Vous êtes sur la page 1sur 30

Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

MISE À JOUR - Lignes directrices 2022 de l'Association des urologues du Canada sur les symptômes des
voies urinaires inférieures chez l'homme/hyperplasie bénigne de la prostate (MLUTS/HBP)

Dean Elterman1 , Mélanie Aubé-Peterkin2 , Howard Evans3 , Hazem Elmansy4 , Malek


Meskawi5 , Kevin C.Zorn5 , Naeem Bhojani5
1Division d'urologie, Université de Toronto, Toronto, ON, Canadaÿ; 2Division d'urologie, McGill
Université, Montréal, QC, Canada; 3Division d'urologie, Université de l'Alberta, Edmonton, AB, Canadaÿ;
4Division d'urologie, École de médecine du Nord de l'Ontario, Thunder Bay, ON, Canadaÿ; 5Division de
Urologie, Université de Montréal, Montréal, QC, Canada

Citer comme suit : Elterman D, Aubé-Peterkin M, Evans H, et al. MISE À JOUR – Lignes directrices
2022 de l'Association des urologues du Canada sur les symptômes des voies urinaires inférieures chez
l'homme/l'hyperplasie bénigne de la prostate (MLUTS/HBP). Can Urol Assoc J 2022 11 avril ; Epub avant
impression. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.7906

Publié en ligne le 11 avril 2022

Auteur correspondantÿ: Dr Dean Elterman, Division d'urologie, Université de Toronto,


Toronto, ON, Canadaÿ; Dean.Elterman@uhn.ca

***

Introduction
Le document actuel résume les connaissances de pointe en ce qui concerne la prise en charge
des symptômes des voies urinaires inférieures chez l'homme (MLUTS) secondaires à l'hyperplasie
bénigne de la prostate (HBP) en mettant à jour les lignes directrices 2018 de l'Association des
1
Le l'HBP.
urologues du Canada (AUC) sur processus continue de mettre en évidence les diagnostics essentiels et
information thérapeutique dans un contexte canadien. Les informations contenues dans ce document
comprend celle examinée pour la ligne directrice de 2010 et d'autres informations obtenues à partir
d'une recherche MEDLINE mise à jour de la littérature en langue anglaise (les termes de recherche
comprenaient BPH, alpha-bloquants, inhibiteur de la 5-alpha-réductase, anti-cholinergique, bêta-3
agoniste, inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 (PDE5I), Résection transurétrale de la
prostate (TURP), monopolaire, bipolaire, prostatectomie simple ouverte, énucléation, lumière verte,
PVP, aquablation, rezum, urolift, iTiND), ainsi que l'examen des plus récentes American Urological
3
Association (AUA)2 et European Directives de l'association urologique (EAU).
Les références incluent celles d'importance historique, mais les recommandations de gestion sont
basées sur la littérature publiée entre 2000 et 2021. Lorsque les informations et les données sont
disponibles à partir de plusieurs sources, l'article le plus pertinent (généralement le plus récent) est cité.
sur la base de l'avis du comité.

1
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Ces lignes directrices s'adressent au patient masculin typique de plus de 50 ans,


présentant un LUTS et une hypertrophie bénigne de la prostate (BPE) et/ou une obstruction bénigne de la prostate
(BPO). Il est reconnu que les hommes atteints de LUTS associés à des causes autres que la BPO peuvent
nécessiter un bilan diagnostique plus approfondi et des considérations de traitement différentes. Nous reconnaissons
que tous les patients ne s'identifient pas comme des hommes. Ces lignes directrices devraient également s'appliquer
aux personnes non binaires, aux femmes trans et à tous les patients pouvant présenter des caractéristiques
anatomiques d'un tractus génito-urinaire cis-masculin comme la prostate. Notre intention est de rendre ces lignes
directrices inclusives pour toutes les personnes souffrant de symptômes des voies urinaires inférieures ou d'une
hypertrophie de la prostate.
Dans ce document, nous aborderons à la fois les problèmes de diagnostic et de traitement.
Les directives de diagnostic sont décrites dans les termes suivantsÿ: obligatoires, recommandées, facultatives ou non
recommandées. Les recommandations relatives aux lignes directrices diagnostiques et aux principes de traitement
ont été élaborées sur la base de principes cliniques (largement acceptés par les urologues canadiens) et/ou d'opinions
d'experts (consensus du comité et des examinateurs). Le grade de recommandation ne sera pas proposé pour les
recommandations diagnostiques. Les lignes directrices pour le traitement sont décrites à l'aide de l'approche GRADE
4

pour résumer les preuves et formuler des recommandations

1. Lignes directrices diagnostiques

Le comité a recommandé des révisions mineures en ce qui concerne les considérations diagnostiques, comme
indiqué dans les lignes directrices 2018 de l'AUC sur l'HBP.1

1.1. Obligatoire
Lors de l'évaluation initiale d'un homme présentant un SBAU, l'évaluation de la gravité des symptômes et de la
gêne est essentielle. Les antécédents médicaux doivent inclure des antécédents pertinents
et les maladies actuelles, ainsi que les chirurgies et les traumatismes antérieurs. Les médicaments actuels, y compris
les médicaments en vente libre et les agents phytothérapeutiques, doivent être revus. Un examen physique ciblé, y
compris un toucher rectal (DRE), est également obligatoire.
L'analyse d'urine est nécessaire pour exclure les diagnostics autres que l'HBP qui peuvent causer des LUTS et

peuvent nécessiter des tests de diagnostic supplémentaires.1-3,5,6,7

- Histoire
– Examen physique, y compris DRE
– Analyse d'urine

1.2. Recommandé

Inventaire des symptômes (devrait inclure l'évaluation de la gêne)


Un inventaire formel des symptômes (p. ex., International Prostate Symptom Score [IPSS] ou AUA
Symptom Index [AUA-SI]) est recommandé pour une évaluation objective des symptômes à

2
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

consultation initiale, pour le suivi de l'évolution des symptômes pour les personnes en attente de vigilance,
et pour l'évaluation de la réponse au traitement.8-11

Message d'intérêt public

Le test de l'antigène spécifique de la prostate (APS) doit être proposé aux patients ayant une espérance de vie
d'au moins 10 ans et pour qui la connaissance de la présence d'un cancer de la prostate modifierait la prise en
charge, ainsi qu'à ceux dont la mesure de l'APS pourrait modifier la prise en charge. de leurs symptômes mictionnels
(c'est-à-dire une estimation du volume de la prostate qui peut conduire à des mesures plus précises). Chez les
patients sans cancer de la prostate, le PSA sérique peut également être un marqueur de substitution utile de la
taille de la prostate et peut également prédire le risque de progression de l'HBP.12,13

1.3. Optionnel
Dans les cas où le médecin estime qu'il existe une incertitude diagnostique, il est raisonnable de procéder
avec une ou plusieurs des mesures suivantesÿ:
– Créatinine sérique

– Cytologie urinaire
– Débitmétrie urinaire
– Résidus post-mictionnels (PVR)
– Journal des mictions (tableau de volume de fréquence recommandé pour les hommes
polyurie nocturne)
– Dépistage de l'apnée obstructive du sommeil (AOS) chez les hommes atteints de nycturie de plus de 50 ans
(Questionnaire STOP BANG)
– Questionnaire sur la fonction sexuelle

1.4. Non recommandé

Les modalités de diagnostic suivantes ne sont pas recommandées dans l'évaluation initiale de routine d'un patient
typique atteint de LUTS associé à l'HBP. Ces investigations peuvent être nécessaires chez les patients présentant
une autre indication, telle qu'une hématurie, une incertitude diagnostique, des anomalies du toucher rectal, une
mauvaise réponse au traitement médical ou pour la planification chirurgicale.
– Cytologie –
Cystoscopie
– Urodynamique
– Évaluation radiologique des voies urinaires supérieures
– Échographie prostatique

– Biopsie prostatique

Un algorithme résumant les étapes de diagnostic appropriées dans le bilan d'un


patient atteint de MLUTS/HBP est résumé à la figure 1.

3
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al

Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

1.5. Autres considérations diagnostiques pour la chirurgie

Indications chirurgicales

Les indications de la chirurgie MLUTS/HBP1-3 comprennent a) la rétention urinaire récurrente ou réfractaireÿ; b)

infections récurrentes des voies urinaires (IVU); c) calculs vésicauxÿ; d) hématurie récurrenteÿ; e) dysfonctionnement

rénal secondaire à l'HBPÿ; f) détérioration des symptômes malgré un traitement médical ; et g) préférence du patient.

La présence d'un diverticule vésical n'est pas une indication absolue pour la chirurgie à moins d'être associée à une infection

urinaire récurrente ou à un dysfonctionnement vésical progressif.

Tests préopératoires

La détermination de la taille de la prostate et de l'étendue du lobe médian est liée aux indications spécifiques à la procédure

(voir la section sur le traitement chirurgical). Pour les patients chez qui une intervention chirurgicale est envisagée, une

cystoscopie doit être effectuée pour évaluer la taille de la prostate, ainsi que la présence ou l'absence de calculs significatifs du

lobe moyen/médian et/ou de la vessie. L'échographie (US) (soit par échographie transrectale [TRUS] ou échographie

transabdominale) est recommandée pour déterminer le volume de la prostate et l'étendue de la présence du lobe médian afin

de sélectionner la modalité appropriée de traitement chirurgical. Cette information peut également être obtenue à partir d'un

scanner abdominal récent ou d'une IRM.

2. Directives de traitement

2.1 Principes de traitement

La prise de décision thérapeutique doit être guidée par la sévérité des symptômes, le degré de gêne et la préférence

du patient. Les informations sur les risques et les avantages des options de traitement de l'HBP doivent être expliquées à

tous les patients qui sont suffisamment dérangés pour envisager un traitement. Les patients doivent être invités à participer

autant que possible en utilisant une approche de prise de décision partagée pour déterminer le meilleur choix de traitement

pour eux. Cela peut être facilité par l'utilisation de l'outil d' aide à la décision pour l'HBP chirurgicale de l'Association des

urologues du Canada .
14
L'objectif thérapeutique de la prise en charge du patient doit être discuté et documenté.

Les patients présentant des symptômes légers (p. ex., IPSS <7) doivent être conseillés sur une

combinaison de modification du mode de vie et d'attente vigilante. Patients présentant des symptômes légers

et les troubles graves doivent faire l'objet d'une évaluation plus approfondie.

Options de traitement pour les patients souffrant de troubles modérés gênants (p. ex., IPSS 8–18) et

les symptômes graves (p. ex., IPSS 19–35) de l'HBP comprennent l'attente vigilante/la modification du mode

de vie, ainsi que des thérapies médicales, mini-invasives ou chirurgicales.

Les médecins doivent utiliser l'âge de référence, la gravité des LUTS et le volume de la prostate pour informer les

patients de leur risque individuel de progression des symptômes, de rétention urinaire aiguë ou de besoin futur d'une

intervention chirurgicale liée à l'HBP (ces facteurs de risque identifient les patients à risque de progression).

