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Chapitre

9 Équations de droites
et problèmes
• Énigme 1 La seule droite qui a un coefficient directeur négatif
et qui passe par le point de coordonnées (0 ; 2) est la
droite d2.
T3
La fonction f est affine donc :
B C f(4) – f(1) f(5) – f(4) – 3 – 0 f(5) – (– 3)
A T1 = , d’où = . On obtient
4–1 5–4 3 1
donc f(5) + 3 = – 1
T2 f(5) = – 4.
a) On cherche deux réels a et b tels que f(x) = ax + b.
On trace ∆ l’axe de symétrie du croissant puis on place
f(1) = – 1 donc – 1 = a + b et f(4) = 5 d’où 5 = 4a + b.
sur le bord du croissant les points A, B et C tels que A soit
On obtient 5 – (– 1) = (4a + b) – (a + b)
sur ∆ et B et C symétriques par rapport à ∆.
6 = 3a
Enfin on trace (T1), (T2), (T3) tangentes respectivement en
d’où a = 2 et b = – 3.
A, B et C au bord du croissant.
La fonction f recherchée est définie par f(x) = 2x – 3.
• Énigme 2 d1
b) On calcule :
• 2xC – 3 = 2 × 2 – 3
=1
d2 = yC donc C appartient à la droite qui représente f.
• 2xD – 3 = 2 × (– 100) – 3
d3 = – 203
≠ yD donc D n’appartient pas à la droite qui
d10 d6
d9 d4 représente f.
d8 d7 d5 L’antécédent de 0 par f est solution de l’équation :
Cette disposition permet d’obtenir dix alignements de f(x) = 0
trois arbres. – 2x + 5 = 0
5 5
x = donc f
2 12
= 0.

1. Vérifier les acquis L’antécédent de 3 par f est solution de l’équation :


f(x) = 3
a) x –2 –1 0 1 2 3 – 2x + 5 = 3
f(x) –5 –2 1 4 7 10 x = 1 donc f(1) = 3.
a) 3x = 2
b)
2
x=
3
2
est solution de cette équation.
3
b) 5x + 2 = 0
2
x=–
5
2
– est solution de cette équation.
5
J c) 5x = 3x – 2
O x=–1
I – 1 est solution de cette équation.
d) 3x + 4 = 6x – 2
– 3x = – 6
x=2
2 est solution de cette équation.
1
Par lecture graphique, d1 a pour coefficient direc- À une température d’environ 33,4° les deux tiges mesu-
100 100
teur – 2 ; d2 a pour coefficient directeur 3 ; d3 a pour reront fA1 3
= 0,12 ×
3
+ 1 000 = 1 004.
coefficient directeur 3 et d4 a pour coefficient directeur 0.
De plus, d1 passe par le point de coordonnées (0 ; 1) donc
son ordonnée à l’origine est 1. d2 passe par le point de 3. Exercices de base
coordonnées (0 ; 2) donc son ordonnée à l’origine est 2.
d3 passe par le point de coordonnées (0 ; 0) donc son – 3xA + 0,5 = – 3 × 150,5 + 0,5 = – 451 = yA donc
ordonnée à l’origine est 0. d4 passe par le point de coor- A ∈ d.
données (0 ; – 2) donc son ordonnée à l’origine est – 2. – 3xB + 0,5 = – 3 × (– 73,25) + 0,5 = 220,25 ≠ yB donc B ∉ d.
– 3xC + 0,5 = – 3 × 120,5 + 0,5 = – 361 = yC donc C ∈ d.

2. Activités d’approche a) 3xA + 7 = 3 × –


2
+ 7 = 5 = yA donc A ∈ d.
• Activité 1 3
3xB + 7 = 3 × 0 + 7 = 7 = yB donc B ∈ d.
a) et b) b) Pour que A, B et C soient alignés, il faut et il suffit
que C ∈ d.
3xC + 7 = 3 × (– 1) + 7 = 4 = yC donc C ∈ d.
On en déduit que les trois points A, B et C sont alignés.
3 – 5xA = 3 – 5 × 2 = – 7 = yA donc A ∈ d.
3 – 5xB = 3 – 5 × (– 1) = 8 = yB donc B ∈ d.
3 – 5xC = 3 – 5 × 3 = – 12 = yC donc C ∈ d.
Les points A, B et C sont bien alignés sur d.
a) A est un point de d donc
c) 5 5
Point E Point F Droite (EF) yA = xA – 1 = × 6 – 1 = 14.
2 2
(0 ; 2) (1 ; 4) y = 2x + 2 5 5
b) B est un point de d donc yB = xB – 1 = × 12 – 1 = 29.
(0 ; 1) (1 ; – 5) y = – 6x + 1 2 2
5
(1 ; 3) (1 ; – 4) x=1 c) C est un point de d donc yC = xC – 1
2
(0 ; – 1) (1 ; 1) y = 2x – 1 5
4 = xC – 1
2
(0 ; 3) (1 ; 3) y=3 2
xC = × 5 = 2
d) La droite (EF) peut avoir une équation de la forme 5
y = mx + p ou de la forme x = c si elle est parallèle à l’axe 5
d) D est un point de d donc yD = xD – 1.
des ordonnées. 2
1 5
– = xD – 1
• Activité 2 2 2
1 003,6 – 1 000 3 1 005,4 – 1 003,6 3 2 1 1
a) Calculons : = ; = ; xD = × =
30 – 0 25 45 – 30 25 5 2 5
1 007,8 – 1 005,4 3
= a) Pour que le triangle ABC soit isocèle en A, il faut
65 – 45 25
On peut dire que la longueur de la tige est image de la et il suffit que A appartienne à la médiatrice de [BC].
température par une fonction affine fA(t) = at + b avec 5xA – 4 = 5 × 2 – 4 = 6 = yA
3 A appartient à la médiatrice de [BC] donc le triangle ABC
a= = 0,12 ; f(0) = b = 1 000
25 est isocèle en A.
donc fA(t) = 0,12t + 1 000. b) 5xD – 4 = 5 × (– 2) – 4 = – 14 ≠ yD
1 003,7 – 1 001
b) Calculons : = 0,09 ; D n’appartient pas à la médiatrice de [BC] donc le triangle
30 – 0
1 005,05 – 1 003,7 1 007,8 – 1 005,4 DBC n’est pas isocèle en D.
= 0,09 ; = 0,09. c) 5xE – 4 = 5 × (– 1) – 4 = – 9 ≠ yE
45 – 30 65 – 45
On peut à nouveau utiliser une modélisation affine : E n’appartient pas à la médiatrice de [BC] donc le triangle
fB(t) = 0,09t + 1 001. EBC n’est pas isocèle en E.
Les deux tiges ont même longueur si fA(t) = fB(t) Pour représenter d1, on place le point A tel que
0,12t + 1 000 = 0,09t + 1 001 1
xA = 0 et yA = × 0 + 5, soit A(0 ; 5) ; et le point B tel que
0,03t = 1 2
100 1
t= xB = 2 et yB = – × 2 + 5, soit B(2 ; 4).
3 2
2
La droite (AB) n’est autre que la droite d1. a)
La droite d2 d’équation y = 3 est la droite parallèle à l’axe
1
des abscisses qui joint tous les points d’ordonnée 3. A
La droite d3 d’équation x = 6 est la droite parallèle à l’axe J –2
des ordonnées qui joint tous les points d’abscisse 6.
O I
d1
d

b) L’équation de la droite d est de la forme : y = – 2x + p


A ∈ d donc yA = – 2xA + p
2 = – 2 × 0 + p donc p = 2
d2 L’équation de d est : y = – 2x + 2
a) d
J

O I J
I 3
d3
O
A
La droite d1 passe par les points de coordonnées 1
(0 ; – 2) et (1 ; 2).
La droite d2 passe par les points de coordonnées (0 ; – 4) b) L’équation de la droite d est de la forme : y = 3x + p
et (4 ; – 1). A ∈ d donc yA = 3xA + p
La droite d3 passe par l’origine du repère et par le point – 1 = 3 × 1 + p donc p = – 4
de coordonnées (2 ; – 1). L’équation de d est y = 3x – 4
y –y
d3 d1 • Coefficient directeur de la droite (AB) : m1 = B A
xB – xA
1 – (– 1)
= = 2.
2–1
J
I L’équation de (AB) est de la forme y = 2x + p, or A appar-
O tient à la droite (AB) donc yA = 2xA + p
– 1 = 2 × 1 + p, soit p = – 3
donc (AB) a pour équation y = 2x – 3.
• Équation de la droite (CD) : on constate que xC = xD = – 5 ;
d2 on en déduit que l’équation de la droite (CD) est x = – 5.
y –y
a) Coefficient directeur de la droite (AB) : m1 = B A
La droite d1 passe par l’origine du repère et par le xB – xA
4–5 1
point de coordonnées (4 ; 5). = = .
–2–1 3
La droite d2 passe par les points de coordonnées (0 ; 1) 1
La droite (AB) a une équation de la forme y = x + p.
et (3 ; – 1). 1 3
A appartient à (AB) donc yA = xA + p
La droite d3 est la parallèle à l’axe des abscisses qui joint 3
tous les points d’ordonnée – 1. 1 14
5 = × 1 + p, soit p =
La droite d4 est la parallèle à l’axe des ordonnées qui joint 3 3
1 14
tous les points d’abscisse – 3. La droite (AB) a donc pour équation y = x +
3 3
b) On constate que yB = yC = 4, on en déduit que la droite
d4
(BC) a pour équation y = 4.
d1
d2 c) On constate que xA = xC = 1, on en déduit que la droite
(AC) a pour équation x = 1.
d) La droite (OD) passe par l’origine du repère, son
J
équation est donc de la forme y = mx.
O I y –y 5
d3 m= D O =–
xD – xO 3
5
La droite (OD) a donc pour équation y = – x.
3
3
a) xA ≠ xB donc l’équation de la droite (AB) est de Pour vérifier l’affichage, cherchons l’équation de
la forme y = mx + p. la droite (AB) avec A(2 ; 3) et B(0 ; 2). Elle est de la forme
b) A appartient à (AB) donc yA = mxA + p y = mx + p.
– 1 = 3m + p B appartient à la droite (AB) donc l’ordonnée à l’origine
B appartient à (AB) donc yB = mxB + p est égale à 2 ; p = 2.
9=–m+p y –y 2–3 1
m= B A = =
3m + p = – 1 xB – xA 0 – 2 2
Donc (m ; p) est solution du système : ! –m+p=9
1
L’équation de (AB) est y = x + 2, soit y = 0,5x + 2, ce
2
c) Ce système est équivalent aux systèmes suivants : qui confirme l’affichage.
–m+p=9
! (3m + p) – (– m + p) = – 1 – 9
a) et c)

