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Copie de CM Eco
Copie de CM Eco
● questions les + importantes de notre tps ont souvent une dimension éco (brexit,
gilets jaunes, immigration, covid, chô, changement climatique,...)
● économistes contribuent au débat pub : participation directe ou indirecte à la décision
pub (ex : 30% chercheurs US participent directement alors qu’en Eu, plutôt sur la
recherche)
● économistes assez mal perçus : + ils sont d’accord entre eux, - ils le sont avec le
reste de la pop, manque de confiance en les économistes (pb de com’ ?)
2. modèles et données
● éco = hypothèses & méthodo
- théories formelles : basées sur des agents qui réagissent aux incitations
(financières, sociales …) & sous contrainte (budgétaire, info …) → hypothèse
de base des décisions des individus (choisissent en fonction des infos dispo
& de manière “rationnelle”)
- théories réfutables : implications testables à l’aide de l’économétrie (stats
appliquées aux données éco) → données permettent de réfuter/justifier
théories (⇒ importance de confronter les théories) + tester hypothèses
(analyses stats = difficiles sans données)
● Microéconomie :
- Etude du comportement d’un seul agent (entreprise, ménage, institution pub)
- ou d’un seul marché (le marché des voitures) : éq partiel
- ex : Comment fonctionne le marché de la gde distrib en FR ?
● Macroéconomie :
- Privilégie l’étude de variables agrégées (PIB, chô…)
- Prix et qtés
- Pls marchés en interaction : éq général
- Croissance long terme (dvlpmt, tendance…) et croissance court terme
(crises, booms et fluctuations)
- ex : Pk y a t il des crises éco ?
⇒ Frontière entre les 2 moins claire dans la recherche récente, diff - pertinente
● variables économétriques :
- essais randomisés contrôlés (sur une pop, donner aléatoirement à des
groupes des chances en éco ou traitements/placebos en médecine pour
tester efficacité) (mais parfois compliqué à réaliser pour coûts, éthique etc car
choisi qui reçoit quoi de manière aléatoire)
- expériences naturelles : avec groupes quasi-aléatoires qui utilisent groupes
déjà existants (comparer augmentation smic entre Etats aux USA) → plus
éthique car tire pas au sort
- méthodes dites de variables instrumentales : abs xp nat, utiliser une variable
exogène z qui est corrélée à x mais pas à y pour tester si x cause z
● 3 modes de calcul (décomposent PIB différemment, diff modes de calcul mais même
résultat)
- approche du PIB par la D
= total de ttes les dépenses pour acquérir des B et S finaux produits dans l’éco
PIB nominal (Y) = dépenses de conso (C) + dépense d’I + dépenses pub (G) + X - M
5. Inégalités et bien-être
● cf. courbe en éléphant : montre que croissance mondiale sur 40 dernières années
répartie de manière très inég → bénéf pour ts pays mais au sein de ces pays très
inég
● mesure des inég dans pays = ratio 90/10 (Rv moy des 10% les + riches / rv moy des
10% les + pauvres)
● inég entre pays : premiers pays à décoller économiquement (sur crosse de hockey)
sont ajd tjrs les + riches
● aller au-delà du PIB pour mesurer richesse des pays : mesurer bien-ê, IDH etc
6. A retenir
● modèle O&D permet représenter un éq où : niveau de prix associé à qté produite
→ choc éco peut provoquer translation de la courbe O et/ou D
● utilisation de données empiriques est de + en + courante dans analyses éco
● corrélation n’implique pas causalité (1 variable omise peut affecter 2 variables
observées, créant une corrélation entre ces deux dernières et non une causalité)
→ économistes utilisent notamment des essais randomisés contrôlés, des
expériences naturelles ou méthodes de variables instrumentales pour isoler des
relations de causalité
● PIB peut ê mesuré selon 3 approches : par la D, par les Rv, par la VA
● PIB réel =/= nominal
● PIB =/= RNB, PNB
● PIB = un instrument de mesure limité (PIB/hab montre pas inég dans pop, prend pas
en compte l’éco informelle ou les dimensions inobservables du bien-ê/bonheur)
1. La révolution industrielle
● de la trappe malthusienne à la révol indus
- W réel : pour pouvoir parler du pouv d’achat
- 1850 = 100 sur graphique, date de bascule, les W réels commencent à
augmenter très vite.
