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1. LES INTÉGRALES
1.1 La primitive
x1 1
1. f ( x) x 3 x1 3 F ( x) 3x C 1
2
x 2 3x C
1 1
Vérification: F ( x) 1
2
(2x) 3 0 x 3 f ( x)
1 x3 x2
2. f ( x) 1
2
x2 2x 6 F ( x) 2 6x C 1
6
x3 x2 6x C
2 3 2
3 x 2 1 4 x3 1
3. f ( x) 1
2
3
4
x2 4
5
x3 F ( x) 1
2
x C 1
2
x 1
4
x3 1
5
x4 C
42 1 53 1
Vérification: F ( x) 1
2
1
4
(3x2 ) 1
5
(4x3 ) 0 1
2
3
4
x2 4
5
x3 f ( x)
5. f ( x) ( x 1)(2x 1) 2x2 x 1 F ( x) 2( 13 x3 ) 1
2
x2 x C 2
3
x3 1
2
x2 x C
7. f ( x) 7x 2/5 8x 4/5
F ( x) 7 5
7
x7/5 8(5x1/5 ) C 5x7/5 40 x1/5 C
x 4,4 x 2
5 4,4
8. f ( x) x3,4 2x 2 1
F ( x) 2 C x 2x 2
C
4,4 2 22
3
12. f ( x) x2 x x x2/3 x3/2 F ( x) 3
5
x5/3 2
5
x5/2 C
1
1 2 1 1 5
x 2ln( x) C1 si x 0
13. Le domaine de f ( x) 2 est ] ,0[ ]0, [ ; par conséquent, F ( x) 1
5 x 5 x 5
x 2ln( x) C2 si x 0
6
3t ln(t ) C1 si t 0
3t 4 t 3 6t 2 1 6 t
14. Le domaine de f (t ) 3 est ] ,0[ ]0, [ ; par conséquent, F (t ) Voir
t4 t t2 6
3t ln( t ) C2 si t 0
t
1 t t2 1/2
15. g (t ) t t1/2 t 3/2 G(t ) 2t1/2 2 3/2
3
t 2 5/2
5
t C
t
x3/ 2
18. f ( x) 2 x 6cos x 2 x1/ 2 6cos x F ( x) 2 6sin x C 4
3
x3/ 2 6sin x C
3/2
x5 x3 2x 1 2 1 3
19. f ( x) x x 2x
x4 x x3 x
x2 x31 1
ln( x) 2 C 1
2
x2 ln(x) C si x 0
2 3 1 x2
F ( x)
x2 x31 1
ln( x) 2 C 1
2
x2 ln( x) C si x 0
2 3 1 x2
2 x2 1 (1 x 2 ) 1
20. f ( x) 1 F ( x) arctan x x C
1 x2 1 x2 1 x2
x5 x6
21. f ( x) 5x 4 2x5 F ( x) 5 2 C x5 1
3
x 6 C . F (0) 4 05 1
3
06 C 4 C 4 , donc
5 6
F ( x) x5 1
3
x6 4 . La courbe est en accord avec cette réponse, puisque f (x) = 0 lorsque F a un maximum local, la valeur de f est
3
22. f ( x) 4 3(1 x 2 ) 1
4 F ( x) 4x 3arctan x C . F (1) 0 4 3( 4 ) C 0 C 3
4
4 , donc
1 x2
F ( x) 4x 3arctan x 3
4
4 . On constate que la valeur de f est positive et que F est croissante sur . De plus, les valeurs de f
sont plus petites là où les pentes des tangentes de F sont plus petites.
x4 x3 x2
23. f ( x) 20 x 3 12x 2 6x f ( x) 20 12 6 C 5x 4 4x 3 3x 2 C
4 3 2
x5 x4 x3
f ( x) 5 4 3 Cx D x5 x4 x3 Cx D
5 4 3
24. f ( x) x6 4x 4 x 1 f ( x) 1
7
x7 4
5
x5 1
2
x2 x C
8 6 3 2
f ( x) 1
56
x 2
15
x 1
6
x 1
2
x Cx D
2 x5/3 2 x8/3
25. f ( x) 2
3
x 2/3 f ( x) C 2
5
x5/3 C f ( x) Cx D 3
20
x8/3 Cx D
3 5/3 5 8/3
x2
26. f ( x) 6x sin x f ( x) 6 cos x C 3x 2 cos x C
2
x3
f ( x) 3 sin x Cx D x 3 sin x Cx D
3
28. Le domaine de f (t ) et t 4
est
et 1
3
t 3
C1 si t 0
] ,0[ ]0, [ f (t )
et 1
3
t 3
C2 si t 0
et 1
6
t 2
C1t D1 si t 0 et 1
6
t 1 1
2
C1t 2 D1t E1 si t 0
f t) f (t )
et 1
6
t 2
C2t D2 si t 0 et 1
6
t 1 1
2
C2t 2 D2t E2 si t 0
29. f ( x) 1 3 x f ( x) x 3 2
3
x3/2 C x 2x3/2 C . f (4) 4 2(8) C . Or, f (4) 25 20 C 25 C 5,
donc f ( x) x 2x3/2 5.
f ( x) x5 x3 4x 6 .
4
31. f (t ) f (t ) 4arctan t C . f (1) 4 C . Or, f (1) 0 C 0 C , donc f (t ) 4arctan t .
1 t2 4
1 1 2 1 1 1 1 2 1
32. f (t ) t ,t 0 f (t ) t C . f (1) C . Or, f (1) 6 C 6 , donc f (t ) t 6.
t3 2 2t 2 2 2 2 2t 2
x2 1 1 1
x2 ln x C1 si x 0
34. Le domaine de f ( x) x est ] ,0[ ]0, [ f ( x) 2
2
f (1) 1
2
ln1 C1 1
2
C1 .
x x 1
2
x ln( x) C2 si x 0
Or, f (1) 1
2
C1 0 . f ( 1) 1
2
ln1 C2 1
2
C2 . Or, f ( 1) 0 C2 1
2
. Par conséquent,
1 2
2
x ln x si x 0
f ( x) 1 2
2
x ln( x) 1
2
si x 0
1/3
3
2
x 2/3 C1 si x 0 3
35. Le domaine de f ( x) x est ] ,0[ ]0, [ f ( x) f (1) 2
C1 . Or, f (1) 1 C1 1
2
.
3
2
x 2/3 C2 si x 0
3 5
3
2
x 2/3 1
2
si x 0
f ( 1) 2
C2 et f ( 1) 1 C2 2
. Par conséquent, f ( x) 3
2
x 2/3 5
2
si x 0
2
donc f ( x) 4arcsin x 1 3
.
f ( x) x2 2 x3 x4 12x 4 .
f ( x) 2
5
x5 5
2
x2 x D . f (1) 2
5
5
2
1 D D 39
10
. Or, f (1) 0 D 39
10
, donc f ( x) 2
5
x5 5
2
x2 x 39
10
.
f ( ) cos sin 5 et, par conséquent, f ( ) sin cos 5 D . f (0) 1 D . Or, f (0) 3 D 4 , donc
f( ) sin cos 5 4.
40. f (t ) 3/ t 3t 1/2
f (t ) 6t1/2 C . f (4) 12 C .Or, f (4) 7 C 5 , donc f (t ) 6t1/2 5 et, par conséquent,
2 2
f (2) /4 ( 2 )C . Or, f ( 2 ) 0 ( 2 )C /4 C 2
, donc f ( x) x2 cos x ( 2 ) x .
43. f (t ) 2et 3sin t f (t ) 2et 3cos t C f (t ) 2et 3sin t Ct D . f (0) 2 D . Or, f (0) 0 D 2.
2 2e 2 2e
f( ) 2e C 2 . Or, f ( ) 0 C 2 2e C , donc f (t ) 2et 3sin t t 2.
f ( x) cos x 3x 3 f ( x) sin x 3
2
x2 3x E . f (0) E . Or, f (0) 1 E 1 . Par conséquent,
f ( x) sin x 3
2
x2 3x 1 .
46. Sachant que f ( x) 2 x 1 , on obtient f ( x) x2 x C . Comme f passe par le point (1, 6),
47. f ( x) x3 f ( x) 1
4
x4 C . x y 0 y x m 1 . Or, m f ( x) 1 x3 x 1 y 1 (tiré
fonction est f ( x) 1
4
x4 3
4
.
48. b est une primitive de f. Pour une petite valeur de x, la valeur de f est négative, ce qui signifie que la courbe d’une primitive doit être
décroissante. Or, a et c augmentent toutes deux pour une petite valeur de x, donc seule b peut être une primitive de f. De plus, la
49. On sait d’emblée que c ne peut pas être une primitive de f, puisque la pente de c n’est pas zéro à la valeur de x pour laquelle f = 0. Or,
la valeur de f est positive quand a augmente et négative quand a décroît, donc a est une primitive de f.
50. La courbe de F doit débuter au point (0, 1). Lorsque la courbe donnée, y = f (x), admet un minimum relatif (local) ou un maximum
relatif (local), la courbe de F aura un point d’inflexion. Là où la valeur de f est négative (positive), F est décroissante (croissante). Au
point où la valeur de f passe de négative à positive, F aura un minimum. Au point où la valeur de f passe de positive à négative, F
aura un maximum. Là où la valeur de f est décroissante (croissante), F est concave vers le bas (vers le haut).
51. Là où v est positive (négative), s est croissante (décroissante). Là où v est croissante (décroissante), s est concave vers le haut (vers le
2 si 0 x 1 2x C si 0 x 1
52. f ( x) 1 si 1 x 2 f ( x) x D si 1 x 2
1 si 2 x 3 x E si 2 x 3
f (0) 1 2(0) C 1 C 1.
