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Cours But 1 Economie Droit
Cours But 1 Economie Droit
SEMESTRE 1 : Economie
Les différentes organisations
Les fonctions de l’entreprise
Les finalités de l’entreprise et la performance
La transformation numérique et ses impacts sur l’environnement de
l’entreprise
Les conséquences du numérique sur les modes de production et de
consommation
→ Les entreprises de service : qui proposent des services (ou « biens immatériels »)
sur le marché. Leurs ressources financières reposent sur leur chiffre d'affaires et le
but de ce type d'organisations est la recherche de profits de manière durable dans le
temps.
II. Les organisations publiques
Il existe différents types d'organisations publiques.
Le but de ces organisations est de mettre en œuvre les politiques publiques (c'est-à-
dire, l'ensemble des mesures gouvernementales adoptées pour parvenir à des
objectifs précis).
III. Les organisations à but non lucratif
Il existe différents types d'organisation à but non lucratif.
a. Les associations
Les associations sont des organisations régies par la loi de 1901 qui définit leur
objectif comme non lucratif.
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Une association est une convention par laquelle deux ou plusieurs personnes
mettent en commun leurs connaissances, des moyens ou leur activité dans un but
autre que la recherche de profits.
On distingue :
- les petites associations locales comme les clubs de loisirs, les clubs sportifs...
Les ONG (organisations non gouvernementales, créées par la charte des Nations
Unies en 1946) sont des associations à vocation internationale dans divers domaines
comme l'action humanitaire, la protection de l'environnement, la défense des droits
de l'homme.
b. Les syndicats
Les syndicats sont des groupements de personnes constitués dans le but de
défendre les intérêts individuels et collectifs de leurs membres dans les domaines
professionnels, matériels et moraux.
On distingue :
- les syndicats de salariés pour la défense des intérêts des personnes employées
Exemple : CGT (confédération des travailleurs) ; FO (Force Ouvrière) ; CFDT
(Confédération française des travailleurs) ; CFTC (Confédération française des
travailleurs catholiques) ; CFE - CGC (Confédération française de l'encadrement -
confédération générale des cadres).
Les organisations à but non lucratif proposent des services à leurs adhérents.
Leurs ressources financières reposent sur les cotisations des membres et des
subventions versées par l'État.
• Les relations avec les fournisseurs : il faut conserver des liens avec les sous-
traitants, trouver des matières premières au meilleur prix… c’est la fonction du
service des achats.
b. La production
C’est la fonction classique de l’entreprise elle consiste dans la fabrication du produit
que ce soit un bien (un ouvrier qui fabrique une voiture) ou un service (un livreur de
pizza). Cette fonction a beaucoup évolué ces dernières années avec la robotisation,
la sous-traitance vers des entreprises étrangères, l’augmentation des qualifications…
Certaines entreprises ne fabriquent rien, elles confient toute leur production à des
sous-traitants (Nike par exemple).
La vente des produits peut être réalisée par l’entreprise elle-même ou confiée à des
réseaux de distribution (supermarchés, commerces…). Cela détermine des fonctions
particulières :
• La négociation client : dans le cas d’une vente à des distributeurs il faut négocier
les prix de vente, les quantités…il faut fidéliser ces réseaux de vente ou alors créer
son propre réseau de distribution (ce qui peut être facilité avec Internet ; Apple ou
Dell distribuent leurs produits quasi exclusivement).
b. La relation client
Cette fonction est essentielle pour fidéliser et conserver ses clients. Il existe en
particulier :
Le projet entrepreneurial est un projet à long terme. Or, dans une économie de
marché, la pérennité de l'entreprise dépend de sa capacité à dégager des profits,
c'est-à-dire des revenus résultant de l'excédent des produits sur les charges.
La recherche du profit apparait donc comme une finalité commune à toutes les
entreprises car elle constitue leur principal moyen de survie.
