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OUTILS ET TECHNIQUES DE

REGENERATION DE L’ARGANIER

Elaboré par : ACHOUR Ahme d

Octobre 2010
SOMMAIRE

Introduction……………………………………………………………………………..……..3
1. Problématique de l'arganeraie………………………………………………….……………4
1.1. Agriculture intensive……………………………………………………………..………..4
1.2. Conditions climatiques ……………………………………………………………………4
1.3. Erosion…………………………………………………………………………………….4
1.4. Ressources en eau…………………………………………………………………………5
1.5. Urbanisation galopante …………………………………………………………………..5
1.6. Opposition au reboisement………………………………………………………………..5
2. Outils et techniques de régénération de l’arganier………………………………………….6
2.1. Régénération naturelle par semis…………………………………………………….…....6
2.2. Régénération par coupe à blanc étoc…………………………………………………..…..6
2.3. Régénération artificielle : plantation…………………………………………………..…..6
2.3.1. Historique………………………………………………………………………………10
2.3.2. Etapes de la plantation de l’arganier (choix du terrain….)…………………………….11
2.3.2.1. Choix du terrain……………………………………………………………………...11
2.3.2.2. Elevage des plants et sélection en pépinière ……………………………………..…11
2.3.2.3. Techniques de Plantation…………………………………………………………….11
2.3.2.4. Entretiens…………………………………………………………………………….12
Conclusion et recommandations……………………………………………………………...13

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Introduction

L’Arganeraie dans le sud-ouest marocain constitue en plus de sa considération en tant que


patrimoine naturel un espace singulier et original dans ses dimensions éco-géographiques et
socio-économiques. En effet l’Arganeraie se distingue des autres formations forestières
classiques par le large éventail d’utilisation et d’exploitation qu’il offre soit en tant qu’arbre
agro-sylvo-pastoral soit en tant qu’espace. Elle constitue la base d’une économie rurale au
profit des populations riveraines. Le système d’exploitation de l’Arganeraie quoique variant
d’une zone à l’autre en nature ou en intensité est basé essentiellement sur :

- La cueillette des fruits pour l’extraction de l’huile d’argan et l’utilisation des sous
produits : le tourteau et la pulpe en tant qu’aliments de b étail et la coque en tant que
combustible.
- L’exploitation du bois mort et des branchages pour les services et l’énergie.
- L’exploitation du feuillage et du sous-bois en tant que ressource fourragère.
- La mise en culture sous arganier.
- L’extraction des matériaux de construction : sable, graviers et pierres.
En effet, l’Arganeraie s’est maintenue en équilibre relatif quant elle a été soumise à un
système d’exploitation sylvo-pastoral pratiqué par une population restreinte et un cheptel
réduit. L’introduction de la céréaliculture dans la zone quoique hasardeuse n’avait pas rompu
cet équilibre puisqu’elle a été maintenue au niveau vivrier et elle exigeait des surfaces
réduites et se pratiquait avec un outillage agricole traditionnel peu agressif.
La relation de subsistance qui lie la population riveraine à l’Arganeraie à travers ce large
spectre d’utilisation a amené le législateur à doter cet espace d’une législation spéciale (dahir
du 4 mars 1925) qui, en assurant la notion de domanialité de la forêt, reconnaît les droits des
usufruitiers tels que cités plus haut. Néanmoins, ces droits d'usage tellement étendus se sont
répercutés par une surexploitation de toutes les composantes de cet écosystème (sol, arbre,
fruit) via le dépassement des capacités productives de ces forêts par les populations usagères
et également par les nomades.

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1. Problé matique de l'argane raie

En dépit de son importance écologique et socioéconomique, l’avenir de la forêt d’arganier


reste incertain suite à la conjugaison des impacts négatifs de plusieurs facteurs.