En prenant comme point de départ le point (0, −1) et en se déplaçant vers la droite sur une ligne dont la pente est égale à 2, on arrive
au point (1, 1). La pente de 1 < x < 2 est égale à 1; on arrive donc au point (2, 2). On se fonde ici sur le fait que f est continue. On
peut inclure le point x = 1 dans la première ou la seconde partie de f. La ligne reliant (1, 1) à (2, 2) est y = x, donc D = 0. La pente de
2 < x ≤ 3 est égale à −1, et on arrive donc au point (3, 1). f (3) 1 3 E 1 E 4 . Par conséquent,
2x 1 si 0 x 1
f ( x) x si 1 x 2
x 4 si 2 x 3
53. a)
b) Puisque F (0) = 1, on peut prendre comme point de départ de la courbe le point (0, 1). f a un minimum vers x = 0,5; sa
dérivée est donc égale à 0 à ce point. f est décroissante sur l’intervalle ]0; 0,5[; sa dérivée est donc négative et, par
conséquent, F est concave vers le bas au point (0; 0,5) et a un point d’inflexion en x ≈ 0,5. Sur l’intervalle ]0,5; 2,2[, f est
négative et croissante (f′ est positive); F est donc décroissante et concave vers le haut. Sur l’intervalle ]2,2; ∞[, f est positive
c) f ( x) 2x 3 x F ( x) x2 3 2
x3/2 C . F (0) C et F (0) 1 C 1 , donc F ( x) x2 2 x3/2 1 .
3
d)
sin x
54. f ( x) , 2 x 2
1 x2
On constate que la courbe de f est celle d’une fonction impaire; la courbe de F sera donc celle d’une fonction paire.
55. f ( x) x4 2x2 2 2, 3 x 3 On constate que la courbe de f est celle d’une fonction paire; la courbe de F sera donc celle
56. v(t ) s (t ) sin t cos t s(t ) cos t sin t C . s(0) 1 C . Or, s(0) 0 C 1 , donc s(t ) cos t sin t 1 .
57. v(t ) s (t ) 1,5 t s(t ) t 3/2 C . s(4) 8 C . Or, s(4) 10 C 2 , donc s(t ) t 3/2 2.
1 3 1 2
s(0) D . Or, s(0) 3 D 3 , donc s(t ) 3
t 2
t 2t 3 .
59. a(t ) v (t ) 3cos t 2sin t v(t ) 3sin t 2cos t C . v(0) 2 C . Or, v(0) 4 C 2 , donc v(t ) 3sin t 2cos t 2
et s(t ) 3cos t 2sin t 2t D . s(0) 3 D . Or, s(0) 0 D 3 , donc s(t ) 3cos t 2sin t 2t 3 .
60. a(t ) v (t ) 10sin t 3cos t v(t ) 10cos t 3sin t C s(t ) 10sin t 3cos t Ct D . s(0) 3 D 0 et
s(2 ) 3 2 C D 12 D 3 et C 6
. Par conséquent, s(t ) 10sin t 3cos t 6
t 3.
1 4 2 3
s(1) 29
12
C . Or, s(1) 20 C 211
12
. Par conséquent, s(t ) 12
t 3
t 3t 2 211
12
t.
62. a) Puisque la pierre tombe d’une hauteur de 450 m, on déduit d’abord que v(0) 0 et s(0) 450 .
v (t ) a(t ) 9,8 v(t ) 9,8t C . Or, v(0) 0 C 0 , donc v(t ) 9,8t s(t ) 4,9t 2 D . Enfin,
b) La pierre touche le sol quand s(t ) 0 . 450 4,9t 2 0 t2 450/4,9 t1 450/4,9 9,58 s .
c) La vitesse de la pierre lorsqu’elle touche le sol est v(t1 ) 9,8 450/4,9 93,9 m/s .
d) Il s’agit simplement de reprendre les parties a) et b) et d’employer v(0) 5 . Si on utilise v(t ) 9,8t C ,
s(0) 450 D 450 s(t ) 4,9t 2 5t 450 . En appliquant la formule quadratique pour résoudre l’équation
64. On reprend l’exercice 63 avec les valeurs suivantes : a = −9,8, s(t) = −4,9t2 + v0t + s0 et v(t) = s′(t) = −9,8t + v0. Donc,
[v(t )]2 ( 9,8t v0) 2 (9,8) 2 t 2 19,6 v0t v02 v02 96,04 t 2 19,6 v0t v 02 19,6( 4,9 t 2 v 0t) . Cependant, −4,9t2 + v0t est
simplement s(t) sans le terme s0, c’est-à-dire s(t) − s0. Par conséquent, [v(t )]2 v02 19,6[s(t ) s0 ] .
65. Pour la première balle, s1 (t ) 4,9t 2 14t 140 (tiré de l’exemple 7). Pour la seconde balle, a(t ) 9,8 v(t ) 9,8t C .
Toutefois, v(1) 9,8(1) C 7 C 16,8 , donc v(t ) 9,8t 16,8 s(t ) 4,9t 2 16,8t D , mais
s(1) 4,9(1)2 16,8(1) D 140 D 128,1 , et s2 (t ) 4,9t 2 16,8t 128,1 . Les balles se croisent lorsque
s1 (t ) s2 (t ) 4,9t 2 14t 140 4,9t 2 16,8t 128,1 2,8t 11,9 t 4,25 s . Autre solution : À partir de
l’exercice 63, on obtient s1 (t ) 4,9t 2 14t 140 et s2 (t ) 4,9t 2 7t 140 . On cherche à présent à résoudre
66. À partir de l’exercice 63 et des valeurs suivantes : a 9,8, v0 0 et s0 h (hauteur de la falaise), on sait que la hauteur au temps
67. a) EIy mg (L x) 1
2
g (L x ) 2 EIy 1
2
mg (L x ) 2 1
6
g (L x )3 C EIy 1
6
mg ( L x)3 1
24
g ( L x) 4 Cx D .
Puisque l’extrémité gauche du tremplin est fixe, on doit avoir y = y′ = 0 quand x = 0. Par conséquent, 0 1
2
mgL2 1
6
gL3 C et
0 1
6
mgL3 1
24
gL4 D . Il s’ensuit que EIy 1
6
mg ( L x)3 1
24
g ( L x) 4 ( 12 mgL2 1
6
gL3 ) x ( 16 mgL3 1
24
gL4 ) et
1 1
f ( x) y [ mg ( L x)3 1
g ( L x) 4 ( 12 mgL2 1
gL3 ) x ( 16 mgL3 1
gL4 )]
EI 6 24 6 24
b) f (L) < 0, ce qui fait que l’extrémité du tremplin est à une distance approximative de −f (L) sous la ligne horizontale. Selon le
1 1 1 1 gL3 m L
f ( L) [ mgL3 1
gL4 1
mgL3 1
gL4 ] ( mgL3 1
gL4 )
EI 2 6 6 24
EI 3 8
EI 3 8
C( x) 1,92x 0,001x2 560,081 C (100) 742,081 , donc le coût de production de 100 unités est de 742,08 $.
dm 1/2
69. Soit m(x) = la masse, mesurée depuis une extrémité. Alors m(0) 0 et x m( x) 2x1/2 C et m(0) C 0,
dx
70. Si on considère que la direction vers le haut est positive, on obtient pour 0 ≤ t ≤ 10 (en utilisant l’indice 1 pour faire référence aux
9 2
s1 (0) 500 s0 s1 (t ) 2
t 0,15t 3 10t 500 . s1 (10)= 450 150 100 500 100 , donc la goutte de pluie met plus de
a(t ) 0 v (t ) v(t ) constante v1 (10) 9(10) 0,45(10)2 10 55 v(t ) 55 . À 55 m/s, il faudra 100/55 ≈ 1,8 s à la
100 130
goutte de pluie pour parcourir les derniers 100 m. Donc, le temps total nécessaire est 10 55 11
11.8 s .
7 2 20 000
v(t ) 0 t 200
79
200
63
. Puisque s(t ) 2
t 200
9
t , la distance parcourue est s( 200
63
) 7
2
( 200
63
)2 200
9
200
63 567
35,3 m .
5k 125
9
200
9
5k 75
9
k 5
3
1,67 m/s2 .
73. a(t ) 4 v(t ) 4t v0 où v0 est la vitesse de l’automobile (m/s) au moment où le conducteur a actionné les freins.
s( 14 v0 ) 60 60 2( 14 v0 )2 v0 ( 14 v0 ) 1
8
v02 v02 8 60 480 v0 4 30 m/s 21,9 m/s .
74. Soit l’accélération a(t) = k km/h2. On a v(0) 100 km/h et on peut donner à la position initiale s(0) la valeur 0. On cherche le temps
tf pour lequel v(t) = 0 afin de satisfaire à la condition s(t) < 0,08 km. En général, v′(t) = a(t) = k, donc v(t) = kt + C, où C = v(0) =
2
1 100 100 1 1 5 000
obtient ktf + 100 = 0 ou tf = −100/k, donc s(t f ) k 100 10 000 . La condition que doit
2 k k 2k k k
5 000 5 000
remplir s(tf ) est 0,08 k [k est négative] k 62 500 km/h 2 , ou encore, k 3125
648
4,82 m/s2 .
k 0,08
s(t ) 3t 3 C s(0) 0 C s(t ) 3t 3 . On constate que v(10) 900 et s(10) 3000 . Pour 10 < t ≤ 180, on a
v(t ) 9,8(t 10) 900 9,8t 998 s(t ) 4,9(t 10)2 900(t 10) C s(10) 3000 C
s(t ) 4,9(t 10)2 900(t 10) 3 000 4,9t 2 998t 6490 . On constate que v(180) 766 et s(180) 14 390 .
Pour 180 < t ≤ 190 : L’accélération augmente de façon linéaire de −766 m/s à −16 m/s durant cette période, donc
v 16 ( 766) 750
75 . Par conséquent,
t 190 180 10
s(190) 10 480 m.
s(190) 10 480 C s(t ) 18(t 190) 10 480 16t 13 520 . Par conséquent, jusqu’au moment où la fusée atterrit,
on obtient
9t 2 si 0 t 10
9,8t 998 si 10 t 180
v(t )
75t 14 266 si 180 t 190
16 si t 190
et
3t 3 si 0 t 10
2
4,9t 998t 6490 si 10 t 180
s (t )
37,5t 2 14 266t 1 367 270 si 180 t 190
16t 13 520 si t 190
b) Pour calculer le moment auquel la fusée atteint sa hauteur maximale, on établit que v(t) pour 10 < t ≤ 180 est égale à 0.
