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Comment faire

des visuels
«PRO»
En12 étapes?
Guide de la communication
facile sur “Internet”

JohnMBAPOU
Comment faire
des visuels
«PRO»
En12 étapes?
Guide de la communication
facile sur “Internet”

John MBAPOU
SOMMAIRE
I-PRÉSENTATION P2
Comment communiquer aisément sur le web? P4
II- Les étapes de la conception d’un visuel « PRO » P9
Étape 1- Le choix du concept P10
Étape 2 - Quels logiciels utiliser pour fabriquer nos visuels ? P11
Étape 3 - Comment utiliser les logiciels gratuits ? P12
Étape 4 - Maîtriser les outils et les palettes logiciels P14
Étape 5 - Comment configurer un logiciel pour un visuel ou
un life ? P16
Étape 6 - Le choix des formats d’exportation ou importation P17
Étape 7 - Les formats de bases pour visuels P23
Étape 8 - Comment concevoir le graphisme de votre visuel p25
L’identité visuelle p25
Étape 9 : Les attentes du public ciblé par notre visuel p27
Étape 10 - La concordance des couleurs p29
Étape 11- Les conversions et les rendus p30
Étape 12 - Le Marketing du futur visuel p34
III- EN DÉFINITIVE p35
Bibliographie p37
Weblographie p37
Morning sun at Mimboman

I- PRÉSENTATION
Les Étapes d’une communication réussie sur le WWW (World
Wide Web), la toile ou le nuage numérique, sont diverses et parfois
délicates à maîtriser. D’autant plus qu’on observe une certaine
abondance d’outils: logistiques, didactiques, logiciels, de moyens
visuels et/ou audiovisualisés, qui pousse à la confusion. Comment
Bien faire notre marketing, notre Branding de nos Jours? Cette
profusion de moyens techniques souvent, justifie, une difficulté des
usagers à pouvoir se présenter, à présenter leur structure, leurs
produits, à mener une campagne d'information sur internet ou
simplement, à se présenter.

2
Nous n’y insisterons pas davantage ; bien que les raisons de cet
embarras soient légitimes. Avant de répondre à cette préoccupation
principale sur le self Marketing, il est nécessaire de rappeler en
quelques lignes les motifs de ces limitations, de ces difficultés à
communiquer sur la toile ; à savoir :

 La méconnaissance du domaine informatique et


surtout des outils de communication ;
 La grande quantité de programmes et d’applications
disponibles sur le web ;
 La difficulté à prendre en main certains logiciels
(interface graphique plus ou moins complexes,
connectiques parfois moins habituelles à première
vue,…) ;
 L’instabilité des connections internet(le moindre
développement des connections web dans certaines
zones géographiques du globe terrestre) ;
 Et, la difficulté à prendre son temps pour s’habituer à
travailler (la paresse, l'organisation) de manière
structurée et régulière sur certaines plateformes
numériques ;
Et surtout la régularité à consacrer un lap de son temps
journalier pour répéter les mêmes choses, afin de mieux
assimiler.
Ces quelques griefs observées ne sauraîent seules justifier ce
léger désœuvrement des usagers face à la « chose numérique

3
». On peut y associer le dénuement et l’ignorance dus au
suivisme généralisé, tous suscités par les effets de mode
mêmes sur internet.

4
Dans une logique davantage offensive, ce guide intitulé « Comment

faire des visuels « pro » en 12 étapes », se propose d’apporter un


début de solutions à nos difficultés et limites quotidiennes à
communiquer sur internet.

De manière explicite il participe à faciliter et à rendre plus fluide les


échanges sur le net. Mieux encore, il permet après lecture de
mieux appréhender les moteurs de recherches( Google, Mozilla,
Internet Explorer, Linux ) et de manière seconde, de bien se
présenter et naviguer en toute confiance sur les plateformes
d’échanges sociaux( Facebook, Whatsapp, échanger sur : Two ,
Snapchat, Instagram, Twitter, Linkedin, Youtube.., pour ne lister que
certaines.

Néanmoins, cet instrument didactique ne sauraît constituer un outil


fondamental sur la sécurité internet, qui relève d’un tout autre champ
de compétence.

• Comment
communiquer
aisément sur le
web?

Je répondrai par l’affirmative ;


en utilisant les moyens de
communication tels quels:
source. Google doc.

