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Par Rose Sthephy Chery

Groupe 10

Un départ vers l’inconnue

Présentée à
François Gonin

Littérature et imaginaire

Collège Montmorency
17/04/23
Rijasolo est né en France en 1973, il est originaire de Madagascar, il est

photojournaliste et photographe en même temps, généralement ses photos sont en noir et blanc Il

a réalisé son projet MIVERINA dans le seul but de montrer la difficulté de renouer la relation

avec son pays d’origine. Le nom de la photo est La Guerre Des Zébus. C’est dans ce contexte

même que son nom l’indique, le précieux bétail à bosse (zébus) que la population de l’ouest et du

sud se fait voler, maltraiter tous les jours. Ce problème était très complexe que sur le plan

environnemental et économique. Je choisis d’écrire mon texte sur cette image parce que cet

endroit évoque en moi une sorte de nostalgie car, ça me rappelle un lieu que J’ai visité souvent

dans mon pays quand j’étais petite. Dans les lignes qui suivent, j’aborderai les aspects concernant

le choix de la photo, les thèmes abordés par le photographe et le traitement que fait le

photographe avec la photo.

Tous d’abord, cette photo me rend nostalgique parce qu’elle me rappelle des souvenirs de

mon enfance dans mon pays d’origine Haïti. D’une part C’est un pays montagneux, dans les

campagnes surtout dans les endroits éloignés qui ne sont pas encore développer par rapport aux

autres villes. Il y a pleins d’endroits qui ressemble à cette photo, où j’ai l’habitude d’aller passer

de belles vacances. Cette image me fait penser aux personnes qui immigre vers d’autres pays et

qui doivent tous laisser derrière par rapport à des situations critiques dans leur pays et qui ont

l’espoir d’avoir une vie meilleure. D’une autre part, Les thèmes principaux véhiculées dans

l’histoire de cette photo sont : la guerre la violence, l’argent, les classes sociales, l’injustice, la

politique et l’environnement. Le photographe parle de la guerre, plus précisément la guerre des

zébus, qui résulte du fait que ces animaux représentent une fortune pour les habitants de l’est et

du sud du Madagascar. Ce précieux bétail jouent un grand rôle dans l’agriculture. Ils sont

également utiles dans le domaine du transport. En plus de leur capacité dans le domaine de

l’agriculture et du transport, ils sont très dispendieux. De plus, par rapport à leur grande valeur les
habitants de ces villages sont exposés tous les jours à des actes de violence tels que : le vol de ces

bétails, bruler les villages, le kidnapping et les meurtres. En plus, ces villages ne sont pas

développés, il n’y pas d’électricité, de réseaux et les routes sont uniquement accessible à pied. À

cause de cela certaine personne se trouve dans l’obligation de quitter les Lieux et de voyager très

loin. Par ailleurs, Le photojournaliste utilise le cadrage horizontal pour recouvrir le plus d’espace

que possible dans la photo par rapport à l’immensité du lieu. Dans le premier plan, on voit des

herbes, dans le second plan il y a deux personnes en train de marcher avec leurs bagages et

l’arrière-plan on voit des montagnes et le ciel nuageux. La façon dont la photo à été prise est en

plongé. Ce type de prise de vue fait ressortir une sorte de dominance du photographe par rapport à

ce qu’il prend en photo. Effectivement la prise de vue donne comme effet que les personnages

sont malheureux. Cette position marque notamment l’échelle social de ces personnes. Les deux

individus quittent l’endroit ou ils vivent par rapport à la situation critique qu’ils subissent. Dans le

même ordre d’idée, la couleur de l’image est en noir et blanc. Cette couleur est utilisée par le

photographe afin de faire passer un message tels que : la situation actuelle du pays et de la

population en détresse. Toutefois, le blanc est lié selon-moi par la pureté de la nature. Le ton gris

est utilisé afin de ressortir les formes et l’éclairage dans la photo.

Pour conclure, L’absence de dirigeant encourage ces types de violences. De plus, ces

endroits ne sont pas développés en termes de routes et d’infrastructures. La pauvreté et le

manque d’emploi encourages ces actes barbares. D’autre part les habitants de ces villages ne

s’organise pas afin de contre carré ces mauvais actes. De point de vue esthétique, je pourrai

approfondir mes connaissances afin d’analyser de façon plus approfondie les images en prenant

des cours d’art, de photographie ou de cinéma.

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