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MX-2300N 20100426 105103
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aS, * = (4s)* + =— as av +
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ni at -
soit encore aS, = gp (ASAT - APAv)
d'od une forme simple de 1a probabilité de fluctuation
PAV srs} probabilité de
fluctuation
(2.67)
“etuct * °P
Cette formule générale permet de trouver les fluctuations de toutes les
grandeurs thermodynamiques. Notons en effet que toute grandeur apparaftra, si l'on
développe AT, 4S, etc..., en fonction de AX, sous une forme du second degré, c'est-
a-dire que w est une distribution gaussienne de probabilit6. Rappelons une propriété
essentielle d'une telle distribution, que nous écrivons
1
Werexp = 52, Bie Oey Oty
od 84, est une matrice symétrique.
on a alors F Bay Sty, Oy = by, '
et sion note 8]] 1a matrice inverse ( £ Bj} byy = &44)+
= cats - cas?
Lorsque 4A est nul, 1a grandeur physique A prend une valeur bien déterminée égale
a . Cherchons quelle condition 1a relation AA = 0 impose a 1a fonction d'onde ¥.
La définition (3.45) appliquée aux opérateurs A et A?, et 1*hermiticité de a2,
permettent d'écrire la relation 4A = 0 sous 1a forne
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Le polyndme de Laguerre LE(x), o p et k sont des entiers, est un poly-
nome de degré p possédant p racines réelles entre 0 et +
3.4 ~ MOMENT CINETIQUE DE SPIN
Jusqu'a présent nous avons considéré 1 fonction d’onde décrivant 1'état
dune particule cone fonction des seules variables orbitales x,y,z (ou ¥,0,#) et
éventuellement du teaps. En fait pour arriver a une description des Gtats quanti
ques d'une particule qui soit compléte et conforme a I'ensenble des observations
expérimentales, on est anené a faire dépendre 1a fonction d'onde de variables
supplémentaires qui conmutent avec les variables orbitales et dont 1' introduction
résulte d'un postulat.
Plus précisément 1a Mécanique Quantique postule que chaque particule d'un
type déterminé possdde un monent cinétique intrinsdque appel6 momen? cindeique de
spin. Le moment cinétique de spin est une observable supplémentaire représentée par
un opérateur vectoriel Z dont les trois composantes 3,,8,,8, sont des opérateurs
hermitiques. Par hypothése ces conposantes satisfont aux ménes régles de conmuta-
tion que les composantes du moment cinétique orbital, soit
beets
eel sy (3.80)
[eer J as,
Les relations analogues (3.72) pour le moment cinétique orbital f appa-
raissaient comme une conséquence de la forme explicite (3.71) de l’opérateur f
agissant sur les variables orbitales. Mais un moment cinétique de spin 3 n'a pas
de forme explicite équivalente a "expression (3.71) et les relations (3.80) sont
posées comme un postulat. D'une maniére trds générale c'est ce type de relations
de commutation qui caractérisent un moment cinétique.
On déduit des relations (3.80) que le carré scalaire 3? de 1'opérateur 2
conmute avec chacune des conposantes cartésiennes de . Done 18 encore les opéra-
teurs 32 et s, par exemple admettent un syst®me complet de vecteurs propres conmuns
Is, > , repérés par deux nombres quantiques s et m, et tels que
3? |s, mg> = s(s+1) |s, mg> (3.81)
sy ls. a>
ny> (3.82)
Une €tude mathématique détaillée permet de montrer que 1e nombre quanti-
que s ne peut prendre que des valeurs entidres ou dent-entiéves, positives ou
nulles, et que pour une valeur donnée de s le nombre quantique m, ne peut prendre
que les 2 s+ 1 valeurs m= -s, -stl,... +s. Et 18 aussi on peut augmenter ou di-
minuer d'une unité 1a valeur de m, par action des opérateurs s*= s,+is,, soitsuoTantos sor Tsure eanoz3 uo
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