9,8t 998 0 t1 101,8367 s et la hauteur maximale est s(t1 ) 4,9t12 998t1 6490 44 326,531 m .
c) Pour découvrir le moment auquel la fusée atterrit, on établit que s(t ) 16t 13 520 0 . Alors, t 845 s .
s(0) = 0, on obtient s(t ) 0,8t 2 , 0 ≤ t ≤ 25. Donc, s(25) = 500 m. 15 min = 15(60) = 900 s, donc pour 25 < t ≤ 925, on obtient
b) Comme dans la partie a), le train accélère pendant 25 s et parcourt 500 m durant cette accélération. De la même façon, il
décélère pendant 25 s et parcourt 500 m à la fin de son parcours. Durant les 900 − 50 = 850 s qui restent, le train voyage à 40
m/s, donc la distance parcourue est 40 × 850 = 34 000 m. Par conséquent, la distance totale est 500 + 34 000 + 500 = 35 000 m
= 35 km.
c) 75 km = 75(1000) = 75 000 m. On soustrait 2(500) pour tenir compte de l’accélération et de la décélération ; on obtient ainsi
74 000 m à 40 m/s pour un voyage de 74 000/40 = 1850 s à 144 km/h. Le temps total est
d) 37,5(60) = 2250 s. 2250 − 2(25) = 2200 s à la vitesse maximale. 2200(40) + 2(500) = 89 000 m = 89 km au total.
5
1. i 1 2 3 4 5
i 1
6
1 1 1 1 1 1 1
2.
i 1 i 1 2 3 4 5 6 7
6
3. 3i 34 35 36
i 4
6
4. i3 43 53 63
i 4
4
2k 1 1 3 5 7
5. 1
k 0 2k 1 3 5 7 9
8
6. xk x5 x6 x7 x8
k 5
n
7. i10 110 210 310 n10
i 1
n 3
8. j2 n2 (n 1) 2 (n 2) 2 (n 3) 2
j n
n 1
j
9. 1 1 1 1 1 ··· ( 1) n 1
j 0
n
10. f ( xi ) xi f ( x1 ) x1 f ( x2 ) x2 f ( x3 ) x3 f ( xn ) xn
i 1
10
11. 1 2 3 4 10 i
i 1
7
12. 3 4 5 6 7 i
i 3
19
1 2 3 4 19 i
13.
2 3 4 5 20 i 1 i 1
23
3 4 5 6 23 i
14.
7 8 9 10 27 i 3 i 4
n
15 2 4 6 8 2n 2i
i 1
n
16. 1 3 5 7 (2n 1) (2i 1)
i 1
5
17. 1 2 4 8 16 32 2i
i 0
6
1 1 1 1 1 1 1
18. 2
1 4 9 16 25 36 i 1 i
n
19. x x2 x3 xn xi
i 1
n
20. 1 x x2 x3 ( 1) n x n ( 1)i xi
i 0
8
21. (3i 2) 3(4) 2 [3(5) 2] [3(6) 2] [3(7) 2] [3(8) 2] 10 13 16 19 22 80
i 4
6
22. i(i 2) 3·5 4·6 5·7 6·8 15 24 35 48 122
i 3
6
23. 3j 1
32 33 34 35 36 37 9 27 81 243 729 2187 3276
j 1
8
24. cos k cos0 cos cos 2 cos3 cos 4 cos5 cos6 cos7 cos8
k 0
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
20
25. ( 1)n 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 0
n 1
100
26. 4 4 4 4 4 100 4 400
i 1 (100 termes)
4
27. (2i i2 ) (1 0) (2 1) (4 4) (8 9) (16 16) 61
i 0
4
28. 23 i
25 24 23 22 21 20 2 1
63,5
i 2
n n
n(n 1)
29. 2i 2 i 2 selon le théorème 3c) n( n 1)
i 1 i 1 2
n n n n
5n(n 1) 4n 5n 2 5n n(5n 1)
30. (2 5i) 2 5i 2n 5 i 2n
i 1 i 1 i 1 i 1 2 2 2 2
n n n n
n(n 1)(2n 1) 3n(n 1)
31. (i 2 3i 4) i2 3 i 4 4n
i 1 i 1 i 1 i 1 6 2
1
6
[(2n3 3n 2 n) (9n 2 9n) 24n] 1
6
(2n3 12n 2 34n) 1
3
n( n 2 6n 17)
n n n n n
2n(n 1)(2n 1)
32. (3 2i) 2 (9 12i 4i 2 ) 9 12 i 4 i2 9n 6n(n 1)
i 1 i 1 i 1 i 1 i 1 3
27n 18n 2 18n 4n3 6n 2 2n 1
3
(4n3 24n 2 47n) 1
3
n(4n 2 24n 47)
3
n n n n n
n(n 1)(2n 1) 3n(n 1)
33. (i 1)(i 2) (i 2 3i 2) i2 3 i 2 2n
i 1 i 1 i 1 i 1 i 1 6 2
n(n 1) n(n 1)
[(2n 1) 9] 2n ( n 5) 2n
6 3
n n 2
[(n 1)(n 5) 6] ( n 6n 11)
3 3
n n n n n
34. i (i 1)(i 2) (i 3
3i 2 2i ) i3 3 i 2 2 i
i 1 i 1 i 1 i 1 i 1
2
n(n 1) 3n(n 1)(2n 1) 2n(n 1)
2 6 2
n(n 1) 2n 1 n(n 1) 2
n(n 1) 1(n n 4n 2 4)
4 2 4
n(n 1) 2 n(n 1)(n 2)(n 3)
(n 5n 6)
4 4
2
n n n n
n(n 1) n(n 1)
35. (i 3 i 2) i3 i 2 2n
i 1 i 1 i 1 i 1 2 2
1
4
n(n 1)[n(n 1) 2] 2n 1
4
n(n 1)(n 2)(n 1) 2n
1
4
n[(n 1)(n 1)(n 2) 8] 1
4
n[(n 2 1)(n 2) 8] 1
4
n(n 3 2n 2 n 10)
n
n(n 1)
i 78 n(n 1) 156 n2 n 156 0 (n 13)(n 12) 0 n 12 ou −13. Cependant, n = −13
i 1 2
n n
37. Selon le théorème 2 a) et l’exemple 3, c c 1 cn .
i 1 i 1
n 2
n(n 1)
38. Soit Sn la proposition i3 .
i 1 2
2
1 2
1. S1 est vrai parce que 13 .
2
k 2
k (k 1)
2. Supposons que Sk soit vrai, c’est-à-dire que i3 . Alors,
i 1 2
2 2
k 1
k (k 1) (k 1)2 2 (k 1)2 (k 1)[(k 1) 1]
i3 (k 1)3 [k 4(k 1)] (k 2)2 , ce qui entraîne que Sk+1 est vrai.
i 1 2 4 4 2
Par conséquent, Sn est vrai pour tout n par l’axiome d’induction mathématique.
(n 1) 4 14 n4 4n 3 6n 2 4n
D’un autre côté,
n n n n n n
[(i 1) 4 i4 ] (4i 3 6i 2 4i 1) 4 i3 6 i2 4 i 1
i 1 i 1 i 1 i 1 i 1 i 1
n
4S n(n 1)(2n 1) 2n( n 1) n où S i3
i 1
4S 2n 3 3n 2 n 2n 2 2n n 4S 2n 3 5n 2 4n
Par conséquent, n4 + 4n3 + 6n2 + 4n = 4S + 2n3 + 5n2 + 4n. Il s’ensuit que 4S = n4 + 2n3 + n2 = n2(n2 + 2n + 1) = n2(n + 1)2 et
2
n(n 1)
que S .
2
2 2 2 2
i i 1
i (i 1) (i 1)i i2
k k [(i 1) 2 (i 1) 2 ]
k 1 k 1 2 2 4
i2 2 i2
[(i 2i 1) (i 2 2i 1)] (4i) i3
4 4
n 2
n(n 1)
Par conséquent, l’aire de ABCD est i3 .
i 1 2
n
41. a) [i 4 (i 1)4 ] (14 04 ) (24 14 ) (34 24 ) [n4 (n 1) 4 ] n4 0 n4
i 1
100
b) (5i 5i 1 ) (51 50 ) (52 51 ) (53 52 ) (5100 599 ) 5100 50 5100 1
i 1
99
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 97
c)
i 3 i i 1 3 4 4 5 5 6 99 100 3 100 300
n
d) (ai ai 1 ) (a1 a0 ) (a2 a1 ) (a3 a2 ) (an an 1 ) an a0
i 1
n n n
42. En faisant la somme membre à membre des inégalités − |ai| ≤ ai ≤ |ai| pour i = 1, 2, …, n, nous obtenons |ai | ai |ai | .
i 1 i 1 i 1
n n
Puisque |x| c c x c , nous obtenons ai |ai | . Autre méthode: Utiliser l’induction mathématique.
i 1 i 1
n 2
1 i 1 n
1 n(n 1)(2n 1) 1 1 1
43. lim lim i2 lim lim 1 2 1
6
(1)(2) 1
3
n
i 1 n n
n n3 i 1
n n3 6 n 6 n n
3 2
n
1 i n
i3 1 1 n
1 n
1 n(n 1) 1
44. lim 1 lim lim i3 1 lim ( n)
n
i 1 n n n
i 1 n4 n n n4 i 1 n i 1
n n4 2 n
2
1 1 5
lim 1 1 1
4
1 4
n 4 n
n 3
2 2i 2i n
16 3 20 16 n
20 n
45. lim 5 lim i i lim i3 i
.