4
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Une variété de changements de mode de vie peut être suggérée pour les patients souffrant de troubles non gênants.

les symptômes. Ceux-ci peuvent inclure les éléments suivantsÿ:

– Restriction hydrique, en particulier avant le coucher


– Éviter les boissons contenant de la caféine, l'alcool et les aliments épicés
– Évitement/surveillance de certains médicaments (p. ex. diurétiques, décongestionnants,
antihistaminiques, antidépresseurs)
– Miction programmée ou organisée (rééducation vésicale)
– Prévention ou traitement de la constipation
– Perte de poids et prévention ou traitement des conditions associées au métabolisme
syndrome
– Physiothérapie du plancher pelvien (PFPT) en cas de suspicion de dysfonctionnement non relaxant du
plancher pelvien (causant des LUTS, des douleurs pelviennes et/ou génitales, des dysfonctionnements
intestinaux et sexuels, etc.) ou une vessie hyperactive et/ou une incontinence urinaire (exercices de
Kegel, suppression des impériosités , etc.)

2.2. Suivi post-traitement

Attente vigilante
Les patients en attente sous surveillance devraient avoir des visites périodiques surveillées par un médecin pour
surveiller toute complication associée à leur BPO. Les médecins doivent évaluer soit la progression de la gêne,
c'est-à-dire un questionnaire validé tel que l'IPSS (subjectif), soit l'aggravation de la fonction urinaire, c'est-à-dire
l'urodébitmétrie ou le résidu post-mictionnel (objectif)

Thérapie médicale
Les patients qui ont commencé un traitement médical doivent avoir une ou plusieurs visites de suivi pour évaluer
l'efficacité et l'innocuité (effets secondaires) des médicaments. Si l'objectif thérapeutique dirigé par le patient est
atteint, le patient peut être suivi par le médecin de premier recours dans le cadre d'une approche de soins
partagés. Le médecin de soins primaires doit recevoir des instructions claires sur le suivi et la réorientation si
nécessaire.

Thérapie chirurgicale
Les patients qui subissent une chirurgie de la prostate pour une HBP doivent être revus 4 à 6 semaines
après le retrait du cathéter pour évaluer la réponse au traitement (avec évaluation des symptômes [p. ex., IPSS] et,
si indiqué, débitmétrie urinaire et volume PVR). Les effets secondaires et les événements indésirables doivent
également être recherchés. Les circonstances individuelles du patient et le type d'intervention chirurgicale utilisée
détermineront le besoin et le type de suivi supplémentaire requis par l'urologue et/ou le médecin de premier recours.

5
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

2.3 Thérapie médicale


Le comité a recommandé peu de changements dans les recommandations pour la prise en charge médicale
primaire de l'HBP et du MLUTS avec des alpha-bloquants et/ou des inhibiteurs de la 5-alpha-réductase (5ARI)
depuis 2018. Depuis la publication des lignes directrices de 2018, de nouvelles preuves sont disponibles
concernant d'autres thérapie médicale, nommément bêta-3 agonistes pour le traitement des MLUTS.

2.3.1. Alpha-bloquants
L'alfuzosine, la doxazosine, la tamsulosine, la térazosine et la silodosine sont des options de traitement
12-23
appropriées pour les LUTS secondaires à l'HBP. La doxazosine et la térazosine nécessitent une titration de la dose

et surveillance de la tension artérielle. Les alpha-bloquants n'altèrent pas la progression naturelle de l'HBP
(peu d'impact sur la croissance de la prostate, le risque de rétention urinaire ou la nécessité d'une intervention
chirurgicale liée à l'HBP). L'effet indésirable le plus courant associé aux alpha-bloquants est le vertige (2 à
10ÿ%, avec les taux les plus élevés pour la térazosine et la doxazosine), tandis que les troubles de l'éjaculation
sont le plus souvent rapportés avec la tamsulosine et la silodosine. Le syndrome de l'iris flasque a été signalé chez
des patients sous alpha-bloquants, en particulier la tamsulosine, mais cela ne semble pas être un problème chez
les hommes sans chirurgie de la cataracte planifiée et peut être pris en charge par l'ophtalmologiste, qui sait que le
patient prend le médicament . 24Bien qu'il existe des différences dans les profils d'effets indésirables de ces agents,
les cinq agents semblent avoir une efficacité clinique égale. Le choix de l'agent doit dépendre des comorbidités du
patient, des profils d'effets secondaires et de la tolérance.

Nous recommandons les alpha-bloquants comme une excellente option thérapeutique de première ligne
pour les hommes souffrant de troubles symptomatiques dus à l'HBP qui souhaitent un traitement (forte
recommandation, niveau de preuve A).

2.3.2. 5-ARI

Plusieurs études ont démontré que la thérapie 5-ARI, en plus d'améliorer les symptômes et de
provoquer un rétrécissement modeste (25 à 30ÿ%) de la prostate, peut modifier l'histoire naturelle de l'HBP en
réduisant le risque de rétention urinaire aiguë (AUR) et la nécessité d'une intervention chirurgicale. 25,26 L'
efficacité est notée chez les patients ayant untraitement
volume prostatique
par 5-ARI est
> 30associé
cc (et/ou
à une
desdysfonction
taux de PSAérectile,
> 1,5 ng/ml).
une Le
diminution de la libido, des troubles de l'éjaculation et, rarement, une gynécomastie et un syndrome post-
finastéride.27

Nous recommandons les 5-ARI (dutastéride et finastéride) comme traitement approprié et efficace pour
les patients atteints de TUBA associés à une hypertrophie prostatique démontrable (forte recommandation,
niveau de preuve A).

6
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

2.3.3. Thérapie combinée (alpha-bloquant et 5-ARI)


Les facteurs pronostiques suggérant le potentiel de risque de progression de l' HBP28,29 comprennentÿ:
PSA sérique > 1,4 ng/mL, âge > 50 ans et volume glandulaire > 30 cc. Les résultats des essais cliniques ont
montré que la thérapie combinée améliore significativement le score des symptômes et le débit urinaire de
pointe par rapport à l'une ou l'autre des options de monothérapie. La polythérapie est associée à une diminution
du risque de rétention urinaire et/ou de chirurgie de la prostate, mais aussi aux effets secondaires additifs de la
30,31
bithérapie (troubles éjaculatoires notamment).

Nous recommandons l'association d'un antagoniste des récepteurs alpha-adrénergiques et d'un 5-ARI
comme stratégie de traitement appropriée et efficace pour les patients présentant des SBAU symptomatiques
associés à une hypertrophie prostatique (> 30 cc) (recommandation forte, niveau de preuve B).

Il peut être approprié d'envisager l'arrêt des alpha-bloquants chez les patients
géré avec succès avec une thérapie combinée après 6 à 9 mois de thérapie combinée.32,33

Nous suggérons que les patients traités avec succès par une thérapie combinée puissent avoir la
possibilité d'arrêter l'alpha-bloquant. Si les symptômes réapparaissent, l'alpha-bloquant doit être
redémarré (recommandation conditionnelle, niveau de preuve B).

2.3.4. Médicaments antimuscariniques et bêta-3 agonistes


Les symptômes de stockage (urgence, fréquence, nycturie) sont une composante gênante des MLUTS
associés à l'HBP. Les antimuscariniques (anticholinergiques) et le bêta-3 agoniste ont démontré des améliorations
des LUTS de stockage masculins (avec et sans HBP),
34,35
y compris les réductions de la fréquence, de l'urgence et des épisodes d'incontinence d'urgence.
Des études sur les antimuscariniques contemporains, tels que la toltérodine et la fésotérodine et le bêta-3
agoniste, le mirabegron, ont montré de faibles taux de rétention urinaire, bien qu'il faille faire preuve de prudence
chez les hommes âgés et ceux présentant une obstruction importante de la sortie de la vessie.
(BOO) (avec PVR> 250–300 cc car il y a peu de preuves de sécurité chez les hommes avec des PVR élevés).

Nous suggérons que les antimuscariniques ou les bêta-3 agonistes peuvent être des thérapies
utiles dans les symptômes prédominants de stockage et l'HBP avec prudence chez ceux qui ont un
BOO significatif et/ou une PVR élevée (recommandation conditionnelle, niveau de preuve C).

sept

© 2022 Association des urologues du Canada


Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

2.3.5. Médicaments antimuscariniques ou bêta-3 agonistes en association avec des alpha-bloquants


Les LUTS mixtes (symptômes de stockage et de miction) peuvent être gérés en toute sécurité avec des
alpha-bloquants en association avec des antimuscariniques ou des bêta-3-agonistes. Les essais cliniques ont
porté sur les associations médicamenteuses suivantes : tamsulosine 0,4 mg plus solifénacine 5 mg, tamsulosine
36-41
Preuve
plus toltérodine ER 4 mg et tamsulosine 0,4 mg plus mirabegron 50 mg. ont montré que les thérapies combinées
apportent une amélioration significative des symptômes de stockage sans preuve clinique ou statistique de débit
maximal diminué sur l'uroflowmétrie
(Qmax) ou risque accru de rétention. Les patients avec une RVP élevée > 200 ml ou des antécédents de
rétention aiguë d'urine ont été exclus.

Nous suggérons que l'association d'alpha-bloquants avec des antimuscariniques ou des bêta-3 agonistes
peuvent être des thérapies utiles dans les MLUTS/HBP chez les hommes présentant à la fois des
symptômes de miction et de stockage et un échec de la monothérapie alpha-bloquante. (recommandation
conditionnelle, niveau de preuve B).

2.3.5. Inhibiteurs de la phosphodiestérase


Il a été démontré que les PDE5I améliorent non seulement la fonction érectile, mais constituent également un
traitement efficace pour les LUTS masculins. Le tadalafil 5 mg par jour, en raison de sa demi-vie plus longue, est
approuvé pour les LUTS masculins. Des études ont montré des améliorations de l'IPSS, des symptômes de stockage
et de miction et de la qualité de vie.42 Les preuves montrent que la thérapie combinée de PDE5I et d'alpha-bloquants
est supérieure aux alpha-bloquants seuls chez les hommes présentant des symptômes de miction et un
43
dysfonctionnement érectile.

Nous recommandons les PDE5I à action prolongée en monothérapie pour les hommes atteints de MLUTS/
HBP, en particulier chez les hommes atteints à la fois de MLUTS et de dysfonction érectile (forte
recommandationÿ; niveau de preuve B).

