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Reptiliens et Serpents de Sagesse

Beaucoup de questions restent posées, en ce qui concerne votre origine et le


chemin évolutif empreinte par l'humanité et la race. Chaque auteur, chaque
groupe propose une histoire un peu différente, souvent issue de messages
canalises, en tout cas imprimée dans votre ADN. Les détails, les noms changent
mais un fil directeur émerge, qui révèle une intervention reptilienne sur la
Terre, et soulève des réactions de peur. La vérité est en train d'être révélée et
plus d'informations vous parviendront dans un futur proche. Les informations
données dans ces articles, me sont parvenues, au fil des années, par
l'expérience directe, et le souvenir personnel. Ma source d'information est le
Soi. Vous savez fort bien que l'univers vous donne, au travers d'un livre qui
s'échappe d'une étagère ou d'un individu toute information dont vous avez
besoin.

Par exemple, il me fallait me souvenir d'un détail de mon expérience en tant


que Serpent de Sagesse, en fait mon appartenance a la lignée des Toths.
L'information me parvint par l'intermédiaire d'un homme envoyé de Polynésie,
via l'Egypte. Je conduisais avec ce nouvel ami dans Los Angeles, et nous
parlions de la Grande Pyramide et de Toth. Tout a coup, un conducteur rêveur
emboutit la voiture. Je me questionnais sur la raison de l'accident, hormis le
fait que j'aurai un pare choc neuf, tandis que deux policiers se présentèrent
pour faire un rapport. L'officier en charge du dossier portait le nom de Toth
(très américain !) et son collègue le nom d'un archéologue. Quelques
recherches nous ont rappelé que Toth et Mercure ne font qu'un, Mercure étant
ma planète 2 fois. D'autre part, dans la Cabale, l'Archange Michel est connecte
avec Mercure. Enfin, et la, vous aurez tout comme moi envie de sourire… Toth
donnait aux disciples une initiation dont je me souviens parfaitement pour
l'avoir re-vécu dans ce corps, a l'issue de laquelle le nouvel initie recevait une
boisson nommée EAU de la VIE…E t bien sur, lorsque je décidais d'utiliser ce
nom pour l'Eau sacrée que je fabriquai en 1997, je ne me doutais de rien.

L'une des raisons principales a la publication de ces pages est que certains
Travailleurs de Lumière sont enfin prêts pour étudier et accepter le rôle de
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l'Ombre sans peur et sans inconfort. Il est temps pour ces âmes d'accomplir le
travail de transmutation qui se déroule au nouveau personnel et planétaire. La
purification et la transmutation de la Fraternité reptilienne qui a accepté de
porter la responsabilité de l'Ombre est en cours et vous pouvez participer, en
changeant votre état de conscience. Comprenez, Chers Lecteurs, qu'il est en
fait impossible de traduire de façon concrète, et avec des mots humains, un
parcours énergétique et un jeu de fréquences, sans la distorsion imputable à la
3e dimension.

SERPENTS DE SAGESSE

Nos chers reptiliens, ou la fréquence reptilienne arriva sur la planète


(traduction en mots humains d'un phénomène énergétique, car tout est illusion
et seulement energie), pendant le deuxième cycle ou deuxième harmonisation
fréquentielle. Afin de saisir et accepter ce qui se passe sur la terre, il est
important de regarder les choses de façon globale. Chaque planète, chaque
système est le corps d 'une entité, d'une conscience. Cette conscience a une
fréquence, évolue dans l'univers et passe aussi par des cycles. Les planètes et
constellations ont des inter-actions entre elles, tout comme vous avez des
relations avec vos amis et votre famille.

La terre appartient au système solaire. La Conscience ou Logos Solaire a des


inter-actions avec 3 groupes d'Etres, en fait 3 groupes de planètes :

- Les 7 RISHIS, de la Grande Ourse

- Les 7 Pléiades.

- Le groupe d'étoiles connues comme Sirius.

Les Serpents de Sagesse sont originaires de la CONSTELLATION du DRAGON,


DRACO. La présence de dragons et de reptoids sur la terre vient de cette
constellation. Il serait logique que le dragon soit l'élément FEU de notre
système, tandis que Sirius serait l'élément EAU. Le Dragon est lié au chakra de
base du système, où est logée la Kundalini de l'ensemble.

Dans toutes les traditions, on trouve la présence du Serpent. Le but du yoga, de


la méditation sont d'élever le Feu Kundalinic et éventuellement la KUNDALINI,
terme qui signifie serpent love. L'énergie du Serpent n'est ni nécessairement

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grise ni néfaste. Elle est en vous, dans votre structure génétique, et c'est l'éveil
du Serpent qui amena Bouddha a l'illumination. C'est l'acceptation et l'éveil des
mémoires/codes imprimés par la fréquence reptilienne qui vous permettra de
compléter votre parcours.

Un détail, cependant : d'apres mes observations, tous les humains ne sont pas
programmes pour l'eveil de la Kundalini ou l'initiation du Cobra, celle que recut
le Bouddha, car ils ne possedent pas le programme AND complet qui le permet.
Ce que la plupart des Travailleurs sur le sentier expérimentent est l'ENERGIE
KUNDALINIQUE. Ce que vous sentez travailler en vous et que certains voient
comme un feu monter le long de la colonne est l'Energie de la Kundalini.

En fait, tous vos exercices, yoga, respiration, tantra reproduisent, sont un


héritage de la civilisation ou fréquence reptilienne, un reste de fusion de la
fréquence reptilienne avec la Terre…. ou, un exercice de chakra, réalise par le
corps de l'entité qui nous entoure, la planète ou le système solaire, il y a
quelques millions d'années. Cette méditation formidable a en fait crée
l'apparition des reptiles sur Terre…Ouups… Encore un détail : deuxieme cycle,
apparition du Serpent sur Terre, deuxieme chakra, sexualite, tantra, rituals,
etc…

LE PEUPLE JUIF EST-IL LE PEUPLE CHOISI ?


Le peuple juif et son histoire (réelle ou aménagée), diffusée dans le monde
entier par la Bible, illustrent parfaitement la destinée ou le rôle de la lignée
physique. Cela ne signifie certes pas que le peuple juif soit la Lignée ou le
peuple élu. Mais il symbolise :

– La croyance en un peuple élu

– Les élans de foi et les difficultés inhérentes à un tel rôle

– Les efforts faits par la loge noire pour détruire le peuple

qui porte l’ADN et la relation avec le Divin.

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– L’arrogance de ceux qui pensent jouer le rôle de la lignée mais dont la seule
responsabilité est d’occuper le devant de la scène afin de retenir l’attention de
la foule. (…)

Nous avons déjà discuté de l’historicité de Jésus et donc des bases de la foi
chrétienne, mais nous devons aller plus loin – ce qui pourra faire l’objet d’un
nouvel ouvrage. D’où vient le peuple juif ? Quelle est la source véritable des
textes de l’Ancien Testament ? Les lettres hébraïques montrent d’étranges
similarités avec les hiéroglyphes de l’Ancienne Égypte. Une partie du texte
biblique a été écrite à la façon de la prêtrise égyptienne et ressemble à
l’histoire de la XVIIIe dynastie d’Égypte. Le peuple juif et son récit sont-ils issus
de la bataille qui eut lieu entre les Pharaons et les Prêtres en Égypte ? Si c’est le
cas, l’histoire et l’identité du peuple juif sont construites sur une distorsion de
la vérité, du Plan et de l’orientation Essentielle programmés par le Divin pour
l’humanité. Nous savons que l’Ancien Testament est une version adaptée et
embellie de la vie de ce peuple. Rien de grave en soi, sauf en ce qui concerne le
squelette de la boucle de temps impliquée dans cette histoire et la Conscience
historique de l’Être Humain. Car le peuple juif s’est chargé à la fois, et à tort, de
l’identité de peuple élu et de victime, tandis que l’Islam s’est constitué leur
miroir perpétuel.

L’année 2006 est celle d’une transmutation massive de la lignée dont le peuple
juif est issu, afin que son Essence et son identité véritables soient rétablies.
C’est la raison pour laquelle le conflit en Palestine a été ravivé, au risque pour
Israël de perdre son territoire et son hégémonie. Cela n’implique pas une
victoire des nations islamiques. Nous rappelons que

le Coran est censé avoir été dicté par l’ange Gabriel. Cette affirmation du
Prophète est lourde de conséquences, car Gabriel n’a pas, dans ce cycle, le
pouvoir Royal.

Ces deux nations et leurs extensions sociopolitiques diverses sont donc


condamnées à s’entre-déchirer pour laisser la place au Gouvernement Divin
Invisible. Quant à la ville de

Jérusalem qui gît et souffre au milieu de la bataille, elle ne peut que s’effacer
devant la splendide Jérusalem Céleste qui centralise le pouvoir Divin.”

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L'ANTICHRIST

L’antéchrist n’est pas un individu unique et prédéterminé comme le


Messie/Oint/Choisi, lequel règne sur cette planète et doit obligatoirement être
un produit de la Lignée. L’antéchrist est un égrégore, un amas énergétique,
mental et astral, nourri par des groupes et personnes. Son pouvoir est une
force à la fois inconsciente et terriblement organisée.

L’ANTECHRIST CONSCIENT

Plusieurs individus ont étés choisis et préparés par le Gouvernement Mondial


et les Nations Unies pour jouer un aspect de ce rôle, dans un contexte et un
champ d’action donnés --- le New Age par exemple --- et aux moments
opportuns. Ces individus sont utilisés comme des jokers.

LES MASSES PRODUISENT des EMANATIONS de L’ANTECHRIST

Voyons-nous se profiler un autre individu, qui participerait à l’égrégore de


l’antéchrist? Est-ce le rôle que la foule est en train de donner à Barack Hussein
Obama ?

Comment nourrit-on l’égrégore de l’antéchrist ?

Les humains savent qu’il faut un changement et un changement rapide. Ils sont
pratiquement désespérés et les candidats aux élections, dans le monde entier,
ressemblent souvent à des momies qui ne peuvent satisfaire la soif d’un
renouveau véritable.

La masse populaire transpose sur un individu ses illusions, ses désirs


inconscients d’être menée, guidée, et sauvée, comme cela fut le cas dans
l’histoire. Sans pouvoir personnel, victimes, les humains accordent le pouvoir et

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la responsabilité à quelqu’un dont l’ego est prêt à endosser le rôle. C’est le
mécanisme des révolutions, et la façon dont les tyrans sans envergure se
retrouvent à la tête de gouvernements ---Avec parfois un coup de pouce de la
CIA.

Les corps mental et astral des milliers de fans nourrissent l’ego du candidat
mais, au temps présent, ils soutiennent aussi l’égrégore de l’antéchrist.
Pourquoi ? Parce qu’ils donnent à un politicien un rôle qui ne n’appartient pas à
la politique mais au Divin. Vous vivez la fin d’un cycle, époque messianique par
excellence. Le choix est le suivant : voulez-vous un Ambassadeur Divin, un
leader qui incarne l’Esprit, émanant du Plan Divin ou préférez-vous un autre
politicien, un autre esclave du Gouvernement de l’Ombre ?

Parce qu’ils n’ont toujours pas assimilé le fait qu’ils doivent se transformer eux-
mêmes afin de participer activement à l’évolution planétaire.

Le rôle du Messie n’est pas de vous sauver. Le Messie :

Précède et assiste l’humanité.

Vous montre le chemin et apporte des plans spirituels les codes du futur.
Il/Elle/It (neutre, en anglais) rafraîchit vos corps, vos champs énergétiques --- et
les codes vitaux--- au travers de l’Eau de la Vie.

Introduit, aime et imprègne la Nouvelle Jérusalem, du sein de laquelle fleurira


le Nouveau Monde.

Ancre le Plan Divin et fait en sorte que toutes les conditions soient réunies afin
que la planète puisse accueillir la nouvelle réalité.

LE ROLE D’OBAMA DANS CE JEU

Obama doit-il porter la responsabilité de cette situation ? Oui, car il alimente et


savoure le moment. Oui, car il surf sur la vague et l’utilise pour le porter là ou
son ego désire se trouver. Oui, car il continue à utiliser son charisme et à
manipuler la foule, sans même tenter de contrôler un discours sinueux et
souvent contradictoire.
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Avant la 2e guerre mondiale, le peuple allemand a accueilli Hitler avec ferveur
--- ils étaient 200 000 à acclamer Barack Hussein Obama.