● trappe malthusienne = longue période de stagnation éco jusqu’à Révol indus
- dvlp par Thomas Malthus
- = la croissance démog annule tte augmentation du niveau de vie (qd
croissance éco s'accélère, croissance démog aussi & donc annulation) ⇒
stagnation
● fonction de prod : explique la prod (output) par utilisation de diff facteurs de prod
(K&L) (input) + techno (innov etc)
Y = Af (L)
- Y = prod
- A = constante (paramètre de la techno)
- f= fonction de prod croissante avec L
- courbe passe par 0 (pas de travailleurs = abs prod)
- forme concave car au bout d’un moment, ajout de travailleurs ajoutent pas
tant de prod (rendements décroissants) ⇒ PIB par tête diminue qd pop tot
augmente
● prod moy du L = Y/L = Af(L) / L = output par travailleur
→ mesure prodté moy des travailleurs (qd nbre travailleurs augmente, prod moy
du L diminue)
● prodté marginale du L = qté supplémentaire produite en utilisant une unité
supplémentaire de L (visible sur courbe, qté produite augmente, surtout au début,
passage de 1 à 2 travailleurs)
● prodté moy des travailleurs = qd nombre de travailleurs augmente, prodté moy
diminue → au bout d’1 moment, phénomène de saturation
● un modèle malthusien
- dans une éco agricole, prod obtenue par L = rendements d’ech
décroissants (= prodté marg décroissante)
- conso > niveau subsistance = pop augmente et inversement
- éq : point de croisement niveau subsistance (output par travailleur) & pop
- qd pop importante, niveau de prod par tête faible, insuffisant pour subvenir
besoins vitaux pop → tendance pop décroît
- qd pop faible : prod my par tête = relativement élevée → permet nourrir +
gd nbre individus ⇒ croissance éco
⇒ formation d’un éq
● I & épargne
- épargne = part du Rv (& de la prod) non consommée
- en éco fermée, l’épargne finance l’I
Y = C+I+G ⇔ I = Y-C-G
taux d’épargne/I : une part constante du Rv est épargnée
5. A retenir
● K, L & techno (A) contribuent à prod (Y) → selon la fonction de prod (Cobb-Douglas)
● modèles de croissance reposent sur une fonction de prod avec prodté marginale des
facteurs de prod décroissante (courbe de la fonction de prod est donc concave)
● modèle malthusien identifie un pt d’éq stable dans le tps pour la qté de prod : qd
niveau de prod par travailleur = niveau de subsistance → modèle explique niveau
limité du PIB jusqu’au XIXe
● révol indus : qq pays échappent trappe malthusienne : PT (A) augmente + vite que
pop → niveau de vie (PIB / hab ou W / hab) augmente
● Dans 1 pays, W peut varier entre diff travailleurs → résultat d’une diff de K
(d’I/d’épargne) et/ou de techno
● modèle de Solow prédit convergence conditionnelle entre pays à caract similaires →
diff entre pays expliquées par des diff dans prodté totale des facteurs de prod (TFP).
● rente éco = surcroît de paiement ou d’un autre bénéfice reçu par l’individu par rapp à
ce qu’il aurait reçu avec son alternative de 2nd rang (option de réserve)
Conclusion : transition écolo nécessairement décroissante ?
