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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

UNIVERSITE LIBRE DES PAYS DES GRANDS LACS

ULPGL/Goma

B.P : 368 GOMA /R. D.C

FACULTE DES SCIENCES ET TECHNOLOGIES APPLIQUEES

TRAVAIL PRATIQUE : EDUCATION A LA PAIX

BREF APERÇU DE LA VIE DE NELSON MANDELA DANS


LE CADRE DE LA NON-VIOLENCE

Présenté par : MWANABUTE SHAULA Christian / TECH 2 GE

Corrigé par : Professeur Vincent MUDERHWA BARHATULIRWA

Année académique : 2021-2022


1. INTRODUCTION

« Notre marche vers la liberté est irréversible. Nous ne devons pas laisser la peur nous barrer
la route. » - Nelson Mandela

Le présent travail consiste à parler brièvement de la vie de Nelson Mandela vis-à-vis de la non-
violence.

La non-violence, c’est une philosophie qui rejette la violence et lui dénie toute légitimité : il n’y
a jamais de " bonnes raisons " de faire mal. Pour les non-violents, il y a toujours moyen de
résoudre un problème sans se battre. La violence n’est jamais nécessaire. On peut toujours faire
preuve de respect. La non-violence a mis au point des stratégies pour résister sans faire de mal
: faire des grèves, des manifestations, désobéir aux ordres, ne plus payer des taxes ou impôts,
etc.1

" La non-violence est une manière de faire qui découle d’une manière d’être. " Aldo Capitini

Attention, il ne s’agit pas de se laisser faire ou d’abandonner : il s’agit de lutter sans utiliser de
violence. Gandhi disait : " L’idée ne nous viendrait pas que la souris est clémente parce qu’elle
se laisse dévorer par le chat " il faut donc résister. Gandhi disait aussi : " La non-violence sous
sa forme active consiste en une bienveillance envers tout ce qui existe "2

Alors Nelson Mandela était-il aperçu face à la non-violence ?

C’est à cette question que nous allons essayer de répondre en nous basant sur la vie (le parcourt)
de Nelson Mandela.

Hormis l’introduction, ce présent travail est subdivisé en cinq parties dont : une brève
biographie, ses premiers pas dans la non-violence, son approche de la lutte non-violente,
quelques retombés sur le plan politique social au niveau national et international et enfin une
brève conclusion.

1
Article rédigé par Christine RUOL, journaliste RTBF « Nelson Mandela et la non-violence »

2
Note des cours d’éducation à la paix du Professeur Ordinaire VINCENT MUDERHWA BARHATULIRWA
2. BIBLIOGRAPHIE3

Nelson Rolihlahla Mandela est né dans l'ancien Bantoustan, en Afrique du Sud. Son père était l'un
des chefs de l'ethnie Xhosa. Après avoir obtenu un diplôme en droit en 1942 à l'Université du
Witwatersrand de Johannesburg, il entre à l'ANC (l'African National Congress) qui est alors un parti
politique modéré de la bourgeoisie noire.

Avec Oliver Tambo, Nelson Mandela fonde le premier cabinet d'avocats noirs en Afrique du Sud,
puis, en mars 1944, crée la Ligue de la jeunesse de l'ANC (Youth League). Au moment où l'apartheid
est "officialisé" par le premier ministre sud-africain Daniel Malan en 1948, Nelson Mandela et Olivier
Tambo parviennent à accéder à la tête de l’ANC avec la ligue de la jeunesse.
Après plusieurs années de lutte contre l'Apartheid, d'arrestations et de procès, Nelson Mandela est
condamné en 1964 avec sept de ses compagnons à la prison à vie pour sabotage, trahison et complot.
Durant toute sa captivité, il refuse d'être libéré contre le renoncement public à la lutte anti-apartheid.
En 1986 ont lieu des rencontres avec les autorités qui le placent en résidence surveillée à partir de
1988.
Nelson Mandela est finalement libéré le 11 février 1990 après avoir passé 27 ans et demi en prison.
Le gouvernement sud-africain légalise le Parti communiste et l'ANC dont Mandela devient le
président en 1991.