Dans le présent, Obama, ou tout autre leader devrait sincèrement et


publiquement affirmer son refus d’être traité ou accueilli comme une figure
Messianique. Seule la soumission au Divin permet à un leader de recevoir ses
bénédictions et sa protection. De plus, il devrait déclarer au peuple que leur
espoir ne peut être placé dans une figure politique mais dans le vrai
Ambassadeur Divin.

L’EGREGORE DE L’ANTECHRIST

Tout autour de la planète surgissent des individus dont les âmes ont été
programmées pour la destruction ou du moins pour interférer avec le Plan
Divin. Bien souvent, ces personnes n’ont, sur le plan humain, aucune
conscience de ce qu’elles sont et de leur mission réelle.

La catégorie la plus facile à identifier est constituée par ceux qui se présentent
comme des enseignants spirituels. Ces derniers canalisent généralement une
extension, qui travaille pour l’Adversaire, et proposent une philosophie qui
plait au public par son côte extrahumain et/ou exotique. Mais la marionnette
humaine n’est pas nécessairement informée et consciente du but caché de son
extension. Ces âmes, ainsi que celles qui les rejoignent créent une interférence
constante sur le champ magnétique de la planète et rendent difficile le
rétablissement de la terre dans son état de beauté et de bonne santé, parce
qu’ils cherchent à imposer leur propre vision et leur propre création pour le
futur. Or, le futur de la Terre a déjà été créé par la Conscience Infinie et par les
Créateurs et ne peut être changé. Pour ceux qui ont du mal à comprendre le
processus, imaginez-vous au centre d’une pièce, avec autour de vous un
groupe occupé à vous projeter des pensées qui ne seront pas toujours
négatives ou agressives, mais qui tendent à vous diriger dans une direction de
vie diamétralement opposée à celle que vous avez choisie.

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Un autre groupe est formé par des êtres doux, éventuellement pleins de bonne
volonté mais dans une grande confusion intérieure, imputable à une souffrance
de l’ego ou à une faiblesse profonde. Sans grande force intérieure, ces êtres
sont à la merci de leurs extensions, lesquelles peuvent utiliser leur corps et leur
structure énergétique pour ancrer une fréquence X sur la planète. Non
seulement ces humains seront très actifs la nuit, sur le plan astral ou dans des
dimensions parallèles, mais ils promènent leur programme avec eux dans leur
existence humaine et interfèrent sur la terre et dans la vie de ceux qui les
côtoient.

L’une des catégories les plus néfastes est constituée par des êtres aux capacités
psychiques supérieures mais dont l’âme n’est pas maîtrisée. La Monade ou
partie Divine du Soi est intacte et immuable. La Monade n’intervient pas et se
contente en quelque sorte d’observer le groupe d’âmes en évolution qui sont
son corps d’expression et d’expérimentation. Le Moi invisible et
multidimensionnel d’un individu n’est donc pas nécessairement maîtrisé et
sous l’influence de la Monade. Ce moi multidimensionnel peut être contrôlé,
manipulé psychiquement par des êtres humains ou non humains. Des
organisations puissantes interviennent depuis des siècles dans la vie de
l’humanité, notamment la Loge Noire dont la fonction est de garder les
humains dans l’ombre et la souffrance, AFIN QU’ILS DEVELOPPENT L’ENVIE DE
DEVENIR CONSCIENTS et AMORCENT un CHANGEMENT pour EVOLUER. La Loge
Noire est organisée très minutieusement pour opposer le mouvement
ascendant de la Lumière, de la conscience de groupe et planétaire. Elle utilise
non seulement ceux qui la rejoignent volontairement dans le monde humain,
mais également des âmes dont certaines extensions insubordonnées vont
prendre plaisir dans un pouvoir facile et le militantisme interdimensionnel. Les
gouvernements, les groupes qui sont à la recherche de sujet psy utilisent
subtilement les extensions non maîtrisées des candidats.

Sur le plan strictement humain (= sans chercher plus loin…), toutes les Eglises,
toutes les organisations religieuses, le Vatican, les congrégations Juives et
Islamiques, les monastères Indous et Bouddhistes, toutes les loges dites
ésotériques ou maçonnes abritent, en leur sein, une loge satanique et ont
utilisé, pendant des siècles, des pratiques et initiations sataniques. Car c’est
ainsi, et par Satan, par l’Ombre, que votre monde a vécu et fonctionne encore,

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en 2008. Cette situation durera jusqu’à l’affrontement final, dans la troisième
dimension et dans son champ magnétique, entre les forces de l’Ombre et le
Seigneur de Lumière, l’Oint ou Choisi, Celui qui détient l’autorité et la
puissance, par Droit Divin, par Essence. (voir BAISER A LUCIFER)

Tous ceux d’entre vous qui ont fait allégeance, dans le passé, à une ou plusieurs
loges continuent éventuellement à travailler pour elles, par le jeu subtil de
l’univers multi-dimensionnel. Seule une prise de conscience personnelle, la
maîtrise de vos multi dimensions puis un retrait définitif changeront votre
situation.

LE ROLE D’ANTECHRIST DE LA LOGE NOIRE

La Loge Noire, en général, désigne le groupe, l’égrégore, formé par toutes les
entités et individus qui ont fait un pacte avec l’Ombre et n’ont pas encore
consciemment, volontairement et complètement rejoint la Loge de Lumière –
spécifique et invisible- et l’Oint, ou Ambassadeur de la Présence Divine.

Dans les loges, comme dans toute structure il existe une hiérarchie. Cette
hiérarchie obéit aux lois de la nature, de l’évolution et de la Conscience. Le rôle
de chacun, humain ou entité au sein de la loge noire dépend du niveau de
conscience de l’âme, du développement de l’intelligence, de l’intuition, de ses
factualités psychiques et inter dimensionnelles. Vous êtes donc abusé ou
leader selon vos facultés et personnalité.

Les leaders, ont, au moins au niveau de l’âme, parfaitement conscience de leur


rôle et de ses implications. Etant donné que leurs facultés psychiques doivent
être développées afin qu’ils puissent jouer ce rôle, ou détenir des postes clefs
dans le monde matériel, il est peu probable qu’ils ne soient pas au courant de
leur situation, et qu’ils n’aient aucune connaissance de leur initiation dans la
loge noire au cours de l’incarnation présente.

Nous répétons : De nombreux individus dont la vie humaine et tri-


dimensionelle parait totalement inoffensive ou même activement tournés vers
le bien, en apparence, sont en fait des participants actifs des loges noires. Plus

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leur subconscient recèle de détours et de recoins cachés ou déniés, plus leur
personnalité est imprévisible, non alignée, plus ils sont ‘’à risque’’. Scrutez leur
comportement --- le votre d’abord --- et vous trouverez la faille : la colère, la
frustration émotionnelle ou sexuelle, le besoin d’argent ou de pouvoir, l’envie
de se sentir important, les addictions, les mèneront gentiment mais sûrement
vers les loges noires, en passant par la 3e dimension ou la nuit par le plan
astral. Ils utiliseront la loge noire comme un exutoire, comme une cours de
recréation afin de satisfaire leurs désirs inassouvis.

Afin de joindre la famille de la Lumière, un Etre --- au sens général et asexué---


doit avoir accompli sa remontée hors de la matière et de l’Ombre et fusionné
en lui-même la Lumière et l’Ombre. Il doit avoir pris conscience de son rôle
passé et présent dans les loges noires et sataniques, et dans les rouages de la
machinerie gouvernementale et religieuse de votre humanité. Si vous êtes une
âme évoluée, vous pouvez, vous devez vous souvenir, et faire le travail de
transmutation, afin de libérer votre âme de ses contrats avec l’Ombre.

Vous devez appeler vos extensions (= vies parallèles, espaces-temps), faire un


travail intérieur intensif sur votre ego et votre personnalité. Vous pourrez alors
sincèrement et effectivement faire le serment de servir la Lumière et
seulement la Lumière. Les problèmes de personnalité évoqués plus haut sont
les points d’accroche ou les ponts entre vous et vos extensions. Donc, en
soignant votre personnalité, vous clarifiez vos extensions et vice-versa. C’est là
le véritable travail alchimique qui vous permettra de les maîtriser. Le corps est
le laboratoire alchimique, l’âme est la substance à transmuter.

Le rôle de la Loge Noire, par essence, est d’arrêter le travail de la Loge de


Lumière. C’est donc, tout naturellement aussi de s’opposer à la venue et la
manifestation du Règne de Lumière et de son Leader, l’Oint, Celui Qui Vient de
Toute Eternité.

Mais l’Oint étant le reflet de la Gloire et de la Puissance Divine, l’issue est déjà
déterminée. Son Règne est déjà manifeste dans le Cœur-Esprit de la
Conscience Infinie. Car Il est « Roi des rois, Seigneur des seigneurs », Epoux de
la « la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d'auprès de Dieu (….)
[dont] l’éclat tait semblable à celui d'une pierre très précieuse, d'une pierre de
jaspe transparente comme du cristal. » Amen. (Rev. 19, 16)

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LE MYTHE ‘JESUS’

CHAPITRE 1 - INTRODUCTION

L’écriture n’est pas vraiment ma vocation; je m’y suis résolu pour la bonne
raison que nul ne peut passer sa vie à repartir à zéro dans son enseignement.
Après avoir, pendant des années, tracé des petits croquis et répété les mêmes
principes gnostiques de base en cabinet, j’ai décidé en 1994 d’écrire une
synthèse, abordable et pratique, des enseignements traditionnels essentiels.
C’est ainsi que naquit mon premier ouvrage, Je Suis Celui Qui Suis. Puis le livre
Manifestation s’est imposé. Je pensais décrire les principes de la manifestation
dans le domaine physique, et j’ai manifesté mon Moi Supérieur, à savoir
l’Archange Mikaël, sur le plan physique. Quant au Baiser A Lucifer, il est le
résultat de mon travail de transmutation planétaire et le miroir de mes
relations avec l’Ombre, la Mère, le Dragon et avec Lucifer.

Car l’étude et l’écriture ne sont pour moi que les effluves des actions de ma
Conscience sur les plans planétaires et cosmiques. C’est un prétexte utilisé par
mon Moi Supérieur pour que ma conscience humaine travaille en harmonie
avec ma Présence, focalisée sur des domaines précis, sur des événements
sociopolitiques ou cosmiques particuliers, cela en fonction du calendrier divin.
De cette façon, non seulement j’ai l’opportunité et la joie de pouvoir travailler
activement, consciemment et en synchronisme avec mon Moi Supérieur mais
je peux participer également à transmettre aux Hiérarchies Supérieures le point
de vue tri-dimensionnel et humain.

A partir de la troisième dimension, dans laquelle je suis immergé, je contribue à


la réparation du tissu cosmique et la fabrication de boucles spatio-temporelles.
La réparation du tissu cosmique s’opère par la résolution de conflits qui ont
émergé au cours de l’Histoire dans la conscience cosmique et la conscience
terrestre de la race. Chacun est et peut participer, à son niveau, à ce travail.
Chaque âme s’agite (sans conscience) ou fonctionne en conscience dans un
espace fréquentiel donné dont les limites correspondent aux niveaux de
fréquences auxquels cette âme est capable d’accéder.

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Nous savons que chaque pensée émise provoque une ride sur le tissu universel.
Bien heureusement, l’ampleur de l’impact est proportionnelle aux capacités de
celui qui émet ces pensées. Et, à ce point de notre histoire, peu d’humains
peuvent effectivement affecter la trame spatio-temporelle du méta-organisme
cosmique dans lequel la race humaine évolue. Merci, nous avons suffisamment
de chaos !

A l’âge de 15 ans, je pris conscience que la religion chrétienne dans laquelle


j’étais élevé, n’était ni meilleure ni plus mauvaise qu’une autre, mais en tout
cas pas la vérité. Je fis donc un pacte avec ce que j’appelais naïvement Dieu à
l’époque:

« Je veux te servir. Pour l’instant, je ne connais pas grand-chose, et en tout cas


pas d’autres systèmes de croyances qui me semblent convenir aux besoins de
mon prochain. Je vais donc patienter car je ne crois pas faire de mal à autrui et
je choisirai lorsque je serai prêt. »

Avant d’atteindre 16 ans, j’ai lu tous les livres religieux dont j’avais entendu
parler (l’ Internet n’existait pas et je vivais coupé du monde extérieur). Je
débutais avec la Bible – en utilisant trois versions différentes - puis le Coran, le
Livre des Mormons, des extraits des Védas et de la Bhagavad Gita , la
Cosmologie de Max Hendel. Ont aussi contribué à m’ouvrir les yeux des extraits
du Livre d’Or des Papes que je trouvais très drôles, une série d’ouvrages sur le
pouvoir du mental (Dale Carnegie ?). En me connectant avec l’aspect de moi-
même qui fut l’Empereur Napoléon Bonaparte, je cultivais le sens de la
volonté– je n’ai jamais eu à trop me forcer à ce sujet ! - et de la prise de
décisions, l’organisation, l’habitude de toujours faire consciemment plusieurs
choses à la fois. Je travaillais aussi sur le contrôle des pensées et des émotions,
ce qui me permit de passer rapidement, à l’adolescence, les niveaux les plus
communs des corps émotionnel et mental. Parallèlement, la lecture de traités
d’Homéopathie me confirmait la présence des énergies ainsi que la relation
entre état émotionnel et maladie.