Dès lors que l'entrepreneur ne peut plus agir seul, l'entreprise va regrouper des
hommes et s'ouvrir à son environnement. Des aspirations de ces hommes et des
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• Pour les finalités sociales par exemple offrir de bonnes conditions de travail à
ses salariés
2) Les finalités environnementales et sociétales
Les finalités environnementales et sociétales peuvent être :
• Pour les finalités environnementales
Produire en préservant l'environnement, les ressources naturelles, tout en
garantissant la qualité et la sécurité des produits aux consommateurs.
Le concept de partie prenante renvoie à une vision de l’entreprise fondée sur une
gouvernance négociée, c’est-à-dire où la question du bénéfice de l’actionnaire et de
son augmentation ne sont pas les principaux objectifs à atteindre. C’est un modèle
de gouvernance dans lequel ce sont les intérêts des acteurs de l’entreprise qui sont
primordiaux, car ce sont eux qui assureront sa prospérité.
III. La performance de l’entreprise
Une entreprise performante doit être à la fois efficace et efficiente. Elle est efficace
lorsqu'elle atteint les objectifs qu'elle s'est fixés. Elle est efficiente lorsqu'elle
minimise les moyens mis en œuvre pour atteindre les objectifs qu'elle s'est fixés.
Introduction :
.
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A : Le marketing B to B et le Marketing B to C
- professionnels
- collectivités
- administrations publiques
- artisans
- professions libérales
- associations
Le marketing BtoC (Business to consumer) s'adresse à des acheteurs ou des
consommateurs composés d'individus ou de familles
Le marketing BtoG décrit l’ensemble des biens et services produits par des
entreprises –« B » pour Business (professionnels) – à destination des pouvoirs
publics – « G » pour Government (gouvernement).
Une marketplace, ou place de marché, est par définition un espace sécurisé où des
acheteurs et des vendeurs (marchands ou particuliers) se rencontrent dans le but d’y
effectuer une transaction marchande. Cet espace sécurisé appartient évidemment à
la Marketplace qui touchera une contrepartie financière.
Dans une dimension plus physique, on peut voir une Marketplace comme un marché
alimentaire dans lequel on y retrouve trois acteurs : un acheteur, un vendeur et un
opérateur. Ce dernier, qui pour un marché physique fait payer
Forte Visibilité :
– Accès à des millions de visiteurs et clients dès le premier jour
– Référencement dans les moteurs de recherche et comparateurs de prix
– Marketing de l’offre du vendeur au sein de la plateforme
Simplicité d’utilisation :
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Techniques de pointe :
– Gestion de l’hébergement des offres
– Paiement et anti-fraude gérés par la plateforme
– Constantes améliorations des plateformes
II – Les externalités de réseau (voir chapitre sur les externalités pour les
explications globales du concept)
Les externalités de réseau sont des gains à utiliser un réseau qui apparaissent
lorsque suffisamment de personnes utilisent ledit réseau.
Par exemple : plus il y a de personnes sur Facebook, plus c’est intéressant de s’y
inscrire soi-même (car la probabilité de retrouver ses proches augmente), donc plus
de personnes vont s’y inscrire, renforçant encore l’intérêt du réseau.
Autre exemple : L’intérêt à posséder un téléphone portable augmente avec le
nombre d’utilisateurs.
Introduction :
Quel est la nature des évolutions rendues possibles par le développement des TIC ?
Quelles sont les composantes de la transformation numérique ?
Quels en sont les impacts au niveau des échanges économiques ?
A : L’automatisation
Du fait qu’il soit désormais possible de commander une machine à partir d’un
ordinateur cela risque d’entraîner la suppression des postes tous les employés dont
le rôle consiste principalement à actionner les machines et vérifier que les opérations
se déroulent correctement.
