HyPer Qcm dermatologie classés
C - Le dos ;
Par cours. Par : B.Nadir
1- La gale :
La gale humaine chez l’adulte est caractérisée par:
A - Des lésions interdigitales ;
B - L’absence de prurit ;
C - La contagiosité importante ;
D - L’atteinte du visage ;
E - Le respect des organes génitaux externes.CT : AC
Parmi les propositions suivantes concernant les
pédiculoses, ou phtiriases, quelle(s) est(sont)
celle(celles) qui est(sont) exacte(s)?
A - Les pédiculoses sont à transmission inter-humaine
B - Les pédiculoses du cuir chevelu peuvent se
surinfecter,
C - Les pédiculoses pubiennes se transmettent surtout
par contact sexuel,
D - Le traitement des pédiculoses du cuir chevelu n’est
pas efficace si les cheveux sont rasés,
E - Les poux et les lentes sont visibles à l’oeil nu. CT :
ABCE
Dans la gale humaine, deux des cinq régions ci-
dessous ne sont pas prurigineuses
A - Le cuir chevelu,
B - Les coudes face postérieure ;
C - Le dos ;
D – Lombilic ;
E - Les poignets. CT : AC
Pour traiter une gale, on peut utiliser :
A - DDT ou dichlorodiphényltrichloréthane
(Benzochloryl®) ;
B - HCH ou hexachlorocyclohexane (Aphtiria®) ;
C - Lindane (Elenol®) ;
D - Benzoate de benzyle (Ascabiol®) ;
E - Nitrate dEconazole (Pevaryl®). CT : ACD
Parmi les signes suivants, le(s)quel(s) peu(ven)t être
évocateur(s) du diagnostic de gale?
A - Prurit de lombilic
B - Prurit et grattage du dos
C - Folliculite du cuir chevelu
D - Papules des organes génitaux,
E - Erythème noueux. CT : AD
Dans la gale humaine, 2 des 5 régions ci-dessous ne
sont pas prurigineuses normalement:
A - Le cuir chevelu ,
B - Les coudes face postérieure ;
D - Lombilic ;
E - Les poignets. CT : AC
Le prurit dans la gale à ces différents caractères sauf
un
A - Prédominance nocturne
B - Caractère familial
C - Atteinte fréquente du visage
D - Atteinte fréquente de la région génitale
E - Atteinte fréquente des fesses. CT :C
Une seule des affirmations suivantes, concernant la
gale est fausse. Laquelle?
A - Présence de prurit, surtout nocturne
B - Présence de sillons fins sur la peau
C - Contamination par contact direct
D - Vecteur Pediculus capitis
E - Traitement Ascabiol® (Benzoate de Benzyl).
CT :D
Quelles sont les 3 localisations les plus fréquentes de
la gale chez Ihomme adulte?
A - Derrière loreille
B - Talon
C - Espaces interdigitaux des mains
D – Poignet
E - Partie antérieure du creux axillaire. CT :CDE
Il existe plusieurs variétés de poux, dont:
A - Poux de corps
B - Poux de la gale
C - Poux du cuir chevelu
D - Poux du pubis
E - Poux des cils. CT : ACD
Quelle(s) attitude(s) et traitement(s) est ou sont
indiqué(s) chez un enfant de 5 ans (21 kgs) ayant une
gale?
A - Fungizone sirop : 100 mg/kg/jour pendant 10 jours
B - Ascabiol®: badigeonner l’ensemble du corps, à
lexception du visage, avec un pinceau, deux fois à 1/4
heure dintervalle, laisser 48 heures, laver ensuite
C - Traiter lentourage en même temps
D - Changer le linge et désinfecter la literie (DDT)
E - En cas de démangeaisons, Polaramine® sirop: une Laquelle des affections suivantes est une indication de
cuillère à café, quatre fois par jour. CT : BCDE la corticothérapie?
A - Le zona ;
2- Eczéma : B - Les verrues vulgaires ;
L’eczéma se caractérise par: C - L’acné ;
A - Le polymorphisme clinique des lésions, D - L’érysipèle ;
B - Le prurit ; E - l’eczéma de contact. CT : E
C - Une spongiose épidermique à l’histologie ; Une éruption chronique, prurigineuse,
D - La sensibilité aux corticoïdes locaux ; érythématovésiculeuse, localisée aux plis des coudes et
E - La guérison avec cicatrice. CT : ABCD aux creux poplités est évocatrice de
Au cours de l’eczéma on peut observer: A – Psoriasis ;
A - Un suintement, B - Dermatite atopique ;
B - Une desquamation ; C – Syphilis ;
C - Un œdème ; D – Gale ;
E – Epidermomycose. CT : B
D - Une érythrodermie ;
E - Un prurit. CT : ABCDE Chez un adulte de 20 ans, présentant des lésions
La structure histologique de l’eczéma se définit prurigineuses chroniques et symétriques des plis des
essentiellement par: coudes et des creux poplités, quel est parmi les
A - L’oedème papillaire ; diagnostics suivants celui qui peut être posé daprès ces
B - L’infiltrat péri-vasculaire ; seules informations ?
C - La spongiose épidermique ; A - Une gale acarienne ;
D - La vacuolisation des cellules épithéliales ; B - Une mycose trichophytique ;
C - Un psoriasis des plis (psoriasis inversé) ;
E - Aucun de ces signes. CT : C
D - Une infection bactérienne chronique ;
La dermatite atopique: E - Une dermatite atopique eczéma constitutionnel.
1 - Ne débute pas après l’âge de 3 ans, CT : E
2 - Atteint volontiers les plis de flexion,
3 - Coexiste toujours avec d’autres manifestations Parmi les localisations suivantes, indiquez celle(s) qui
d’atopie ; est(sont) très évocatrice(s) de l’eczéma atopique?
4 - S’accompagne fréquemment d’une augmentation A - Sillons sous-lobulaire du pavillon de l’oreille,
des IgE Compléments corrects : B - Creux poplités ;
1,2,3A. 1,3B . 2,4C . 4=D . 1,2,3,4E C - Paumes des mains ;
D - Sillons naso-géniens ;
Parmi les professions suivantes, quelle(s) est(sont) E - Plis des coudes. CT :ABE
celle(celles) où le risque d’eczéma professionnel est
particulièrement important? Une jeune femme présentant un eczéma au niveau des
1 – Coiffure ; zones de contact des boucles d’oreilles, du bracelet-
2 - Tissage de coton, montre et des attaches métalliques est probablement
3 - Infirmières hospitalières, sensibilisée par:
A - Nickel ,
4 - Fonderie de plomb Compléments corrects :
1,2,3A . 1,3B. 2,4=C . 4=D . 1,2,3,4E B – Chrome,
C - Cobalt ,
Un eczéma localisé aux lobules des deux oreilles et à D – Cuivre,
la face dorsale du poignet gauche est évocateur dun E – Formaldéhyde. CT : A
eczéma de contact
A - Au chrome ; Le meilleur moyen de rechercher l’étiologie d’un
B - Au nickel ; eczéma de contact est de faire pratiquer :
C - Au caoutchouc ; A - Une recherche du pouvoir histaminopexique du
D - Au baume du Pérou ; sérum ;
E - Aux parfums. CT : B B - Un dosage des IgE ;
C - Une biopsie,
D - Des tests épicutanés , Le moyen le plus fiable de chercher l’étiologie d’un
E - Des intra dermo-réactions. CT : D eczéma de contact est de faire pratiquer:
A - Une recherche du pouvoir histaminopexique du
Quelle(s) est (sont) les deux zones du corps le(s) plus sérum ;
souvent atteinte(s) dans la dermatite atopique chez un B - Un dosage des immunoglobulines E ;
nourrisson : C - Une biopsie ;
A – Joues ; D - Des tests épicutanés ;
B - Pointe du nez, E - Des intradermo-réactions. CT :D
C – Fesses,
D - Plantes des pieds , Lequel de ces examens permet le mieux de découvrir
E - Pouce sucé. CT : AC la cause d’un eczéma de contact?
