Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Communication
Communication
Une croyance,
positive ou Tirer des
négative, sur les conclusions
caractéristiques négatives sur une
Comportement
des membres d'un personne, un
négatif envers les
groupe qui groupe de
membres des
s'applique personnes ou une
groupes externes
généralement à la situation avant
plupart des d'évaluer les
membres du preuves
groupe
La CIP PERMET:
❖ Un échange direct entre le prestataire et le
bénéficiaire
❖ D’adapter le message à la situation et aux
besoins individuels du récepteur
❖ La communication non verbale qui donne à la
CIP une dimension telle qu’aucun autre moyen
ne pourrait avoir en cherchant la compréhension
❖ Un feed–back immédiat et direct
Schéma du processus de la CIP
Feed-back
De quoi s’agit-il ?
Quand?
Qui?
Où ?
Pourquoi ?
Les qualités du message
Les bruits
Les obstacles culturels et sociologiques
Les obstacles psychologiques et affectifs
1. Les bruits
Les bruits sont des perturbations qui peuvent altérer la
qualité de la communication, dénaturer le message
communiqué, rendre difficilement perceptible
l’information ou causer sa perte partielle ou totale.
Les bruits peuvent prendre quatre formes :
- Les bruits techniques = Canal
- Les bruits sémantiques (sens, signification) = Message
- Les bruits sémiologiques = Émetteur / Récepteur
- Les bruits organisationnels = Réseaux d'informations
Les bruits techniques
Le milieu socio-économique
Selon l'origine sociale, l’éducation et les
préoccupations peuvent être différentes.
Le niveau de connaissance
Le niveau de connaissance et l'outillage intellectuel très
souvent lié aux études, quelquefois au milieu socio-
économique, peuvent être aussi un obstacle à la
communication.
Exemples : utilisation de mots trop compliqués ou non
adaptés à l’auditoire. Les participants d’une conférence
n’ont pas compris les explications du conférencier.
L’âge
L'âge, les générations, les niveaux de langage peuvent
être différents ; il peut être difficile de trouver des sujets de
conversation communs.
Exemple : Il est difficile de trouver des sujets communs de
discussion entre des personnes appartenant à des
générations différentes (grands parents et petits enfants).
3. Les obstacles psychologiques et
affectifs
D'autres obstacles sont d'ordre psychologique et affectif.
Les interlocuteurs ne communiquent pas vraiment ou
communiquent mal. Ces obstacles se traduisent sous
formes de :
- Attitudes subjectives de sympathie ou d'antipathie
- Crainte ou mépris de l’autre
- Ignorance ou méconnaissance des problèmes mutuels
- Absence ou insuffisance d’écoute
- Peur du silence
- Mauvaise préparation du récepteur à recevoir le
message
- Rapports de force
- Peur de l'autre et des jugements
Attitudes subjectives de sympathie ou d'antipathie
La sympathie se voit dans le dialogue : on se comprend,
sourire et gestes de sympathie, amitié, bienveillance,
cordialité, estime, considération
L'antipathie est marquée par le refus du contact et du
dialogue : aversion instinctive, irraisonnée pour une
personne.
Crainte ou mépris de l’autre
On peut être contraint de garder le silence soit par crainte
d’un supérieur hiérarchique soit mépris d’un subalterne.
Ignorance ou méconnaissance des problèmes mutuels
Une personne de 50 ans peut avoir du mal à comprendre
les problèmes ou les préoccupations d'une personne plus
jeune; l'inverse est également vrai. L'empathie peut
résoudre ce problème.
Absence ou insuffisance d’écoute
Les interlocuteurs ont du mal à s’écouter ; personne ne
prête attention à ce que les autres disent. Chacun veut
exprimer ses idées sans réellement porter attention à celles
de l'autre.
Peur du silence
Quand on a peur du silence, on parle pour ne rien dire, le
dialogue reste superficiel. Le silence est parfois nécessaire
(moments de réflexion, communication non verbale).
Mauvaise préparation du récepteur à recevoir le message
État de fatigue, de stress...
Exemple : on demande une augmentation à son supérieur
hiérarchique alors qu’il vient de s’accrocher avec son
supérieur.
Rapports de force
Chacun des interlocuteurs va chercher à imposer son point
de vue en faisant pression sur son interlocuteur, ce qui
entraîne des blocages ou des résistances.
Peur de l'autre et des jugements
Les interlocuteurs peuvent hésiter à communiquer
réellement, de peur de révéler des aspects de leur
personnalité qui donneraient un certain pouvoir à l'autre, ils
peuvent avoir peur du jugement de l'autre.
Les conditions d’apprentissage
Quatre étapes
1ère étape: prendre conscience de l’idée
L’incompétence inconsciente
L’incompétence consciente
La compétence consciente
La compétence inconsciente
la notion de cadre de référence
Emotionnel Physique
Savoir être Savoir faire
Faire aimer Faire agir
Il existe une interaction constante entre les
trois composantes: tout changement d’état
physiologique s’accompagne d’un
changement de l’état mental, émotionnel
conscient ou inconscient et similairement
toute variation de l’état mental ou émotionnel
s’accompagne de variations physiologiques.