La férocité de Yaweh, les inconséquences du ‘peuple élu’ ainsi que les


contradictions flagrantes du texte biblique me préparèrent à quitter toute
religion organisée, ce que je fis quelques années plus tard. Je décidai alors de
lire le moins possible pendant plusieurs années afin de débarrasser

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intentionnellement mon cerveau de mon éducation et de pouvoir aborder
l’étude de la spiritualité par la communication directe avec Dieu et l’intuition.

Je décidai subitement et au grand dam de ma Présence de fréquenter les


Rosicruciens et les Martinistes. Mon Moi Supérieur connaissant mon caractère
entier déclara : « Va et souviens-toi. Tu apprendras combien tu sais déjà. » Je
fus surtout confronté aux batailles astrales, à la magie et l’ego humain. J’y
passais très peu de temps et continuais à lire aussi peu que possible.

Le sevrage se poursuivit jusqu’au moment où j’ eus terminé la rédaction de


mon premier ouvrage adressé au public, Je Suis Celui Qui Suis. Ce livre ne
contient que quelques rares références, tout ayant été écrit en fonction de ce
que je savais par expérience et par intuition. Avant de publier, manquant de
confiance en moi, j’ achetai un livre d’Alice Bailey qui confirmait l’existence de
l’Alta Major. Puis, je recommençai à lire, mais toujours en choisissant
soigneusement les ouvrages. C'est-à-dire que mes lectures reflétaient mon
mode de vie, pratiquement étranger à la culture classique et à
l’intellectualisme universitaire.

Des années plus tard, me voici en train de rédiger un ouvrage plus proche du
format universitaire et conventionnel, parce que la recherche m’amuse et dans
le but d’atteindre un public plus vaste. Mais plus j’avance et plus j’abhorre la
technique qui consiste à émailler un texte de citations sélectionnées dans
d’autres ouvrages, lesquels sont rarement la source de l’information ou
expriment tout simplement la pensée d’autrui.

La version médiatique et officielle de l’Histoire moderne est une plaisanterie


grossière et nul n’est capable de dire ou de prouver ce qui se trame vraiment
derrière le dos de la masse. Sans oublier que, même si tous les hommes étaient
honnêtes et droits, l’être humain existe et fonctionne simultanément sur
plusieurs plans. Par conséquent, lorsqu’un humain est pratiquement
débarrassé de ses complications subconscientes et est foncièrement honnête,
il/elle court toujours le risque d’avoir à jouer un rôle pré-déterminé dont il ne
pourra s’écarter et qui va forger son comportement à son insu. Alors comment
imaginer découvrir dans la littérature la vérité sur des sujets aussi controversés
que celui des Templiers et plus encore du personnage de Jésus ?

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Voici ce qu’affirme Geza Vermes, ‘emeritus professor of Jewish Studies at
Oxford University.’ Il a passé trente ans sur le sujet et est l’auteur de nombreux
livres, le dernier étant L’Evangile Authentique de Jésus.

« Nous commencerons donc en sélectionnant quelques faits non controversés


en ce qui concerne la vie de Jésus, ses activités et essayerons de construire sur
ces fondements. » 1

Un peu plus loin, nous lisons :

« En ce qui concerne la date de sa naissance, ‘il ne s’agit pas vraiment d’un


problème historique’… le contexte chronologique général est clairement défini.
Il fut crucifié sous Ponce Pilate, le … de la Judée de l’an 26 à l’an 36 de notre
ère. On dit que son ministère public fut achevé peu après la quinzième année
de Tibère (28-29 de notre ère), lorsque Jean le Baptise inaugura sa croisade de
repentance….il mourut assez jeune. Luc rapporte qu’il avait approximativement
trente ans. ». Dans une interview récente (Le Point, septembre 2005) Geza
Vermes ajoute : « La preuve de sa résurrection réside dans ses nombreuses
apparitions après sa mort. »

« Jésus naquit à Nazareth. Il apprit à lire et à écrire sans doute selon la


méthode de l’Orient. Jésus fréquenta peu les écoles plus élevées des scribes ou
soferim et il n’eut aucun de ces titres qui donnent aux yeux du vulgaire les
droits du savoir. On ignore la date précise de sa naissance. Elle eut lieu sous le
règne d’Auguste, probablement vers l’an 750 de Rome, c’est-à-dire quelques
années avant l’an Un de l’ère que tous les peuples civilisés commencent à dater
du jour où il naquit. Il sortit des rangs du peuple. Son père Joseph et sa mère
Marie étaient des gens de médiocre condition, des artisans vivant de leur
travail. A part quelque chose de sordide et de repoussant que l’islamisme a
porté avec lui dans toute la Terre Sainte, la ville de Nazareth du temps de Jésus
ne différait pas beaucoup de ce qu’elle est aujourd’hui." 2

Il est évident, en lisant ces mots, que nous seulement les Evangiles sont
toujours La source d’information officielle mais aussi que les auteurs se
permettent, à l’exemple de Monsieur Renan, d’exercer leur imagination.

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nous avons tout simplement l’impression de rêver. Non seulement les
Evangiles sont toujours LA source, mais on se permet, pour Monsieur Renan,
d’exercer son fameux ‘romantisme’ !

Il existe des centaines si ce n’est des milliers d’ouvrages rédigés sous la


présomption de l’existence d’un Jésus Christ historique. Le monde dans lequel
nous existons est recréé continuellement par nos croyances et nos pensées. Les
lecteurs sont-ils enfin prêts à se débarrasser de l’Histoire telle quelle leur fut
assenée depuis des siècles ? Ou vont-ils encore tomber dans le piège d’une
nouvelle version de l’Histoire telle qu’elle leur est proposée à nouveau par les
media?

Les peuples de majorité chrétienne ont maintenant trois solutions distinctes :

Continuer dans la voie empruntée il y a près de 1500 ans et cheminer vers


l’auto- destruction. Car l’âme-groupe ne permettra pas à une telle farce de
continuer.

Accepter une version remaniée en ce qui concerne l’aube du Christianisme,


plus à la mode et soit-disant ésotérique, proposée par les manipulateurs de
l’Histoire, et repartir de plus belle.

Prendre la décision de faire un retournement et donner à l’âme-groupe la


possibilité de se construire un nouveau futur.

L’auteur ne prétend pas que la religion chrétienne soit la seule et la plus


importante, mais il se limite volontairement dans le contexte de cet ouvrage.
L’islam, le bouddhisme, le communisme chinois ont-ils offert à leurs adeptes
des solutions spirituelles et matérielles plus sages et plus adaptées au futur ?
L’état de leurs adhérents et des pays dans lesquels ils représentent la majorité
sont une preuve flagrante de l’échec des philosophies non chrétiennes.

JESUS DANS L’HISTOIRE

Il est presque difficile de faire en choix parmi les nombreux ouvrages traitant
de l’historicité du personnage nommé Jésus. Alvar Ellegard, un contemporain
suédois, résume bien la situation dans son livre Jesus, One Hundred Years
Before Christ, où il étudie plusieurs textes contemporains aux écrits de Paul. «
le Pasteur d’Hermas, Didachẽ, les Enseignements des Apôtres, la Première

15
Lettre de Clemens Romanus (1 Clément), la Lettre de Barnabé, la Lettre aux
Hébreux et la Révélation de Jean » et conclut :

« L’interprétation la plus naturelle de leurs paroles, et aussi de leur silence, à


propos du Jésus terrestre, est qu’il ne s’agissait pas d’un contemporain qui leur
apparaissait maintenant comme monté au Ciel, mais plutôt, comme cela
semble définitivement être le cas dans Paul et 1 Clément, d’une figure d’un
passé distant. Nous avons donc maintenant une explication pour le manque
d’informations remarquable à propos du Jésus historique, terrestre, non
seulement dans Paul mais aussi dans tous les textes chrétiens les plus anciens
en dehors des Evangiles et des Actes. La mort, l’enterrement et la montée de
Jésus sont ‘en fonction des Ecritures’ et il n’y a pas d’indications que ces
événements étaient considérés comme des événements récents au moment où
les apôtres avaient vu Jésus au Ciel. »

Alvar Ellegard ajoute très clairement : « Jamais aucun d’entre eux (les apôtres)
n’affirme ou implique qu’il avait vu Jésus dans la chair ou que leur visions
s’étaient produites en connexion avec la mort ou la résurrection. » 3

L’auteur (qui préfère rester anonyme) du site Internet Bible.chez.tiscali.fr


mentionne une trentaine d’auteurs du premier siècle, muets en ce qui
concerne Jésus :

« Parmi les écrivains et historiens du premier et deuxième siècle de notre ère,


qui gardent un silence total sur Jésus, citons : Valerius Maximus (-14 à 37),
Sénèque(-2 à 66), Pline l’Ancien (23 à 79), Perce (34 à 62), Lucain (39 à 65),
Dion Chrysostome (40 à 117), Stace (40 à 96), Plutarque (45 à 125), Silius
Italicius (25 à 100), Martial (65à 95), Flaccus (70 à 100), Pétrone (mort en 65),
Quintilien (65 à 97), Juvénal (55 à 140), Apulée ( mort vers 170), Don Cassius,
Pausanias, Juste de Tibère. »

PHILON D’ALEXANDRIE

Né une vingtaine d’années avant le premier siècle (-20 à 50), il vécut et écrivit
pendant la période qui couvre l’histoire de Jésus (13 à 50, dates
approximatives). Sa famille, de lignée sacerdotale, était l’une des plus
puissantes de la colonie juive d’Alexandrie. Il reçut une éducation traditionnelle
juive puis grecque. Philon d’Alexandrie resta attaché à ses racines et pensait

16
que la culture mosaïque avait influencé les philosophes grecs. Profondément
en harmonie avec Platon, dont il utilise même le style, il interpréta la Bible de
façon allégorique et chercha à démontrer la complémentarité de la Bible et de
la pensée platonicienne. Philon écrivit, entre autres, Quod omnis probus liber
sit (Tout homme bon est libre) à propos des Esséniens, ainsi qu’un
commentaire de la Genèse et de la loi mosaïque. En 39, il conduit l’ambassade
envoyée à l’empereur Caius Caligula pour protester contre l’introduction de
statues de l’empereur dans les synagogues.

Avec Aristobule, il fut l’un des principaux représentants de l’Ecole Judéo-


Alexandrine. On dit qu’il a influencé la gnose juive, la philosophie de saint Paul,
son contemporain, saint Jean, ou le rédacteur de l’Apocalypse, et enfin les
Pères de l’Eglise chrétienne. Il propose une doctrine sur le ‘Verbe’ ou ‘Logos’
similaire à celle de l’Evangile de Jean (date présumée 95 de notre ère). Si le
Verbe est le Christ et que le Christ est son contemporain, pourquoi Philon ne le
mentionne-t-il pas dans sa philosophie ? Qu’il approuve ou non la pensée et la
candidature de Jésus de Nazareth au titre de Messie, Philon devrait au moins
signaler la présence de ce personnage dans la vie religieuse de l’époque. Il n’en
fait rien. « Pourquoi ne fait-il pas la plus lointaine allusion aux Apôtres, au
Galiléen divin, à la Crucifixion ? La réponse est facile. Parce que la biographie
de Jésus fut inventée après le premier siècle, et que personne à Jérusalem
n’était plus renseigné que Philon sur ce sujet. » 4

Voici les auteurs les plus couramment cités pour prouver l’existence terrestre
de Jésus :

PLINE LE JEUNE

Proconsul de la Gaule (61-62 à 114). C’est le neveu de Pline l’Ancien. Haut


fonctionnaire sous l’empereur romain Trajan, il a laissé une correspondance
abondante, dont le style reflète le contexte hypocrite des relations avec
l’empereur. Voici un extrait d’une lettre qu’il a adressée à l’empereur Trajan
autour de l’an 112:

« Au cours de la procédure, l’accusation prenant des formes diverses, plusieurs


cas se sont présentés. On déposa un libelle anonyme, contenant beaucoup de
noms. J’ai cru devoir faire relâcher ceux qui niaient être ou avoir été chrétiens,
quand ils invoquaient après moi les dieux, qu’ils suppliaient par l’encens ou le
17
vin ton image que j’avais apportée à cet effet avec les autres statues des
divinités ou s’ils maudissaient Christus, ce que la force elle-même ne peut
arracher, dit-on, à ceux qui sont vraiment chrétiens.