A - Les épidermotests
La dermatite atopique est associée non fortuitement à B - Les tests intra-dermiques
A - Hypertension artérielle ; C - Le dosage des IgE
B - Rhinite allergique ; D - Le nombre déosinophiles sanguins
C - Ichtyose vulgaire ; E - La vitesse de sédimentation. CT : A
D – Psoriasis ;
E – Diabète. CT : BC Dans l’eczéma, l’impétiginisation survient le plus
souvent au cours de la phase
Un eczéma localisé aux lobules des deux oreilles et à A – Erythémateuse
la face dorsale du poignet gauche est évocateur d’un B - Vésiculeuse
eczéma de contact C – Suintante
A - Au chrome , D – Desquamative
B - Au nickel ; E - De réparation ; CT : C
C - Au caoutchouc ,
D - Au baume du Pérou ; Quel métal est le plus souvent responsable dun eczéma
E - Aux parfums. CT : B de contact?
A - Le fer
Parmi les allergènes suivants, quel est celui qui est B – Lor
couramment responsable dun eczéma péri-buccal avec C – Largent
chéilite? D - Le cuivre
A – Nickel E - Le nickel. CT : E
B - Caoutchouc
C - Formol 3- IST :
D - Baume du Pérou
E – Chrome. CT : D La roséole syphilitique :
A -Survient en règle 45 jours après le chancre ;
Parmi les composés suivants, quel est celui qui est B - Est prurigineuse ;
réputé ne pas provoquer dallergie cutanée? C - Est faite de macules roses claires ;
A - Nickel D - Prédomine sur les extrémités ;
B - Caoutchouc synthétique E - S’accompagne d’un TPHA positif dans 50 % des
C – Paraquat cas. CT : AC
D – Chrome
E - Résines époxydiques. CT : C Biclinocilline® 4 millions en injection intramusculaire
(moitié de la dose dans chaque fesse) Bénémide® 2cp
Parmi les “petits” signes qui font partie du tableau de per os juste avant l’injectionA quelle affection de la
dermatite atopique, vous retenez: liste suivante, cette ordonnance s’applique-t elle?
A - Kératodermie palmaire ; A - Une vaginite à trichomonas ;
B - Fissure de l’attache du lobule de l’oreille ; B - Une salpingite à gonocoque avec syphilis en
C - Double pli infra-orbital ; incubation ;
D - Ongle incarné ; C - Une annexite à chlamydiae ;
E - Peau sèche, ichtyose. CT : BCE D - La partenaire d’un patient porteur d’un chancre
syphilitique ;
E - Une skénite gonococcique avec syphilis en
incubation. CT : E
Quel(s) est(sont) l’(les) examen(s) paraclinique(s) le(s)
plus fiable(s) pour confirmer le diagnostic en cas de
roséole syphilitique?
A - La biopsie cutanée avec examen
anatomopathologique de routine,
B - L’étude en immunofluorescence directe de la
lésion,
C - Le test VDRL ;
D - La recherche de tréponèmes sur les lésions ;
E - La réaction de TPHA. CT : CE
Indiquez la (ou les) réponses(s) exacte(s) :
Trichomonas Vaginalis
A - Est un parasite des voies génito-urinaires de la
femme ;
B - N’est jamais rencontré chez l’homme ;
C - Peut provoquer chez la femme une leucorrhée
abondante ;
D - Le diagnostic se fait par la mise en évidence du
parasite ou de son kyste dans l’exsudat génital ;
E - Le traitement par Métronidazole (Flagyl®) est
efficace. CT : ACE
Comment fait-on la preuve d’une urétrite à chlamydia?
A - Culture du premier jet des urines,
B - Examen direct après coloration au bleu de
méthylène,
C - Examen direct après coloration au Gram,
D - Examen après grattage endourétral,
E - Examen cytobactériologique des urines.CT : D
Une ulcération génitale, survenant chez un homme
n’ayant jamais quitté la métropole, peut être d’origine:
A – Herpétique,
B – Scabieuse ;
C – Amibienne ;
D – Brucellienne ;
E – Aphteuse. CT : ABE
Une femme enceinte, ayant une syphilis secondaire, est
allergique à la pénicilline. Quel(s) médicament(s)
administrer?
A - Gentamicine ,
B – Erythromycine,
C - Bactrim® ,
D – Colistine,
E – Tétracycline. CT : B
Donnez le(les) caractère(s) exact(s) de larthrite
gonococcique :
A - Elle atteint le genou dans 80% des cas,
B - Elle est plus fréquente chez l’homme que chez la
femme,
C - Elle guérit fatalement par une antibiothérapie
adaptée,
D - Elle s’accompagne souvent d’une atteinte uni ou
bilatérale des sacroiliaques,
E - Le germe est toujours retrouvé dans l’articulation.
CT : AC
Le chancre syphilitique typique est :
1 - A base souple ;
2 - A fond sale ;
3 – Douloureux ;
4 - Superficiel . Compléments corrects : 1,2,3A 1,3B
2,4=0 4=D 1,2,3,4E
Devant une ulcération génitale chez un sujet sans
antécédents de maladie vénérienne, vous évoquez un
chancre syphilitique devant:
A - La notion d’un rapport sexuel 2 à 6 jours
auparavant ;
B - Le caractère indolore de la lésion ;
C - La présence d’adénopathies satellites ;
D - Le présence de cellules ballonisantes au cyto-
diagnostic,
E - La disparition rapide de la lésion après une
injection de streptomycine. CT : B C
La septicémie à gonocoques:
A - S’accompagne souvent de signes articulaires ;
B - S’accompagne souvent de signes digestifs ;
C - A une évolution le plus souvent sub-aiguè ;
D - S’associe volontiers à un purpura ;
E - Répond de façon spectaculaire à la pénicilline.
CT :ACDE
Une des affections suivantes n’est pas une cause
d’érythème noueux:
A – Tuberculose ;
B – Syphilis ;
C - Maladie de Crohn ;
D – Yersiniose ;
E - Maladie des griffes du chat. CT : B.