2.3.6. Desmopressine
La polyurie nocturne (NP) coexiste souvent avec les MLUTS et l'HBP, mais peut ne pas répondre aux
pharmacothérapies typiques de l'HBP. La NP est un facteur contributif majeur de la nycturie et est définie par
l'International Continence Society (ICS) comme un volume d'urine anormalement important pendant le sommeil. Plus
précisément, 33ÿ% du volume total d'urine quotidien se produisent la nuit, tandis que le débit urinaire total quotidien
reste normal. La desmopressine est un analogue synthétique de l'hormone antidiurétique, l'arginine vasopressine
(AVP). La desmopressine réduit les vides nocturnes totaux et augmente les heures de sommeil non perturbé en
réduisant la production d'urine chez les hommes atteints de polyurie nocturne.
44
Alors que le risque d'hyponatrémie est faible chez les hommes ayant des
sodium sérique de base, le sodium doit être vérifié au départ chez tous les hommes, et 4 à 8 jours ainsi que 30
jours après le début du traitement chez les hommes prenant de la desmopressine fondante ou les hommes ÿ 65 ans
prenant 50 ÿg de comprimés oraux à dissolution. Chez les hommes dont le symptôme prédominant est

8
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

nycturie gênante et qui ne répondent pas aux mesures conservatrices ou aux autres monothérapies, la
desmopressine doit être envisagée.

Nous recommandons la desmopressine comme option thérapeutique chez les hommes atteints de MLUTS/HBP
avec nycturie résultant d'une polyurie nocturne (recommandation conditionnelle, niveau de preuve B).

2.3.7. Phytothérapies
Les préparations à base de plantes à base de plantes peuvent plaire à certains patients. Les formulations
courantes comprennent Serenoa repens (palmier nain), Pygeum africanum (écorce de prunier africain) et
Urtica dioica (ortie piquante). Les phytothérapies manquent de formulation cohérente, de pharmacocinétique
prévisible et de surveillance réglementaire. De nombreuses études et méta-analyses Cochrane ne rapportent
aucune différence significative entre les phytothérapies et le placebo, telles que mesurées par l'AUA-SI, les
débits de pointe, le volume de la prostate, le volume d'urine résiduelle, le PSA ou la qualité de vie.
45-48
Il y a peu d'effets secondaires associés aux phytothérapies mais il y a
importantes interactions médicamenteuses potentielles.

Nous ne recommandons pas les phytothérapies comme traitement standard pour MLUTS/BPH
(recommandation forte, niveau de preuve B).

2.4. Thérapie chirurgicale

2.4.1. Résection transurétrale de la prostate (TURP)

TURP monopolaire (M-TURP)


La M-TURP reste la principale option de traitement chirurgical de référence pour les SBAU modérés à sévères dus
à l'HBP chez les patients ayant un volume prostatique de 30 à 80 cc.49 La mortalité périopératoire a diminué au fil
du temps et est actuellement d'environ 0,1ÿ%, tandis que la morbidité est liée à volume de la prostate (en particulier
50
> 60 cc). Des séries contemporaines ont rapporté
les complications suivantes : saignement (2–9 %), perforation capsulaire avec extravasation importante (2
%), syndrome TUR (0,8 %), rétention urinaire (4,5–13 %), infection (3–
4 % ; septicémie 1,5ÿ%), incontinence (<1ÿ%), contracture du col de la vessie (3 à 5ÿ%), éjaculation
rétrograde (65ÿ%), dysfonction érectile (6,5ÿ%), et nécessité d'un retraitement chirurgical (2ÿ%/an).51, 52

Nous recommandons la M-TURP comme traitement chirurgical standard de première intention pour les
hommes atteints de MLUTS/HBP modérée à sévère avec un volume de prostate de 30 à 80 cc (forte
recommandation, niveau de preuve A).

9
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al

Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

TURP bipolaire (B-TURP) (y compris vaporisation cinétique plasma bipolaire)


B-TURP offre une alternative de résection à M-TURP chez les hommes atteints de
52-54
LUTS secondaires à l'HBP avec une efficacité similaire, mais une morbidité périopératoire plus faible.

La différence prédominante entre M-TURP et B-TURP est la diminution du risque de saignement périopératoire et de

syndrome TUR. Le choix du B-TURP doit être basé sur la disponibilité de l'équipement, l'expérience du chirurgien et la

préférence du patient.

Nous recommandons la B-TURP comme traitement chirurgical standard de première intention pour les

hommes atteints de MLUTS/BPS modérés à sévères avec un volume de prostate de 30 à 80 cc (forte

recommandation, niveau de preuve B).

2.4.2. Prostatectomie simple ouverte (OSP)


OSP est une alternative de traitement efficace pour les hommes atteints de SBAU modérés à sévères avec des

prostates considérablement élargies> 80 cc et qui sont considérablement gênés par les symptômes.
55
D'autres indications pour OSP comprennent des plans pour une procédure simultanée de la vessie,

comme la diverticulectomie ou la cystolithotomie (pour les calculs vésicaux très volumineux) et chez les hommes qui
56 OSP
ne peuvent pas être placés en position de lithotomie dorsale en raison d'une maladie grave de la hanche.

est la méthode chirurgicale la plus invasive nécessitant une hospitalisation et un cathétérisme plus longs.

Le taux de transfusion estimé a été rapporté entre 7 et 14ÿ%.55,56 Les complications comprennent l'incontinence urinaire

transitoire (8 à 10ÿ%), la contracture du col de la vessie et la sténose urétrale (5 à 6ÿ%).55,56

Nous recommandons l'OSP comme traitement chirurgical de première intention lorsque l'énucléation

endoscopique anatomique de la prostate (AEEP) (voir ci-dessous) n'est pas disponible, pour les hommes

atteints de MLUTS/BPS modérés à sévères et d'un volume prostatique > 80 cc (forte recommandation, niveau

de preuve A ).

2.4.3. Prostatectomie simple mini-invasive

Avec l'avènement de la chirurgie mini-invasive, commençant par la laparoscopie et passant à la laparoscopie assistée par

robot, l'évolution naturelle est également arrivée à l'OSP. Ces

techniques sont encore relativement nouvelles.

La prostatectomie simple laparoscopique (LSP) et la prostatectomie simple assistée par robot

(RASP), comme l'OSP, sont indiquées chez les patients présentant des prostates considérablement élargies (>

80cc-100cc) et des LUTS gênants. 57,58 Ils sont également bénéfiques lorsqu'ils
pathologiesont effectués entelle
concomitante raison
qued'une
de gros

calculs vésicaux ou un diverticule vésical. Il n'y a pas d'essais contrôlés randomisés comparant LSP et RASP à OSP

ou à toute autre procédure d'énucléation. La plus grande série rétrospective comprend les deux techniques et s'est

avérée à la fois sûre et efficace.


59
Une revue systématique récente

ont constaté que RASP présentait des améliorations similaires en IPSS, PVR, Qmax et QoL, tandis que

dix
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

ayant des taux de complications et une EBL similaires à la vaporisation au laser et à l'énucléation de la prostate.
60
Par rapport à OSP, la durée de séjour (LOS) et l'EBL sont significativement
inférieur pour RASP. 61
Enfin, le temps de cathétérisme et la durée de séjour sont plus longs avec le
RASP par rapport à l'énucléation au laser de la prostate.60

Nous recommandons la LSP ou la RASP comme traitement chirurgical alternatif pour les hommes
atteints de MLUTS/BPS modérés à sévères et d'un volume de prostate élargi > 80 cc dans les centres
où se trouvent des chirurgiens ayant une expertise de haut niveau en robotique ou en laparoscopie
(recommandation conditionnelle, niveau de preuve B).

2.4.4. Énucléation endoscopique anatomique de la prostate (PEEA)


L'énucléation endoscopique anatomique de la prostate (AEEP) adopte le principe de la prostatectomie ouverte (OP)
en utilisant différentes sources d'énergie et instruments. Le laser holmium (HoLEP) avec ou sans technologie Moses,
le laser GreenLight (GreenLEP), l'énucléation monopolaire (MonolEP), l'énucléation bipolaire (BipolEP), le laser à
diode (DiLEP), le laser thulium (ThuLEP) et le laser à fibre thulium (ThuFLEP) sont parmi les sources d'énergie
disponibles. L'efficacité et l'innocuité du PAEE, quelle que soit la source d'énergie utilisée, ont été largement
démontrées.62

Par rapport à la TURP et à l'OSP, l'AEEP était associée à de plus grandes améliorations de
l'IPSS, du Qmax et du PVR. L'AEEP a entraîné une augmentation du tissu prostatique
63
retrait, réduction de la perte d'hémoglobine, temps de cathétérisme plus court et durée de séjour plus courte.
Des preuves récentes soutiennent l'utilisation de l'AEEP chez les patients atteints d'HBP sous traitement anticoagulant
64-66
AEEP a démontré des résultats
(AC) ou antiplaquettaire (AP). taux de réopération de 0 à 3,7ÿ% (attribué durables avec de
à la repousse un l'adénome)
faible lors d'un suivi à
long terme allant jusqu'à 18ÿans.
67-71
La procédure nécessite une courbe d'apprentissage abrupte (estimée> 20-50
cas)72 .

Nous recommandons l'AEEP comme alternative à la TURP ou à l'OSP chez les hommes atteints de

SBAU sévères et prostate de toute taille > 30 cc si effectué par un chirurgien formé au PAEE. L'AEEP
peut être réalisée en toute sécurité chez les patients sous thérapie AC/AP (recommandation forte, niveau
de preuve A).

2.4.5. Vaporisation photosélective de la prostate (PVP)


Greenlight-PVP (systèmes XPS 180W et HPS 120W) fournit des résultats comparables à TURP en termes
d'améliorations durables de l'IPSS et du Qmax avec un taux de complications global similaire.
73
La durabilité à moyen terme de cinq ans du XPS a signalé un recul de 1,1ÿ%
74 Dans le GOLIATH international
taux dans les prostates avec des volumes en moyenne de 80 grammes.
68,75
étude ECR multicentrique, comparant le 180W XPS PVP au TURP pour la prostate
volumes 30-80cc, il y avait une différence statistiquement significative dans les événements indésirables précoces,

11
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al

Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

notamment liés aux saignements dans les 30 premiers jours favorisant XPS PVP. Par rapport à la TURP, la
PVP a une meilleure sécurité périopératoire, un temps de cathétérisme plus court, une hospitalisation plus
courte.76 Plusieurs études ont démontré que la PVP est sûre et efficace pour les hommes âgés, avec des
comorbidités médicales importantes,77 de grands lobes médians,78 et les patients qui continuent leur anticoagulant/
traitement antiplaquettaire, avec des taux de transfusion négligeables.79-
81
En plus du profil d'innocuité de Greenlight, le PVP s'est avéré être une alternative rentable à la TURP
dans le contexte canadien.82 Il n'existe aucune limite de taille ou de forme au PVP; seuls l'expertise du chirurgien et le
jugement clinique dictent les limites de taille.

Nous recommandons la PVP comme alternative à M-TURP ou B-TURP chez les hommes avec

LUTS modéré à sévère (recommandation forte basée sur des preuves de haute qualité).
Nous proposons également la thérapie Greenlight PVP comme approche chirurgicale alternative chez les
hommes sous anticoagulation ou à haut risque cardiovasculaire (recommandation conditionnelle,
niveau de preuve B).