D’autres, dénoncés par le délateur, ont d’abord affirmé qu’ils avaient été
chrétiens, mais bientôt le nièrent, avouant qu’ils l’avaient été, mais qu’ils
avaient cessé de l’être les uns depuis trois ans, d’autres depuis plus longtemps
encore, l’un ou l’autre depuis vingt ans. Tous ceux-là ont vénéré ton image et
les statues des dieux et maudit Christus.

Ils affirmaient que toute leur faute ou toute leur erreur se serait bornée à se
réunir habituellement à jour fixe, avant l’aube, pour chanter en chœurs
alternés des hymnes à Christus comme à un Dieu (Khristo quasi deo). » 5

Les rites que pratiquent le groupe mentionné par Pline le Jeune identifient plus
probablement les communautés de Qumram plutôt que les Chrétiens. Or, les
Juifs de Qumram croyaient en la notion du Messie/Christ. D’autre part, on dit
généralement que cette lettre aurait été composée des siècles plus tard par le
faussaire Girardo de Vérone.

SUETONE

Secrétaire de l’empereur Domitien à la fin du premier siècle, dit en parlant de


l’empereur Claude/Claudio « qu’en 41, il chassa les Juifs de Rome parce qu’ils
causaient des désordres sous l’incitation d’un certain Crestos (impulsore
Crestos ou Krestos) »6 S’agit-il du même Jésus qui aurait été crucifié entre l’an
29 et 33 donc 10 ans avant l’incendie ?

FLAVIUS JOSEPH

Né en 37, gouverneur de Galilée, il vécut à Cana où Jésus est supposé avoir


accompli l’un de ses plus célèbres miracles. Il a écrit « Antiquités Juives » qui
couvre toute l’histoire d’Israël depuis la création du monde jusqu’en 64 après
JC. Flavius Joseph qui cultive l’art du détail dans ses vingt volumes, n’aurait
mentionné Jésus que deux fois, très brièvement.

Voici le premier texte :

"A cette époque vécut Jésus, un homme exceptionnel [si toutefois il faut
l'appeler homme], car il accomplissait des choses prodigieuses. Maître de gens
18
qui étaient tout disposés à faire bon accueil aux doctrines de bon aloi, il se
gagna beaucoup de monde parmi les Juifs et jusque parmi les Hellènes. [Celui-
là était le Christ. ] Lorsque, sur la dénonciation de nos notables, Pilate l'eut
condamné à la croix, ceux qui lui avaient donné leur affection au début ne
cessèrent pas de l'aimer, parce qu'il leur était apparu le troisième jour, de
nouveau vivant, comme les divins prophètes l'avaient déclaré (...) de nos jours
encore ne s'est pas tari la lignée de ceux qu'à cause de lui on appelle
chrétiens." 7

Tout d’abord, il est étonnant de la part d’un auteur juif d’utiliser le terme
Messie. Si Origène (185-254), qui cite plus tard Flavius Joseph ignorait ces
quelques lignes, Eusèbe de Césarée (265-340) pourtant les introduit dans son
Histoire Ecclésiastique. Bien que l’on considère Eusèbe de Césarée comme l’un
des Pères de l’Eglise et un historien, il est aussi un proche de l’empereur
Constantin dont il écrivit une biographie. Son objectivité est mise en doute.

TACITE

Cet historien et politicien qui serait originaire de Gaule (? 55-120) a rédigé


plusieurs œuvres dont les Annales . Il ne parle pas de Jésus mais décrit
l’incendie de Rome en l’an 64. Il dit que Néron s’était acharné contre les
Chrétiens après les avoir rendu responsables de l’incendie en question. Ce
passage est en fait attribué à un « certain Pogge, secrétaire pontifical qui dit
avoir reçu ces informations en 1429, sous forme d'un manuscrit du XI siècle,
par un moine anonyme qui était venu à Rome en pèlerinage. Pogge, avec ce
témoignage qu’il aurait reçu par un fait reporté dans les Annales de Tacite,
entendait montrer, à travers le martyre de Pierre, que la primauté sur la
chrétienté appartenait ainsi à Rome comme siège, et donc à son évêque,
comme successeur de Pierre, pour un droit historique ». 8

En conclusion, « L’existence, dans l’œuvre de Tacite, du passage concernant le


nom de Christ, était notoirement inconnue des Pères chrétiens, ce passage
n’existait donc pas. L’allusion dans le récit historique de Joseph est
manifestement une falsification intercalée entre deux calamités advenues aux
Juifs. De plus, Photius dit de façon explicite que Joseph ne fait aucune mention
de Jésus Christ. Un autre historien juif, Juste de Tibère, ne fait aucune mention
de l’apparition du Christ, et ne dit rien de ses miracles. Philon, qui était un

19
Essénien né en 20 avant JC et vécut jusqu’à l’an 50, ne savait rien de Jésus et de
son travail. La Mishna, une collection d’écrits allant de l’an 400 avant notre ère
à 200 après JC, fut révisée par le Rabbin Jehuda, en 219 de notre ère, à Tibère,
près de la mer de Galilée. Ces écrits ne contiennent aucune allusion au Jésus
des Evangiles, à son travail ou à sa mort. » 9

INTERPRETATION DES EVANGILES

Hormis ceux qui acceptent par besoin les œillères imposées par les religions, il
n’est plus nécessaire de démontrer la vulnérabilité de la Bible et des Evangiles.
Un certain nombre de livres inclus dans le canon biblique ont une valeur réelle
sur le plan de la recherche mystique, dans leur contexte allégorique,
prophétique ou ésotérique. Mais il est de plus en plus difficile, en raison de la
somme d’informations accessible au public, de continuer à vénérer la Bible
comme la Parole de Dieu. Non seulement, les textes intégrés dans le canon
biblique sont loin de représenter un testament historique mais ils ont été
choisis et remaniés afin de corroborer la religion judaïque puis chrétienne qui a
émergé pas à pas pendant les trois premiers siècles après Jésus. (Il devient
difficile de s’exprimer si l’on tente de ne plus mentionner Jésus comme la
référence !).

Voici le commentaire de Robert Adams dans un article publié dans le New


Dawn Magazine:

"Si nous examinons la Bible la plus ancienne connue à ce jour, la "Bible du


Sinaï" qui se trouve au Musée Britannique, nous trouvons 14800 différences
avec la Bible d’aujourd’hui; et pourtant celle-ci demeure la parole de Dieu. Le
texte le plus ancien de l’Ancien Testament qui ait survécu, avant la découverte
des Rouleaux de la Mer Morte, était le Codes Bodleian (Oxford), qui était daté
de l’an 1100 de notre ère. Dans l’espoir de retirer de la surface de la terre des
informations rabbiniques … à propos de Jésus Christ, l’Inquisition a brûlé 12 00
volumes du Talmud."10

Les Evangiles bibliques peuvent certes être interprétés de façon à gommer les
contradictions. Par exemple, il est aisé d’expliquer et de décrypter leur texte en
utilisant le langage symbolique, les codes secrets des premiers chrétiens, les
connotations astrologiques. Les ouvrages et articles de nombreux exégètes ou
écrivains utilisant ces méthodes apparaissent parfaitement plausibles et
20
séduisants. Voici comment Laurence Gardner a expliqué le mythe de la
crucifixion pendant une conférence. (L’auteur ne partage pas son
interprétation) :

« En ce qui concerne la mort de Jésus sur la Croix, il est évident qu’il s’agissait
non d’une mort physique, mais d’une mort spirituelle, déterminée par la règle
des trois jours que tout lecteur du premier siècle aurait compris. En termes
civils et légaux, Jésus était déjà mort lorsqu’il a été placé sur la croix. Il fut
dénoncé, fouetté, préparé à la mort par décret. Aujourd’hui, nous appelons
cela une excommunication. Pendant trois jours Jésus aurait été nominalement
malade, avec une mort absolue survenant le quatrième jour. Ce jour-là, il aurait
été mis au tombeau, vivant ; mais durant les trois premiers jours, il pouvait être
relevé ou ressuscité. En fait, il avait prédit que cela serait le cas.

L’acte de relever un mort et de le ressusciter (à part le fait que Jésus était passé
au-delà de la règle, accomplissant en cela un miracle !) ne pouvait être
accompli que

par le Grand Prêtre ou le Père de la communauté. A cette période, le Grand


Prêtre était Caïphe Joseph, celui-là même qui avait condamné Jésus ; en
conséquence, le relèvement devait être effectué par le Père ou patriarche.
Dans les Evangiles sont rapportées les paroles de Jésus parlant au Père, depuis
la croix, dont le point culminant était : ‘Père, je remets mon esprit entre tes
mains’. A ce moment, nous le savons en fonction des archives, que le Père
appointé était l’apôtre et le mage Simon le Zélote. »

Le thème de l’excommunication est plausible et donne au lecteur l’impression


de participer enfin aux arcanes des écoles de mystères. Néanmoins, Gardner ne
précise pas de quel Jésus il parle. S’il s’agit de Jésus Ben Pandira ( dont nous
parlerons plus loin), une telle scène est possible et ce dernier a effectivement
été mis à mort. D’autre part, si ce texte a trait à l’initiation nommée crucifixion,
celle-ci n’a pas besoin de se passer sur les plans physiques et sa signification
profonde est complètement escamotée dans cette interprétation de la vie
supposée d’un Maître ou d’un Christ.

La Bible aura toujours sa place dans les livres religieux, au même titre que les
Rouleaux de Nag Hammadi ou que les Védas, car elle contient en filigrane la

21
marque de la Tradition et l’expression d’une partie de l’âme groupe. Mais
pourquoi s’évertuer à perpétuer la croyance dans le personnage de Jésus ?11

Chaque livre religieux et chacun des livres intégrés dans le canon biblique
devraient être examinés et interprétés séparément, en fonction du contexte
historique d’écriture, s’il est connu, ainsi que de la personnalité et du but de
l’auteur. Par exemple, s’il apparaît évident que certains passages de
l’Apocalypse peuvent être lus et déchiffrés sous l’angle de l’astronomie, la
capacité de son auteur à passer les limites du temps ne peut être ignorée pour
comprendre la totalité du message. Les auteurs, dans le besoin de nier
l’existence d’un Dieu et le lien inné de l’être humain au monde spirituel,
poussent le cartésianisme et le matérialisme à outrance. Ils oublient que pour
celui qui ne possède ni la vision spirituelle, ni la capacité de vivre au-delà de la
matière, le monde physique est une prison dont la seule issue est le mental et
ses circonvolutions.

JESUS ET JEAN LE BAPTISTE

LES JOHANNITES

Après le passage à l’Ere du Poisson une foison de sectes est apparue, souvent
en réaction à la tyrannie et à l’hypocrisie grandissante de la prêtrise juive
associée aux Sadducéens et aux descendants des rois macchabées. Les
Sadducéens négligeaient la pratiques des rites pour une interprétation plus
littérale des Ecritures. Plus qu’une bataille entre le peuple juif et les Romains,
une profonde dissension agitait les Juifs les uns contre les autres.

L’un de ces groupes, les Johannites ou Mandéens, proches de la gnose


chaldéenne, proclamait que leur église avait été fondée par Jean le Baptiste qui
serait le prophète véritable.12

Cela ne nous surprend pas. Si nous acceptons le témoignage des Evangiles, une
confusion certaine régnait au premier siècle entre le Baptiste et le personnage
nommé Jésus.