Parmi les caractères cliniques suivants, indiquez celui
qui ne se rattache pas habituellement au chancre de la
syphilis primaire :
A – Induration ;
B - Prurit marqué ;
C - Tendance spontanée à la guérison ;
D - Absence de réaction inflammatoire ;
E - Présence dune adénopathie satellite. CT :B
Ladénopathie syphilitique primaire est caractérisée
par:
A - Survenue dans le territoire lymphatique
correspondant au chancre ;
B – Polyadénopathie ;
C - Un des ganglions est plus gros,
D - Aspect inflammatoire ;
E – Fistulisation. CT : ABC
Un homme de 30 ans qui a fait une uréthrite aiguè mal
soignée est adressé avec le diagnostic de prostatite
aiguê. En faveur de ce diagnostic, on retiendra
A - Brûlures mictionnelles ;
B - Prostate très douloureuse au toucher rectal ;
C - Présence de ténesme rectal ;
D - Grosse bourse transilluminante ;
E - Fièvre élevée. CT : ABCE
Parmi les affections ou états suivants lequel (lesquels)
peu(ven)t entraîner de fausses réactions sérologiques
de la syphilis
A - Goutte ,
B - Rhumatisme articulaire aigu,
C - Lupus érythémateux aigu disséminé ;
D – Atopie ;
E – Grossesse. CT :CE
Devant une ulcération, on évoque le diagnostic de
chancre syphilitique. Parmi les éléments suivants, un
seul est discordant. Lequel ?
A - Topographie génitale ,
B - Adénopathies inguinales associées ;
C - Présence de tréponèmes ;
D - Test de Nelson à 100 % ;
E - Base indurée. CT : D
Indiquez dans laquelle(lesquelles) des maladies
suivantes, on nobserve pas dadénopathies?
A - Chancre mou ;
B - Uréthrfte gonococcique aiguè ;
C - Chancre syphilitique ;
D - Uréthrite subaiguè à chlamydia ;
E - Aphte génital. CT : BDE
Un homme de 50 ans a une lésion ulcérée du sillon
balanopréputial associée à une adénopathie inguinale
homolatérale. Parmi les causes évoquées demblée,
citez celle qui est éliminée à priori
A - Syphilis primaire ;
B - Chancre mou ;
C - Epithélioma spinocellulaire ;
D - Herpès génital ;
E - Infection à mycoplasma. CT : E
Les propositions suivantes sont exactes, sauf une.
Laquelle?
A - Une urétrite non gonococcique peut être en rapport
avec une infection à uréaplasma uréalyticum ;
B - Chlamydia trachomatis est une cause rare d’urétrite
non gonococcique ;
C - Une urétrite non gonococcique se traite avec un
antibiotique de la famille des cyclines ;
D - Une urétrite non gonococcique peut s’associer à
une conjonctivite ;
E - Une urétrite non gonococcique peut être contractée
en même temps qu’une syphilis. CT : B
Parmi ces schémas thérapeutiques de la syphilis
primaire certain(s) est (sont) insuffisant(s)
A - Biclinocilline;® (bénéthamine pénicilline
pénicilline G) : 100 000 U./j pendant 15 jours ;
B - Bi-pénicilline® ( pénicilline procaïne pénicilline
G) : 1 M dunités/jour pendant 10 jours,
C - Extencilline® (benzathinepénicilline) : 2,4 M.
dunités 2 fois à 8 jours dintervalle ;
D - Erythromycine : I gramme/jour pendant 7 jours,
E - Terramycine® (oxytétracycline) retard : 500 mg.
en 2 injections intramusculaire à 1 semaine dintervalle.
CT :ACDE
Parmi les signes cliniques suivants, quel(s) est(sont)
cleui(ceux) qui est(sont) évocateur(s) du diagnostic de
chancre syphilitique?
A - Ulcération purulente,
B - Chancre unique ;
C - Induration à la palpation ;
D – Douleurs ;
E - Altération de létat général. CT : BC
Le chancre d’inoculation de la syphilis
A - Apparait 21 jours après le contact sexuel
contaminant
B - Fourmille de tréponèmes
C - Est indolore
D - Est contemporain d’autres lésions cutanéo-
muqueuses syphilitiques
E - Repose sur une base indurée. CT : ABCE
A la phase primaire dune syphilis, le diagnostic
biologique de la maladie peut être affirmé:
A - Une semaine après le contage ;
B - Par la mise en évidence de tréponèmes pâles dans
la sérosité obtenue par grattage du chancre ;
C - Par la positivité du test de Nelson, 3 semaines
après contage ;
D - Une semaine environ après l’apparition du chancre
par la positivité du TPHA,
E - Par culture du tréponème sur milieu spécifique. La vulvovaginite à gonocoque:
CT :BD 1 - Est souvent associée à une atteinte salpingienne
2 - Est favorisée par la présence de bacille de
Chez la femme, pour le diagnostic bactériologique Dôderlein
dune infection génitale que Ion pense d’origine 3 - Est souvent associée à une atteinte des glandes de
gonococcique, laquelle de ces propositions choisirez- Skene
vous? 4 - Est de diagnostic essentiellement sérologique
A - Examen microscopique et culture des sécrétions Compléments corrects : 1,2,3A 1,3B 2,4=C 4=D
vaginales, 1,2,3,4E . CT : B
B - Examen microscopique d’un frottis des sécrétions
de lendocol ; Parmi les réactions sérologiques de la syphilis, laquelle
C - Sérodiagnostic sur deux échantillons successifs de est la plus utilisée pour rendre compte de l’évolutivité
sérum ; de la maladie?
D - Culture des sécrétions de lendocol ; A - La réaction de Nelson,
E - Examen microscopique et culture des sécrétions de B - La réaction du VDRL ;
lendocol. CT : E C - Le TPHA ;
D - L’immunofluorescence (FTA) ;
Le gonocoque: E - La réaction de Nelson dans le LCR. CT :B
A - Est un parasite exclusif de lespèce humaine,
B - Ne résiste que très peu de temps dans le milieu Les syphilides papuleuses :
extérieur ; A - Apparaissent habituellement 30 jours après le
C - Occasionne des arthrites aiguès ; contage ;
D - Est un diplocoque Gram positif ; B - Peuvent être squameuses ;
E - Peut être isolé par écouvillonnage rectal. C - Touchent électivement les régions palmo-plantaires
CT :ABCE D - Sont prurigineuses ;
E - S’accompagnent dune sérologie de la syphilis
La sérologie syphilitique suivante : VDRL négatif, toujours positive. CT : BE
TPHA positif, FTA positif au 1/50ème, peut être
interprétée comme: Les condylomes acuminés ont tous ces caractères sauf
A - Une syphilis tertiaire , un :
B - Une cicatrice sérologique dune syphilis traitée ; A - Sont dûs à un papilloma virus ;
C - Une syphilis débutante ; B - Se transmettent chez l’adulte au cours de rapports
D - Une syphilis secondaire ; sexuels,
E - Une fausse sérologie syphilitique. CT : ABC C - N’ont pas de rôle oncogène ,
D - Ont un siège fréquemment périanal
Parmi ces propositions concernant la sérologie E - Sont souvent récidivants. CT : C
syphilitique, il faut retenir :
A - Le test de Kline est une réaction tréponèmique , Le chancre mou :
B - Le FTA est le test le plus précocément positif ; A - Fait suite à une incubation de 3 semaines en
C - Le TPHA est une réaction non tréponèmique, moyenne
D - Le test de Nelson détecte des anticorps B - Est douloureux
immobilisants ; C - Repose sur une base indurée
E - Tous ces tests sont positifs au cours de la syphilis D - A un fond propre
secondaire. CT : BDE E - Saccompagne dadénopathies dures, sans
périadénite. CT : B
La roséole syphilitique :
A - Survient 45 jours après le chancre ; 4- Prurit :
B - Est infiltrée ;
C - Est très prurigineuse ; La(les) lésion(s) suivante(s) peu(ven)t être
D - Est peu visible ; secondaire(s) au prurit:
E - S’accompagne d’un TPHA + dans 50% des cas. A – Lichen ;
CT :AD B – Folliculite ;
C – Urticaire ;
D – Lichenification ; Parmi les maladies suivantes, quelle est(sont) celle(s)
E - Dermatite atopique. CT : BD susceptible(s) d’entraîner des lésions vésiculeuses ou
bulleuses au niveau de la cavité buccale.
