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= AiaNe— Ho ManonleQe mesa - Ign geste Be pcb Ze ee cin te Jn yar SS Spee te Car tek Se coat Un an Ae Raa weet Re & Vekauges far Vieun quise AD POLI BaD .(Lo ppctilina ce clave pur ok . » Be (Chapitre 1 La productivité du travail et les avantages comparatifs : 1B locus a he cht . modéle ricardien / selanf. port Le modéle ricardien est unimodéle'trés simple qui montré comment les différences entrees pays) \\ ae oe Honnent eu des échanges internationaux. I permet de mettre en Evidence existence d'un gain 89) YRC BA avail est le seul facteUF de productionetles TAClane_oh "échange/ mutuellement partagé. Dans ce modele/ et pays ne different que par leur productivité du travail. is exportent alors le ee vvererelativernent efficace et importentes autres. En autres termes, la structure de production j dun pays ext déterminge par ses avantages comparatif. existence d'un gain mutuel &Véehange,¢ ‘ons différentes. Tout d’abord, le commerce peut étre vu comme lune méthode indirecte de producto Av leu de produire lurméme un bien, un pavs peut fabri vin gutre bien et changer contre ce qu'il désire. Selon le modele de Ricardo, chaque fois qu'un bieny Ect iiporté, sa & production » indirecte nécessite moins de travail que sa production directe, Par ailleurs e commerce international permet un élargissement des possibiités de consommation d'un pays. Le -épartition de ces gaing entre'les deux pays'dépend des prix relatifs d’équilibre;/2 détermination des prix relatifs est définie parla confrontation des offres et demandes relatives rmondiales, Ce pr implique également'un taux de salaire relaif La proposition, selon laquelle le commerce est profitable 8 toUs les pays, ne repose pas sur I'hypothase que tous les pays sont « ‘compétsfs ». En particulier, nous pouvons montrer que trois idées Fecues sur les conséquences du commerce international sont erronées Tout d'abord,un pays gagne a s‘ouvrir au commerce, méme “7 {si sa prodiitivté est plus faible que celle de son partenaire dans tous les secteurs d'activité. Ensuite, Yéchange est bénéfique pour tous les pays, meme dans le cas ol fa Compétitivité de Vindustrie Ete dtu *[iiranaére repose uniquement sir Tessas Salaires¥Enfin, le commerce est préférable a{autarcies” “pou 2 git ‘méme pour des pays en développement dont les capaités d/exportation reposent surunemain oa iy & (i= {dceuvre bon marchéjl‘extension dv modéle un monde comprenant de nombreux biens ne modifie | = fpas ses c-incipales conclusions. En revanche, elle permet de voir commentfes coats de transport y _* MK 5 1 biens quiils produisent de “fx 8 gow) peut étr2 démontrée de deux fac peuvent condure une situation ou certains biénsSont/e fet non échangeables. corny Bien q ‘onclusions du modéle ricardien soient trop simplistes pour étre réalistes, ses Os Smee predic ées par de nombreuses études :Ja str s échanges: x est clairement influencée par les différences relatives de productivité. / \chalere:d’: Les dotations en facteurs, les avantage’ comparatifs et le/ ae ribution’d 7 ox Wmagbto nce ga fai shes Si GcKeus oe Seth ution jesirevenus peas S gontictin (ions ae) Pe eae ABs un mle ql pemet de compronérglrae ae it pep qe ge fans. commerce international. I présente deux biens, qui different de par leur, nal. Il préser uri Factorielle; pour tin fe SWAG oad dori de rémunéfation relative des facteurs, un secteur Utliserata LD vibes matinee) ‘un des ceux facteurs. Tanti pave produi ces deux bins il esstUN€FAaRTon unique Ure Hes prix eats des Dies ey eux deseteurs de production: Une augmentation du prix relatifdu bien inensi en travail se aduit Pacune 2tusse relive de la rémunnération du travail. Cette réaction est sulfisamment forte pourgue O* Qe gitigad) Ie salai ‘augmente, alors queda remuneration réelleces proprigtalres terrrempdiminvePS™® Ac\ye seca ds tincaugcotatonde ete dun seul eure proditon aot es possbTes de proziction, eee Wins de agon leisée prix relatifs des biensinchangésila production du Bien intensifdansce'/ —*™ Sein faa arent anes ue cle aig pin dni 4 Hrowetatenie in pay: side Fun de ces facteurs en. ivemerit import tabondant et natty gone i cn yyg Snr atonar (Ce résultat constitue la base du modéle Heckscher-Ohlin. : » | Ene age onanlnpe coomgatah: — | ua 'esiman ereanlone abbirhes dea yas « ee Aden