B : La dématérialisation
C : La désintermédiation / ré-intermédiation
La désintermédiation ne doit pas être confondue avec un phénomène proche qui est
celui de la désintermédiation /ré-intermédiation qui se traduit par la suppression (ou
la réduction d’activité) d’intermédiaires historiques par de nouveaux intermédiaires
qui sont souvent des plateformes Internet.
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II : L’économie collaborative
Le développement de formes nouvelles d’échange économique remet en question
l’économie d’échanges.
Sans contredire fondamentalement les mécanismes du capitalisme, l’économie
collaborative opère une hybridation entre coopération et marché qui répond à la crise
actuelle de la croissance marchande.
Définition :
L’économie collaborative est une économie de pair à pair. Elle repose sur le partage
ou l’échange entre particuliers de biens (voiture, logement, parking, perceuse, etc.),
de services (covoiturage, bricolage, etc.), ou de connaissances (cours d’informatique,
communautés d’apprentissage, etc.), avec échange monétaire (vente, location,
prestation de service) ou sans échange monétaire (dons, troc, volontariat), par
l’intermédiaire d’une plateforme numérique de mise en relation.
La renaissance du troc et la mutualisation des compétences
Deux heures de cours de Maths contre un dépannage automobile, des conseils de
jardinage en contrepartie d’une pose de papiers peints… les exemples se déclinent à
l’infini, le plus souvent sans aucune monétisation des services rendus.
Les espaces de coworking illustrent le partage de compétences. Les espaces de
coworking cherchent à stimuler l’activité économique en favorisant le lien social entre
professionnels et en mutualisant les savoir-faire.
DROIT
Le droit est l'ensemble des règles générales et abstraites indiquant ce qui doit être
fait dans un cas donné, édictées ou reconnues par un organe officiel, régissant
l'organisation et le déroulement des relations sociales et dont le respect est en
principe assuré par des moyens de contrainte organisés par l'État
L'idée de droit n'est pas dissociable de celle de règle. Il y a aussi de règles qui ne
sont pas partie du droit (jeu, morale, politesse, …). La règle de droit à des
caractéristiques précises, parce qu’elle est obligatoire, générale ou permanente et
qu'elle a une finalité sociale.
I. Règle obligatoire
La règle de droit s'applique à toutes les personnes qui forment le corps social. En
effet, dans les règles sont toujours formulé dans la forme impersonnelle, avec les
formules comme "Quiconque", "Toute personne", … Parfois la règle concerne
seulement un groupe de personnes (les propriétaires, les conducteurs d'automobile,
les salariés, …). Même si la règle s'applique à une catégorie dans laquelle il y a
seulement une personne il conserve son caractère général parce qu'elle s'applique
indépendamment à la personne qui a le rôle spécifié.
La généralité de la règle de droit est une garantie contre la discrimination personnelle
et l'
La règle de droit est permanente parce qu’elle est constante pendant son existence.
Elle a un début et une fin, mais pendant son existence elle est appliquée avec
constance et en façon uniforme.
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La finalité sociale de la règle de droit est de régler les relations extérieures des
hommes. Le Droit donne les règles qui permirent à faire régner le progrès et la
Justice.
Cours numéro 2
L’organisation judiciaire Française
Une juridiction peut se définir comme un organe dont l’objectif est de trancher les
contestations nées de l’application des règles de droit.
En France, plaideur mécontent d’un jugement peut faire juger une affaire une
seconde fois. Les décisions prise aux 1ers degrés sont qualifiées de jugement, au
2nd degrés on parle d’arrêt et non plus de jugement.
Les juridictions du 1er et 2nd degré jugent l’ensemble du procès, c'est-à-dire les faits
et le droit. On appel ces juges des « juges de fond »
La cour de cassation n’est pas un 3ème degré de juridiction car son rôle n’est pas de
rejuger une troisième fois les faits, mais plutôt de vérifier que les juges ont bien
appliqué le droit.
a. Le Tribunal d’Instance
Il en existe plusieurs :
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Tribunal administratif
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A. l’intérêt
Pour pouvoir aller en justice (ester) il faut un intérêt : pécuniaire– juridique – moral -,
il doit être sérieux et personnel
B. La qualité
Elle s’assimile au titre auquel on intente une action. On peut intenter une action
quand on est une victime ou quand on est le représentant légal d’un mineur ou d’un
incapable.