Quelle(s) est(sont) la(les) dermatose(s) qui A - Le pemphigus,
s’accompagne(nt) habituellement d’un prurit? B - L’herpès,
A - Roséole syphilitique ; C - La rougeole,
B - Lichen plan ; D - Le zona,
C – Acné ; E - La candidose buccale. CT : ABD
D - Dermatite atopique ;
E – Urticaire. CT : BDE Les maladies suivantes peuvent s’accompagner dune
éruption. Dans quel(s) cas s’agit-il dune éruption
Devant un prurit généralisé sans lésion scarlatiniforme?
dermatologique, on évoque : A - Mononucléose infectieuse ;
A - Rétention biliaire extrahépatique ; B - Zona ;
B - Rétention biliaire intrahépatique ; C – Scarlatine ;
C – Sarcoïdose ; D – Varicelle ;
D - Maladie de Hodgkin ; E - Intolérance médicamenteuse (aux antibiotiques par
E – Myélome . CT : ABD exemple). CT : CE
Un prurit génital fait évoquer les diagnostics suivants En présence dune éruption morbiliforme, citez le(les)
sauf un, lequel ? élément(s) en faveur dun exanthème subit ou roséole
A – Diabète ; infantile
B - Névrodermite ; A - Apparition simultanée de la fièvre et de l’éruption
C - Syphilis primo-secondaire ; B - Exagération de l’éruption au niveau des plis de
D – Candidose ; flexion,
E – Pédiculose. CT : C C – Leucopénie,
Toutes les affections suivantes sont habituellement D - Plasmocytose sanguine ,
prurigineuses, sauf une laquelle? E – Enanthème. CT :C
A - Erythrodermie. Une seule des cinq affections suivantes est une
B - Pemphigoïde bulleuse, éruption vésiculeuse et prurigineuse généralisée :
C - Lichen plan ; A – Zona ;
D - Mycosis fongoïde ; B - Varicelle ;
E - Oedème de Quincke. CT : E C – Pédiculose ;
5- Viroses : D – Lichénification ;
E – Trichophytie. CT : B
L’usage de la corticothérapie locale est contre-indiqué
dans : Le traitement de herpès par I’aciclovir est indiqué pour
A - Le zona ; deux propositions ci- dessous
B - L’acné rosacée ; A - Chez la femme enceinte au 3ème mois
C - L’eczéma allergique ; B - Dans l’herpès labial récidivant
C - Dans l’herpès du SIDA
D - L’herpès ;
E - Le psoriasis du cuir chevelu. CT : ABD D - Dans l’herpès de l’eczéma atopique de l’enfant
E - Dans tous les herpès. CT : CD
Parmi les maladies vésiculeuses et prurigineuses, on
peut citer Le zona:
A - La varicelle ; A - Réalise une éruption métamérique douloureuse ;
B - L’eczéma ; B - Est de diagnostic essentiellement clinique ;
C - La pédiculose ; C - Est une maladie habituellement bénigne ;
D - La trichophytie inguinale ; D - S’accompagne d’une adénopathie satellite ;
E - La lichenification. CT : ABD E - Ses douleurs post-éruptives sont prévenues par
l’acyclovir (Zovirax®). CT :ABCD
Léruption de la rougeole: Sur le visage, la(les) complications(s) cutanée(s) des
A - Réalise des maculopapules dermocorticoïdes est (sont)
B - Est prurigineuse A – Atrophie,
C - Comporte toujours, au moins en certains endroits, B - Vergeture ,
des intervalles de peau saine C - Dermite péri-orale ;
D - Est suivie dune desquamation importante D – Intertrigo,
E - Débute au niveau de la tête. CT : ACE E – Télangiectasies. CT : ACE

Les récurrences herpétiques Au cours du psoriasis, on peut observer:

A - Sont souvent plus limitées et plus bénignes que la A – Bulles ;
primoinfection B - Plaques érythémato squameuses ,
B - Récidivent habituellement dans la même région C - Vésicules ;
C - Leur nature virale est attestée par la présence de D – Nodules ;
cellules ballonisantes au cytodiagnostic E – Pustules. CT : BE
D - Leur diagnostic est affirmé, en cas de doute, par la
sérologie spécifique Le psoriasis vulgaire peut se compliquer de :
E - Ne sont pas inéluctables après une primo-infection. A - Erythrodermie ;
CT :ABCE B – Arthropathies ;
C - Atteinte cardiaque ;
5- Psoriasis : D - Atteinte rénale ;
E - Transformation pustuleuse. CT : ABE
Un psoriasis peut se compliquer de :
A - Une érythrodermie ; Quel(s) traitement(s) préconisezvous pour des lésions
B - Survenue de pustules amicrobiennes ; de psoriasis limitées aux coudes et aux genoux:
C - Une atteinte rénale ; A – Puvathérapie,
D - Un rhumatisme ; B - Corticoïdes locaux ;
E - Une transformation néoplasique. CT : ABD C - Etrétinate (Tigason®) ,
D - Méthotrexate intramusculaire,
Le psoriasis du cuir chevelu a toutes les E - Vaseline salicylée. CT : BE
caractéristiques suivantes, sauf une. Laquelle?
