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Aventures et mésaventures de Roghar :

Autobiographie (non complète pour cause de vie), d’un paladin drakéide.


Bonjour MJ, par cette brève, je vais te raconter mon histoire. Depuis ma plus tendre enfance
jusqu’à aujourd’hui : jour où notre aventure commence mes compagnons et moi.

Chapitre 1 : L’enfance

Je suis né à Balaur, un petit village en bordure des montagnes fumantes et de la foret de Methwood.
Ce village se situe dans la région de Tymanther auparavant appelée l’Unther.
Je suis un drakéide appartenant au clan de Norixius, un clan autonome de drakéide de feu. Nous étions
une famille plutôt modeste. Mon père, Nadarr, était le forgeron du clan, il créait des armes, des
armures et tout l’équipement nécessaire au bon fonctionnement du clan. Son aptitude à forgé des
armes appropriées à chacun a fait sa renommée et son prestige. Ma mère, Surina, était une excellente
guerrière de Norixus, son arme de prédilection était la lance et la hache et ses ennemis tremblaient
lorsqu’il la voyait sur le champ de bataille. Je suis né de cette union d’amour avant que la grande guerre
n’éclate. Je suis né avec une malformation, contrairement aux autres drakéides, je possède une large
queue rouge et écailleuse. J’ai passé mes première années à jouer avec Leaper, mon frère adoptif ; un
dragon de glace qui avait environ le même âge que moi et qui avait dû fuir son clan, lorsqu’il avait été
décimé par des Orcs voulant reprendre le contrôle de la région d’Unther. C’est vers l’âge de 10 ans que
j’ai commencé à comprendre la situation géopolitique et les tensions existantes entre les clans
drakéides et les orcs de la région. C’est pendant cette période que Leaper est parti du clan. Dans une
lettre adressée à mon père, ma mère et moi, il remercie mes parents de l’affection et de l’amour qu’ils
ont donnés et explique que maintenant qu’il a grandi, il ne se sent plus à sa place dans un clan de
dragon de feu. Je n’ai jamais eu de nouvelle de Leaper après cette lettre. J’ai décidé de chercher ma
voie réfléchissant sur les compétences et le métier dans lequel je serais utile au clan. J’ai appris avec
mon père les rudiments de la forgeronnerie et la fabrication d’armes. Un métier pour lequel je n’avais
aucune prédisposition, mais pour lequel je n’étais pas mauvais non plus. J’ai par la suite développé
mes aptitudes au combat avec ma mère. Je disposais d’ailleurs de beaucoup plus de facilité pour l’art
de la guerre que pour le métier de forgeron, j’ai très vite été repéré par Noriex, le chef du clan pour
prendre une place dans l’armée du clan.
Chapitre 2 : La vie de Soldat

Avant ma majorité (vers 14 ans) je suis entré dans l’armée de


Norixius sous les ordres de ma mère, j’ai vite fait mes preuves
auprès de Noriex et je suis devenu chef de la stratégie militaire du
clan. Aidé par ma mère son expérience de l’art de la guerre, nous
avons réussi à repousser les orcs lors de nombreux assauts et
pendant de nombreuses années. Nous avions remarqué néanmoins
que les attaques d’orcs étaient de plus en plus fréquentes et de plus en plus féroces.
C’est dans l’année de mes 20 ans qu’il est arrivé la plus terrible histoire de ma vie. Lors d’un raid contre
les orcs de la région. D’après les récits du seul survivant, les orcs de cette bataille étaient dirigés par
un grand orc pâle. Ces derniers, mieux organisés que d’habitude ont réussi à encercler et à surprendre
le détachement porté par ma mère. C’est lors de cette bataille que ma mère est morte, après un
combat difficile face à cet orc pale. Nous avons retrouvé sa dépouille transpercée par trois flèches et
avec une lance dans le cœur.

Après cette défaite et les nombreuses pertes subies, le moral du clan et des
troupes était au plus bas. Pour couronner le tout, les orcs fort de leur victoire
sur un chef de notre clan se préparaient à attaquer Balaur. Désemparé et
bouleversé, malgré mes conseils stratégiques, Noriex décida de créer un
nouveau détachement pour attaquer ce groupe d’orc. Il me força à diriger ce
détachement composé des derniers combattants du clan. Nous sommes donc
partit vers ce qui nous semblait être le camp des orcs, arrivé à 50 m du
campement nous nous sommes aperçus que le campement était quasiment
vide. Après avoir tué trois des quatre orcs qui était au camp, nous avons appris
par le dernier que l’orc pale était parti avec le reste de la horde pour attaquer
le village. Nous sommes donc retournés à toute hâte à Balaur, mais il était trop
tard, les orcs avaient déjà détruit le village et tué tous les drakéïdes présent.
J’ai décidé, dans un élan de rage, d’aller affronter cette horde d’orc. La bataille
fut sanglante. Mon cheval a été frappé par la lance de l’orc pale, me faisant
tomber de mon destrier et me laissant inconscient. J’ai repris connaissance
dans un village de nain à l’est de la forêt de Methwood. J’ai appris que des
marchands du village m’avaient secouru après la bataille et que tous mes
compagnons avaient été décimés dans la bataille.

