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Projet de Fin D'étude-1
Projet de Fin D'étude-1
Année Universitaire :
2020 /2021
Remerciement
I.3Partie géologique…………………………………………………………………………..7
I.3.1.Géologie régionale……………………………………………………………………....7
I.3.2.Structure du gisement…………………………………………………………………..9
I.3.3. Tectonique……………………………………………………………………………..10
I.3.4. Minéralisation………………………………………………………………………….10
I.3.5. Hydrogéologie de la région…………………………………………………………...10
I.4.Extraction des matières primaires……………………………………………………...11
I.4.1. Etudes techniques……………………………………………………………………..11
Chapitre II : Processus de fabrication
II.1. Façonnage du marbre………………………………………………………………….14
Chapitre III :
III.5.Filtre-presse………………………………………………………………..…………..21
IV.1.introduction…………………………………...………………………………………..22
IV.2.Etat sécurité………………………………………………………………...…………..22
IV.2.1.Evaluation…………………………………………………………………...………..22
IV.2.4.4. Circulation…………………………………………………………...…………….23
IV.2.5.1. Mesures de lutte contre les risques liés à l'installation de traitement des
matériaux…………………………………………………………………………………….23
IV 2.5.2. Mesures de protection contre les dangers liés à la circulation des engins de la
carrière et autres véhicules……………………………………………………….…………23
IV.3.1.Introduction …………………………………………………..……………………..25
IV.3.2.2.Enjeux ……………………………………………………………..……………….25
IV.3.3.Impacts environnementaux………………………………………..………………..25
IV.3.4.Plan d’action………………………………………………..……………………….26
Conclusion……………………………………………………………………………………27
Référence Bibliographie…………………………………………………………………….28
Introduction
Le terme « marbre » serait d'abord une appellation traditionnelle dérivée du grec màrmaros, qui
signifie "pierre resplendissante", (ensuite du latin màrmor) et indiquait n'importe quelle pierre
« lustrable », c'est-à-dire dont la surface pouvait être illustrée au moyen de polissage.
Dans ce sens, l'appellation n'a pas de définition géologique précise et ne se réfère qu'à la
capacité d'une roche à être polie et refléter la lumière.
Pour les scientifiques, un marbre est une roche métamorphique dérivant d'un calcaire ou d'une
dolomie sédimentaire ayant été transformée généralement par métamorphisme régional ou par
métamorphisme de contact. Dans ce processus de transformation de la roche originale, les
structures sédimentaires sont effacées et la roche carbonatée recristallisée en un amas de
cristaux de calcite et/ou de dolomie engrenés de dimensions millimétriques à centimétriques.
Les intercalations argileuses, les minéraux détritiques ou les oxydes de minéraux présents dans
le carbonate originel donnent alors au marbre diverses colorations du plus grand effet
esthétique. L’onyx est un marbre translucide constitué de carbonate ou sulfate de chaux
s'accumulant par circulation des solutions à travers les couches encaissantes en empruntant des
fractures. [1]
I.1. Gisements de marbre en Algérie
L'industrie du marbre en Algérie est une activité traditionnelle qui remonte à l'époque romaine,
limité jusqu'aux années 1970 à un travail d'artisanat, elle connaît à partir de cette époque, à la
faveur des plans nationaux de développement, une relance dans l'exploitation des gisements
notamment à l'Est et à l'Ouest, ces gisemenst sont classés selon le type de marbre.
Onyx Mahouna(Guelma).
Introduction
La calcite est l’un des minéraux les plus connus, et les plus largement distribués à la surface
de la terre. Elle est le constituant principal des roches carbonatées, ainsi le minéral le plus étudié
et recherché historiquement et pendant longtemps. Dans la région de MAHOUNA et FILFILA,
la recherche de la calcite a été imposée par la nécessité de connaitre le volume, et les
caractéristiques qualitatives de la roche, et le besoin de son utilisation comme pierre
ornementale.