A - Il est parfois isolé ; Les localisations cutanées habituelles du psoriasis
B - Il est érythématosquameux ; vulgaire sont les genoux, les coudes, la région
C - Il est source dalopécie ; lombosacrée. Quelle autre localisation est très
D - Il peut siéger à n’importe quel endroit du cuir fréquente :
chevelu , A – Ongles,
E - Il est parfois prurigineux. CT : C B - Cuir chevelu,
C - Plis génitaux ,
Parmi les affections suivantes, quelle est la seule D - Région palmaire ;
indication de la corticothérapie locale? E - Muqueuse génitale. CT : B
A - Candidose inguinale ,
B – Impétigo ; La plaque de psoriasis est caractérisée par un des
C - Ulcère de jambe atone, signes suivants :
D – Zona ; A - Son manque de limitation ;
E – Psoriasis. CT : E B - Sa desquamation importante ;
C - Sa vésiculation ;
Parmi les description cliniques suivantes, quelle(s) D - Son infiltration profonde ;
est(sont) celle(celles) qui est(sont) compatible(s) avec E - Sa localisation préférentielle sur le visage. CT : B
le diagnostic de psoriasis?
1 - Nappes érythémateuses dans les plis inguinaux ; 6- Les infections pyogènes :
2 - Ongle déformé, soulevé par une hyperkératose
sousunguéale ; Dans l’ecthyma, on observe:
3 - Poussées de pustules des paumes et des plantes ; A - Une ulcération plate entamant le derme ;
4 - Erythrodermie Compléments corrects : B - Une croûte enchâssée ;
1,2,3A .1,3B . 2,4=C . 4=D . 1,2,3,4E C - Une auréole inflammatoire ;
D - Une vésiculation en périphérie,
E - Une localisation élective au visage. CT : ABC
Dans l’impétigo vulgaire, on peut proposer utilement:
A - Bains antiseptiques,
B - Antibiothérapie locale,
C - Antibiothérapie systémique,
D - Antifongiques locaux ,
E - Eviction scolaire. CT : ABCE
L’impétigo:
A - Est dorigine bactérienne ;
B - A pour lésion élémentaire une bulle de siège sous-
corné ;
C - Est une maladie contagieuse ;
D - Peut être à l’origine de glomérulonéphrite ;
E - Se traite par antibiotiques et corticoïdes locaux.
CT : ABCD
L’érysipèle:
A - Est dû à un streptocoque du groupe A,
B - A un début brutal marqué par de la fièvre ;
C - Est formé par une plaque rouge vif, chaude et
douloureuse ;
D - Est bien limité,
E - Est souvent résistant à la pénicilline. CT :ABCD
Un furoncle :
1 - Débute par une induration douloureuse péripilaire ;
2 - Siège surtout sur les zones de frottement ;
3 - Aboutit à une écrose pilosébacée (bourbillon) ;
4 - Peut se compliquer de septicémie. Compléments
corrects :1,2,3A 1 ,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4E. CT : E
Une femme de 50 ans a depuis 48 heures une plaque
sur le mollet droit, rouge, chaude, douloureuse. Sa
température est à 39,6 degré. Quel est le diagnostic le
plus probable?
A – Phlébite,
B – Erysipèle ;
C – Urticaire ;
D - Eczéma aigu ;
E – Impétigo. CT : B
Parmi les germes suivants, quel est celui qui, comme le
streptocoque A, peut être également responsable
d’impétigo?
A - Neisseria méningitidis ;
B - Erysipelothrix rhusopathiae ;
C - Fusobacterium nécrophorum ;
D - Staphylococcus aureus ;
E - Pseudomonas aeruginosa. CT :D
Citer le(les) agents responsable(s) de limpétigo
A - Staphylocoque ;
B – Streptocoque ;
C - Candida albicans ;
D - Virus Herpès ;
E - Hémophilius influenzae. CT :AB
Parmi les affections suivantes, laquelle (lesquelles)
peut (peuvent) être dorigine streptococcique?
1 - Impétigo ,
2 – Scarlatine ;
3 - Erysipèle des membres ;
4 – Anthrax. Compléments corrects : 1,2,3A 1,3B
2,4=C 4=D 1,2,3,4E . CT : A
Dans une furonculose chronique, les gîtes habituels du
staphylocoque doré sont généralement situés au niveau
de 2 des 5 régions ci-dessous
A – Narines ;
B - Cuir chevelu ;
C - Cicatrices d’anciens furoncles ;
D - Fesses ;
E - Epiderme palmo-plantaire. CT : AC
Parmi les définitions suivantes, indiquez celle qui
correspond à l’érysipèle :
A - Dermatose bulleuse aigué ;
B - Dermo-hypodermite aigué ;
C - Dermo-épidermite aiguê ;
D - Nécro-épidermolyse aigué ;
E - Aucune des définitions précédentes. CT :C
Le traitement d’un érysipèle de la jambe chez une
femme obèse et diabétique. qui vient de faire une
troisième récidive ;
A - Impose la correction du déséquilibre métabolique
B - Doit comporter obligatoirement une
pénicillothérapie parentérale
C - Sera assuré avec le plus d’efficacité par une
antibiothérapie à large spectre
D - Sera suivi d’une antibiothérapie au long cours à
titre prophylactique
E - Impose un traitement anticoagulant au long cours
par antivitamine K. CT : ABD
Le diagnostic dimpétigo est basé sur:
A - Signes généraux d’infection
B - Prurit
C - Pustules cornées palmoplantaires
D - Adénopathies satellites
E - Aucun des signes précédents. CT :E
Dans une furonculose de la face :
A - Il faut chercher un déficit immunitaire ;
B - Un diabète latent est habituel ;
C - Une antibiothérapie antistaphylococcique peut être
utile ;
D - Lantiseptie des orifices naturels est une mesure
thérapeutique indispensable ;
E - La stérilisation d’un éventuel foyer digestif est
nécessaire. CT :CD
Parmi les lésions cutanées suivantes, indiquez celle(s)
qui contient(nen)t du staphylocoque:
A – Furoncle,
B - Ecthyma ,
C - Exanthème scarlatin ,
D - Impétigo ,
E - Erythème polymorphe. CT :AD
L’impétigo est caractérisé par:
A - Contagiosité ,
B - Origine bactérienne ;
C - Sa lésion élémentaire est une bulle superficielle
D - Absence de signes généraux ;
E - Possibilité de glomérulonéphrite. CT : ABCDE
L’érysipèle d’un membre:
A - Révèle le plus souvent un diabète latent
B - Est favorisé par une stase lymphatique
C - Réalise un placard douloureux inflammatoire et
fébrile
D - Doit faire rechercher une porte d’entrée
locorégionale
E - Est une affection hautement contagieuse. CT :
BCD
L’impétigo à ces caractères sauf un :
A - Est de diagnostic essentiellement clinique ;
B - Est une dermatose bulleuse infectieuse de l’enfant
C - Est chez l’adulte une dermatose bulleuse
autoimmune ;
D - Doit faire rechercher une dermatose sous-jacente
E - Peut prendre un aspect ulcéré (ecthyma). CT :C
Parmi la (les) proposition(s) suivante(s) concernant
l’érysipèle de jambe, la(les)quelle(s) est (sont)
exacte(s)?
A - Il réalise un tableau de grosse jambe rouge aigué
fébrile ;
B - La lésion s’accompagne d’un bourrelet
périphérique ;
C - Les hémocultures sont toujours positives à
streptocoque ;
D - Il se complique souvent de rhumatisme articulaire
aigu ;
E - Le traitement est basé sur la pénicilline G.
