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STRUCTURE ARCHITECTURALE STRUCTURE ARCHITECTURALE INTRODUCTION ambiance ou un n ‘uction immobllicre des matiéres dit int los différentes Le but d'un ouvrage architectural est de creer une favorable @ une activité déterminée tandis que la consis oe "erection de Tenveloppe, de ce miiou protege, aide dames matériaux et la structure est io squolette ou le mécanisme qui retie matiéres et piéces en place, durant toute la vie de Foeuvre. Diou, le concepteur doit élargir son savoir dans les trois domaines suivants 1. bes éléments gui forment le macroclimat ou'le milieu ambiant dans lequel vé etre érigé sa construction, Ge,macroclimat est un concept qui va au-dela de Penvironnement constitver Ges léments (organiques et inorganiques) de atmosphere et des premibres Pouches du globe ferresire. i inclut aussi les principes de fa gravitation et de FF ubetposition des roches ainsi que tous les phénoménes physiques et Imiques probables dans le milieu ou on projette de batir, La connaissance du milieu inclut les savoirs: d’anthropométrie, de sociologie, de psychologie de travail ou dactivité queiconque menée par tes étre. pour qui on veut ériger la construction. Ce qui pemmet le dimensionnement des espaces ou des piéces solon les activites envisagées. 2. La disponibilité des matiéres et leur transformation en matériaux pour la constitution de I'enveloppe ou filtre des éléments de l'environnement. [acquisition des matiéres, leur transformation en matériaux et la mise en ceuvre exigent des savoirs non seulement techniques mais aussi financiers, commerciaux etc. Le comportement des matériaux immobilisés dans I'espace et dans te temps. Pour réussir le pari les constructeurs doivent, par leurs plans, donner ta réponse a la maltresse question de savoir; comment ga tient 7 Et cette quostion est principalement adressée au concepteur, a 'architecte. En effet la maison minimum en bois (le hamac de |....), Ja hutte en paille, le pyramide amas des pierres, igloo et habitation en argile, le cathédral et le graite-ciel en verre, le monument, la gare et le pont métallique modeme etc. ont chacun un squelette ou une ossature qui assume leur stature et leur immobllité sur la Surface et dans le temps face aux solicitations de l'usage et autres, Varchitecte est par étymologie, le « maitre des ouvriers » et bien qu'aujourd’hui jl ne soit plus le concepteur et le réalisateur obligatoire de jadis, il reste le chef d’orchesire dans la société des constructeurs immobiliers. II doit étre généraliste non seulement dans les domaines des espaces utiles, des piéces mais aussi en matiéres de disponibilité des matériaux, de structures, de finance, Jusqu’é rendre ses savoirs intuitives ou artistiques. Cos savoirs lui permet un dialogue aisé avettes différents ingénieurs qui aussi par Gtymologie son les « ouvriers » ainsi quavec tous les spécialistes concourant a la construction chargés, de maniére déductive, a répondre a la question : est-ce-que catlent? Gar Pespace ne se laisse modeler, par larchitecte, que dans les limites des lois de stabilité dont il doit saisir les principes qui les dictent. Pour co fairo larchitecte comme I'ingénieur et tout autre constructeur doit recourir & la mécanique qui est l'étude des mouvements et des leurs causes. Chapitre 1 MECANIQUE ET STRUCTURES ARCHITECTURALES 4.4. PROFIL D'ETUDE DE LA MECANIQUE La mécanique se subdivise en: 1. la cinématique : études des mouvements 2. la dynamique : étude des causes (ou forces) La stabilite est un cas particulier de 1a dynamique