Après l'extraction des roches de marbre, ces dernières sont transférées à l'usine pour subir une
série de processus afin d'obtenir un produit commercialisé
Les pierres destinées à l'usine proviennent non seulement de la carrière de MAHOUNA mais
aussi de la carrière de FILFILA de Skikda.
En 1970, Une révision cartographique a été effectuée par M.AFIA, qui a réalisé des
levées géologiques à l’échelle 1/2.000 et 1/500 dans les zones BOUNNAR et El-
KALAA mettant en évidence les filons de calcites. M.AFIA a apporté des
renseignements précieux concernant la tectonique des zones et la genèse des calcaires,
ainsi que des descriptions détaillées sur les calcites en l’accompagnant par certaines
données relatives aux caractéristiques et mécaniques.[4]
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
Guelma se situe au cœur d'une grande région agricole à 290 m d'altitude, entourée de
montagnes (Mahouna, Dbegh, Houara) ce qui lui donne le nom de ville assiette, sa région
bénéficie d'une grande fertilité grâce notamment à la Seybouse et d’un grand barrage qui
assure un vaste périmètre d'irrigation.
60 km de la merMéditerranée .
150 km de la frontièretunisienne.
Elle occupe aussi une position géographique stratégique, en sa qualité de carrefour dans la
région nord-est de l’Algérie dont dépendent cinq chefs-lieux de wilaya et reliant le littoral
des wilayas d’ Annaba, ElTarf et Skikda, aux régions intérieures telles que les wilayas
de Constantine, OumElBouagui et SoukAhras. [5]
I.2.2.Localisation géographique
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
Gisement Mahouna
daïra Guelma
wilaya Guelma
Conditions climatiques
Le climat de la région est subhumide, chaud en été, et très froid en hiver avec des chutes de
neige. L’organisation des saisons n’est pas homogène car elle dépend du régime pluviométrique
est thermique. Cependant on distingue deux saisons qui se répartissent généralement comme
suit :
Une saison chaude qui s’étend de Juin à Octobre.
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
Lors des dernières années la région a connu une sécheresse exceptionnelle ceci est dû au
changement climatique et son impact sur des événements météorologiques extrêmes.[7]
L’unité de la société Granu-Est, est spécialisée dans l’industrie de la pierre depuis sa phase
initiale d’extraction jusqu’à la phase finale de transformation et de traitement. L’unité de
transformation est située à Rue Djebalah Khemissi BP 94 Boumahra Ahmed.
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
La région étudiée est située sur le versant Nord du Massif la MAHOUNA, vers le contact du
bassin de Guelma, à la transition entre les basses vallées du Tell, et la région des hautes plaines.
D’après la carte géologique à l’échelle 1/50000, exécutée par M.DARESTE de Chavannes, les
dépôts géologique de cette région appartienne à l’Eocène supérieur, au Miocène, au Pontien, au
Pliocène supérieur, et au Quaternaire.
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
C/ Pontien
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
ont dissouts partiellement les calcaires donnant des solutions de Ca(CO 3H)2 qui ont précipité
comme l’aragonite. L’âge des fractures est post-pliocène probablement.[9]
La formation des filons de calcite est passée par les étapes suivantes :
1) Formation de la fracture et l’engagement des eaux chaudes.
2) Dissolution graduelle du calcaire et la formation de la solution de Ca(CO 3H)2.
3) Dégagement partiel de la solution carbonatée avec formation du travertin.
4) Déposition par degrés d’aragonite, commence du bord au centre du filon.
5) A cause de son instabilité en présence des solvants de l’éocène, l’aragonite passe par degrés
en calcite.