p=m+9
! 4m = – 10
p=m+9
! m=–
5
2
13

!
p=
2
5
m=–
2
5 13
1– ;
2 2
est solution de ce système. b) Coefficient directeur de la droite (AB) :
5 13 y –y –2–7
d) L’équation de la droite (AB) est y = – x + . m= B A = = – 3.
2 2 xB – xA 1 – (– 2)
Coefficient directeur de la droite (MN) : La droite (AB) a une équation de la forme y = – 3x + p.
y –y 20 – 2 3 Le point A appartient à (AB) donc
m= N M = =
xN – xM 7 – (– 5) 2
3 yA = – 3xA + p
L’équation de (MN) est de la forme y = x + p. Le point M 7 = – 3 × (– 2) + p, soit p = 1.
2
3 La droite (AB) a donc pour équation y = – 3x + 1.
appartient à la droite (MN) donc yM = xM + p
2 2 8
3 •y= x – est l’équation d’une droite qui passe
2= ×–5+p 5 5
2 par le point de coordonnées (4 ; 0), donc c’est l’équation
19 de d4.
p=
2 • y = 5 est l’équation d’une droite parallèle à l’axe des
3 19
Donc la droite (MN) a pour équation : y = x + .
2 2 abscisses, c’est donc l’équation de d1.
3
On constate que yM = yN = – 2 ; on en déduit que la • y = x est l’équation d’une droite passant par l’origine
4
droite (MN) a pour équation y = – 2. du repère, c’est donc l’équation de d3.
3 • x = – 2 est l’équation d’une droite parallèle à l’axe des
On constate que xM = xN = ; on en déduit que la
4 ordonnées, c’est donc l’équation de d6.
3
droite (MN) a pour équation x = . 1
4 • y = – x + est l’équation d’une droite qui a un coeffi-
2
Coefficient directeur de la droite (MN) : cient directeur négatif, donc c’est l’équation de d5.
1 7 8
–3– – • y = 2x – est l’équation d’une droite qui a la même
yN – yM 2 2 14 5
m= = = =– ordonnée à l’origine que d4, c’est donc l’équation de d2.
xN – xM 1 17 17
4+
4 4 14 Par lecture graphique, le coefficient directeur de
L’équation de la droite (MN) est de la forme y = – x + p. d est égal à 1 donc m = 1 et l’ordonnée à l’origine p = 1,
17
Le point N appartient à la droite (MN) donc donc l’équation de (d) est y = x + 1.
14 Par lecture graphique, le coefficient directeur de d’ est
yN = – x +p
17 N égal à – 3 et l’ordonnée à l’origine p = 2, donc l’équation
14
–3=– ×4+p de d’ est y = – 3x + 2.
17
5
p= . Par lecture graphique, le coefficient directeur de d,
17
14 5 2 1
Donc la droite (MN) a pour équation y = – x+ . m= = ; donc l’équation de d est de la forme
17 17 4 2
4
1 b) • Calculons le coefficient directeur de (AC) :
y= x + p. De plus le point de coordonnées (3 ; 4) appar-
2 2 1 7
1 5 – – –
tient à d, donc 4 = × 3 + p d’où p = . yC – yA 3 2 6 7
2 2 m1 = = = = .
1 5 xC – xA 1 1 2
Donc d a pour équation y = x + . 0– –
2 2 3 3
Par lecture graphique, le coefficient directeur de d’, • Calculons le coefficient directeur de (BD) :
5 yD – yB 1–0 1 18
m = – , donc l’équation de d’ est de la forme m2 = = = =
2 xD – xB 5 1 7 7
5 –
y = – x + p. De plus le point de coordonnées (1 ; 4) 9 6 18
2 m1 ≠ m2 donc les droites (AC) et (BD) sont sécantes.
5 13
appartient à d’, donc 4 = – × 1 + p d’où p = .
2 2 a) • Calculons le coefficient directeur de la droite
5 13
Donc d’ a pour équation y = – x + . (AB) :
2 2
yB – yA 7–2 5
a) La droite d3 passe par l’origine du repère. m1 = = =
xB – xA 3–1 2
3 × x0 = 3 × 0 = 0 = y0 donc la droite d’équation y = 3x
passe par l’origine du repère. Calculons le coefficient directeur de la droite (CD) :
b) La droite d5 est parallèle à l’axe des abscisses. yD – yC 4 – (– 1) 5
m2 = = =
Toute droite d’équation y = a avec a ∈ R est une droite xD – xC 5 1 2

horizontale donc parallèle à l’axe des abscisses. 2 2
c) La droite d2 est parallèle à l’axe des ordonnées. m1 = m2 donc les droites (AB) et (CD) sont parallèles.
Toute droite d’équation x = a avec a ∈ R est une droite • Calculons le coefficient directeur de la droite (AC) :
verticale donc parallèle à l’axe des ordonnées. yC – yA –1–2 –3
m1 = = = =6
d) Les droites d3 et d4 sont parallèles. xC – xA 1 1
–1 –
Les deux droites ont le même coefficient directeur : 3. 2 2
Calculons le coefficient directeur de la droite (BD) :
e) Les droites d1, d3 et d5 passent par le point
7 yD – yB 4–7 –3
1
A – ;2 .
2
m2 =
xD – xB
=
5
–3
=

1
=6
1 1 1 7 1 2 2
– xA + = – × –
2 4 2 1 2
+ = 2 = yA donc A ∈ d1
4 m1 = m2 donc les droites (AC) et (BD) sont parallèles.
yA = 2 donc A ∈ d5. b) Dans le quadrilatère ABDC, les côtes opposés sont
7 parallèles deux à deux, ABDC est donc un parallélo-
xA = – donc A ∈ d3.
2 gramme.
a) m1 = 2 et m2 = 1 ; m1 ≠ m2 donc les droites sont a) Calculons le coefficient directeur de la droite
sécantes. y –y –2–6 –8
3 6 3 (AB) : m1 = B A = = =–2
b) m1 = – et m2 = – = – ; m1 = m2 donc les droites xB – xA 3+1 4
2 4 2 b) La droite (d) est parallèle à (AB), son coefficient direc-
sont parallèles. teur est – 2. L’équation de (d) est de la forme : y = – 2x + p.
4
c) m1 = = 0,8 et m2 = 0,8 ; m1 = m2 donc les droites Le point C appartient à (d). Ses coordonnées vérifient
5
sont parallèles. donc l’équation de (d) :
d) Les deux droites sont verticales donc parallèles. yC = – 2xC + p
e) m1 = 0 et m2 = 2 ; m1 ≠ m2 donc les droites sont 3 = – 2 × (– 5) + p donc p = – 7.
sécantes. L’équation de la droite d est y = – 2x – 7.
f) Les deux droites sont parallèles à l’axe des abscisses, xA + xB – 1 + 3
a) xI = = =1
elles sont donc parallèles. 2 2
y +y 2+7 9
a) • Calculons le coefficient directeur de (AB) : yI = A B = =
1 1 2 2 2
0– – 9
m1 =
yB – yA
=
2
=
2
= 3. 1
Donc I 1 ; .
2
xB – xA 1 1 1
– – b) Calculons le coefficient directeur de la droite (BC) :
6 3 6
• Calculons le coefficient directeur de (CD) : y –y –1–7 –8
m1 = C B = = =–4
2 5 xC – xB 5–3 2
yD – yC
1– –1 3 3 La droite d est parallèle à (BC) donc son équation est de
m2 = = = = 3. la forme y = – 4x + p.
xD – xC 5 5
–0 Le point I est sur la droite d donc ses coordonnées véri-
9 9
m1 = m2 donc les droites (AB) et (CD) sont parallèles. fient l’équation de d :
5
yI = – 4xI + p y = 3x + 5
9
= – 4 × 1 + p donc p =
17 a) Le système ! y = – 2x est équivalent aux
2 2 systèmes suivants :
17
L’équation de la droite d est y = – 4x + . y = – 2x y = – 2x
2
c) Calculons les coordonnées de J milieu de [AC] :
! – 2x = 3x + 5
donc !
– 5x = 5
y = – 2x y=2
x +x
xJ = A C =
2
–1+5
2
=2 ! x=–1
c’est-à-dire
x=–1 !
y +y 2–1 1 Ce système a pour solution (– 1 ; 2).
yJ = A C = = b) Interprétation graphique : traçons la droite d d’équation
2 2 2
1 y = – 2x et la droite d’ d’équation y = 3x + 5. Déterminons
1
Donc J 2 ; .
2 graphiquement les coordonnées du point d’intersection
Vérifions que d passe par le point J : de ces deux droites. On constate qu’il a pour coordon-
17 17 nées (– 1 ; 2).
– 4xJ + =–4×2+ d
2 2
17 1
– 4xJ + =
2 2
17
– 4xJ + = yJ 2
2
Les coordonnées de J vérifient l’équation de d donc d J
passe par J.
–1 O I
On retrouve une propriété donnée par le théorème des
d’
milieux : dans un triangle, si une droite est parallèle à un
côté et passe par le milieu d’un second côté alors cette 1
droite passe par le milieu du troisième côté. a)
!
x=–2
2
x+3
y=–

a) d a pour coefficient directeur 2. d’ a pour coef- Ce système a pour solution les coordonnées du point
ficient directeur 4. d’intersection des droites d1 et d2 soit (– 2 ; 4)
Les deux coefficients directeurs sont différents donc les y = 3x – 4
droites d et d’ sont sécantes.
b) L’abscisse du point A, intersection de d et d’, vérifie
b)
! 1
y=– x+3
2
l’équation : Ce système a pour solution les coordonnées du point
4xA – 10 = 2xA + 4 d’intersection des droites d3 et d1 soit (2 ; 2).
2
!
2xA = 14 donc xA = 7 y= x+3
yA = 4xA – 10 = 4 × 7 – 10 = 18 donc A(7 ; 18) c) 3
y = 3x – 4
a) Ce système a pour solution les coordonnées du point
d’ d’intersection des droites d4 et d3 soit (3 ; 5).
2