ol les causes (ou les forces agissantes) no produisent de mouvement. Ell agissanios) nx le est. la science de base de tous les Dans la construction immobiliérs, la stabilité est étudiée graduellement comme suit. A. LA STATIQUE ou étude de réquilibre général d'un corps.s'occupe de la détermination de : * conditions d'appuis (ou factions) = efforts et moments résultants & chaque section du corps. La résolution des problémes de stabilité, plus particuli8rement de statique se fait par deux approche: approche analytique ou analyse quantitative des causes et des effets qui assurent léquilibre. 2. L’approche graphique ou la solution schématique représentatives du coms, des effets ct des causes. Celte demizre méthode est sujette & des erreurs et.exiga & : a) Falro usage des grandes échelles b) Effectuer les tracées avec beaucoup de soin ©) Dessiner des traits tes fins d) Exéculer des croisements des traits trés nets, iisant tes B, LA RESISTANCE DES MATERIAUX ou Tanalyse des stabiités intemes fait etude des: ‘= Contraintes ou répartitions des efforis et des moments dans chaque section du corps ou dans chaque portion da la matiére quile constitua. = Déformation ou modification de Ia forme géométrique du corps + guile a la répartition inteme des solicitations en présence, aissance .de la répartiion: des. solicitations permét Testimation des ‘ ‘dimensions ‘A donrier aux pidces des constructions et les conditions & imposer aux ‘appuis tandis une 'étude des: déformations probables permet la’ verification, en “faisant intervenir la qualité du matériau 4 utiliser. : t STRUCTURES -ARCHITECTURALES ou étude ‘des statitiés des & LES srctons mobiiones dont la principale caractéristique est rhyperstaticite _ |P HASSAN FATHY, dité par P. LAVGI ont dhabitude posées sur des appuls en plus grand nombre que atériau type prenant plusieurs formes et. présentant différents staments devant des diverses causes), le METAL et le BOIS sont objets analy: culiére permettant de montrer que « fa méthode de construction impose les formes et la matiére impose les proportions »' E. LA MECANIQUE DES SOLS (ou le PIED DU MUR) qui consiste a comprendre les voies ou les schémas d’absorption des charges au sol ainsi que les capacités et les comportements des différents types des terrains dassises des ouvrages. 4.2, EXIGENCES DES STRUCTURES ARCHITECTURALES Considérant la construction architecturale pris de maniére globalisante, Vitruve (oon) amis €N exergue trois exigences assurant leur durabilité, savoir : (1) Futilité (fenctionnement adéquat), (2) la stabilité (équilibre cans fespace) at (3) l'esthétique (beauté pour apaiser l’ame humaine), Mis & part, une structure architecturale optimale ou meilleure rempiit et assure les exigences suivantes a louvrage: 4. Sécurité ou Péquilibre et stabilité Aucune partie de l'ouvrage ne doit se déplacer ou se voir déstabiliser pendant toute son existence. 2. Résistance ou la rigidité Le caractére énergique qui assure lintégralité des composants de touvrage. 3. Utilité ou adaptation a la fonction Toutes les parties de Pouvrage doivent remplir leurs fonctions selon leurs usages et leurs positions relatives. 4, Econot - Le squelette, structure ou ossature est onéreuse et se réalise entre 20 et 30 pourcent de l'économie globale d'un cuvrage qui en son tour tient compte des coats des matériaux et de main d'csuvre . ‘On constate que «Le choix des dimensions, la forme et les matériau ‘ont toujours dictés par la tyrannie de économie ... - ol - fauteur du projet dot tre 3 la fois un grand inggnieur ef un excellent architecte ». (Mario Salvadori 237). 