● pas de croissance propre
● donc forcément besoin d’une baisse du PIB/tête
● croissance de - en - polluante
- tte décision implique un choix car B éco sont par def rares
- ex : coût d'une année supplémentaire d’études (monétaire, effort,
renoncement au choix d’aller sur marché du L, donc - xp, W…) → choix
dépend du prix relatif des diff options
- ex : si I de 1000 euros dans actions, coût d’opportunité = I alternatifs &
conso
- raisonnement s’applique à ts agents éco (entreprises, gouv…)
- coût économique = coût de l’action + coût d’opportunité
● coût d’opportunité
- valeur absolue de la pente de la contrainte est le px relatif de C en termes
de B = nbre d’unités de B auxquelles il faut renoncer pour acheter une
unité supplémentaire de C
- j’ai besoin d’une somme pC pour acheter une unité de C → si je renonce à
xB, je reçois pB(xB)
- augmentation du pC = pente + forte
- px = donnée du pdv du consommateur mais déterminent son W réel
● courbe d’indifférence = décrit ts les paniers de B pour lesquels l’agent est indiff
● non-satiété implique que pente des courbes d’indiff est négative : car si
croissante on préfère celui où y a + donc préférence et pas indiff
● transitivité implique que les courbes d’indiff ne se croisent pas (sinon à un
moment, 2 pts pour une qté d’un bien corresp à 2 qtés diff autre B)
● comparer les courbes d’indiff : classer courbes d’indiff car tjrs une préférée (+
elles est loin de l’origine, + utilité/satisfaction élevée)
● courbes convexes (corde au dessus de la courbe) =/= concave (corde en
dessous) =/= droite
● 4 postulats sur préférences : les courbes d’indiff sont convexes → goût pour
diversité : la moyenne entre les 2 choix sur la courbe d’indiff est située au dessus
= autre courbe d’indiff
● TMS = Préférence relative locale entre 2 biens, compromis qu’une personne est
prête à faire entre 2 B → pente de la courbe d’indiff (→ je suis prêt à sacrifier
combien d’un bien pour obtenir un autre ? = arbitrage désireux de faire ⇒ En
maintenant le même niveau de satisfaction) (dépend du niveau de conso)
- ex : Surface d’un appartement en comparaison de la durée du transport
(TMS de 5 m² / 10 min)
- ex : Billets de concert et livres : 3 livres / billet
→ taux marginal de substitution (TMS) = valeur absolue de la pente de la courbe d’indiff
entre B & C
- Mathématiquement : la pente de la courbe d’indiff = tx d’accroissement de
B pour une petite variation de C le long de la courbe. Le long de la courbe,
un accroissement ΔC des billets de concert correspond à une diminution
-TMS*ΔB de la conso de livres
- Économiquement : TMS donne la diminution du nbre de livres -TMS*ΔB
telle que consommateur soit indiff entre (C, B) et (C+ ΔC, B-TMS*ΔB)
- convexité = goût pour la diversité / équilibre
● convexité des courbes d’indiff implique un TMS décroissant → TMS décroit qd
qté de C augmente & qté B décroit ⇒ + on a d’un bien, - on est désireux de
sacrifier un autre bien pour obtenir une unité supplémentaire de ce bien
4. Choix optimal
● choix sous contrainte → tenant compte des préf & contraintes : quel choix
optimal entre 2 biens ? (sous contrainte budg, compte tenu Rv, px B&C, préf : quel
est meilleur panier de conso poss ?)
● Combinaison des Courbes d’indiff et Frontières des poss
- Courbe d’indifférence : ce que l’agent préfère
• TMS (pente) : arbitrage que l’agent est désireux de faire entre 2 biens
- Frontière des possibles : contrainte qui pèse sur son choix
• TMT (pente) : arbitrage que l’agent est contraint de faire
● choix = la décision de consommer → représentation graphique
1. agent doit choisir un panier accessible (dans alloc poss)
2. panier nécessairement sur contrainte budgétaire (sur front des poss)
3. prendre un panier sur la contrainte budgétaire → si courbe d’indiff qui
passe par ce pt a une autre intersection avec la contrainte budgétaire,
alors ce n’est pas la solution (courbe d’indiff au dessus)
4. qu’une seule intersection entre la courbe d’indiff & la contrainte budgétaire
→ au choix optimal : TMS = rapp des prix (conso est optimale qd le sacrifice en bien B
pour obtenir une unité de bien C est = au coût d’opportunité pC/pB d’acheter une unité
supp de C)
● optimisation du choix avec fonction de prod
● effet prix
- bien ordinaire = qd px d’un bien diminue, la conso de ce bien augmente
- bien de Giffen = qd le px d’un bien diminue mais que sa conso diminue
aussi
6. A retenir
● Les décisions éco (prises à la marge) sont régies par deux ppes : un tradeoff entre
un choix et son coût d’opportunité, et l’objectif de maximiser la fonction d’utilité
● Les préférences de chaque agent sont complètes, transitives et respectent le
principe de non-satiété car l’agent est considéré comme rationnel. Les préférences
sont représentées par des courbes d’indiff
● Le domaine des choix poss est restreint par contrainte budgétaire (représentée par la
frontière des poss). Elle est fonction du Rv et des px
● qté des B consommés est donc déterminée par les préférences et par la contrainte
budgétaire. Le choix optimal maximisant l’utilité est tel que TMS = TMT
● agents ne sont toutefois pas tjrs rationnels : c’est le domaine d’étude de l’éco
comportementale
● La façon dont la conso d’un B change qd les px ou le Rv change permet par ex de le
classer entre bien normal, bien inférieur ou bien de Giffen
● L’effet total d’un changement dans la contrainte budgétaire = effet de revenu + effet
de substitution (prix)
● Ce modèle peut expliquer la conso de B mais aussi (par ex) le temps de loisir, i.e.