!
y= x+3
d) 3
1
y=– x+3
2
A Ce système a pour solution les coordonnées du point
d’intersection des droites d4 et d1 soit (0 ; 3).
J
a) I milieu de [AB] donc
O I xA + xB 3 + (– 5)
xI = = =–1
2 2
y +y 4+2
d et yI = A B = =3
2 2
b) Par lecture graphique, A(3 ; 3). Donc I(– 1 ; 3)
c) 2xA – 3 = – 2xA + 9 J milieu de [AC] donc
x +x 3+1
4xA = 12 xJ = A C = =2
2 2
xA = 3 y +y 4 + (– 4)
yA = 2xA – 3 = 2 × 3 – 3 = 3 et yJ = A B = =0
2 2
on retrouve bien A(3 ; 3) Donc J(2 ; 0)
6
b) • Calcul du coefficient directeur de la droite (CI) : b) • A point d’intersection de d1 et d2 :
y –y 3 – (– 4) 7 L’abscisse de A vérifie l’équation :
m= I C = =–
xI – xC –1–1 2 2 3
7 xA = xA – 10
L’équation de la droite (CI) est de la forme y = – x + p. 3 2
2
C ∈ (CI) donc : 2 3
7 x – x = – 10
yC = – xC + p 3 A 2 A
2 5
7 1 – xA = – 10
– 4 = – × 1 + p d’où p = – 6
2 2 xA = 12
7 1
donc (CI) a pour équation : y = – x – . Calculons l’ordonnée de A :
2 2
• Calcul du coefficient directeur de la droite (BJ) : 2 2
yA = × xA = × 12 = 8
y –y 0–2 2 3 3
m= J B = =– donc A(12 ; 8)
xJ – xB 2 – (– 5) 7
2
L’équation de la droite (BJ) est de la forme y = – x + p. • B point d’intersection de d1 et d3 :
7 2
B ∈ (BJ) donc : L’abscisse de B vérifie l’équation xB = 2, donc xB = 3
2 3
yB = – xB + p
7 D’autre part B ∈ d3 donc yB = 2, d’où B(3 ; 2).
2 4 • C point d’intersection de d2 et d3 :
2 = – × (– 5) + p d’où p =
7 7 L’abscisse de C vérifie l’équation :
2 4
donc (BJ) a pour équation y = – x + . 3
7 7 x – 10 = 2
c) L’abscisse du point M vérifie l’équation : 2 C
7 1 2 4 3
– xM – = – xM + x = 12
2 2 7 7 2 C
2 7 1 4 donc xC = 8
x – x = + D’autre part C ∈ d3, donc yC = 2, d’où C(8 ; 2).
7 M 2 M 2 7
45 15 a)
– x =
14 M 14
1
xM = –
3
Calcul de l’ordonnée de M :
2 1 4 2
yM = – × –
7 1 3
+ =
7 3
Les droites (BJ) et (CI) sont deux médianes du triangle
b) G-Solv donne (2,75 ; 2,5)
ABC.
c) Retrouvons ce résultat par le calcul.
Leur intersection M est donc le centre de gravité du
L’abscisse de A vérifie l’équation :
triangle ABC.
2xA – 3 = – 2xA + 8
a) et c) 4xA = 11
11
8 donc xA = = 2,75
A 4
Calculons l’ordonnée de A :
11
yA = 2xA – 3 = 2 × –3
4
5
donc yA = = 2,5
d3 2 B C 2

J a) Calculons m1 le coefficient directeur de (AB) :


yB – yA 4–5 1
I 3 8 12 m1 = = =–
d1 O xB – xA 6 – (– 1) 7
Calculons m2 le coefficient directeur de (AC) :
9 1
–5 –
yC – yA 2 2 1
m2 = = = =–
xC – xA 5 7 7
– (– 1)
2 2
m1 = m2 donc les points A, B et C sont alignés.
b) Calculons m1 le coefficient directeur de (AB) :
y –y 0–1 1
d2 m1 = B A = =–
xB – xA 4 – 2 2
7
Calculons m2 le coefficient directeur de (AC) : • On résout l’équation de la droite (AB) avec le point D :
y –y 3–1 – 2xD + 4 = – 2 × (– 4,25) + 4
m2 = C A = =–2
xC – xA 1 – 2 – 2xD + 4 = 12,5
m1 ≠ m2 donc les points A, B et C ne sont pas alignés. – 2xD + 4 = yD
La ligne 2 indique que les points A, B et C sont donc D ∈ (AB)
alignés. On en conclut que les quatre points A, B, C et D sont
Vérifions-le : alignés.
calculons m1 le coefficient directeur de (AB) : a) On vérifie que A, B et C ne sont pas alignés.
23 10 27
yB – yA – – 3 • On calcule m1 le coefficient directeur de la droite (AB) :
m1 = = 15 3 = 15 = y –y 2 – (– 1)
xB – xA 2–5 –3 5 m1 = B A = =–3
xB – xA 2–3
Calculons m2 le coefficient directeur de (AC) :
• m2 le coefficient directeur de la droite (AC) :
14 10 36
yC – yA 15 – 3 – 3 y –y 5 – (– 1)
m2 = = = 15 = m2 = C A =
xC – xA 4–3
=6
xC – xA 1–5 –4 5
m1 ≠ m2 donc les points A, B et C ne sont pas alignés et
m1 = m2 donc les points A, B et C sont bien alignés.
le triangle ABC n’est pas aplati.
a) • On détermine l’équation de la droite (AB) : b) Le logiciel donne les coordonnées suivantes :
Le coefficient directeur de (AB) : 8 25 35 29
y –y
m= B A =
1 – (– 8) 9 3
= =
G(3 ; 2) 1
H– ;
3 9
L1 ;
6 18
xB – xA 5 – (– 7) 12 4 On vérifie l’alignement de G, H et L :
3
L’équation de la droite (AB) est de la forme y = x + p. • m1 le coefficient directeur de (GH) :
3 4
A ∈ (AB) donc yA = x + p. 25 7
4 –2
yH – yG 9 9 7
21 m1 = = = =–
–8=– +p xH – xG 8 17 51
4 – –3 –
11 3 3
d’où p = – • m2 le coefficient directeur de (GL) :
4 3 11
(AB) a pour équation : y = x – . 29 7
4 4 –2 –
• On résout l’équation de la droite (AB) avec le point C : yL – yG 18 18 7
m2 = = = =–
3 11 3 11 xL – xG 35 17 51
xC – = × (– 2) – –3
4 4 4 7 6 6
3 11 17 m1 = m2 donc les points G, H et L sont alignés.
x – =–
4 C 4 4
3 11
x – = yC
4 C 4 4. Exercices d’entraînement
donc C ∈ (AB), les points A, B et C sont alignés.
• On résout l’équation de la droite (AB) avec le point D :
3 11 3 11
x – = ×8–
4 D 4 4 4
3 11 13
x – =
4 D 4 4
3 11
x – ≠ yD
4 D 4
donc D ∉ (AB), les points A, B, C et D ne sont pas alignés.
b) On détermine l’équation de la droite (AB) :
Le coefficient directeur de (AB) :
1. Le logiciel nous permet de conjecturer que la droite
y –y – 1,5 – 4 5,5
m= B A = =– =–2 (MM1) passe par le point de coordonnées (– 1 ; – 1), quelle
xB – xA 2,75 – 0 2,75
que soit la position de M sur - sauf lorsque M est en A.
L’équation de la droite (AB) est de la forme y = – 2x + p.
1
A(0 ; 4) et A ∈ (AB), donc p = 4. (AB) a pour équation 1
2. M 3 ;
3
et M1(5 ; 1)
y = – 2x + 4
Calculons m le coefficient directeur de (MM1) :
• On résout l’équation de la droite (AB) avec le point C :
1
– 2xC + 4 = – 2 × 2 + 4 yM – yM 1–
m= x –x =
1 3 =1
– 2xC + 4 = 0 3
M1 M 5–3
– 2xC + 4 = yC 1
La droite (MM1) a une équation de la forme y = x + p.
donc C ∈ (AB) 3
8
1 1
M1 appartient à (MM1), donc yM =
1
x +p
3 M1 1
donc I 0 ; –
2
5 2 Calculons le coefficient directeur de (CI) :
1 = + p, soit p = –
1 3
L’équation de (MM1) est donc y = x –
1
3
2
3
yI – yC
– – –
2 1
2 1
m= = = =4
3 3 1 1
Vérifions que le point de coordonnées (– 1 ; – 1) appar-
xI – xC
0– – 1 4 4
1 2 (CI) a une équation de la forme y = 4x + p.
tient bien à (MM1) : × (– 1) – = – 1. Donc la conjec-
3 3 1 1
ture est vérifiée. 1
I 0; –
2
appartient à (CI) donc p = – .
2 1
3. a) Soit I le milieu de [AM1], donc I appartient à dM. On
La médiatrice de [AB] a pour équation : y = 4x – .
en déduit que xI = m. 2
x +x 1 + xM 3. La saisie de la ligne 5 sur Xcas confirme le résultat
Or xI = A M1 , donc m = 1 , d’où x
M1
= 2m – 1. trouvé en 2. b).
2 2
De plus, [AM1] est perpendiculaire à dM, donc AM1 est 1. a) et b) Voir ressources complémentaires sur le
parallèle à l’axe des abscisses. L’équation de (AM1) est site compagnon.
donc y1 = yA, c’est-à-dire y = 1, d’où yM = 1. c) On conjecture que AIM et MJKB ont même périmètre
1
Le point M1 a bien pour coordonnées (2m – 1 ; 1). lorsque AM = 6.
Le logiciel donne (1 – 2(1 – m) ; 1), 2. a) Le triangle AIM est équilatéral donc
or 1 – 2(1 – m) = 1 – 2 + 2m = 2m – 1. = 3 × AM = 3x.
AIM
b) Admettons que l’équation de la droite (MM1) soit Les points A, M et B sont alignés donc MB = AB – AM
1 1–m MB = 10,5 – x
y= x+ , si m ≠ 0.
m m Le quadrilatère BMJK est un carré donc
Pour vérifier que le point de coordonnées (– 1 ; – 1)
= 4 × MB
appartient à (MM1), on calcule : BMJK