5. Esthétique ; eee Pe structure estla parte technique qui aide Fart a bien servir huran/t. se areth message semiatique de Beaute et doit étre admirable durant toute la vie de rouvrage. INE dans Approches scientifique des structures 1.3. TAXINOMIE OU CLASSIFICATION DES STRUCTURES Les structures architecturales sont qualifiées ou regroupées suivant a) Les matériaux utilises Structures en bois, en acier, ‘en verre etc. b) les systémes constructifs et ou types de liaison des pieces Structures triangulées (ou treillis), cadres (ou portiques), c) formes géomeétriques : Structures @ résistance de forme (grillages, plaques, dome, scelle paraboloide et hyperboloide, voile plissée etc), structures a ossature (box frame,...) - 4) les états de tension (ou de sollicitation) dus aux charges en présence : famille des structures sous solicitations simples et famille des structures sous solicitations composées etc, 4.4.CALCUL DES STRUCTURES 1.4.1. OBJETS DE CALCUL Le calcul et recherches des structures consistent a la détermination des ; charges => efforts => solicitations => contraintes => déformations. Contre lesquelles simpose : © Un choix judicieux de matériau, et © de dimensionnement des piéces de construction. est, en somme, la rigidité des piéces, ’équilibre des joints et la stabilité des. appuis au sol qui font Pobjet de calcul des structures architecturales. 4.4.1, METHODES DE CALCUL Des méthodes de calcul a la conception (trés usitées par des architectes) Des méthodes a la verification (trés usitées par des ingénieurs). Elles visent 2 schématiser les diagrammes des efforts et la conséquence ou la déformée d'une piéce leur soumise. MATERIAUX DE STRUCTURE, 24 DEFINITIONS On appelle matériau toute matitre servant en construire, En plus on se baso sur Fae ee a SOrPS Selidas est formé d'une matidre continue » et de surcroit Seen eee anaiére Nomogéne pour permeltre que les champs de déplacoment des efforts ainsi que des deformations soient des fonctions continues suivante gee % isis dans le corps. 2.2. FORMES GEOMETRIQUES 2.24. La pidce mime on emploie ehabitude les coordonnées de la géoméitrie analytique cartésienine pour obtenir les équations d’équilixre, i s'avere aussi commode de nit les Elements suivant les proportions des leurs qrandeurs suivant les axes ésiens. Ainsi on a: ~ Piéce massive lorsque les trois cimensions sont de méme ordre de grandeur ~ Pidco plane lorsqu'une des dimensions est petite par rapport aux deux: autres ~ Pigces longue (dite poutre) lorsqu'une des dimensions est de loin supérieure aux deux autres. est l'objet classique d'études tape Fong (gas) eee coy sees Reson te Le contre de gravité (G) de la surface plane Q suit la ligne de déplacement qui aussi appelé fibre moyenne et suit la géométrie de-cette ligne on distingue trois sortes de outre poe orsque l'axe est droit, on parle de la poutre droite 2. Lorsque 'axe est courbé. mais dans un méme plan, on parle de l’'are ou la poutre courbé, 3. Lorsque l'axe n’est pas dans un plan, on a une poutre gauche. En outre, la poutre droite de section Q constante est appelée : poutre prismatique. 