1.1. Agriculture intensive

La dégradation de l’Arganeraie s’est déclenchée par l’intensification de l’agriculture moderne


caractérisée par une demande de plus en plus accrue en terres et un défrichement des
peuplements d’arganier plus intense tout particulièrement dans la plaine du Souss.
En effet, lors des dernières vingt années, la mise en valeur a gricole du Souss s’est effectuée
par l’introduction des cultures modernes à très hautes rentes notamment le maraîchage,
conduites par des techniques de production sous serres très dévoratrices d’espaces réguliers.
Cette mise en valeur s’est effectuée au détriment de l’arganier et continue à le faire eu égard
aux valeurs vénales et locatives des terrains agricoles dans la zone et surtout elle s’effectue
par des opérateurs qui n’avaient aucun lien organique et historique avec l’arganier.

1.2. Conditions climatiques

Les fluctuations dans les conditions climatiques que connaît la région tout particulièrement les
cycles de sécheresse de plus en plus répétés conjugués au ramassage massif des noix et au
surpâturage accentué par le passage de grands troupeaux de camelins font que l’arganier n’a
plus de chance de se régénérer naturellement par semis, ce qui rend plus alarmante et
impérative la préoccupation. En effet, Les conditions climatiques qui règnent au niveau de
l’arganeraie se caractérisent par une aridité très marquée avec une pluviométrie moyenne
allant parfois jusqu’à moins de 100 mm/an et des fluctuations inter et intra annuelles
importantes. Ce climat n’offre pas ainsi à la zone de grandes potentialités productives et
présente ainsi des limitations pour les actions forestières à caractère biologique.

1.3. Erosion

En outre, l’érosion hydrique se manifeste avec un rythme très inquiétant vu la nature


accidentée des terres, la faiblesse de la couverture végétale, la rudesse des conditions
climatiques et surtout la mauvaise répartition des précipitations qui se concentrent en forme

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d’orages. Les menaces engendrées se répercutent négativement sur la durabilité des barrages
en aval, la fertilité des terrains agricoles et les autres infrastructures (routes…). Par ailleurs,
au niveau des zones a pentes faibles (Plaines de Souss, de Chtouka et Tiznit) c’est le fléau
d’ensablement, actif dans ces régions, qui menace la pérennité des ressources naturelles. En
effet, les sables envahissent les terrains de culture ou de parcours, les habitations et même les
infrastructures routières.

1.4. Ressources en eau

La limitation des ressources en eau entrave sérieusement le développement de toute la région.


Ainsi, la rareté des pluies dans la zone se répercute négativeme nt sur les ressources en eau de
surface. L’approvisionnement en cette ressource, pour satisfaire les besoins croissants de
l’agriculture intensive, se fait en grande partie à partir de la nappe phréatique dont
l’abaissement progressif s’observe d’une année à l’autre.

1.5. Urbanisation galopante

Les pressions d’acquisition ou d’occupation des terrains forestiers pour la satisfaction des
besoins des projets d’investissement et d’extension des centres ruraux et urbains s’accentuent
au fil des années. A ce titre et à l’exception de la zone littorale du nord d’Agadir pour laquelle
un plan d’aménagement a été établi, il reste très difficile de maîtriser les besoins futurs en
terrains forestiers pour différentes fins dans le reste de l’arganeraie en l’absence d es plans de
développement des centres ruraux.

1.6. Opposition au reboisement

Les interventions visant le développement du secteur forestier dans la région et en particulier


l’arganeraie sont souvent perturbées par l’opposition des populations locales pour diverses
raisons dont principalement la limitation des superficies forestières ouvertes au parcours.
Donc, la faisabilité sociale n’est pas toujours garantie et de ce fait la réussite d’une
intervention forestière donnée n’est pas assurée sans la conce rtation et l’adhésion des
populations locales.

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2. Outils et techniques de régénération de l’arganier

L’état actuel de l’arganeraie et sa régression continue interpelle tous les acteurs dans le
domaine de conservation des ressources naturelles à faire preuve de vigilance et d’œuvrer
ensemble dans l’objectif principal de conserver et de restaurer cette forêt si particulière. La
régénération de l'Arganier peut se faire par semis, rejets de souche ou par plantation.

