Vous êtes sur la page 1sur 5

SelecDEPOL

Outil interactif de pré-sélection des techniques de


dépollution et des mesures constructives

N' im prim er cette pa ge qu e si n écessa ire et u tiliser si possible l' im pression recto-verso

Créer un vide sanitaire

Principe

La création d’un vide-sanitaire (partiel ou total, ce dernier assurant généralement une meilleure protection) à la base d’un bâtiment permet
de créer un volume d’air tampon dans lequel les polluants volatils provenant de la sub-surface vont pouvoir se diluer, diminuant d’autant les
polluants pénétrant à l’intérieur du bâtiment. Cette dilution ne peut évidemment avoir lieu qu’avec un vide-sanitaire suffisamment ventilé.

En prévoyant de surcroît un accès à ce volume, il sera possible d’ajouter ultérieurement (ou dès le stade de la construction du bâtiment)
d’autres mesures constructives dans ce vide-sanitaire (Système de Dépressurisation Sous Membrane (SDSM) ou Améliorer l'e cacité
d'un vide sanitaire), en cas de dégradation de la situation, d’abaissement des valeurs de références utilisées dans l’étude de risque
sanitaires pour les polluants concernés, ou si ce vide-sanitaire, ventilé naturellement, n’apportait finalement pas une protection suffisante.

Description

1. Généralités
Le vide sanitaire permet de créer un matelas d’air, ventilé ou non, entre le sol et le plancher bas du bâtiment. Il est constitué par le volume
compris entre la ceinture en murs maçonnés périphérique (ou soubassement), le plancher (la dalle en partie supérieure) et le sol.

Il est généralement ventilé pour :

De s r a iso ns d e sa lubr it é , en renouvelant l’air humidifié ;


R é d uir e le s co nd e nsa t io ns sur le s pa r o is fr o id e s ;
R é d uir e le s co nce nt r a t io ns e n ga z d u so l (ex : radon).

De nombreux types (ou plutôt con gurations) de vide sanitaire existent. Il peut être enterré, semi-enterré, aérien (hors sol) ; intégral (en
couvrant l’ensemble de la surface du bâtiment) ou partiel (sous une seule partie du bâtiment) ; d’un seul tenant ou compartimenté ;
comprendre des galeries ou non. Ces caractéristiques auront une in uence sur la ventilation du vide sanitaire et par conséquent, sur
l’efficacité du vide sanitaire en tant que mesure constructive.

Sa mise en place, réalisable uniquement dans le cas de nouveaux bâtiments, est notamment prévue dans la circulaire de février 2007si la
construction d’un établissement sensible sur un ancien site industriel pouvant notamment présenté une pollution volatile ne peut pas être
évitée.

Dans le domaine de la construction, le vide sanitaire est également envisagée dans les cas suivants :

Sols argileux, sujets aux mouvements de terrain (gonflements, dilatations, retraits), …


Terrains :
En pente (talus) avec des risques de déplacement de construction, pente > 4%,
Constitués de remblais,
En banquette avec risques de tassements différentiels,
En cuvette qui recevrait des eaux de ruissellement,
Hétérogènes avec là-aussi des risques de tassement différentiels,
Pour tenir compte de problèmes d’humidité ou liés aux nappes phréatiques et à l'inondabilité.

Un vide sanitaire est réputé accessible, s’il présente l'ensemble des caractéristiques suivantes (voir DTU 65.10) :

Accès de surface minimale de 0,60 m², la plus petite dimension étant au moins égale à 0,6 m,
Hauteur libre minimale. On distingue les deux cas suivants :
En maison individuelle, cette hauteur libre est de 0,60 m minimum,
En habitat collectif et autres bâtiments (tertiaire, hôpitaux, ...), la hauteur libre générale est de 0,60 m minimum ; elle est
de 1,30 m au droit des canalisations. Cette hauteur libre peut être ramenée à 1,0 m sous des saillies linéaires du gros
œuvre ne supportant pas des canalisations sous-jacentes.
hauteur libre maximale : 1,80 m (sinon cela devient une pièce habitable).

La trappe d’accès pourra être placée soit à l’intérieur (en général horizontalement dans une pièce de service), soit à l’extérieur
(horizontalement ou verticalement). Dans le cas d’une mesure constructive, la trappe sera dans la mesure du possible installée en extérieur,
a n de limiter les voies préférentielles. Si ce n’est pas envisageable, l’étanchéité de la trappe devra être étudiée et particulièrement
soignée.

