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Les PROPOSITIONS SUBORDONNEES

Verbe conjugué = une proposition (principale ou subordonnée)

1) La proposition PRINCIPALE

Il vient chez moi. 1 verbe conjugué = 1 proposit°

2) La prop subordonnée CIRCONSTANCIELLE

Quand il est triste, il vient chez moi.

2 verbes conj = 2 prop.

1 prop PRINCIPALE et une propSUBORDONNéE

Quand il est triste, il vient chez moi.SUBORDONNéE de temps (quand, lorsque, dès que…)

Puisqu’ il est triste, il vient chez moi.SUBORDONNéE de cause (parce que, puisque, comme, vu que, sous prétexte
que….)

Pour qu’on discute, il vient chez moi. SUBORDONNéE de but (pour que, afin que, de peur que)

Si tu es d’accord, il viendra chez moi  SUBORDONNéE de condition (si + indicatif ou si + subjonctif)

Bien qu’il soit malade, il vient chez moi  SUBORDONNéE de concession (alors que, tandis que, bien que, quoique,
loin que, sans que, quand bien même, alors même que, même si, encore que)

Il vient chez moi si bien que j’ai préparé un gâteau SUBORDONNéE de conséquence (si bien que, de façon que, de
sorte que, au point que, à tel point que) mais aussi : si ... que, tellement ... que, tant ... que, à tel point ... que,
assez ... pour que, trop ... pour que, suffisamment ... pour que.

Proposition SUBORDONNéES CIRCONSTANCIELLES de temps/de but/de cause/de condition/de concession/de


conséquence

Au bac vous devrez justifier en faisant des constats et des modifications ds la phrase :

« Quand il est triste » est une proposition subordonnée CIRCONSTANCIELLES de temps parce que :
-il y a le verbe conjugué « est »
-il y a le mot de subordination « quand » qui marque le temps, que je peux remplacer par « lorsque »
-je peux DéPLACER et SUPPRIMER la proposition « qd il est triste »
-je reformule : « c’est au moment où il est triste qu’il vient chez moi »

3) La proposition subordonnée RELATIVE


Elle commence par « qui, que, quoi, dont, où, lequel, laquelle, desquelles … » = pronom RELATIF

Le jardinier[ quiest pressé]marche dans le parc.

Le film [dont je t’ai parlé ] a un grand succès.

-elle apporte des informations sur le NOM auquel elle se raccroche.


4) La proposition subordonnée CONJONCTIVE complétive
- Elle commence TOUJOURS par « QUE »
- Elle s’accroche/dépend d’un VERBE, celui de la prop principale
- On ne peut ni l’enlever ni la déplacer sans changer le sens de la phrase.
- On peut la remplacer par « le, la »

Ex : Elle dit que vous faites du bruit. Elle le dit

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