanée et la dépigmentation sont des complications & craindre au site de Injection, Certains cas de nécrose locale ont été rapportés. Il semble bien que ces Iésions soient causées par les corti- coiides déposés dans le derme au moment du retrait de V'aiguille. Ces s sont p toujours réversibles, mais leur disparition complete mois. Les corticoides a trés longue durée d'action jes de ce genre de complication. nt bien respectées, cette complication fué auprés d'une quarantaine de rhuma- r le risque selon les cas rapportés & x le plus souvent responsable est le sitive. Une inflammation persistante ortisonée intra-articulaire ou au niveau une infection surajoutée; un examen ide synovial doivent étre faits dans les e tendineuse lors d'une infiltration de 205: ible et doit étre gardée a l’esprit, ont répétées. Heureusement, ce risque le croyait. histoire naturelle de onsidérée. Vunité musculo-tendineuse, tendino-périostée en nt 6. Les atteintes nerveuses périphériques Latteinte du nerf périphérique sensitivo-moteur est possible soit directement par Vaiguille lors de sa pénétration dans les tissus mous ou par la suspension des corticoides et de l’'anesthésique local déposés & proximité du nerf. Le patient peut accuser une faiblesse segmentaire — par exemple, un poignet ou un pied tombant — ou encore une hyper- esthésie ou une hypoesthésie dans un territoire donné. Ces effets secondaires peuvent avoir un caractére invalidant, mais ils sont habituellement réversibles et de courte durée. Un rappel de l'anatomie de surface est indispensable au moment de l’infiltration. 7. Le saignement utérin Un saignement utérin anormal a été noté a la suite d’injections de cores sans que le mécanisme de production ait été clairement nhibée. Ges saignements utérins peuvent jique est possible lors d’une iérencier cet effet adverse pas de type allergique. La e et systémique, pancorporelle ie. La réaction allergique it 4 l’anesthésique ou aux ent le visage, le cou et le sociée a une diaphorése. rgique donc bénigne et injection. Cette réaction nt liée @ une libération — | ~ ~~ fi > LES PRODUITS UTILISES p= rs a “ SA) Les corricoipes — 1. Leur action a La puissante action anti-inflammatoire des corticoides est claire- = ment établie et leurs résultats thérapeutiques spectaculaires chez a Yarthritique sont constatés quotidiennement. a La nature exacte de l'action des corticoides demeure encore imprécise, 2 mais plusieurs hypothéses ont été démontrées exp entalement. 2a OT. S = e lysosomiale empéchant la libération Ut e cellulaire des cellules inflam- eur de nécrose tumorale. d’acide arachidonique a partir me diminution de la synthése des mulines et du complément ainsi e stéroides intra-articulaires se enes post-injection: diminution de istance de V’articulation injectée, ation des niveaux plasmatiques des pression des niveaux du cortisol pression de l’axe hypothalamo- 2. Les types de corticoides injectables / Il existe plusieurs produits sur le marché. Ceux-ci suspension, leur vitesse et la durée de leur action (vo! corticoides injectables 2 la page 36). Les corticoides injectables se présentent sous deux formes: a) Les solutions hydrosolubles ont une action rapide et sont absorbées totalement, ne laissant aucun dépét. Elles se présentent sous forme de phosphate sodique. Leurs effets bénéfiques se manifestent entre 30 minutes et 2 heures aprés l’injection, mais ils ne durent que quelques jours. b) Les suspensions insolubles, sous forme d'acétate, comprennent d déposent dans les tissus mous ou dans Stables libérent progressivement, antité