n
i 1 n n n n
i 1 n4 n2 n n4 i 1 n2 i 1
3
n
3 3i 3i n
3 9i 27i 2 27i 3 6i
46. lim 1 2 1 lim 1 2
n
i 1 n n n n
i 1 n n n2 n3 n
n
81 3 81 2 9 3
lim i i i
n
i 1 n4 n3 n2 n
81 n 2 (n 1) 2 81 n( n 1)(2n 1) 9 n(n 1) 3
lim n
n n4 4 n3 6 n2 2 n
2
81 1 27 1 1 9 1
lim 1 1 2 1 3
n 4 n 2 n n 2 n
81 54 9 195
4 2 2
3 4
n
47. Soit S ar i 1
a ar ar 2 ar n 1 . En multipliant chaque membre de l’égalité par r, nous obtenons
i 1
rS ar ar 2 ar n 1
ar n . En soustrayant la première égalité de la seconde, nous obtenons (r − 1)S = arn − a = a(rn − 1),
a(r n 1)
donc S [puisque r 1] .
r 1
i 1
n
3 n
1 3[( 12 )n 1]
48. i 1
3 6[1 ( 12 )n ] [en utilisant l'exercice 47 avec a 3 et r 1
2
]
i 1 2 i 1 2 1
2
1
n n n
n(n 1) 2(2n 1)
49. (2i 2i ) 2 i 2 2i 1
2 2n 1
n2 n 2 . Pour la première somme, nous avons utilisé les théorèmes
i 1 i 1 i 1 2 2 1
m n m n n m
n(n 1)
50. (i j) i j [Théorème 2b)] ni [Théorèmes 3b) et 3c)]
i 1 j 1 i 1 j 1 j 1 i 1 2
m m
n(n 1) nm(m 1) nm(n 1) nm
ni (m n 2)
i 1 i 1 2 2 2 2
1. a) Comme la fonction f est croissante, nous obtenons une approximation par défaut lorsque nous utilisons les extrémités gauches
4
b a 8 0
G4 f ( xi 1 ) x x 2
i 1 n 4
f ( x0 ) 2 f ( x1 ) 2 f ( x2 ) 2 f ( x3 ) 2
2[ f (0) f (2) f (4) f (6)]
2(2 3,75 5 5,75) 2(16,5) 33
Comme la fonction f est croissante, nous obtenons une approximation par excès lorsque nous utilisons les extrémités
4
D4 f ( xi ) x
i 1
f ( x1 ) 2 f ( x2 ) 2 f ( x3 ) 2 f ( x4 ) 2
2[ f (2) f (4) f (6) f (8)]
2(3,75 5 5,75 6) 2(20,5) 41
En comparant D4 à G4, nous constatons que nous avons ajouté à la somme l’aire du rectangle le plus près de l’extrémité
supérieure droite, f(8) · 2, et avons soustrait de cette somme l’aire du rectangle le plus près de l’extrémité inférieure gauche,
f(0) · 2.
8
8 0
b) G8 f ( xi 1 ) x x 1
i 1 8
1[ f ( x0 ) f ( x1 ) f ( x7 )]
f (0) f (1) f (7)
2 3,0 3,75 4, 4 5 5, 4 5,75 5,9
35, 2
8
D8 f ( xi ) x f (1) f (2) f (8)
i 1
2. a)
6
12 0
i) G6 f ( xi 1 ) x [ x 6
2]
i 1
2[ f ( x0 ) f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 ) f ( x4 ) f ( x5 )]
2[ f (0) f (2) f (4) f (6) f (8) f (10)]
2(9 8,8 8,2 7,3 5,9 4,1)
2(43,3) 86,6
D6 G6 2 f (12) 2 f (0)
ii)
86,6 2(1) 2(9) 70,6
[Ajouter l’aire du rectangle le plus près de l’extrémité inférieure droite et soustraire l’aire du rectangle le plus près de
6
iii) M6 f ( xi ) x
i 1
b) Comme la fonction f est décroissante, nous obtenons une approximation par excès lorsque nous utilisons les extrémités gauches
c) Comme la fonction f est décroissante, nous obtenons une approximation par défaut lorsque nous utilisons les extrémités droites
d) M6 `semble être la meilleure approximation, puisque l’aire de chaque rectangle semble être plus proche de l’aire réelle que les
approximations par excès et les approximations par défaut obtenues en utilisant G6 et D6.
4
/2 0 4
3. a) D4 f ( xi ) x x f ( xi ) x
i 1 4 8 i 1
[ f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 ) f ( x4 )] x
[cos 8 cos 28 cos 38 cos 48 ] 8
(0,923 9 0,707 1 0,382 7 0) 8 0,790 8
Comme la fonction f est décroissante sur l’intervalle [0, π/2], on obtient une approximation par défaut lorsqu’on utilise
4 4
b) G4 f ( xi 1 ) x f ( xi 1 ) x
i 1 i 1
[ f ( x0 ) f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 )] x
2
[cos0 cos 8 cos 8
cos 38 ] 8
(1 0,923 9 0,707 1 0,382 7) 8 1,183 5
G4 est une approximation par excès. Une autre façon de procéder consiste à ajouter l’aire du rectangle le plus près de
l’extrémité supérieure gauche et à soustraire l’aire du rectangle le plus près de l’extrémité inférieure droite, c’est-à-
dire, G4 D4 f (0) 8
f (2) 8
.
4
4 0
4. a) D4 f ( xi ) x x 1
i 1 4
f ( x1 ) 1 f ( x2 ) 1 f ( x3 ) 1 f ( x4 ) 1
f (1) f (2) f (3) f (4)
1 2 3 4 6,146 3
Comme la fonction f est croissante sur l’intervalle [0, 4], D4 est une approximation par excès.
4
b) G4 f ( xi 1 ) x f ( x0 ) 1 f ( x1 ) 1 f ( x2 ) 1 f ( x3 ) 1
i 1
Comme la fonction f est croissante sur l’intervalle [0, 4], G4 est une approximation par défaut.
2 ( 1)
5. a) f ( x) 1 x 2 et x 1
3
2 ( 1)
x 0,5
6
D6 0,5[ f ( 0,5) f (0) f (0,5) f (1) f (1,5) f (2)]
0,5(1,25 1 1,25 2 3,25 5)
0,5(13,75) 6,875
b) G3 1 f ( 1) 1 f (0) 1 f (1) 1 2 1 1 1 2 5
G6 0,5[ f ( 1) f ( 0,5) f (0) f (0,5) f (1) f (1,5)]
0,5(2 1,25 1 1,25 2 3,25)
0,5(10,75) 5,375
6. a)
5 1
b) f ( x) x 2ln x et x 1
4
c)
1
D8 2
[ f (1,5) f (2) f (5)]
1
i) 2
[(1,5 2ln1,5) (2 2ln 2) (5 2ln 5)]
4,134
1
M8 2
[ f (1,25) f (1,75) f (4,75)]
1
ii) 2
[(1,25 2ln1,25) (1,75 2ln1,75) (4,75 2ln 4,75)]
3,889
7. f ( x) 2 sin x, 0 x , x /n.
lorsque x 2
; donc,
3 2
3 2
3 9,42.
x = 0 et x = π; donc,
2 2
22 2 6,28.
10 2 ( 4 ) 8,96
8 2 (4) 7,39
8. f ( x) 1 x2 , 1 x 1, x 2/n .
Somme inférieure f( 1
3
) f (0) f ( 13 )]( 23 )
( 109 1 10
9
)( 32 )
58
27
2,15
n = 4: Somme supérieure f ( 1) f( 1
) f ( 12 ) f (1)]( 42 )
2
5 5
(2 4 4
2)( 12 )
13
4
3,25
Somme inférieure [ f ( 1
2
) f (0) f (0) f ( 12 )]( 24 )
5 5
( 4
1 1 4
)( )1
2
9
4
2,25
9. Voici un algorithme (séquence ordonnée d’opérations) qui pourrait être employé pour calculer les sommes :
1 Soit SOMME = 0, X_MIN = 0, X_MAX = 1, N = 10 (selon la somme qui est le sujet du calcul), DELTA_X = (X_MAX -
2 Répéter les étapes 2a, 2b l’une après l’autre jusqu’à ce que EXTRÉMITE_DROITE > X_MAX.
Une fois cette procédure complétée, (DELTA_X)·(SOMME) est la réponse que nous cherchons. Nous obtenons
4 4 4 4
1 10 i 1 30 i 1 50 i 1 100 i
D10 0,253 3, D30 0,217 0, D50 0,210 1 et D100 0,205 0 .
10 i 1 10 30 i 1 30 50 i 1 50 100 i 1 100
Il semble que l’aire exacte soit 0,2. Le programme SOMMEDTE et sa sortie obtenue à l’aide d’une calculatrice TI-83/4
Plus apparaissent à la figure ci-après. Afin de généraliser le programme, nous avons entré des valeurs pour les variables
Xmin, Xmax et N (plutôt que de les assigner). Nous avons également assigné x4 à Y1, ce qui nous a permis d’évaluer toute
somme des extrémités droites simplement en changeant la valeur de Y1 et en faisant rouler le programme.
10. Nous pouvons utiliser l’algorithme établi à l’exercice 9 avec les valeurs X_MIN = 0, X_MAX = π/2 et cos(EXTRÉMITE_DROITE)
/2 10 i /2 30
i
D10 cos 0,919 4, D30 cos 0,973 6 et
10 i 1 20 30 i 1 60
/2 50 i /2 100 i
D50 cos 0,984 2 et D100 cos 0,992 1 . Il semble que l’aire exacte soit 1.
50 i 1 100 100 i 1 200
11. Le logiciel Maple exige qu’un certain nombre d’étapes soient complétées avant qu’une réponse numérique puisse être obtenue.