CT :ABE
7- Les mycoses :
La survenue d’une mycose profonde à champignon
opportuniste peut s’observer lors de :
A - Une corticothérapie au long cours ;
B - Une antibiothérapie ;
C - La pose d’une valve cardiaque ;
D - La mise en place d’un cathéter veineux ;
E - Une greffe rénale. CT : ABCDE
Le traitement de l’herpès circiné peut comporter:
1 - Dérivés imidazolés.
2 - Nystatine (Mycostatine®) ;
3 - Griséofulvine (Griséfuline®, Fulcine®) ;
4 - Amphotéricine B (Fungizone®) ;
Compléments corrects : 1,2,3A 1,3B 2,4=0 4=D
1,2,3,4E. CT : B.
L’eczéma marginé de Hébra est causé par:
A - Une bactérie ;
B - Une levure ;
C - Un dermatophyte ;
D - Un acarien ;
E - Aucun des agents ci-dessus. CT : C
Un intertrigo sous-mammaire bilatéral érythémateux,
prurigineux, suintant, ou érosif survenant chez une
femme obèse oriente en priorité vers un des cinq
diagnostics suivants. Lequel ?
A - Un psoriasis des plis (psoriasis inversé),
B - Une infection trichophytique ;
C - Un érythrasma (infection à corynébactéries
aérobies),
D - Une candidose cutanée ,
E - Un eczéma allergique de contact. CT : D
Un des dermatophytes suivants entraîne une alopécie
définitive, lequel :
A - Microsporum canis ;
B - Trichophyton violaceum ;
C - Epidermophyton floccosum ;
D - Trichophyton schoenleini ;
E - Trichophyton rubrum. CT : D.
Lherpès circiné peut être traité par tous les
médicaments, sauf un. Lequel?
A - Le kétoconazole ;
B - Lalcool iodé ;
C - Lacide benzoïque ,
D - La nystatine,
E - La griséofulvine. CT : D
Devant un intertrigo du pli inguinal, lequel des
examens suivant est à réaliser en premier?
A - Prélèvement bactériologique ;
B - Prélèvement mycologique ;
C - Numération formule sanguine ;
D - Dosage des triglycérides ;
E - Biopsie cutanée. CT : B
Une candidose buccale peut être responsable de :
A - Ulcération muqueuse ;
B – Perlèche ;
C - Dépôts blancs,
D - Rougeur de la muqueuse ,
E - Atteinte dentaire. CT :BCD
Le signe du copeau est pathognomonique de lune des
mycoses suivantes. Laquelle?
A - Eczéma marginé de Hebra
B - Erythrasma
C - Herpès circiné
D - Pityriasis versicolor
E - Onychomycose à levures. CT : D
A l’origine d’un intertrigo on peut retrouver:
A – Candidose ;
B - Psoriasis ;
C - Dermatophytie ;
D - Urticaire ;
E – Erythrasma. CT : ABCD
Le kérion :
A - Est dû à Trichophyton mentagrophytes ;
B - Est une teigne suppurée ;
C - Siège souvent au niveau de la barbe ;
D - Ne guérit pas spontanément ;
E - Est dû à un dermatophyte zoophile. CT :ABCE
Tous les intertrigos suivants peuvent être de cause
mycosique. Quels sont les 3 le plus souvent dûs à une
infection à Candida albicans?
A - Lintertrigo des derniers plis interdigitaux des
mains
B - Lintertrigo interdigitoplantaire des pieds
C - Lintertrigo sous-mammaire chez la femme
D - Lintertrigo génito-crural chez l’homme
E - Lintertrigo interfessier et péri-anal. CT :ACE
Lherpès circiné :
A - Est dû à Candida albicans ;
B - Est une tâche érythémato-squameuse ;
C - S’étend de façon centrifuge ;
D - Requiert un prélèvement central ;
E - Se traite à l’amphotéricine B par voie IV. CT :BC
Candida albicans peut réaliser les différents aspects
anatomocliniques suivants, sauf un. Lequel ?
A – Périonyxis ;
B - Muguet ;
C - Herpès circiné ;
D - Intertrigo ;
E – Vaginite. CT :C
Une teigne tondante est caractéristique par:
A - Cheveux cassés courts
B - Squames
C - Souvent due à microsporum canis
D - Alopécie définitive résiduelle
E - Atteinte plus fréquente de l’enfant. CT : ABCE
8- Ulcère de la jambe :
En présence d’un ulcère de jambe, quel(s) argument(s)
est(sont) en faveur d’une étiologie veineuse?
A – Surinfection ;
B - Douleurs de décubitus ;
C - Présence d’une dermite ocre ;
D - Localisation dans la région malléolaire interne ;
E - Fond nécrotique. CT : CD
Les ulcères de jambes dorigine artérielle pure
A - Sont généralement de siège sus-malléolaire externe
B - Sont indolores en l’absence de surinfection
C - Peuvent mettre à nu les tendons,
D - Peuvent apparaître malgré la présence de pouls
distaux bien perçus,
E - S’accompagnent habituellement d’une dermite
ocre. CT : ACD
L’ulcère de jambe peut se compliquer de
1 - Tétanos ;
2 - Septicémie ;
3 - Lymphangite ;
4 – Cancer. Compléments corrects : 1,2,3A 1,3B
2,4=0 4=D 1,2,3,4E. CT : E
Parmi les étiologies suivantes des ulcères par
angiodermite nécrotique, la plus habituelle est :
A - Rectocolite hémorragique ;
B - Myélome ;
C - Insuffisance veineuse ;
D - Hypertension.artérielle ancienne,
E – Rickettsiose. CT : D
Une complication d’un ulcère en évolution est
favorisée par l’administration thérapeutique de:
A - Aspirine®, acide acétylsalicylique ,
B - Colchicine® colchicine,
C - Butazolidine® phénylbutazone ,
D - Pindione® phénindione,
E - Digoxine® digitoxine. CT : ACD
En présence d’un ulcère de jambe. quel(s) argument(s)
est(sont)en faveur d’une étiologie artérielle?
A – Surinfection,
B - Douleurs de décubitus :
C - Localisation dans la région malléolaire interne ;
D - Aspect nécrotique de l’ulcère ;
E - Présence d’une dermite ocre. CT : BD
La présence dune hypodermite sclérodermiforme en
guêtre est fortement évocatrice de lorigine suivante
dun ulcère des membres inférieurs
A - Origine artériolo-capillaire (angiodermite
nécrotique)
B – Traumatique ;
C - Artérielle ;
D - Insuffisance veineuse ,
E - Aucune des propositions précédentes. CT : D
Les ulcères de jambes d’origine veineuse pure :
A - Peuvent être associés à une dermite ocre ;
B - Sont souvent de siège susmalléolaire externe ;
C - Sont indolores en l’absence de surinfection ;
D - Peuvent mettre à nu les tendons ;
E - Peuvent apparaître en dehors de toute thrombose
veineuse profonde. CT : ABCE
Quel(s) est(sont) le(s) caractère(s) se rapportant à un
ulcère cutané d’origine veineuse?