1 1–m –m BMJK
= 4(10,5 – x)
× (– 1) + = =–1 = 42 – 4x
m m m BMJK

Donc la conjecture de la question 1. est bien démontrée. b) Si AIM et BMJK ont même périmètre alors :
3x = 42 – 4x
1.
7x = 42
x=6
on retrouve bien la réponse conjecturée en 1.
3. La droite d’équation y = – 4x + 42 représente le péri-
mètre de BMJK, elle passe par les points de coordonnées
(8 ; 10) et (10 ; 2).
La droite d’équation y = 3x représente le périmètre de
AIM ; elle passe par les points de coordonnées (0 ; 0) et
2. a) Calculons les longueurs des côtés du triangle ABC : (4 ; 12).
AB = 0(xB – xA)2 + (yB – yA)2
AB = 0(– 2 – 2)2 + (0 – (– 1))2 = 816 + 1 = 417 18
AC = 0(xC – xA) + (yC – yA)
2 2

01– 14 – 2 + 1– 32 – (– 1) = 98116 + 14 = 48516


2 2
AC =
BC = 0(xC – xB)2 + (yC – yB)2

01– 14 – (– 2) + 1– 32 – 0 = 94916 + 94 = 48516


2 2
BC =
AC = BC, donc on en déduit que le triangle ABC est
isocèle en C.
b) Le triangle ABC étant isocèle en C, C appartient à la
médiatrice de [AB]. Soit I le milieu de [AB], la médiatrice
de [AB] n’est autre que la droite (CI).
Déterminons les coordonnées de I :
x +x 2 + (– 2)
xI = A B = =0
2 2 J
y +y –1+0 1
yI = A B = =– O
2 2 2 I 4 6
9
On retrouve graphiquement que les deux périmètres d) 3x + 2y = 50
sont égaux lorsque x = 6 et que leur valeur commune 2y = – 3x + 50
est bien 18. 3
y = – x + 25
2
1. d a pour coefficient directeur m donc d a pour
équation y = mx + p. De plus d passe par le point A(x0 ; y0) Notes d’oral
donc y0 = mx0 + p, soit p = y0 – mx0
L’équation de d devient :
y = mx + y0 – mx0 Moyenne
20 de 17
y = m(x – x0) + y0.
2. • La droite d1 a pour coefficient directeur 2 et passe 18
par le point A(2 ; 3), son équation est donc 16
y = 2(x – 2) + 3 = 2x – 1. Moyenne
14
• La droite d2 a pour coefficient directeur 1 et passe par de 15
le point A, son équation est donc y = 1(x – 2) + 3 = x + 1. 12
• La droite d3 a pour coefficient directeur – 2 et passe par 10 Moyenne
le point A, son équation est donc de 10
8
y = – 2(x – 2) + 3 = – 2x + 7.
• La droite d4 a pour coefficient directeur – 1 et passe par 6
le point A, son équation est donc 4
y = – 1(x – 2) + 3 = – x + 5. Notes
2
• La droite d5 a pour coefficient directeur 0 et passe par d’écrit
le point A, son équation est donc y = 0(x – 2) + 3 = 3. O 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
À vide, le plateau de gauche est plus lourd que
e) Les notes sont des nombres entiers donc les paires
celui de droite. Soit x la masse d’un cube ; et m la diffé-
possibles sont :
rence de masse entre les deux plateaux. Le bilan de la
première pesée est : (16 ; 1) (14 ; 4) (12 ; 7) (10 ; 10) (8 ; 13) (6 ; 16) (4 ; 17).
300 + m = 8x, soit m = 8x – 300 3x + 2y 3 5m
2. = m donc 2y = – 3x + 5m ; y = – x +
5 2 2
Le bilan de la deuxième pesée est :
Toutes ces droites sont parallèles lorsque m varie, parce
2x + m = 600 soit m = 600 – 2x
On en déduit que la masse d’un cube est solution de qu’elles ont toutes le même coefficient directeur. Le coef-
l’équation : ficient directeur est l’opposé du quotient du coefficient
8x – 300 = 600 – 2x de la note d’écrit divisée par la note d’oral. Comme ces
8x + 2x = 600 + 300 deux coefficients ne varient pas dans le problème, ce
10x = 900 résultat était prévisible.
900 4. a) On détermine graphiquement 41 paires de notes
x= = 90
10 qui donnent une moyenne comprise entre 15 et 17.
La masse d’un cube est de 90 g. b) Pour avoir une moyenne au moins égale à 15, il faut
1. a) Soit y la note d’oral : avoir au minimum 12 à l’écrit et dans ce cas il faut avoir
20 à l’oral, ou au minimum 8 à l’oral et dans ce cas il faut
3 × 6 + 2y = 10 avoir 20 à l’écrit.
donc 2y + 18 = 50
B
2y = 32
y = 16
b) Soit x la note d’écrit : M
3 × x + 2 × 13 = 10
donc 3x + 26 = 50
C N E A
3x = 24
x=8
c) Soit x la note d’écrit et y celle d’oral :
3 × x + 2y = 10
P
donc 3x + 2y = 50
10
1. a) Dans le repère (C ; A ; B) C(0 ; 0) ; A(1 ; 0) ; B(0 ; 1) ; b) En prenant un repère orthogonal de centre A et des
1 1 1
1
M ;
2 2 1
;N ;0
3
axes gradués en cm on a : A(0 ; 0), B(3,5 ; 3), C(4,5 ; 4).
Soit m1 le coefficient directeur de (AB) :
b) • Calcul du coefficient directeur de (MN) : y –y 3 6
1 1 m1 = B A = =
0– – xB – xA 3,5 7
yN – yM 2 2
m= = = =3 Soit m2 le coefficient directeur de (AC) :
xN – xM 1 1 1
– – y –y 4 8
3 2 6 m2 = C A = =
L’équation de la droite (MN) est de la forme y = 3x + p. xC – xA 4,5 9
m1 ≠ m2 donc les points A, B et C ne sont pas alignés.
Le point N appartient à la droite (MN) donc yN = 3xN + p ;
1 a) Calculons m1 le coefficient directeur de la droite
0 = 3 × + p donc p = – 1.
3 (AB) :
La droite (MN) a pour équation y = 3x – 1.
yB – yA – 4 – 2 3
P appartient à (BC) donc xP = 0 et P appartient à (MN) m1 = = =
xB – xA – 5 – 3 4
donc yP = 3xP – 1 = – 1
Calculons m2 le coefficient directeur de la droite (AC) :
Soit P(0 ; – 1)
y –y 5–2 1
Cherchons les coordonnées du milieu de [BP] : m2 = C A = =–
xC – xA – 3 – 3 2
xB + xP 0 + 0
= =0 m1 ≠ m2 donc les points A, B et C ne sont pas alignés et
2 2
forment un triangle non aplati.
yB + yP 1 – 1
= =0 b) La médiane issue du point C est la droite (CI), I étant
2 2
donc C(0 ; 0) est bien le milieu de [BP]. le milieu de [AB].
2. a) Dans le triangle ABC, puisque M est le milieu de [AB], Déterminons les coordonnées de I :
E est le milieu [AC]. x +x 3 + (– 5)
xI = A B = =–1
Alors d’après le théorème des milieux, (ME) // (BC) et 2 2
BC y +y 2 + (– 4)
ME = . yI = A B = =–1
2 2 2
(ME) // (BC) et les points B, C et P sont alignés, donc les I(– 1 ; – 1)
droites (EM) et (CP) sont parallèles. Calculons le coefficient directeur de la droite (CI) :
b) On peut donc appliquer le théorème de Thalès aux y –y –1–5
NE ME m1 = I C = =–3
triangles NEM et CPN, on obtient alors : = . xI – xC – 1 – (– 3)
NC CP Calculons le coefficient directeur de la droite (CG) :
Or A, N et E sont alignés, donc NE = AN – AE
y –y 0,8 – 5 – 4,2
2 1 m2 = G C = = =–3
NE = AC – AC xG – xC – 1,6 – (– 3) 1,4
3 2
m1 = m2 ; on en déduit que les points C, G et I sont alignés,
1 1
NE = AC et NC = AC donc la médiane du triangle ABC issue du point C passe
6 3
NE 1 ME 1 1 par le point G.
On en déduit que = , donc = , soit ME = CP c) La médiane issue du point B est la droite (BJ), J étant
NC 2 CP 2 2
1 le milieu de [AC].
or au 2. a) on a montré que ME = BC
2 Déterminons les coordonnées de J :
on en déduit que CP = BC et comme C, P et B sont alignés x +x 3 + (– 3)
cela signifie que C est le milieu de [BP]. xJ = A C = =0
2 2
a) • En choisissant un repère orthogonal : y +y 2+5 7
yJ = A C = =
1 méthode : on peut comparer les coefficients directeurs
re 2 2 2
7
des droites (AB) et (AC). 1
J 0;
2
2e méthode : on peut comparer AB + BC et AC.
Calculons le coefficient directeur de la droite (BJ) :
• En utilisant la trigonométrie : 7
3e méthode : on peut comparer les angles gIAB et hCAJ. yJ – yB – (– 4) 3
m1 = = 2 =
xJ – xB 0 – (– 5) 2
B C
Calculons le coefficient directeur de la droite (BG) :
y –y 0,8 – (– 4) 4,8 24
m2 = G B = = =
xG – xB – 1,6 – (– 5) 3,4 17
I J
A m1 ≠ m2 donc la médiane du triangle ABC issue du point B
ne passe pas par le point G.
d) La médiane issue de A est la droite (AK), K étant le
milieu de [BC].
11
Déterminons les coordonnées de K : Les droites (BC) et (AD) sont toutes deux parallèles à
x +x (– 5) + (– 3) l’axe des abscisses. Elles sont donc parallèles entre elles.
xK = B C = =–4
2 2
y +y (– 4) + 5 1 1. a) et b)
yK = B C = =
2 2 2 E B C
1 50
1
K – 4;
2
46 Automobiliste
Calculons le coefficient directeur de la droite (AK) :
1
yK – yA –2 3
m1 = = 2 =
xK – xA –4–3 14 23 Cycliste
Calculons le coefficient directeur de la droite (AG) :
y –y 0,8 – 2 – 1,2 1
m2 = G A = = =
xG – xA – 1,6 – 3 – 4,8 3
m1 ≠ m2 donc la médiane du triangle ABC issue du point A A D F
ne passe pas par le point G. 30 60 90 120 150 180 210
a) c) L’automobiliste et le cycliste se croisent à environ
8 h 45 min. Ils sont alors à environ 46 km de A.
B C Puis l’automobiliste va doubler le cycliste à environ
10 h 17 min. Ils sont alors à 23 km de A.
R
2. L’automobiliste part du point A(0 ; 0) pour aller au
point B(50 ; 50).
L’équation de la droite qui passe par ces deux points
J A D est y = x.
O I Ensuite il va du point B(50 ; 50) au point C(110 ; 50).
L’équation de la droite qui passe par ces deux points
b) Si ABCD est un parallélogramme de centre R alors R
est le milieu de [AC] et de [BD]. est y = 50.
• R est le milieu de [AC] donc Puis il va du point C(110 ; 50) au point D(160 ; 0).
x +x y +y Calculons le coefficient directeur de la droite (CD) :
xR = A C et yR = A C yD – yC 0 – 50
2 2 = =–1
2 + xC 1 + yC xD – xC 160 – 110
4= et 3 = La droite (CD) a pour coefficient directeur – 1, son équa-
2 2
8 = 2 + xC et 6 = 1 + yC tion est de la forme y = – x + p
xC = 6 et yC = 5 yD = – xD + p
C(6 ; 5) 0 = – 160 + p, donc p = 160
• R est le milieu de [BD] donc Donc (CD) a pour équation : y = – x + 160.
x +x y +y Les équations de droite correspondant au trajet de l’au-
xR = B D et yR = B D
2 2 tomobiliste sont, avec x représentant la durée du trajet
3 + xD 5 + yD en minutes et y représentant la distance qui sépare de
4= et 3 =
2 2 A en km :
8 = 3 + xD et 6 = 5 + yD
y=x si 0 < x < 50

