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Correction National 2021 - SM - N
Correction National 2021 - SM - N
Chimie
▪ Partie 1 : :
1. La quantité de matière d’acide méthanoïque :
m0
ni =
M(HCOOH) ρ × V0
On a ∶ m0 donc ni =
ρ= ⟹ m0 = ρ × V0 M(HCOOH)
{ V0
Le volume d’acide méthanoïque contenu dans la solution S1 représente 50 % de Vi donc :
50
V0 = V = 0,5Vi
100 i
ρ × 0,5Vi
Donc ni =
M(HCOOH)
1,22 × 0,5 × 6,00. 10−3
A. N ∶ ni = ⟹ ni = 7,95. 10−5 mol = 7,95. 10−2 mmol
46,0
2.
2.1. L’équation la réaction :
HCO− −
3(aq) + HCOOH(aq) → CO2(g) + H2 O(l) + HCOO(aq)
m(NaHCO3 )
D’où ni (HCO−
3) = ⟹ m(NaHCO3 ) = ni (HCO−
3 ) × M(NaHCO3 )
M(NaHCO3 )
A. N ∶ m(NaHCO3 ) = 7,95. 10−5 × 84,0 ⟹ m(NaHCO3 ) = 6,69. 10−3 g
3.
3.1. Le pourcentage de molécules d’acide méthanoïque :
N(HCOO− )
On a ∶ τ=
N(HCOOH)
N
On sait que ∶ n= ⟹ N = n × NA
NA
n(HCOO− ) × NA n(HCOO− ) n(H3 O+ ) [H O+ ] × V 10−pH × V
Donc ∶ τ= = = = 3 =
ni (HCOOH) × NA ni (HCOOH) ni (HCOOH) ni (HCOOH) ni (HCOOH)
10−2,43 × 1. 10−3
A. N ∶ τ= ⟹ τ = 4,67. 10−2 = 4,67%
7,95. 10−5
Donc la réaction de l’acide méthanoïque avec l’eau est limitée ; alors l’équation de la réaction s’écrit :
+
HCOOH(aq) + H2 O(l) ⇌ HCOO−
(aq) + H3 O(aq)
On a ∶ pKA = − log(KA )
[HCOO− ]éq . [H3 O+ ]éq
D’où KA =
[HCOOH]éq
+
Équation de la réaction HCOOH(aq) + H2 O(l) ⇌ HCOO−
(aq) + H3 O(aq)
En excès
Intermédiaire x C2 . V − x x x
Final xéq C2 . V − xéq xéq xéq
D’après le tableau d’avancement :
xéq
[HCOO− ]éq = [H3 O− ]éq = [H3 O+ ]2(aq)
V 10−2pH
C2 . V − xéq xéq ⟹ KA = =
C2 − [H3 O+ ]éq C2 − 10−pH
[HCOOH] = = C − = C2 − [H3 O+ ]éq
{ éq
V 2
V
10−2pH
Donc ∶ pKA = − log ( )
C2 − 10−pH
ni (HCOOH) 7,95. 10−5
On a ∶ C2 = = ⟹ C2 = 7,95. 10−2 mol. L−1
V 1. 10−3
10−2×2,43
A. N ∶ pKA = − log ( ) ⟹ pKA = 3,72
7,95. 10−2 − 10−2,43
4.
4.1. La valeur du pH de la solution obtenue :
′
10−2pH ′ ′
On a ∶ KA = donc KA (C3 − 10−pH ) = 10−2pH
C3 − 10−pH′
′ ′
KA C3 − KA 10−pH = 10−2pH
′ ′
10−2pH + KA 10−pH − KA C3 = 0
′
On pose x = 10−pH on obtient : x2 + KA x − KA C3 = 0
– La concentration C3 :
V𝑒 S3 ⟹ Avec V3 = V2 + V0
S2
C2 ; V2 C3 ; V3
Avant la dilution Après la dilution
D'après la définition d'une dilution (conservation de la quantité de matière du soluté), on peut écrire :
C2 × V2 = C3 × V3
C2 × V2 = C3 × (V2 + V0 )
C2 × V2
C3 =
V2 + V0
7,95. 10−2 × 25. 10−3
A. N ∶ C3 = ⟹ C3 = 2,65. 10−2 mol. L−1
25. 10−3 + 50. 10−3
L’équation a deux solutions donc :
4.2.