de corticoides. Ces dérivés Puissants que I’hormone naturelle. les commence 24 heures et plus durer jusqu’a 8 semaines selon different par leur ir le tableau de orticoides ainsi que la rapidité et le faire un choix judicieux selon la e, les Suspensions d’acétate d'un action sont indiquées et donnent B) LES ANESTHESIQUES LOCAUX 1. Les anesthésiques locaux injectables LEURS ROLES Les anesthésiques locaux sont utilisés de fagon réguliére au cours des infiltrations de corticoides dans les pathologies inflammatoires de Yappareil musculo-squelettique. Lorsque Tinjection est intra-articulaire, T'anesthésique local n’est pas toujours associé aux corticoides. Ceux- ci peuvent étre injectés seuls si l’espace a infiltrer est restreint et qu'un trop grand volume viendrait augmenter la pression locale, comme c'est Je cas dans le syndrome du canal carpien. Lanesthésique local a trois réles reconnus: = La solution anesthésique mélangée aux corticoides diminue la concentration des cristaux et permet une meilleure distribution s s infiltrés. ‘diminue beaucoup la douleur le ainsi que par Iiirritation et la we VES EEUUUUUbY douleur au site de linjection du diagnostic clinique. les les plus fréquemment e) est un anesthésique neurones en diminuant la déclenchement de la trans- lurée de son action varie de sont de 0,5, 1 et 2%. ine) agit de la méme facon est plus longue, soit entre vont de 0,25 a 0,5%. UX, SOit les caudales REMARQUES Lassociation d'un corticoide et une floculation du corticoide. préservatif contenu dans 1 immédiate, Elle pourrait expliqu: résiduels au site de l'infiltration. Ilest a noter qu’environ 5% de la population serait anesthésiques locaux injectables. Une anesthésie locale peut étre faite au site de la ponction articulaire, permetiant l'usage d’aiguilles de gros calibre sans provoquer de douleur. 2. Les anesthésiques topiques ‘ ¢ or Tusage d’anesthésiques locaux non ser la peau et éliminer ainsi la douleur d'un anesthésique Jocal peut provoquer Cette réaction, qui serait causée par le ja solution anesthésiante, n’est pas er en partie la présence de cristaux allergique aux surtout recommandé chez les it la piqdre. ure d’éthyle en vaporisation ou la oe eo om on on on on on Ci Cr en er Cu Cu a a om oy oy e RARRARARARAR AL v i r j r T [ [ f [ , | LES TECHNIQUES D’ INFILTRATION LES REPERES ANATOMIQUES La clé du succés de toute infilt de surface assurant sans danger Le médecin doit étre en mesure d’én traverse l'aiguille et de repérer les éléments a éviter, gros vaisseaux. ‘Avec d’excellents repéres anatomiques, toutes les infiltrations sans l'aide de la radioscopie. ration est la connaissance de l'anatomie la pénétration de I'aiguille au site voulu. umérer toutes les structures que tels les nerfs et les Je médecin peut réaliser presque Tlest important de se . plusieurs structures anatomiques sont trés sensibles & Ja pr iée peut empécher l'identification itient peut parfois correspondre @ distance. Lexemple classique e du deltoide qui provient de ade la bourse sous-acromiale. LASEPSIE Linfection est la complicati [infiltration ne doit pas nécessairem un minimum d’asepsie est essentiel. Toute P' Corticoides peut étre faite dans un cabinet de consultation ov il y a une Site dexamen avec un lavabo, une table d’examen et le mat ériel nécessaire 3 Texécution de Infiltration. Lusage de seringues et daiguilles jetables tend la technique beaucoup plus sare. Pour les ponctions ou infiltrations intra-articulaires, 'usage de gants stériles est préférable. ion la plus a craindre alasuite d'une injection. ent