C. La capacité
Seuls les individus capables peuvent agir en justice
A) Définition
Titre délivré par les pouvoirs publics (INPI : Institut national de la propriété
intellectuelle) qui confère un monopole temporaire d’exploitation sur une invention à
celui qui l’a révélé.
B) Condition de brevetabilité
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Conditions de forme :
- dépôt à l’INPI
- possibilité de faire appel à un conseil de propriété industrielle
Aspects pécuniaires :
C) Conséquences de l’attribution
Droit du titulaire :
Obligations :
- Si après trois ans le brevet n’est pas exploité un tiers peut demander la
licence en justice contre le paiement d’une taxe annuelle.
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Diffusion de l’obligation :
- L’invention doit être mentionnée dans le bulletin de l’INPI, et sur la banque
de données.
A) Définition
B) Intérêt
Les marques de fabrique sont des supports promotionnels qui attirent et retiennent la
clientèle. Celle-ci est un repère pour cette dernière, élément de forte valeur dans le
fonds de commerce.
C) Type de marque
On distingue :
Conditions de fond :
Condition de forme :
Marque disponible (nouvelle)
- originale
- non déceptive (pas trompeuse)
- conforme à l’ordre public et aux bonnes mœurs
- recherche d’antériorité
- Enregistrement à l’INPI
- Procédure unique pour l’Europe
Condition pécuniaire :
- Redevance annuelle (tous les 10 ans dans les six derniers mois avant la
date anniversaire)
Droit du titulaire :
A) Définition
B) Conditions à respecter
Pour déposer un dessin ou un modèle il faut une certaine forme de nouveauté, c’est-
à-dire qu’aucun modèle identique ou quasi identique n’a été divulgué avant la date
de protection accordée à votre dépôt.
Il faut de plus une légitimité pour déposer un dessin ou un modèle : si vous n’êtes
pas l’auteur il faut vous assurer d’en avoir les droits.
Enfin il faut que les éléments protégés soient assez visibles.
IV L’Action en contrefaçon
B) le projet de loi
C) La contrefaçon
D) Conséquences
Civil :
- dommages et intérêts
- saisis des produits
Pénal :
- amende
- sanction publication dans la presse
Remarque : en droit, un principe prévaut : « les dommages et intérêts versés aux
victimes ne peuvent pas être supérieurs au préjudice subit ». Cependant en matière
de contrefaçon ils peuvent être supérieurs aux préjudices.
La prise de la protection par droit d’auteur est posée par l’article L 111-1 du code la
propriété intellectuelle CPI :
« L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre du seul fait de sa création
d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte
des attributs d’ordre intellectuel et moral ainsi des attributs d’ordre patrimonial »
La protection du droit d’auteur s’applique à toutes les œuvres de l’esprit quels qu’en
soient la forme d’expression, le mérite la destination.
o Le droit de représentation
o Le droit de reproduction
o Le droit de suite
o Le droit de destination
• Les droits moraux :
o Le droit de divulgation
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o Le droit de paternité
o Le droit de retrait et de repentir
o Le droit au respect de l’œuvre
Le droit moral est perpétuel. L’auteur jouit sa vie durant du droit exclusif d’exploiter
son œuvre sous quelque forme que ce soit et d’en tirer un profit pécuniaire. La
protection persiste au profit de ses héritiers pendant 70 ans suivant son décès et par
la suite l’œuvre tombe dans le domaine public.
B. La protection du logiciel
Les logiciels relèvent du droit d’auteur mais sont protégés exceptionnellement par le
brevet.