Un vide sanitaire inaccessible aura, quant à lui, une hauteur de l’ordre de celle de deux blocs superposés hourdés au mortier, c’est-à-dire de
l’ordre de 0,40 à 0,45 m le plus souvent, avec une hauteur minimum de 0,20 m. Son intérêt reste limité, car aucune intervention n’est
possible en cas de problème dans le vide sanitaire (par exemple, en cas de fuite sur une canalisation d’eau).

Lors de la conception de mesures constructives associées à un projet d’aménagement, il est préférable de privilégier un vide sanitaire
accessible dès le stade de la conception, a n de pouvoir y accéder facilement et y installer éventuellement un Système de Dépressurisation
Sous Membrane (SDSM). Une hauteur de 0,6 m constituera donc un minimum, l’objectif étant de faciliter l’éventuel futur travail d’opérateurs
Actualisation en date du 07/10/2020 1/5
dans ce vide sanitaire. Préalablement à l’entrée dans le vide sanitaire (espace con né), toutes les mesures de sécurité doivent être prises
(vérification du taux d’oxygène, d’explosivité, de la présence de gaz, etc.).

Lors de la réalisation du vide sanitaire, le sol est généralement décapé et aplani en surface. Il doit également être exempt de tous dépôts ou
matières combustibles, susceptibles d’engendrer des moisissures ou d’être à l’origine d’émissions de composés volatils.

2. Normes de ventilation des vides sanitaires


Une ventilation, a minima naturelle, du volume du vide-sanitaire est nécessaire, y compris en dehors de toute problématique de sites et sols
pollués. Aucun texte réglementaire (sauf le DTU 61.1 spéci que à la présence d’un chauffage au gaz) ne semble exister dans ce domaine.
Ainsi, elle doit répondre à quatre exigences majeures, non seulement en fonction du type de « toit » du vide sanitaire et de l’humidité
apparente du sol qui le porte, mais aussi et surtout pour assurer sa pérennité et son rôle. Ces exigences dé nissent différentes sections de
ventilation, issues de méthodes de calcul dont les valeurs et les notions sont directement liées aux raisons qui les motivent.

L a co nd it io n d e d ura bilit é , l'hy giè ne e t la sa lubr it é . Pour cette première exigence, un vide sanitaire sera considéré
comme ventilé si la surface totale des bouches de ventilation est au moins égale à 0,05% de la surface du vide sanitaire (soit
5 cm²/m²) (exemple : pour 100 m², la surface de ventilation sera de 500 cm²).

L a co nd it io n t he r m iq ue . La lame d'air, que constitue le vide sanitaire, possède une résistance thermique au même titre
que les murs et les planchers constituant le vide-sanitaire. Le renouvellement de l'air du vide-sanitaire par de l'air provenant
de l'extérieur aura une in uence directe sur les déperditions thermiques engendrées par ce renouvellement. Ainsi, par
exemple, pour une lame d'air d'épaisseur 30 cm, la prise en compte de ces déperditions thermiques aboutit à considérer un
vide sanitaire comme fortement ventilé si la surface de ventilation est supérieure à 15 cm²/m². Il est faiblement ventilé si la
surface de ventilation est comprise entre 5 et 15 cm²/m². Pour des vide-sanitaires plus haut, des calculs complémentaires
sont nécessaires. Dans tous les cas, le recours à un thermicien est fortement recommandé pour s'assurer de l'adéquation
de la ventilation envisagée (pour gérer la problématique d'intrusion de vapeurs) avec les limites acceptables en termes de
déperditions énergétiques.

L'ut ilisa t io n d u ga z na t ur e l , comme source d'énergie principale ou secondaire du bâtiment pour le chauffage d’un
bâtiment ou l’alimentation d’une gazinière. Le passage de canalisations de transport de gaz dans un vide sanitaire est
réglementé par la norme NF DTU 61.1 Parties 2 et 3. Les exigences sont les mêmes que pour l’exigence de durabilité.