Voici les paroles attribuées à Jésus: « Qui dit-on que je suis, moi, le Fils de
l’homme ? Ils répondirent : Les uns disent que tu es Jean Baptiste, les autres
Elie, d’autres encore Jérémie ou l’un des prophètes. Et vous, leur dit-il, qui
dites-vous que je suis ? »13
22
« Pendant les trois premiers siècles, existait une secte appelée les Mandéens
ou Johannites, plus spécifiquement dans le bassin du Tigre et de l’Euphrate. Ce
groupe honorait Jean le Baptiste, au lieu de Jésus, comme leur prophète. En
fait, l’une de ces sectes existe encore de nos jours. Selon leurs croyances, Jean
était le ‘vrai prophète’, tandis que Jésus était un rebelle, un hérétique qui a
égaré les hommes et trahi les doctrines secrètes. »14

Les Johannites étaient-ils une secte chrétienne parmi tant d’autres ou étaient-
ils, comme le suggèrent certains auteurs, les détenteurs de la doctrine secrète
émanant d’Egypte, de Chaldée et ultimement des Serpents de Sagesse?

C’est ce qu’affirme HP Blavatsky dans un chapitre consacré aux Templiers et


aux Francs-Maçons modernes. Les Johannites auraient été les initiateurs
secrets et véritables de Hugues de Payens et donc de l’Ordre du Temple.

« Le Temple était la dernière organisation secrète européenne, laquelle,


comme un corps, possédait certains des mystères de l’Est. Fondée en 1118 par
les Chevaliers Hugues de Payen et de saint Omer, nommément pour la
protection des pèlerins, son but réel était la restauration du culte secret et
primitif. La version véritable de l’histoire de Jésus et de la Chrétienté à ses
débuts fut transmise à Hugues de Payen par le Grand Pontife de l’Ordre du
Temple (ou de la secte nazaréenne ou johannite), un certain Theocletes
(Sixième et direct successeur de Jean le Baptiste). Puis cette histoire fut
communiquée à quelques chevaliers en Palestine par les membres de la secte
de Saint Jean, qui étaient initiés aux mystères. »15

Cette hypothèse apparaît comme parfaitement raisonnable, d’autant que :

Pendant leur procès, les Templiers ont été accusés de ne pas croire en Jésus
Christ, de cracher sur la croix.

Jusqu’en 1737, date à laquelle la Grande Loge d’Ecosse adopta saint André
comme leur patron, le saint patron des Templiers et des Maçons était Jean le
Baptiste. Cela tendrait à confirmer les dires de Blavatsky et des Johannites
modernes.

Selon Mackenzie, Jean le Baptiste était le «patron et saint estimé de la


Maçonnerie et en fait, le principal. La Grande Loge d’Angleterre fut ravivée le
jour de la Saint Jean, le 24 juin 1717, et le festival annuel se tenait à cette date
23
jusqu’en 1727 lorsqu’il fut célébré le jour de la fête de saint Jean l’Evangéliste,
c'est-à-dire le 27 décembre. Le festival du Baptiste fut conservé par la Grande
Loge d’Ecosse jusqu’en 1737 lorsque la date des élections annuelles fut
transférée au jour de la Saint André. »16

Nous avons déjà mentionné l’hypothèse formulée par Morton Smith dans
Jesus, the Magician. Jésus aurait en effet existé, mais ses talents de guérisseur
et d’exorciste seraient imputables, non à sa qualité de fils de Dieu ou de
messie, mais à sa connaissance de la magie. Un tel personnage ressemble à Ben
Pandira qui aurait utilisé la technique magique consistant à utiliser l’esprit
d’autres âmes puissantes, en les contraignant à le servir. Jésus aurait
notamment emprisonné l’âme puissante de Jean le Baptiste, lequel, nous le
rappelons, a été décapité. Voir chapitre Caput.17

LES FACETTES DU JESUS TERRESTRE

IMMANUEL

Les Mandéens, un groupe de Gnostiques chrétiens, existent toujours dans le


sud de l’Iraq. Leur rituel central est le baptême, pratiqué plusieurs fois par an.
Voici l’une de leurs légendes:

« Jérusalem fut fondée par une puissance Déesse du nom de Ru Ha. Ru Ha est
une déesse maléfique qui contrôle les Sept Planètes. Ils disent que Ru Ha a fait
un travail diabolique sur la terre au travers de plusieurs hommes choisis. Ce
sont Abraham, Moïse, David et son fils Salomon. Mais son œuvre la plus
maléfique fut finalement réalisée au travers d’un homme. A son temple de
Jérusalem, une jeune prêtresse fut choisie pour donner naissance à un rejeton
spécial. Son nom était Miriam. Nous l’appelons Marie. Elle porta l’enfant de Ru
Ha, le Imunel (Immanuel) et il se fit appeler Jésus. Il fut baptisé par Jean et
apprit beaucoup de lui. Puis, disent les Mandéens, il s’écarta des
enseignements de Jean et égara le peuple. Les Mandéens disent que Marie est
la ‘Fille de Moïse’ et que ce Moïse résidait sur le Mont Sinaï. »18 Etant donné
que rien, dans l’histoire spirituelle, n’est laissé au hasard, nous rappelons aux
lecteurs qu’Immanuel ou Emmanuel est l’un des noms divins, signifiant ‘Dieu
est avec nous’, ce qui nous ramène à la définition du Messie.

LES PERSONNAGES DU TALMUD

24
Le Talmud est une compilation de documents, de commentaires et discussions
sur les lois judaïques. La Mishna est le texte et la Gemara, les commentaires. Le
titre de Talmud se réfère plus fréquemment aux commentaires seuls. Il existe
deux Talmuds, le palestinien, ou Talmud de Jérusalem, et le Talmud
babylonien. Les lois ou Mishna sont communes aux deux versions tandis que
les commentaires ont une origine, sont donc des textes différents.

En raison des persécutions envers le peuple juif, le texte du Talmud a été altéré
après 1631. A cette date, un groupe d’Aînés se réunit en Pologne et décida de
supprimer dans les nouvelles éditions toute mention du nom de Jésus. Parfois,
ce nom a été, dit-on, remplacé par l’expression « Celui-là » Such-an-one ». Des
copies des textes originaux existent pourtant dans certaines bibliothèques
européennes ainsi qu’à l’Université d’Oxford.

Le Talmud babylonien cite un guérisseur renommé, Yeshua Ben Pantera, l’un


des noms attribués à Jésus. Josué Ben Pandira, élève de Josué Ben Perachia, «
naquit dans la quatrième année du règne du roi juif Alexander Jannaeus, en
dépit des assertions de ses disciples selon lesquelles il serait né pendant le
règne d’Hérode. Ben Pandira serait né autour de l’an 120 avant notre ère et fut
exécuté lorsqu’il avait 50 ou 60 ans. On dit aussi que cet événement eut lieu en
l’an 3671 du roi Jannaeus, soit 90 ans avant notre ère. Nous retiendrons que la
naissance de Ben Pandira antidate d’un siècle celle du Jésus des Evangiles .

Voici l’extrait du Talmud le plus fréquemment cité à propos de Jésus,


commentaire extrait du Sanhédrin 43a et antérieur au deuxième siècle :

« Voici la tradition : le soir de la Pâques ils ont pendu Jeshu (le Nazaréen). Et le
crieur public annonça la nouvelle quarante jours avant l’événement (disant)
(Jeshu le Nazaréen) doit être lapidé, car il a pratiqué la magie, a déçu et égaré
Israël. Si quelqu’un a quelque chose à dire en sa faveur, qu’il se présente et le
déclare. Ils ne trouvèrent rien en sa faveur. Et ils le pendirent le soir de la
Pâques. Ulla dit : serait-il possible que ce (Jeshu le Nazaréen), un
révolutionnaire, ait ( quelque chose en sa faveur ? C’était un tricheur et le
miséricordieux (Dieu) a dit : ‘tu ne l’épargneras pas, et tu ne le couvriras pas’.19
Mais c’était différent pour Jeshu le Nazaréen, car il était près du royaume. » «
Cela se passa avec R. Eliazar Ben Damah, qui fut mordu par un serpent, que

25
Jacob, un homme de Kefar Soma, vint soigner au nom de Yeshua Ben Panthera.
»

Les rabbins ne confondent généralement pas Ben Pandira avec le Jésus des
Evangiles car ils savaient que le Jésus des Evangiles était un personnage fictif. «
Mais jusqu’au quatrième siècle, lorsque les Chrétiens ont tracé sa généalogie,
sous la main d’Epiphane, ils furent forcés de faire dériver leur Jésus de Jésus de
Pandira. Epiphane donne la généalogie du Jésus canonique de cette manière :
Jacob, nommé Pandira, Marie, Joseph-Cleopas, Jésus. »20

Ben Stada ou Ben Pandira a été accusé de sorcellerie. Eduqué par les maîtres
égyptiens, il a utilisé la magie et la connaissance pour accomplir les miracles à
l’origine de sa renommée et de la jalousie des rabbins. La légende dit qu’il avait
dissimulé une formule magique sur sa cuisse afin de ne pas l’oublier :

« Si quelqu’un écrit sur sa chair, il est coupable, celui qui marque sa chair.
C’était écrit. R. Eliazar a dit aux sages : ‘Ben Stada n’a-t-il pas rapporté certaines
magies d’Egypte en écrivant sur sa chair ? Il était idiot, ont-ils répondu, aucune
preuve ne peut être attendue des idiots. (Etait-il le fils de Stada : sûrement il
était le fils de Pandira, dit H. Hisda, le mari était Stada mais l’amant Pandira).
»21 « Et c’est ce qu’ils firent à Ben Stada à Lydda, et ils le pendirent le jour des
Pâques. »22

L’histoire de Josué Ben Pandira est reprise par nombre d’auteurs et de sites
Internet. Publiée en 1860 par Eliphas Lévi dans L’Histoire de la Magie, elle fut
reprise par Blavatsky dans Isis Dévoilée, publiée en 1877, et Kenneth
Mackenzie dans son Royal Masonic Cyclopedia (1877).

« Une jeune vierge de Nazareth, nommée Miriam, qui avait été fiancée à un
jeune homme de sa tribu, nommé Jonachan, fut un jour surprise et violée par
un certain Pandira ou Panthère, qui s’introduisit dans sa chambre déguisé et
sous le nom de Jonachan. Ce dernier fut mis au courant de l’infortune de sa
fiancée, la quitta sans la compromettre, car elle était en fait innocente. En
conséquence, elle donna naissance à un garçon qui reçut le nom juif de Joshua,
ou Jésus dans le dialecte gréco-araméen, un prénom ordinaire pour l’époque.
Cet enfant fut adopté par un rabbin nommé Joseph qui l’emmena en Egypte où
il fut initié dans les sciences occultes. Les prêtres d’Osiris, le considéraient

26
comme l’incarnation longtemps attendue de Horus, promise aux Adeptes, le
consacrèrent finalement Souverain Pontife de la religion universelle. »23

D’autres textes disent que Joshua aurait accompli ses miracles car il aurait volé
aux prêtres juifs le Nom Sacré, c'est-à-dire qu’il aurait connu la prononciation
véritable du Nom Divin. Cela expliquerait leur hargne inutile. On dit aussi que
Miriam n’aurait pas été violée mais aurait eu un amant. Il est facile d’imaginer
les calomnies produites au fur et à mesure des années par un peuple qui a
rejeté ceux qui se sont présentés comme leur Messie. Quoi qu’il en soit, nous
louons le courage de cette famille et de cet homme car à cette époque une
telle situation ne fut certes pas facile à vivre ! Quant à la jalousie des prêtres et
des Juifs et aux divers ragots qui ont pu naître sur les pouvoirs de magicien de
Josué, elle est encore une fois la preuve de l’étroitesse de l’intelligence et de la
religion humaine, qu’elle soit chrétienne ou juive !

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ANNUNAKI

Ceux qui descendaient du ciel sur la Terre

Les temples consacrés à ces dieux ne sont pas décrit comme des lieux de culte
mais des résidences temporaires où les Annunaki venaient séjourner. Les
sumériens venaient leur demander conseil, voire même un jugement en cas de
litige entre cités ou personnes. Ce sont eux encore qui nommaient les chefs
ayant un pouvoir législatif et exécutif en leur nom.

Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA", Prince de la terre, créateur


de l'homo sapiens, se rebella,

n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et
fonda la "Confrérie du Serpent".

Les Annunaki participaient à l'enrichissement culturels par l'apport de


techniques essentiellement agraires (semences, irrigations, aménagements du
sol,…) , de connaissances astronomiques (position de la ceinture d'astéroïdes
qui n'est pas visible,…) ou de nouveaux termes destinés à décrire des objets,
des lieux et parfois des concepts.