En 1993, avec le président De Klerk, il reçoit le prix Nobel de la paix. Les premières élections
pluralistes et multiraciales ont lieu en 1994. L'ANC remporte une très large victoire. La même année,
Nelson Mandela est investi Président de l'Afrique du Sud, poste qu'il occupe jusqu'en 1999 pour
laisser la place à Thabo Mbeki.

Nelson Mandela crée en 1999 la Fondation Nelson Mandela et se consacre à la lutte contre le sida
après la mort de son fils en 2005

3. SES PREMIERS PAS DANS LA NON – VIOLENCE4

Premier jour d’école. Rolihlahla est également dépouillé de son identité lorsque son institutrice
lui donne un prénom anglais, une pratique courante à l’époque où « les Blancs ne pouvaient ou

3
Les biographies de la Toupie, Nelson Mandela : Homme politique sud-africain
1918-2013. https://www.toupie.org/Biographies/Mandela.htm
4
Article rédigé par Christine RUOL, journaliste RTBF « Nelson Mandela et la non-violence »
ne voulaient pas prononcer un prénom africain, et considéraient qu’en porter un était non
civilisé », comme il l'écrivit dans son autobiographie Un long chemin vers la liberté.

Si Mandela avait été marginalisé en Afrique du Sud en raison de sa couleur de peau, il réussit
cependant, grâce à son sang royal et ses relations, à intégrer Fort Hare, la seule université où
les Noirs étaient admis. Là-bas, il se familiarise avec le militantisme et se fait même expulser
après avoir conduit une grève dénonçant les prérogatives limitées du Conseil représentatif des
étudiants. Il retourne alors dans sa province natale du Cap oriental et découvre que sa famille
voulait lui imposer un mariage tribal arrangé. En 1941, il s’enfuit vers Soweto, la plus grande
ville de population noire en Afrique du Sud.

À Soweto, Mandela suit des études de droit à temps partiel à l’université du


Witwatersrand (Wits) et fonde le premier cabinet d’avocats noirs. Il rejoint le Congrès national
africain qui milite pour les droits civiques des Noirs en Afrique du Sud. Le régime sud-africain
se durcit en 1948 avec l’instauration officielle de l’apartheid. À travers le pays, les Noirs sont
tenus de se munir d’une pièce d’identité à tout moment et de la présenter pour accéder à des
zones réservées aux Blancs. Ils sont obligés de vivre dans des régions strictement noires et les
relations interraciales sont formellement interdites. Les Noirs ont même été rayés des listes
électorales puis totalement privés de leurs droits.

Pour lutter contre l’apartheid, Mandela et ses collègues du Congrès national africain adoptent
d’abord des tactiques pacifiques comme les grèves et les manifestations. En 1952, Mandela
organise le lancement d’une campagne de désobéissance civile de grande envergure où il pousse
les manifestants noirs à enfreindre les lois.

4. SON APPROCHE DE LA LUTTE NON-VIOLENTE5

Quand il sortit de prison en 1990, Nelson Mandela demanda à tous ceux qui avaient souffert de
l’apartheid de ne pas se venger, mais au contraire, de construire une société harmonieuse où
chacun avait droit au respect. Certainement, quand il décida qu’il était temps de discuter avec
les blancs. Et dans les premiers temps, ses actions au sein de l’ANC étaient des actions non-
violentes.

5
Article publié par ERIN BLAKEMORE 21 JUIL. 2020, https://www.linternaute.fr/actualite/biographie/1776050-
nelson-mandela-biographie-courte-dates-citations/
Mais Nelson Mandela dira aussi : " La résistance passive non-violente est efficace tant que
notre adversaire adhère aux mêmes règles que nous. Mais si la manifestation pacifique ne
rencontre que la violence, son efficacité prend fin. " Et il créera en 1961 Umkkonto we Sizwe,
la branche militaire de l’ANC, organisant notamment des sabotages à la bombe.

Nelson Mandela décrit le passage à la lutte armée comme un dernier recours ; l'augmentation
de la répression, les violences policières et de l'État, le convainquent que des années de lutte
non violente contre l'apartheid n'ont apporté aucune avancée.

