Depuis 1977 de Genève à Paris, j’ai régulièrement pris le train. En 2003, je ne sais ce qui s’est passé, j’ai commencé à regarder hors du wagon et à prendre des images, à la vitesse du TGV. Regarder les ciels, les chemins qui fuyaient, les maisons solitaires, à les attendre, les saisir à différentes heures du jour, à reconnaître les lumières, les saisons.
Ce fut l’ouverture d’un regard.
Une « rêverie ferroviaire ».
Depuis 1977 de Genève à Paris, j’ai régulièrement pris le train. En 2003, je ne sais ce qui s’est passé, j’ai commencé à regarder hors du wagon et à prendre des images, à la vitesse du TGV. Regarder les ciels, les chemins qui fuyaient, les maisons solitaires, à les attendre, les saisir à différentes heures du jour, à reconnaître les lumières, les saisons.
Ce fut l’ouverture d’un regard.
Une « rêverie ferroviaire ».
Depuis 1977 de Genève à Paris, j’ai régulièrement pris le train. En 2003, je ne sais ce qui s’est passé, j’ai commencé à regarder hors du wagon et à prendre des images, à la vitesse du TGV. Regarder les ciels, les chemins qui fuyaient, les maisons solitaires, à les attendre, les saisir à différentes heures du jour, à reconnaître les lumières, les saisons.
Ce fut l’ouverture d’un regard.
Une « rêverie ferroviaire ».