Diep BS Bolvin | OF muraun gastlowe pou ees ec: Aorm Diep MM QUOL von] SWS Eachinto : aun QE q Fei, NOM Sp cap anglais pik eagsis ar Ake pmesetonh 360% BS = ASm> A TURE 3s noperiesn See XND “Apo AUD aan AX _ Min Pucge heal Sto waines Yo Adare fogQe—wowl pl Correa dbntecmatiinnl oo meggiimoart Dis Borrition qusticandse esitocrs puncngaler AR TRAE LAE Nth gobo Kon hos Dre unex WY RENCE (Lee pemicn fm BS Ceud gear ant ame aeons por Karcsavrs ov ds eens te: Gomme les chtingements dans les prix relatifs des biens ont des effets importants sur es , i} srémunérations relatives des facteurs de production; et que les échanges modifient les prix relatifs, le “commerce international influe fortement sur Ia distribution des revenus/Dans chaque pays. let détenteurs du y Wétenteurs du facteur abondant gagnentA ouverture au commerce, alors que les d Ee reat es emunéraios te chaque facteur 7 facteurrare y perdent. Au finale WoTe-EenaTg9 ere Tes etforents pays sys ants et des perdants au commercf,ce dernier génére angain post dins Ie = Bien quil existe de y Ap nt 6ffrir des compensations alix seconds, tout en(¢onservanl jen-étre” sens oit es premie lus élevé qu’en autarcie. 7 = ® esr ,déle Heckscher-Ohlin sont mitigés. Au final, ils te Permettent pas de es résultats empiriques du mo ils He Fermettent conclure que es dfférences de dotations peuvent expliguer@ elles seules Ia structure du commerce fmondial II faut également tenir compte des'différences technolc ques Sur le plan international pour ‘que cette th sorle des proportiofs de facteufs altun pouvoir explicatif substantiel” «chapitrels”: Uermodéle’standard et les ter Lemodele standard montreifteractlon de 'off¢ relative mondiale, construite & partir des Kolesar de possibilits de productigivet de la demande'relative mondiale, dérivée des préférences des) Qe“ yn afr veonsommateurs intersection des courbes dotir et de demande relatives mondiales définitles «_) “Termes de 'échange (c'est-a-dire le prix des exportations rapporté & celui des importations). Seager Toutes choses étant égales par ailleurs, un pays voit son bien-étre s'accroitre lorsque ses termes d@/p, >. « \Véchange s‘améliorent, et diminuer lorsquiils se détériorent./ os Lorsque la croissance économique est plus favorable & la production d'un bien qu’a un autre(on Sachelas rarle lcs de crossance biaist) fe relative mondiale dec bens acroft ce qul agit sr es Bien ot posites fermes de Méchange. Si, dans un pays, Ia croissance est bialsée en direction du bien exporté/ses' 5. Cy. Oy rare oe ractonee su detesorént et Tefer benchique dela croissance économigue sen rouvey 4S Qu‘ verse, sila croissance est biaisée 3 limport, les termes de l'échange s‘améliorent, ce qui pauy> sskeak enforce encore l’élévation du bien-étre. De la méme fagon, une croissance biaisée a import dans un +9. > pays étranger peut étre nuisible pour l'économie nationale«"Sexwe_ By pees eo ee fs transferts internatlanautx de revenu, tls que les réparations de guersé ouYaide au / seat behing, Reet cic cucllexmmeyiscementeTaterngttomaup. peuvent avoir un impact sur les iw termes de échange d'un pays. Si, par rapport au pays donateur, le pays qui recoit le transfert dépense une proportion plus élevée de son revenu en biens exportés, alors le transfert augmentera la demande relative mondiale de ces biens et améliorera les termes de 'échange du receveur. Cette ameélioration'renforcera Ieffet positif initial du transfert.) _ En pratique, la plups es papper rept hh plus importante de leurrevenu en biens prod | lloealement qu’en biens importés:De ce lait, les transferts ont un impact positif sur les termes de Véchange du receveur. Appl dedsuanslocte le pays qui linstaure a accroitte Son offre relative de biens eset ay ‘Téduire sa demande relative. Cet instrument aniéliorg donc, a coup sir, les termes de I"échange du pays quile met en oeuvre, aux dépens du reste du monde. i cholsit cette politique. Lasubvention fete opposé tora Les fet ie Subvention a l'exportation sur les ent donc le pays qui met en place Ja subvention et profitent au reste du monde, alors qu anaes pr alors que la mise en place du droit de jes de I’échange* wits 7 s.internationaux de facteurs’ (Chapitteme restiouvemen es miguvements inteFnatfonalix de facteurs peuverk parfols Se sibsttuePau conimeree.”