I.3.3. Tectonique
Les formations Eocène sont intensément plissées étant disposées ensemble, sous forme d’un
large synclinorium orienté SO-NE, qui s’appuie avec son flanc sur la crête anticlinale de Debar,
tandis que l’autre flanc s’appuie sur le massif anticlinal Ouled Dhan. Ce large synclinorium a
été esquissé pendant les mouvements Lutétien (paroxysme) étant fini plus tard dans les
mouvements ultérieurs. Dans la zone de BOU ENNAR des importantes fractures post-
pliocènes, ont favorisé l’engagement des eaux chaudes qui ont permis la formation des
remarquables veines d’aragonite qui a été graduellement transformée en calcite.
I.3.4. Minéralisation
Les analyses minéralogiques qui ont été réalisées, en vue d’étudier la répartition des
constituants majeurs dans le corps minéralisé. Les résultats ont montrés que le minerai est
constitué de 99% de calcite, c’est pour cela, nous avons désigné la dénomination de calcite pour
le marbre de gisement BOU ENNAR, la présence du quartz et les oxydes de fer sont très réduits,
ainsi que les composants sulfureux sont dans des proportions négligeables(0.05%).
La composition minéralogique d’après M. NITULESCO :
Calcite…………………98% -99%.
Quartz…………………0.5%.
Oxydes de fer………1%-2 %.
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
Le régime hydrogéologique est conditionné par la constitution lithologique aussi bien que par
le régime des précipitations. La présence des alternances de roches perméables a permis
certaines accumulations aquifères dans cette région. On peut rencontrer telles accumulations à
la base des grés quartzeux Eocène supérieur, au contact des argiles avec les intercalations
minces de Grés.[10]
Foration de la roche
Elle consiste à perforer la masse à l’aide d’un marteau perforateur pour pouvoir entamer les
opérations de sciage.
Figure.6:Foration de la roche
Figure.7:Débitage de masse
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Chapitre I : La Présentation de L’unité
Les masses devront être abattues sur un matelas de terrains stériles de façon à bien amortir la
chute pour éviter la création de nouvelles fissures.
La présence de moellons, (pierre de petites dimensions) dans un matelas à terre végétale, est à
proscrire.
Figure.8:Abattage de masse
Sciage secondaire
C’est la phase finale du processus, il s’effectue par des équipements appropriés pour le
tranchage et la finition des blocs (Débiteuse BETA 840).[11]
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Chapitre II : Processus de fabrication
Après l'abattage des masses de marbre, ces dernières vont subir un débitage en blocs par le fil
diamanté.
Dans les deux techniques d’exploitations utilisées (sciage et havage), les masses abattues
devront avoir les dimensions minimales suivantes :
Longueur : 7 m,
Hauteur : 6 m,
Largeur : 1.8 m,
3
Volume optimal brut : 75.6 m .
La pierre est transportée de la carrière sous forme de bloc cubique vers l’usine de façonnage.
Pour la manutention des blocs, on utilise les grues mobiles. En général les grues sont installées
sur le niveau supérieur du gisement alors que les grues mobiles sont appliquées dans les gradins
inferieures.
Le transport des blocs standards, à partir de la carrière vers l’usine, est assuré par des camions-
plateaux ou semi-remorque. Le camion dépend principalement du gabarit des blocs, le nombre
de camions utilisés dans une carrière dépend de la durée d'un trajet et de la production de la
carrière en blocs.
Cette usine située à 6 km de Guelma dans les localités de BOUMAHRA Ahmed avec une
surface totale de 1.2HA. Elle est conçue pour la transformation des blocs de marbre transférés
de la carrière MAHOUNE en produits finis.
Au niveau de l’usine il y a différents ateliers, les blocs de marbre sont chargés sur le chariot
porte blocs, à l’aide d’un portique.
Grace au portique d’une capacité de 25 tonnes, les blocs de marbre sont soulever et acheminer
vers l’intérieur du hangar.
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Chapitre II : Processus de fabrication
Les tailles blocs sont les premières machines de la chaîne de traitement du marbre, elles sont
conçues pour traiter d’énormes blocs de marbre.