d’heures travaillées
● Ce modèle ne capture pas toutes les explications poss
1. Introduction
● contexte : individus prennent choix sans tenir compte des autres mais qui peuvent
avoir des résultats positifs/nég pour société (pollution avec les choix de conso →
externalités environnementales) ⇒ Pourquoi ces pb existent & comment remédier ?
● Interactions sociales : Situation dans laquelle les choix de chaque individu affectent
le résultat des autres
● dilemme social = Situation où les actions prises indépendamment par des individus
motivés par leur intérêt personnel aboutissent à un équilibre socialement
sous-optimal (ex : bouchons sur une route, changement climatique)
● ex du dilemme du prisonnier
- poursuite de l’intérêt individuel conduit à situation optimale mais dans
nbreuses situations, conduit à situation sous-optimale
- mettre en place po climatique : si un ne fait rien, il bénéf de l’action de l’autre
sans payer les coûts de cette po climatique (= passager clandestin)
- La poursuite de l’intérêt individuel peut-elle conduire à une situation optimale?
- cf PP
- strat dominante = ne rien faire → dilemme du prisonnier, si les 2 pays avaient
choisi la po environnementale, ils y gagneraient tous les 2
- solution coopérative est optimale mais incitation à dévier de l’accord = éq est
pas stable
- Dilemme du prisonnier = un jeu avec un éq en stratégies dominantes dans
lequel la strat dominante aboutit à des gains individuels et totaux + faibles
qu’avec des stratégies alternatives
- Dans un cadre stratégique : l’éq atteint n’est pas nécessairement efficace
- coop mènerait à 1 résultat efficace ⇒ rationalité individuelle est ici opp à la
rationalité coll
3. Equilibre de Nash
● concept fondamental de la théorie des jeux
● dans jeu avec 2 joueurs, éq de Nash = 2 actions sont un éq de Nash si chaque
action est une meilleure réponse de l’autre (chaque joueur joue sa meilleure réponse
si il croit que l’autre joue sa meilleure)
- si qA est choisi de manière optimale par A quand A croit que qB est choisi par
B et vice-versa
- qA = RA(qB) et qB= RB(qA)
- éq de Nash = résultat stable : aucun joueur ne trouverait optimal d’en dévier
⇒ pls éq de Nash peuvent coexister dans un jeu
- ex : PP sur po climatique : si situation avec 2 po environnementales génère
des gains + élevés, la coordination devient un éq de Nash
- Anticipations auto-réalisatrices : pays engagent une po environnementale
que si anticipent que les autres le feront aussi
● pb de coordination :
- qd + d’un éq de Nash et que les individus choisissent indépendamment des
autres, le résultat socialement optimal n’est pas forcément sélectionné
- Une société pourrait être « bloquée » dans le pire résultat, car aucun des
individus n’a unilatéralement intérêt à choisir une autre action
- institutions / normes sociales / po internatio coordonnées peuvent aider à
atteindre un éq socialement optimal
4. Préférences sociales
● Dilemme social : Dans ex de négo sur climat, coopérer aurait mené à un résultat plus
efficace, mais tentation forte de faire défection empêche atteindre l’éq socialement
optimal → opp rationalité indiv et rationalité coll
● HO = être moral avec préférences sociales
- Préférences sociales : un humain tient compte aussi des préférences des
autres êtres humains dans sa propre utilité (ex : 1. Préférences altruistes 2.
Coopération conditionnelle et réciprocité)
● Altruisme : agent altruiste à l’égard d’un autre agent si sa satisfaction augmente
avec la satisfaction de l’autre agent → si chaque agent internalise les effets de ses
actions sur l’autre agent, alors le résultat sera plus efficace pour la société
● Pour résumer
1. interactions sociales peuvent ê modélisées par des jeux → joueurs
choisissent les meilleures réponses aux strat des autres joueurs.