4
les visuels et/ ou les vidéos, les audios, de manière appropriée aux
attentes du public cible et surtout aux contextes dans lesquels se
situe la thématique de l’échange.

Trop générique me direz-vous n’est-ce pas ?

En d’autres termes, il s’agit d'utiliser les moyens de communications


numériques et surtout le nuage numérique, de manière à respecter,
à échanger, de façon conviviale avec son alter égo situé à plus ou
moins grande distance du chez-soi. Ce qui implique le respect d’un
certain nombre de préalable : la connexion, l'interactivité, l'usage
d'un langage adapté au contexte et à la plateforme, et surtout le
respect des normes de communications et/ ou des normes légales
culturelles et administratives exigées par la plateforme, et surtout la
société.

Ainsi dans un site de bande dessinée pour mineur, vous verrez par
exemple les mentions -3, -7 -15-18.

D’autres directives sont à respecter pour mieux échanger sur le net.


Aussi, communiquer mieux, comme un « PRO » sur le net revient
davantage à savoir comment bien se présenter.

5
Pour ce faire, la meilleure manière, du moins, la plus accessible
est d’utiliser les visuels. Qu’en sera-t-il des personnes qui sont
davantage portés sur la perception sonore ?

Mêmes ces derniers sans s’en rendre compte, utilisent des visuels
pour mieux présenter leurs produits sonores. Je n’insisterai point sur
les kinesthésiques.

La communication par les visuels dans des contextes particuliers de


populations démunies, peut vite devenir une source de dénouement
autre. Elle peut devenir une source de sortie massive de moyens(
un passif) aussi, afin de résoudre cette limitation, ce guide vous
permettra en 12 étapes et trente minutes par jour au moins, de
concevoir et réaliser vous-mêmes, à moindre coût évidemment, vos
visuels. Ceux de manière professionnels (c’est-à-dire en respectant
un certain nombre de critères et préalables mentionnés en amont).
Normes qui participent à transmettre de manière efficace notre
message à qui nous voulons (public cible).

De fait, comment communiquer avec autrui si ce dernier ne vous


saisi pas correctement, ou si l'objet de votre échange reste
trouble ?

Sur Facebook, par exemple, les life sont devenus un objet de


communication a priori facile, qui aident à se passer de l’écrit.
Aussi comment configurer sa page Facebook life, afin qu’elle vous
permette de communiquer avec des milliers d’autres internautes de
manière instantanée ?

6
➢ Quelle image mettre sur son mur afin d’éviter les disputes
avec X ou Y personne? Laquelle, pourrait s’offusquer
de l'utilisation sans son avis, de son image.
➢ En outre, comment importer, au mieux, télécharger tel ou
tel document visuel pour le mettre sur notre Blog ?
➢ Comment se créer sa chaîne Youtube ?
➢ Que dire des sites de rencontres et autres sites pour
adultes, dont la gestion de votre image à eux confié, est
parfois source de regrets dus au piratage ?

En substance réaliser des visuels « pro », suppose le respect d’un


processus d’apprentissage, de pratique et surtout d’accommodation à
l’utilisation des outils numériques. Démarche, qui sera ici décrite, en
douze étapes.

Elles ne sont pas limitatives, car plusieurs autres éléments


peuvent être pris en compte pour communiquer sur le web de
manière professionnelle. Trêve de parlotte, comment entrevoir cette
collaboration? L'image suivant laisse augurer de la dite relation.

7
Difficile collaboration

Ainsi, nous optons pour les suivantes qui seront ainsi déclinées.

8
II-Les étapes de la conception
d’un visuels « PRO »

Pour diminuer les coûts de communication locaux et se


prendre en charge sur le web, 12 étapes sont à respecter et à
appliquer. Ainsi, cet auto-prise en charge, permet de sortir de
l’amateurisme ambiant, dû à l'ignorance et / ou, au manque de
moyens. Elle nous amène à fuir la dépendance aux graphistes et
autres concepteurs qui parfois, ne respectent pas les clauses
contractuelles de fabrication des produits visuels que nous leur
confions( les délais, les formats de rendus ou de sorties…).