Elles sont constituées de deux disques de coupe l’un verticale et l’autre horizontale, relié à des
moteurs.
Refendeuse
Elle dispose d’une série des disques horizontaux successives permettent de divisé les unités de
marbre en deux parties identiques.
Figure.14:Refendeuse.
Calibreuse et polisseuse
Elle est utilisée pour régulariser la surface des pièces pour obtenir un ensemble uniforme,
suivied’une polisseuse qui est utilisée pour la finition du marbre afin de lui donner son aspect
final.
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Chapitre II : Processus de fabrication
Figure.15:Calibreuse et polisseuse.
Modulaire
À la fin de la chaine, un modulaire équipé d’un disque vertical permettant d’obtenir des pièces
plus petites sous forme des carreaux de marbre de dimensions variables.
Figure.16:Modulaire
Tableau.2: La réception de blocs,surface traitéeet le temps de traitement en fonction des
postes de travail
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Chapitre II : Processus de fabrication
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Chapitre III : La circulation d’eau
L’eau est un élément essentiel dans cette industrie, utilisé pour le refroidissement des
Machines qui subisse un énorme frottement due au contact des disques de coupe avec la
Pierre. L’eau est utilisée aussi pour éviter la solidification de la boue du marbre. Donc la
quantité requise pour subvenir au besoin de l’unité est énorme par conséquent il est pratique
le suivant :
L’eau nécessaire au travail est stockée dans l’unité pour diverses opérations. Cette eau est
obtenue grâce à une pompe située dans un oued près de l’unité appelée oued Seybouse.
Après les travaux de transformation de marbre les eaux usées contenant de la poussière de
marbre sont transportées à travers un réseau de voies d’eau à l’intérieur de l’unité
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Chapitre III : La circulation d’eau
Dans ce puit, l’eau est collectée dans toutes les stations de l’unité de traitement et mélangée
avec floculant.
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Chapitre III : La circulation d’eau
Dans cette citerne le floculant qui va accélérer le processus d’accumulation de la boue au fond
de la citerne. Ainsi l’eau propre va rester en haut et s’écoulera vers le bassin principal à l’aide
des tuyaux, Une opération est chargée de récupérer le reste d’eau boueuse vers une station
d’épuration qui débouche sur le bassin initial.
III.5.Filtre-presse :
Le liquide est extrait d'une chambre revêtue d'une toile filtrante par injection de la matière
sous pression. En pratique, on distingue deux types de pressage :
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Chapitre III : La circulation d’eau
Un filtre presse fait typiquement passer une boue contenant 10 % de matière sèche à une
galette (poudre humide pressée) comportant environ 50 % de matière sèche, à raison d'un
débit de 10 à 50 m3/h par unité de traitement. La pression appliquée au pressage est de
quelques dizaines de bars. Une réduction de la teneur en liquide permet :
Figure.22 : Filtre-presse
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Chapitre III : La circulation d’eau
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CHAPITRE IV : Sécurité et protection de l’environnement
IV.1.introduction
Comme toutes les activités humaines. L’exploitation d'une carrière ne se fait pas sans effets
sur les points de la surveillance pour éviter que les effets de l'exploitation qui ne se
transforment en nuisances, pour les riverains ou pour l'environnement en général.
IV.2.Etat sécurité
IV.2.1.Evaluation
L'évaluation des incidences sur l'environnement est précieuse pour définir les sources
principales de problèmes éventuels et cibler en conséquence les moyens qui amélioreront le
plus efficacement la situation. Ces moyens de prévention ou de réduction des nuisances sont à
préconiser au cas par cas, en fonction du type d'exploitation et de la sensibilité du milieu où la
carrière développé ses activités.
IV.2.2. Les problèmes potentiels
Les risques induits par les activités sont liés à:
L'emploi et la circulation des engins qui sont affectés à l'exploitation. et les camions évacuant,
hors de la carrière les matériaux produits Les risques inhérents sont l'écrasement des piétons
et des véhicules, le roulement d'un véhicule.....