10 Verbal : les phrases, les
% mots
Le canal :
C’est le moyen choisit par le locuteur pour transmettre le message
Le codage : langage et termes choisis pour délivrer le message
(utilisation d’un langage commun)
- La résistance
- L’indifférence
- L’acceptation
La zone de résistance : le message s’oppose à l’intérêt du
récepteur, à ses motivations, à ses idées..
Acceptation
Acceptation
Indifférence
Le récepteur
Résistance Le message est
Le message mal compris
est
refusé
Distance intime
Distance
personnelle
Distance sociale
Conséquences Particularités Circonstances
perceptives comportementales
Distance publiques - vision globale mais - voix élevée. * cérémonies officielles ou
7 mètres ou + lointaine du corps. - discours formel avec conférences.
jusqu’à 3,50 mètres - sans détails du visage recherche de construction * discours de personnalités
- peu de contact visuel grammaticale et syntaxique importantes.
- sensation plus nette de la - voix légèrement élevée. * réunions ou négociations
présence corporelle - impossibilité d’avoir une professionnelles, cours.
Distance sociale
d’autrui. emprise physique sur autrui. * rencontres dans un
3,50 mètres - nécessité de maintenir le bureau.
jusqu’à 1,50 mètre regard. * travail à plusieurs dans la
même pièce.
- impossibilité d’une vision - possibilité de se saisir * contacts proches ou
Distance personnelle globale du corps. d’autrui, d’avoir une emprise amicaux.
1,50 mètre - perception précise du physique sur lui. * échanges sur des sujets
jusqu’à 50 cm visage (cils, duvet, texture - la voix est normale personnels.
de la peau).
- vision déformée ou - voix basse ou murmure. * réconfort ou protection.
brouillée du visage. - la communication non * complicité.
- perception de l’odeur, de verbale l’emporte sur la
Distance intime
la chaleur de la peau, du parole.
50 cm rythme respiratoire. - le contact physique ou son
jusqu’au contact imminence probable domine
la conscience des
partenaires.
Un bon communiquant doit être capable de :
- Savoir écouter
- Savoir se taire
- Éviter de réagir immédiatement
- Ne pas craindre les silences
- Mettre l’interlocuteur à l’aise
- Choisir le lieu et le moment
- Être face à face
- Être au calme
- Donner à l’autre la liberté de s’exprimer.
Relancer et reformuler
Le manque de confiance en soi - avoir une tendance à déformer la façon dont les
autres nous perçoivent (image corporelle, éducation, situation sociale, les handi-
caps) - se traduit par :
L’écoute s’avère fondamentale, car elle seule permet à la fois de réduire le fossé qui
sépare les êtres humains et d’apprivoiser la différence d’autrui sans y perdre son
identité ; elle constitue le mince filet qui nous relie à l’autre…
Pour être capable de mettre en place une bonne écoute, il faut respecter plusieurs
principes :
Celui qui écoute doit être centré sur la recherche d’informations et sur la
compréhension de l’autre.
Ne pas juger l’autre, mais l’accepter comme différent de soi, accepter les
différences d’opinion éventuelles.
Reformuler, répéter dans son langage ce qui est dit et ce que l’on a compris.
Vérifier que l’autre est satisfait de la reformulation.
Faciliter l’expression de l’autre.
La sympathie L’antipathie
Mouvements affectifs involontaires et spontanés qui régissent le plus souvent nos relations
L’empathie
Question ouverte
Question orientée
1. Le respect
• Le livret d'accueil :
- Remis à l'arrivée du patient, il concerne le onctionnement
du service, les heures de visites, les activités proposées,
l'accès à Internet, etc.
- Les informations qu'il contient sont reprises et explicités
par le professionnel en charge de l'accueil.
• La visite des lieux : Elle permet à la famille de mieux
appréhender les conditions de l'hospitalisation (chambre,
présence d'une douche…).
• La place de la famille : La présence de l'entourage peut
conditionner la réussite de l'hospitalisation. L'accès à un lit
dit « accompagnant » ou un lieu d'hébergement au sein
de l'hôpital est une information alors précieuse.
4. Les particularités à retenir
• L'état du patient
L'information que vous donnerez sera fonction de ce que le patient
peut comprendre et « entendre », de son âge, de sa culture.
• La famille
Sa place est centrale dans la dynamique du malade. C'est elle qui
soutient généralement le malade au long cours. C'est pourquoi votre
disponibilité et les réponses que vous apporterez sont une manière de
reconnaître son rôle.
5. Objectif : La qualité des soins
1. Comprendre l'agressivité
1-phase préparatoire:
❖ Choisir un emplacement discret
❖ Mettre au point un plan d’entretien
objectifs de l’entretien
données sur l’interlocuteur
supports à utiliser:dépliants,maquettes,
listes des questions base de l’entretien.
2-phase d’introduction