Afin de fabriquer soi-même les visuels que nous utiliserons sur


Whatsapp, Facebook, You tube, sur nos blogs et autres supports
de communications visuels, suppose d'utiliser pas forcément des
logiciels haut de gamme, ayant toutes les fonctionnalités et quasi à
jour. Encore moins, d’utiliser la dernière option de mise en page
ou mise en forme sur le marché. À cet égard, même Windows 7
et son interface permettent si l’on sait s'y prendre de faire de beaux
visuel. Que dire alors de Paint, krita et autres logiciels plus ou moins
gratuits?

Il convient de maîtriser ses outils et implémenter ses penser de


manière simple et attrayant. Et, suivre le processus suivant.

9
Étape 1- Le choix du concept

Le choix de l’image ou des concepts à afficher sur nos pages


web respectives paraît souvent anodin, pourtant il y va de notre
identité visuelle, de l’impression que nous renvoyons aux autres, à
tous ceux qui parcourent nos réseaux sociaux ou de communication,
voire, nos échanges sur le net.
A ce titre le choix du concept, au mieux du visuel à présenter, à
afficher sur une plateforme X ou Y est plus que déterminant.
Cela passe par l’idée même que nous voulons valoriser sur le
net.
Puis, le public cible à qui ce ou ces visuels sont destinés.
D’où l’idée de la perception et surtout conception même, dudit
visuel.
Sans y insister davantage, il s’agit ensuite de réfléchir aux outils
de fabrication faciles de ces visuels.

10
Étape 2 - Quels logiciels utiliser pour
fabriquer nos visuels ?

Cette étape est cruciale car la suite de notre présentation sur


le web dépend de l’appréhension que les visiteurs auront de notre
page. Seulement, il est nécessaire de souligner le fait que; le logiciel
à lui tout seul ne: “sauraît faire le design”.

Toujours dans une logique de création, le choix d’un logiciel


((gratuit ou payant) que nous maîtrisons ou commençons à bien
appréhender est vital. Car de lui dépendra la suite de la création.

En l'occurrence, le graphisme d'une page de couverture d’un Ebook


en 3D sur Photoshop, Indesign, sera fort différente de la même
page en 3D, rendue sur : Paint, Gimp, voire, sur Canva ou Krita.
Aussi, choisissez le /ou les logiciels que vous maîtrisez mieux,
pour concevoir vos visuels.

Logiciels recommandés

Doodle Maker: https://bit.ly/2VEWG3Z


VideoCreator : https://bit.ly/3yTXZKB

11
Étape 3 - Comment utiliser les logiciels
gratuits ?
Ce choix a priori banal souvent, conditionne la suite du projet,
surtout quand il s’agit de respecter certaines exigences graphiques
ou dynamiques de la conception graphique, difficiles à opérées
sur certains logiciels gratuits. Cependant, Krita, Gimp, ou Sketch
studio constituent de belles alternatives aux outils professionnels
proposés par plusieurs autres logiciels.

Le choix des typographies souvent limités, peut entraîner des


dépenses autres.

A ce niveau l’utilisation de logiciels gratuits, ne suppose pas


qu’ils le soient en totale partie. Pour accéder à certaines
fonctionnalités telles que: la vitesse d’exécution, l'ajout de certains
proxys, des filtres supplémentaires, et même l’aisance de
maniabilité des outils, peut amener l'usager à s’abonner à telle
ou telle autre plateforme pour utiliser la version mensuelle ou
annuelle payante du logiciel. Et par surcroît des frais
supplémentaires, logique qui est difficile à faire pour les personnes
démunies.

Bien que, l’utilisation de logiciels gratuits pour concevoir


simplement nos visuels, justifie la même rigueur que celle utilisée
sur les logiciels payants. Mais ces gratuits commande une plus
grande disponibilité temporelle.

12
Comment travailler par exemple la lumière sur cette image
d'automne africain, (image non retouchée)? Exercice pour ceux qui le
peuvent en utilisant la version Word du PDF.

L’automne arrive

13
Étape 4 - Maîtriser les outils
et les palettes logiciels

C’est le préalable incontournable à la fabrication d’un visuel


professionnel. Ainsi , sur krita par exemple l’ interface
changeable à souhait et hyper dynamique semble un plus
pour les graphistes et moins pour un amateur (débutant) qui se
lancerait dans le graphisme.

