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Bonjour à tous, et merci d’etre venus pour mon expos sur l’utilisation du français au

Québec. Je vais commencer tout d’abord avec la situation géographique de la province, une

petite histoire sur la langue au Québec, quelques influences majeures sur la langue, et des points

à propos des effets qu’on peut voir aujourd’hui.

J’aimerais vous expliquer un peu où se trouve exactement la belle province sur notre

terre. À la gauche, vous pourriez voir que le Québec fait partie des 10 provinces du Canada. Il est

dans le continent de l’Amérique du Nord, et les États-Unis sont son voisin a au sud. Pour toutes

les autres provinces du Canada, il existe deux langues officielles : le français et l’anglais.

Néanmoins, le Québec est la seule province dans laquelle le français compte sa seule langue

officielle.

À droite, vous pourriez voir les villes du Québec. Normalement, nous entendons parler

des grandes villes comme la ville du Québec et Montréal. Mais vous pourriez voir aussi quelques

d’autres villes et villages surtout plus droits vers le fleuve Saint-Laurent comme Chicoutimi, Bai

Comeau, et Gaspé. Il ne faut pas oublier que dans le nord, il fait très froid et pour cela la

population est baisse. Une brève histoire de la langue française au Québec amorçait pendant le

16ᵉ siècle avec l’arrivée des Français, durant laquelle la langue française jouait un rôle intégral

dans la culture québécoise. Le roi de la France à l’époque, François 1er, a nommé Jacques

Cartier le chef de la première expédition en 1534. Pendant les deux siècles qui suivent et avec

l’apparition des Anglais, les deux pays, la France et l’Angleterre, se sont battues pour le contrôle

de la région maintenant appelée le Québec. Puis, la colonisation des Anglais changeait

l’influence de la langue française et la langue française et marginalise en faveur de l’anglais. Au

fait, en 1841, le « Union Act» autrement dit en français, « l’acte d’Union », interdit

complètement l’utilisation du français. Cela ne reste pas longtemps, puis l’utilisation de la langue
devient encore légale, mais en même temps l’anglais est préférable. En fait, jusqu’à 1960,

l’éducation en français était décentralisée et dirigée par l’église. La raison est, pendant les siècles

précédents, les missionnaires de la France se sont venues pour pousser les autochtones à se

convertir de leurs religions païennes au christianisme. Après cela, sans gouvernement centralisée,

les églises commençaient à offrir les leçons dans la langue, la Bible et les catéchismes pour les

enfants, complètement en français. Petit a petit, l’anglais devient la langue officielle du

gouvernement et il n’est pas possible d’étudier en français au niveau scolaire. Mais, la

Révolution Tranquille mène à changer complètement ce fait.

Qu’est-ce que c'est ? C’était une période de réforme immense, par rapport à la langue et la

société, entre 1960 et 1970. Aussi un mouvement politique, aide à former l'identité des québécois

et leur donner une position dans la société. Quels étaient les effets qu’on pouvait voir sur la

province ? Tout d’abord, le système d’éducation a changé de façon totale, notamment que la

première université en français est ouverte, et qu’il est possible d’étudier seulement en français

dans les écoles publiques pour la première fois. Puis, le français a un effet majeur sur le monde

du travail. Il est possible encore de travailler en anglais, mais il faut que les entreprises aient des

ressources pour les embauches d’utiliser la langue française aussi. Dans le contexte

sociopolitique, les québécois sont de moins en moins marginalises pour leur utilisation du

français, et les reformes politiques mènes à cela. Après la Révolution Tranquille, le

gouvernement publie un document appelé « La charte de la langue » en 1977, autrement dit « loi

101 » et le français devient la seule langue officielle du Québec. Pendant les années suivantes, la

loi est régulièrement modifiée, et le plus récent reforme concerne la francisation dans le monde

du travail. Qu’est-ce que c’est que la francisation ? Cela veut dire l’extension de la langue

française dans un certain contexte ou bien région géographique. Depuis le 1er juin de cette
année, il est nécessaire pour les entreprises d’offrir au consommateur ou au public des biens et

services en français ainsi que les ouvriers ont le droit de travailler exclusivement en français.

Pour être plus spécifique, la francisation existe encore dans le monde du travail. Même si la

raison pour l’expansion de l’anglais envers la province ne soit plus par rapport à la colonisation

des Anglais, les domaines sont influencés par les États-Unis et souvent les marchandises sont

envoyées vers le Québec en anglais et puis la propagation de la langue est populaire. Une autre

raison est avec l’immigration, surtout à Montréal, il est possible de vivre totalement en anglais au

lieu d’utiliser le français. Pour cela, l’Office québécois de la langue française (l’OQLF) a publié

le site-web www.languedutravail.org, a été créé pour promouvoir la langue française en milieu

de travail. Comme vous pourriez voir à droite, dans les secteurs suivants, il est possible de

trouver des listes de vocabulaire pour éviter l'usage de l'anglais et remplacer des mots communs

avec leurs équivalents en français. Les secteurs sont : hébergement et restauration, plastiques et

composites, télécommunications, aéronautique, métallurgie et automobile. Je vous propose juste

un exemple des ressources que l’on peut trouver sur ce site-web dans le secteur d’automobile.

Comme j’ai déjà mentionné, avec l’afflux des produits américains envers la province, la langue

de tous les jours a commencé à changer et un effet est les mots suivants sont utilisés dans le

langage de tous les jours dans ce secteur. Par exemple, une phrase en anglais « brake a bras » et

souvent utilisée, et l’OQLF a suggéré que son équivalent en anglais est « frein à main ». Un autre

exemple est « clutch » qui doit être change pour « embrayage ». Un autre point important est le

texte à gauche, qui lit : « Plus c’est clair, plus c’est sécuritaire. Exigez et utilisez la terminologie

française. » Maintenant on peut voir l’essor de la langue française envers le continent. Il y a

seulement 7,9 millions des locuteurs de français au Canada pour une population totale de la

province de 34,8 millions. Le Québec est fier de sa langue et veut promouvoir son utilisation
pour qu’il ne soit pas déborder par l’anglais. Les anglicismes, qui sont les mots de la langue

anglaise introduits dans le français, sont aussi répandus dans le langage quotidien dans tous les

sujets. Les Québécois sont toujours en train de battre contre le fait que l’anglais entre dans le

français. Néanmoins, quelques mots persistent et sont empruntés par l’anglais quasiment chaque

jour. Par exemple, un casting, un best-seller, un coach, un deadline, le verbe « customiser » et un

burn-out. Je trouve le verbe « customiser » particulièrement intéressant parce que le verbe

original était « personnaliser » mais l’afflux de l’anglais à changer le verbe pour « customiser ».

J’aimerais conclure avec une citation de Solange Chalvin, qui est journaliste et administratrice

publique québécoise à la retraite, durant laquelle battait contre l’utilisation de l’anglais au

Québec. Il faut plus de mobilisation citoyenne, plus de rêves, plus d’exigences pour faire en sorte

que le français demeure notre langue nationale et s’inscrive dans les cinq premières langues de

communication internationale. Soyons fiers de parler au Québec un français de qualité, écouté et

compris par tous. Pour tous les québécois, cela doit pousser la fierté envers la langue et aider la

population à essayer de leurs mieux pour battre contre la perte subtile de la langue pour l’anglais.

Merci à vous de m’avoir écouté. Des questions ?

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