L a fo nct io n a nt i-ra d o n , pour les zones concernées (31 départements en France métropolitaine). Dans ce cas, un vide
sanitaire devra être ventilé par un ux d’air d’un débit compris entre 1,5 et 5 m 3/h et par m 2. Ainsi, pour un vide sanitaire de
100 m 2, le débit sera compris entre 150 et 500 m 3/h.

L’INERIS préconise par ailleurs dans son rapport de 2005 un taux de ventilation de 1,1 vol/h pour un vide sanitaire. Ce débit est un
minimum mais sera peut-être à augmenter en fonction du dégazage existant.

Il convient de noter que certains conduits verticaux existent et peuvent assurer un renouvellement d’air de 1 à 1,5 volumes par heure
(principe comparable au tirage naturel d’une cheminée). Leur e cacité augmente avec la hauteur de la ventilation haute. Dans tous les cas,
lors de la mise en place d’un vide sanitaire, il faut prendre garde à ne pas laisser de zone morte, non ventilée, notamment en cas de
cloisonnement. Néanmoins, la ventilation naturelle d’un vide-sanitaire par conduits verticaux reste encore rarement rencontrée dans la
pratique.

Compte tenu de ces éléments, dès lors que la mise en place d’un vide sanitaire est envisagée dans le cadre d’une problématique Sites et
Sols Pollués, il conviendra de se rapprocher, dès le stade de la conception, d’une société spécialisée (entreprise de travaux, architecte,
bureau d’étude ventilation ou/et thermique …) pour assurer le bon dimensionnement de l’ouvrage ainsi que la prise en compte de toutes les
contraintes : ventilation, volet thermique, accessibilité, …

Dans le cas d’un vide sanitaire enterré/semi-enterré, une ouverture périscopique sera nécessaire (voir ci-dessous).

Figure 1 - Principe d'une ouverture périscopique dans un vide sanitaire. Source : d’après JOHNSON R., 2001.

Dans le cas d’un vide sanitaire aérien, une ou plusieurs ouvertures latérales pourront être réalisées dans les murs (de part et d’autre du
bâtiment) afin de ventiler le sous-sol.

Actualisation en date du 07/10/2020 2/5


Figure 2 - Principe de ventilation d'un vide sanitaire "aérien". Source : d’après ACS Lining LTD.

Moyens matériels

Dans le cas d’un SDSM, la mise en place d’une membrane d’un seul tenant sera privilégiée a n de limiter les risques de faiblesses
d’étanchéité à l’interface de deux lès. A défaut, une attention particulière sera portée à l’étanchéité au niveau des jonctions entre les lés : un
recouvrement minimal de 15 à 20 cm est préconisé. Bien que la jonction de la membrane puisse être réalisée à l’aide d’un scotch double-
face adéquat après nettoyage des surfaces à coller, il est fortement recommandé que la jonction soit réalisée par soudure thermique, étant
donné qu’aucun contrôle ultérieur ne pourra être réalisé après réalisation de la dalle. Il faudra être vigilant vis à vis des préconisations du
fabricant a n de ne pas endommager la membrane lors de cette soudure et pratiquer un contrôle des soudures (ces opérations de pose,
soudure et contrôle sont réalisées par des entreprises spécialisées et disposant des agréments nécessaires).

Figure 3 - Recouvrement et fixation étanche de deux lès. Source : d’après Johnson, 2001.

Un contrôle qualité lors de l’installation est essentiel pour assurer une bonne étanchéité de l’installation. L’étanchéité des soudures peut
être véri ée par mise en pression du canal qui sépare les deux cordons de soudure (doubles soudures) et l’étanchéité globale en injectant
sous la membrane de la fumée ou un gaz traceur (par exemple un mélange d’Azote et d’Hélium) facilement détectable à l’aide d’appareil de
mesures spécifiques.

Contrôles préalables, résultats et conclusions

1. Échantillonnage et analyses chimiques


A n de déterminer si des mesures constructives doivent être mises en œuvre, des analyses de gaz de sol au droit (ou à proximité
immédiate) du bâtiment à construire doivent être réalisées. Les paramètres recherchés devront être adaptés aux polluants susceptibles
d’être présents dans les gaz de sols. En ce qui concerne les modalités de caractérisation des gaz de sol et de l’air intérieur, le lecteur est
invité à se reporter au guide BRGM/INERIS (2016) et à la norme NF ISO 18400-204 (juillet 2017).