Ce constat est miens, car la maîtrise de l’interface de Gimp a


priori difficile pour une prise en main, se rapproche fort logiquement
de celle de Photoshop, l'important étant de savoir si l’on sur
Mackintosh, sur Window ou linux. Car les points de convergences
sont nombreux : la barre d’espacement, les traits gauche ou
droite, haut ou bas pour se déplacer dans le document, les
boutons shift ou contrôle pour contrôler un ensemble
d’éléments à traiter. Contrôle Z par exemple dans krita ou
Photoshop sert ainsi à soit, supprimer un élément du document, soit,
à reculer d’une manipulation, ou d’une tâche effectuée.

14
Ce retour en arrière pratique, n’est pas toujours le cas dans d’autres
logiciels, ainsi supprimer un élément dans Paint passe par une
toute autre process.

En bref, la maîtrise des outils et des palettes (de couleurs) des


logiciels est souvent fort variée, elle nécessite une certaine
ouverture d’esprit et une plus grande disponibilité pour la prise en
main du logiciel et l’accommodation aux outils.

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Étape 5 - Comment configurer
un logiciel pour un visuel
ou un life ?

Ce casse tête chinois n’en finit pas de créer des insomnies.


Pour autant, une configuration de base, que l’on appelle
configuration par défaut du logiciel est souvent effectuée lord de
l’installation dudit programme.

La configuration en elle-même dépend ainsi des objectifs que l'on


s'est fixé, des moyens de communication et surtout des
connectiques et de la connexion disponible; si l'on procède à un
life ( une diffusion en direct d'un élément visuel ou audio ) sur un
internet.

Cette étape étant vaste, il convient pour le moment de relever


que la configuration face book autrement dit le paramétrage des
outils et/ ou options de Facebook pour un direct, sera fort
différente de celle d’un document visuel fixe tel qu'une affiche
publicitaire à exporter en PDF pour impression sur Gimp ou
Photoshop.
En outre, la compatibilité entre logiciels est à prendre en compte,
ainsi, que les formats d’exportation.

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Étape 6 - Le choix des formats
d’exportation ou importation
En continuité de la logique de configuration énoncée à l’ouverture
du document, le paramétrage nous amènera à opérer des choix
de lecture, voire, d’ d’affichage, ou de rendu du document que
nous créons. Ainsi, la résolution d’affichage 72 dpi sera préférée
lors du traitement du document sur écran d’ordinateur, à celle de
sortie ou de rendu du document en 300 dpi pour impression
finale.
La question des formats par exemple, nous ramène dans un
sens à la lancinante querelle des brevets, sur laquelle nous
n’insisterons point.
Pourquoi Apple, Microsoft, et autres créateurs n'uniformisent pas
leurs produits, pour nous faciliter la lecture, la manipulation et
autre, pourrait-on dire ?

De manière pratique, le choix des formats de traitement et surtout


de sorti de document visuel est fort dépendant des formats natifs
(originels) des logiciels utilisés. Cependant, elle peut davantage,
venir des usages futurs à opérés. Ainsi, un PDF standard, sera
différent d’un PDF pour impression, un PNG sans transparence,
d’un JPEG, JPG, d’un TIF, ou d’un WEBM et un OGG. Que dire

17
ensuite du format Kra de Krita ou d’autres rendus standardisés de
l’industrie audiovisuelle ?

Le choix des formats enfin de compte, est une question de qualité


esthétique et technique, une notion d’usage et une préoccupation
davantage marketing.
Au niveau d'un individu X ou Y qui communiquera sur facebook
ou sur Twitter ou Skype, il s’agit simplement d’avoir des visuels
biens présentables, en résolutions moyennes ou élevées, de
formats ( JPEG, TIF ou PNG) , qui faciliteraient leur importation sur
la plateforme utilisée, et encore leur usage et la célérité d’usage
sur les plateformes de réceptions. Que penser du responsive
design au jour d’hui?
Car plus un document est lourd, plus il ralenti l’importation et
surtout la dynamique de la page sur le site web utilisé.

Cette donnée devient de plus en plus relative avec l’arrivée du


très haut débit (et surtout de la 5G avec ses inconvénients et ses
avantages).

De plus le choix du format souvent conditionne toute la suite du


projet.
Vue les difficultés à choisir l'orientation que nous donnerons à nos
visuels, il est souvent opportun de choisir un format adapté à la
campagne de communication ou à l’échange plus ou moins
publicitaire que nous ferons par la suite. Aussi, les
formats sont divers et présentés ainsi de suite :

18
Le MPEG-4: également appelé ISO/CEI 14496, est une norme de
codage d'objets audiovisuels spécifiée par le Moving Picture Experts
Group (MPEG). La norme MPEG-4 spécifie d'abord des techniques
pour gérer le contenu de scènes comprenant un ou plusieurs objets
audio-vidéo.

