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Chapitre 4 : Le contrôle de flux

La Logique booléenne

Le type « bool » présenté dans le chapitre précédent peut prendre l’une des deux valeurs suivantes :
« true » ou « false »

Ce type est souvent utilisé pour récupérer le résultat d’une opération, ainsi on peut agir sur ce résultat.

Le type bool est utilisé pour stocker le résultat d’une comparaison.

Par exemple, disons que nous voulons exécuter un code basé sur une variable qui doit être inférieur à
10.

Pour resoudre cela, on doit utiliser une déclaration dans laquelle on doit vérifier si la variable est
inférieur à 10 ou pas, on utilise donc « true » ou « false », on fait donc une comparaison booléenne.

Une comparaison booléenne requiert des opérateurs de comparaison ou opérateurs relationnels.

Dans les différents exemples du tableau ci-dessus, var1 doit être de type booléen tandis que var2 et
var3 de types différent.

Exemple :

Dans l’exemple ci-dessus, isLessThan10 reçoit la valeur « true » si myVal < 10 ou « false » si c’est le
contraire.

Autre exemple :
D’autres opérateurs booléens sont censés ne fonctionner qu’avec des valeurs booléennes.

Exemple :
La déclaration IF

Les déclarations IF n’ont pas de résultats (vous ne pouvez pas les utiliser pour des assignations), au
contraire on utilise IF pour exécuter d’autres déclarations en utilisant des conditions.

L’utilisation simple de IF est la suivante, où <test> est évalué, le reste des déclarations est exécuté si
<test> renvoie « true »

Après l’exécution de ce code, ou s’il n’est pas exécuté car <test> a renvoyé « false », le programme
d’exécution exécute la ligne qui suit.

On peut aussi spécifier d’autres codes en utilisant la déclaration « else » en combinaison avec IF. Cette
déclaration est exécuté si <test> renvoie « False ».
Exemple :

La déclaration Switch

La déclaration « switch » est similaire à la déclaration « IF » en ce sens qu’elle exécute le code en


fonction de la valeur renvoyée par le <test>. Cependant, elle permet de tester plusieurs valeurs plutôt
qu’une.

La structure basique est la suivante :


Exemple :
Les boucles

Une boucle fait référence à l’exécution répétée de déclarations ou conditions.

Comme un exemple simple, considérons l’exemple ci-dessous qui calcule le solde d’un compte
bancaire au bout de 10 ans, en présumant que chaque année un intérêt est payé et qu’aucun montant
n’est retiré.

On voit ici que l’écriture de ce code est très contraignante, on peut alors utiliser une boucle pour
automatiser les choses.

La boucle Do While

Elle opère comme suit : le code qui est écrit hors de la boucle est exécuté, un test booléen est exécuté,
le code à l’intérieur de la boucle est exécuté si le test renvoie « true » et ainsi de suite. Si le test
renvoie « false », on sort de la boucle.

Par exemple on peut exécuter le code ci-dessous pour afficher les nombres 1 à 10 sur une colonne.
Exemple :

La boucle WHILE

Elle est très similaire à la boucle Do While, mais il y’a une différence très importante : le test booléen
est exécuté au début de la boucle pas à la fin. Si le résultat du test est « false », la boucle n’est jamais
exécutée. Au contraire, le programme d’exécution passe immédiatement au code qui suit la boucle.
Syntaxe :

On peut l’utiliser dans la plupart des codes comme les boucles Do While

Exemple :

La boucle « FOR »

Ce type de boucle exécute un bloc un nombre de fois et maintient son propre compteur.

Pour définir une boucle « FOR » on a besoin des informations suivantes :


 Une valeur de début pour initialiser le compteur de la variable
 Une condition pour continuer la boucle, impliquant le compteur de la variable
 Une opération à exécuter sur le compteur de la variable à la fin de chaque cycle de la boucle.

Syntaxe :

Exemple :

La variable i est initialisée à 1, elle est testée puis affichée ensuite incrémentée et ainsi de suite.

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