2.2.2. La section Les caractéristiques géométriques d’une section sont d'une importance capitale en étude de la résistance de matériau ou de la piéce. lis déterminent : - La surface assumant les Sollicitations ~ Vinertie - Le centre de gravité ~ Noyau central de résistance - ete, 2.3, PROPRIETES DES MATERIAUX 2.3.1. Propriétés mécaniques - Elasticités- plasticité Lorequ'on applique une charge sur un corps, il'se déforme et absorbe énergie. Lorsqu'on le décharge on observe deux comportements ‘> Si le comps reprend complétement sa géométrie initiale, son ‘comportement est dit élastique 7 o Silly a des déformations qui persistent, Ténergis absorbée rest pas ‘enticrement restiluée ot le comportement est dit'plastique, _ Linéarité- non linéarité \éformation qu'il affiche, il y a un ionnelle a la charge on dit que le Je cas contraire on dit non- Entre la charge appliqué a un corps et la ds apport tel que si la deformation est proport fratériau un comportement linéaire, dans linéaire. - Ductilité-Fragilité ‘Aux approches de la rupture, les matériaux se distinguent par deux ‘comportements oun matériau qui affiche des déformations remarquables avertissant eminence de la destruction ou la rupture est dit matériau ductile, c’est le cas de acier doux, tandis que, oi, avant la rupture, les déformations sont trés limitées, moins discernables, le matériau est fragile ou raide, ce qui est le cas pour la fonte, la pierre etc, 3. Diagramme contrainte-déformation Une charge appliquée sur une piéce de matériau se repartit en contraintes internes qui provoquent des déformations élémeniaires. Le diagramme de rapport entre les variations de ces contraintes et de ces déformations quielles provoquent : ~ renseigne sur les propriétés mécaniques du matériau, et = permet d'etablir le coefficient de sécurité ou la limite de chargement avant rupture de la piéce de matériau. - Constat entre 0 et B le matériau se déforme proportionnellement la charge, Liéquation 2= ES exprime la droite dite de Hooke (...) et le matériau est dans la zone de déformation élastique. Le coefficient angulaire E est dite : module de Youn i coefficient d’élasticité du matériau. aici Pen s la droite s'approche de la verticale, plus le matériau est rigide. ‘alasticite proportionne diagramme commence & je cesse au point A.ala contrainte égale a a;, et te ‘écarter de la droite de Hooke mai uement qu’a partir du point B a Ja contrainte é: déformation devient permanente. du point C, ala contrainte égale lasticité nc cesse théori it se produit une sans augmentation appréciab phénomeéne détirage. limite spparente ¢'élasticité et sous cette valeur de contrainte, la nation augmente jusqu'au point D. Dest le palier de ductilite du matériau partir du D le matériau se ressaisit et affiche une résistance ultime. U mentation de la contrainte est nécessaire jusqu’a la valeur 2, contrainte de rupture et il se produit une striction ou un gon! ta endroit oU la piéce de matériau va se rompre ; Avec une résistance affaibiit, la pigce se déforme d’avantage et se rompl au point F sous une contrainte inferieur a ,. Remarque -Un matériau, tel que Pacier, qui affiche tous ces phénomenes avant- coureurs de la rupture est ductile tandis qu'un matériau qui se rompt sans signes avertisseurs est un matériau raide ou fragile. - Un acier pré chargé puis déchargé lentement et qui conserve son coefficient angulaire ou module d’élasticité E mais n’affiche plus de palier de duciilité est dit acier écrouis 4. coefficient de Poisson (mathématicien Francais...) 1a été constaté qu'un effort appliqué sur une piace de matériau dans une direction donnée, entraine des déformations sans la modification du volume de la piéce. En effet, les modifications inverses s'opérent dans les directions conjuguées (perpendiculaires). Poisson (mathématicien Francais...) fut le premier & mesurer le rapport entre les modifications produites dans deux directions conjuguées et ce quotient caractérisant un matériau est dit: coefficient de Poisson (v). 