Le Wave : WAVE, ou WAV en rapport avec son extension de fichier),


est un format conteneur destiné au stockage de l'audio numérique
mis au point par Microsoft et IBM. Le format WAVE est construit
conformément au Resource Interchange File Format, c'est pourquoi
on parle parfois de « RIFF/WAVE

Le JPEG : Joint photographic( picture) expert group, c’ est un


Format de fichier graphique permettant des taux de compression
impressionnants mais au détriment de la qualité de l'image : la
compression se fait avec perte d'information. L'extension de fichier
correspondante est JPG. Ce format ne supporte pas la transparence
contrairement au GIF. La norme JPEG utilise l'ADCT (transformée en
cosinus discrète).

JPG : Format de fichier graphique permettant des taux de


compression impressionnants mais au détriment de la qualité de
l'image : la compression se fait avec perte d'information. L'extension
de fichier correspondante est JPG

Le TIF ou TIFF : Tagged image format

Le format TIFF est un ancien format graphique, permettant de stocker


des images bitmap sans perte de qualité.

19
PSD : photoshop source document, format natif issu de
Photoshop, c’est un format propriétaire destiné à l'utilisation du
logiciel Adobe Photoshop. Il est cependant, partiellement, pris en
charge par d'autres logiciels de traitement d'images ainsi que de
Publication assistée par ordinateur, tels queGIMP.

PDF : Portable Document Format, est un format de document


portable, très pratique car le document ne peut pas être modifié et il
peut être ouvert par tous les ordinateurs. Par extension, le terme PDF
désigne le document encodé dans ce format.

PNG :

Source. Google doc

Le Portable Network Graphics (PNG) est un format ouvert d'images


numériques, qui a été créé pour remplacer le format GIF, à l'époque
propriétaire et dont la compression était soumise à un brevet. Le PNG
est un format sans perte spécialement adapté pour publier des
images simples comprenant des aplats de couleurs.

20
WEBM: A video file format from Google that is one of the native
formats in HTML5. Based on a Matroska profile, WebM was
introduced in 2010 with support for the VP8 video and Ogg Vorbis
audio codecs. In 2013, VP9 video and Opus audio were added. See
Matroska, Ogg Vorbis and HTML5. For the still image counterpart,
see WebP. VP8 Video Codec WebM acts as a container for the VP8
and VP9 open source compression methods. Originally from On2
Technologies, VP8 was turned into a royalty-free product after Google
acquired the company in 2010.

NB: C’est un format de fichier multimédia ouvert, principalement


destiné à un usage sur le web. Il s'appuie sur un conteneur dérivé de
Matroska, et regroupe des flux vidéo codés en VP8 et des flux audio
codés en Vorbis1. Ce format fait partie des formats vidéo proposés
pour la balise <video> de HTML5 2,3. Il est amené à remplacer le
premier format ouvert proposé, Ogg Theora, et fait concurrence au
format fermé H.264.

OGG : est le nom du principal projet de la fondation Xiph.org dont le


but est de proposer des formats et codecs multimédias ouverts, libres
et dégagés de tout brevet.

C’est aussi le nom du format de fichier conteneur proposé par ce


même projet. L’extension .ogg est une des extensions possibles pour
les fichiers au format Ogg. Par abus de langage, on appelle
couramment « fichier Ogg » un fichier audio au format Ogg contenant

21
des données audio compressées en Vorbis, l’un des codecs du projet
Ogg.

La fondation Xiph.Org a pourtant créé un ensemble d'extensions pour


les différents types de contenus :

● .oga pour les fichiers audio uniquement;


● .ogv pour la vidéo (généralement encodée avec Theora) ;
● .ogx pour les applications 1.

KRA : format natif utilisé par Krita. C’est un format de travail, qui
permet notamment de pouvoir manipuler les calques ou autres effets du logiciel.
Avec la possibilité d’être converti en PDF sans altération du fichier de départ.

A ces derniers s’ajoutent différents autres formats plus o u moins


gratuits qui inondent le marché des produits visuels. L’important
étant l’orientation et la destination finale de la création
Et la maîtrise des outils créatifs afin de transférer de manière
optimale, l'idée visualisée en réalité observable et délectable.