Recommandations post-installation

Idéalement, un suivi de l’installation à distance est recommandé afin de limiter la gêne pour les occupants du bâtiment.

1. Dans le cas d’un vide sanitaire accessible et suffisamment ventilé :


Mise en place d'un bilan quadriennal intégrant :
Actualisation en date du 07/10/2020 3/5
C o nt r ô le d u fo nct io nne m e nt e t e nt r e t ie n d u sy st è m e d e ve nt ila t io n à faire par une société spécialisée selon les
préconisations du fabricant ou/et de l'installateur,
C o nt r ô le d e la q ua lit é d e l'a ir (vide-sanitaire, niveau sus-jacent et rejet) tous les 6 mois la première année, puis
possibilité d'adaptation de la fréquence en fonction de l'évolution des résultats (stabilité ou baisse).

2. Dans le cas de la mise en place d'une membrane d'étanchéité dans le vide sanitaire (revêtement,
membrane en spray, …) (système passif)
Mise en place d'un bilan quadriennal intégrant :

C o nt r ô le d e l'int é gr it é d e la gé o m e m br a ne à chaque visite ou inspection.


C o nt r ô le d e la q ua lit é d e l'a ir d a ns la pa r t ie infé r ie ur e d u bâ t im e nt (vide-sanitaire, niveau sus-jacent et rejet)
tous les 3 mois la première année, puis possibilité d'adaptation de la fréquence en fonction de l'évolution des résultats
(stabilité ou baisse).

3. Dans le cas de la mise en place d'une membrane d'étanchéité dans le vide sanitaire (revêtement,
membrane en spray, …) couplé à un extracteur (système actif)
Mise en place d'un bilan quadriennal intégrant :

C o nt r ô le d e l'int é gr it é d e la gé o m e m br a ne à chaque visite ou inspection (test de fumée par exemple),


C o nt r ô le d u fo nct io nne m e nt e t e nt r e t ie n d u sy st è m e d 'e x t ra ct io n (extracteur, relevé du temps de
fonctionnement, véri cation de la dépression sous-membrane et du débit total d'aspiration, rejet, ...) à faire par une société
spécialisée selon les préconisations du fabricant ou/et de l'installateur,
C o nt r ô le d e la q ua lit é d e l'a ir (vide-sanitaire, niveau sus-jacent et rejet) tous les 3 mois la première année, puis
possibilité d'adaptation de la fréquence en fonction de l'évolution des résultats (stabilité ou baisse).

Applicabilité

Aucune limitation en terme d’applicabilité ne semble exister a priori puisqu’il s’agit d’adapter le projet à la problématique rencontrée.

Dimensionnement

En fonction du dégazage mesuré ou estimé sur la base des résultats des analyses de gaz de sol réalisées, il conviendra de dimensionner la
ventilation du vide sanitaire a n de garantir une ventilation su sante, l’idéal (le plus sécuritaire) étant de parvenir à obtenir dans le vide
sanitaire un niveau de concentration inférieur à l’objectif recherché dans l’air intérieur. A défaut, il conviendra de démontrer que des
concentrations supérieures dans le vide-sanitaire permettront malgré tout d’atteindre les objectifs recherchés dans l’air intérieur du
bâtiment.

A titre informatif, il faut signaler qu’une modélisation informatique étudiant l’in uence de différentes hypothèses de construction d’un vide
sanitaire sur l’efficacité de sa ventilation a été réalisée par Partners In Technology (1997).

Les différentes hypothèses modélisées ont été les suivantes :

Création d’un volume vide, ne présentant pas d’obstacles à l’intérieur,


Présence de polystyrène sous le plancher de l’étage supérieur,
Mise en place d’une membrane de drainage constituée d’une double couche étanche de 40 mm d’épaisseur,
Remplissage du vide avec des matériaux granulaires drainants, avec ou sans réseau de drainage (tuyaux crépinés).

Facteurs limitants

Dans le cas de bâtiment à construire, peu de facteurs limitants sont identifiés puisque le projet pourra être adapté en conséquence.

Coûts

Récapitulatif des coûts pour la création d'un vide sanitaire.