se faire en salle d’opération, mais onction ou infiltration de LE PROTOCOLE TECHNIQUE : LES ETAPES A SUIVRE ee OC e ction ou de l'infiltration, ne pas hésiter ques a l'aide d’un crayon dermo- ire, du centre vers 'extérieur, on et le pourtour avec un tampon. iconate de chlorhexidine a 2%. paces ampoules 4 dose ibre pour réduire la Qaggaagagqaaaa RN RRRRRR RARR 7. Procéder & la ponction ou a infiltration. Aspirer toujours avant diinfiltrer pour éviter d'injecter dans une veine ou pour vérifier la présence de liquide synovial, qui vous assure de Ia bonne position de l’aiguille dans I’articulation. on de la seringue. Il vaut mieux Ne jamais presser avec force le pi déplacer légrement laiguille jusqu’a ce que linjection devienne facile. 8. Nettoyer I'aire de ponction avec l'alcool isopropylique & 70% une fois Vaiguille retirée. 9. Appliquer un pansement sec. 10. Inscrire au dossier la date et le site de la ponction ou de I'infiltra- ique ainsi que le nom et la posologie atoire non stéroidien est ardé au repos, soit une site de lnfiltration pour ar jour, pendant les 2 ou a douleur provoquée par petit hématome post- IS énérale relativement au nombre d’infil- iu diagnostic, de la phase e de corticoide LE NOMBRE D’INFILTRATIONS REQUI Test difficile d’établir une régle g' trations requis, puisqu'll faut tenir compte da aigué, sub-aigué ou chronique de Tinflammation, et du typ: utilisé. = Pour les injections intra-articulaires, action d’au moins deux mois. Ainsi, trois seraient indiquées dans le cas d'une synovi = Dans le traitement d’une réaction inflammatoire des tissus mous, action des corticoides utilisés dure quelques semaines. Une deuxieme et une troisiéme infiltration peuvent étre pratiquées en respectant ce délai, si iB prone thérapeutique nest pas jugée suffisante, c’est-a-dire n partielle ou transitoire. En face dun diagnostic et changer d’approche produit irritant au site de l'injection atoire et aggraver le tableau ou trois sites inflammatoires ‘ler que l’effet systémique du n simultanée d’autres foyers les corticoides utilisés ont une durée ou quatre injections par année ite rebelle ou récidivante. eo GHAHRAHKRAAAAARAQAADS Vea ba i ti Lh e elt A e — ett ext ext exl- exl- eT excl ex el el as, 6 ll Ve POCO LES PROTOCOLES TECHNIQUES GENERALITES Plusieurs approches peuvent étre décrites pour la méme infiltration. Chaque spécialiste privilégic la technique qu'il utilise couramment et avec laquelle il obtient de bons résultats thérapeutiques. Certaines techniques sont actuellement presque exclusivement pra- tiquées sous fluoroscopie pour des raisons d’efficacité et de sécurité. Les 32 techniques retenues peuvent aisément étre faites par le clinicien en cabinet ou en milieu hospitalier sans l'aide de la fluoroscopie de fagon efficace et sécuritaire injecter dépendent du site et du aidera 2 faire votre choix. « © oe eo e e eo © © e @ Ee e @ e e e = e e€ , pannan ‘ORTICOIDES INJE' SOLOGIE (SUITE) PRESENTATION ET GRAND NERF OCCIPITAL p’ARNOLD } \\ 1. INDICATION SPECIFIQUE Ne La névralgie d’Amnold avec céphalée occipitale. i 2. POSITION DU PATIENT «Assis sur une chaise, la téte reposant sur les mains posées sur la table d’examen. = Le muscle trapéze relaché. 3. TECHNIQUE = Onrepére ’émergence du nerf d’Amold a 1,5 cm au-dessous dela ligne courbe occipitale et a 1,5 cm du bord externe ou dutra a ligne médiane. ou oS A Ste cette manceuvre 4 ou 5 fois en de Paiguille (injection en demi-lune). & ou "ih — ee | ARTICULATION CHONDRO-STERNALE 1. INDICATIONS SPECIFIQUES La chondrite sternale ou syndrome de Tietze. La chondro-sternalgie post-traumatique. 