Chapitre 3 : Une période de voyage

Pendant quelques années après mon rétablissement, j’ai décidé de me mettre au service de cette
communauté naine qui m’avait sauvé la vie. En m’intéressant à la culture naine, j’ai découvert les bases
de leur fonctionnement et quelques notions de l’histoire des nains. En contrepartie j’ai essayé de leur
transmettre l’art de la stratégie guerrière que j’avais appris avec mon clan et je pris part dans quelques
batailles qu’il menait contre les orcs. Mon but dans ces batailles était de retrouver l’orc pale et de
venger mon clan et ma famille. Pendant ces batailles j’ai de nombreuses fois combattu au côté de
Kildrack. C’était un allié redoutable pendant les batailles et il semblait différent des autres soldat. Ce
nain semblait en marge de sa communauté ce qui a permis de nous rapprocher est de crée une amitié
sincère. Il comprenait mon envie de vengeance de l’orc pale et a tenté de nombreuses fois de m’aider
à le retrouver. Pendant cette période, mon frère d’arme et moi avons vécu de nombreuses épreuves.
Voyant que ma quête n’avançait plus au côté de la communauté, je décidai de quitter le village de nain
pour chercher des informations dans les contrée voisines. Je n’ai trouvé dans les villes et villages
aucune information sur mon ennemi.

Chapitre 4 : Découverte de la foi

Au cours de mon voyage solitaire, j’ai eu une inspiration divine, lors d’un rêve le dieu Torm s’est
adressé à moi en me disant ses quelques mots « Prouve moi ta dévotion et je ferias en sorte que tu
retrouves ton ennemi ». J’ai décidé de me tourner vers ce dieu pour la justice et la vengeance. Dans
un second temps, ma nature et le fonctionnement des clans drakéides est revenu en moi. Comme si
l’absence de clan et le fait de vivre seul commençais à me déranger. Pour me rappeler ces moments je
me suis aussi tourné vers un autre dieu Bahamut. Ce dieux des dragons représente pour moi tout ce
que j’ai perdu : mon clan, ma famille, mes amis, … Il me donne le courage de continuer ma quête et
d’assouvir ma vengeance.
J’ai donc décider d’entrer dans les ordres des paladins de manière à me rendre utile pour les autres.
Pour prouver ma dévotion au dieux Torm, j’ai senti le besoin de devenir paladin. Je jure de faire régner
la justice et d’apporter mon aide aux plus démunis. Je protègerais la veuve et l’orphelin contre les
forces du mal, je combattrais les tyrans au nom de la liberté et je ne laisserais pas les crimes impunis.
En modifiant mon style de vie et en jurant fidélité au dieu j’espère un jour lui prouver ma dévotion et
retrouver cet orc pale.

Pour montrer mon appartenance à ces deux dieux, je possède toujours


sur moi ces deux objet : un pendentif avec un gantelet d’argent et une
pièce de platine avec la tête de Bahamut sur les deux faces.
Ces objets sacrés symbolisent ma dévotion de paladin et mon
appartenance à ces dieux. Le gantelet blanc est pour le dieu Torm,
tandis que la pièce de platine est pour le dieu Bahamut.

(Paladin, serment de vengeance, style de combat : Arme à deux main


Alignement : Loyal-Bon à Loyal-Neutre)
Récemment j’ai décidé de retrouver Kildrack pour son ??? anniversaire, j’ai entrepris le voyage jusqu’à
la foret où il habite. Nous nous sommes rendus à Baler dans l’auberge de la marmite chaude pour
trinquer à ce jour spécial. Un homme qui portait un pendentif avec une croix et un demi-cercle est
venu nous voir pour nous proposer une quête. Il fallait récupérer un médaillon de pierre runique nain
à une sorcière. Sur le chemin nous avons rencontré Devilaï, un roublard Tieffelin inefficace au combat
mais utile pour retrouver des objet et des personnes disparues. Il s’est avérer qu’Adèle, la personne à
qui appartenait le médaillon n’était pas une sorcière mais une druide et que l’homme (Grajik) faisait
partie d’une confrérie louche (ordre avec la croix et le demi-cercle). Grajik est mort d’une flèche par
un assassin et Adèle et sa famille va très bien.
Pendant la quête, nous avons tous les trois entendu parler du port de blastogne où l’on retrouve un
grand nombre de personne appartenant à l’ordre croix/demi-cercle. Après avoir effectué cette quête
nous somme aller à la taverne de Baler pour finir de fêter l’anniversaire de Kildrack. C’est en buvant
notre chopine de bière que nous avons entendu parler de la rumeur du dragon. Un fléau sévissant au
nord de Baler…………………………………. .

Résultat de la quête précédente :


Roghar :
- -2 pièces d’argent (Pépin → mendiant)
- +1 peau de belette
- +10 pièce d’or
Kildrak :
- +1 blague d’herbe médicinal
- +10 pièces d’or
Devilaï :
- -1 outil de crochetage
- +1 colier de pègre (Grajik)
- +15 pièce d’or

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