28 = y, (at: accrolesamant de a largour; Al. = acercissement de la longueur) 5. coefficient de sécurité La construction doit travailler en deca de charge pouvant provoquer linstabilté, Tincommodité ou la rupture. La contrainte de travait @ doit étre inférieure @ une valeur maximale 0 dite -contrainte admissible. ot pour que fa construction travail dans le domaine élastique, on so sert de la limite delasticilé 2 pour contrainte de. rupture ou contrainte admissible. z = ke, (coefficient de sécurité) ie Compression (May € con ame 2.3.2. Autres propriétés - Fluage Les materiaux visqueux et certains autres comme le béton, continuent a se déformer ndant des trés longues durées sous des charges constantes ; ce que l'on appell Je phénoméne de fluage. - Fatigue ~ Cost la rupture d'une structure sous les sollicitations répétées at air ceux sortes de mise en charge ou maniére do solliciter un ouvrage © Sollicitations statiques, et © Sollicitation de fatigue on distingue - Résilience La mise en charge peut se faire lentement (posément) ou brusquement avec effet de vitesse. La résilience est la capacité de résister aux chocs. - lsotropie-anisotropio “Un matériau qui résiste de la méme maniare dans toutes es directions est isotrops {cas de lacier) tandis que dans le cas contraire lo mstériau es anisotrope (cas de ~ bois qui devant los solicitations da traction résiste mieux dans le sens de ses fibre y longitudinaux. Chapitre 3 CHARGES ET ETATS DE TENSIONS 34. LES CHARGES 3.1.1. classification Charges propres Charges d'expioitation Charges climatiques (vent, intempé 3.1.2. combinaison 3. LES SOLLICITATIONS OU CONTRAINTES: Dans l'optique généralisatrice, on considére tout élément de structure comme une poutre et les connaissances de la RDM sur les repartions des actions ou forces dans les matériaux peuvent étre résumé de maniére suivante. Soient : - Qune section droite normale a l'axe de la poutre - Gle centre de gravité de la section, et ~ Gxyz un triédre dextrogyre tel que Gy et G2 font le plan de O tandis que Gx suit Vaxe de la poutre. Sion opére une coupe de piéce posée horizontalement, les forces nécessaires pour maintenir la partie (gauche par exemple) a son état d’équilibre se résument en six parametres : forces peuvent agir ou solliciter le mater hypotheses suivant sont possibles ~ Si des forces extéricures agissent dans un méme plan passant par "axe de la poutre, le moment de torsion M, est nul ~ Sien outre l'axe dinertie de la section 0 est dans ce plan de forces, on a aussi Tz et My qui s'annulent, ~ Sien plus les efforts extérieurs sont dans le plan de faxe Gy dela section et normaux a l'axe de la poutre, alors seuls - Siles efforts sont paralléles et My (ou Mz) ~ Si enfin, les forces extérieures n'existe que N. ‘iau séparément ou en combinaison et Ty et M existent. & l'axe de la poutre alors il n’existe que N coincident avec l'axe de la poutre, il 3.3. LES SOLICITATIONS En résumé, les sollicitations sont S ed i ie = or itoritons 5 ollettations = ; A_Sollicitations simples s = (Allongemen So [Traction ou compress Fiexionpiane (che Flexion gauche | {orsion cisaillement ‘composts Frractith et torsion Rotation (angie) [Fledon etorsion —rreion simple [Flexion et callement cu Tete Sn spans y= 0: Flexion composte gauche | Irtexion composte { Chapitre 4 SYSTEMES CONSTRUCTIFS 4-1, ARCHITECTURE DES LIAISONS ET POSES Outre la mise en forme des pidces tacte da construction consiste ~ felier ces pieces, et ~ poser louvrage au sol, La realisation d'une structure ar irchitecturale consiste 8 opérer des joints et