2. POSITION DU PATIENT + En décubitus dorsal. i e long du corps. Médrol 20 mg/ml: 0,5ml. SAnngagns = oce Qn , Q EEEEE Ree HANA = UUUOLOLULLCELY ee aan RORRERRR eRe pnponoanonanag gaaaasa NOAH | LIGAMENT INTEREPINEUX _ INDICATION SPECIFIQUE La dorso-lombalgie de type postural chronique associée aune ligamentite. 2. POSITION DU PATIENT « Endécubitus ventral. + Unoreiller placé sous le ventre. 3. TECHNIQUE de Pespace interépineux 6pineuse proximale. quantité a I'attache ligament. Sans étre retire enfoncée et dirigée vers ea we we w ~ ~~ ~~ 2 2 a i I i I J a nt MAAS JUVUUUU a S543 3S S5SSSSSSSI0000 AAAAAARRRRULS 1222299099 MAAN NNO OOONOOONNAARRRR eR Pree eee HHH ==] LIGAMENT ILIO-LOMBAIRE 1. INDICATION SPECIFIQUE La lombalgie posturale chronique avec instabilité de la charniére lombo-sacrée. 2. POSITION DU PATIENT « En décubitus ventral. « Unoreiller placé sous le ventre. 3. TECHNIQUE qui voyage de l’épine iliaque 4 Vapophyse transverse s de l'attache ligamentaire al point oii elle traverse le ligament. iTetirant laiguille légerement. eprés de l'insertion périostée. }o-Médrol 40 mg/ml: 1 ml. aggagas ee ee ee SIITTIVVUCUUCUCL LA aA 5 AM 33 = 5 AAA 33938 ane RAR? p9nnnn LHNNNDONO NNN ONNNNONONOOOO Eee 5 1. INDICATIONS SPECIFIQUES La synovite rhumatoide. La synovite post-traumatique avec subluxation et inflammation chronique. 2. POSITION DU PATIENT = En décubitus dorsal. » La téte légérement tournée du coté opposé a la lésion. ligne articulaire et on introduit l'aiguille lent a la peau ou avec une légére angulation INTITE ‘ou Dépo-Médrol 40. mg/ml: 0,5 ou Im. Hengoggggggaag goog asaeane mts 6 1. INDICATION SPECIFIQUE La synovite post-traumatique. 2. POSITION DU PATIENT Assis, droit, Ie bras le long du corps. 3. TECHNIQUE * Onrepére articulation sur la partie supérieure de I’épaule. ‘introduit Vaiguille dans un plan légérement oblique e, sans résistance 2 la pression ROUggnnnen: Gaagagag & MAAAAAAAAAAAM AM MA i awe are owe are 1. INDICATIONS SPECIFIQUES zr Lasynovite aigué ou chronique. awe La capsulite rétractile. ow om 2. POSITION DU PATIENT om + Assis, le bras le long du thorax en position neutre, ew lamain posée sur la cuisse. <4 ~» + Ouen décubitus dorsal, le bras le long du corps. ey? =~ e1- surla face antérieure e_ aaa us l'apophyse, a un angle e m 2 slacavité glénoidelelong Gy > SL contact de la téte humérale c illo, jection de la solution doit ety ens @Bspitation du liquide synovial eeillleay ion de l'aiguille, 140 mg/ml: 2m. Meh) PPPPRA peepnnnnnne fone NO Neen Ne \ 1. INDICATIONS SPECIFIQUES La bursite sous-acromiale. La tendinite chronique de la coiffe des rotateurs. 2. POSITION DU PATIENT e Assis, le tron droit, le bras le long du thorax en position © neutre, le coude fléchi, la main posée sur la cuisse. 2 . e e Tacromion, le trochiter et le sillon sous-acromial. oe Taiguille dans le sillon, sous le bord inférieur ey. ion. e-.. ent buter surlacromion, on laretirelégerement 2g, er vers le bas et l'arriére de l’'acromion. on moitié de la solution dans la bourse. Lereste Oy, juste au-dessus de V’attache de la coiffe oe / S au trochiter. e 4 7 a. ‘ Yavoir de résistance 4 la pression sur le piston © ee S ‘Me el ec e m4 e we e mW Ws Se 2 MA ‘1. INDICATION SPECIFIQUE La tendinite de la longue portion du biceps. 