2.4.4. Incision transurétrale de la prostate (TUIP)


TUIP est une thérapie appropriée pour les hommes avec une petite taille de prostate <30 cc sans lobe moyen
83 .
Les symptômes et les paramètres de miction sont améliorés, le risque d'éjaculation rétrograde
et de syndrome TUR est réduit (18,2ÿ% et 0ÿ%) par rapport à la RTUP, cependant, le risque de retraitement chirurgical
pour les SBAU liés à l'HBP est significativement plus élevé pour les TUIP (18,4ÿ%) que après TURP (7,2 %).

Nous recommandons le TUIP pour traiter les TUIP modérés à sévères chez les hommes dont le volume
de la prostate est <30 cc sans lobe moyen. Les patients doivent être sensibilisés au taux élevé de
retraitement (recommandation forte, niveau de preuve B).

2.4.5. Techniques mini-invasives

Thérapie transurétrale par micro-ondes (TUMT)


La TUMT est une option pour les patients âgés présentant des comorbidités importantes ou des risques
d'anesthésie plus importants, car cette procédure peut être réalisée sous anesthésie locale. 84,85 Bien que des succès
à court terme pour l'amélioration des LUTS aient été rapportés, la durabilité à long terme
86
de TUMT est limité avec des taux de retraitement cumulés sur cinq ans compris entre 42 et 59ÿ%.
La TUMT ne doit pas être réalisée chez les patients présentant un lobe médian important.

Nous suggérons la thérapie TUMT comme considération pour le traitement de patients soigneusement sélectionnés,
hommes bien informés (recommandation conditionnelle, niveau de preuve C).

Stents prostatiques

12
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al

Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Les stents temporaires peuvent apporter un soulagement à court terme du BPO chez les patients temporairement inaptes à

opération. 87 En général, les stents sont sujets à un mauvais placement, à une migration et à une mauvaise tolérance
en raison de l'exacerbation des LUTS et de l'incrustation. Compte tenu de ces effets secondaires courants, les stents

prostatiques ont un rôle limité dans le traitement des LUTS modérés à sévères. Une nouvelle génération de stents est

actuellement en cours d'évaluation et pourrait fournir une option chirurgicale alternative pour la prise en charge des LUTS

BPH à l'avenir.

Nous suggérons les stents prostatiques uniquement comme alternative au cathétérisme chez les hommes inaptes

à la chirurgie avec un détrusor fonctionnel (recommandation conditionnelle, niveau de preuve C).

Lifting urétral prostatique

La procédure de lifting urétral prostatique ou Urolift® (petits implants permanents en nitinol à base de suture compriment

les lobes latéraux envahissants délivrés sous guidage cystoscopique) apporte des améliorations moins efficaces, mais

adéquates et durables de l'IPSS et du QMax par rapport à la TURP tout en préservant la fonction sexuelle (pas ont

signalé une éjaculation rétrograde observée à 12 mois).88 La plupart des complications sont légères et disparaissent

en quatre semaines, mais comprennent la dysurie (34ÿ%), l'hématurie (26ÿ%), la douleur pelvienne (19ÿ%),

l'incontinence par impériosité (7ÿ%) et les infections urinaires ( 3ÿ%). Le retraitement chirurgical a été de 13,6 % sur
89 UN
cinq ans.

Une étude récente (étude MedLift) a rapporté l'utilisation du lifting urétral prostatique chez les patients ayant un lobe

médian. Pour le déploiement du lobe moyen, le tissu intravésical est tiré dans la fosse prostatique et fixé de chaque côté

de l'urètre. 44 patients ont subi cette technique et les résultats sont très similaires à ceux de l'essai pivot LIFT concernant

l'amélioration de l'IPSS et de la qualité de vie de l'IPSS tout en préservant la fonction éjaculatoire. Il convient de noter que

le suivi de cette étude n'a duré que 12 mois.90

Nous suggérons que le lifting urétral prostatique (Urolift) puisse être considéré comme un traitement alternatif

pour les hommes atteints de LUTS souhaitant préserver la fonction éjaculatoire, avec des prostates <80 cc. Un

lifting urétral prostatique peut également être proposé aux patients ayant un lobe médian petit à modéré et des
LUTS gênants. Les patients (avec ou sans lobe médian) doivent être sensibilisés au taux de retraitement plus

élevé à 5 ans

(recommandation conditionnelle, niveau de preuve C).

Ablation convective de l'énergie à la vapeur d'eau

L'ablation par le système Rezum® (utilise le principe thermodynamique du transfert d'énergie convective), rapporte

une amélioration significative de l'IPSS et du Qmax à trois mois et soutenue jusqu'à 12 mois91 avec préservation des
92
fonctions érectiles et éjaculatrices.

Les résultats récents sur cinq ans ont confirmé la durabilité des résultats cliniques positifs avec une réduction de 57ÿ% de

l'IPSS, une augmentation de 45ÿ% de la qualité de vie et une augmentation de 44ÿ% du Qmax.
93
Le taux de retraitement chirurgical est de 4,4 % à 5 ans.

13
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Nous suggérons que le système Rezum d'ablation convective de l'énergie à la vapeur d'eau peut être
considéré comme un traitement alternatif pour les hommes atteints de LUTS intéressés par la préservation
de la fonction éjaculatoire, avec des prostates <80 cc, y compris ceux avec un lobe médian
(recommandation conditionnelle, niveau de preuve C).

Ablation robotisée au jet d'eau guidée par l'image


L'aquablation (l'hydrodissection guidée par robot élimine le parenchyme prostatique tout en épargnant les structures
collagènes telles que les vaisseaux sanguins et la capsule chirurgicale)94 a montré des améliorations comparables
en termes d'efficacité et d'innocuité par rapport à la TURP chez les hommes avec des prostates <80 cc .
95
Des études supplémentaires ont également démontré l'efficacité et l'innocuité dans les glandes 80-
150 cm3. L'aquablation préserve les fonctions érectile et éjaculatoire chez respectivement près de 100% et
environ 90% des patients. Les taux de retraitement sur cinq ans sont faibles (6 % à 5
années).

Nous suggérons que l'aquablation soit proposée aux hommes atteints de LUTS souhaitant préserver la
fonction éjaculatoire, avec des prostates < 150 cc, avec ou sans lobe moyen . (recommandation conditionnelle,
niveau de preuve C).

Dispositif implantable temporaire en nitinol (iTind)


iTind est un traitement temporaire (cinq jours puis retiré sous anesthésie locale), mécanique,
dispositif de type stent conçu pour remodeler le col de la vessie et l'urètre prostatique par nécrose de pression.

Trois essais cliniques prospectifs randomisés (n = 269) ont démontré une réduction de l'IPSS de
-45ÿ% à -60ÿ%, une augmentation du Qmax de +50ÿ% à +110ÿ%, aucun changement dans la fonction érectile ou
96-98
éjaculatoire et un taux de retraitement de 9ÿ% à 3 années. Durabilité à long terme
des études sont en cours.

Nous recommandons qu'iTind puisse être proposé aux hommes atteints de LUTS souhaitant
préserver la fonction éjaculatoire, avec des prostates de 30 à 80 cc. Les patients doivent être sensibilisés
au taux de retraitement plus élevé à 3 ans (recommandation conditionnelle,
niveau de preuve C).

Embolisation de l'artère prostatique (EPA)


L'EPA est une option de traitement mini-invasive exclusivement réalisée par des radiologues interventionnels
dans des centres spécialisés. La PAE entraîne une amélioration significative de l'IPSS, du Qmax et de la PVR
par rapport à la ligne de base à 12 mois,99 cependant, des résultats inférieurs par rapport à l'OSP.103 Bien que la
à TURP 100-102
PAE ait apparemment moins de complications que la TURP,
l'embolisation non ciblée peut entraîner des complications ischémiques rares telles qu'une proctite
ischémique transitoire, une ischémie de la vessie, une sténose urétrale et urétérale ou des vésicules séminales

14
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al

Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

104
ischémie. L'efficacité de la PAE peut être plus avantageuse dans les volumes de prostate supérieurs à
105 106
80 ml, et peut être considéré comme un traitement de l'hématurie macroscopique d'origine prostatique.

Dans les centres dotés d'une collaboration et d'une expertise technique en urologie et en radiologie, des
patients hautement sélectionnés et bien informés peuvent se voir proposer une PAE s'ils souhaitent envisager
une option de traitement alternative. Les patients doivent être informés du manque de durabilité à long terme
(recommandation conditionnelle, niveau de preuve C).

Les algorithmes résumant la prise en charge d'un patient atteint de MLUTS/HBP sont résumés dans les
figures 2, 3.

2.5. Situations particulières

Rétention urinaire aiguë (RAA)


Les données suggèrent que chez les patients atteints de RAU, l'utilisation d'alpha-bloquants (en particulier
tamsulosine, alfuzosine et silodosine) pendant la période de cathétérisme augmentera les 107 108 alors que l'ajout d'un
retrait du cathéter, 5ARI a des chances de réussir à uriner après le

peut diminuer le risque d'une future chirurgie de la prostate. 30,31,109

Nous suggérons que les hommes atteints de RAU secondaire à l'HBP puissent se voir proposer un
traitement alpha-bloquant pendant la période de cathétérisme (recommandation conditionnelle, niveau de preuve
B).

Sous-activité du détrusor (UD)


Il n'y a pas de traitement efficace pour l'UA, définie comme une contraction de force et/ou de durée réduite,
entraînant une vidange prolongée de la vessie et/ou une incapacité à réaliser une vidange complète de la vessie
110
dans un laps de temps normal. En DU primaire, le traitement
L'approche devrait être de faciliter la vidange de la vessie, d'identifier les agents qui peuvent diminuer la
contractilité de la vessie ou d'augmenter la résistance urétrale. Modification du comportement, y compris mictions
programmées et/ou mictions doubles, autosondage intermittent propre (CIC), ou
111
cathéters à demeure, sont des stratégies facultatives. Les données suggèrent que l'uranium appauvri n'est pas

nécessairement une contre-indication à la TURP ou à l'énucléation. 112ÿ113

Nous n'avons aucune recommandation spécifique fondée sur des données probantes pour la prise en charge
de l'hypoactivité du détrusor.

Saignements liés à l'HBP


Une évaluation complète, y compris l'anamnèse et l'examen physique, l'analyse d'urine (microscopie de routine, culture
et sensibilité, cytologie), l'évaluation radiologique des voies supérieures et la cystoscopie, est nécessaire pour exclure
d'autres sources

15
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

de saignement. Il a été rapporté que le finastéride réduit le risque d'hématurie récurrente liée à l'HBP.
114

Nous suggérons qu'un essai avec un 5ARI est approprié chez les hommes atteints d'hématurie
liée à l'HBP (recommandation conditionnelle, niveau de preuve C).

Patients atteints d'HBP avec préoccupation pour le cancer de la prostate

Le patient HBP avec un PSA sérique élevé et une biopsie de la prostate négative peut être conseillé sur
les avantages potentiels du traitement par 5ARI (finastéride, dutastéride) pour la réduction du risque de détection
du cancer de la prostate. 115,116 Le patient doit être conscient de la faible
risque accru absolu (0,5 à 0,7 %) d'incidence de cancer de haut grade (Gleason 8 à 10) avec l'utilisation de 5ARI.
La plupart des experts pensent que ce phénomène a été observé en raison d'un artefact de cytoréduction glandulaire
de la prostate, induit par le 5ARI, et il semble qu'il n'y ait pas d'augmentation démontrable de la mortalité par cancer
de la prostate.117 nadir est atteint doit être évalué pour la possibilité d'un cancer de la prostate de haut grade.