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Étape 7 - Les formats de bases
pour visuels

Il en existe de toutes sortes, aussi il convient faire le distinguo


entre les différents domaines de la création visuelle qui est
indissociable des arts graphiques.
Mais à notre niveau ; celui d'un simple échange sur le net,
voire, d’une communication sur une plateforme d’échanges
d’amabilités, ou un blog, il est intéressant de s’arrêter sur quelques
formats natifs :

Celui de Facebook rectangulaire, plus proche d'un A3 mais aux


dimensions rectangulaires (portrait) exemple:
180 pixels de large et 180 pixels de haut minimum. Photo de
couverture : 851×315 pixels, selon les recommandations de
Facebook. Ou Photo de 1200×630 pixels, affichée en 514×268 pixels
sur les pages. …
Celui de Twitter plus vertical aux dimensions de:
la photo de profil Twitter : 200 x 200 pixels. Les dimensions de la
photo de couverture : 1500 x 500 pixels. Les dimensions d'une image
partagée sur Twitter en : 1024 x 512 pixels. ...
Celui de Youtube, qui est format en MP3 OU 4 selon les
possibilités du communiquant.
NB:Le format XML de YouTube est en train d'être remplacé par le
format DDEX ... MPEG-4. Codec vidéo : H.264; Codec audio :AAC;

23
Débit binaire audio : 128 kbit/s ou ... Audio MP3 dans conteneur
MP3/WAV; Audio PCM dans conteneur WAV.

Pour ce qui est de l’affichage en extérieur ou sur les réseaux


sociaux, les formats pour communication publicitaire sont similaires
à ceux couramment appliqués dans le monde de la pub, Toutefois,
leur représentation miniaturisée sur le support d’affichage, écran tv,
téléphone ou écran d’ordinateur, participe de plus d'une question
actuelle qui est celle du responsive design. Ainsi, le respect des bases
du graphisme selon les outils logiciels à votre disposition
concourt à la présentation d’un format visuel adéquat au public
et à la plateforme sur laquelle il est diffusé. Aussi, ce guide ne
sauraît suppléer aux écoles de graphisme.
Il essaie de manière explicite de constituer un catalyseur pour
faciliter votre appréhension de la communication grâce aux visuels.

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Étape 8 - Comment concevoir
le graphisme de votre visuel
La conception graphique est certes aisée pour certains “pro”, elle
passe cependant par beaucoup de travail et la maîtrise de concepts
basiques du graphisme tels que: la charte graphiques et l’identité
visuelle, que tout débutant pourra bien tôt mieux utiliser.

La charte graphique suppose le respect de certains préalables tels


que: les traits, les couleurs, les typographies, les caractères et
polices, leurs empâtements, et surtout les perspectives ou
orientations visuelles à opérer.

● L’identité visuelle

Le respect de tous les paramètres précités et surtout leur


ordonnancement en tenant compte des consignes de départs
prescrites ou que nous nous sommes fixés, participe à la
construction et à la hiérarchisation de notre identité visuelle.

De manière littérale l'identité visuelle est à notre sens, l’ensemble


des éléments visuels et graphiques (traits couleurs, bordures,
proportions, variables et vecteurs,.. qui composent votre apparat
visuel, ainsi le Cameroun sera davantage reconnu au niveau visuel;

25
par son identité visuelle chromatique qui est constituée du vert-rouge-
jaune sans omettre l’icône étoilée au centre.

Quand d’autres seront davantage reconnus par un seul élément


chromatique tel que : la couleur rouge pure la chine, voire, un autre
élément plus symbolique tel que: le logo suggéré par la graphie du
coq en France.

Les éléments de l’identité visuelle sont nombreux, mais souvent


ancrés en un ou deux éléments prioritaires qui la définissent.

Aussi, concevoir votre graphisme consistera à vous créer un lien


visuel logique, reconnaissable, qui vous permettra d’être identifié
chaque fois qu’une image de vous ou de vos produits est diffusée.