2. Les dilemmes sociaux peuvent ê résolus via les préférences sociales, la
punition par les pairs ou des accords contraignants → règles du jeu vont
également influencer les résultats
3. éq de Nash multiples peuvent causer des pb de coordination → institutions
éco & po peuvent permettre d’atteindre des résultats socialement optimaux
7. A retenir
● éco = encastrée dans les interactions sociales et instit. La théorie des jeux permet
par ex d’analyser comment des agents agissent et réagissent dans dilemmes
sociaux
● choix & allocations d’un jeu = déterminés par actions de pls joueurs. Dans certains
jeux, existe strat dominantes, un ou pls éq de Nash. Qd pls, résultat optimal pas
forcément sélectionné
● 2 critères d’évaluation des allocations : efficacité au sens de Pareto & équité
● allocations dépendent nota du pouv, des normes sociales & des institutions :
- instit peuvent déterminer les options de réserve et préserver des incitations à
coopérer
- po pub peuvent aboutir à des allocations + efficaces & + équitables
● instit jouent rôle central pour comprendre les échanges éco et dvlpmt humain →
encouragent par ex recherche et PT
Séance 5 : L’entreprise, ses employés, ses consommateurs
Introduction
● Deux institutions centrales dans le capitalisme : entreprise & marché
● entreprise = structure hiérarchique où individus allouent des tâches à d’autres,
régulée par contrats
● Interactions sociales au sein des entreprises :
- Hiérarchie entre individus qui composent entreprise
- Coordination des act à travers contrats entre agents
● Interactions sociales au sein du marché :
- Décentralisation des échanges → acheteurs & vendeurs se rencontrent de
manière virtuelle & sans autorité qui régit qui achète à qui
- Coordination des act via mécanismes de px
● structure de l’entreprise
- 1ere hiérarchie : Séparation entre proprios (actionnaires) et ceux qui
contrôlent l’entreprise (dirigeants)
action = titre de prop échangée sur un marché
part = partie de la prop (peut ê une action ou juste prise de participation dans
entreprise)
- 2e hiérarchie : Actionnaires & dirigeants exercent un pouv sur les travailleurs
: hiérarchie au sein de l’entreprise
- contrats (spécifient actions à réaliser des parties + coordonnent les act)
- intérêts entre les parties peuvent ê divergents : maximiser dividendes,
maximiser rentabilité à long terme et/ou maximiser les W
→ contrats doivent aligner intérêts de chacun, pleins de choses pas
contractualisables (mais le payer + pour qu’il les fasse ex : souriant)
● considère objectif entreprise = maximiser ses profits → recettes - coûts (permet pouv
continuer à I, croître & aussi reverser dividendes)
- Strat 1 : vendre bcp en fixant px + bas poss, compte tenu des coûts de
prod ⇒ profit par unité vendue = bas, mais qtés = très élevées (nbreux clients
achètent grâce au px bon marché) ex : Amazon → Importance des effets
d’éch : >½ des salariés du secteur pv travaillent dans gdes entreprises
● Comment se fixent px & qtés dans une entreprise ? → Situation où entreprise produit
un bien différencié (faible conc) et peut fixer prix = price-maker en fonction structure
de coûts & courbe de D
B. Les profits
● courbes d’isoprofit : imaginons entreprise puisse vendre Q voitures à prix unitaire P
- Profit (Q) = Recettes PQ - Coûts C(Q)
- Profit = nbre d’unités produites Q multiplié par le profit par unité
- profit = positif que si px > coût moyen
● perte sèche = diff de surplus entre les 2 éq est une perte pour l’éco (qd px > coût
marginal)
● résumé :
- Surplus du consommateur (SC) = ce qu’un individu est prêt à payer - le prix
d’achat effectif
- Surplus du producteur (SP) = recettes - coût marginal (profit = SP – coûts
fixes)
- Surplus total = SC + SP = gains à l’échange totaux
4. L’élasticité prix de la D
A. Théorie
B. Estimation
● marges permettent d’amortir I, R&D… (marge entre px & coût marginal)
● Fixation des prix, conc et pouv de marché
- marges de profit d’une entreprise dépendent de l’élasticité de la D, elle-même
déterminée par la conc (si D peu élastique, peut augmenter marge)
- D est relativement inélastique si peu de B substituables proches : produit
différencié (qualité/innov) → - le produit est différencié, + il est inélastique
- entreprises avec un pouv de marché ont un pouv de négo suffisant pour fixer
leurs px sans perdre des consommateurs au profit de la conc
- po de la conc (limitation du pouv de marché) peuvent ê bénéfiques aux
consommateurs qd entreprises s’entendent pour maintenir des px élevés
(sinon exploitent ce pouv de marché au détriment du consommateur)
→ po de la conc marche (en EU), po très peu populaires mais réels effets
(permet px de pas ê trop élevés)
● situation de monopole → abs de conc
- Monopole : marché qui ne compte qu’un seul vendeur/une seule entreprise
pour une multitude de consommateurs
- Pouv de marché de l’entreprise : fixation du px au-dessus du coût marginal
- Allocation inefficace au sens de Pareto car perte de surplus pour le
consommateur (et donc perte de surplus total) → mais maximisation du profit
pour l’entreprise en monopole
A retenir
1. Introduction
● Comment organiser act & échanges éco ?
