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Samedi 10 juin 2023

NZIE
LUCRECE DEVOIR DE GESTION DES PORTEFEUILLES ET STRATEGIE BOURSIERES
JAMILA DES ENTREPRISES

BIF3 1) Le portefeuille de valeurs mobilières est l’ensemble d’actifs financiers (options, actions,
obligations) détenu par des investisseurs.
Les valeurs mobilières que nous connaissons sont :
• Les actions : est une part du capital d’une entreprise.
• Les obligations : est une reconnaissance de dettes par l’emprunteur.
Les caractéristiques des obligations sont :
• La valeur nominale : est la valeur comptable qui a été initialement prêtée. Elle
sert de référence pour le calcul du remboursement et des intérêts.
• Le prix d’émission : est le prix à payer pour acquérir l’obligation à son émission.
• Le taux facial ou nominal est le taux d’intérêt appliqué au nominal de
l’obligation pour calculer le montant des coupons.
• Le prix de remboursement : est le montant perçu par l’acquéreur pour toute
obligation arrivée à échéance.
• Le remboursement ou amortissement.
Les caractéristiques des actions sont :
• La perception des dividendes ;
• Le détenteur est appelé actionnaire ;
• Droit d’intervenir sur la gestion des entreprises ;
• Elle n’est pas remboursable ;

2) Le marché financier est un un marché des capitaux à long terme.


Les deux compartiments du marché financier sont :
• Le marché primaire : qui est le marché de neuf, celui des émissions des titres.
• Le marché secondaire : est le marché de l’occasion, celui où les transactions
s’opèrent entre ceux qui souhaitent vendre des titres déjà émis et ceux qui désire
les acquérir.
Les fonctions du marché financier primaire sont :
• Le financement des agents économique ;
• L’allocation des ressources ;
• L’introduction en bourse ;
• L’augmentation du capital ;
• L’émission d’obligations.
Les fonctions du marché financier secondaire sont :
• La fixation du cours des titres : donner de la valeur des titres cotée par l’offre et
la demande ;
• Permet la liquidité des titres : c’est à dire ceux qui veulent vendre le vende et
ceux qui veulent acheter l’achète ;
• Evaluer les entreprises qui émettent les titres qui sont cotées sur ce marché ;
• Les restructurations du capital des entreprises cotées.
3) Le risque est un danger éventuel plus ou moins susceptible de faire perdre ou de gagner
lors d’une opération financière.
Les risques que court le détenteur d’un titre de valeur mobilière sont :
• Le risque de taux : permet de mesurer la valeur d’une obligation. Ils peuvent
augmenter, diminuer et ainsi rendre plus ou moins attractif l’investissement en
obligation si on les compare à la valeur des coupons ;
• Le risque de dépréciation du court titre : si la valeur actuelle est inférieure à la
valeur d’achat, l’entreprise doit enregistrer une dépréciation des titres ;
• Le risque de liquidité : correspond à celui qu’un investisseur pourrait prendre en
détenant une ou plusieurs obligations dont la valeur de transaction sur les marchés
est faible. Autrement dit, s’il décide de vendre son obligation, il fait face à un
risque de liquidité s’il ne trouve pas de contrepartie prête à la racheter.
• Le risque de défaut de l’émetteur : lorsqu’on prête de l’argent à quelqu’un, il
existe toujours un risque que ce dernier ne puisse vous rembourser. Ce risque
s’applique aux obligations on l’appelle risque débiteur ou risque de défaut.

4) Les motivations d’une entreprise d’intervenir en bourse en qualité d’émetteur d’une part
et d’investisseurs d’autre part sont :
Les motivations d’une bonne entreprise en bourse en qualité d’émetteur sont :
• La recherche de nouveaux investissements ;
• L’allègement des endettements.
Les motivations d’une bonne entreprise en bourse en qualité d’investisseur sont :
• La recherche d’une plus-value ;
• Fructifier son épargne.
5) Les contraintes d’une entreprise qui s’introduit en bourse de la manière suivantes sont :
• L’entreprise s’expose au risque de marché et donc aux fluctuations des
cours boursiers, à la baisse comme à la hausse ;
• Les coûts élevés quant aux frais qu’elles déboursent au prêt des banques pour
cette introduction en bourse.