2.1. Régénération naturelle par semis

La régénération naturelle par semis, voie normale pouvant assurer la sauvegarde de


l’arganeraie, est exceptionnelle et rare dans la plupart des peuplements en raison des
conditions délicates de la germination de la graine incluse dans une coque dure, la récolte
systématique des fruits par les usagers et le surpâturage.

Ce mode de régénération naturelle ne s’observe que dans des situations privilégiées ; bords
d’Oueds ou de Seguia, touffes de végétation (Tizrha , jujubier,…) et aussi dans les mises en
défens.

2.2. Régénération par coupe à blanc étoc

Ce mode de régénération reste actuellement, le plus répandu pour rajeunir les peuplements
d’arganier. En effet, l’arganier, après une coupe à blanc étoc, manifeste une faculté importante
de rejeter de souches jusqu’à un âge très avancé (150 à 200 ans) et probablement beaucoup
plus. Mais cette possibilité de rejeter de souche diminue avec l’âge des arbres Ce mode de
régénération ne peut, donc, pas être considéré comme un moyen sûr pour la conservation de
l’espèce à long terme.

2.3. Régénération artificielle : plantation

Vu l’état actuel des peuplements d’arganier, ce mode de régénération reste le plus approprié
selon les gestionnaires des espaces forestiers étant donné le nombre réduit de contraintes qu’il
présente. Néanmoins, la régénération de l’arganier par plantation se heurte à diverses

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difficultés d’ordre technique et économique. Si en pépinière les plants paraissent se
développer convenablement, il est constaté que c’est après la transplantation que le taux
d’échec est élevé. Ainsi, l’amélioration des techniques de production des plants et de conduite
des plantations, qui se fait au fur et à mesure des programmes de régénération, suite aux
résultats de recherches et de capitalisation de l’expérience, s’avère nécessaire.

2.3.1. Historique

Le seul mode de régénération des peuplements d’arganier qui est d’usage avant l’année 1999
est la coupe à blanc étoc (régénération végétative). Une telle pratique a donné des résultats
satisfaisants dans certains cas mais présente des inconvénients dont le risque de vieillissement
des souches et la possibilité de perdre tout le peuplement coupé si la mise en défens n’est pas
respectée.
De ce fait, pour conserver cette espèce singulière et endémique, le défi de réussir la
régénération artificielle par plantation est à relever et doit rester la préoccupation majeure des
forestiers et de tous les acteurs dans le domaine (autorité locale, élus, ONG et institutions de
recherche) qui devront œuvrer en parfaite collaboration avec afin de léguer cette richesse au
générations futures.
Ainsi, des essais limités de plantation d’arganier ont été effectués depuis les années quarante.
D’autres tentatives sont réalisées pendant les années soixante (Périmètre d’Ouled Bourbia à
Ouled Taima sur 70 ha) et au cours des années quatre-vingt (Périmètre d’Amezzou à Ouled
Taima sur 50 ha). L’échec total ou le faible taux de réussite obtenu a justifié l’arrêt de ces
tentatives.
Depuis 1999, l’administration des eaux et forêts a décidé de redonner à l’arganier la place
qu’il mérite et de reprendre les travaux de régénération artificielle de cette espèce vu ses
caractéristiques écologiques et sociales extraordinaires (arbre à usage multiple). Ainsi, à partir
de cette date, des programmes de régénératio n artificielle de l’arganier ont été lancés dans
toutes les unités de gestion forestières présentant des formations organisées par cette espèce.
L’étude des projets et programmes décennaux de développement forestiers élaboré en 2004,
qui est l’outil principal de planification à l’échelle régionale, a consolidé cette tendance et a
mis le paquet sur la régénération des espèces autochtones notamment l’arganier en prévoyant
la régénération de grandes étendues de forêts d’arganier annuellement sur une période de 9
ans.

