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Plusieurs Etats n’admettent pas facilement la notions des DH comme ils sont conçues universellement c’est

à dire les critères qui fait abstraction de l’homme au nom d’un certains nombres de particularités, parce qu’ils
veulent toujours garder une identité particulière. Un certain nombre de spécialités qui caractérise la société.
Comment peut-on justifier ces faits-là ?
Pour analyser cette question on traitera le caractère universelle Section 1. Puis l’impact des particularités
des sociétés sur les DH Section 2.
I. L’universalité des droits de l’Homme
Résultant d’une longue histoire (paragraphe A) Les droits de l’homme par définition ont le caractère
universel qui est basé sur la dignité et l’abstraction (paragraphe B).

Les droits de l’homme sont le résultat d’une évolution au cours de l’histoire (Para A), qui sont caractérisés
par l’universalité et la dignité font abstraction de l’homme (Para B)
a. Évolution des droits de l’Homme
Le contexte historique des droits de l’homme passe par plusieurs époques à savoir l’ère des anciennes
civilisations babyloniennes (Le code de Hammourabi), persienne (La charte de Cyrus) et Confucius et Grèce,
l’ère des religions monothéistes (judaïsme christianisme, et l’islam), ont tous fait circuler l’idée de droits
individuels, mais l’idée de droits attachés à un Homme abstrait et la notion des droits de l’Homme sont
apparues dans l’occident libéral du 18ème siècle, cet individualisme qui a été remis en cause par le socialisme.
En parallèle le monde a connu des expériences qui concrétise les droits de l’homme a traves des textes
références, notamment les textes anglais (magna carta de 1215, la pétition des droits, habeas corpus, bill of
rights), les documents américains et la déclaration française de droits de l’Homme. Et la déclaration
universelle des droits de l’Homme par la suite.
b. Abstraction des droits de l’homme
L’Homme sans discrimination aucune et sans distinction basée sur la race, le sexe, la nationalité, la religion,
la couleur, l’origine ethnique…ce sont des critères qui font en réalité la distinction de l’Homme par rapport
aux autres espèces, et bien sur lorsqu’on parle des droits de l’homme on essaye de neutraliser tous ces
paramètres toutes variables qui font la différence entre les gens…l’abstraction de l’homme pour nous c’est
d’avoir traité l’homme comme un être vivant là où il existe sans discrimination quelconque, ce qui invoque
l’interprétation universelle de l’ONU.
II. Droits de l’Homme et particularités des Etats
Même si les droits de l’Homme ont parcouru un long chemin pour normaliser ces droits, on se trouve
toujours devant la question des particularités des sociétés qui se basent sur les circonstances particulières de
l’Homme (paragraphe 1), et aussi celles des sociétés (paragraphe 2)

a. Les particularités de l’Homme


L’abstraction n’admis pas cette banalité, l’Homme n’est pas le même là où il existe, il y a une distinction
entre les différentes catégories de l’Homme qui se caractérisent par des particularités reconnues
universellement, qui a mis en cause la question de l’abstraction a travers les conventions internationales
spécialisées, ces conventions sont dotées d’un arsenal juridique qui permet de protéger en premier rang les
droits de l’Homme dans des situations particulières (femme/enfants/personnes handicapes/…)

b. Les particularités des sociétés

Pour renforcer la protection et l’exercice des droits de l’Homme en prenant en considération les données
propres à chaque région (coutumes, valeurs, cultures régionales partagées …), on a instauré des institutions
régionales des droits de l’Homme, la reconnaissance d’un cadre juridique régional c’est une reconnaissance
des particularités des sociétés une reconnaissance de la possibilité de classer les droits de l’homme d’une
façon différentes à l’échelle de l’importance, il y a des régions qui se focalisent sur les droits civils et politiques
tel est le cas pour l’Europe et l’Amérique c’est-à-dire l’occident ou les droits de l’Homme sont nés, et d’autres
régions qui se focalisent sur d’autres catégories de droits collectifs, notamment l’Afrique qui est considéré
comme un continent ex-colonisé.

Conclusion

L’universalité existe, il faut l’admire, pourtant on ne peut pas négliger l’existence de la particularité, mais
nulle condition ne fera de cette particularité une raison pour violer les droits de l’Homme tel qu’ils sont connus
et reconnus universellement, parce qu’ils sont aussi des valeurs qui ont un aspect supérieur et antérieur.

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