Après avoir chargé l’ensemble d’extensions « Student » [commande: with(Student);] nous employons la commande
SOMME_GAUCHE:=leftsum(1/(xˆ2+1),x=0..1,10 [ou 30, ou 50]); qui nous donne l’expression en notation sigma. Afin d’obtenir
une approximation numérique de la somme, nous employons evalf(SOMME_GAUCHE);. Le logiciel Mathematica est dépourvu de
commande spéciale pour ces sommes; nous devons donc les entrer manuellement. Par exemple, nous obtenons la première somme
des extrémités gauches en entrant (1/10) *Sum[1/(((i-1)/10)ˆ2+1)], {i,1,10}], et en appliquant la commande N à la sortie obtenue afin
Avec le logiciel Derive, nous employons la commande LEFT_RIEMANN afin d’obtenir les sommes des extrémités gauches,
mais nous devons ensuite définir les sommes des extrémités droites nous-mêmes. (Nous pouvons définir une nouvelle fonction qui
1 1 n
1
a) Lorsque f ( x) 2
, 0 ≤ x ≤ 1, les sommes à gauche sont de la forme Gn . Spécifiquement, G10 ≈ 0,810 0,
x 1 n i 1 ( i n1 )2 1
1 n
1
G30 ≈ 0,793 7 et G50 ≈ 0,790 4. Les sommes à droite sont de la forme Dn i 2
. Spécifiquement, D10 ≈ 0,760 0,
n i 1 ( )n
1
b) Pour générer les graphiques à l’aide du logiciel Maple, nous employons les commandes leftbox (avec les mêmes arguments que
c) Nous savons que, comme la fonction y = 1/(x2 + 1) est décroissante sur l’intervalle [0, 1], toutes les sommes à gauche sont plus
grandes que l’aire exacte, alors que toutes les sommes à droite sont plus petites que l’aire exacte. Comme la somme à gauche
obtenue lorsque n = 50 est d’environ 0,790 4 < 0,791 et que la somme à droite obtenue lorsque n = 50 est d’environ
0,780 4 > 0,780, nous concluons que 0,780 < D50 < aire exacte < G50 < 0,791. L’aire exacte se situe donc entre 0,780 et 0,791.
12. La solution de l’exercice 11 donne les commandes utilisées par les logiciels de calcul symbolique pour évaluer les sommes.
n
3 3(i 1)
a) Lorsque f(x) = lnx, 1 ≤ x ≤ 4, les sommes à gauche sont de la forme Gn ln 1 . Notamment, G10 ≈ 2,331 6,
n i 1 n
n
3 3i
G30 ≈ 2,475 2 et G50 ≈ 2,503 4. Les sommes à droite sont de la forme Dn ln 1 . Notamment, D10 ≈ 2,747 5,
n i 1 n
b) Pour générer les graphiques à l’aide du logiciel Maple, il faut employer les commandes leftbox (avec les mêmes arguments que
c) Nous savons que, comme la fonction y = ln x est croissante sur l’intervalle [1, 4], toutes les sommes à gauche sont plus petites
que l’aire exacte, alors que toutes les sommes à droite sont plus grandes que l’aire exacte. Comme la somme à gauche obtenue
lorsque n = 50 est d’environ 2,503 > 2,50 et que la somme à droite obtenue lorsque n = 50 est d’environ 2,587 < 2,59, nous
concluons que 2,50 < D50 < aire exacte < G50 < 2,59. L’aire exacte se situe donc entre 2,50 et 2,59.
13. Comme la fonction v est croissante, G6 donnera une approximation par défaut et D6, une approximation par excès de la distance
parcourue d.
c) Les valeurs calculées ne sont ni des approximations par défaut ni des approximations par excès, car v n’est pas une fonction
15. Approximation par défaut de la fuite de pétrole: D5 = (7,6+ 6,8+ 6,2+ 5,7 + 5,3)(2) = (31,6)(2) = 63,2 L.
Approximation par excès de la fuite de pétrole: G5 = (8,7 + 7,6 +6,8 +6,2 +5,7)(2) = (35)(2) = 70 L.
16. Nous pouvons trouver une approximation par excès en utilisant la vitesse finale pour chaque sous-intervalle de temps. Ainsi, la
6
d v(ti ) ti (56 m/s)(10 s) 97 5 136 5 226 12 404 27 440 3 16 665 m .
i 1
17. Dans le cas d’une fonction décroissante, l’utilisation des extrémités gauches des sous-intervalles produit une approximation par
excès alors que l’utilisation des extrémités droites des sous-intervalles produit une approximation par défaut. Nous utiliserons M6
Remarque : Les réponses différeront évidemment selon la façon dont le graphique a été interprété.
Il est possible d’effectuer une vérification sommaire de ce calcul en traçant une ligne qui va de (0, 35) à (6, 0) et de calculer l’aire du
triangle : 1
2
(35)(6) 105 . Il est clair qu’il s’agit ici d’une approximation par excès, et l’approximation de 77,5 obtenue à partir des
milieux des sous-intervalles est donc vraisemblable. Les réponses différeront évidemment selon la façon dont le graphique a été
interprété.
18. Dans le cas d’une fonction croissante, l’utilisation des extrémités gauches des sous-intervalles produit une approximation par défaut
alors que l’utilisation des extrémités droites des sous-intervalles produit une approximation par excès. Nous utiliserons M6 pour faire
30 0 5 1
l’approximation. t 6
5s 3600
h 720
h.
M6 1
720
[v(2,5) v(7,5) v(12,5) v(17,5) v(22,5) v(27,5)]
1
720
(31,25 66 88 103,5 113,75 119,25) 1
720
(521,75) 0,725 km
Remarque : Les réponses différeront évidemment selon la façon dont le graphique a été interprété.
Il est possible d’effectuer une vérification sommaire de ce calcul en traçant une ligne qui va de (0; 0) à (30; 120) et de calculer l’aire
du triangle: 1
2
(30)(120) 1800 . Après division par 3600, on obtient 0,5, qui est clairement une approximation par défaut. Par
conséquent, l’approximation de 0,725 obtenue à partir des milieux des sous-intervalles est vraisemblable. Les réponses différeront
2x
19. f ( x) , 1 ≤ x ≤ 3. Δx = (3 – 1)/n = 2/n et xi = 1 + iΔx = 1 + 2i/n.
x2 1
n n
2(1 2i /n) 2
A lim Dn lim f ( xi ) x lim .
n n
i 1
n
i 1 (1 2i /n) 2 1 n
n n
3
A lim Dn lim f ( xi ) x lim (4 3i /n)2 1 2(4 3i /n) .
n n
i 1
n
i 1 n
n n
A lim Dn lim f ( xi ) x lim sin( i /n) .
n n
i 1
n
i 1 n
n 10
2 2i
22. On peut interpréter lim 5 comme étant l’aire de la région sous la courbe de la fonction y = (5 + x)10 sur l’intervalle
1 n n
n
i
2 0 2 2i
[0, 2], puisque pour la fonction y = (5 + x)10 sur l’intervalle [0, 2] avec x , xi 0 i x et xi* xi , l’expression
n n n
n n 10
2i 2
représentant l’aire est A lim f ( xi* ) x lim 5 . Il faut noter qu’il y a plus d’une réponse à cette question. Nous
n
i 1
n
i 1 n n
pourrions utiliser y = x10 sur l’intervalle [5, 7] ou, en général, y = ((5 – n) + x)10 sur l’intervalle [n, n + 2].
n
i
23. On peut interpréter lim tan comme étant l’aire de la région sous la courbe de la fonction y = tan x sur l’intervalle [0, 4 ] ,
n
i 1 4n 4n
/4 0 i
puisque pour la fonction y = tanx sur l’intervalle [0, 4 ] avec x , xi 0 i x et xi xi , l’expression
n 4n 4n
n n
i
représentant l’aire est A lim f ( xi* ) x lim tan . Il faut noter qu’il y a plus d’une réponse à cette question, car
n
i 1
n
i 1 4n 4n
l’expression représentant l’aire est la même pour la fonction y = tan(x – kπ) sur l’intervalle [k , k 4
] , où k représente tout nombre
entier.
3
1 0 1 i n n
i 1
24. a) x et xi 0 i x . A lim Dn lim f ( xi ) x lim .
n n n n n
i 1
n
i 1 n n
2 2
n
i3 1 1 n
1 n(n 1) (n 1) 2 1 1 1
b) lim 3
lim i3 lim lim lim 1
n
i 1 n n n n4 i 1
n n4 2 n 4n2 4 n n 4
25. a) Comme la fonction f est croissante, Gn est une approximation par défaut de A [somme minorante] et Dn est une approximation
par excès de A [somme supérieure]. Il s’ensuit que la relation entre A, Gn, et Dn est exprimée par l’inégalité Gn < A < Dn.
Dn f ( x1 ) x f ( x2 ) x f ( xn ) x
Gn f ( x0 ) x f ( x1 ) x f ( xn 1 ) x
b) Dn Gn f ( xn ) x f ( x0 ) x
x[ f ( xn ) f ( x0 )]
b a
[ f (b) f (a)]
n
Dans le graphique, Dn – Gn est la somme des aires des rectangles ombrés. Si nous glissons les rectangles ombrés vers la gauche
de sorte qu’ils s’empilent sur le rectangle ombré le plus à gauche, nous formerons un rectangle de hauteur f(b) – f(a) et de
b a
largeur .
n
b a
c) A > Gn, , donc Dn – A < Dn – Gn, c’est-à-dire, Dn A [ f (b) f (a)] .
n
b a 3 1 2 3
26. Dn A [ f (b) f (a)] [ f (3) f (1)] (e e)
n n n
2
Si nous calculons la valeur de n dans l’expression (e3 e) 0,000 1 , nous obtenons
n
2(e3 e)
2(e3 e) 0,000 1n n n 347 345,1 . Une valeur de n qui nous assure que
0,000 1
Dn – A > 0,000 1 est donc n = 347 346. [Il ne s’agit pas ici de la plus petite valeur de n.]
2 0 2 2i
27. a) y = f(x) = x5. x et xi 0 i x .
n n n
5
n n
2i 2 n
32i 5 2 64 n 5
A lim Dn lim f ( xi ) x lim lim 5
lim i.
n n
i 1
n
i 1 n n n
i 1 n n n n6 i 1
64 n 2 (n 1) 2 (2n 2 2n 1) 64 (n 2 2n 1)(2n 2 2n 1)
lim lim
n n6 12 12 n n2 n2
c)
16 2 1 2 1 16 32
lim 1 2 1 2 3
3n n n2 n n2 3
2 n
2i /n
n
2i /n e 2 (e2 1)
28. L’exemple 3 a) indique que A lim e . À l’aide d’un logiciel de calcul symbolique, e
n n i 1 i 1 e2/n 1
2 e 2 (e2 1)
et lim e 2 (e2 1) 0,8647 , alors que l’approximation calculée à l’exemple 3 b), qui utilisait M10, était de 0,863 2.
n n e2/n 1
b 0 b bi
29. y = f(x) = cos x. x et xi 0 i x .
n n n
1
bsin b 1
n
bin
b LCS 2n b LCS
A lim Dn lim f ( xi ) x lim cos lim sin b
n n
i 1
n
i 1 n n n b 2n
2n sin
2n
Si b 2
, alors A sin 2 1.