Mais dans les années 80, il choisit de discuter avec les responsables de l’apartheid, il choisit la
voie pacifique et la prônera tout le reste de sa vie. Devenu président d’Afrique du Sud, il prône
la réconciliation nationale : pas de vengeance, que tout le monde se tendent la main pour
construire une société plus juste. Après sa présidence, il deviendra un sage que le monde entier
vient consulter : de nombreuses personnes le rencontrant seront frappées par sa bonté.

Même dans la période où il aura participé à des actions militaires, Nelson Mandela aura toujours
et à chaque instant défendu les droits de l’homme, la dignité de chacun et le nécessaire respect
qui nous est dû. Jusqu’au bout et de toutes les manières, il se sera battu pour :

" Une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie avec des chances
égales. "Nelson Mandela

5. QUELQUES RETOMBE SUR LE PLAN POLITIQUE SOCIAL AU


NIVEAU NATIONAL ET INERNATIONAL6

2018 est l'année Mandela, celle où le leader indépendantiste sud-africain aurait eu 100 ans. Et
si Nelson Mandela est mort en 2013 à l’âge de 95 ans, toute sa vie reste un témoignage du
pouvoir de l'esprit humain. Confronté aux défis de l'apartheid, de l'emprisonnement physique
et du doute, Mandela n'en a pas moins usé de son esprit inimitable pour améliorer la vie de
millions de ses compatriotes, en tant qu'activiste, érudit, dirigeant et, en fin de compte, l'un
des plus grands humanistes que ce monde ait connus.
Mandela a non seulement libéré tout un pays des griffes du système raciste de l'apartheid,

6
Article publié par Boisa Phineas Rueckert, David Brand, etJana Sepehr 16 juillet 2018,
https://www.globalcitizen.org/fr/content/nelson-mandela-legacy-education-women-health/
mais il a aussi continué de mener le combat pour les personnes les plus vulnérables au monde
jusqu'à la fin de sa vie.

Les auteurs Phineas Rueckert, David Brand, etJana Sepehr, montrent sept façons dont Nelson
Mandela s'est battu pour les mêmes valeurs que Global Citizen aujourd’hui, notamment
l'émancipation des femmes, l'accès à une éducation de qualité et la lutte contre le VIH/Sida. Il
s’agit plus précisément ente autres de :

5.1. Il a fait entrer des centaines de femmes dans la sphère politique

Même si l'Afrique du Sud a du pain sur la planche pour éradiquer les violences faites aux
femmes et pour veiller à ce que les femmes aient le même salaire que les hommes, Mandela a
contribué à mettre le pays sur la voie de l'égalité dès le début de sa carrière de président. Lors
de son premier discours sur l’état de la nation, en 1994, Mandela a exprimé son attachement à
« l’émancipation » des femmes et a appelé à l’égalité entre les systèmes en Afrique du Sud.

5.2. Il a rejoint la lutte contre le VIH/Sida

Le bilan de Mandela dans la lutte contre le VIH/Sida n'a pas été parfait, comme l'ont souligné
de nombreux experts, mais dans les années qui ont suivi sa présidence, Mandela est devenu un
ardent militant pour la sensibilisation au VIH/Sida.

En tant que président, Mandela et certains membres de son administration ont été réticents à
reconnaître l'ampleur de la crise du Sida, qui a touché près d'une personne âgée de 15 à 49 ans
sur quatre en 2000, et le successeur désigné de Mandela, Thabo Mbeki, était connu pour
démentir l’existence du Sida.

5.3. Il a permis aux élèves des campagnes d’accéder à l’éducation

« L'éducation est l'arme la plus puissante que vous pouvez utiliser pour changer le monde », a
déclaré Mandela.

Et pour Mandela, afin d'engager un véritable changement éducatif, il fallait commencer par les
zones rurales. En 2007, il a fondé l’Institut Nelson Mandela pour le développement rural et
l'éducation dans le but de former et d’envoyer des enseignants qualifiés dans les zones rurales
ainsi que de fournir aux écoles du matériel moderne.
5.4. Il s’est battu pour les enfants
« Le vrai caractère de la société se révèle dans la façon dont elle traite ses enfants »,
a déclaré Mandela en 1997.