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Cependant, le premier constat montre que les taux de réussite obtenus diffèrent d’un périmètre
à un autre et sont généralement en deçà des attentes. L’analyse des résultats obtenus se fait au
fur et à mesure afin de tirer des enseignements utiles à la poursuite de ces programmes
ambitieux de régénération de l’arganeraie. Le tableau suivant illustre l’ampleur des
programmes réalisés durant la période 2000-2008 au niveau des unités de gestion forestière
dans la région de Souss Massa :

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Evolution des superficies plantées en arganie r de puis 2000 dans le Souss Massa

Unité de
2000/2001 2001/2002 2002/2003 2003/2004 2004/2005 2005/2006 20006/2007 2007/2008
gestion
Agadir 53 30 50 50 100 125 89,75 350
Taroudant 60 50 250 325 186,2 697
Tiznit 30 50 40 30 50 270 235,06 400
Chtouka Ait
100 100 264,5 153,68 350
Baha
Total 83 80 150 230 500 984,5 664,69 (*) 1797(**)

(*) Dont 164,69 sont plantés dans le cadre du partenariat avec le projet Arganier ;
La superficie prévue est de 1130 ha (100 ha a connu une opposition) et l'insuffisance des pluies a provoqué le report de la p lantation de 530 ha
(**) dont 157 ha plantés dan le cadre du partenariat (100 ha avec les Autoroutes du Maroc, 40 ha avec la Direction des Domaines Agricoles et 17
ha avec le projet Arganier

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2.3.2. Etapes de la plantation de l’arganier

Ces étapes vont du choix du terrain à régénérer à la mise en terre des plants et leur ent retien.

2.3.2.1. Choix du terrain

Le choix du terrain à planter est une étape essentielle à ne pas négliger dans toute opération de
reboisement. En effet, la réussite de la plantation est tributaire du choix des zones favorables.
Les éléments clés dont il faut tenir compte sont la nature du sol et la topographie du
périmètre.

2.3.2.2. Elevage des plants et sélection en pépinière

Les fruits d’arganier sont collectés en dessous des arganiers bien venants et subissent des pré-
traitements afin de lever leur dormance : les fruits (les noix) sont dépulpés puis trempés dans
des bassins d’eau pendant 2 à 4 jours. Après élimination des noix parasitées ou de très faibles
dimensions, elles sont étalées dans une chambre de pré-germination à la pénombre et à la
température ambiante pendant environ une semaine. Enfin les graines pré germées sont
placées à 2-3 cm de profondeur dans des sachets en polyéthylène ou dans les portoirs
alvéolés, remplis d’un substrat constitué de proportions bien déterminées de terre végétale
argileuse, de sable et de fumier bien décomposé ou de tourbe. Les jeunes plantules reçoivent
régulièrement des quantités d’eau suffisantes à leur développement normal moyennant un
arrosage continu. Les plants séjournent environ cinq à six mois en pépinière où ils sont
désherbés régulièrement. Durant ces 6 premiers mois, il est important que la racine pivotante
ne soit pas abîmée. Les dates de semis et de plantation doivent être étalées dans le temps si
l’on veut éviter de transporter sur le chantier des plants déséquilibrés (avec une partie
racinaire trop développée par rapport à la partie aérienne). Au moment du chargement vers le
lieu de plantation, les plants en mauvaise santé, malingres ou trop grands (avec un
enracinement en chignon) doivent être éliminés.

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2.3.2.3. Techniques de plantation

a/ Ouverture des trous de plantation

Les trous à ouvrir doivent avoir comme dimensions minimales 0,6 x 0,6 x 0,6 m (L x l x
profondeur). Sur les terrains pentus, les trous sont disposés en quinconce afin de capter le
maximum d’eau des pluies (généralement rares et intenses). Quand le recours au gradin ou
élément de fossé est justifié, la dimension de l’ouvrage ne doit pas dépasser 0,8m x (0,5 m) 2
La terre de surface et celle du fond sont séparées en deux tas distincts.