● après l’entreprise, autre instit centrale du capitalisme : le marché (concurrentiel)
● comportement des acheteurs & vendeurs sous différentes conditions de marché : éq
concurrentiel : théorie et en pratique avec Pareto-efficace
● pour que px envoient bonne info sur alloc des ress : nécessité d’une situation de
conc & abs de défaillances de marchés (comme externalités)
● si D > O : alors le px va augmenter & augmentation va réduire niveau de D, et O va
augmenter et cet ajustement va permettre d’égaliser le niveau d’O&D → éq
● conc P&P :
1. homogénéité : B ou S échangés sont homogènes (=/= différencié) (ex pétrole)
2. atomicité : vendeurs et acheteurs potentiels sont très nombreux (donc
individus pricetakers)
3. acheteurs et vendeurs agissent indépendamment les uns des autres (pas de
coalition entre eux, mise d’accord sur le px…) (fluidité & mobilité ?)
4. transparence : info sur prix facilement accessible pour acheteurs et vendeurs
+ rationalité : choix en fonction de leur propre intérêt
price-taking vs price-setting/making
● éq concurrentiel : concepts
- Courbe de D = qté totale que l’ens des consommateurs souhaitent acheter à
chaque niveau de prix donné
- Courbe d’O = qté tot que l’ens des entreprises produirait à chaque niveau de
px
- éq concurrentiel = qd tous les acheteurs et vendeurs sont price-takers (pas
d’influence sur prix) et que O = D (ajustement à l’éq du marché)
→ caractéristiques :
- Loi du prix unique : toutes les transactions sont effectuées à un prix unique
- acheteurs & vendeurs = price-takers
- marché s’ajuste à l’éq et l’ens des gains à l’échange poss sont réalisés.
→ conc P&P existe pas en réalité, mais elle est utile à analyser en tant que cas limite
● perte sèche = diff de surplus entre les 2 éq est une perte pour l’éco (qd prix > coût
marginal)
● allocation Pareto-efficace :
- 1er théorème du bien-ê = un marché concurrentiel est Pareto-efficace (= on
peut pas améliorer bien-ê d’un individu sans détériorer celui d’un autre)
- Léon Walras : "tâtonnement walrasien” = mécanisme pour atteindre éq
concurrentiel
- Arrow & Debreu : démontrent que éq concurrentiel = Pareto-efficace
● Monopole = qd une entreprise est seule sur son marché → monopole utilise son
pouv de marché pour extraire le surplus des consommateurs (px + élevé qu’en conc
P&P → profits + élevés (extra profit) → - de qtés échangées → baisse du surplus
total (perte sèche du monopole))
● Duopole = 2 entreprises
● Oligopole = peu d’entreprises
● solution : “taxe pigouvienne” pour internaliser les externalités (= taxe égale au coût
de l’externalité nég, permet de modifier les qtés produites par le marché pour revenir
à qté optimale) → ex : péage urbain (conducteurs internalisent prix de leur
comportement qui crée embouteillages)
3. Contrats et information
● asymétrie d’info = un agent dispose d’une info que les autres n’ont pas → provoque
une abs de marchés
→ 2 défaillances de marché à cause asymétrie d’info (pb de sélection adverse &
d’aléa moral)
● sélection adverse = seuls les mauvais produits sont présents sur le marché
→ solution = régulation
● aléa moral = comportement de l’individu est diff de celui qu’il aurait eu si l’info avait
été parfaite
● action cachée = actions d’une partie ne sont pas complètement observables par
l’autre partie intéressée
● ex : assurance peut pas savoir quels risques prend l’assuré avant de l’assurer +