4.2.1. L’équation de la réaction :
HCOOH(aq) + HO− −
(aq) → H2 O(l) + HCOO(aq)
A
Système
On a ∶ ∆t = ta − tb
E
D D
On sait que ∶ Va = donc ta = Huile d’olive B
ta Va
D D
et Vb = donc tb =
th Vh
D D 1 1
Donc ∆t = − ⟹ ∆t = D ( − )
Va Vh Va Vh
4. L’huile testée est-t-elle pure ?
La courbe ∆t = f(D) est une fonction linéaire son équation s’écrit : ∆t = K. D
Avec K représente le coefficient directeur.
1 1
On sait que ∆t = D ( − )
Va Vh
1 1 1 1
D′ après et ∶ ( − )=K donc = −K
Va Vh Vh Va
1
Vh =
1
Va − K
′ I0 I0 2
D après et ∶ =K donc = K2
√2C0 2C0
I0 2 = 2C0 K2
I0 2
C0 =
2K2
∆√Ee 10−2 − 0 1
Graphiquement K = = ⟹ K = 5. 10−3 j ⁄2 . s−1
∆t 2−0
(10. 10−6 )2
A. N ∶ C0 = ⟹ C0 = 2. 10−6 = 2μF
2 × (5. 10−3 )2
1.3.
1.3.1. L’énergie dissipée par effet joule :
On a : EJ = |∆ET |
∆ET = ET (t = 0) − ET (t1 )
A t = 0 on a : i(t = 0) = 0 et uC (t = 0) = uAB = 40V
Em (t = 0) = 0
1 2
Donc ∶ { 1 2
⟹ ET (t = 0) = Ee (t = 0) − Em (t = 0) ⟹ ET (t = 0) = C0 uAB
Ee (t = 0) = C0 uAB 2
2
di
A t1 on a : i(t1 ) = Imax = 0,4A donc =0
dt
D’après la loi d’additivité des tensions on a : uL + uC = 0
di
r. i + L + uC = 0
dt
di
A t1 on a : r. Imax + L + uC (t1 ) = 0 donc r. Imax + L × 0 + uC (t1 ) = 0
dt
r. Imax + uC (t1 ) = 0
uC (t1 ) = −r. Imax
1
Em (t1 ) = L. I2max
Donc ∶ 2 ⟹ ET (t1 ) = Ee (t1 ) − Em (t1 )
1 2 1 2 2
{ Ee (t1 ) = 2 C0 (−r. Imax ) = 2 C0 . r . Imax
1 1
ET (t1 ) = L. I2max + C0 . r2 . I2max
2 2
1 1 1 2
Donc ∶ ∆ET = L. I2max + C0 . r2 . I2max − C0 uAB
2 2 2
1 1 1
A. N ∶ ∆ET = × 8,6. 10−3 × 0,42 + × 2. 10−6 × 122 × 0,42 − × 2. 10−6 × 402 ⟹ ∆ET = −9. 10−4 J
2 2 2
Donc EJ = |−9. 10−4 J| ⟹ EJ = 9. 10−4 J
▪ Exercice 05 : Mécanique :
• Partie I ∶Mouvement d’une luge :
1. Première phase :
1.1. La valeur de ath :
– Le système étudie : {La luge}
– Les forces exercées sur la luge :
▪ P⃗ : le poids.
▪ R⃗ : la réaction du plan.