27
Il existe un lien fort entre l'existence d'une mythologie et la mise en œuvre
d'un système philosophique pour toutes les anciennes civilisations connues.
Hors les Sumériens ne possèdent aucun système philosophique. Ils procèdent
au cas par cas sans proposer de généralisations. Par conséquent l'intervention
des Annunaki dans la société sumérienne ne peut pas se justifier que par de la
poésie.

HISTOIRE DES ANNUNAKI

Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine galaxie, dans notre bon vieux
système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards
d'années), la terre, alors deux fois plus grosse qu'aujourd'hui et recouverte
d'eau, s'appelait Tiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat possédait alors
une grosse lune (du nom de Kingu qui n'est évidemment pas celle
d'aujourd'hui) qui sera plus tard destiné à devenir une planète, dont nous
n'avons malheureusement pas d'autre précision (cette mystérieuse planète,
autrefois Kingu, serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient
ainsi être justifiées). Une dixième planète (ou douzième corps céleste pour les
anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse que Tiamat, nommée
Nibiru (ou Nibirou) par les sumériens et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les
babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait
également une très large orbite elliptique (d'une période de révolution égale à
3600 ans) entre Mars et Jupiter.
Nibiru (Marduk) tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite
n'était pas forcément dans le plan de l'écliptique (le plan orbital des autres
planètes), ce qui signifierait qu'elle n'appartenait pas au système solaire à son
origine. L'Enuma Elish (texte sacré babylonien) précise que Nibiru (Marduk)
était une planète "nomade" propulsée dans le système solaire (et capturée)
suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via
Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué dans le sens des
aiguilles d'une montre à l'inverse du sens de rotation des autres planètes
tournant autour du soleil. Les effets gravitationnels combinés de ces autres
planètes auraient alors déviés Marduk vers le centre du système solaire, en
pleine formation (Les tablettes sumériennes n'y font pas allusion mais toutes
n'ont sûrement pas été découvertes et un grand nombre et surtout de
meilleure qualité).

28
La vie semble s'être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par
le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunaki
pour les Sumériens et les Néfilims pour les Babyloniens et plus tard les
Hébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la
catastrophe. En effet, Nibiru/Marduk s'approcha si près de ce qui était alors
notre orbite, qu'une de ses lunes entra en collision avec Tiamat (les textes
sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux
planètes elles-mêmes) la coupant en deux. La partie supérieure intacte de
Tiamat (ainsi que sa lune principale) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle
orbite entre Mars et Vénus pour devenir après un nouvel équilibre (et
reconstruction géologique) notre Terre telle qu'elle est aujourd'hui. L'autre
partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux
pour devenir, selon les Sumériens, le "bracelet martelé" que nous appelons la
ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter. A ce propos, on a repéré des
trouées importantes à l'intérieur de la ceinture d'astéroïdes (diamètre de
l'ordre du million de km) qu'on explique par des phénomènes de résonance
avec Jupiter (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l'on pourrait également
justifier par l'orbite d'un important corps planétaire qui l'aurait traversée.

Fresques sur les murs du Temple de Ninurta dans la cité de Kalhu

Les archives sumériennes précisent que les Annunaki étaient très grands : les
femmes avaient une taille de 3 à 3.50 m et les hommes de 4 à 5m. Leur durée
de vie était d'environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années de
Nibiru/Marduk, ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient
comme tout le monde. Toujours selon ces archives, il y a environ 450 000 ans,
les Annunaki / Néfilims durent impérativement solutionner un problème
atmosphérique en liaison avec leur hiver (aphélie : point de l'orbite d'un corps
tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleil est maximale) très
long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d'or
dans la partie supérieure de leur atmosphère afin de profiter de son fort
pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à
leurs besoins. Il est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une
solution analogue pour lutter contre les trous de la couche d'ozone en y
répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du
Soleil.

29
Les gisements d'or sur Nibiru (Marduk) étant insuffisants, la Terre fut exploitée
à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement exploité car plus
proche). Les tablettes décrivent les Annunaki voyageant dans des vaisseaux
spatiaux laissant sortir des flammes à l'arrière des fusées de type rocket. Cette
technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre pour
faire le voyage entre les 2 planètes. Ils atterrirent et s'établirent dans une
région correspondant à l'Iraq actuel en constituant ainsi les premières colonies
(constructions des premières villes extraterrestres). Pour trouver de l'or, ils se
rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l'Afrique (en face de l'île de
Madagascar). ,Des ouvriers Annunaki (les dieux inférieurs comme les
désignaient les Sumériens ) creusèrent et exploitèrent les premières mines
d'or.

Des navettes furent mises en œuvre pour transférer l'or depuis l'Afrique du Sud
vers Nibiru. 100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes sont imprécis), ces
ouvriers Annunaki ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent
contre leur hiérarchie militaire. La solution adoptée fut la fabrication d'ouvriers
hybrides par ingénierie génétique à partir du sang Annunaki (ADN) et celui de
primates locaux (trop malhabiles à l'état naturel) et qu'ils se substituent aux
dieux inférieurs dans te travail minier. Les premières expériences génétiques se
firent dans des récipients en argile.Cette nouvelle espèce de primates devint
l'Homo sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux
dans le seul but de servir d'esclaves destinés à creuser la terre et extraire son
or. Notre fonction de mineur s'étendit plus tard à d'autre tâches domestiques.

EA PRINCE DE LA TERRE

William Bramley écrit dans " Die Götter von Eden " sur les Sumériens : " Sur les
tablettes mésopotamiennes, la création de l'HOMO SAPIENS est attribué
surtout à un " Dieu ". Le nom de ce " Dieu " est EA. Il aurait été le fils d'un roi de
ces extra-terrestres qui, dit-on, régnait sur une autre planète appartenant au
vaste royaume de cette race extra-terrestre. Le prince EA était connu sous le
titre " ENKI " ( le seigneur ou le prince) de la Terre. D'après les textes des
Sumériens, le titre d'EA n'était pas tout à fait approprié. Il aurait perdu au profit
de son demi-frère " ENLIL " d'immenses territoires de la Terre sur lesquels il
régnait, suite à une des innombrables rivalités et intrigues qui préoccupaient
apparemment les régnants de cette civilisations extra-terrestres. "
30
On attribue à EA (ENKI) le prince de la Terre) non seulement la "création de
l'homme" mais aussi beaucoup d'autres réalisations. Il aurait asséché les marais
du golfe Persique pour les remplacer par des terres fertiles, il aurait construit
des digues et des bateaux et aurait été un bon scientifique. Par sa création de
l'homo sapiens, il donna la preuve qu'il s'y entendait dans la technique
génétique, mais, si on en croit les tablettes en argile, cela nécessita beaucoup
d'expérimentations. EA (ENKI) aurait été bienveillant avec sa création, l'homo
sapiens. D'après les textes de Mésopotamie, EA prit parti pour le nouveau
genre humain au conseil des extra-terrestres. Il s'éleva contre beaucoup de
cruautés que d'autres extra-terrestres, et parmi eux son frère Enlil, infligèrent
aux hommes.

Il ressort des tablettes sumériennes qu'il ne voulait pas faire de l'homme un


esclave mais qu'il fut mis en minorité par les autres. Les hommes qui n'étaient
pour eux rien d'autre que des bêtes de somme furent traités cruellement par
leur maîtres. On parle dans les tablettes de famines, maladies et guerre
biologique. Mais comme ce génocide ne faisait pas assez régresser la
population humaine, les extra-terrestres décidèrent d'exterminer les hommes
en provoquant un grand déluge.

Beaucoup d'archéologues confirment aujourd'hui qu'il y a eu au Proche-Orient


un déluge qui remonte à des millénaires qu'on retrouve non seulement dans
les tablettes sumériennes mais aussi dans l'épopée de Gilgamesh et dans
l'Ancien Testament. D'après les textes sumériens, EA raconta à un
Mésopotamien du nom d'Utnapischtim le plan des autres extra-terrestres et il
lui apprit à construire un bateau pour qu'il prenne la mer avec sa famille,
quelques artisans, un peu d'or, du bétail et des animaux sauvages. L'histoire de
Noé vient, comme beaucoup d'autres histoires de l'Ancien Testament, des
écrits plus anciens de la Mésopotamie. Les Hébreux ne changèrent que les
noms et instituèrent un seul Dieu dans la religion juive alors qu'il y avait de
nombreux dieux dans les écrits originels.

Dans la Bible, écrite en hébreu, chaque mot a une signification tout à fait
exacte et nos Bibles en différentes langues ne sont que des interprétations de
l'original. En s''intéressant à l'archéologie, aux langues et à l'histoire de l'Orient
ancien, aux anciennes mythologies, les légendes des Grecs, des Hittites, des
anciens Cananéens et Babyloniens nous arrivons sur les textes sumériens,
31
notés sur des tablettes d'argile. Il les traduisiant nous pouvons conclure à une
"genèse" sur l' HOMO SAPIENS qui est en contradiction complète avec les
conceptions des grandes religions du monde. Elle est, pourtant,
scientifiquement la plus compréhensible et la plus logique, de plus, elle est en
parallèle avec celle des Tibétains, des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie,
des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après
le prétre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel).

Mais comment la plupart des mythes et légendes décrivant nos origines


racontent le même genre d’histoire, même si toutes les histoires ne sont pas
identiques ? Comment expliquer que la plupart des traditions possèdent des
récits sur l’implication d’êtres avancés dans la création des premiers êtres
humains ou de leurs cultures ?

William Bramley écrit dans "Die Götter von Eden" sur les Sumériens : "Sur les
tablettes mésopotamiennes, la création de l'HOMO SAPIENS est attribué
surtout à un "Dieu". Le nom de ce "Dieu" est ENKI. Il aurait été le fils d'un roi de
ces extra-terrestres qui, dit-on, régnait sur une autre planète appartenant au
vaste royaume de cette race extra-terrestre. Le prince ENKI était connu sous le
titre EA le seigneur (ou le prince) de la Terre. D'après les textes des Sumériens,
le titre d' EA n'était pas tout à fait approprié. Il aurait perdu au profit de son
demi-frère ENLIL d'immenses territoires de la Terre sur lesquels il régnait, suite
à une des innombrables rivalités et intrigues qui préoccupaient apparemment
les régnants de cette civilisations extra-terrestres.

Le clan des EA, dirigés par SIN (de la famille et donc du clan d’ ENKI) voulaient
donner aux humains (les esclaves) une aide technique et scientifique, mais ils
ont été empêchés par d’autres EA, plus âgés, dirigés par NINURTA (que l’on
connaît également sous le nom de YHVH). Les EA vainqueurs punirent ceux qui
avaient donné aux hommes les connaissances scientifiques en les éloignant de
certains postes importants. Ils les ont appelé les “pécheurs”. Le clan de
NINURTA voulait limiter l’accès aux connaissances aux êtres humains et leur
cacher la vérité sur les objectifs des Annunakis. Ils ont diabolisé le clan de SIN,
comme ENKI dont le symbole était le caducée (deux serpents entrelacés
référence à la double hélice de l’ADN). C’est la raison pour laquelle l’EA qui
désirait donner la connaissance à Eve dans la Bible a été associé au serpent.
Nous retrouvons ce récit dans le livre d’Enoch.
32
Anton Parks ( Antonparks.com ) indique dans son livre "Le secret des Etoiles
Sombres" que le haut conseil des Annunaki décida de fabriquer génétiquement
les humains pour qu'ils travaillent à la place des dieux. Cette nouvelle race ne
sont pas des "A-dam" (des animaux) mais plutôt des "Lùlù" (des hybrides). Enki
(EA) dirige les opérations pour le compte de l'Annunaki sous les directives
d'Enlil le chef terrestre et représentant de l'annunaki. Mais Enki va modifier le
programme de création en rendant le spécimen autonome. Le premier
spécimen esclave devait être androgyne, Enki va le couper en deux et ainsi
creer l'homme et la femme. Le serprent de la bible est Enki le généticien
cloneur, Enlil l'adversaire de Enki est Satan (Le Satam), il veut détruire la
fertilité et réduire les jours de l'humanité (comme indiqué sur les tablettes de
l'Atrahasis). Le Satam détient tous les pouvoirs, c'est un administrateur. Bien
avant les sumérien, les Satams était exclusivement des femmes qui travaillaient
dans la vaste région de l'Eden (mésopotamie). Lorsque les mâles de l'Annunaki
ont découvert la puissance sexuelle chez la femme, ils ont voulut emprisonner
les femelles afin de prendre leur puissance. Après plusieurs conflits, les
prêtresses femelles se sont alors protégées des mâles. Le sexe ayant été banni
pendant assez longtemps, l'Annunaki mâle se concentra alors sur la procréation
par clonage, participant à l'invention de nouvelles races comme les Gris (des
esclaves au service des mâles pour les taches indignent) et autres Hybrides...
( Source: Karmapolis.be )

Ea fut banni sur Terre et calomnié par ses adversaires qui voulaient s'assurer
qu'il ne retrouverait plus jamais d'adeptes parmi les hommes. De " prince de la
Terre " il passa " prince des ténèbres " et fut affublé aussi de surnoms horribles
tels que prince de l'enfer, incarnation du mal, diable. On le présentait comme
le pire ennemi du plus grand être et comme le gardien de l'enfer. On enseigna
aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les
hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer
chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les
rencontraient.