30. a)
Le graphique montre un des n triangles congruents, le ΔAOB, dont l’angle au centre mesure 2π/n. O est le centre du cercle et AB
est un des côtés du polygone. Le rayon OC est tracé de façon à diviser l’ AOB en deux parties égales. Il s’ensuit qu’OC croise
AB à angle droit et qu’il divise AB en deux parties égales. Conséquemment, le ΔAOB est divisé en deux triangles droits dont les
cathètes mesurent 1
2
( AB) r sin( /n) et r cos(π/n). L’aire du ΔAOB
est 2 1
2
[r sin( /n)][r cos( /n)] r 2sin( /n)cos( /n) 1
2
r 2 sin(2 /n) et, conséquemment,
An n aire( AOB) 1
2
nr 2 sin(2 /n) .
sin
b) Afin de pouvoir utiliser l’égalité lim 1 , il faut que l’expression qui apparaît au dénominateur soit la même que celle qui
0
sin(2 /n ) 2 sin
donc lim r lim r2 (1) r 2 r2 .
n 2 /n 0
b a 14 2
1. f ( x) 3 1
2
x , 2 ≤ x ≤ 14. x 2 . Comme nous utilisons les extrémités gauches des sous-intervalles, xi xi 1 .
n 6
6
G6 f ( xi 1 ) x
i 1
( x)[ f ( x0 ) f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 ) f ( x4 ) f ( x5 )]
2[ f (2) f (4) f (6) f (8) f (10) f (12)]
2[2 1 0 ( 1) ( 2) ( 3)] 2( 3) 6
La somme de Riemann représente la somme des aires des deux rectangles situés au-dessus de l’axe des x moins la somme des aires
des trois rectangles situés sous l’axe des x; il s’agit donc de l’aire algébrique des rectangles situés au-dessus et au-dessous de l’axe
des x.
b a 3 0 1
2. f ( x) x2 2 x , 0 ≤ x ≤ 3. x . Comme nous utilisons les extrémités droites des sous-intervalles, xi xi .
n 6 2
6
D6 f ( xi ) x
i 1
( x)[ f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 ) f ( x4 ) f ( x5 ) f ( x6 )]
1
2
[ f ( 12 ) f (1) f ( 32 ) f (2) f ( 52 ) f (3)]
3 3 5
1
2
( 4
1 4
0 4
3) 1
2
( 74 ) 7
8
La somme de Riemann représente la somme des aires des deux rectangles situés au-dessus de l’axe des x moins la somme des aires
des trois rectangles situés sous l’axe des x; il s’agit donc de l’aire algébrique des rectangles situés au-dessus et au-dessous de l’axe
des x.
b a 2 0 1
3. f ( x) e x 2 , 0 ≤ x ≤ 2. x . Comme nous utilisons les milieux des sous-intervalles, xi xi 1
2
( xi 1 xi ) .
n 4 2
4
M4 f ( xi ) x ( x)[ f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 ) f ( x4 )]
i 1
1
2
[ f ( 14 ) f ( 34 ) f ( 54 ) f ( 74 )]
1
2
[(e1/4 2) (e3/4 2) (e5/4 2) (e7/4 2)]
2,322 986
La somme de Riemann représente la somme des aires des trois rectangles situés au-dessus de l’axe des x moins l’aire du rectangle
situé sous l’axe des x; il s’agit donc de l’aire algébrique des rectangles situés au-dessus et au-dessous de l’axe des x.
3 b a 3
0
4. a) f ( x) sin x , 0 x . x 2
. Comme nous utilisons les extrémités droites des sous-intervalles, xi* xi .
2 n 6 4
6
D6 f ( xi ) x
i 1
( x)[ f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 ) f ( x4 ) f ( x5 ) f ( x6 )]
2 3 4 5 6
f f f f f f
4 4 4 4 4 4 4
3 5 3
sin sin sin sin sin sin
4 4 2 4 4 2
2 2 2 2
1 0 1 0,555 360
4 2 2 2 8
La somme de Riemann représente la somme des aires des trois rectangles situés au-dessus de l’axe des x moins la somme des
1
b) Comme nous utilisons les milieux des sous-intervalles, xi xi 2
( xi 1 xi ) .
6
M6 f ( xi ) x
i 1
( x) [ f ( x1 ) f ( x2 ) f ( x3 ) f ( x4 ) f ( x5 ) f ( x6 )]
3 5 7 9 11
f f f f f f
4 8 8 8 8 8 8
3 5 7 9 11
sin sin sin sin sin sin
4 8 8 8 8 8 8
La somme de Riemann représente la somme des aires des quatre rectangles situés au-dessus de l’axe des x moins la somme des
aires des deux rectangles situés sous l’axe des x. Il est à noter que la somme de Riemann a la même valeur que la somme des
10
5. a) f ( x)dx D5 [ f (2) f (4) f (6) f (8) f (10)] x
0
[ 1 0 ( 2) 2 4](2) 3(2) 6
10
b) f ( x)dx G5 [ f (0) f (2) f (4) f (6) f (8)] x
0
[3 ( 1) 0 ( 2) 2](2) 2(2) 4
10
c) f ( x)dx M5 [ f (1) f (3) f (5) f (7) f (9)] x
0
[0 ( 1) ( 1) 0 3](2) 1(2) 2
4
6. a) g ( x)dx D6 [ g ( 1) g (0) g (1) g (2) g (3) g (4)] x
2
3 3
2
0 2
1
2
( 1) 1
2
(1) 0
4
b) g ( x)dx G6 [ g ( 2) g ( 1) g (0) g (1) g (2) g (3)] x
2
3 3
0 2
0 2
1
2
( 1) (1) 1
2
4
3
c) g ( x)dx M6 [g( 2
) g( 1
2
) g ( 12 ) g ( 23 ) g ( 52 ) g ( 72 )] x
2
1 1
[ 1 ( 1) 1 1 0 ( 2
)](1) 2
30
7. Comme la valeur de la fonction f est croissante, G5 f ( x)dx D5 .
10
5
Approximation par défaut G5 f ( xi 1 ) x 4[ f (10) f (14) f (18) f (22) f (26)]
i 1
4[ 12 ( 6) ( 2) 1 3] 4( 16) 64
5
Approximation par excès D5 f ( x) x 4[ f (14) f (18) f (22) f (26) f (30)]
i 1
4[ 6 ( 2) 1 3 8] 4(4) 16
9
8. a) Si nous utilisons les extrémités droites des sous-intervalles pour effectuer une approximation de f ( x)dx , nous
3
3
obtenons f ( xi ) x 2[ f (5) f (7) f (9)] 2( 0,6 0,9 1,8) 4,2 . Comme la fonction f est croissante, l’utilisation des
i 1
9
b) Si nous utilisons les extrémités gauches des sous-intervalles pour effectuer une approximation de f ( x)dx , nous
3
3
obtenons f ( xi 1 ) x 2[ f (3) f (5) f (7)] 2( 3,4 0,6 0,9) 6,2 . Comme la fonction f est croissante, l’utilisation
i 1
9
c) Si nous utilisons les milieux des sous-intervalles pour effectuer une approximation de f ( x)dx , nous
3
3
obtenons f ( xi ) x 2[ f (4) f (6) f (8)] 2( 2,1 0,3 1,4) 0,8 . Il est impossible de comparer l’approximation
i 1
9. Comme Δx = (8 – 0)/4 = 2, les extrémités des sous-intervalles sont 0, 2, 4, 6 et 8, et les milieux des sous-intervalles sont 1, 3, 5 et 7.
8 4
sin xdx f ( xi ) x 2 sin 1 sin 3 sin 5 sin 7 2(3,091 0) 6,182 0 .
0
i 1
3
10. Comme x ( /2 0)/4 8
, les extrémités des sous-intervalles sont 0, 8
, 4
, 8
et 2
, et les milieux des sous-intervalles sont 16
,
3 5 7
16
, 16
et 16
. La méthode des milieux des sous-intervalles donne
/2 4
cos 4 x dx f ( xi ) x 8
[cos 4 ( 16 ) cos 4 ( 316 ) cos 4 ( 516 ) cos 4 ( 716 )] 8
( 32 ) 0,589 0 .
0
i 1
6 8
11. Comme x (2 0)/5 2
5
, les extrémités des sous-intervalles sont 0, 2
5
, 4
5
, 5
, 5
et 2, et les milieux des sous-intervalles sont 1
5
,
3 5 7 9
5
, 5
, 5
et 5
. La méthode des milieux des sous-intervalles donne
1 3 5 7 9
2 x 5
2 5 5 5 5 5 2 127 127
dx f ( xi ) x 0,907 1 .
0 x 1 i 1 5 1
5
1 3
5
1 5
5
1 7
5
1 9
5
1 5 56 140
12. Comme Δx = (5 – 1)/4 = 1, les extrémités des sous-intervalles sont 1, 2, 3, 4 et 5, et les milieux des sous-intervalles sont 1,5; 2,5; 3,5
5 4
x 2e x dx f ( xi ) x 1[(1,5)2 e 1,5
(2,5)2 e 2,5
(3,5)2 e 3,5
(4,5)2 e 4,5
] 1,6099 .
1
i 1
13. Si vous utilisez Maple 14 ou une version plus récente, employez les commandes with(Student[Calculus1]) et ReimannSum
seulement la commande with(student) pour charger les commandes middlesum et middlebox, suivie par m:=middlesum (x/(x+1),
x=0..2), qui produit la somme en notation sigma, et par M:=evalf(m), qui produit l’approximation numérique, et finalement
middlebox(x/(x+1),x=0..2), qui génère le graphique. Les valeurs obtenues pour n = 5, 10 et 20 sont 0,907 1, 0,902 9 et 0,901 8,
respectivement.