2. POSITION DU PATIENT Assis, le bras le long du thorax en position neutre, le coude ‘Aléchi, la main posée sur la cuisse. @ la longue portion dans la gouttiére bicipitale. luit 'aiguille & la partie inférieure de la gouttiére e vers le haut jusqu’aux plans profonds, ‘osseux huméral. @ la solution en retirant lentement l’aiguille de et on recommence ainsi trois ou quatre fois, difiant légerement la direction de l'aiguille, @ A distribuer la solution de chaque coté re sans toucher le tendon. le Soluspan ou Dépo-Médrol 20 mg/ml: 1 ml. r Al 1. INDICATIONS SPECIFIQUES v La synovite rhumatoide, microcristalline. La synovite associée a ’épicondylite externe. 2. POSITION DU PATIENT * Assis ou en décubitus dorsal. e coude fléchi a environ 60°. ‘Tadiale et le condyle externe huméral. téte radiale est facile a identifier tmobilise son avant-bras en pronation le perpendiculairement a la peau © cm dans l’articulation. gage Aaage Be ee eee eee Gaaana Tal pl od le Ds Annagannaanaagaana nan | nnn BEE i i! S onnnann PPRPPPPP PE PEmnnnnnnnn SASS L. INDICATION SPECIFIQUE Lépicondylite ou «tennis elbow 2. POSITION DU PATIENT Assis ou en décubitus dorsal, le coude fléchi a environ 60 3. TECHNIQUE Z + Onrepére l’épicondyle externe et, 2 la palpation, ex ‘on identifie le point douloureux maximal. ey~ * Au site douloureux, on introduit l'aiguille perpendiculaire- ey~ ment a la peau jusqu’au contact de I’os. exy~ en étoile) le corticoide a linsertion ex péric ec ~ A ieesurlesitedouloureuxetdiriger © ~ e, vers l’épicondyle. e,;> fe a = ay — a ae a > — ae ba} = = = = ™ WRU R AOR b be ee OU 0 Ss 1. INDICATION SPECIFIQUE La bursite aigué ou chronique. 2. POSITION DU PATIENT » Assis ou en décubitus dorsal. = Le coude fléchi a environ 60°. 3. TECHNIQUE = On introduit laiguille dans la partie supérieure de la bourse. « Ont du liquide avant d’injecter le corticoide. u Dépo-Médrol 20 mg/ml: 0,5 ml. Be sen BARB AB REPO RAAOMOMONOOOAA JTree io |e dt‘ ‘a OC ORARERRERRES 1. INDICATIONS SPECIFIQUES La synovite aigué ou chronique. Le kyste arthro-synovial. 2. POSITION DU PATIENT = Assis ou en décubitus dorsal. = Le poignet, légérement fléchi, reposant sur un oreiller. jon en identifiant ’extrémité distale jeure fixe alors que le semi-lunaire € perpendiculairement a la peau, e, juste a cOté du tendon. liquide avant d'injecter le corticoi BASSES AP 1. INDICATION SPECIFIQUE La ténosynovite de De Quervain. 2. POSITION DU PATIENT = Assis ou en décubitus dorsal. * Le bras le long du corps, le coude fléchi 4 90°. + Layant-bras en position neutre, la main posée sur un oreiller. 3. TECHNIQ tendons au niveau de la tabati¢re hhyse styloide du radius. Ta peau et on introduit 'aiguille lent aux tendons. o-Médrol 20mg/ml: 0,5 ml. Vi QAR 1. INDICATION SPECIFIQUE Le syndrome du canal carpien. 2. POSITION DU PATIENT * Assis ou en décubitus dorsal. * Lavant-bras en supination avec une légére dorsiflexion du poignet. 3. TECHNIQUE * Ontepére les grand et petit palmaires; le nerf médian entre ces deux tendons. Proximal du ligament annulaire uille du coté cubital du p. it palmaire, © du ligament annulaire. 1. INDICATIONS SPECIFIQUES Larthrose. Lasynovite post-entorse. 2. POSITION DU PATIENT * Assis ou en décubitus dorsal, + Lamain reposant sur un oreiller. 3. TECHNIQUE ©dorsale de la main, on repére la base lu2™* métacarpe, et le trapoze. est appliquée sur le pouce puis le dans Vnterligne articulaire Ala peau, sur une profondeur Po-Meédrol 40mg/ml: 0,5 mi. T1998 aaaaa RQQeaannne a fg ot) iaeaaa Pees AMARA SER EERE rE 18 a “ . . oe 1. INDICATION SPECIFIQUE . La synovite aigué ou chronique. r 2. POSITION DU PATIENT cr Te Assis, la main reposant sur un oreiller. a~ 3. TECHNIQUE © = Onrepére V'interligne articulaire, sous la téte dumétacarpe. = fiéchit articulation a environ 30° et on exerce in e traction sur la phalange. — oe it Paiguille dans l'articulation, sur la ligne ee =, le, soit entre les tendons extenseurs a vasculo-nerveux. ec & ~~ QUANTITE aA an ou Dépo-Médrol 40 mg/ml : 0,5 ml. ee aa ated oe me —_— _—m oe —_ Se Se ce om ow | , ‘A AAR SAA es panna INOee . SEGRE SECEERE 1. INDICATIONS SPECIFIQUES La ténosynovite. Le «doigt a resort ». 