!
xD = 5 et yD = 1
y = 50 si 50 < x < 110
D(5 ; 1)
y = – x + 160 si 110 < x < 160
c) • Vérifions par le calcul le parallélisme des droites
Le cycliste part du point E(30 ; 50) au point F(230 ; 0).
(AB) et (CD) :
Le coefficient directeur de la droite (AB) : Calculons le coefficient directeur de la droite (EF) :
y –y 5–1 y –y 0 – 50 1
m1 = B A = =4 m= F E = =–
xB – xA 3 – 2 xF – xE 230 – 30 4
1
Le coefficient directeur de la droite (CD) : La droite (EF) a une équation de la forme y = – x + p.
4
y –y 1–5 1
m2 = D C = =4 yF = – xF + p
xD – xC 5 – 6 4
230 115
m1 = m2 donc les droites (AB) et (CD) sont parallèles. 0=– + p, soit p = .
4 2
• Vérifions par le calcul le parallélisme des droites (BC) 1 115
La droite (EF) a une équation de la forme y = – x + .
et (AD) : 4 2
yB = yC = 5, donc la droite (BC) a pour équation y = 5. b) • Recherchons le point d’intersection des droites (EF)
yA = yD = 1, donc la droite (AD) a pour équation y = 1. et (AB) :
12
y=x d) Graphiquement, on trouve que pour un périmètre de
! y=– x+
1
4
115
2
7,6 cm, AM doit être égal à 1,2.
Par le calcul, la valeur x recherchée est solution de
L’abscisse du point d’intersection est solution de l’équa- 1
l’équation : – x + 8 = 7,6
1 115 3
tion x = – x + x = 3 × 0,4 = 1,2
4 2
5 115 115 4 a)
x= , donc x = × = 46, et donc y = 46. d3
4 2 2 5
Le croisement a donc lieu à 8 h 46 min à 46 km de A.
d2
• Recherchons le point d’intersection des droites (CD) C
et (EF).
y = – x + 160 A J G

!
N
1 115 O I
y=– x+ M
4 2
L’abscisse du point d’intersection est solution de l’équa- d1 B
tion :
1 115
– x + 160 = – x + b) • A est le point d’intersection de d1 et de d2, donc
4 2
l’abscisse du point A est solution de l’équation :
3 205 410 2
– x=– , donc x = ≈ 137 xA + 2 = – xA – 1
4 2 3 3
L’automobiliste va doubler le cycliste à environ 10 h 17 min 5 9
à 23 km de A. xA = – 3, donc xA = – .
3 5
9 1
a) C yA = xA + 2 = – + 2 donc yA = .
5 5
9 1
P 1
A– ;
5 5
Q
• B est le point d’intersection de d2 et de d3, donc l’abs-
cisse de B est solution de l’équation :
2
A x M 6–x B – xB – 1 = – 4xB + 5
M est un point de [AB] donc 0 < AM < AB, soit 0 < x < 6. 3
10 9
b) Soit y le périmètre du parallélogramme MPCQ. x = 6, donc xB = .
3 B 5
y = QM + QC + CP + MP, or QM = CP et QC = MP, d’après 9 11
la propriété des côtés opposés d’un parallélogramme. yB = – 4xB + 5 = – 4 × + 5, donc yB = – .
5 5
9 11
Donc y = 2(QM + MP)
Déterminons QM en utilisant le théorème de Thalès dans
1
B ;–
5 5
AQ AM QM • C est le point d’intersection de d1 et de d, donc l’abscisse
les triangles AQM et ACB : = = ; du point C est solution de l’équation :
AC AB CB
AM QM xC + 2 = – 4xC + 5
on considère = 3
AB CB 5xC = 3, donc xC = .
3 1 5
QM = AM × CB , donc QM = x = x. 3 13
6 2 yC = xC + 2 = + 2, donc yC = .
Déterminons MP en utilisant le théorème de Thalès dans 5 5
3 13
les triangles BMP et BAC :
BP
=
BM MP
= ;
1
C ;
5 5
BC BA AC • Déterminons les coordonnées de M milieu de [AB] :
BM MP
on considère = 9 9
BA AC xA + xB – 5 + 5
4 2 xM = = =0
MP = BM × AC , donc MP = (6 – x) = – x + 4 2 2
6 3 1 11
1 2 1 –
1
On obtient ainsi : y = 2 x – x + 4 = – x + 8.
2 3 3 yM =
yA + yB
2
= 5 5 =–1
2
c) 8 donc M(0 ; – 1)
7,6 • Déterminons les coordonnées de N milieu de [BC] :
7 9 3
xB + xC + 6
xN = = 5 5 =
2 2 5
11 13
y +y – +
yN = B C = 5 5 =1
J 2 2 5
6 1
O I 6 donc N ;1 5 5
13
• Déterminons les coordonnées de P milieu de [AC] : • Calcul de CG :
9 3 CG = 0(xG – xC)2 + (yG – yC)2
xA + xC – 5 + 5 3
01 15 – 35 + 1 15 – 135
xP = = =– 2 2
2 2 5 CG =
1 13
CG = 6
y +y + 7 148
yP = A C = 5 5 =
2 2 5 25
3 7 Calcul de CM :
1
donc P – ;
5 5 CM = 0(xM – xC)2 + (yM – yC)2
c) Les trois médianes sont concourantes en G. Pour
010 – 35 + 1– 1 – 135
2 2
CM =
déterminer les coordonnées de G, il suffit de calculer

CM = 6
l’équation de deux médianes du triangle ABC. 333
• Équation de la médiane (AN) : 25

CM 9 25 333 3 9 3
1 1 1 CG 148 25 4 2
yA = et yN = , donc (AN) a pour équation y = . Donc = × = =
5 5 5
• Équation de la médiane (CM) : On retrouve ainsi une propriété connue : le centre de
13
–1– gravité se trouve aux deux-tiers de chaque médiane en
yM – yC 5
Coefficient directeur : = =6 partant du sommet.
xM – xC 3
0–
5 a) La longueur du rectangle devient 38 + x et sa lar-
La droite (CM) a une équation de la forme y = 6x + p. geur devient 25 + y. Le périmètre du nouveau rectangle
M(0 ; – 1) appartient à cette droite donc p = – 1. est de 164 mm donc :
Donc (CM) a pour équation : y = 6x – 1. 2 × (38 + x + 25 + y) = 164
• Calcul des coordonnées de G : x + y + 63 = 82
G est le point d’intersection de (CM) et de (AN), donc son y = – x + 19.
1 1 b) Si l’on obtient un carré, la longueur est égale à la
abscisse est solution de l’équation : 6xG – 1 = ; xG = .
1 5 5 largeur, on obtient l’équation : 25 + y = 38 + x
De plus G ∈ (AN), donc yG = .
5 y = x + 13
1 1
Donc G ; 15 5
c)
d) • Calcul de BG :
BG = 0(xG – xB)2 + (yG – yB)2

01
16
1 9 2 1 11
1
2
BG = – + +
5 5 5 5

BG = 6
208
25
Calcul de BP :
BP = 0(xP – xB)2 + (yP – yB)2

01– 35 – 95 + 1 75 + 115
2 2
BP =

BP = 6
468
25

=9 =3 =
BG 208 25 4 2
Donc ×
BP 25 468 9 3
• Calcul de AG :
J
AG = 0(xG – xA)2 + (yG – yA)2

01 15 + 95 + 1 15 – 15
2 2 O I 3
AG = d) Si on obtient un carré de périmètre 164 mm, a) et b)
AG = 2 sont réalisés, et on a donc
y = – x + 19
Calcul de AN :
AN = 0(xN – xA)2 + (yN – yA)2 ! y = x + 13.

01 65 + 95 + 1 15 – 15
2 2 Le couple solution est le couple de coordonnées du
AN = point d’intersection des droites d’équation y = x + 13
AN = 3 et y = – x + 19.
AG 2 On obtient graphiquement les coordonnées de ce point :
Donc =
AN 3 (3 ; 16), donc x = 3 et y = 16.
14
On retrouve ce résultat par le calcul en résolvant le La solution de ce système est le couple de coordonnées
système : du point d’intersection de la droite d’équation y = – x + 45
y = x + 13 x=3 2
! 2y = 32
⇔ !
y = 16
(représentée en bleu) et de la droite y = –
(représentée en rouge).
5
x + 30

e) Si on obtient un carré alors y = x + 13.