des appuis dis liaisons (ou nceuds), Ces nocuds d'ouvrage doivent tre assez proches des liaisons parfaits dites joints ou (appuis) élastiques que sont: Liaison simple (rouleau ou rotule) - Liaison double (articulation), et - Liaison triple (encastrement). La beauté des liaisons se trouve dans * la claire expression de leur pertinence . * la visualisation d'une concordance avec les lois de la statique 42, _ STRUCTURES DES LIAISONS ET POSES: (Meir: LAVIGNE P., Construction Architecture, Approche sciontifque des structures, tomes, 2, 3, 4) le cours a ecole darchitectute de Grenoble) Les liaisons typiques is dracon: de wonsk ins et ois ofes Ge ro'atons possibleg provequat un mousemer se wensiaon ce de tctotion gue v 0 For on defini trois types de liaison TBsultante do direction connue (= + h ciinnte! symboicue Aras! @: perpendizulave fig. 38 5 fousein st ceustomen 9 2 qui BOM un igo" mune ote qua lo comsosera ds Les lisisons doubles rises pot les tanémos el typos oe lo gate 27, eles parmatent deux paramétres de Hicison sen o- ct oy ante on slanert et un gtvpe délémons oufet une vdlrere® de yoo vl, or Vonsomble de forces (qu'implique lo lisiton} agissant sur un lémant vo vedi? & une force résultante de direction @ priori inconnue = focon idésie, groche de le repiéventoion Syroslqve, co ype 6 Lazo esi lo div ov Swi dans lo protque sos oud ens pee eps fu fre ce lagere fistion ovec un moment elevement Table de le ore yon poe neice des, cay [sors docties fa 38) My ‘enusanan | eaare na prereset LEN —< AK fig + Los liaisons triples Repelaersdes per les schémcs et symiocles 4e Io hgute 39, eller perrevaat trois parametras de liaison \sclon ox, oy entre un element el un groupe laments eu/et una ralerence de ‘ype c Vensemble do forces z ic ioton) agissant sur un . Slément so reduit 6 une force yr = rasultante ‘ce duection 0 phot - Ramus et 6 un moment, ev! Gye . five por topo" el/ou lo relerense Deacon courcnte a seg des oy LF womens aves grande Tonguew | Sevmest ce ui event on rs lo tnaensin, dor coloze, 385 nee du de 2 bosons i 1 tiled oe do liawen les nombres de parenées oe Loi oe conposenes de forces ~ moment ser a ven ciewe des hovons qu telert un ewentle snuctae! & une lérence de type tol ov des sore ena aun, novs powons fever ov probleme intel : etki dum systéme mteiel avi gue equ wet enemensie decors fy doo cenoines sont des enn ewe, (ZO) 4.3. LOI DE FORMATION DES OSSATURES A) STRUCTURE SIMPLE ~ Pour une structure constit : ee di faison Inroduits par ge tuee dune barre (poutre, arc, poteau), les paraméires de PPUIS déterminent le degré de stabilité. Fig. 8) STRUCTURE A NCEUDS RIGIDES : PORTIQUE 4. Constitution interne La stabilité d'un cadre exige des nceuds en liaisons parfaites ou encastrements, 1 barre (b) —> 0 paramétre de liaison ou bielle (p) 2b > 3p ab 6p Soit: b barres + (3b-3)p ordre (n) d'un neeud rigide est egal au nombre des barres (b) y aboutissant moins un : (n= b— 1) Un neeud est isostatique lorsque : p = 3n, Dans ensemble la structure est isostatique lorsque : p = 3(b- 1) = 3n 2. Constitution externe ou pose Une structure strictement indéformable a besoin des trois paramétres de liaison pour appuls : p’ = 3 Le degré de stabilité dépend de la composition totale (inteme et exteme) do (b-1) +3 : = 3b — structure isostatique P > 3b — structure hyperstatique P < 3b — structure hypostatique ©) STRUCTURE A NOEUDS ARTICULES: 7°.SILLIS- 1. Constitution interne Avec des liaisons pa i tmangule, ons Pat articulation une structure stictement indeformable est Fig. 1 barre (b) —+ 0 paramatre de liaison ou