Et tout au long de sa vie, l’activiste a vécu avec ces mots et est devenu un défenseur acharné
des droits des enfants. Aujourd'hui, le Fonds pour l'enfance Nelson Mandela perpétue son
héritage en s’engageant « à donner la parole et la dignité à l’enfant africain en construisant un
mouvement fondé sur ses droits. »

Pendant son mandat de président, Mandela a donné un tiers de son salaire pour créer
l'organisation, qu'il a chargée de mettre fin à l'extrême pauvreté et à ses symptômes, tels que la
faim, l'exploitation et l’itinérance.

En 2009, Mandela a reçu le prix World Children’s Prize Decade Child Rights Hero en
reconnaissance de son engagement envers les enfants d’Afrique du Sud et du monde. Quand il
a reçu le prix Nobel de la paix en 1993, il a donné une partie de son prix pour soutenir les
enfants des rues et les autres enfants dans le besoin.

5.5. Il a promu l’éducation scientifique et environnementale

Mandela a tellement apprécié le pouvoir de la science et de la recherche qu'il a prêté son nom
à trois instituts de technologie au Nigeria, en Tanzanie et au Burkina Faso.

Un autre institut en Afrique du Sud porte aussi son nom. C'est une évolution remarquable dans
un pays où les personnes noires n'étaient même pas autorisées à suivre des cours il y a une
génération. Pendant l'apartheid, les Sud-Africains noirs avaient l’interdiction d’étudier la
science et la technologie et ne pouvaient pas faire carrière dans le domaine des STIM. Mais
cela a changé quand Mandela a été élu président.

« Le besoin d'expansion rapide des compétences scientifiques et technologiques de l'Afrique du


Sud est immense, a-t-il déclaré lors de l’ouverture de l’Académie des Sciences d’Afrique du
Sud en 1996. Sur vos épaules repose le défi de donner à la science un visage qui inspire nos
jeunes à s’intéresser à la science, à l’ingénierie et à la technologie. »

5.6. Il a donné le droit de vote à tous les Sud-Africains

Dans la toute première interview télévisée de Nelson Mandela en tant qu'activiste anti-
apartheid, en 1961, le dirigeant a clairement énoncé une exigence. Interrogé par le journaliste
Brian Widlake sur ce que les Africains Noirs voulaient obtenir par leurs actions, Mandela a
répondu sans ambiguïté :

« Les Africains demandent le droit constitutionnel de voter sur la base un homme-une voix et
ils veulent l'indépendance politique », a-t-il déclaré.

Dans cet entretien, il a ajouté que la lutte pour obtenir le droit de vote pour les Sud-Africains
Noirs devrait être indépendante du niveau d'éducation ou de l’appartenance raciale. Mandela
ne parviendra pas à réaliser le rêve d'un système électoral multiracial avant la chute de
l'apartheid et son élection à la présidence en 1994. Près de 9 Sud-Africains sur 10 ont voté
durant cette élection, mais le taux de participation a depuis décliné, avec une participation
inférieure à 60 % en 2014.

5.7. Il s'est battu pour la paix et la justice dans le monde

Mandela était la figure de proue de la lutte contre le système raciste d’apartheid en Afrique du
Sud, mais son activisme ne s’est pas arrêté aux frontières de son pays d’origine. Après avoir
pris sa retraite de président, il a lutté pour sensibiliser les gens au sujet de la crise du VIH/SIDA
en Afrique. Il a aussi aidé à négocier la paix en République démocratique du Congo et
au Burundi. Plusieurs décennies avant la fin de l’apartheid, Mandela a également servi
d’inspiration aux mouvements de défense des droits civiques du monde entier, y compris aux
États-Unis.