118

Nous recommandons une discussion éclairée au cas par cas et un suivi étroit de l'APS, comme
indiqué chez les hommes sous traitement par 5ARI pour l'HBP (recommandation conditionnelle, niveau
de preuve B).

Sommaire
Les MLUTS secondaires à l'HBP restent l'un des troubles les plus courants liés à l'âge chez les hommes.
À mesure que le vieillissement de la population canadienne se poursuit, de plus en plus d'hommes chercheront
des conseils et des conseils auprès de leurs fournisseurs de soins de santé sur la gestion de leurs symptômes.
L'information offerte dans ce document de lignes directrices, fondée sur une évaluation consensuelle des
meilleures données probantes disponibles, aidera les urologues canadiens dans leurs efforts pour fournir des
soins de pointe à leurs patients.

Intérêts concurrents
Le Dr Elterman a participé à des conseils consultatifs, est conférencier et a reçu des subventions d'Allergan,
Astellas, Boston Scientific, Ferring, Medtronic et Pfizerÿ; et a participé à des essais cliniques soutenus par Astellas,
Medtronic, Meditate et Procept Biorobotics. Le Dr Aube-Peterkin est chercheur pour l'essai clinique Optilume soutenu
par Urotronic. Le Dr Elmansy a reçu des honoraires de Boston Scientific, Lumenis et Clarion Medical Technologies. Le
Dr Zorn a reçu des honoraires de Boston Scientific et en tant que surveillant/ conférencier pour Greenlight ; et participé
au WATER 2 soutenu par Procept Biorobotics. Le Dr Bhojani est consultant pour Boston Scientific, Olympus et Procept
BioRobotics ; et a participé à l'essai WATER 2 soutenu par Procept BioRobotics.

16
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Références

1. Nickel JC, Mendez-Probst CE, Whelan TF, et al. Mise à jour 2010 : Lignes directrices pour la prise en
charge de l'hyperplasie bénigne de la prostate. Can Urol Assoc J
2010;4:308-14. https://doi.org/10.5489/cuaj.10124
2. McVary KT, Roehrborn CG, Avins AL, et al. Urologie américaine
Ligne directrice de l'association : Prise en charge de l'hyperplasie bénigne de la prostate (HBP).
Publié en 2010ÿ; révisé et validité confirmée en 2014. Disponible sur http://
www.auanet.org/guidelines/benign-prostatic-hyperplasia-(2010-
examiné-et-validité-confirmée-2014). Consulté le 28 août 2018.
3. Gratzke C, Bachmann A, Descazeaud A, et al. Directives de l'EAU sur la
évaluation des symptômes des voies urinaires inférieures non neurogènes chez l'homme, y
compris l'obstruction bénigne de la prostate. Eur Urol 2015;67:1099-1109.
https://doi.org/10.1016/j.eururo.2014.12.038
4. Directives GRADE 15. Disponible sur http://www.gradeworkinggroup.org/.
Consulté le 28 août 2018.
5. Abrams P, Cardozo L, Wagg A, et al. Incontinence. 6e Internationale
Consultation sur l'incontinence, Tokyo, septembre 2016, ICUD, 6e édition 2017

6. Nickel JC, Saad J. Lignes directrices 2003 de l'American Urological Association sur la prise en charge
de l'hyperplasie bénigne de la prostate : Une opinion canadienne. Can J Urol
2004;11:2186-93.
7. Ramsey EW, Elhilali M, Goldenberg GS, et al pour le Conseil canadien de la santé de la prostate. Modèles
de pratique des urologues canadiens dans le domaine de l'hyperplasie bénigne de la prostate et du
cancer de la prostate. J Urol 2000;163:499-502.
https://doi.org/10.1016/S0022-5347(05)67911-6
8. Cockett ATK, Aso Y, Denis L, et al. Recommandations du Comité international de consensus
concernant : 1. Le score des symptômes prostatiques (I-PSS) et l'évaluation de la qualité de vie,
2. Bilan diagnostique des patients présentant des symptômes évocateurs de prostatisme, 3.
Évaluation des patients pour des études de recherche, et 4. Traitement de l'HBP . Dans : Cockett
ATK, Aso Y, Chatelain C, et al, eds.
Actes de la première consultation internationale sur l'hyperplasie bénigne de la prostate.
Paris : Communication scientifique, 1991ÿ:ÿ279-340.
9. Barry MJ, Fowler FJ Jr, O'Leary MP, et al. L'urologie américaine
Index des symptômes d'association pour l'hyperplasie bénigne de la prostate. Le comité de mesure de
l'American Urological Association. J Urol 1992;148:1549-57.
https://doi.org/10.1016/S0022-5347(17)36966-5
10. Robertson C, Link CL, Onel E, et al. L'impact des voies urinaires inférieures
symptômes et comorbidités sur la qualité de vie : les études BACH et UREPIK. BJU Int
2007;99:347-54. https://doi.org/10.1111/j.1464-
410X.2007.06609.x
11. O'Leary MP, Wei JT, Roehrborn CG, et al. Comité directeur du registre de l'HBP et de l'enquête
auprès des patients. Corrélation entre le score international des symptômes de la prostate et
l'indice d'impact de l'hyperplasie bénigne de la prostate dans une étude clinique.

17
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

mise en pratique. BJU Int 2008;101:1531-5. https://doi.org/10.1111/j.1464-


410X.2008.07574.x
12. Levitt JM, Slawin KM. PSA et dérivés du PSA comme prédicteurs de l'HBP
progression. Curr Urol Rep 2007ÿ; 8:269-74. https://doi.org/10.1007/s11934-
007-0072-y
13. Rendon RA, Mason RJ, Marzouk K, et al. Association des urologues du Canada
recommandations sur le dépistage de la prostate et le diagnostic précoce. Can Urol Assoc J 2017;
11:298-309. https://doi.org/10.5489/cuaj.4888
14. BouhadanaD, Nguyen DD, Raizenne B, et al. Évaluation de l'acceptabilité d'un outil d'aide à la décision
en ligne pour la prise en charge chirurgicale des symptômes du bas appareil urinaire secondaires à
une hyperplasie bénigne de la prostate. Can Urol Assoc J 2021;15(8):247-54. http:// doiÿ: 10.5489/
cuaj.7492.
15. Lukacs B, Grange JC, Comet D. Suivi d'un an de 2829 patients présentant des symptômes
modérés à sévères des voies urinaires inférieures traités avec de l'alfuzosine en médecine
générale selon l'IPSS et un questionnaire sur la qualité de vie liée à la santé. Groupe BPM en
médecine générale. Urologie 2000;55:540-6.
https://doi.org/10.1016/S0090-4295(99)00539-7
16. Tsukamoto T, Masumori N, Rahman M, et al. Changement du score international des symptômes de la
prostate, de l'antigène spécifique de la prostate et du volume de la prostate chez les patients atteints
d'hyperplasie bénigne de la prostate suivi longitudinalement. Int J Urol 2007;14:321-4.
https://doi.org/10.1111/j.1442-2042.2007.01596.x
17. Chapple CR. Antagoniste des récepteurs alpha-adrénergiques en l'an 2000 : y a-t-il quelque
chose de nouveau ? Curr Opin Urol 2001;11:9-16.
https://doi.org/10.1097/00042307-200101000-00002
18. Marberger M, Harkawa R, de la Rosette J. Optimizing the medical
Prise en charge de l'hyperplasie bénigne de la prostate. Eur Urol 2004;45:411-9.
https://doi.org/10.1016/j.eururo.2003.10.016
19. Bozlu M, Ulusoy E, Cayan S, et al. Une comparaison de quatre alpha 1- différents
bloquants chez les patients atteints d'hyperplasie bénigne de la prostate avec et sans diabète.
Scand J Urol Nephrol 2004;38:391-5.
https://doi.org/10.1080/00365590410015678
20. Kirby RS. Une étude croisée randomisée en double aveugle sur la tamsulosine et
doxazosine à libération contrôlée chez les patients atteints d'hyperplasie bénigne de la prostate. BJU
Int 2003;91:41-4. https://doi.org/10.1046/j.1464-410X.2003.03077.x
21. de Reijke TM, Klarskov P. Efficacité comparative de deux antagonistes des récepteurs alpha-
adrénergiques, la doxazosine et l'alfuzosine, chez les patients présentant des symptômes des voies
urinaires inférieures dus à une hypertrophie bénigne de la prostate. BJU Int 2004;93:757-62.
https://doi.org/10.1111/j.1464-410X.2003.04720.x
22. Hutchison A, Farmer R, Verhamme K, et al. L'efficacité des médicaments pour le traitement de
LUTS/BPH, une étude dans 6 pays européens. Eur Urol
2007;51:207-15. https://doi.org/10.1016/j.eururo.2006.06.012
23. Wilt TJ, Howe RW, Rutks IR, et al. Térazosine pour l'hyperplasie bénigne de la prostate.
Cochrane Database Syst Rev 2002:CD003851.

18
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

24. Takmaz T, Can I. Caractéristiques cliniques, complications et incidence des


syndrome de l'iris hypotonique peropératoire chez les patients prenant de la tamsulosine.
Eur J Ophthalmol 2007;17:909-13. https://doi.org/10.1177/112067210701700607

25. McConnell JD, Bruskewitz R, Walsh P, et al et le groupe d'étude PLESS. L'effet du finastéride sur le risque
de rétention urinaire aiguë et la nécessité d'un traitement chirurgical chez les hommes atteints
d'hyperplasie bénigne de la prostate. N anglais J méd
1998;338:557-63. https://doi.org/10.1056/NEJM199802263380901
26. Roehrborn CG, Boyle P, Nickel JC, et al. Efficacité et sécurité d'un double
inhibiteur de la 5-alpha-réductase de types 1 et 2 (dutastéride) chez les hommes atteints
d'hypertrophie bénigne de la prostate. Urologie 2002;60:434-41. https://doi.org/10.1016/S0090-
4295(02)01905-2
27. Nguyen DD, Marchese M, Cone EB, Paciotti M, Basaria S, Bhojani N, Trinh QD. Enquête sur la
suicidalité et les événements indésirables psychologiques chez les patients traités avec le finastéride.
JAMA Dermatol. 1er janvier 2021;157(1):35-42. https://
doiÿ: 10.1001/jamadermatol.2020.3385.