bielle (p) 2b2 3b + 6p = (3b —3)p Un triangle de plus exige 2b’ et 6p’ = 3b" 3b + 2b’ — (3b —3 + 3b’)p = — 3(b +b’ — 1)p or b + b’ = B (total des piéces) Soit : B barres — 3(B- 1)p = Lordre (n) d'un neeud articulé est égal au nombre des barres (b) y aboutissant moins un : (n= b 1) - Un noeud est isostatique lorsque : p = 2n. ~ Dans l'ensemble la structure est isostatique lorsque :p = 2(b— 1) = 2n 2. Constitution exteme ou pose Une structure strictement in déformable a besoin des trois paramétres de liaison pour appuis : p’ = 3 Le degré de stabilité dépend de la composition totale (inteme et externe) dou: P=p+p' =3(B-1)+3 =3b — structure isostatique P> 3b — structure hyperstatique P<3b — structure hypostatique Chapitre 5 POUTRES. 5.4, POUTRES ISOSTATIQUES (Rappel) 29 tngles les ante orca tous les étodicns eons let cor oo oe cs. Por auperposince oe Won 0m pe. tongs forces. De toute fazon les chservoticn, x, Pour prene Hespeciwement dos minor pt ii 1 MYrete Be | 2 otf Max 8 8 nant! _ ot ed. - 58 7 SOLELY 38 ET ft 3el tye Pee ext NSEC “KET a Lent é1ont torement détermuncn! Gn peut ne rcisonnes que sur les moments Hlechissonts et | On soi cur + jg connointe noimele mesima'e n dow reser infeneue a Ic réusionce codmissible Ro Miro vests ve Jol weet inidveste @ une hacton de la parte 111/300, 1/200. 1 @ : ed a ezine 4 é 1 = voit onnexe 2) 2. POUTRES HYPERSTATIQUES 5.2.1. profil et profit @ouvrage hyporstatique ceo eer gla do corpiondie que de eoleder, now leon opel exentelemnt od a S coutes Now opplgueors en porter un ralsonnement & partir de le dale ce e feuds €2 (eee Se Co ype de rosorneTent et Hs ule 03 concepeu: Gul pet Tatas en iave cae cae dan ponautvemard post les structures hyperstatiques o¥ la stotique est toujours like Fie GuiSrmation (supposée élastique) du matétiav, Dons un prerielemge Eicon er eck dels igire 262 en swpporonls section cas (1) -poutre encostrée G une extrémité et sur oppui simple & Vovire " se 260, en tsisgnnent sr Is déforme on 4220 que t le oy vert a crete, ——ee vison dencestemen, ure ponte to gine decendone vente waa I peur ossuter une céformée continue entte Ao? 3ily sent en por dinkesan, C, Cesridre vs poi! cn y' de penie y’ chorge se une en dom dgsle @ escens + en Aon oun pe + an B, cna pat rule ui ensue gout nts: wisi que Idi Den A potes quity 0 mn opp single = Deen porce quily@ un encesterent et on conn: 4 0 done ene A e1B une diction du moment féchnsar cevchion du 1.2.2 cepine dexpinont quay’ non pest caver que Mi = O.ou pant of fe signe du moment: négoif pets d2 et post! leew’ nun point tal = 0. Cra qverit Si cn compare Mig e& My 8 la valeur moxingle Nfey, ofeine sil y evsit en B un opel timple, on que My < fly < Mage que Viyperintcité adult las solicitations tout en foisanl mieux nevaiter le mavériou + MF et ssi eu) sent mois il est pls vider! pout Is ccs suivent Ces seni mews tepstt = Cas (2) - Poures encastrées aux deux extrémites » : Eston le igure 20d, en toixeenent a fa déformée, on sat que i : 3 Fi i ¥ "+ en Ach ane Sette mile noerroiten Gencorrenent, Pe ; : Mt Cone dons Is ond centale le corcovit ne peut ne que . vas le haut ily a obligatitemenr daux points dinflesion C et 5 pour lesclt y= et dvidemment loss Mx 0. 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[nouns est Jople 2 ure economie o# molétiou pou lo méme tésstonce ov lo mime délcrmsiion Chague fos is pouto recherche ce ype dhypersiatsié en fo moitisi! ks de Io ini des Opals, clacton posible. 