« Nous qui étions impliqués dans le mouvement des droits civiques à l'époque étions
parfaitement conscients des parallèles entre la lutte [du Congrès national africain] et nos propres
luttes, a déclaré Jesse Jackson, leader des droits civiques, en 2013. Vous voyez, nous savions
ce qui se passait en Afrique du Sud, ces ponts et ces liens ont toujours été là, ces parallèles que
j’ai vus entre Nelson Mandela et notre propre Dr King. »
6. CONCLUSION

Notre travail a consisté à parler de la vie de Nelson vis-à-vis de la non-violence. Après avoir
présenté sa biographie, ses premiers pas dans la non-violence, son approche de la lutte non-
violente, quelques retombés sur le plan politique social au niveau national et international, nous
avons abouti à la conclusion suivante.

Nelson Mandela a eu une position complexe ou ambiguë concernant la violence. Il a joué un


rôle de premier plan dans le lancement d’une lutte armée contre le régime d’apartheid en 1961.
En même temps, il a reçu le prix Nobel de la paix en 1993 pour son rôle dans la recherche
d’accords pacifiques en Afrique du Sud.

Pour donner sens aux positions changeantes de Mandela sur la violence, certains les relient aux
différentes étapes de sa vie, parfois définies ainsi : leader, compagnon d’armes, prisonnier,
négociateur et homme d’État.7 En tant que leader étudiant et camarade, avant de s’embarquer dans la
lutte armée, Mandela croyait à la désobéissance civile et aux méthodes non-violentes. Plus tard,
poussé par l’assassinat de 69 manifestants noirs à Sharpeville en 1960, Mandela a non seulement
embrassé la violence mais il a aussi été à l’initiative de la branche armée du Congrès national africain,
Umkhonto we Sizwe. Et pendant qu’il était en prison, durant 27 ans, il a refusé de renoncer à la
violence. Par la suite, pour son travail d’homme d’État et en particulier pour son rôle dans la recherche
d’accords pacifiques en Afrique du Sud, Nelson Mandela a reçu le prix Nobel.

Un commentateur, Raymond Suttner, reconnaît cette dualité mais affirme que Mandela était
essentiellement une personne non-violente.8 Mandela avait opté pour la violence quand les voies de
protestation non-violentes étaient fermées, mais, dit-il, il a saisi l’opportunité de retourner à la non-
violence et aux négociations de paix dès que la possibilité s’est présentée. Une autre voie, celle de
Stephen Zunes, soutient que Mandela était plus pragmatique qu’idéologique sur la question de la
violence. Il cite le leader de l’église anti-apartheid, Allan Boesak, qui note comment Mandela a fini
par s’incliner devant le choix stratégique du peuple, celui d’une lutte de masse « largement non-
violente ». « Mandela était un grand meneur parce qu’il reconnaissait que le mouvement était devenu
une insurrection civile, une lutte largement non-violente. Un grand leader est celui qui reconnaît où
en est le mouvement et le mène en conséquence », déclare Boesak.

7
Mandela: leader, comrade, negotiator, prisoner, statesman, Apartheid Museum, Johannesburg, 2010.
8
Suttner R., « Entrenching the principle of non-violence », Daily Maverick, 20/03/2014
Table des matières
1. INTRODUCTION .............................................................................................................................. 2
2. BIBLIOGRAPHIE............................................................................................................................... 3
3. SES PREMIERS PAS DANS LA NON – VIOLENCE ............................................................................... 3
4. SON APPROCHE DE LA LUTTE NON-VIOLENTE ................................................................................ 4
5. QUELQUES RETOMBE SUR LE PLAN POLITIQUE SOCIAL AU NIVEAU NATIONAL ET INERNATIONAL
5
5.1. Il a fait entrer des centaines de femmes dans la sphère politique ......................................... 6
5.2. Il a rejoint la lutte contre le VIH/Sida ..................................................................................... 6
5.3. Il a permis aux élèves des campagnes d’accéder à l’éducation .............................................. 6
5.4. Il s’est battu pour les enfants ................................................................................................. 7
5.5. Il a promu l’éducation scientifique et environnementale ....................................................... 7
5.6. Il a donné le droit de vote à tous les Sud-Africains ................................................................. 7
5.7. Il s'est battu pour la paix et la justice dans le monde ............................................................. 8
6. CONCLUSION .................................................................................................................................. 9

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