28. Anderson JB, Roehrborn CG, Schalken JA, et al. La progression de l'hyperplasie bénigne de la
prostateÿ: examen des preuves et détermination du risque. Eur Urol 2001;39:390-9. https://doi.org/
10.1159/000052475
29. Marks L, Roehrborn C, Andriole G. Prévention de l'hyperplasie bénigne de la prostate. J Urol
2006;176:1299-306. https://doi.org/10.1016/j.juro.2006.06.022
30. McConnell JD, Roehrborn CG, Oliver OM, et al pour le MTOPS Research
Groupe. L'effet à long terme de la doxazosine, du finastéride et de la thérapie combinée sur la
progression clinique de l'hyperplasie bénigne de la prostate. N anglais J méd
2003;349:2385-96. https://doi.org/10.1056/NEJMoa030656
31. Roehrborn CG, Siami P, Barkin J, et al. Les effets du dutastéride, de la tamsulosine,
et thérapie combinée sur les symptômes des voies urinaires inférieures chez les hommes atteints
d'hyperplasie bénigne de la prostate et d'hypertrophie de la prostateÿ: résultats à deux ans de l'étude
CombAT. J Urol 2008;179:616-21.
https://doi.org/10.1016/j.juro.2007.09.084
32. Barkin J, Guimares M, Joacobi G, et al. Le traitement par alpha-bloquants peut être
retiré chez la majorité des hommes après un traitement combiné initial avec le dutastéride, un
inhibiteur double de la 5-alpha réductase. Eur Urol 2003;44:461-6.
https://doi.org/10.1016/S0302-2838(03)00367-1
33. Nickel JC, Barkin J, Koch C, et al. La monothérapie au finastéride maintient des symptômes stables
des voies urinaires inférieures chez les hommes atteints d'HBP après l'arrêt des alpha-bloquants.
Can Urol Assoc J 2008;2:16-21. https://doi.org/10.5489/cuaj.520
34. Kaplan SA, Roehrborn CG, Rovner ES, et al. Toltérodine et tamsulosine pour
traitement des hommes présentant des symptômes des voies urinaires inférieures et une vessie hyperactiveÿ:
essai contrôlé randomisé. JAMA 2006;296:2319-28.
https://doi.org/10.1001/jama.296.19.2319
35. Tubaro A, Batista JE, Nitti VW, et al. Efficacité et innocuité du mirabegron 50ÿmg par jour chez les
hommes atteints d'hyperactivité vésicaleÿ: une analyse critique de cinq

19
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

études de phase 3. Ther Adv Urol 2017;10;9:137-54.


https://doi.org/10.1177/1756287217702797
36. Kaplan SA, Herschorn S, McVary KT, et al. Efficacité et sécurité de
Traitement complémentaire Mirabegron versus placebo chez les hommes présentant des symptômes
d'hyperactivité vésicale recevant de la tamsulosine pour une hyperplasie bénigne sous-jacente de la
prostateÿ: une étude randomisée de phase 4 (PLUS). J Urol 2020 juinÿ; 203(6):1163-1171. https://
doi: 10.1097/JU.0000000000000738
37. Chapple C, Herschorn S, Abrams P, et al. Le traitement à la toltérodine améliore
symptômes de stockage évoquant une vessie hyperactive chez les hommes traités par alpha-
bloquants. Eur Urol 2009 septembre;56(3):534-41. https:// doi: 10.1016/j.eururo.2008.11.026

38. Kakizaki H, Lee KS, Yamamoto O, et al. Thérapie d'appoint Mirabegron à la tamsulosine pour le
traitement de la vessie hyperactive chez les hommes présentant des symptômes des voies
urinaires inférieuresÿ: une étude randomisée contrôlée par placebo (MATCH). Eur Urol Focus
2020 15 juillet;6(4):729-737. https:// doi : 10.1016/j.euf.2019.10.019

39. Kaplan SA, He W, Koltun WD, et al. Traitement combiné solifénacine plus tamsulosine chez les hommes
présentant des symptômes des voies urinaires inférieures et une obstruction de la sortie de la vessieÿ:
un essai contrôlé randomisé. Eur Urol 2013 janvier;63(1):158-65. https:// doi: 10.1016/
j.eururo.2012.07.003
40. Drake MJ, Chapple C, Sokol R, et al. Innocuité et efficacité à long terme des associations d'un seul
comprimé de solifénacine et de tamsulosine, système d'absorption contrôlée par voie orale chez les
hommes présentant des symptômes de stockage et d'évacuation des voies urinaires inférieuresÿ:
résultats de l'étude NEPTUNE et de l'extension ouverte NEPTUNE II. Eur Urol
2015;67:262-70. https://doi.org/10.1016/j.eururo.2014.07.013
41. Ichihara K, Masumori N, Fukuta F, et al. Une étude contrôlée randomisée de l'efficacité de la tamsulosine
en monothérapie et de son association avec le mirabegron pour l'hyperactivité vésicale induite par
une obstruction bénigne de la prostate. J Urol
2015;193:921-6. https://doi.org/10.1016/j.juro.2014.09.091
42. Oelke M, Giuliano F, Mirone V, et al. Monothérapie avec tadalafil ou
la tamsulosine a amélioré de manière similaire les symptômes des voies urinaires inférieures
suggérant une hyperplasie bénigne de la prostate dans un essai clinique international, randomisé,
parallèle et contrôlé par placebo. Eur Urol 2012;61:917-25.
https://doi.org/10.1016/j.eururo.2012.01.013
43. Gacci M, Corona G, Salvi M, et al. Une revue systématique et une méta-analyse sur l'utilisation des
inhibiteurs de la phosphodiestérase 5 seuls ou en association avec des ÿ-bloquants pour les
symptômes des voies urinaires inférieures dus à l'hyperplasie bénigne de la prostate.
Eur Urol 2012 mai;61(5):994-1003. https:// doi: 10.1016/j.eururo.2012.02.033
44. Weiss JP, Herschorn S, Albei CD, et al. Efficacité et sécurité à faible dose
Comprimé à désintégration orale de desmopressine chez les hommes atteints de nycturieÿ:
résultats d'une étude multicentrique, randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo et en
groupes parallèles. J Urol 2013;190:965-72. https://doi.org/10.1016/j.juro.2012.12.112
45. Habib FK Wyllie MG. Toutes les marques ne sont pas créées égales : Une comparaison de
composants sélectionnés de différentes marques d'extrait de Serenoa repens. Prostate

20
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Cancer de la prostate Dis 2004;7:195-200.


https://doi.org/10.1038/sj.pcan.4500746
46. Barry MJ, Meleth S, Kreder KH, et al. Effet de l'augmentation des doses de palmier nain sur les
symptômes des voies urinaires inférieuresÿ: un essai randomisé. JAMA
2011;306:1344-51. https://doi.org/10.1001/jama.2011.1364
47. Tacklind J, Macdonald R, Rutks I, et al. Serenoa repens pour l'hyperplasie bénigne de la prostate.
Cochrane Database Syst Rev 2012;12:Cd001423.
https://doi.org/10.1002/14651858.CD001423.pub3
48. Wilt T, Ishani A, Mac Donald R, et al. Pygeum africanum pour l'hyperplasie bénigne de la prostate.
Cochrane Database Syst Rev 2002;1:Cd001044.
49. Cornu JN, Ahyai S, Bachmann AJ, et al. Une revue systématique et méta
analyse des résultats fonctionnels et des complications suite aux procédures transurétrales
pour les symptômes des voies urinaires inférieures résultant d'une obstruction bénigne de la
prostateÿ: une mise à jour. Eur Urol 2015;67:1066-96.
https://doi.org/10.1016/j.eururo.2014.06.017
50. Reich O, Gratzke C, Backmann A, et al. Morbidité, mortalité et début
issue de la résection transurétrale de la prostate : étude prospective multicentrique
évaluation de 10 654 patients. J Urol 2008;180:246-9.
https://doi.org/10.1016/j.juro.2008.03.058
51. Ahyai SA, Gilling P, Kaplan SA, et al. Méta-analyse des résultats fonctionnels et des complications
suite aux procédures transurétrales pour les symptômes des voies urinaires inférieures résultant
d'une hypertrophie bénigne de la prostate. Eur Urol 2010;58:384-
397. https://doi.org/10.1016/j.eururo.2010.06.005
52. Mamoulakis C, Sofras F, de la Rosette J, et al. Résection transurétrale bipolaire vs
monopolaire de la prostate pour les symptômes des voies urinaires inférieures secondaires
à une obstruction bénigne de la prostate. Cochrane Database Syst Rev
2014;1:CD009629. https://doi.org/10.1002/14651858.CD009629.pub3
53. Geavlete B, Georgescu D, Multescu R, et al. Vaporisation plasma bipolaire vs.
TURP monopolaire et bipolaireÿ: une comparaison prospective, randomisée et à long
terme. Urologie 2011;78:930-5.
https://doi.org/10.1016/j.urology.2011.03.072
54. Muslumanoglu AY, Yuruk E, Binbay M, et al. Résection transurétrale de la prostate avec énergie
plasmacinétique : résultats à 100 mois d'une étude prospective,
essai au hasard. BJU Int 2012;110:546-9. https://doi.org/10.1111/j.1464-
410X.2011.10770.x
55. Varkarakis I, Kyriakakis Z, Delis A, et al. Résultats à long terme de l'open
prostatectomie transvésicale d'une série contemporaine de patients. Urologie
2004;64:306-10. https://doi.org/10.1016/j.urology.2004.03.033
56. Lin, Y, Wu X, Xu A, et al. Énucléation transurétrale de la prostate vs.
Prostatectomie ouverte transvésicale pour grande hypertrophie bénigne de la prostate : A
revue systématique et méta-analyse d'essais contrôlés randomisés. World J Urol 2016;34:1207-19.
https://doi.org/10.1007/s00345-015-1735-9
57. Naspro, R. ; Gomez Sancha, F.; Manica, M.; et coll. De la résection "gold standard" à l'énucléation
endoscopique reproductible "future standard" de la

21
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

prostate : ce que l'on sait de l'énucléation anatomique. Minerve Urol Nefrol 2017, 69, 446-458.
https:// doi: 10.23736/S0393-2249.17.02834-X
58. Nestler, S.; Bach, T.; Herrmann, T.; et coll. Traitement chirurgical des prostates de grand volumeÿ: une
analyse par paires appariées comparant l'approche ouverte, endoscopique (ThuVEP) et robotique.
Monde J Urol 2019, 37, 1927-1931. https:// doi: 10.1007/s00345-018-2585-z

59. Autorino, R.; Zarger, H.; Mariano, MB; Sanchez-Salas, R.; Sotelo, RJÿ;
Chlosta, PL; Castillo, O.; Matei, DV; Célia, A.; Koc, G.; et coll. Résultats périopératoires de la
prostatectomie simple robotique et laparoscopiqueÿ: une analyse multi-institutionnelle euro-américaine.
EUR. Urol. 2015, 68, 86-94. https:// doi: 10.1016/j.eururo.2014.11.044

60. Kordan, Y.ÿ; Canda, AEÿ; Koseoglu, E.; Balbay, D.; Laguna, MP; de la Rosette, J. Prostatectomie simple
assistée par robot : Une revue systématique. J.Clin. Méd. 2020, 9, 1798. https:// doi : 10.3390/
jcm9061798
61. Scarcella, S.; Castellani, D.; Gauhar, V.; et coll. Assisté par robot contre ouvert
prostatectomie simpleÿ: résultats d'une revue systématique et d'une méta-analyse d'études
comparatives. Invsti Clin Urol 2021, 62, 631-640. https:// doi: 10.4111/icu.20210297