14. Pour la fonction f(x) = x/(x + 1) sur l’intervalle [0, 2], nous calculons que G100 ≈ 0,894 69 et que D100 ≈ 0,908 02. Comme la fonction
2 x
f est croissante sur l’intervalle [0, 2], G100 est une approximation par défaut de dx et D100 en est une approximation par excès.
0 x 1
2 x
Il s’ensuit que 0,894 6 dx 0,9081 .
0 x 1
15. Nous construirons un tableau de valeurs dans le but de calculer une approximation de l’intégrale sin xdx en utilisant le
0
programme qui apparaît à la solution de l’exercice 1.3.9, avec les valeurs Y1 = sin x, Xmin = 0, Xmax = π et n = 5, 10, 50 et 100.
n Dn
5 1,933 766
10 1,983 524
50 1,999 342
2
x2
16. e dx avec n = 5, 10, 50 et 100.
0
N Gn Dn
x2
La valeur de l’intégrale définie se situe entre 0,872 et 0,892. Il faut noter que la fonction f ( x) e est décroissante sur l’intervalle
2
x2
]0, 2[. On ne peut faire un énoncé semblable pour l’intégrale e dx puisque la fonction f est croissante sur ]–1, 0[.
1
n 6
17. Sur l’intervalle [2, 6], lim xi ln(1 xi2 ) x x ln(1 x 2 )dx .
n 2
i 1
n
cos xi 2 cos x
18. Sur l’intervalle [π, 2π], lim x dx .
n
i 1 xi x
n 7
19. Sur l’intervalle [2, 7], lim [5( xi* )3 4 xi* ] x (5x3 4 x)dx .
n 2
i 1
n *
x i
3 x
20. Sur l’intervalle [1, 3], lim * 2
x dx .
n
i 1 (x )i 4 1 x2 4
5 2 3 3i
21. Il faut noter que x et que xi 2 i x 2 .
n n n
n n
5 3i 3 3 n
3i
(4 2 x)dx lim f ( xi ) x lim f 2 lim 4 2 2
2 n
i 1
n
i 1 n n n n i 1 n
3 n
6i 3 6 n
18 n(n 1)
lim lim i lim
n n i 1 n n n n i 1
n n2 2
18 n 1 1
lim 9 lim 1 9(1) 9
n 2 n n n
4 1 3 3i
22. Il faut noter que x et que xi 1 i x 1 .
n n n
n n 2
4 3i 3 3 n
3i 3i
( x2 4 x 2)dx lim f ( xi ) x lim f 1 lim 1 4 1 2
1 n
i 1
n
i 1 n n n n i 1 n n
3 n
6i 9i 2 12i 3 n
9i 2 6i
lim 1 4 2 lim 1
n n i 1 n n2 n n n i 1 n2 n
3 9 n
6 n n
lim i2 i 1
n n n2 i 1 n i 1 i 1
0 ( 2) 2 2i
23. Il faut noter que x et que xi 2 i x 2 .
n n n
2
0 n n
2i 2 2 n
2i 2i
( x2 x)dx lim f ( xi ) x lim f 2 lim 2 2
2 n
i 1
n
i 1 n n n n i 1 n n
2 n
8i 4i 2 2i 2 n
4i 2 6i
lim 4 2 lim 2
n n i 1 n n2 n n n i 1 n2 n
2 4 n
6 n n
8 n(n 1)(2n 1) 12 n(n 1) 2
lim i2 i 2 lim n(2)
n n n2 i 1 n i 1 i 1
n n3 6 n2 2 n
4 (n 1)(2n 1) n 1 4 n 1 2n 1 1
lim 6 4 lim 6 1 4
n 3 n2 n n 3 n n n
4 1 1 1 4 2
lim 1 2 6 1 4 (1)(2) 6(1) 4
n 3 n n n 3 3
2 0 2 2i
24. Il faut noter que x et que xi 0 i x .
n n n
3
2 n n
2i 2 2 n
2i 2i
(2 x x 3 ) dx lim f ( xi ) x lim f lim 2
0 n
i 1
n
i 1 n n n n i 1 n n
2 n
4i 8i 3 2 4 n
8 n
lim lim i i3
n n i 1 n n3 n n n i 1 n3 i 1
2
8 n(n 1) 16 n(n 1) n 1 (n 1) 2
lim lim 4 4
n n2 2 n4 2 n n n2
1 n 1n 1 1 1 1
lim 4 1 4 lim 4 1 4 1 1
n n n n n n n n
4(1) 4(1)(1) 0
1 0 1 i
25. Il faut noter que x et que xi 0 i x .
n n n
n n 3 2
1 i n
i i 1
( x3 3 x 2 )dx lim f ( xi ) x lim f x lim 3
0 n
i 1
n
i 1 n n
i 1 n n n
1 n
i3 3i 2 1 1 n
3 n
lim lim i3 i2
n n i 1 n3 n2 n n n3 i 1 n2 i 1
2
1 n(n 1) 3 n(n 1)(2n 1) 1 n 1n 1 1 n 1 2n 1
lim lim
n n4 2 n3 6 n 4 n n 2 n n
1 1 1 1 1 1 1 1 3
lim 1 1 1 2 (1)(1) (1)(2)
n 4 n n 2 n n 4 2 4
4 8
( x2 3x)dx f ( xi* ) x
0
i 1
b)
n 2
4 4i 4i 4
c) ( x2 3 x) dx lim 3
0 n
i 1 n n n
4 16 n
12 n
lim i2 i
n n n2 i 1 n i 1
4
d) ( x 2 3x)dx A1 A2 , où A1 est l’aire indiquée par le signe + et A2 est l’aire indiquée par le signe –.
0
b b a n
b a a (b a ) n
(b a ) 2 n
27. xdx lim a i lim 1 i
a n n i 1 n n n i 1 n2 i 1
a(b a) (b a) 2 n(n 1) (b a ) 2 1
lim n a(b a ) lim 1
n n n2 2 n 2 n
a( b a) 1
2
(b a) 2 (b a)(a 1
2
b 1
2
a) (b a) 12 (b a) 1
2
(b 2 a2 )
2
b b a n
b a b a n
b a (b a ) 2 2
28. x 2 dx lim a i lim a2 2a i i
a n n i 1 n n n i 1 n n2
3 2
(b a ) n
2a(b a) n
a 2 (b a) n
lim i2 i 1
n n3 i 1 n2 i 1 n i 1
x 6 2 4 4i
29. f ( x) , a = 2, b = 6 et x . À l’aide du théorème 4, nous obtenons xi* xi 2 i x 2 ,
1 x5 n n n
4i
n 2
x 6
n 4
donc dx lim Dn lim 5
.
21 x5 n n
i 1 4i n
1 2
n
10 1 9 9i 10 n
9i 9i 9
30. x et xi 1 i x 1 , donc ( x 4ln x)dx lim Dn lim 1 4ln 1 .
n n n 1 n n
i 1 n n n
n n
5 i LCS 1 5 LCS 2 2
sin 5 xdx lim (sin 5 xi ) lim sin lim cot
0 n
i 1 n n
i 1 n n n n 2n 5 5
n 6 6
10 8i 8 1 n
8i
x 6 dx lim 2 8 lim 2
2 n
i 1 n n n n i 1 n
LCS 1 64(58 593n 164 052n5 131 208n 4 6
27 776 n 2 2 048)
8 lim
n n 21n5
LCS 1 249 984 9 999 872
8 1 428 553,1
7 7
2
33. a) Traitez f ( x)dx comme la valeur de l’aire d’un trapèze de bases 1 et 3 et de hauteur 2. L’aire d’un trapézoïde se calcule au
0
moyen de la formule
2
1
A 2
(b B)h , donc f ( x)dx 1
2
(1 3)2 4.
0
5 2 3 5
b) f ( x)dx f ( x)dx f ( x)dx f ( x)dx
0 0 2 3
trapèze rectangle triangle
1
2
(1 3)2 31 1
2
2 3 4 3 3 10
7 7
c) f ( x)dx est l’aire, affectée du signe moins, du triangle de base 2 et de hauteur 3. f ( x)dx 1
2
2 3 3.
5 5
9
d) f ( x)dx est l’aire, affectée du signe moins, du trapèze de bases 3 et 2 et de hauteur 2. Elle est donc égale
7
9 5 7 9
à 1
2
( B b)h 1
2
(3 2)2 5 . Il s’ensuit que f ( x)dx f ( x)dx f ( x)dx f ( x)dx 10 ( 3) ( 5) 2.
0 0 5 7
2
34. a) g ( x)dx 1
2
4 2 4 [aire d'un triangle]
0
6
b) g ( x)dx 1
2
(2)2 2 [aire, affectée du signe moins, d'un demi-cercle]
2
7
c) g ( x)dx 1
2
11 1
2
[aire d'un triangle]
6
7 2 6 7
g ( x)dx g ( x)dx g ( x)dx g ( x)dx 4 2 1
2
4,5 2
0 0 2 6
2
35. On peut interpréter (1 x)dx comme étant la différence entre les aires des deux triangles ombrés, c’est-à-dire,
1
1 1 1 3
2
(2)(2) 2
(1)(1) 2 2 2
.
9
36. On peut interpréter 1
3
x 2 dx comme étant la différence entre les aires des deux triangles ombrés, c’est-à-dire,
0
3 9
1
2
(6)(2) 1
2
(3)(1) 6 2 2
.
0
37. On peut interpréter 1 9 x 2 dx comme étant l’aire sous le graphique de la fonction f ( x) 1 9 x 2 entre x = –3 et x = 0.
3
0
Ceci est égal à un quart de l’aire du cercle de rayon 3, plus l’aire du rectangle, donc 1 9 x 2 dx 1
4
32 1 3 3 9
4
.
