DROIT DU NUMERIQUE

Cas entreprise la POSTE :

PRESENTATION DE L’ENTREPRISE :

La Poste est le deuxième employeur de France, juste derrière l’Etat. Depuis les années
XXXXXXXX, elle a adopté un modèle multi-activités, afin d’affiner sa position de 1er opérateur
de confiance.

Le groupe comprend aujourd’hui cinq entités :

1.      La branche Service Courriers Colis,

2.      La branche Réseau La Poste,

3.      La branche La Banque Postale,

4.      La branche Geopost,

5.      La branche Numérique (laquelle j’ai rejoint).

A l’heure actuelle, la poste met l’accent sur le développement de ses activités économiques
en ligne. Le site laposte.fr, l’application L’Identité Numérique (IN) (Elle est utilisée par des
particuliers qui peuvent grâce à elle, accéder à certains services (impôts, CAF, demande de
passeports, assurance maladie, retraite, courriers recommandés numériques, signature
numérique sécurisée entre autres…), avec un mot de passe sécurisé unique...) ; sont de bons
exemples de sa nouvelle orientation stratégique.

 Thème 1 - Vie privée et vie professionnelle en entreprise

 Activité 1 - Vie privée et matériel professionnel

 Partie 1 - Le cadre réglementaire

Avec la révolution technologique, la plupart des postes sont aujourd’hui sont

équipé d’ordinateur et de connexion internet.

D’un point de vue générale, l’employer n’as pas le droit de détourner le matériel
professionnel en usage personnel. S’il le fait c’est selon la charte
informatiques définissant le cadre d'utilisation du dit matériel.

En effet, l’employeur doit définir les conditions d’utilisation du matériel fourni par
l’entreprise et informer les employés des règles des conditions d’utilisation du
matériel informatique et des sanctions qui subiront en cas de manquement à ces
règles.
 Partie 2 : Mise en pratique

Dès l’instant où l’employé utilise le matériel professionnel à des fins personnelles

sans l’autorisation du chef d’entreprise, il est dans l’illégalité. Toutefois, si
l’employeur accepte un temps cette utilisation personnelle, il devra alors avertir
l’employé qu’il met fin à sa tolérance par un courrier, une réunion, ou tout autre
moyen d’information. Si le salarié continue malgré l’avertissement, des sanctions
pourront alors être prises.