SUJET D’ECONOMIE INTERNATIONALE ET MARCHE


DES CHANGES

1) Le marché Forex désigne le marché de change des monnaies étrangères. Marché


sur lequel se retrouvent tous les participants désireux de vendre ou d’acheter une
devise en échange d’une autre devise.
2) Les prix qui se déterminent sur le marché des changes sont appelés :
• Le cours de change ;
• Taux de change ou parité officielle.
b) Le cours de change est établit en fonction des variations du marché tandis que le
taux de change est fixé par les autorités des pays concerné et est maintenu fixe.
3) Le BRI : banques des règlements internationaux
Elle est concernée par les opérations de change car : elle permet le règlement entre
les banques centrales : c’est le lieu ou les banques centrales échanges leur monnaie.

4) Un marché liquide est un marché ou les transactions peuvent se faire sans difficulté
et elles se font rapidement dans sa vitesse de transaction.
On peut mesurer le niveau de liquidité d’un marché par le volume des transactions.

5) Le régime de change flottant est un système dans lequel la valeur des monnaies
unes conte les autres varie au quotidien en fonction de l’offre et de la demande.
C’est dans les années 1970 que le système de change flottant généralisée a vu le jour
à cause de l’échec des accords de BRETTON WOOD et l’incapacité des américains
à maintenir le système fixe.
6) Le régime de change flottant aurait contribué à la croissance du volume des
transactions sur le marché des changes en :
Donnant l’opportunité de réaliser des profits grâce aux déséquilibres qui existe dans
les transactions soit dans la spéculation ou arbitrage.
7) Les dollars que nous connaissons sont :
• Le dollar Australien
• Le dollar Américain
• Le dollar Canadien.
Ce dont il est question ici est : le dollar Américain
Il en est ainsi pour la plupart des statistiques économiques au niveau mondial parce
que : Le dollar est la principale monnaie des échanges internationaux.

SUJET DE RELATIONS BANCAIRES INTERNATIONALES


1) Définitions
• La banque internationale est une banque qui mène des activités à l’échelle
internationale mais par le biais de ses correspondants.
• L’activité bancaire transfrontalière est l’ensemble des transactions
bancaires qui mettent en présence deux ou plusieurs pays.
• La mondialisation des services financiers est l’extension à l’échelle
internationale des prestations financières na tionales qui en se
rencontrant constitue une sorte de système financier unique.
• Prêts extraterritoriaux sont l’ensemble de concours bancaires constitués par
des prêts dont les bénéficiaires se trouvent dans d’autres pays.
• Centrale des risques est un dispositif généralement mis sur pied par la banque
centrale permettant de répertorier la liste de certaines personnes ayant
bénéficier des concours bancaires dépassant un certain seuil.
2) Les effets positifs de l’internationalisation bancaire sur l’économie d’un pays
sont :
• Si les banques étrangères arrivent sur le marché, elle va créer des ressources
nouvelles créant ainsi que la production qui va s’accroître.
• Elle va également payer les impôts ce qui va augmenter les recettes de l’Etat
et donc du pays.
• Elles vont aussi du fait de la concurrence, faire des offres plus sûres afin de
conserver leurs parts de marché et ainsi créer une stabilité financière.
• Elles viennent également avec certaines pratiques qui peuvent être spécifique
à leur marché domestique et qui seront copiés par les banques nationales et qui
peut contribuer à améliorer leurs performances.
3) Les risques de l’internationalisation d’un système bancaire qui peuvent générer
pour ce système sont :
• La criminalité financière (le blanchiment et le financement du terrorisme) ;
• Le risque systémique d’origine étrangère en ceci qu’une banque étrangère
qui a une représentation dans un autre pays à des difficultés financières, elle
affectera sa filiale et si celle-ci avait des dettes financières vis-à-vis des
banques locales celle-ci peuvent s’effondrer.
4) Présentons les traits caractéristiques de la crise de 2007-2009 dont parle le
texte :
• Le manque de liquidité ou crise des solvabilités des banques ;
• Difficulté des Etats à se financer eux-mêmes
• L’ajustement brutal à la baisse du marché boursier signifie que les valeurs
mobilières ou boursières perdent une bonne partie de leurs valeurs en bourse.
5) Les exemples de reprise par des banques des PVD de banque initialement
détenue par des banques de pays riches sont :

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