Donc x = 25 et y = 20.
Aire du carré = (côté)2
(38 + x)2 = 2 352,25 et 38 + x > 0, soit 1. a) La longueur du trajet est 350 km.
38 + x = 92 352,25 b) La durée du trajet est de 3 h 30 min.
38 + x = 48,25 c) Au départ, la contenance du réservoir est de 25 L.
donc x = 10,5 2. Le segment rouge passe par les points (0 ; 0) et (3,5 ; 350).
y = 10,5 + 13 = 23,5 350 – 0
Donc d = mt, avec m = = 100.
3,5 – 0
Par lecture graphique, on a A(– 4 ; 8), B(– 3 ; 4), On en déduit que d = 100t.
C(– 1 ; – 5), D(1 ; 5), E(6 ; 2). Le segment bleu passe par les points (0 ; 25) et (350 ; 2,5)
• Équation de la droite (BC) : 2,5 – 25 22,5 9
donc C = md + p avec m = =– =– .
y –y –5–4 9 350 – 0 350 140
Coefficient directeur m = C B = =– .
xC – xB – 1 – (– 3) 2 De plus le segment passe par (0 ; 25) donc p = 25.
9 9
La droite (BC) a une équation de la forme y = – x + p. C=– d + 25
2 140
9
B appartient à (BC) donc : yB = – xB + p, soit 9
2 3. C = – d + 25
9 19 140
4 = – × (– 3) + p, donc p = – . d = 100t
2 2 9
9 19 Donc C = – × 100t + 25
La droite (BC) a pour équation y = – x – . 140
2 2 45
• Équation de la droite (BC) appliquée au point A : C=– t + 25
7
9 19 9 19 a) Si t = 1 h 45 min = 1,75 h,
– xA – = – × (– 4) –
2 2 2 2 45
9 19 17 C=– × 1,75 + 25, donc C = 13,75 L.
– xA – = ≠ yA 7
2 2 2 45 45
b) Si C = 7, alors 7 = – t + 25, et – t = – 18,
Le point A n’appartient pas à la droite (BC), donc les 7 7
droites (BC) et (DE) ne sont pas sécantes en A. donc t = 18 × 7 = 2,8

Soit x le chiffre des unités et y le chiffre des dizaines ; t = 2 h 48 min.


y = x – 3. a) La droite passe par les points de coordonnées
Si un nombre s’écrit yc x, il est égal à 10y + x. S’il s’écrit xc y, (– 42 ; 0,192) et (– 30 ; 0,194). Calculons son coefficient
il est égal à 10x + y. 0,194 – 0,192 0,002 1
directeur : m = = = .
On sait que : (10x + y) – (10y + x) = 27 – 30 + 42 12 6 000
9x – 9y = 27 1
La droite a une équation du type y = t + p.
donc y = x – 3. 6 000
1
Les chiffres cherchés sont des coordonnées entières et 0,194 = × (– 30) + p
6 000
positives de points de la droite y = x – 3 représentée sur 0,194 = – 0,005 + p, donc p = 0,199
le repère. 1
On trouve plusieurs solutions possibles : (4 ; 1), (5 ; 2), On trouve donc y = t + 0,199.
6 000
(6 ; 3), (7 ; 4), (8 ; 5), (9 ; 6), ce qui donne les nombres : b) Sur le graphique n° 2, la proportion d’oxygène lourd
14 – 25 – 36 – 47 – 58 – 69. correspondant à 20 000 ans est d’environ 0,1914 %.
t
Soit un rectangle de dimensions x et y. Son péri- Donc 0,191 4 = + 0,199
6 000
mètre est de 90 = 2(x + y), soit 45 = (x + y), et son aire
t = 6 000 × (– 0,007 6)
est xy.
t = – 45,6 °C.
(x + 5)(y + 2) = xy + 160
De même il y a 100 000 ans, on trouve environ 0,1933 %.
xy + 5y + 2x + 10 = xy + 160
t
5y + 2x = 150 Donc 0,1933 = + 0,199
6 000
2 t = – 34,2 °C.
y = – x + 30.
5 Les droites d1 et d3 ont le même coefficient directeur,
y = – x + 45
! 2
y = – x + 30
5
elles sont donc parallèles. Ceci est contradictoire avec le
fait que les médianes d’un triangle sont concourantes.
15
Il y a bien eu erreur dans le calcul des équations des d) Si P = Q
médianes. alors A, B et C sont alignés
a) La fenêtre utilisée ne permet pas d’émettre une sinon
conjecture. A, B et C ne sont pas alignés
b) 20 ≠ (– 18) donc les deux droites sont bien sécantes. Fin si
L’abscisse de leur point d’intersection vérifie l’équation e) Le rôle de cet algorithme est de savoir si trois points
20x + 15 = – 18x + 50 sont alignés.
35 f) Cas xA = xB = xC, alors A, B et C sont alignés sur une
x = , soit 0 < x < 2.
38 droite parallèle à l’axe des ordonnées.
35
L’ordonnée de ce point est y = 20 × + 15 ! On suppose A, B et C distincts et xA ≠ xB ≠ xC.
38
635 y –y y –y
y= , soit 0 < y < 40. Dans ce cas, P = Q ⇔ B A = C A .
19 xB – xA xC – xA
On peut proposer la fenêtre suivante : Les droites (AB) et (AC) ont même coefficient directeur
View Window donc les points A, B et C sont alignés.
Xmin : 0 6 48
Xmax : 2 2. • P = (yF – yA) × (xO – xA) =
51– 6 × (– 2) =
5
2 48
scale : 1
Ymin : 0
Q = (yO – yA) × (xF – xA) = (– 6) ×
5 1
–2 =
5
Ymax : 40 P = Q donc A, F et O sont alignés.
6 19 204
scale : 5 • P = (yF – yD) × (xG – xD) = 15
–0 ×
5 1
+3 =
25
a) Le programme sert à savoir si un point donné 12 2 204
appartient ou n’appartient pas à une droite donnée.
Q = (yE – yD) × (xF – xD) =1 5
–0 ×
5
+3 =1 25
b) Casio P = Q donc D, F et E sont alignés.
12 54
« Entrer le coefficient directeur » : ? → M
« Entrer l’ordonnée à l’origine » : ? → P
1
• P = (yE – yA) × (xC – xA) =
5
– 6 × (5 – 2) = –
5
19 54
« Entrer l’abscisse du point » : ? → X Q = (yC – yA) × (xE – xA) = (0 – 6) ×
5 1
–2 =–
5
« Entrer l’ordonnée du point » : ? → Y
P = Q donc A, E et C sont alignés.
Y – (MX + P) → D
If D = 0 a) L’affirmation a) est vraie.
Then « Le point appartient à la droite » x(3x – 2)
y= . Si x ≠ 0 alors y = 3x – 2.
Else « Le point n’appartient pas à la droite » x
Stop Donc tous les points de ! appartiennent à ".
b) Faux, car le point de coordonnées (0 ; – 2) est sur d.
1. a) C b) P = (yB – yA) × (xC – xA) 3x2 – 2x
8 Mais il ne peut pas être sur C car la fonction : x #
= (– 1 – 5) × (2 – 1) = – 6 x
Q = (yC – yA) × (xB – xA) n’est pas définie pour x = 0.
5 A = (8 – 5) × (– 1 – 1) = – 6
5. Se préparer au contrôle
1. c) 2. c) 3. c)
J 1. Le coefficient directeur de la droite (AB) se calcule
–1 I
– 1 – (– 9) 8
B –1 par = = 2. Le coefficient directeur de la droite
2 – (– 2) 4
5 – (– 9) 14
c) P = (yB – yA) (xC – xA) (AC) se calcule par = = 2.
C 5 – (– 2) 7
= (– 1 – 5) (3 – 1) = – 12 (AB) et (AC) ont le même coefficient directeur.
8
Q = (yC – yA) (xB – xA) Réponse : c)
= (9 – 5) (– 1 – 1) = – 8 5
2. Dans a), les coefficients directeurs – et 3 sont diffé-
A 3
5 rents, les deux droites sont bien sécantes.
5 5
– xA = – × (– 3) = 5 = yA
3 3
3xA – 5 = 3 × (– 3) – 5 = – 14 ≠ yA
J Donc A n’appartient qu’à une seule des deux droites.
–1
I Dans b), les coefficients directeurs 2 et 0 sont différents,
B
les deux droites sont bien sécantes.
16
2xA + 11 = 2 × (– 3) + 11 = 5 = yA donc A appartient à la b) A d
droite d’équation y = 2x + 11.
A(– 3 ; 5) appartient évidemment à la droite y = 5, donc les
deux droites y = 2x + 11 et y = 5 sont bien sécantes en A. B
1
D’où la réponse b).
3. Deux droites de coefficients directeurs non nuls et O 1
symétriques par rapport à l’axe des ordonnées admettent I
des coefficients directeurs de signe différent. On peut
exclure la réponse c). C
De plus, elles ont même ordonnée à l’origine, d’où la
réponse a). I 1– 12+ 5 ; – 32+ 1 , soit I(2 ; – 1).
–1–4
a) Faux b) Vrai c) Faux d) Vrai e) Faux c) Le coefficient directeur de la droite (AI) = = – 5.
2–1
a) Prenons deux points A et B sur la droite : A(4 ; 3) d) La droite d a une équation de la forme y = – 5x + p, or
yB = – 5xB + p, soit 1 = – 5 × 5 + p = – 25 + p.
et B(8 ; – 2).
–2–3 5 Donc p = 26 et d : y = – 5x + 26.
Le coefficient directeur est égal à =– .
8–4 4 –2–3 5
Faux a) m(AB) = = .
5 –3+1 2
b) On sait que le coefficient directeur de d est – .
4 5–1 4
5 5 m(CD) = =– .
Donc y = – x + p, et yA = – xA + p 1–4 3
4 4
5 Les coefficients directeurs des droites (AB) et (CD) sont
3 = – (4) + p différents, donc (AB) et (CD) sont sécantes.
4 5
8=p b) La droite (AB) a une équation de la forme y = x + p,
2
Vrai 5
or yB = xB + p
c) On vérifie en appliquant ce point de coordonnées à 2
5
l’équation de d : soit – 2 = (– 3) + p
5 35 2
– ×7+8=– + 8 = – 0,75 11
4 4 = p.
2
– 0,75 ≠ – 0,7. 5 11
Donc (AB) : y = x + .
Faux 2 2 4
La droite (CD) a une équation de la forme y = – x + p,
3
a) d4 d1 d2 4 4
or yD = – xD + p soit 5 = – + p.
3 3
A
19 4 19
Donc p = et (CD) : y = – x + .
3 3 3
c) L’abscisse du point d’intersection des droites (AB) et
(CD) est solution de l’équation :
5 11 4 19
x+ =– x+
2 2 3 3
B d3
5 4 19 11
1 x+ x= –
2 3 3 2
O 1 23x = 5
b) Les droites d1 et d4 se croisent en A(3 ; 14). 5
x= .
23
c) Les droites d1 et d3 se croisent en B(– 1 ; 2). 5 5 11
On calcule maintenant y =
2 23
+ 1
2
a) Le coefficient directeur de la droite (AB) se
278
1–4 –3 =
calcule par = , et celui de la droite (AC) se calcule 46
5–1 4
139
–3–4 7 = .
par = . 23
–1–1 2 5 139
Les coefficients directeurs des droites (AB) et (AC) sont Le point d’intersection des deux droites est E 1;
23 23
.
différents, donc les points A, B et C ne sont pas alignés 1. a) yA = 310 + 40x
et forment un triangle. yB = 80x.
17
b) AM2 – BM2 = (x2 – 6x + y2 – 2y + 10) – (x2 – 4x + y2 – 4y + 8)
= – 2x + 2y + 2.
B b) M est un point de la médiatrice de AB si AM = BM,
A avec AM 0 et BM 0, donc si AM2 = BM2, c’est-à-dire
si AM2 – BM2 = 0.
1 000 L’équation de la médiatrice de [AB] est – 2x + 2y + 2 = 0,
O soit y = x – 1.
c) Vérification graphique :