D’après la 2éme de Newton appliquée sur la luge dans le repère galiléen R :
∑ ⃗F = m. a⃗G
P⃗ + R⃗ = m. a⃗G
On projette cette relation sur l’axe (O; i ⃗) : Px + Rx = m. ax
mg. sin(α) + 0 = m. ath
ath = g. sin(α)
A. N ∶ ath = 10 × 0,2 ⟹ ath = 2m. s−2
1.2. La distance parcourue :
L’accélération est constante et la trajectoire est rectiligne, donc le mouvement est rectiligne uniformément
varie, c’est-à-dire :
1
x = ath t2 + VA . t + xA
2
1
x = ath t2 + VA . t
2
V − VA
D’autre part : V = ath t + VA donc t =
ath
On remplace dans l’expression de x, on trouve :
1 V − VA 2 V − VA
x = ath ( ) + VA ×
2 ath ath
2
1 V − VA V − VA
À l’instant t1 , on a : d = ath ( 1 ) + VA × 1
2 ath ath
2
1 25 − 5 25 − 5
A. N : d = × 2 ( ) +5× ⟹ d = 150m
2 2 2
1.3.
1.3.1. La valeur de aexp :
On sait que ∶ Vexp = aexp t + VA
La courbe Vexp = f(t) est une droite, donc son équation s’écrit sous la forme : Vexp = aexp t + VA
– aexp : coefficient directeur.
∆Vexp 15 − 5
Graphiquement : aexp = = ⟹ aexp = 1m. s−2
∆t 10 − 0
1.3.2. L’expression de μ ∶
– Le système étudie : {La luge}
– Les forces exercées sur la luge :
▪ P⃗ : le poids.
▪ R⃗ : la réaction du plan.
D’après la 2éme de Newton appliquée sur la luge dans le repère galiléen R :
⃗ = m. a⃗G
∑F
P⃗ + R⃗ = m. a⃗G
On projette cette relation sur l’axe (O; i ⃗) : Px + Rx = m. ax
mg. sin(α) − RT = m. aexp
RT = m(g. sin(α) − aexp )
D’après , on trouve : RT = m(ath − aexp )
On projette cette relation sur l’axe (O; j) : Py + Ry = m. ay
−mg. cos(α) + RN = 0
RN = mg. cos(α)
RT m(ath − aexp )
On sait que : μ = =
RN mg. cos(α)
ath − aexp
μ=
g. cos(α)
On a sin(α) = 0,2 donc α = sin−1 (0,2)
α = 11,53°
2−1
A. N ∶ μ = ⟹ μ = 0,1
10 cos(11,53°)
2. Deuxième phase :
2.1. L’équation différentielle :
– Le système étudie : {La luge}
– Les forces exercées sur la luge :
▪ P⃗ : Poids.
▪ f ⃗ : force de frottement fluide.
D’après la 2éme de Newton appliquée sur la luge dans le repère galiléen R :
∑ ⃗F = m. a⃗G
P⃗ + f ⃗ = m. a⃗G
On projette cette relation sur l’axe (C; k⃗) : Pz + Rz = m. az
P − f = m. az
mg − kvz = m. az
k
az = g − v
m z
dvz k
+ v =g
dt m z
m dvz 1
On pose τ = , on obtient ∶ + v =g
k dt τ z
dvz
Au régime permanent, on : vz = vl = Cte donc =0
dt
1 1
On remplace dans l’équation différentielle, on trouve : 0 + vl = g donc v =g
τ τ l
dvz 1 v
On remplace dans , on trouve : + vz = l
dt τ τ
– L’expression de vl :
vl = g. τ
m
On a ∶ {τ = m donc vl = g.
k k
D’après la 2éme de Newton appliquée sur le proton dans le repère supposé galiléen :
⃗ = m. a⃗G
∑F
⃗F = m. a⃗ G
q. ⃗E = m. a⃗ G
q ⃗
a⃗G = . E
m
V = V0 . cos(α) x =0
Les conditions initiales : { 0x ; { 0
V0y = V0 . sin(α) y0 = 0