NB :

POUR MIEUX ASSURER VOTRE BANDING, VOIR ÉGALEMENT =


TUBE MASTERY AND MONETIZATION BY MATT ICI
https://bit.ly/2TZGvhi

26
Étape 9 : Les attentes du public ciblé
Par notre visuel
Communiquer par des visuels suppose également la prise en
compte des attentes de notre public cible. Si nous nous adressons
à un corps administratif auquel nous proposons une brochure
pour des vacances avec excursions payants, comment comprendre
par exemple qu'à la page de couverture de ladite brochure nous ne
mettions pas l’entête de la structure concernée ou du moins son
logo pour mieux l’amener à lire notre visuel?

Il en va de même d’ une campagne marketing sur nos produits


de fabrication locaux tels que: des yaourts ou des biscuits avec une
affiche sans logos ou une image de packaging moins attrayante du
produit à présenter par peur de dépenser plus pour l'impression, ou
de la répression dite des impôts qui nous identifieraient vites, ou
simplement par peur de contacter un photographe et lui payer pour
nous faire des photos, de haute qualité.

Les exemples de manquement aux attentes du public ciblés


sont légions, aussi pour y remédier, nous allons lister quelques
attentes susceptibles d’être citées par les différents publics en
regardant nos communications sur le web :

· Les logos;
28
· L’harmonie des couleurs;

· Les symétries;

· Le rendu des images imprimées ou de ceux non dé-

pixélisés, celui des couleurs sur les images imprimées;

· La lecture aisée des informations contenues (date de

l’événement, lieu, prix, et surtout thème, …);

· Le comment nous faire contacter (adresse web ; lien, email,

téléphone…).

Somme toute, les attentes du public cible étant plurielles, le


respect de certains constances, permettront toutefois d’atteindre
notre objectif : celui d’une communication réussi.

29
Étape 10 - La concordance des couleurs

Le graphisme étant une science totale, nous ne reviendrons pas


aux bases enseignées dans les écoles, toutefois, il est utile de
rappeler que la concordance des couleurs est quelque chose de
naturelle, notre œil est souvent gêné par une perception
disharmonieuse des couleurs sur une image ou dans une vidéo.

Cela peut être lié à un dysfonctionnement physique, une maladie


de perception visuelle (carence de cônes ou de bâtonnets,...), ou
dans la majeure partie des cas, à un choix déséquilibré, ou, une
incompatibilité des couleurs (Cercle chromatique et harmonisation
des tons).

A ce titre, la concordance des couleurs en graphisme fortuite.


L'usage des nuances de couleurs d’affichage numérique pour
impression papier, n’est pas forcément celle utilisée en audiovisuel,
toutefois, certaines corrélations demeurent.

En l'occurrence, les couleurs chaudes et vives ( rouge, jaune,


orange…) et les couleurs froides( bleu, violet ou cyan..), lesquelles
font face à la dualité chromatique du noir et du blanc.

L’on parle dans le jargon de couleur primaire et de couleur


complémentaires ou secondaires et / ou tertiaires.

Les différents diagrammes chromatiques des logiciels illustrent ces


éléments à suffisance.

29
A votre niveau de lecture, la création d'un visuel harmonieux
implique le respect des binômes de couleurs. Au mieux, l'utilisation
des couleurs de manière à reproduire la charte graphique créée
en amont pour vos visuels et surtout l'identité visuelle du produit
créé.

Étape 11- Les conversions et lesrendus

La concordances des couleurs étant prise en compte, le


premier draf visuel achevé », nous allons à présent passer à la
conversion (une sorte de conformation ou de compression du
document) surtout dans le cas des visuels vidéos, puis au rendu
final du document.

Ces deux étapes sont à respecter scrupuleusement quand on


veut faire un visuel professionnel. Mais il est à relever que
certaines plateformes de travail de documents en ligne tels que
:

I Love, Canva, et autres procèdent automatiquement à la


conversion numérique des documents au fur et à mesure que
vous évoluer dans la conception de la création. Il vous reviendra
simplement de procéder au choix du format de rendu définitif.

sans omettre la question des types de rendus selon les plateformes


et les usages ultérieurs qui seront faits(le rendu des logo en

34
plusieurs format différents de celui d'une affiche pub ou seul le
PDF pour impression et non celui standard).

Revenu aux deux préoccupations de fin de création, nous dirons


que :
La conversion de documents visuels est indispensable pour une
meilleure lecture dudit document par les processeurs d’affichage
images et de référencement des appareils sur lesquels ils seront
plus tard diffusés. Ainsi, elle consistera en une forme de compression
du document en respectant certaines normes de conversion (RVB ou
CMJN, ou autres, selon les finalités à opérer).