22 de in poure * olign: En outre, dans la pratique les travaux de construction commencent par les liaisons avec le colet le gecherche de stabilité des éléments posés I'un aprés autre, comme des ouvrages a part entiere, Ge qui contribue a la création de lexcés des paramélres d'appuls et hyperstaticité de "ensemble caractérisant les constructions immobiliéres, 5.2.2. calcul de la poutre continue (METHODE DE FOYERS) e 1. Les foyers 2. Dessiner axe de la poutre a échelle et positionner les appuis 5 }oétemniner les conditions aux extrémites et agales ; diviser chaque travée en-3 parties 9 M= 0 pour uno articulat SM #0 pour un ener pus ouleau, Achissant est au ters do fa pens ® jrowver les directrices dapput re autour do Nappui, travéo de droite. a,poteaminer 1s Foyers (par Cos dae) i, Tracer une droite (4 conditions aux cxtams}on ene & partic d'un foyer conn (voir ~ 10 point P, do rence 7 ntre aver la vent ar le ters de i tows do tape re 2 Veticale passant parlors de »_1€ point Pode rencont d ic Tracer ia dan Ge re ave la directtice de Fappui suivant rencontre avec la verticale i Pr avec lappui et trouver Pa, son point do - Passant par ic tiors de la travée suivant. La droite (8) qui roie Py Wee? Ps avec Ps coupe t'axe de la poutre au point F foyer de transmission des charges venant du ebte oppose la marche 2. Les moments des ‘Tracer les diagrammes des moments isostatiques (exteémités ~ Tracer travées) - - Tracer les lignes en croix ae chapitre 6 pORTIQUES 14. DEFINITIONS Er DisPositions 4-2. CALCUL DE PoRTIQU (METHODE DE CROS§ ou METHODE ITERATIVE) 1.2.1. Definitions des étapes a. 1°° Etape : Necuds encastres = Nosuds articulés Btape : Nowu b. 2eme c. 38me Etape : Noouds se déplacent aa d. me Etape : Neeuds libres 4.2.2. Conventions des signes. - Horlogique . scan A kod 1.2.3. Calculs des raideurs ~ Piece bi-encastré, g ~Piace encastré et posé —a 1.2.4, Angles et moments d’encastrement ke xR BIBLIOGRAPHIE LAVIGN IEP., Construction Architecture, Approche scientifique des structures, lomest, 2, 3, 4) le cours a école d'architecture de Grenoble). BAI RR G., Les gratte-ciel, Paris, Nouveaux horizons, 1964 SALVADORI M. , Why buildings stand up, the strength of architecture, New York, w.w. Norton & company, 1980 Rapports, premiére conférence nationale sur les constructions au Zaire, Université de Kinshasa, Fac . Polytechnique, TIEZ J, Histoire de farchitecture du 20” sidcle, konemann, 1999 Conteny INTRODUCTION, Chapitre 4. "eowaises 7 RUCTURES ARCHITECTURALES i cies D'ETUDE DE LA MECANIQUE.....- ANCES DES STRUCTURES ARCHTECTURALES. 13. TAXINOMIE OU cLassiFICATION DES STRUCTURES ‘4. CALCUL DES STRUCTURES... Chapitre 2. MATERIAUX DE STRUCTURE, 2A. 2.2, DEFINITIONS. FORMES GEOMETRIQUES 224. La piece... 2.2.2. La section 2.3. PROPRIETES DES MATERIAUX 2 2. Chapitre 3. 7 CHARGES ET ETATS DE TENSIONS BAL LES CHARGES .ccnonennesnsne ses 3.2, LES SOLLICITATIONS OU CONTRAINTES. 3.3. LES SOLLICITATIONS.. 1. Propristés mécaniques... Autres propriétés.... Chapitre 4. SYSTEMES CONSTRUCTIFS 4A, ARCHITECTURE DES LIAISONS ET POSES. 4.2, STRUCTURES DES LIAISONS ET POSES... 4.3, LOI DE FORMATION DES OSSATURES. 5.1. POUTRES ISOSTATIQUES (Rappeh 5.2, POUTRES HYPERSTATIQUES 5.2.1. _ profil ot profit d'ouvrage hyperstatique 5.2.2. calcul de la poutre continue. Chapitre 6, 7 PORTIQUES erase 127 141, DEFINITIONS ET DISPOSITIONS. 1.2, CALCUL DE PORTIQUE.. 1.24, Définitions des Stapes.. 1.2.2, Conventions des signes 123. Catouls des raldeurs. 1.2.4. Angles et moments d'encastrement. 1.25, Coefficient de repartition et moments de libération.. 1.2.6. Les tableaux de synthése. BIBLIOGRAPHIE..,

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