62. Hermann TR. L'énucléation est l'énucléation est l'énucléation est l'énucléation. Monde J Urol.
2016;34(10):1353-1355. https:// doi: 10.1007/s00345-016-1922-3
63. Chen CH, Chung CH, Chu HC, et al. Résultat chirurgical de l'anatomie
énucléation endoscopique de la prostateÿ: une revue systémique et une méta-analyse.
Andrologie. 2020;52(8):e13612. https://doi.org/10.1111/and.13612
64. El Tayeb MM, Jacob JM, Bhojani N, et al. Énucléation au laser holmium de la prostate chez les patients
nécessitant une anticoagulation. JEndourol. 2016;30(7):805-
809. https://doi.org/10.1089/end.2016.0070
65. Rivera M, Krambeck A, Lingeman J. Holmium Laser Enucleation of the
Prostate chez les patients nécessitant une anticoagulation. Curr Urol Rep. 2017;18(10):77. doiÿ:
10.1007/s11934-017-0746-z
66. Romero-Otero J, García-González L, García-Gómez B, et al. Les facteurs
Influencer la perte de sang peropératoire chez les patients subissant une énucléation au laser
holmium de la prostate (HoLEP) pour l'hyperplasie bénigne de la prostateÿ: une grande analyse
multicentrique. Urologie. 2019;132:177-182. https://doi.org/10.1016/j.urology.2019.06.024

67. Ibrahim A, Alharbi M, Elhilali MM, et al. 18 ans d'énucléation au laser holmium de la prostateÿ:
une expérience à centre unique. J Urol. 2019;202(4):795-800. https://doi.org/10.1097/
JU.0000000000000280
68. Gilling PJ, Wilson LC, King CJ, et al. Résultats à long terme d'un essai randomisé comparant l'énucléation
au laser holmium de la prostate et la résection transurétrale de la prostate : résultats à 7 ans. BJU
Int. 2012;109(3):408-411. doiÿ: 10.1111/j.1464-410X.2011.10359.x

69. Zhu L, Chen S, Yang S, et al. Énucléation électrochirurgicale versus résection transurétrale
bipolaire pour les prostates de plus de 70 ml : étude prospective,

22
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

essai randomisé avec un suivi de 5 ans. J Urol. 2013;189(4):1427-1431. doiÿ: 10.1016/


j.juro.2012.10.117.
70. Elshal AM, Soltan M, El-Tabey NA, et al. Essai randomisé de bipolaire
résection vs énucléation au laser holmium vs vapo-énucléation au laser Greenlight de la prostate pour
le traitement de la grande obstruction bénigne de la prostateÿ: résultats à 3ÿans. BJU Int.
2020;126(6):731-738. doiÿ: 10.1111/bju.15161
71. ÿwiniarski PP, Stÿpieÿ S, Dudzic W, et al. Énucléation de la prostate au laser thulium (TmLEP) vs
résection transurétrale de la prostate (TURP)ÿ: évaluation des premiers résultats. Cent européenne
J Urol. 2012;65(3):130-134. doiÿ: 10.5173/ceju.2012.03.art6

72. Elzayat EA, Elhilali MM. Énucléation de la prostate au laser holmium (HoLEP)ÿ: résultats à long terme,
taux de réintervention et impact possible de la courbe d'apprentissage.
Eur Urol 2007;52:1465-72. https://doi.org/10.1016/j.eururo.2007.04.074
73. Thomas JA, Tubaro A, Barber N, et al. Une étude multicentrique, randomisée, non
essai d'infériorité comparant la vaporisation au laser GreenLight-XPS de la prostate et la résection
transurétrale de la prostate pour le traitement de l'obstruction bénigne de la prostateÿ: résultats à
deux ans de l'étude GOLIATH. Eur Urol 2016;69:94-
102. https://doi.org/10.1016/j.eururo.2015.07.054
74. Ajib K, Mansoura M, Zanaty M, et al. Vaporisation photosélective du
prostate avec le laser XPS-Greenlight de 180 Wÿ: cinq ans d'expérience en matière de sécurité,
d'efficacité et de résultats fonctionnels. Can Urol Assoc J 2018;12:E318-24. http://dx.doi.org/10.5489/
cuaj.4895
75. Bachmann A, Tubaro A, Barber N et al : laser XPS GreenLight 180ÿW
vaporisation versus résection transurétrale de la prostate pour le traitement de l'obstruction bénigne
de la prostate : résultats d'innocuité et d'efficacité sur 6 mois d'un essai randomisé multicentrique
européen ÿ l'étude GOLIATH. Eur Urol 2014; 65ÿ: 931. https:// doi : 10.1016/j.eururo.2013.10.040

76. Bachmann A, Schurch L, Ruszat R, et al. Vaporisation photosélective (PVP) versus résection
transurétrale de la prostate (TURP)ÿ: une étude prospective bicentrique de la morbidité périopératoire
et des résultats fonctionnels précoces. Eur Urol. 2005 Dec;48(6):965-71. https:// doi: 10.1016/
j.eururo.2005.07.001
77. Rajih E, Tholomier C, Hueber PA, et al. Évaluation des résultats chirurgicaux avec la vaporisation
photosélective au laser GreenLight XPS de la prostate chez les hommes à haut risque médical
présentant une hypertrophie bénigne de la prostateÿ: une étude multicentrique. JEndourol. juil.
2017;31(7):686-693. https:// doi: 10.1089/end.2016.0782
78. Nguyen DD, Sadri I, Law K, et al. Impact de la présence d'un lobe médian sur les résultats fonctionnels
de la photovaporisation au feu vert de la prostate (PVP): une analyse de la base de données Global
Greenlight Group (GGG). Monde J Urol. 2021 octobre;39(10):3881-3889. https:// doiÿ: 10.1007/
s00345-020-03529-w
79. Lee DJ, Rieken M, Halpern J et alÿ: Vaporisation au laser de la prostate avec le laser XPS-Greenlight
de 180ÿW chez les patients présentant une inhibition continue de l'agrégation plaquettaire et une
anticoagulation orale. Urologie 2016ÿ; 91ÿ: 167. https:// doi : 10.1016/j.urology.2016.01.021

23
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

80. Meskawi M, Hueber PA, Valdivieso R, et al. Complications et résultats fonctionnels


d'un patient à haut risque atteint de maladie cardiovasculaire sous traitement
antithrombotique traité avec la photo-vaporisation laser 532 nm Greenlight XPS 180 W
pour l'hyperplasie bénigne de la prostate. Monde J Urol. 2019 août;37(8):1671-
1678. https:// doi : 10.1007/s00345-018-2560-8
81. Ruszat R, Wyler S, Forster T et al : Innocuité et efficacité de la vaporisa on photosélec ve
de la prostate (PVP) chez les paents sous coagula on orale en cours. Eur Urol 2007;
51:1031. https:// doi: 10.1016/j.eururo.2006.08.006

82. Bowen JM, Whelan JP, Hopkins RB, et al. Vaporisation photosélective pour le traitement
de l'hyperplasie bénigne de la prostate. Ont Health Technol Assess Ser [Internet]. 2013
août;13(2):1-34. Disponible à : http://www.hqontario.ca/evidence/publications-and-ohtac
recommendations/ontario-health-technology-assessment-series/pv-for treatment-of-
benign-prostatic-hyperplasia

83. Lourenço T, Shaw M, Fraser C, et al. L'efficacité clinique de l'incision transurétrale de la


prostateÿ: une revue systématique d'essais contrôlés randomisés.
World J Urol 2010; 28:23-32. https://doi.org/10.1007/s00345-009-0496-8
84. de la Rosette J, Laguna MP, Gravas S, et al. Micro-ondes transurétral
thermothérapie : la référence en matière de thérapies mini-invasives pour les patients
atteints d'hyperplasie bénigne de la prostate ? JEndourol 2003;17:245-51.
https://doi.org/10.1089/089277903765444393
85. D'Ancona FC, van der Bij AK, Francisca EA, et al. Résultats de haute énergie
thermothérapie micro-ondes transurétrale chez les patients classés selon la classification
des risques opératoires de l'American Society of Anesthesiologists. Urologie
1999;53:322-8. https://doi.org/10.1016/S0090-4295(98)00502-0
86. Gravas S, Laguna P, Kiemenen LA, et al. Durabilité de la thérapie par micro-ondes
transurétrale à haute énergie de 30 minutes pour le traitement de l'hyperplasie bénigne
de la prostateÿ: une étude de 213ÿpatients avec et sans rétention urinaire. Urologie
2007;69:854-8. https://doi.org/10.1016/j.urology.2007.01.070
87. Vanderbrink BA, Rastinehad AR, Badlani G. Stents prostatiques pour le traitement de
l'hyperplasie bénigne de la prostate. Curr Opin Urol 2007;17:1-6.
https://doi.org/10.1097/MOU.0b013e3280117747
88. Senksen J, Barber NJ, Speakman, MJ et al. Prospectif, randomisé,
étude multinationale du lifting urétral prostatique par rapport à la résection transurétrale
de la prostateÿ: résultats à 12ÿmois de l'étude BPH6. Eur Urol 2015;68:643-52.
https://doi.org/10.1016/j.eururo.2015.04.024
89. Roehrborn CG, Barkin J, Gange SN, et al. Résultats à cinq ans de la prospective,
étude LIFT urétrale prostatique contrôlée randomisée. Can J Urol
2017;24:8802-13.
90. Rukstalis D, Grier D, Stroup SP, Tutrone R, deSouza E, Freedman S, David R, Kamientsky
J, Eure G. Prostatic Urethral Lift (PUL) for obstructive median lobes: 12 month results of
the MedLift Study. Cancer de la prostate Dis.

24
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

2019 septembre;22(3):411-419. doiÿ: 10.1038/s41391-018-0118-x. Publication en ligne du 12 décembre 2018.