La brevetabilité des logiciels reste encore un sujet sensible. En effet cela risque de
mettre en danger les logiciels dits libres.
C. La base de données
Le site internet joue un peu le rôle de l’objet juridique non identifié dans la mesure où
il ne relève pas d’un seul régime de protection mais que ces composantes peuvent
être protégées par des régimes juridiques différents :
I. Présentation
Par secret de la vie privée, on entend en général la faculté de mener une vie retirée
et anonyme, soustraire à l’indiscrétion et à la publicité. Ce secret couvre les données
personnelles relatives à l’identité de l’individu, à son contexte familial, à ses mœurs
et ses loisirs.
Ce droit est généralement menacé et même atteint par un abus de la liberté
d’expression, notion à deux dimensions : le droit pour ceux qui en font métier
d’informer le public, et le droit de recevoir ces informations en tant que public.
Souvent, la liberté d’expression entre en conflit avec d’autres libertés, notamment la
liberté de religion.
● Ce constat peut entraîner des mesures très sévères, avec des saisies ou
des mises sous séquestre des publications, dans le cadre du référé, mais le juge
reste prudent avant d’en arriver à ces extrémités. La censure est, heureusement,
l’exception. Pour en arriver là, il faut que l’atteinte à l’activité présente le caractère
d’une agression intolérable, d’une exceptionnelle gravité, qu’aucune réparation
financière ultérieure ne pourrait compenser. C’est ainsi que le juge judiciaire a
autorisé, dans une décision de 1998 du TGI de Paris, une saisie préventive de la
biographie d’Alain Delon.
● Parmi les éléments de la vie privée, c’est le droit à l’image qui pose le plus
de problèmes et génère le plus de contentieux. C’est le droit pour un individu de
pouvoir contrôler la reproduction et la divulgation de son image. Ce droit renvoie à la
faculté de s’opposer à la prise de photo ou de films, sans le consentement de la
personne. Ce droit concerne aussi bien des situations de la vie privée de l’individu
que des situations publiques.
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Ce n’est pas un droit absolu, mais il limite dans une certaine mesure le droit à
l’information. L’une des conditions est le respect de la dignité de la personne, mais
aussi le fait que l’information en question participe au droit du public d’être informé.
L’arrêt du 24 juin 2004, Von Hannover c/ Allemagne ou arrêt Princesse Caroline, va à
l’encontre de la décision du Tribunal constitutionnel allemand, qui avait jugé qu’en
tant que “personnalité absolue de l’histoire contemporaine”, la Princesse de Monaco
devait se plier à ce harcèlement. La Cour dit que ces photos n’apportent rien à
l’information.
La liberté d’expression consiste pour n’importe qui à pouvoir faire connaître au plus
grand nombre n’importe quelle opinion. Le problème est qu’avec la liberté
d’expression, insulte, racistes, diffamations diverses, incitation au meurtre, à la
violence ne manquera pas de fleurir sur la toile. En faveur de cette liberté, on peut
considérer que ce n’est pas en interdisant qu’on élimine des opinions criminelles des
têtes, ce n’est pas en condamnant des propos racistes ou homophobes qu’on fera
reculer ces maux dans les consciences .il se pose donc le problème de savoir qui
décidera si tel propos est excessif et si tel autre est acceptable. Plusieurs types de
discours sont prohibés mais pour qu’un propos soit interdit il faut identifier le danger.
Certains internautes n’hésitent pas à faire héberger leurs sites vers les pays plus
permissifs en matière de liberté d’expression (la Russie, le Japon, U.S.A). L’on
considère qu’en Europe, les propos antisémites sont délictueux aux U.S.A ils sont
l’expression d’une opinion. La liberté s’accompagne des limitations des droits et de la
dignité d’autrui. Les mesures visant à empêcher une atteinte à la liberté d’autrui
peuvent être prescrites comme ce fut le cas en Angleterre et aux U.S.A.