200
B
O 2 8
A
2. a) On lit sur le graphique que x ≈ 8, c’est-à-dire que
l’ouvrier agricole a ramassé à peu près 8 tonnes de
pommes à l’issue du mois de septembre.
b) Pour déterminer la valeur exacte de x0, on résout : La droite d’équation y = x – 1 est bien la médiatrice de [AB].
310 + 40x = 80x
a) (x + y)2 = x2 + y2. Cette équation est équivalente
310 = 40x
310 aux équations suivantes :
x= = 7,75. (x + y)2 – x2 – y2 = 0
40
On en déduit que x0 = 7,75 (tonnes). x2 + 2xy + y2 – x2 – y2 = 0
2xy = 0
a)
D’après la règle du produit nul : ou bien x = 0 ou bien
d3 y = 0.
d2 d4 Donc les points M recherchés appartiennent soit à l’axe
des ordonnées soit à l’axe des abscisses.
L’ensemble des points solutions est donc la réunion de
A
l’axe des abscisses et de l’axe des ordonnées.

D
d1 J
1
O I
O 1
B
b) (x + y)3 = x3 + y3. Cette équation est équivalente aux
équations suivantes :
C
(x + y)3 – x3 – y3 = 0 (on utilise le guide de résolution)
3xy(x + y) = 0.
b) Les droites d1 et d4 ont le même coefficient directeur D’après la règle du produit nul : ou bien x = 0 ou bien
0,5, donc elles sont parallèles. y = 0 ou bien x + y = 0.
De même, d2 et d3 ont pour coefficient directeur 3, donc L’ensemble des points solutions est donc la réunion de
elles sont parallèles. l’axe des abscisses, de l’axe des ordonnées et de la droite
Ainsi, ABCD est un parallélogramme. d’équation y = – x.

6. Exercices d’approfondissement J
a) AM2 = (x – xA)2 + (y – yA)2
O I
= (x – 3)2 + (y – 1)2
= x2 – 6x + 9 + y2 – 2y + 1
= x2 – 6x + y2 – 2y + 10 c) (x + y)4 = x4 + y4
BM2 = (x – xB)2 + (y – yB)2 (x + y)4 – x4 – y4 = 0
= (x – 2)2 + (y – 2)2 4x3 y + 6x2 y2 + 4xy3 = 0
3
= x2 – 4x + 4 + y2 – 4y + 4
= x2 – 4x + y2 – 4y + 8
1
4xy x2 + xy + y2 = 0
2
18
"1 34 y – 1 34 y + y # = 0
2 2
4xy x + 2 a) C’ milieu de [AB] donc :
x +x 3 + (– 1)
3 7 xC’ = A B = =1
4xy "1x + y +
16 #
2
y = 0. 2
2 2
4
y +y 1+1
La règle du produit nul nous donne ou bien x = 0 ou bien y’C = A B = =1
2 2
3 2 7 2
1
y = 0 ou bien x + y +
4 16
y = 0. C’(1 ; 1)
La somme de deux nombres positifs est nulle si ces deux b) Déterminons le coefficient directeur de (CC’) :
3 y –y 1 – (– 2) 3
nombres sont nuls. On doit avoir x + y = 0 et y = 0, on m = C’ C = =
4 xC’ – xC 1 – (– 1) 2
obtient donc x = y = 0. 3
L’équation de (CC’) est de la forme y = x + p.
L’ensemble cherché est donc la réunion de l’axe des 2
C’ appartient à cette droite donc :
abscisses et de l’axe des ordonnées. 3
yC’ = xC’ + p
xA3 – 1 = 23 – 1 = 7 = yA, donc A appartient à E. 2
xB3 – 1 = (– 2)3 – 1 = – 9 = yB, donc B appartient à E. 3 1
1 = + p, donc p = – .
xC3 – 1 = 03 – 1 = – 1 = yC, donc C appartient à E. 2 2
3 1
Calculons m1 le coefficient directeur de la droite (AB) : La droite (CC’) a pour équation y = x – .
2 2
y –y –9–7 c) On recherche si le point G se trouve sur (CC’) :
m1 = B A = = 4.
xB – xA – 2 – 2 3 1 3 1
Calculons m2 le coefficient directeur de la droite (AC) : x – = ×0–
2 G 2 2 2
y –y –1–7
m2 = C A = = 4. 3 1 1
xC – xA 0–2 x – = – ≠ yG
2 G 2 2
m1 = m2 donc les points A, B et C sont bien alignés.
Le point G ne se trouve pas sur la médiane (CC’), il ne
E n’est pas pour autant une droite. Choisissons le point
peut donc être le centre de gravité du triangle, qui est
D(1 ; 0) : xD3 – 1 = 1 – 1 = 0 = yD. Ce point appartient à E.
par définition le point de rencontre des trois médianes
Calculons m3 le coefficient directeur de la droite (AE) :
y –y 0–7 du triangle.
m3 = E A = = 7.
xE – xA 1 – 2 1. Modèle 1 :
m3 ≠ m1 donc D n’est pas aligné avec A, B et C. L’en- 1
semble E n’est donc pas une droite. V= × aire base × hauteur
3
1
1. a) A(3 ; 2) et B(4 ; – 1) : xA ≠ xB donc (AB) admet = × 9 × 9 × 8 = 216 cm3
3
une équation de la forme y = mx + p
Modèle 2 :
A(3 ; 5) et B(3 ; – 1) : xA = xB donc (AB) admet une équation
V = $ base1 × h1 + $ base2 × h2
de la forme x = c.
= 10 × 6 × 2 + 3,5 × 2 × 8 = 176 cm3
b) Cet algorithme donne la forme de l’équation de (AB)
2. Modèle 1.
en fonction de xA et xB.
1
2. a) Si R = T, alors « la droite (AB) est parallèle à l’axe V = × 9 × 9 × x = 27x
3
U–S
des abscisses ». Sinon → M est le coefficient direc- Modèle 2.
T–R
teur de la droite (AB). V = 10 × 6 × 2 + 3,5 × 2 × x = 120 + 7x = 7x + 120
a) En traçant ces droites à l’écran de la calculatrice 162
on peut conjecturer qu’elles sont concourantes.
b) On recherche le point d’intersection de d1 et de d2 :
(3 + 12)x – 12 – 1 = 1,248x + 0,75 d2
(1,752 + 12)x = 1,75 + 12
1,75 + 12
x=
1,752 + 12
On recherche le point d’intersection de d1 et de d3 :
3 11
(3 + 12)x – 12 – 1 = x +
7 7
18 18
1 7
+ 12 x =
7
+ 12, donc x = 1. 40

1,75 + 12 20 d1
Or ≠ 1 donc les trois droites ne sont pas
1,752 + 12
concourantes. O 1 6
19
y = 27x Donc la droite (BC) a une équation de la forme : y = 5x + p.
a) ! y = 7x + 120 B appartient à cette droite donc p = 1
Ce système est équivalent aux systèmes suivants : La droite (BC) a pour équation y = 5x + 1.
y = 27x b) Ω est le point d’intersection de (AD) et (BC). Son abs-
!27x = 7x + 120 cisse vérifie donc l’équation :
y = 27x 5xΩ + 1 = xΩ + 5
!20x = 120 4xΩ = 4
y = 27x
!x=6
xΩ = 1
yΩ = xΩ + 5
x=6
!y = 162
yΩ = 1 + 5 = 6, donc Ω(1 ; 6).
3. Équation de la droite (AC) :
b) x = 6 représente la hauteur de la pyramide et celle du xA = xC = – 2 donc la droite (AC) a pour équation x = – 2.
parallélépipède pour laquelle les deux presse-papiers • Équation de la droite (BD) :
ont le même volume, et y = 162 représente la valeur de Calcul du coefficient directeur :
ce volume commun. y –y –3–1 1
c) Les coordonnées du point d’intersection de d1 et de d2 m= D B = =
xD – xB – 8 – 0 2
sont bien (6 ; 162). 1
donc (BD) a une équation de la forme y = x + p.
2
1. a) B(0 ; 1) appartient à cette droite donc p = 1.
6 ! 1
La droite (BD) a donc pour équation y = x + 1.
2
A Ω’ est le point d’intersection de (AC) et (BD). Ses coor-
I
données sont solutions du système :
B x=–2 x=–2

! !
!’
1 1
1 y= x+1 y= x–2+1=0
2 2
D Ω’(– 2 ; 0)
4. a) I milieu de [AB]
x +x –2+0
xI = A B = =–1
2 2
K y +y 3+1
yI = A B = =2
2 2
C K milieu de [CD]
b) On peut penser que le quadrilatère ABCD est un x +x (– 2) + (– 8)
xK = C D = =–5
trapèze. 2 2
y +y (– 9) + (– 3)
Calculons m1 le coefficient directeur de (AB) : yK = C D = =–6
2 2
y –y 1–3
m1 = B A = = – 1. K(– 5 ; – 6)
xB – xA 0 – (– 2)
Calculons m2 le coefficient directeur de (DC) : b) On calcule le coefficient directeur de la droite (IK) :
y –y – 9 – (– 3) y –y –6–2
m2 = C D = = – 1. m= K I = = 2.
xC – xD – 2 – (– 8) xK – xI – 5 – (– 1)
m1 = m2 donc les droites (AB) et (DC) sont parallèles et La droite (IK) a une équation de la forme y = x + p.
le quadrilatère ABCD est bien un trapèze. I appartient à cette droite donc yI = 2xI + p
2. a) • Équation de la droite (AD) : 2 = 2 × – 1 + p,
m1 coefficient directeur de (AD) : donc p = 4.
y –y –3–3 La droite (IK) a donc pour équation y = 2x + 4.
m1 = D A = = 1. c) On applique l’équation de (IK) au point Ω :
xD – xA – 8 – (– 2)
Donc la droite (AD) a une équation de la forme : y = x + p. 2xΩ + 4 = 2 × 1 + 4
A appartient à cette droite donc yA = xA + p 2xΩ + 4 = 6
3 = – 2 + p, donc p = 5. 2xΩ + 4 = yΩ, donc Ω est sur (IK).
La droite (AD) a pour équation y = x + 5. On applique l’équation de (IK) au point Ω’ :
• Équation de la droite (BC) : 2xΩ’ + 4 = 2 × (– 2) + 4
m2 coefficient directeur de (BC) : 2xΩ’ + 4 = 0
y –y –9–1 2xΩ’ + 4 = yΩ’, donc Ω’ est sur (IK).
m2 = C B = = 5.
xC – xB – 2 – 0 On en conclut que Ω et Ω’ sont alignés avec I et K.
20
a) ’ 1. a) B B’
B