Le symbole biblique de l'arbre remonterait à des oeuvres mésopotamiennes


antérieures à la Bible, comme, celle où on montre un serpent qui s'enroule
autour d'un tronc d'arbre, notre symbole actuel du caducée. Le dieu
NINKISHZIDDA, symbolisé par un dragon, un céraste (vipère à cornes) ou un

33
caducée, provenait de l'ancien culte des serpents chez les asianiques. Cela
correspondrait aux représentations ultérieures du serpent au jardin d'Eden.

Dans la représentation mésopotamienne, deux fruits sont accrochés à l'arbre. A


droite de l'arbre se trouve le symbole d'EA, la demi-lune (le savoir) et à gauche,
on voit une planète, symbole d'Anu (la vie). Les EA auraient envoyé un homme
vers cet arbre pour qu'il accède àla connaissance. C'est la raison pour laquelle
le clan EA d' Enki est présenté comme le soi-disant coupable qui a essayé de
montrer au premier homme le chemin de la liberté spirituelle. Ces EA se serait
révolté non pas contre Dieu (ainsi qu'il est écrit dans la Bible) mais contre les
actes cruels des soi-disant dieux. Le clan voulant aider les humains fut banni sur
Terre et calomnié par ses adversaires qui voulaient s'assurer qu'il ne
retrouverait plus jamais d'adeptes parmi les hommes.

De "Prince de la Terre" il devint "Prince des ténèbres" et fut affublé aussi de


surnoms horribles tels que prince de l'enfer, incarnation du mal, diable.

C'est la raison pour laquelle Enki est présenté comme le soi-disant coupable qui
a essayé de montrer au premier homme le chemin de la liberté spirituelle. Ea
se serait révolté non pas contre Dieu (ainsi qu'il est écrit dans la Bible) mais
contre les actes cruels des soi-disant dieux. Malgré leurs intentions visiblement
louables, EA, le légendaire, et la confrerie du serpent dans ses débuts ne
réussirent pas à libérer les hommes. Il est dit dans des anciens textes
mésopotamiens, egyptiens et bibliques que le serpent (la Confrérie du Serpent)
aurait été vaincu bientôt par d'autres groupes des extra-terrestres régnants.

LA CONFRERIE DU SERPENT

Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA" , Prince extra-terrestre de


la terre, créateur de l'homo sapiens, se

rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux
hommes, et fonda la "Confrérie du Serpent".

Parmi tous les animaux vénérés par les hommes de la préhistoire, aucun ne
l'était de façon aussi marquante et signifiative que le serpent et cela parce que
le serpent était le symbole d'un groupe qui avait acquis une grande influence
dans les premières civilisations sur les deux hémisphères de notre planète. Il
s'agissait d'une confrérie savante qui s'était donné pour but de répandre des
34
connaissances spirituelles et d'atteindre la liberté au niveau spirituel, c'était la
"CONFRERIE DU SERPENT". Elle combattait l'esclavage d'êtres spirituels et
essayait de libérer l'humanité, de la servitude des extra-terrestres (le mot
originel de la Bible pour serpent, nahash, tire son origine de NHSH, ce qui
signifie "déchiffrer, trouver"). Le prince rebelle EA fut le fondateur de cette
"Confrérie du Serpent". Dans les anciennes tablettes mésopotamiennes, on lit
qu' EA et son père ANU possédaient une grande compréhension éthique et
spirituelle. Ce fut précisément ce savoir qui aurait été symbolisé, plus tard,
dans l'histoire biblique d'Adam et Eve.

EA, le légendaire, et la confrerie du serpent dans ses débuts ne réussirent pas à


libérer les hommes. Il est dit dans des anciens textes mésopotamiens,
egyptiens et bibliques que le serpent (la Confrérie du Serpent) aurait été vaincu
bientôt par d'autres groupes (des extra-terrestres régnants?). L'histoire montre
que la "Confrérie du Serpent", malgré les efforts jusqu'à nos jours de beaucoup
d'hommes dévoués et loyaux voulant instituer une véritable réforme spirituelle
à l'aide de la fraternité devint avec ses nouveaux maîtres, (les Illuminati
aujourd'hui ?) une arme redoutable d'oppression spirituelle et de TRAHISON
spirituelle pour TOUS.

Les tablettes sumériennes témoignent de l'existence, et de l'action sans aucun


doute réelle de la "Confrérie du Serpent" et soutiennent donc la thèse d'une
conjuration qui aurait débuté longtemps avant que n'existent les Juifs et les
francs-maçons à qui on fait, aujourd'hui, volontiers porter la faute. Il est alors
facile de comprendre pourquoi le Vatican empêche par tous les moyens non
seulement la publication des inscriptions des dalles de pierre de l'île de Pâques
qui relatent la genèse de l'homme ou celle des rouleaux de papyrus de Qumran
(de la mer Morte). Ces dalles et ces manuscrits de la mer Morte apporteraient
la preuve que la Bible actuelle a été falsifiée dans des points essentiels pour
satisfaire les intérêts égoistes de quelques puissants personnages.

ANNUNAKIS ET LES NEFELIMS

Pour paraphraser Zecharia Sitchin, nombre de savants n'ont en fait aucune idée
de l'identité des sumérienss (la civilisation qui précéda les Babyloniens), de leur
origine et surtout du comment et du pourquoi de la naissance et de l'éclosion

35
de cette civilisation qui s'est installée à peu de choses près là où se trouve l'Irak
actuelle. Celle-ci apparut soudainement comme surgie de nulle part vers 3800
ans avant JC. Plusieurs éminents archéologues tels H. Frankfort, Pierre Amiet,
Leo Oppenhein etc sont tous frappés de stupeur et d'admiration face à cette
explosion soudaine, “ extraordinaire ”, “ époustouflante ”, “ cette période
incroyablement courte pendant laquelle une civilisation a surgi ”, une
civilisation qui donnera naissance à toutes les grandes civilisations du monde,
selon Joseph Campbell auteur des “Masks of God”. Personne donc n'explique
pourquoi une civilisation aussi sophistiquée, dotée d'une véritable organisation
sociale s'adonnant au commerce, à la guerre et aux jeux du pouvoir ait surgit
d'un seul coup au milieu d'une région habitée par des nomades primitifs vivant
de chasse et de cueillette, une civilisation, qui, nous le répétons, constitue la
racine sur laquelle la nôtre s'est déployée.

La réponse est devant nos yeux ou plutôt devant les yeux des archéologues et
linguistes qui ont examiné les dizaines de milliers de textes sumériens gravés
sur des plaquettes d'argile qui nous sont parvenues depuis la fin du 19 e siècle.
Les sumériens le disent eux-mêmes dans leurs plaquettes : sans ceux qu'ils
nomment les dieux, il n'y aurait pas eu de civilisation, pas d'architecture, pas de
lois, pas de commerce, pas de science. Dans le panthéon des nombreux “dieux”
sumériens (il y en a 12 principaux aidés par une kyrielle de «dieux» serviteurs,
officiers, scientifiques, bâtisseurs, etc. : les fameux Anunnakis).

An ou Anou et son épouse Antou qui résidaient dans une demeure céleste.
Anou est le patriarche d'une famille de dieux très remuante, le chef suprême
des cieux et de la terre et qui arbitre tous les litiges, donne les sanctions ou
récompense selon son bon vouloir. Ce qui est étrange, c'est que pour recevoir
et accueillir Anou, les textes soulignent la nécessité de l'édification d'une
demeure, d'un temple (suivant des instructions architecturales très précises) et
de tout un protocole d'accueil. Étrange pour une créature divine qui devrait
normalement avoir la capacité d'apparaître n'importe où et n'importe quand. Il
n'en est rien pour les dieux sumériens qui constituent plutôt une famille, un
clan aux lignées et à la hiérarchie complexe et nombreuse. Quant à l'édifice
appelée explicitement par les sumériens “ la maison qui sert à descendre des
cieux ”, il fait plutôt penser à un astroport, à un lieu abritant une technologie et
une procédure minutieuse qui permet aux dieux de se manifester.

36
Malheureusement, le texte décrivant par le détail comment Anou et son
épouse se manifestent et quels rituels suivis de repas de fêtes doivent être
observés ont été détruits, du moins dans la partie la plus intéressante, celle
concernant l'arrivée proprement dite d'Anou sur dans son palais terrestre.

Aux côtés d'Anou, une autre figure fondamentale du panthéon sumérien : son
fils Enlil dont le nom signifie selon Sitchin, “ le seigneur de l'espace aérien ” qui
s'avère être le seigneur du ciel et de la terre. Selon la croyance, Enlil arriva sur
terre bien avant qu'elle ne fut colonisée et que ne s'y développe une
civilisation. Un texte appelé “L'hymne à Enlil, le bienfaiteur de tout” relate tous
les aspects de la civilisation qui ont existé “ grâce aux instructions d'Enlil ”.
Donc, ces dieux, plus particulièrement Enlil, ont laissé en un temps reculé des
instructions précises pour toutes choses, des sortes de modes d'emploi afin “
qu'on exécute partout ses ordres ”. “ Nulle ville ne serait construite, nulle
colonie ne serait fondée; nulle étable ne serait construite, nul parc à moutons
dressé; nul Roi ne serait élevé, nul grand prêtre né ”. En d'autres termes, sans
ces “dieux” interventionnistes, colonialistes et matérialistes, la civilisation
humaine n'aurait pas connu une naissance à partir de rien ainsi que cette
brutale accélération. Ce “berger” des hommes autre surnom d'Enlil ressemble
en tout point à un éleveur propriétaire d'un cheptel…”humain” aux qualités
surhumaines. Ne fut-ce qu'en ce qui concerne la longévité puisqu'il était là
avant le temps des hommes et qu'il a présidé à l'édification de leurs villes en
ayant pris soin de construire au préalable sa propre cité, Nippour. Enlil serait
selon certains savants un personnage à la fois bon et colérique puisqu'il
n'hésitait pas à abattre son ire sur les hommes et à les rayer de la carte si ceux-
ci lui déplaisaient. Il serait le dieu créateur du fameux déluge biblique.

Enlil avait un frère aîné, Enki qui, à cause d'un tirage au sort qui lui fut
défavorable, raconte les chroniques sumériennes, reçut en guise de territoire
les mers et les eaux alors qu'en théorie, étant le premier de la lignée, il aurait
dû recevoir en gestion le beau morceau du territoire, les terres. Il en conçut
une grande jalousie à l'encontre de son frère Enlil ainsi qu'un caractère
farouche et rebelle par rapport à Anou, aux autres dieux et à la hiérarchie et
donc plus proche des hommes. Selon certains chercheurs, c'est Enki (ou encore
Ea, qui signifie maison-eau) qui voulut sauver l'être humain qu'il avait créé et
qu'il considérait comme son favori, le fameux Noé mésopotamien. Ingénieur,

37
architecte, Enki est celui qui a initié les hommes à l'élevage et aux techniques
de construction moderne (les briques). Enki avait une compagne qui n'était
autre que sa demi-sœur, Nihoursag appelée également Ninti (dame de la vie ou
dame de la côte) ou Mammu, un nom qui est on ne peut plus explicite. Elle est
considérée comme une médecin, infirmière, “ sage femme chef responsable
des installations médicales ” (voir la 12 ième planète de Z.Sitchin aux éditions
Louise Courteau).