Risque de chute des personnes et la présence de matériels en mouvement (bande
transporteuse, concasseurs)
La présence de stock (risque d'ensevelissement)
La présence d'hydrocarbures dans les réservoirs des engins et les cuves du stockage
L'alimentation en énergie électrique source éventuelle d'incendies ou d'électrocution
L'émission de poussières et sonores
Risques liés au fil diamanté. [15]
IV.2.3. Sécurité du personnel durant l'exploitation
Toute l'installation sera placée sous la responsabilité et la direction d'un surveillant para au
courant du fonctionnement des appareils et machines
Le personnel occupe sera toujours convenablement initié à sa besogne. Il est interdit des tiers
d'accéder a l'exploitation Des écriteaux rédigés en ce sens sont à afficher bien lisiblement.
[15]
IV.2.4. Sécurité des différents équipements et engins de travail
IV.2.4.1. Concasseur et cribleur
Dans le cas d'utilisation de concasseur, cribleur et machines similaires, ceux-ci seront munis
de dispositifs de sécurité, empêchant qu'un ouvrier ne puisse y tomber pendant que
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CHAPITRE IV : Sécurité et protection de l’environnement
l'installation est en service Les concasseurs, cribleurs doivent être pourvus aux endroits
appropries de dispositifs permettant des arrêts en cas de danger. [15]
IV.2.4.2. Transporteurs à bande
Les transporteurs à bande doivent être construits et installés des manières qu'il n'y ait pas de
points dangereux entre les organes mobiles et les éléments ou les objets fixés Lorsque
plusieurs transporteurs travaillant en série, les dispositifs de commande doivent être montés
de manière qu'un transporteur ne puisse alimenter le transporteur suivant lorsque celui-ci est à
l'arrêt. [15]
IV.2.4.3. Engins de chantiers
Le chargement des camions doit se faire de manière qu'il ne puisse provoquer d'accident en
dépassant le véhicule, en se déplaçant ou en tombant Des personnes non autorisées ne doivent
pas être transportées sur les engins de chantier ou se tenir dans la caisse des camions lors des
opérations de chargement. [15]
IV.2.4.4. Circulation
Toutes les zones du chantier ou doivent se rendre des véhicules routiers doivent être
desservies par des voies de circulation appropriées La vitesse des camions doit être adaptée
aux conditions de circulation Les chemins de service poussiéreux doivent être arrosés afin
d'assurer une bonne visibilité aux conducteurs d'engins et de camions. [15]
IV.2.5. Mesures de sécurité
IV.2.5.1. Mesures de lutte contre les risques liés à l'installation de traitement des
matériaux
Il faut que la station de concassage soit pourvue des éléments de sécurité de base à savoir :
Matériaux antidérapants, des rambardes de sécurité, un capotage des courroies et la protection
de toute pièce en mouvement par des rambardes ou capots. L'ensemble de ces équipements de
sécurité seront périodiquement vérifie. [15]
IV.2.5.2. Mesures de protection contre les dangers liés à la circulation des engins de la
carrière et autres véhicules
Les engins sont munis de systèmes sonores de recul, afin de prévenir leurs manoeuvres La
priorité absolue est donnée aux engins * La vitesse est limitée à 20 km/h ܀Lors du
chargement d'un camion. le conducteur devrait rester dans sa cabine pour ne pas risquer de se
faire écraser. [15]
IV.2.5.3. Mesures nécessaires pour l'exploitation de la carrière
•La carrière doit être exploitée conformément aux règles de l'art minier
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CHAPITRE IV : Sécurité et protection de l’environnement
•Toutes les carrières à ciel ouvert occupant régulièrement plus de trois ouvriers seront placées,
selon l'importance des travaux, sous la surveillance et la responsabilité de chefs d'exploitation,
surveillance. [15]
IV.2.5.4. Mesures de protection contre les risques électriques
Il porte sur les caractéristiques des installations électriques, leur utilisation, leur surveillance,