Dans le cas d'un document visuel vidéo, la conversion du


document suppose sa conversion pour normes de diffusion PAL
SECAM ou NTSC, en solution progressive ou entrelacée.

Ce lexique technique n’est pour l'instant pas une préoccupation


majeure, vu qu’une grande partie du processus se passe de manière
systématique et souvent automatisée.

Les rendus vidéos ou photos des créations dépend en grande


partie des choix de départ opérés par le créateur que vous êtes.
Ainsi, au départ , à l’ouverture du document sur Gimp, Krita ou
Photoshop, vous avez choisi un format d’affichage en 72 dpi,
pour une lecture rapide, tandis que pour le rendu au mieux,
l’exportation finale du document photos par exemple pour impression
35
vous serez amener à changer la résolution en 300 dpi, pour avoir
un standard d'impression de qualité. Bien que l’ajout de la
résolution augmentant le poids final du produit créé.

Toutefois cette contrainte créative est allégée par la sortie du


document pour impression en PDF, ce qui n'exclut pas de prévoir

le même document en format PNG ou PSD, voire d'utiliser le format


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Étape 12 - Le Marketing du futur Visuel

Il a souvent commencé en amont, dès les consignes mêmes


laissées par le client pour lequel on conçoit ledit visuel. Ou, le
public cible auquel nous destinons notre visuel.

Ainsi dans une page Facebook locale et surtout un groupe d’amis


ou de camarades de lycée, les photos de familles sont souvent
permises mais sous quel angle seront-elles présentées? Qu’est-ce
qui sera omis et quels éléments sera permis, pour la visibilité et
la réputation des autres membres du groupe ? L'on parle en
l'occurrence de l’image de marque dans certains autrescadres.

Dans le cas d’une communication informative pour une entreprise,


l'identité même visuelle, de ladite entreprise, est à respecter; afin
d’assurer une communication fluide et exacte des messages
suivants.

En fin, le marketing par les visuels photos, ou vidéos est une


variable corrélée à celle du choix même de départ du concept à
créer. Puis, aux identités graphiques et symboliques que vous aurez
choisi de donner à votre “image communicante”, tout cela dans
une logique chromatique et culturelleprécise.

A présent ces éléments éparses sont de plus en plus


faciles à prendre en main pour vous créatif en herbe, qui vous
engagé, sur le chemin du professionnalisme.

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III-EN DÉFINITIVE

Comment faire des visuels « PRO » en 12 étapes ?


Guide de la communication facile sur « Internet »,
participe de l’entreprise de mutualisation des connaissances pour
un monde numérique plus accessible, plus sécurisé et
compréhensible.
Il ne fait pas de vous des exégètes de la conception visuelle, tout
au moins, cela vous assure par ces bases créatives, et ces
préliminaires acquis, une meilleure intégration dans le monde
d’internet.

En fait, ces atouts numériques et culturels justifient votre entrée


progressive et positive dans le monde de la communicationciblée et
adaptée aux exigences contemporaines.
Cela ne sauraît nous dispenser des dépenses adéquates pour
peaufiner notre apprentissage, à savoir : l’acquisition d’autres notions
sur le dessin vectoriel et les pixels par exemple.

De façon additionnelle, le dessin et la composition d’image. Voire,


les différentes formes de perspectives pour ceux qui souhaitent aller
un peu plus loin.

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Ce parcours de création, participe toutefois à renforcer un acquit :
“celui d’une création graphique à la portée de tous et pour tous”.

Vivement de créations visuelles futures qui illumineront et


exalteront les regards des spectateurs et internautes de part le
monde. Mieux, communiqueront en non dits et sous-textes en lieu
et place de “nous”.

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Bibliographie
❏ Gavin AMBROSE et Paul HARRIS, Les fondamentaux du
graphisme, Pyramyd, 2010, 192 p.
❏ Vincent PINEL, Le Dictionnaire technique du cinéma, Armand
Colin, juin 2016, 352p.
❏ Geoffrey DORNE, Le Guide de la commande de design
graphique, 2014, 52 p.
❏ Timothy SAMARA, Manuel de design graphique - Forme et
espace, couleur, typo, images, composition, Dunod, 2019,
320 p.

Weblographie
➔ Wikipedia.org
➔ Google.org
➔ Facebook.org
➔ Youtube.com

John MBAPOU

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