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Résumé Droit Révision
Résumé Droit Révision
Droit et devoirs des parents (découle de l’autorité parentale Art. 296 CC)
1. Déterminer le lieu de résidence (301a CC)
2. Education (302 CC)
3. La représentation légale (305 CC)
En principe : AP conjointe (’autorité parentale peut être confiée à un seul parent (AP exclusive), si le bien de l’enfant le
commande)
- Sans filiation
- Sans exercice des droits civils (mineurs et personnes sous curatelle de portée générale)
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ES2 - Droit
Protection de l’enfant
Droit international Droit fédéral Droit cantonal
Convention relative aux droits de Constitution fédérale Lois sur la protection des mineurs
l’enfant
Code civil Droit de la famille Lois d’application du droit fédéral sur la
Convention en matière d’enlèvement protection de l’enfant et de l’adulte
d’enfants, adoption, etc.. Ordonnance sur le placement d’enfants
Connaître les autorités compétentes pour insti tuer, respecti vement exécuter, les mesures de protecti on et
leurs cadres d’interventi on respecti fs
- autorité de protection de l’adulte est une autorité interdisciplinaire. Elle est désignée par les cantons.
- fait également office d’autorité de protection de l’enfant.
Niveau cantonal
APEA
DGEJ
- Loi sur la protection des mineurs du 4 mai 2004 (LPROMIN; BLV 850.41
- Article 6: autorité compétente = DGEJ
- Action socio-éducative d’entente avec les parents (art. 19) ou sur mandat de
- L’autorité judiciaire (art. 20ss)
Justice de Paix
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ES2 - Droit
Lorsque les circonstances l’exigent (condition), l’autorité de protection de l’enfant (autorité compétente) nomme un curateur
qui assiste les père et mère de ses conseils et de son appui dans la prise en charge de l’enfant.
- pas de prise de décision à la place des parents, possibilité de faire appel à la justice pour une décision importante
car les parents ont gardé l'AP
- possibilité de limiter l'autorité parentale avec attestation de la justice de paix --> curatelle éducative contraignante
Les limites aux relations personnelles : intervention de l’autorité de protection de l’enfant (273 CC)
Lorsque l’exercice ou le défaut d’exercice de ce droit est préjudiciable à l’enfant, ou que d’autres motifs l’exigent,
- droit de visite peut être limité ou supprimé, de manière temporaire ou durable à certaines conditions. Il peut être
ordonné en milieu surveillé ou accompagné.
- droit de visite doit servir en premier lieu l’intérêt supérieur de l’enfant
Curatelle de surveillance des relations personnelles (203 CC) (Loi sur la protection des mineurs Art.22)
Enfant
- Concerne un enfant en institution ou en famille d’accueil ou
- Parents divorcés
Justice de paix ou juge de divorce
- Ordonne une curatelle de surveillance des relations personnelles et fixe le cadre (durée et fréquence des visites)
DGEJ
- Organise les modalités du droit de visite dans le cadre fixé par le juge de paix ou du divorce. Il/elle fait rapport au
juge sur le déroulement du droit de visite
Lorsqu’elle ne peut éviter autrement que le développement de l’enfant ne soit compromis (condition), l’autorité de protection
de l’enfant (autorité compétente) retire l’enfant aux père et mère ou aux tiers chez qui il se trouve (retrait du DDLR) et le place
de façon appropriée
Lorsque l'autorité judiciaire ou l'autorité de protection de l'enfant, en application de l'article 310 CC , retire le droit de
déterminer le lieu de résidence d'un mineur aux père et mère ou aux tiers chez qui il se trouve, le service peut être chargé d'un
mandat de placement et de garde. Il pourvoit alors au placement du mineur dans une famille ou une institution, au mieux des
intérêts du mineur
- Règlement d’application de la loi du 4 mai 2004 sur la protection des mineurs (RLProMin)
o Lorsque l'autorité judiciaire ou l'autorité de protection de l'enfant retire le droit de déterminer le lieu de
résidence et confie un mandat de placement et de garde au service, ce dernier place le mineur au mieux
de ses intérêts, décide de son mode de prise en charge et donne des instructions à la famille ou à
l'institution accueillant le mineur. Sont réservées les compétences résiduelles de l'autorité parentale.
o Peut définir les relations personnelles qu’entretien le mineur avec parent et tiers, sous réserve d’une
décision contraire d'une autorité judiciaire ou de l'autorité de protection de l'enfant
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Compléments
- En cas de péril en la demeure menaçant le mineur et lorsque l'autorité judiciaire ou de protection de l'enfant
compétente ne peut prendre à temps les mesures immédiatement nécessaires à la protection du mineur,
le service peut prendre de telles mesures.
- Conditions
o lorsque, pour cause d’inexpérience, de maladie, d’infirmité, d’absence, de violence ou d’autres motifs
analogues, les père et mère ne sont pas en mesure d’exercer correctement l’autorité parentale
o lorsque les père et mère ne se sont pas souciés sérieusement de l’enfant ou qu’ils ont manqué gravement
à leurs devoirs envers lui.
- APEA, nomme un tuteur
o Tuteur dévide lieu de placement
- Parents
o Tjrs soumis à l’obligation d’entretien
o Conservent droit au relation personnelles
o Conservent droit à l’information et aux renseignements
- Institution :
o Prise en charge quotidienne de l’enfant et décisions
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Pour les mineurs : Législation spécifique § Loi fédérale régissant la condition pénale des mineurs (DPMin), Tribunal des
Mineurs (autorité pénale
Objectifs :
- Prendre en charge
- Le mineur qui a commis une infraction
- En fonction de ses besoins
- En privilégiant son intérêt (protection)
- Dans une option éducative (prévention)
- Ambulatoires
o Surveillance
o Assistance personnelle
o Traitement ambulatoire
- Institutionnelle
o Placement
Art. 15 DPMin
Si l’éducation ou le traitement exigé par l’état du mineur ne peuvent être assurés autrement,
l’autorité de jugement ordonne son placement. Ce placement s’effectue chez des particuliers ou dans
un établissement d’éducation ou de traitement en mesure de fournir la prise en charge éducative ou
thérapeutique requise.
L’autorité de jugement ne peut ordonner le placement en établissement fermé que:
Si la protection personnelle ou le traitement du trouble psychique du mineur l’exigent
impérativement ou
Si l’état du mineur représente une grave menace pour des tiers et que cette mesure est
nécessaire pour le protéger
Sanctions possibles :
- Réprimande
- Prestation personnelle : travail d’intérêt général ou séance de sensibilisation
- Amende
- Privation de liberté
- L’autorité compétente ordonne une enquête sur la situation personnelle du mineur, son environnement familial,
éducatif, scolaire et professionnel, si cette enquête est nécessaire pour statuer sur la mesure de protection ou la peine
à prononcer.
- L’enquête peut être confiée à une personne ou à un service disposant des compétences requises.
- Si la surveillance prévue à l’art. 12 ne suffit pas, l’autorité de jugement désigne une personne à même de seconder les
parents dans leur tâche éducative et d’apporter une assistance personnelle au mineur.
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- ’autorité de jugement peut conférer à la personne chargée de cette assistance certains pouvoirs en rapport avec
l’éducation, le traitement et la formation du mineur et limiter l’autorité parentale en conséquence. Elle peut confier à
cette personne la gestion du revenu provenant du travail du mineur, en dérogation à l’art. 323, al. 1, du code civil (CC)
- Aucune assistance personnelle ne peut être ordonnée à l’égard du mineur sous tutelle
- Aucune assistance personnelle ne peut être ordonnée après la majorité de l’intéressé sans son consentement.
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