les règles relatives aux travaux effectués sur des installations électriques, les mesures à
prendre en cas d'incident ou d'accident
Le personnel travaillant sur les installations électriques devrait être qualifie pour effectue cette
tache [15]
IV.2.5.5. Mesures de protection contre les risques de rupture de fil diamante
Toutes les machines à fil diamante doivent être munies d'une cage de protection durant leur
fonctionnement Le conducteur de la machine a fil diamanté doit prévenir du danger toute
personne qui traverse la zone de sciage
Protection des machines: des dispositifs de sécurité doivent être installée au niveau des
organes pouvant provoquer des projections (courroie). [15]
IV.2.5.6. Mesures de lutte contre les poussières
Tous les appareils engendrant des poussières devraient être suivis rigoureusement des mesures
de réduction des émissions de poussières sont prises sur le site
•L'acheminement par bande transporteuse des produits fini
•L'arrosage des postes Les travailleurs disposeront d'une protection personnelle de type
masque anti poussière. [15]
IV.2.6. Prévention
une augmentation rapide du nombre des accidents industriels majeurs et des catastrophes
telles que les chutes des personnes chutes d'objets et les glissades et les électrocutions
occasionnant des impacts et des effets graves sur les personnes, les biens.
Pour réduire ces risques, des mesures de sécurité de prévention (visant la réduction de la
probabilité d'occurrence de l'accident) et/ou de protection (visant la réduction de la gravite des
conséquences), doivent être mises en place.
Pour cela, une démarche d'analyse cohérente des risques qui consiste à identifier les
événements indésirables, les scenarios d'accident, les zones à risques est nécessaire pour une
bonne maitrise de ces derniers
IV.3. Etat environnemental
IV.3.1.Introduction
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CHAPITRE IV : Sécurité et protection de l’environnement
Comme toutes les études pour la réalisation d'un projet. L’étude environnementale joue un
rôle très important car la protection de l'environnement est obligatoire.
IV.3.2.Maîtrise des indicateurs environnementaux
IV.3.2.1. L'opération de lavage
L'opération de lavage sous pression des dalles nécessite de grandes quantités d'eau qui se
chargent fortement de particules de marbre. Ces eaux résiduaires nécessitent une prise en
charge selon les règles environnementales et lois en vigueurs.
IV.3.2.2.Enjeux
Un diagnostic environnemental en entreprise. est une nécessite d'ou l'importance d'une action
environnementale. Il en ressort que l'enjeu stratégique de l'entreprise est de pouvoir conjuguer
pérennité et compétitivité avec protection de l'environnement. Pour maintenir de bons
indicateurs environnementaux il faut mettre en place les procédures internes pour une
meilleure conformité légale.
IV.3.3.Impacts environnementaux
L tableau suivant représentent les différents impacts environnementaux
V.3.4.Plan d’action
Le tableau suivant représente un exemple de plan d’action
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CHAPITRE IV : Sécurité et protection de l’environnement
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Conclusion
[1]https://fr.wikipedia.org/wiki/Marbre
[2]http://www.enamarbre.dz/presentation.html
[3]https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_marbre
[5]https://fr.wikipedia.org/wiki/Guelma#Localisation
[8]http://djerrab-geologie-guelma.e-monsite.com/pages/geologie-de-guelma/geologie-
regionale.html#page3.
[11]https://www.pierres-info.fr/extraction_a_ciel_ouvert/index.html.
[12]https://svt.acversailles.fr/IMG/archives/docpeda/banques/Limay/docs/ana_chim.htm.
[14]https://fr.wikipedia.org/wiki/Filtre-presse.
[16] BET YAHIYOUCHE Abdeljalil, Etude des danger, environnement et mines cité Essalem
120 logts BT D Entrée N0 110 EL KHROUB-Constantine