A - Hyperalgique ;
B - Présence de varices ;
C - Topographie juxta malléolaire ;
D - Abolition des pouls périphériques ;
E - Dermite ocre. CT : BCE
Les ulcères de jambes peuvent se compliquer de :
A - Névralgie crurale ;
B - Tétanos ;
C - Erysipèle ;
D - Dégénérescence (épithélioma spino-cellulaire) ;
E – Hémorragie. CT : BCDE
9- Carcinomes + Mélanomes
Parmi les affections suivantes, laquelle nest pas
susceptible de dégénérer en épithélioma spino-
cellulaire?
A – Bowen ;
B - Kératose arsenicale,
C - Kératose solaire ;
D – Radiodermite ;
E - Verrue séborrhéique. CT : E
L’épithélioma basocellulaire:
1 - Donne habituellement des métastases ;
2 - S’accompagne dadénopathies ;
3 - Peut atteindre les muqueuses ;
4 - Peut récidiver après traitement Compléments
corrects.
1,2,3A .1,3B . 2,4C. 4D. 1,2,3,4 E
Tous les caractères suivants doivent faire suspecter la
transformation d’un naevus en mélanome sauf un,
lequel?
A – Polychromie,
B - Saignement ,
C - Etalement des bords ,
D - Apparition de perles ,
E - Survenue d’un nodule. CT : D
Indiquer le signe clinique pathognomonique des
épithéliomas baso-cellulaires :
A – Ulcération ;
B - Bourgeonnement ;
C - Pigmentation ;
D - Perle ,
E – Télangiectasie. CT : D.
Parmi les facteurs étiologiques suivants quel et ou
quels sont celui(ceux) qui est(sont) corrélé(s) avec la
survenue dépithéliomas (carcinomes) cutanés?
A - Exposition aux rayons ultra-violets
du soleil ,
B - Cicatrice de brûlure ancienne ,
C - Radiodermite ancienne,
D - Lupus érythémateux ou tuberculeux chronique ,
E - Exposition aux hydrocarbures du goudron. CT :
ABCDE
Les carcinomes basocellulaires de la peau :
A - Sont plus fréquents à ensoleillement égal chez les
sujets blonds à la peau pâle ;
B - Sont plus fréquents chez des sujets de race blanche
vivant sous des latitudes basses ;
C - Sont observés de préférence sur les téguments
habituellement exposés soleil ;
D - Peuvent être liés à une exposition professionnelle
chronique à l’arsenic ;
E - Sont fréquemment multiples. CT : ABCDE
Parmi les caractères suivants, un seul ne concerne pas
les épithéliomas basocellulaires. Lequel?
A - Evolution lente ;
B - Atteinte des muqueuses ;
C - Absence de métastases ;
D - Aspects cliniques polymorphes ;
E - Localisation fréquente sur le visage. CT :B
Le mélanose de Dubreuilh est une affection
précancéreuse. Parmi les caractères suivants, un seul
est faux. Lequel ?
A - Siège sur le visage ;
B - Plus fréquent chez la femme ;
C - Dégénérescence habituelle en spinocellulaire,
D - Couleur hétérogène ;
E - Apparition chez l’adulte âgé. CT : C
Il est statistiquement démontré que dans le mélanome
malin au stade local, les meilleures chances de
guérison définitives (à niveau d’extension en
profondeur égal et à épaisseur égale) sont offertes par:
A - Exérèse large et curage ganglionnaire systématique
B - Exérèse large et immunothérapie par le BCG ,
C - Exérèse large passant à plusieurs centimètres du
bord de la lésion,
D - Exérèse large et polychimiothérapie pendant un an
E - Exérèse large et radiothérapie du lit d’exérèse.
CT :C
Lépithélioma baso-cellulaire:
A - Est caractérisé par une bordure perlée,
B - Peut être pigmenté ;
C - Est le résultat, au niveau des muqueuses, de la
transformation dune plaque de leucoplasie ;
D - Peut avoir une évolution locale délabrante ;
E - Peut être révélé par une métastase. CT :ABD
Dans les épithéliomas cutanés baso- et spino-
cellulaires réunis et tous stades et localisations
confondus, le taux de survie sans symptôme, au delà
de 50 ans est:
A - 20 à 40 %
B - 40 à 50 %
C - 60 à 70 %
D - 70 à 80 %
E - Supérieur à 90 %. CT : E
Lapparition d’un cancer cutané peut être favorisé par:
A - Cicatrices de brûlures anciennes ;
B - Exposition solaire prolongée ;
C - Intoxication arsenicale chronique ;
D - Dermatite atopique ;
E - Psoriasis non traité. CT : ABC
Quel est, parmi les sites suivants, le siège le plus
fréquent du mélanome malin cutané (deux sexes
confondus)?
A - Cuir chevelu ;
B - Membres inférieurs ;
C - Membres supérieurs ;
D – Tronc ;
E – Visage. CT : B
Devant une tumeur noire : lequel des 5 caractères
suivants, évoque le plus le mélanome malin?
A - Squames épaisses en surface ,
B - Induration ligneuse ;
C - Infiltration des plans profonds ;
D - Décoloration par endroits ;
E - Caractères douloureux. CT : C
Parmi les lésions suivantes, indiquez celle(s) qui
est(sont) une(des) lésion(s) précancéreuse(s)
A - Verrue cutanée ;
B - Adénome (polype adénomateux) du côlon,
C - Naevus naevo-cellulaire dermique ;
D - Kératose actinique ;
E - Carcinome in situ du col utérin. CT :BCDE
Parmi les propositions suivantes, concernant les naevo-
carcinomes, une seule est fausse. Laquelle?
A - Le naevo-carcinome sobserve surtout avant la
puberté ;
B - Il est plus fréquent chez la femme que chez
l’homme ;
C - Il est favorisé par l’ensoleillement ;
D - Il se développe souvent sur un naevus jonctionnel
E - Les irritations mécaniques favorisent la
transformation d’un naevus en naevo-carcinome.
CT :A
Parmi les cancers cutanés suivants, quel est celui qui
ne donne pratiquement jamais de localisation
ganglionnaire?
A - Carcinome (ou épithélioma) baso cellulaire du
visage,
B - Mélanome malin des membres inférieurs,
C - Mycosis fungoïde,
D - Carcinome (ou épithélioma) spino-cellulaire des
mains,
E - Carcinome (ou épithélioma) spino-cellulaire du
pavillon de l’oreille. CT : A
Parmi les affirmations suivantes, une seule s’applique
aux épithéliomas basocellulaires de la peau:
A - Peuvent avoir une évolution mortelle par extension
locorégionale,
B - Peuvent siéger au niveau des muqueuses ,
C - Donnent des métastases par voie sanguine ;
D - Donnent des métastases par voie lymphatique ;
E - Ne sont jamais pigmentés. CT : A
Un jeune adulte de 20 ans voit apparaître après une
exposition solaire une petite zone dépigmentée autour
dun grain de beauté présent depuis l’enfance et par
ailleurs inchangé. Quel diagnostic portez-vous?