/ eSrante ee erate sfactelirs peuvent paifois se substituerau Commerce.” Jes causes et les conséquences d le juer les mi A soient pas sensiblement différentés de celles du commerce de biens Recvael ieee se ey felativement abondait vers les pays oi il est relativement rar tre bondant vers Sill est relativement rarg, Cela engendre une Syrine Fakhfakh wiORAIaIg, mais}PERGLIGE Zertains @FoUupes WiNdvidusaU'sein de tionaux peuvent étre considérés comme uné'formie de commerce ange de consommation présentéeontre in Ensaio tur y prix relatif auquel'se fait ce comn eree Intertemporel est égal au tatixd Feel plusun’ +4 wigak 4/0 ‘hu-dela d'un simple mouvement de capital eta nen ess étrangers permettent aiie/ ‘es multinationales d’étendre leurs activités da isleur aa théorie économique permet le distinguer deux éléments essentiels a Vexistence des firmes multinationales le premier est lié au choix de localisation/qui pousse les firmes 4s‘implanter dans plusieurs pays, et le second correspond internaliser les di Tacoma eae allan . Les déterminants des choix de localisation des firmes multinationales sont en partié les mémes que ‘ceux quiguident le commerce International. Les raisons de nternalisation sont, pour l'essentiel, le “besoin d’assurer le transfert des technologies et de profiter des avantages de I'intégration verticale. (Chapitré’S ! Les’écon ; ee es aca RoApoime iu Oke white ue | commerce international’ chum pockrga' aia we eracersant Lo Que ws\é Te pa eacactin Le commerce ne résulte pas uniquement de l'avantage comparatif. I! peut également provenir des yrencdements croissants (Cest-a-dire des économies échelle). En effet, en présence d’économies ‘échellé, internes (liges 3 la taille de la firme) ou externes (liées 8 la taille du secteur), les activités éconamigues ont tendance a sd concentrer sur un petit nombre de localisations. Les pays sont alors la concurrence imparfaité et le 7 Qe cnclins ase spécaliser et donc & commercer entre eu ea BERK Fes Econom sc chelates peuvent engender imperfections dela concurrence. 7 Deux principaux modéles de Concurrence imparfaite’permettent d’étudier les questions relatives au commerce international : le modele en concurrence monopolistique et le modéle dé dumping eNIneak En concurrence monopolistique, les firmes produisent des biens différenciés et se comportent ba, comme si elles étaient en situation de monopole/Toutefols, de nouveaux concurrents peuvent. / CAR OS librement entrer sure marché; qui conduit annulation des profits Du fait des économies {05.08% “créchelle, une économie de grande taille comptera davantage dé firmes qui produiront chacuncURe ) Se & papas quantité de bien, a cott moyen plus faible, Le commerce international fend alors — jossible la création d'un grand marché Intégré qui permet d’offrir simultanément aux consommateurs une plus grande variété de biens et des prix plus faibles? Dés lors que l'on considére plusieurs secteurs d’activité, la Concurrence monopolistiquejdans pl ‘entre eux conduitfa décomposer le commerce international en deux parties : fe commerce” y int ap cee eae lfférenciés (issu de la concurrence imparfaite) et'les échanges / interbranches de biens différents. On parle dé dumpinglorsqu'une firme bénéficiant d'un pouvoit de marché impose fin prix plus faible pour ses exportations que celui qu'elle fixe pour ses ventes surley irché domestique. Ce comportement correspond simplement & une stratégie de maximisation du profifclans une situation oi Jes exportations Sont plus sensible aux Variations de prix que les ventes domestiques, et lorsque les entreprises peuvent segmenter les marehés/Le dumping réeiproque a lieu lorsque deux firmes appartenant a deux pays distincts pratiquent le damping pour exporter” simultanément vers le marché du concurrent. Les économies d’échelle@emiege@nférent un role important aux aceldents historiques dans la determination de la structure du commerce international. Lorsque ces économies d’échelle gont oFtantes| un pays qui dispose initialement c'uné iidustrie de grande taille peut maintenir cet ny Lanai ays Yoisit pourrait produireles jens A moindre colt. Dans ces er cchangey TESPetTonner corps 4 un provessus condi ns, certains pays peuvent préférer une situations L ‘effet conjugué des économies d’échelle exteraes et int aufeenueten agglomeration spate Sous ertanes hypotheses, la