C'est grâce aux instructions et à la “recette” que possédait Enki que Nihoursag
créa le premier homme “Adapa” ou “homme modèle” dans lequel certains
savants voient le fameux Adama ou Adam biblique. Sa compagne fut conçue
par Nihoursag, comme dans la Bible à partir de la côte d'Adapa. Tous ces récits
sumériens foisonnent de guerres colossales entre “dieux” qui s'affrontent à
l'aide d'engins volants et d'armes crachant des éclairs et du feu, des flèches
semblables à des missiles symbolisés par un pictogramme on ne peut plus clair.
Les hommes, les Rois et les cités n'existent que par la bonne volonté de ces
dieux et sont soumis aux aléas de leurs guerres fratricides et querelles de
succession. Ces récits épiques et les 12 “dieux” du panthéon sumérien se
retrouvent non seulement dans les Védas, ces textes religieux d'Inde mais aussi
dans la Bible. Seuls, les noms et certains détails mineurs changent.

La critique principale qui est faite à Sitchin est d'avoir un parti pris dans la
traduction de certains termes, surtout lorsqu'il s'agit d'un exemple parmi
d'autres- de traduire des termes comme “Mou” par “machine volante” alors
que d'autres chercheurs plus académiques traduisent ce terme par le mot
“nom”. Le problème est qu'à bien des égards, la traduction académique
réalisée par les chercheurs plus “classiques” que Sitchin ne veut pas dire grand
chose (ex: le dieu Zou s'enfuyait dans son “Mou”, soit dans son “nom” ou, selon
la traduction de Sitchin, dans “sa machine volante”). A certaines reprises donc,
Sitchin opta pour des traductions qui installaient un contexte particulier aux
récits sumériens, celui d'une civilisation de l'espace, de dieux pareills à des
astronautes dotés d'une technologie incroyable, des as du génie génétique
alors que les traducteurs plus classiques établissent avec les chroniques
sumériennes, des interprétations symboliques, hermétiques et un peu obscures
de ces récits, traduisant sans doute, à l'instar de la mythologie grecque, les
liens des hommes avec les forces de la nature et du cosmos. L'existence de

38
nombreux termes en langage sumérien pour désigner un même genre d'objet
nous renseigne sur leur culture: ainsi, pour désigner des astronefs, on trouve
en sumérien les termes “mou” (ou chambre céleste qui désigne la capsule
d'habitation conique qui coiffe le Gir, la partie centrale de la fusée), le terme
“Apin"; qui désigne la partie multi étages de la fusée, le terme Shem qui
désigne également un engin volant, le terme Zik qui désigne le module de
commande avec des combinaisons comme Din.Gir qui signifient littéralement
“les justes objets célestes pointus et brillants” ou encore les “pures fusées
embrasées”.

Mais nombre de traducteurs “classiques” et de théologiens ennuyés par


certains passages se sont contentés de donner des traductions plus
allégoriques et souvent bien plus confuses à ces termes qui, jusqu'il y a peu
(avant la conquête spatiale) nous étaient vraiment étrangers. Comme nous
l'avons mentionné, ils avaient traduit terme “Mou” par le vocable “nom” et
lorsqu'un texte sumérien évoquait par exemple le besoin qu'un Dieu avait
d'aller dans les cieux avec un “mou”, les traducteurs classiques puisait dans la
phrase le genre de signification suivante: “emmener son nom dans les cieux”
ou encore “vouloir que son nom retentisse dans les cieux ou devienne célèbre”.
Alors qu'il suffisait d'aller au plus simple et d'accepter de voir dans le terme
“Mou”, un véhicule. A vous de choisir la version qui vous séduit le plus. Le fait
est que les traductions de Sitchin donnent à ces récits épiques une cohérence
incroyable. Et l'on comprend mal alors -si ces chroniques étaient purement
symboliques ou allégoriques- pourquoi les sumériens se sont échinés à donner
une foule de détails matériels et techniques (des coordonnées célestes, des
équations, des descriptions d'engins et surtout une carte tout à fait exacte de
notre système solaire), ce qui ne cadre pas vraiment avec des textes poétiques,
métaphoriques et mystiques. D'autant que les textes sont clairs à propos des
pouvoirs des dieux: ceux-ci sont certes contenus dans des armes et des
véhicules mais surtout dans “des formules” contenues dans un artefact très
concret, “la table des destinées” qui fait à la fois penser dans sa formulation et
son usage dans les textes à une banque de données, un ordinateur et un
arsenal stratégique.

C'est par cette “table des destinées” contenant de centaines de “formules”


relatives à “la royauté”, à la «fonction des prêtres», aux armes, aux procédures

39
légales, à «l'état du scribe», au travail du bois et même à la «prostitution
sacrée» et aux instruments de musique que le Dieu détient ses pouvoirs. Il n'est
donc pas né avec ceux-ci. Il les détient par le jeu de l'hérédité, au plus près le
“dieu” est proche dans la généalogie du “patriarche” et chef de clan Annu, aux
plus étendus sont ces pouvoirs et ses territoires. Chaque dieu a une valeur
numérique, un peu comme des points de vie dans un jeu de rôle. Quant aux
souverains sumériens, du moins pour certains d'entre eux, il s'agit d'hybrides
nés de l'union d'un Dieu (ou d'une déesse) et d'un être humain. Ainsi en serait-
il du célèbre Gilgamesh (2900 av JC), né d'un père humain et de la déesse
Inanna ou Ishtar, arrière petite-fille d'Anou.

Ces “dieux” ou êtres des cieux qui dirigeaient la destinée des sumériens ne se
déplaçaient pas uniquement dans des fusées mais également dans des
vaisseaux ailés ressemblant à des aigles et qui ne pouvaient être accueillis que
dans un bâtiment spécial doté d'un système d'armements très puissants. Les
descriptions de ces lieux sont saisissantes. Plus saisissantes encore sont les
gravures et les sculptures souvent très anciennes qui montrent des objets
technologiques, des représentations de ces dieux volants et des scènes
déconcertantes, comme par exemple une sculpture de “déesse“ équipée
d'écouteurs, de lunettes de vol et d'une série d'équipements très mystérieux et
de boites harnachés autour de son corps par des sangles. De même, sur
certaines gravures, on voit clairement le plan de coupe d'un silo abritant une
fusée à étages dont on peut voir l'intérieur par transparence. Certains thèmes
de ces récits sumériens se retrouvent dans la Bible et Sitchin ne peut
s'empêcher de faire le parallèle entre ces êtres “volants” de chair et de sang
que sont les innombrables “dieux” sumériens avec les Néfilims de la Bible, un
terme qui avait par le passé été abusivement traduit par le vocable “géant”.
Des traducteurs plus contemporains ont conservé l'appellation Néfilims que
l'on peut traduire par “ ceux qui furent jetés ici bas sur terre ”.

Pour les conspirationnistes comme David Icke, Stewart Swerdlow, Jim Marss ou
Fritz Springmeier, ces rois sumériens hybrides, pères fondateurs des lignées de
la fraternité babylonienne sont surtout les vrais descendants de ce qu'ils
nomment la noblesse noire, la “black nobility”, cette noblesse indo-
européenne qui s'est installée par la suite en Europe sous les traits de la
noblesse mérovingienne. Cette noblesse sumérienne serait donc les ancêtres

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des castes aristocratiques qui gouvernent aujourd'hui l'Europe (famille royale
britannique mais également les familles belges, hollandaises, etc. de souche
allemande ou bavaroise). Ces dieux Anunnaki n'ont pas vraiment quitté la terre
mais manipuleraient encore les destinées humaines par le biais des 13 lignées
sanguines «Illuminati» (nom d'une société secrète née en Bavière au 18 e
siècle) qui plongent toutes leurs racines dans les dieux et Rois sumériens.

De nombreux auteurs, généalogistes et chercheurs ont rédigé des ouvrages


parfois bien documentés au contenu plus que troublant qui démontrent cette
filiation et la constitution des sociétés secrètes, sectes religieuses, empires
industriels et mouvements politiques autour de ces mouvances occultes. A
noter aussi que Zacharia Sitchin, l'auteur de ces livres faisant des dieux
sumériens, une race extraterrestre créatrice de civilisations, que Sitchin donc
est considéré par certains de ces conspirationnistes, plus particulièrement
David Icke et Arizona Wilder, comme un membre de cette fraternité occulte, un
représentant des Illuminati et que par conséquent, son interprétation
comporterait quelques éléments de désinformation.

Mais attention, la thèse très bien étayée développée par Sitchin n'est pas
restée une vision marginale de l'histoire de l'humanité : un nombre croissant et
non négligeable de chercheurs spécialisés dans l'époque sumérienne ,
d‘historiens et d'archéologues, convaincus que les travaux de Sitchin étaient
valides et que les récits sumériens extrêmement précis racontent des faits réels
se sont mis à poursuivre et à approfondir ces recherches : des gens comme
Alan F. Alford, R.A Boulay, Neil Freer, Dr Arthur David Horn, le Dr Joe Lewels,
C.L Turnage, Lloyd Pye, Sir Laurence Gardner, et William Bramley estiment eux
aussi que les textes sumériens dans lesquels les récits bibliques et védiques ont
puisé leur inspiration narrent les expéditions d'une race extraterrestre,
d'anciens astronautes sur terre avant le déluge (des extraterrestres que l'on a
pris pour des dieux, un peu comme les papous dans le culte du Cargo). Nous
sommes issus des expériences génétiques de ces visiteurs qui avaient besoin
d'une main d'œuvre corvéable et servile pour travailler dans les mines d'or et
autres industries de matières premières. Les récits sumériens sont sans
ambiguïté à cet égard. Les chercheurs cités plus haut qui ont eu parfois des
postes universitaires de renom ont fini par divorcer de l'establishment
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scientifique. Le Dr Arthur David Horn a démissionné de son poste de professeur
en biologie anthropologique de la Colorado State University en 1990 après qu'il
eût conclu que les explications conventionnelles sur les origines de l'homme
n'étaient qu'un ramassis de «non sens» et que des extraterrestres sont
inextricablement mêlés dans l'origine et le développement des humains...

CONCLUSION

A l'endroit exact mentionné par les tablettes cunéiformes où nous aurions miné
de l'or, des archéologues ont trouvé des mines d'or ! Plusieurs d'entre elles
sont vieilles d'environ 100.000 ans. On y a retrouvé des ossements sur place
correspondant à des primates pré-sapiens et même des restes humains d'il y a
20.000 ans. Aucun anthropologue, aucun paléontologiste ne peut justifier notre
présence en ses lieux : l'or, en ce temps-là ne nous était d'aucune utilité car
trop mou. Les fouilles n'ont d'ailleurs pas permis de retrouver beaucoup
d'ustensiles en or. Pourquoi ces mines et où est l'or?

Des études comparatives de l'ADN ont permis d'affirmer que l'humanité avait
pris naissance justement dans cette région du monde, cette vallée où pour les
Sumériens nous aurions prospecter de l'or (la femme à l'origine de notre
humanité vivait en ces lieux il y a 150000 à 250 000 ans et les généticiens
responsables de ces études l'appelèrent Eve).

Dans le langage courant sumérien, un être humain à une acception de


servitude : un bon être humain est un homme qui sert bien son maître, son
supérieur hiérarchique, et qui le craint. L'étymologie du mot "humain" est
antérieure au latin humanus et provient de human (d'origine britannique). L'un
des premiers dieux britanniques (d'origine sumérienne) s'appelait Hu. Il choisit
parmi les hommes certains qui le servirent et qui devinrent les hommes de Hu,

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les humen, les humains. D'ailleurs, en français comme en latin, on pourrait tout
aussi bien dire les "mains de Hu".

Les tablettes sumériennes témoignent de l'existence, et de l'action sans aucun


doute réelle de la "Confrérie du Serpent" et soutiennent donc la thèse d'une
conjuration qui aurait débuté longtemps avant que n'existent les Juifs et les
francs-maçons à qui on fait, aujourd'hui, volontiers porter la faute. Il est alors
facile de comprendre pourquoi le Vatican empêche par tous les moyens non
seulement la publication des inscriptions des dalles de pierre de l'île de Pâques
qui relatent la genèse de l'homme ou celle des rouleaux de papyrus de Qumran
(de la mer Morte). Ces dalles et ces manuscrits de la mer Morte apporteraient
la preuve que la Bible actuelle a été falsifiée dans des points essentiels pour
satisfaire les intérêts égoistes de quelques puissants personnages.

L'histoire montre que la "Confrérie du Serpent" malgré les efforts jusqu'à nos
jours de beaucoup d'hommes dévoués et loyaux voulant instituer une véritable
réforme spirituelle à l'aide de la fraternité devint avec ses nouveaux maîtres,
les Illuminati ? Si cela ést la vérité, c'est une arme redoutable d'oppression
spirituelle et de trahison spirituelle.

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