2. POSITION DU PATIENT + Assis ou en décubitus dorsal. + Lamain en supination, reposant sur un oreiller. NOAA VA TTIA AAA 4 _— e e! et el et et et 1. INDICATION spEcIFIQUE La meralgie paresthésiave: 2, POSITION DU PATIENT En décubitus dorsal. 3. TECHNIQUE + Onrepére lépine iliaque antéro-supérieure et ’attache du couturier. « Lenerf fémoro-cutané passe juste sous Yattache ponévrotique du couturier et vient sortir & 1a surface dela peau, a 10cm sous Pépine iliaque. he du couturier 41’épine iliaque ; fence du nerf fémoro-cutané, 2 cy RARRADP 2 AAA Dionne Drpnnnnannann ee es te [ANAnAAAnRAR L. INDICATION SPECIFIQUE La bursite aigué ou chronique. 2. POSITION DU PATIENT tin décubitus latéral, du coté opposé 21a Pours® ainfiltrer. ddd ddddssav4 q 3. TECHNIQUE « on repere le trochanter et on identifie la zone la plus douloureuse a la palpation. + On introduit Paiguille perpendiculairement ala peau jusqu’a ce qu'elle touche le plan osseux. ecte Ja solution en retirant lentement Yaiguille mence en changeant la direction de celle-ci q ou Dépo-Médrol 40 mg/ml: 2ml. :2-3ml. DD MMMM LL 4 ica ‘oa ok hh i “sk NeNS RS x ' . ! ne s 22 | / (3 | : cor \ MuscLes ADDUCTEURS pELAHANGHE | a1 S In ae > ar \\ 1. INDICATION SPECIFIQUE eT | ore \) N La tendinite des adducteurs de lahanche. ere Vf er y {| 2-Posmon DU PATIENT Zz { © J) Je « En décubitus dorsal. 2 I \ « Lahanche en légere abduction, le genou fléchi ere er z 3. TECHNIQUE € : we \ 2 Onrepére le point dosloureux maximal 3 to" ey, \ de l'adducteur sur la branche horizontale du pubis. ey ; = On introduit laiguille au site douloureux en directic : ection ey~ a branche pubfenne, jusqu au plan osseous e ; olutior eee Yaiguille ee; sn demi-lune. e| - a 3. TECHNIQUE > * On repére la gaine des tendons derriére la malléole 7 interne. > 7 7 on COOTEERRRURI Pp pp ppeeene A a Bb bb niaini ceeeerri ‘ant \ zo | ARTICULATION METATARSO- | PHALANGIENNE DU GROS ORTEIL Sj oa Pe if | _L. INDICATIONS SPECIFIQUES | \) js Larthrite microcristalline. { ll Larthrose avec synovite. | 2. POSITION DU PATIENT . En décubitus dorsal. ® & j 3. TECHNIQUE > * Onrepére linterligne articulaire en appliquant une légére traction sur la phalange. ion fléchie a environ 20°. 2 le bord antéro-latéral externe e profondeur de 1 cm. ¥eyey 114 ame q 14 Se co eS e eo. o Co a © 30 RAR = oS 1. INDICATION SPECIFIQUE ar La tendinite d'insertion calcanéenne du tendon d Achille. & Be ar OR 2. POSITION DU PATIENT oS = En décubitus ventral. oa = Le pied reposant sur un oreiller ou a l’extrémité du lit. S a Ga SG a 6 G GS S a S a —- a ra ee = ee os oes os os ~~ os ss os rs es o we eae? i al i} So = 222 Soe peep eranennnonnenccceee, el 1. INDICATION SPECIFIQUE Le névrome de Morton. 2. POSITION DU PATIENT = En décubitus dorsal. = Lajambe en position neutre. 3. TECHNIQUE = Ala palpation, on repére le point douloureux maximal, entre deux tétes métatarsiennes. = On introduit laiguille au site douloureux, perpendiculaire- ment . Ja peau, entre deux tétes métatarsiennes, Sale dupied ou 8a région plantaire. édrol 40 mg/ml: 0,5 ml. se mae Hgnnnanganaaggaggnagga aan A ~ SEBBBSS ABA Bb AD -2On On AAA R hehehe PRR 8 i i i iy by by bs bs es

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