PMIDÿ: 30542055ÿ; PMCIDÿ: PMC6760566.
91. McVary KT, Gange SN, Gittelman MC, et al. Prostate mini-invasive
ablation de l'énergie convective à la vapeur d'eauÿ: une étude contrôlée randomisée multicentrique
pour le traitement des symptômes des voies urinaires inférieures secondaires à l'hyperplasie bénigne
de la prostate. J Urol 2016;195:1529-38.
https://doi.org/10.1016/j.juro.2015.10.181
92. McVary KT, Gange SN, Gittelman MC, et al. Fonction érectile et éjaculatrice préservée grâce au traitement
convectif à l'énergie de la vapeur d'eau des symptômes du bas appareil urinaire secondaires à
l'hyperplasie bénigne de la prostateÿ: étude contrôlée randomisée. J Sex Med 2016;13:924-33. https://
doi.org/10.1016/j.jsxm.2016.03.372
93. McVary KT, Gittelman MC, Goldberg KA, Patel K, Shore ND, Levin RM, Pliskin M, Beahrs JR, Prall
D, Kaminetsky J, Cowan BE, Cantrill CH, Mynderse LA, Ulchaker JC, Tadros NN, Gange SN,
Roehrborn CG. Finale 5-
Année Résultats de l'essai contrôlé randomisé multicentrique d'une thérapie thermique à la
vapeur d'eau pour le traitement des symptômes modérés à sévères des voies urinaires inférieures
secondaires à l'hyperplasie bénigne de la prostate. J Urol.
2021 sept;206(3):715-724. doiÿ: 10.1097/JU.0000000000001778. Publication en ligne le 19 avril
2021. PMIDÿ: 33872051.
94. Gilling P, Anderson P, Tan A. Aquablation de la prostate pour l'hyperplasie bénigne symptomatique
de la prostateÿ: résultats sur un an. J Urol 2017;197:1565-72.
https://doi.org/10.1016/j.juro.2017.01.056
95. Gilling P, Barner N, Bidair M, et al. EAU: Un essai contrôlé randomisé en double aveugle comparant
l'aquablation à la résection transurétrale de la prostate dans l'hyperplasie bénigne de la prostate.
J Urol 2018;199:1252-61.
https://doi.org/10.1016/j.juro.2017.12.065
96. Amparore D, Fiori C, Valerio M, et al. Résultats à 3 ans après un traitement avec
la seconde génération du dispositif implantable temporaire en nitinol chez les hommes
LUTS secondaire à une obstruction bénigne de la prostate. Cancer de la prostate Dis.
2020. https://doi.org/10.1038/s41391-020-00281-5
97. Chughtai B, Elterman D, Shore N, et al. L'iTind temporairement implanté
Dispositif Nitinol pour le Traitement des Symptômes des Voies Urinaires Basses Secondaire
à l'hyperplasie bénigne de la prostateÿ: essai multicentrique, randomisé et contrôlé.
Urologie. 2020. doiÿ: 10.1016/j.urology.2020.12.022
98. De Nunzio C, Cantiello F, Fiori C, et al. Fonction urinaire et sexuelle après
traitement par dispositif implantable temporaire au nitinol (iTind) chez les hommes
LUTS : résultats intermédiaires à 6 mois de l'étude MT-06. Monde J Urol. 2020.
https://doi.org/10.1007/s00345-020-03418-2
99. Pisco JM, Rio Tinto H, et al. Embolisation des artères prostatiques comme traitement des symptômes
modérés à sévères des voies urinaires inférieures (LUTS) secondaires à une hyperplasie bénigneÿ:
résultats du suivi à court et à moyen terme. Radiol Eur
2013;23:2561-72. https://doi.org/10.1007/s00330-012-2714-9
100. Carnevale FC, Iscaife A, Yoshinaga EM, et al. Résection transurétrale de la prostate (RTUP) versus
embolisation originale et PARFAITE de l'artère prostatique

25
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

(EPA) due à l'hyperplasie bénigne de la prostate (HBP)ÿ: résultats préliminaires d'une analyse
monocentrique, prospective, contrôlée par urodynamique. Cardiovasc Intervent Radiol
2016;39:44-52. https://doi.org/10.1007/s00270-015-1202-4
101. Gao YA, Huang Y, Zhang R, et al. Hyperplasie bénigne de la prostateÿ: embolisation artérielle
prostatique par rapport à la résection transurétrale de la prostate - un essai clinique prospectif,
randomisé et contrôlé. Radiologie
2014;270:920-8. https://doi.org/10.1148/radiol.13122803
102. Shim SR, Kanhai KJ, Ko YM, et al. Efficacité et sécurité de l'embolisation artérielle prostatiqueÿ:
revue systématique avec méta-analyse et méta-régression. J Urol 2017;197:465-79. https://doi.org/
10.1016/j.juro.2016.08.100
103. Russo GI, Kurbatov D, Sansalone S, et al. Embolisation artérielle prostatique vs.
prostatectomie ouverteÿ: analyse par paires appariées sur un an des résultats fonctionnels et des
morbidités. Urologie 2015;86:343-8.
https://doi.org/10.1016/j.urology.2015.04.037
104. Abt D, Hechelhammer L, Müllhaupt G, Markart S, Güsewell S, Kessler TM, Schmid HP, Engeler DS,
Mordasini L. Comparaison de l'embolisation de l'artère prostatique (PAE) par rapport à la résection
transurétrale de la prostate (TURP) pour l'hyperplasie bénigne de la prostate : essai randomisé,
ouvert, de non-infériorité.
BMJ. 19 juin 2018;361:k2338. doiÿ: 10.1136/bmj.k2338. PMID : 29921613 ; PMCIDÿ:
PMC6006990.
105. Bhatia S, Sinha VK, Harward S, Gomez C, Kava BR, Parekh DJ. Prostate
Embolisation artérielle chez les patients dont le volume de la prostate est égal ou supérieur à
80ÿmLÿ: une expérience rétrospective dans un seul établissement de 93ÿpatients. J Vasc Interv
Radiol. 2018 oct;29(10):1392-1398. doiÿ: 10.1016/j.jvir.2018.05.012. Publication en ligne du 11
septembre 2018. PMIDÿ: 30217744.
106. Kably I, Acharya V, Richardson AJ, Bhatia S. Embolisation de l'artère prostatique dans l'hématurie
réfractaire d'origine prostatique. Tech Vasc Interv Radiol. 2020 septembre;23(3):100694. doiÿ: 10.1016/
j.tvir.2020.100694. Publication en ligne le 6 octobre 2020. PMIDÿ: 33308527

107. Lucas MG, Stephenson TP, Nargund V. Tamsulosin dans la gestion de


patients en rétention urinaire aiguë due à une hyperplasie bénigne de la prostate. BJU International
2005;95:354-7. https://doi.org/10.1111/j.1464-410X.2005.05299.x
108. McNeill SA, Hargreave TB, Roehrborn CGÿ; Groupe d'étude Alfaur. Alfuzosine 10 mg une fois par jour
dans la prise en charge de la rétention urinaire aiguë : résultats d'une étude en double aveugle
contrôlée par placebo. Urologie 2005;65:83-9.
https://doi.org/10.1016/j.urology.2004.07.042
109. Patel SB, Ranka K, Kundargi VS, et al. Comparaison de la tamsulosine et
la silodosine dans la prise en charge de la rétention urinaire aiguë secondaire à une hyperplasie
bénigne de la prostate chez les patients devant participer à un essai sans cathéter. Une étude
prospective randomisée. Cent European J Urol 2017;70:259-63.
110. Abrams P, Cardozo L, Fall M, et al. La normalisation de la terminologie de
fonction des voies urinaires inférieuresÿ: rapport du sous-comité de normalisation de l'International
Continence Society. Neurourol Urodyn 2002;21:167-78.
https://doi.org/10.1002/nau.10052

26
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

111. Chapple CR, Osman NI, Birder L, et al. La vessie sous-active : une nouvelle
notion clinique ? Eur Urol 2015;68:351-3.
https://doi.org/10.1016/j.eururo.2015.02.030
112. Potts B, Belsante M, Peterson A, et al. Les procédures de sortie de la vessie sont un traitement
efficace pour les patients présentant une sous-activité du détrusor confirmée
urodynamiquement sans obstruction de la sortie de la vessie. J Urol 2016;195:e975. https://
doi.org/10.1016/j.juro.2016.02.1712
113. Lomas DJ, Krambeck AE. Efficacité à long terme de l'énucléation au laser holmium de la prostate chez
les patients présentant une sous-activité ou une acontractilité du détrusor.
Urologie. 2016 novembre;97:208-211. doiÿ: 10.1016/j.urology.2016.07.010. Epub 19 juillet 2016.
PMIDÿ: 27450935.
114. Delakas D, Lianos E, Karyotis I, et al. Finastérideÿ: un suivi à long terme dans le traitement de l'hématurie
récurrente associée à l'hyperplasie bénigne de la prostate.
Urol Int 2001;67:69-72. https://doi.org/10.1159/000050948
115. Thompson IN, Goodman PJ, Tangen CM, et al. L'influence du finastéride sur
le développement du cancer de la prostate. N Engl J Med 2003;349:211-20.
https://doi.org/10.1056/NEJMoa030660
116. Andriole GL, Bostwick DG, Brawley OW, et al. Effet du dutastéride sur le risque de cancer de la
prostate. N Engl J Med 2010;362:1192-202.
https://doi.org/10.1056/NEJMoa0908127
117. Grubb RL, Andriole G, Sommerville MC, et al. L'étude de suivi REDUCEÿ: faible taux de nouveaux
diagnostics de cancer de la prostate observé au cours d'une étude de suivi observationnelle de deux
ans menée auprès d'hommes ayant participé à l'essai REDUCE. J Urol 2013;189:871-977. https://
doi.org/10.1016/j.juro.2012.09.099
118. Klotz L, Chetner M, Chin J, et al. Conférence canadienne de consensus : La décision de la FDA sur
l'utilisation des 5ARI. Can Urol Assoc J 2012;6:83-8.
https://doi.org/10.5489/cuaj.12058

27
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Figures et tableaux

Figure 1. Algorithme des étapes de diagnostic appropriées dans le bilan d'un patient typique présentant des symptômes
masculins des voies urinaires inférieures/hyperplasie bénigne de la prostate (LUTS/HBP). EP : examen physique ; PSA :
antigène prostatique spécifique ; PVR : résidu post-mictionnel ; U/Aÿ: analyse d'urine.

28
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al

Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Figure 2. Algorithme de prise en charge des symptômes des voies urinaires inférieures/hypertrophie

bénigne de la prostate (MLUTS/HBP) chez l'homme. DE : dysfonction érectile ; PDE5 : phosphodiestérase

de type 5 ; PSA : antigène prostatique spécifique.

29
© 2022 Association des urologues du Canada
Machine Translated by Google

JAUC – Lignes directrices de l'AUC Elterman et al


Ligne directrice de l'AUCÿ: HBP/LUTS

Figure 3. Algorithme de traitement des symptômes gênants des voies urinaires inférieures (LUTS) réfractaires
au traitement conservateur/médical ou en cas d'indications chirurgicales absolues.
L'organigramme a été stratifié selon la capacité du patient à subir une anesthésie, le risque cardiovasculaire et
le volume de la prostate. *Norme actuelle/premier choix. Les traitements alternatifs sont présentés par ordre
alphabétique. **Doit exclure la présence d'un lobe médian. HBP : hyperplasie bénigne de la prostate ; B-TURP :
résection transurétrale bipolaire de la prostate ; HoLEP : énucléation au laser holmium de la prostate ; iTIND :
dispositif implantable temporaire en nitinol ; M/TURP : résection transurétrale monopolaire de la prostate ; PVP :
vaporisation photosélective de la prostate ; TUIP : incision transurétrale de la prostate ; TUMT : thérapie transurétrale
par micro-ondes.

30
© 2022 Association des urologues du Canada

Vous aimerez peut-être aussi