reduction des batiéresaus rae don apes concentration des activités rendements croissants ans les pays ues wets ee pernioe estla plus favorable. Ces processus lomératior : ntralesimais compromettent les chances de développement des territoires les loignes ‘ Con\ca— 2 \Chapitre 6 :ll’éc Bien que peu de pays aient vérits ant adopté cette solution, la plupart des économistes * continent de considérerIelibre-échang@comme une politiquesouhaitable. Ce parti pris repose sur trois argu ‘out d'abord, ouverture aux échanges permet de réaliser / ies gains defficience (en somme, analyse cotts-bénéfices de la protection peut étre inversée). ARS eae litre échange engenare tics gains dynamiaes qo! ne son St REE , JeSanalyses codts-bénéfices.Enfin, méme dans les cas of ‘solution possible, il est toujours plus facile et moins risqué de choisir le ibre-échange q lancer dans une politique visant atteindre le niveau de protection idéal.” pas comme la meilleure ese Par exemple, les pays peuvent améliorer leurs termes de l’échange, et accroitre ainsi leur niveau de {Bien-étre, en instaurantun droit de douane optimal. En pratique, cet argument a une portée limitée. es petits paysyne peuvent pas avoir une influence significative sur les prix mondiaux des biens qu‘ils exportent. Quant aux grands payS, ils peuvent certes inflier sur les termes de l’échange, mais en \imposant des droits de douane, ils courent le risque'de rompre des accords commerciaux et donc de provoquer des mesures de rétorston-, : Un autre argument en faveur dela protection commerciale repose sur la notion de'défaillance dey ffmarché/si certains marchés nationaux (comme le marché du travail, par exemple) ne remplissent pasy jentigrement leurs Féles, alors dévier du libre-échangé peut parfois permettre de limiter les ‘conséquences de ce dysfonctionnement. La théorie de optimum de second rang stipule, en effet, “qu'une intervention publique peut se justifier ds lors qu'un des marchés de "économie ney forictionne pas correctemient. / ‘ . Un droit de douane peut augmenter le bien-8tré si la proc quin’est pas capté par les mesures de surplus des producteu Bien que les défaillances de marché ne soient pas rares dans les économics modernes, il faut se garder d’abuser de cet argument pour justifier une politique commercial Premiérement, il est davantage dédié aux politiques intérieures qu’aux politi cial Groits de douane engendrent systématiquement des distorsions inutiles, et il est toujours prél dettraiter les défaillances de marchéen s'y attaquant de facon plus directe/ Par ailleurs, il est difficile didentifier avec précision les défaillances de marché, de facon a étre certain de la recommandation politique approprige. En pratique, [es arguments les plus’ méme de faire pencher les gouvernements en faveur d'une protection commerciale sont genéralement iés ala‘r@parttion des revenis. > Or, sclon les politologuesjles choix publics résiiltent du jeu de la concurrence entre les partis / gpolitiques, Dans le cas le plus simple, cela méne & adoption dela politique qui sert les intéréts de Tetectour médtan, Bien que trés utile pour envisager de nombreuses possibilités, cette approche — " entraine des prédictions irréalistes en ce qui concerne la politique commerciale. En revanche, les analyses économiques des lobbies (de action collective) semblent plus utiles. Comme les individus ont peu d'intérét & mener des combats politiques, ils peuvent se voir/imposef les décision’ des Pouvoirs publics défendues par de petits groupes bien organisé: Fes EEIEReSeSIROeTETNG ceosent dtinies tage ‘autonome par Chaglle Bays, les avancées vers lellibre-échange'seraient pratiquement impossibles. En réalité,les pays fee. arvenus a uune}réduction substantielle dés droits de douane en s'appuyant sur des processus de‘négociations internationales. Celles-ci contribuent & réduire les batrigres commerciales de deux facons : elles aident iélargir le camp des défenseur’ du libre-échange/en mettant directement en jewles intérets” [Bes exporteteurs j elles permettent aux gouivernements de oordonner leurs décisions afin d’éviter sguerres commerciales. ™ Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, un certain nombre de pays organisent deSHégOeiatiOHS DY piultifatérales sous 'auspice de accord général sur les droits de dowane et le commerce (GATT). + Lraccord le plus récent duGATT a mis-en place une nouvelle organisation, Organisation mondiale au comimercelSon objectif est @organiser les négociations et de régler les conflits commerciaux entre Jes pays membres.) : 7 : ‘Au-dela desaccords) d'un bien génére'un bénéfice social f ilatérauly, certains pays ont négocié des nccordlé préférenticlsy Syrine Fakhfakh és par le GATT : les unions dowaniéres, ott les membres de V'accord ont -vis deVextérieur yet les'zonesde libre-échange, Oi ils ne ‘stimposent pas mutuellement de barriéres aux échanges, mais conservent des pc tiquesy [commerciales indépendantes'vis-a-vis du Feste du monde; “Ces dew Pena hase ds ont des effets ambigus sur le bien-étre. Ste fait deFejoindre unital accord iy engendre wné Substitution de la production nationale par des importations én provenance d'un autre jpaysmembre'(cest-a-dire s'il yat se aronegetrereey als Yaccord ext Boneflaue En ‘revanche, si cela entrainé la substitution d'importation: niarché provenant de extérieu de la zone pat des produits moins compétitifs’produits par un autre membre (c'est ire s‘ilyaun détournement de commerce), ‘accord régional génére des pertes.) (qhapitrél7? va contestation du libre-échange dansiles Deux d'entre eux sont aut ltique commerciale commune Vis: YS? Dans les années 1980 et 1990, lacritique du lib ris un tour nouveau. Au cours de la décennie 1980, 1a théorie des politiques commerciales stratégiques a donné des arguments en faveur desiiiterventions publiques pour:soutenir certains secteurs clés de I’économie/Dans les années 1990, un puissant mouvement de contestation dela mondialisation a fait son apparition, en mettant notamment 'accent sur ses effets néfastes pour ea ravailleurs des pays en développement. Les arguments en faveur des politiques commerciales stratégiques reposent sur deux idées. La premiére est que les gouverniemients devraient soutenir les secteurs qui générent des externalités 7 imologiques.\L'autre, qui s’éloigne de l'argument traditionnel de défaillance de marché, est donné parle modale Brander-Spencer. Celui-ci suggére quitine intervention stratégique peut permettre a un pays de capturer lesrentesiées&Vmperfection dela concurrence, Théoriquement, ces arguments sontconvaincants. : Cependant, ils sont bien souvent trop subtils et nécessitent de rassembler trop d’informations pour tre appliqués avec unceefficacité certain. Avec augmentation des exportations de prodiits manifacturés en provenance des pays en? ‘Méveloppement, tn nouveau mouvement @’opposition & 1a mondi ‘a émergé. Son sujet de préoccupation majeur concerne les salaires faibles et lopmietvalses Cond conditions de travail dans les secteuts d'exportation des pays dui Sud/La réponse apportee par la plupart des économistes est que les travailleurs des pays pauvres gagnent peu a 'aune des critéres occidentaux, mais que leur situation aurait été pire encore en 'absence de commerce international. Des études de cas permettent de montrer combien le débat autour de lalmonidialisation’@St UENCE en Particulier lorsque on essaie de le considérer d'un point delve moral, Les causes défendues avec ‘vigueur par les militants altermondialistes, comme la mise en place de clauses sociales ou de normes environnementales, sont dailleurs souvent combattues par les pays en développement eux-mémes, qui craignent qu’elles ne soient utilisées comme des instruments de protection commerciale. Nest difficile d'appréhender Vimpact 6cologi ede Jamondialisation.J'acourbede Kuzueis environnementale suggere uta croissance, dans'les premiers stades du développement. économique (détériore fortement l'environnement, mais qu'elle fait plus propre lorsque les niveaux de vie ont atteint un certain stade. Malheureusement, les pays émergents qui, durant les années 1990 et 2000, ont profité largement de la mondialisation, sont encore relativement pauvres ; leur croissance a alors un cotit écologique important. A Beaucoup crajgnent de voir les industries polluantes se délocaliser vers des havres de pollution oi les no: vironnementales sont trés laxistes. Les analy'ses empiriques montrent, cependant, que éne reste encore assez marginal et n’influence gudre les spécialisations des pays et les de commerce international. Syrine Fakhfakh

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