3
5 5 5
38. x 25 x 2 dx xdx 25 x 2 dx . En raison de la symétrie, la valeur de la première intégrale est 0 puisque l’aire
5 5 5
ombrée au-dessus de l’axe des x est égale à l’aire ombrée sous l’axe des x. On peut interpréter la deuxième intégrale comme étant la
25 25
est 0 2 2
.
2
5
39. On peut interpréter |x| dx comme étant la somme des aires des deux triangles ombrés, c’est-à-dire, 12 (1)(1) 1
2
(2)(2) 1
2
4
2 2
.
1
10
40. On peut interpréter |x 5| dx comme étant la somme des aires des deux triangles ombrés, c’est-à-dire, 2 1
2
(5)(5) 25 .
0
41. sin 2 x cos4 xdx 0 parce que les bornes d’intégration sont égales.
5 5 8 [valeur fournie]
8 5 5
1 1 1
43. (5 6 x2 )dx 5dx 6 x 2dx 5(1 0) 6( 13 ) 5 2 3
0 0 0
3 3 3
44. (2e x 1)dx 2 e x dx 1 dx 2(e3 e) 1(3 1) 2e3 2e 2
1 1 1
3 3 3
45. e x 2dx e x e2dx e2 e x dx e2 (e3 e) e5 e3
1 1 1
/2 /2 /2 /2 /2
46. (2cos x 5 x)dx 2cos x dx 5 x dx 2 cos x dx 5 x dx
0 0 0 0 0
( /2) 2 02 5 2
2(1) 5 2
2 8
47.
4 5 5
48. f ( x)dx f ( x)dx f ( x)dx 12 3,6 8,4
1 1 4
9 9 9
49. [2 f ( x) 3g ( x)]dx 2 f ( x)dx 3 g ( x)dx 2(37) 3(16) 122
0 0 0
3 si x 3 5
50. Si f ( x) , alors on peut interpréter f ( x)dx comme étant l’aire de la région ombrée, qui consiste en un rectangle de
x si x 3 0
dimensions 5 par 3 sur lequel repose un triangle rectangle isocèle dont les cathètes sont de longueur 2. Il s’ensuit
5
que f ( x)dx 5(3) 1
2
(2)(2) 17 .
0
3
51. Il est clair que la valeur de f ( x)dx est inférieure à –1 et que cette valeur est la plus petite. La pente de la tangente de la fonction f
0
lorsque x = 1, f′(1), a une valeur qui se situe entre –1 et 0; cette valeur est donc la deuxième plus petite. La valeur la plus grande est
8 8 8 8
celle de f ( x)dx , suivie par celle de f ( x)dx , qui est inférieure d’environ 1 unité à celle de f ( x)dx . f ( x)dx est également
3 4 3 0
8
positive, mais sa valeur est plus petite que celle de f ( x)dx . Si nous classons ces valeurs par ordre croissant, nous obtenons
4
3 8 8 8
f ( x)dx f (1) f ( x)dx f ( x)dx f ( x)dx ou B E A D C
0 0 4 3
0 2
52. F (0) f (t )dt f (t )dt , donc la valeur de F(0) est négative, et, de la même façon, la valeur de F(1) l’est également. Les
2 0
valeurs de F(3) et de F(4) sont négatives vu qu’elles représentent des aires, affectées du signe moins, situées sous l’axe des x.
2
Comme F (2) f (t )dt 0 est la seule valeur non-négative, C a la plus grande valeur.
2
2 2 2 2
53. I [ f ( x) 2 x 5]dx f ( x)dx 2 x dx 5dx I1 2 I 2 I3
4 4 4 4
I2 1
2
(4)(4) [aire du triangle, se reporter au graphique] 1
2
(2)(2)
8 2 6
2 2
m f ( x) M m(2 0) f ( x)dx M )(2 0) 2m f ( x)dx 2M .
0 0
4
55. x2 – 4x + 4 = (x – 2)2 ≥ 0 sur l’intervalle [0, 4], donc ( x2 4 x 4)dx 0 [propriété 6] .
0
1 1
56. x2 ≤ x sur l’intervalle [0, 1], donc 1 x2 1 x sur l’intervalle [0, 1]. Il s’ensuit que 1 x 2 dx 1 x dx [propriété 7] .
0 0
1
57. Si –1 ≤ x ≤ 1, alors 0 ≤ x2 ≤ 1 et 1 ≤ 1 + x2 ≤ 2, donc 1 1 x2 2 et 1[1 ( 1)] 1 x 2 dx 2 1 ( 1) [propriété 8],
1
1
c’est-à-dire, 2 1 x 2 dx 2 2.
1
2 3 2 /4 3
58. Si x , alors cos cos x cos et cos x , donc cos x dx propriété 8 ,
6 4 6 4 2 2 2 4 6 /6 2 4 6
2 /4 3
c’est-à-dire, cos x dx .
24 /6 24
4 4
59. Si 1 ≤ x ≤ 4, alors 1 x 2 , donc 1(4 1) x dx 2(4 1) , c’est-à-dire, 3 xdx 6.
1 1
1 1 1 2 1 2 2 1
60. Si 0 ≤ x ≤ 2, alors 1 ≤ 1 + x2 ≤ 5 et 1 , donc (2 0) dx 1(2 0) , c’est-à-dire, dx 2.
5 1 x2 5 0 1 x2 5 0 1 x2
/3 /3
61. Si 4
x 3
, alors 1 tan x 3 , donc 1( 3 4
) tan x dx 3( 3 4
) ou 12 tan xdx 12
3.
/4 /4
62. Soit f(x) = x3 – 3x + 3 pour 0 ≤ x ≤ 2. Alors, f′(x) = 3x2 – 3 = 3(x+ 1)(x – 1), donc la fonction f est décroissante sur ]0, 1[ et croissante
sur ]1, 2]. Le minimum absolu de la fonction f est f(1) = 1. Comme f(0) = 3 et f(2) = 5, le maximum absolu de la fonction f est
f(2) = 5. Ainsi, 1 ≤ x3 – 3x + 3 ≤ 5 pour tout x sur l’intervalle [0, 2]. Il s’ensuit de la propriété 8
2 2
que 1 (2 0) ( x3 3x 3)dx 5 (2 0) , c’est-à-dire, 2 ( x3 3x 3)dx 10 .
0 0
63. Le seul point critique de f(x) = xe–x sur l’intervalle [0, 2] est x = 1. Comme f(0) = 0, f(1) = e–1 ≈ 0,368 et f(2) = 2e–2 ≈ 0,271, nous
savons que le minimum absolu de la fonction f sur l’intervalle [0, 2] est 0, et que son maximum absolu est e–1. Selon la propriété 8,
2 2
0 ≤ xe–x ≤ e–1 pour 0 x 2 0(2 0) xe x dx e 1 (2 0) 0 xe x dx 2/e .
0 0
5
64. Soit f(x) = x – 2 sin x pour π ≤ x ≤ 2π. Alors, f′(x) = 1 – 2 cos x et f ( x) 0 cos x 1
2
x 3
. Le maximum absolu de la
fonction f est f ( 53 ) 5
3
2sin 53 5
3
3 6,97 puisque les valeurs de f(π) = π et f(2π) = 2π sont toutes deux inférieures à 6,97. Il
2
5 5
s’ensuit que f ( x) 3
3 (2 ) f ( x)dx 3
3 (2 ) , c’est-à-
2
2 5 2
dire, ( x 2sin x)dx 3
3 .
3 3
65. x4 1 x4 x2 , donc x 4 1dx x 2dx 1
3
(33 13 ) 26
3
.
1 1
/2 /2 2
66. 0 ≤ sin x ≤ 1 pour 0 x 2
, donc x sin x x x sin x dx x dx 1
2
[( 2 )2 02 ] 8
.
0 0
67. Si, comme dans la démonstration de la propriété 2, nous utilisons les extrémités droites des sous-intervalles, nous obtenons
b n n n b
cf ( x)dx lim cf ( xi ) x lim c f ( xi ) x c lim f ( xi ) x c f ( x)dx .
a n n n a
i 1 i 1 i 1
b b b b b
|f ( x)| dx f ( x) dx |f ( x)| dx f ( x)dx |f ( x)| dx
a a a a a
Il faut noter que, comme l’intégrale définie est un nombre réel, la propriété ci-après s’applique : a b a |b| a pour
2 2 2 2
b) f ( x)sin 2 xdx |f ( x)sin 2 x| dx [selon la sous-question a)] |f ( x)| |sin 2 x| dx |f ( x)| dx selon la propriété 7,
0 0 0 0
n
69. Supposons que la fonction f est intégrable sur l’intervalle [0, 1], c’est-à-dire que lim f ( xi* ) x existe pour toute valeur de xi* dans
n
i 1
1 1 2 n 1
[xi–1, xi]. Soit n un entier naturel; divisons l’intervalle [0, 1] en n sous-intervalles égaux 0, , , , …, , 1 . Si nous
n n n n
faisons le choix que xi* est un nombre rationnel dans le ième sous-intervalle, nous obtenons alors la somme de
n n
1 1
Riemann f ( xi* ) 0 , donc lim f ( xi* ) lim 0 0 . Si nous faisons plutôt le choix que xi* est un nombre irrationnel, nous
i 1 n n
i 1 n n
n n n
1 1 1 1
obtenons alors f ( xi* ) 1 n 1 pour toute valeur de n, donc lim f ( xi* ) lim1 1 . Comme la valeur de
i 1 n i 1 n n n
i 1 n n
n
lim f ( xi* ) x est dépendante du choix des points d’échantillonnage xi* , la limite n’existe pas et f n’est pas intégrable sur
n
i 1
1 1
70. Divisons l’intervalle [0, 1] en n sous-intervalles égaux et choisissons x1* . Alors, pour f ( x) ,
n2 x
n n
1 1
f ( xi* ) x f ( x1* ) x n . Il s’ensuit qu’il est possible d’augmenter, de façon arbitraire, la valeur de f ( xi* ) x jusqu’à
i 1 1/n2 n i 1
ce qu’elle soit importante et, conséquemment, la fonction f n’est pas intégrable sur l’intervalle [0, 1].
4
n
i4 n
i4 1 n
i 1