b/ Rebouchage des trous et confection d’impluviums

Cette opération consiste à faire glisser dans les trous en premier lieu la terre issue des
horizons de surface, complétée par un grattage de la terre de surface à l’amont du trou ; les
plus grosses pierres sont éliminées. Le remplissage des trous est effectué à 80% de leur
profondeur afin de permettre une bonne accumulation de l’eau des pluies reçues. Sur les
terrains en pente, les trous comporteront un impluvium en forme de croissant placé à l’aval
autour du trou et ayant un rayon de 1,5 m de diamètre et un bourrelet de 0,20 à 0,30 m de
hauteur. Sur les terrains plats, l’impluvium a une forme circulaire avec des bourrelets de 20 à
30 cm de hauteur.

c/ Transport de plants et plantation

En pépinière, la sélection des plants sans avenir est importante pour assure la réussite des
plantations. L’arrosage avant l’enlèvement des plants en pépinière, leur mise en caisse (s’il
s’agit de plants en sachets), leur chargement sur les camions et leur déchargement à pied
d’œuvre au niveau du périmètre à planter doivent être effectués avec beaucoup de soins. Ces
consignes et ces précautions spéciales sont nécessaires pour ne pas abîmer le système
racinaire. La durée de conservation des plants en jauge, abritée du soleil et du vent, sur les
chantiers de plantation ne dépasse pas 24 à 48 heures. La distribution des plants et leur mise
en terre doivent être réalisées avec précaution. Si malgré ces précautions, certains sachets ou

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portoirs alvéolés ont perdu une partie de leur substrat, ces plants sont à éliminer. Les jeunes
arganiers doivent être plantés au centre des trous préparés précédemment. Pour les plants
élevés en portoirs, leur extraction doit être effectuée d’une façon minutieuse. Le sol est tassé
autour du plant, sans excès, afin de ne pas abîmer les racines. Le niveau du collet est situé
légèrement sous la surface inférieure de l’impluvium.

2.3.2.4. Entretiens : Arrosage des plants

Un apport en eau d’au moins 30 litres par plant est à apporter le jour de la plantation. Cette
opération semble avoir été négligée auparavant et serait partiellement la cause des échecs
enregistrés. D’autres arrosages de même quantité seront prodigués chaque fois que le besoin
se fait sentir. La croissance des plantations dépend beaucoup de la fréquence des arrosages.

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Conclusion et recommandations

Après cette revue sur les outils et les techniques de régénération de l’arganier, il est fort
intéressant de retenir que le choix du site, la qualité des plants (origine des graines et équilibre
parie aérienne et système racinaire), la préparation du sol (assurant la rétention du maximum
d’eau autour du plant) et les apports en eau (arrosages) sont des paramètres à contrôler pour
maximiser les chances de réussite des plantations d’arganier.
Ainsi et en vue de capitaliser l’expérience acquise, quelques recommandations ont été
formulées, à savoir :
 Nécessité d’adapter les techniques de plantation de l’arganier en fonction des conditions
éco géographiques.
 Dans tout programme de reboisement, il est intéressant de tenir compte de la diversité
génétique des semences à utiliser.
 Les techniques de reboisement d’arganier doivent prendre en considération l’ensemble
des paramètres favorables à la bonne croissance des plants (sites, techniques de
production des plants, préparation du terrain, irrigation etc..).
 Nécessité urgente de collaboration pour un suivi scientifique à long terme des
programmes de régénération d’arganier entre les établissements de recherche et le Haut
Commissariat aux Eaux et Forêts et à la Lutte Contre la Désertification.
 Consolidation de l’approche participative et du partenariat pour généraliser la culture de
plantation d’arganier au niveau de tous les acteurs dans le domaine de gestion des
ressources naturelles.

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ANNEXES :

1. FICHE TECHNIQUE CONDUITE DES TRAVAUX DE REGENERATION DE L’ARGANIER

2. FICHE TECHNIQUE ELEVA GE DES PLANTS D’ARGANIER

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