C
K J K A’
3H A
O I A

J
D
b) La droite (JK) est parallèle à l’axe des abscisses, elle a
O I 2 pour équation y = 1.
La droite (AA’) est parallèle à l’axe des ordonnées, elle a
pour équation x = 3. Les coordonnées de A’ sont (3 ; 1).
b) La droite ∆ a pour coefficient directeur : 1.
De même les coordonnées de B’ sont (1 ; 5).
La droite ∆’ a pour coefficient directeur : – 2.
c) Équation de la droite (AB’) :
1 ≠ – 2 donc les droites ∆ et ∆’ sont sécantes.
calcul du coefficient directeur :
On lit graphiquement que leur point d’intersection est y –y 5–0 5
le point de coordonnées (2 ; 3). m1 = B’ A = =– .
xB’ – xA 1 – 3 2
5
On vérifie par le calcul : La droite (AB’) a pour équation : y = – x + p
2
A est le point d’intersection de ∆ et de ∆’, donc son 5 15 15
yA = – xA + p, donc 0 = – + p, soit p =
abscisse vérifie l’équation : 2 2 2
xA + 1 = – 2xA + 7 5 15
La droite (AB’) a pour équation : y = – x + .
3xA = 6 2 2
Équation de la droite (BA’) :
xA = 2 calcul du coefficient directeur :
yA = xA + 1 y –y 1–5 4
m2 = A’ B = =– .
yA = 3 xA’ – xB 3 – 0 3
De plus B(0 ; 5) appartient à cette droite donc p = 5. La
Donc A(2 ; 3) 4
c) Pour tout point de l’axe des ordonnées, l’abscisse est droite (BA’) a pour équation : y = – x + 5.
3
nulle donc D(0 ; 1) et B(0 ; 7). m1 ≠ m2 donc les droites (AB’) et (A’B) sont sécantes. Soit L
d) Recherchons K le milieu de [BD] : leur point d’intersection. Son abscisse vérifie l’équation :
x +x 5 15 4
xK = D B = 0 – xL + = – xL + 5
2 2 2 3
yD + yB 5 4 15
et yK = =4 – xL + xL = 5 –
2 2 3 2
K(0 ; 4) 7 5 5 6 15
– xL = – , donc xL = × = .
6 2 2 7 7
Si ABCD est un parallélogramme alors K est aussi le milieu
5 15 5 15 15 15
de [AC], donc : De plus yL = – xL + =– × + = .
2 2 2 7 2 7
x +x 15 15
xK = A C
2 Donc L 1 ;
7 7
.
2 + xC d) La droite (OK) a une équation de la forme y = mx :
0=
2 y –y 1–0
m= K O = = 1. La droite (OK) admet donc y = 2
xC = – 2 xK – xO 1 – 0
y +y pour équation. Comme y = xL, alors L appartient bien à
et yK = A C
2 la droite (OK).
3 + yC 2.
4=
2
yC = 8 – 3 = 5
J K A’
C(– 2 ; 5)
O I
$ABCD = 2 × $ABD
A
BD × AH
=2×
2 B B’
= BD × AH
= 6 × 2 = 12
21
a) A’ est inchangé donc A’(3 ; 1) et B’(1 ; – 2) Calcul du coefficient directeur de (HF) :
b) Calculons m1 le coefficient directeur de (AB’) : yF – yH –3–1 3
= =– .
xF – xH 4 7
y –y
m1 = B’ A =
xB’ – xA
–2–0
1–3
= 1. 1
8– –
3
La droite (HF) a donc une équation de la forme
Calculons m2 le coefficient directeur de (A’B) : 3
y –y –2–1 y = – x + p.
m2 = B A’ = = 1. 7
xB – xA’ 0–3 F est un point de cette droite, donc :
On a vu au 1. d) que le coefficient directeur de (OK) 3
yF = – xF + p
est aussi égal à 1. Les droites (AB’), (BA’) et (OK) ont le 7
même coefficient directeur donc elles sont toutes les 3 3
– 3 = – × 8 + p, soit p = .
trois parallèles. 7 7
3 3
La droite (HF) a donc pour équation y = – x + .
1. et 2. a) 7 7
d) Les droites (EG) et (HF) ont le même coefficient direc-
E A B 3
teur : – . Elles sont donc parallèles.
7
3. G(1 ; a) avec 1 < a < 5.
G
Coefficient directeur de (EG) :
H C
yG – yE a–5 a–5
D = = .
xG – xE 1 – (– 6) 7
Équation de la droite (BG) :
F Calcul du coefficient directeur de (BG) :
yG – yB a – 5 a–5
= =– .
b) Les droites (EG) et (FH) semblent parallèles. xG – xB 1 – 8 7
c) • Équation de la droite (BG) Le point G est sur cette droite donc :
Coefficient directeur de (BG) : a–5
yG = – xG + p
y –y 2–5 3 7
m= G B = = . a–5 8a – 5
xG – xB 1 – 8 7 a=– + p, soit p = .
3 7 7
La droite (BG) a pour équation : y = x + p. a–5 8a – 5
7 Donc la droite (BG) a pour équation y = – x+ .
G appartient à cette droite, donc : 7 7
3 On sait que H est un point de cette droite et que yH = 1.
yG = xG + p.
7 On en déduit que
3 11 a–5 8a – 5 8a – 12
2 = + p, donc p = . 1=– xH + , donc xH = .
7 7 7 7 a–5
3 11
8a – 12
La droite (BG) a pour équation y = x + .
7 7 Donc H 1 a–5
;1 .
La droite (CD) a pour équation y = 1, donc yH = 1. H existe puisque a ≠ 5
3 11 3 11 Coefficient directeur de la droite (HF) :
H est sur (BG), donc yH = xH + , soit 1 = xH + .
7 7 7 7 yF – yH –3–1 –4 a–5
4 4 = = = .
3 1
donc xH = – , on obtient donc H – ; 1 .
3
xF – xH
8–
8a – 12
a–5

28
a–5
7

• Équation de la droite (EG) On constate que les droites (EG) et (HF) ont même coef-
Calcul du coefficient directeur de (EG) : a–5
ficient directeur ; elles sont donc parallèles quelle
yG – yE 2–5 3 7
= =– . que soit la position de G sur [AD] avec 1 < a < 5.
xG – xE 1 – (– 6) 7
La droite (EG) a donc une équation de la forme a) • Théorème : un triangle inscrit dans un cercle qui
3 a pour diamètre un de ses côtés est un triangle rectangle
y = – x + p.
7 et le diamètre est son hypoténuse.
G est un point de cette droite, donc : • Théorème : réciproque du théorème de Pythagore.
3
yG = – xG + p • Propriété : si deux droites sont parallèles et si une
7
3 17 troisième droite est perpendiculaire à l’une alors elle est
2 = – + p, donc p = .
7 7 perpendiculaire à l’autre.
3 17
L’équation de la droite (EG) est y = – x + . • Propriété : si un quadrilatère est un losange alors ses
7 7
• Équation de la droite (HF) diagonales sont perpendiculaires.
22
b) d Calculons m1 le coefficient directeur de (AB) :
y –y 3
m1 = B A = .
xB – xA 8
et m2 le coefficient directeur de (AC) :
A (1 ; m)
J y –y 5
m2 = C A = .
xC – xA 13
O B (1 ; m’)
m1 ≠ m2 donc les points A, B et C ne sont pas alignés. Les
d’ pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement dans
le rectangle comme on pourrait le croire à première vue.
Donc les deux aires ne sont pas égales.
Le point A(1 ; m) appartient à la droite d : y = mx.
Le point B(1 ; m’) appartient à la droite d’ : y = m’x.
d et d ’ sont perpendiculaire si et seulement si OA2 + OB2 = AB2,
ce qui équivaut à (1 + m2) + (1 + m’2) = (m’ – m)2, ce qui
B
équivaut à 1 + m2 + 1 + m’2 = m’2 – 2mm’ + m2, autrement
dit 2 = – 2mm’, ce qui équivaut à mm’ = – 1.
En conclusion : deux droites de coefficient directeur m
et m’ sont perpendiculaires si et seulement si mm’ = – 1.
A
b) Énoncé du résultat : « Toute droite admet une O
équation de la forme ax + by + c = 0. »
Démonstration : d’après le cours, page 164, toute droite Déterminons les coordonnées de A point d’intersection
admet une équation de la forme y = mx + p ou de la de la droite avec l’axe des abscisses : yA = 0 et yA = 3xA + 5,
5
forme x = k. donc xA = – .
3
• y = mx + p s’écrit aussi mx – y + p = 0, qui est bien de la 5
On a ainsi AO = et OB = 5.
forme ax + by + c = 0. On peut choisir a = m ; b = – 1 ; c = p. 3
Dans le triangle rectangle ABO on peut écrire :
• x = k s’écrit aussi 1 × x – k = 0, ce qui est bien de la forme
OB 5
ax + bx + c = 0. On peut choisir a = 1 ; b = 0 ; c = – k. tan jBAO = = = 3.
OA 5
Il ne peut pas s’agir de la même aire puisque le 3
carré contient 64 carreaux et le rectangle en contient 65. jBAO = tan– 1(3)
Le problème vient d’une illusion d’optique : on pourrait jBAO ≈ 72°.
penser que les points A, B et C sont alignés. En fait il n’en Remarque : la tangente de l’angle aigu formé par cette
est rien. Considérons un repère orthonormé d’origine A. droite avec l’axe des abscisses est égale au coefficient
Dans ce repère : A(0 ; 0), B(8 ; 3), C(13 ; 5). directeur de cette droite.

23

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