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Rapport d’étonnement

Tout d’abord, il y a eu un grand changement pour moi entre le lycée et


l’IUT. J’ai pu observer ce changement dès la rentrée lorsque j’étais dans
l’amphithéâtre. La présentation de l’IUT a été très rapide. Mais ce qui m’a le
plus choqué, c’est que les cours ont commencé la même journée. Il n’y avait
pas de journée comme au lycée où l’on prend le temps de connaître notre
classe et où les cours commencent la semaine d’après.
J’ai été surpris aussi par les quizz que l’on doit faire régulièrement dans
quelques matières comme la comptabilité, langues etc. Je trouve que c’est une
bonne idée, car ça nous oblige à travailler régulièrement, contrairement au
lycée où les professeurs ne pouvaient pas vérifier si l’on révisait ou non.
Je trouve aussi que l’IUT n’est pas très bien situé. Il y a souvent des grèves,
suppressions de train sur le RER B et la plupart des bus qui desservent l’IUT
sont soit en retard soit il y a beaucoup d’embouteillages. Les professeurs ne
sont pas assez indulgents sur ce sujet et ça me surprend, car en choisissant
cette formation, nous voulons réussir notre BUT et arriver en retard, en tout
pour ma part n’est un choix. Je pense qu’il faudrait que les professeurs
adoptent un autre point de vue sur les retards.
La formation BUT GEA m’a surpris et me surprend encore. J’étais au courant
des matières que j’aurai en intégrant la formation, mais je ne pensais pas que
des matières s’arrêtaient en plein semestre et que certaines étaient
remplacées par d’autres matières.

En parlant des matières, il y a certaines matières qui me surprennent comme


Expression/communication ; outils d’apprentissage à l’aide à la réussite. Je ne
comprends pas forcément le rapport avec la formation et qu’elles soient
constituées comme des matières régulière. Au lycée, nous avions aussi ces
matières sous forme différente et elles étaient présentes sous forme
d’intervention. Cela pouvait aider certains élèves ayant des problèmes
d’organisation, des difficultés à s’exprimer à l’oral. À l’IUT, ces matières sont
obligatoires et constituent une notation dans le cadre de nos UE. Certes, cela
devrait être bénéfique pour moi, car j’ai des facilités, mais j’ai du mal à
comprendre la place de ces matières dans la formation.
En revanche, j’ai été agréablement surpris sur la façon dont les professeurs
parlent avec les élèves et l’on voit parfaitement que la formation est
professionnalisante même dans la partie « théorique de la formation ». Je fais
notamment référence au professeur de mathématiques qui utilise des
expressions « quand vous serez cadre » ; « il faut formaliser le problème pour
votre équipe » ; etc. Ou encore aux SAE qui nous apportent un premier contact
avec les entreprises. Je trouve d’ailleurs le concept des SAE très intéressantes,
car elles occupent une très grande place dans les UE et cela nous permet de se
rattraper si on rate les contrôles communs.

Pour ce qui est de la charge de travail et de l’organisation, je ne suis pas surpris,


car les études supérieures sont connues surtout en 1re année pour être très
dures. La charge de travail est plus conséquente qu’au lycée, c’est vrai, mais
n’est pas non plus trop importante. Au lycée, il pouvait arriver des jours où je
n’avais pas de devoirs, car j’ai pu m’avancer. À l’IUT, en tout cas dans la
formation GEA, j’ai tous les jours des devoirs à faire, et cela, même si je me suis
très en avance.

Enfin, je suis assez surpris par la bibliothèque de l’IUT, elle ferme à 18 h alors
que par exemple à la faculté de Jean Monet, la bibliothèque ferme à 22 h. Je
trouve que c’est dommage, car je reste souvent à la bibliothèque après mes
cours pour travailler et je me retrouve souvent contraint de partir à 18 h alors
que je n’ai pas fini mes devoirs.

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