Coût d’entretien
Coût d’installation Coût de Paramètres
(hors
Mesure (matériel et main d’œuvre, Source/ fonctionnement/ influençant
prélèvements et
constructive hors étude préalable et Date consommation principalement le
analyses
supervision) électrique coût
éventuels)

Actualisation en date du 07/10/2020 4/5


Mise en
l) /
place d’un 40 à 60 €/m² Aucune Aucun -
2013
vide sanitaire

Surface, vide
50 à 300 €/an (pour une maison
SDSM dans e) / sanitaire d'un seul
10 à 50 € HT/m² individuelle, dépend aussi de la
vide sanitaire 2007 tenant ou
puissance de l’extracteur)
compartimenté

Sources : e) ITRC 2007, l) retour d'expérience interne BRGM.

Remarque : Pour certaines techniques, le retour d'expérience est faible ou inexistant en France. Les tarifs en dollar généralement rencontrés aux
USA ont été convertis en euros (conversion $/€ datant du début de l'année 2014). Il est possible que les tarifs indiqués ne représentent pas
fidèlement les tarifs du marché français.

Références

1. Bibliographie
ACS Lining LTD
Sub-SLAB Ventilation of Methane CO2 & Hydrocarbons
http://www.acslining.co.uk/sub-slab_venting_soil_gas_ventilation.html
(consulté le 04/12/2019)

BRGM (Août 2014)


Guide relatif aux mesures constructives utilisables dans le domaine des SSP
Leprond H., Lion F., Colombano S. avec la collaboration de Windholtz J.(2014)
Rapport final BRGM/RP-63675-FR,172p., 26 fig., 19 tabl., 5 ann.
http://ssp-infoterre.brgm.fr/guide-relatif-aux-mesures-constructives
http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-63675-FR.pdf

BRGM - INERIS (2016)


Guide pratique pour la caractérisation des gaz du sol et de l’air intérieur en lien avec une pollution des sols et/ou des eaux souterraines
BRGM RP-65870-FR - Rapport INERIS-DRC-16-156183-01401A
http://ssp-infoterre.brgm.fr/guide-pratique-caracterisation-gaz-du-sol-et-air-interieur

DTU 65.10 (mai 1993)


Canalisations d'eau chaude ou froide sous pression et canalisations d'évacuation des eaux usées et des eaux pluviales à l'intérieur des
bâtiments - Règles générales de mise en oeuvre - Cahier des clauses techniques
Indice de classement : P52-305-1)
https://www.cjoint.com/13fe/CBrk5j9q0eF_nf_p52-305-1__dtu65-10__05-1993_.pdf

INERIS (2005)
Etude des modèles d'évaluation de l'exposition et des risques liés aux sols pollués Modélisation du transfert de vapeurs du sous-sol ou du
vide sanitaire vers l'air intérieur
N° INERIS DRC-05-57278-DESP/R03a
https://www.ineris.fr/sites/ineris.fr/files/contribution/Documents/etude__risques.pdf

ITRC (2007)
Vapor Intrusion Pathway: A Practical Guideline
Technical and Regulatory Guidance.VI-1
ITRC (Interstate Technology & Regulatory Council).
Washington, D.C.: Interstate Technology & Regulatory Council, Vapor Intrusion Team
https://www.itrcweb.org/Documents/VI-1.pdf

JOHNSON R. (2001)
Protective measures for housing on gas-contaminated land
ISBN 9781860814600 , 70 p.
IHS BRE Press

NF ISO 18400-204 (Juillet 2017)


Qualité du sol - Échantillonnage - Partie 204 : lignes directrices pour l'échantillonnage des gaz de sol
https://www.boutique.afnor.org/norme/pr-nf-iso-18400-204/qualite-du-sol-echantillonnage-partie-204-lignes-directrices-pour-l-
echantillonnage-des-gaz-du-sol-/article/842404/fa184952

Partners In Technology (1997)


Department of the Environment, Transport, and the Regions
Passive Venting of Soil Gases Beneath Buildings
Reserach Report - Guide for Design Volume 1
ARUP

US EPA (2008)
Enginnering Issue: Indoor Air Vapor Intrusion Mitigation Approaches
Science Applications International Corporation.
U.S. Environmental Protection Agency, Washington, DC, EPA/600/R-08/115, 2008.
https://cfpub.epa.gov/si/si_public_record_report.cfm?Lab=NRMRL&dirEntryId=191565

Actualisation en date du 07/10/2020 5/5

Vous aimerez peut-être aussi