A - Naevus pigmentaire en voie de transformation
maligne
B - Naevus de Sutton (halo naevus)
C - Pityriasis versicolor débutant
D - Naevus achromique
E - Naevus dysplasique. CT : B
Les carcinomes basocellulaires de la peau :
A - Sont plus fréquents à ensoleillement égal chez les
sujets blonds à peau pâle ;
B - Sont plus fréquents chez des sujets de race blanche
vivant dans des régions à fort ensoleillement ;
C - Sont observés de préférence sur les téguments
habituellement exposés au soleil ;
D - Peuvent être liés à une exposition professionnelle
chronique à l’arsenic ;
E - Sont fréquemment multiples. CT : ABCDE
Une jeune femme présente sous longle du gros orteil
droit une tâche noire non douloureuse dapparition
récente occupant partiellement la surface sous-
unguéale. Quels sont les 3 diagnostics que vous
évoquez?
A - Hématome sous-unguéal ;
B - Mélanome malin acral ;
C - Naevus pigmentaire sousunguéal,
D – Angiome,
E - Tatouage accidentel. CT : ABC
Les épithéliomas basocellulaires ont ces caractères
sauf un
A - Ont comme lésion élémentaire une perle
B - Peuvent être de couleur noire et faire discuter un
mélanome malin
C - Siègent avec prédilection sur le visage
D - Peuvent avoir une évolution mortelle par extension
locorégionale
E - Peuvent saccompagner de métastases. CT :E
Lépithélioma spinocellulaire cutané à ces
caractéristiques sauf une
A - Peut survenir sur une kératose actinique
B - Donne rapidement des métastases viscérales
C - Peut survenir sur une cicatrice de brûlure
D - Forme souvent des lésions ulcérées
E - Siège avec prédilection sur le visage. CT :B
10- Dermatose bulleuse :
Devant une dermatose bulleuse, un ou plusieurs des
examens complémentaires suivants est (sont) utile(s)
au diagnostic :
A - Cytodiagnostic du plancher de la bulle,
B - Dosage des transaminases,
C - Biopsie dune bulle jeune,
D - Recherche d’auto-anticorps circulants par
immunofluorescence,
E - Immuno-électrophorèse. CT : ACDE
Devant une éruption vésiculo bulleuse généralisée chez
un adulte et durant depuis 3 mois, laquelle des
démarches étiologiques suivantes est à envisager?
A - Cytodiagnostic et recherche d’herpès virus
B - Prélèvement bactériologique ,
C - Test ELISA vis-à-vis des médicaments pris par le
malade,
D - Recherche d’iode dans les urines,
E - Biopsie cutanée pour examen microscopique et
immunofluorescence directe. CT : E
11- Urticaire et Toxidemie :
Lurticaire :
A - Est caractérisé par une papule oedémateuse ,
B - Respecte les paumes et les plantes ;
C - Varie dun jour à l’autre,
D - Peut être hémorragique ;
E - Comporte histologiquement un infiltrat cellulaire
dense. CT : ACD
Une seule des propositions suivantes est inexacte en ce
qui concerne l’urticaire.
A - La lésion élémentaire est une papille oedémateuse
B - Les antihistaminiques H2 constituent le traitement
de choix ,
C - L’urticaire peut être d’origine médicamenteuse,
D - Elle peut atteindre les muqueuses,
E - Elle peut être fébrile. CT : B
Une urticaire cholinergique peut être déclenchée par
un ou plusieurs des facteurs suivants ;
Lequel(lesquels)?
1 - Une ingestion de fraises ;
2 - Une partie de tennis ;
3 - Une vaccination ;
4 - Une émotion. Compléments corrects : 1,2,3A 1,3B
2,4=C. 4=D 1,2,3,4E. CT : C
Le(les) médicament(s) le plus souvent responsable(s)
d’un syndrome de Lyell est (sont) :
1 - Les hypolipémiants ;
2 - Les anti-inflammatoires non stéroïdiens ;
3 - Les anticoagulants ;
4 - Les sulfamides. Compléments corrects :1,2,3A 1 Lequel des médicaments suivants est le plus
,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4E. CT : C susceptible de donner une éruption bulleuse?
A – Iode ;
Quel est le traitement de choix de lurticaire B - Bêta-bloquants ;
cholinergique? C - Aspirine ,
A - Corticothérapie générale ; D - Méthyl-dopa (Aldomet®),
B - Prométhazine (Phénergan®) ; E – Digitaline. CT : A
C - Hydroxyzine (Atarax®) ;
D - Désensibilisation ; L’urticaire est caractérisé par:
E - Antihistaminique anti H-2. CT : C A - Le prurit ;
B - La fugacité des lésions ;
Parmi les médicaments suivants, lequel est le plus C - Le caractère migrateur des lésions ;
susceptible dentraîner une poussées au cours dune D - Le suintement ;
urticaire chronique ? E - L’aspect papuleux. CT : ABCE
A - Corticoïdes locaux,
B – Aspirine, L’urticaire
C - Antibiothérapie générale, A - Est prurigineuse,
D - Vaccin antitétanique, B - Sa lésion élémentaire est une papule oedémateuse
E – Barbituriques. CT : B C - Est dûe à la dégranulation des mastocytes,
D - Est traitée habituellement par corticoïdes par voie
Les exanthèmes maculo papuleux d’origine générale,
médicamenteuse. E - Est traitée habituellement par crèmes anti-
1 - Sont la manifestation clinique la plus fréquente de histaminiques. CT : ABC
toxidermie ;
2 - Sont habituellement maximum au niveau du tronc Lurticaire cholinergique
3 - Sont parfois purpuriques ; A - Survient au froid
4 - Sont principalement provoqués par les B - Survient à leffort
bêtalactamines. Compléments corrects : 1,2,3A 1,3B C - Survient lors démotions
2,4=0 4=D 1,2,3,4E . CT : E D - Est caractérisée par de très petites papules
E - Est sensible à lAtarax®. CT : BCDE
Lurticaire est caractérisée par:
A – Erythème, 12- Alopécie :
B – Suintement ;
C - Prurit ; Parmi ces maladies alopéciques, deux peuvent
D – Bulles ; entraîner une alopécie définitive :
E – Squames. CT : AC A – Trichotillomanie,
B - Pelade ,
L’urticaire cholinergique : C - Pseudo-pelade,
A - Est déclenchée par l’effort ; D - Teigne microscopique ;
B - Est déclenchée par la chaleur ; E – Kérion. CT : CE
C - Se présente cliniquement sous forme de petites
papules oedémateuses ;
D - Comporte histologiquement des signes de
vascularite ;
E - Se traite par corticothérapie générale. CT : ABC

B.Nadir
La prise d’un médicament peut être à l’origine
d’éruptions cutanées de type(s)
A – Scarlatiniforme ;
B – Morbilliforme ;
C – Purpurique ;
D - Nécrolyse épidermique ;
E – Urticarienne. CT : ABCDE