l’assuré va prendre + de risques car sait qu’il sera remboursé (aléa moral)
A retenir
I. Marchés financiers
sur marchés du K, on transfert des richesses d’ajd vers conso demain ou inverse
→ intertemporel avec actifs financiers : monnaie
à part sur marchés d’actifs, la plupart des transactions sont intermédiés, avec intermédiaires
financiers comme les banques qui construisent un support d’épargne
rôle des instit financières : permettent aux agents éco (ménages, entreprises, États) de
transférer leurs ress dans le tps:
● Pour consommer :
- Emprunter : avancer une conso
- Prêter : différer une conso
→ permet aux individus de lisser leur conso dans le tps
● Pour investir :
- Financer ajd projets d’investissement qui généreront des ress dans le futur
→ permet augmenter prod et donc les possibilités de conso
ex : emprunter
● un agent éco, qui a pas de Rv ajd, mais Rv dans 1 an sera de 100 €
- pour lisser sa conso, va emprunter ajd et rembourser dans 1 an en utilisant
une partie de son Rv
→ doit s’adresser aux marchés financiers (ex : banques)
- pour investir (dans un projet, une machine...), peut aussi vouloir emprunter
plutôt que baisser sa conso ajd
● tx d’intérêt r correspond au coût d’un emprunt : si tx d’intérêt de 10 % → si emprunte
10, devra rembourser 11 ⇒ 10 + 10 % x 10 = 10 +1
Si emprunte 70, remboursera dans un an 77 et aura encore 23 dispo pour sa conso.
Avec les 100 dans un an, peut emprunter jusqu’à 100/1,1 ≅ 91
ou B1 = C1 - Y1
Emprunt = Conso - Rv
→ peut pas conso + que son Rv
● Dans un an (année 2) :
C2 = Y2 – B1(1+r)
Conso = Rv - remboursement de l’emprunt
ou C2 = Y2 – (1+r)(C1 – Y1)
Ma conso dans un an dépend négativement de ma conso d’ajd (si j’utilise ajd l’argent, plus
pour dans un an) → pente de la relation entre C2 et C1 : 1+r (1 + tx d’intérêt)
lissage intertemporel
+ tx d’i élevé, - poss de consommer dans futur
D&O de prêts
● marché du K fonctionne que si existe une D de prêt (pour consommer ou investir) et
une O de prêt (pour épargner) → agents doivent avoir des besoins diff
● D de prêt diminue avec augmentation tx d’intérêt
● O de prêt augmente avec tx d’intérêt
● Pour - fragilité, réglementation des banques (surtout sur réserves & fonds propres)
l’O de L
● L’O de L des ménages = résultat arbitrage conso / loisir
● L’impact d’une hausse des W réels sur l’O de L résulte de la combinaison d’un effet
Rv (- si loisir est un B normal) et d’un effet de substitution (+)
● L’effet combine des ajustements à la marge extensive (travailler / ne pas travailler) et
à la marge intensive (nombre d’heures)
élasticité de l’O de L
● hausse de 1% des W conduit à augmentation de l’O de L autour de 0.8%
● L’élasticité varie
- Au sein des ménages : + élevée pour les Fe que pour les Ho
- Au cours du cycle de vie : + élevée (marge extensive) pour jeunes et seniors
→ O de L augmente avec W
La D de L
● Si marché du L concurrentiel, l’entreprise prend le salaire w (pour une qualification)
comme donné
● Choix de la D de L :
- Gain marginal = recette d’une unité supplémentaire de L = prodté du L (ce
que produit une unité de travail supplémentaire)
- Coût marginal : W
● Profit max : coût marginal (W) = gain marginal (prodté)
● Augmentation du W : coût marginal ↑ ⇒ coût marginal (W) > gain marginal (prodté)
⇒ baisse de la D de L (et de la prod)
La D de L
● Dans certaines situations, entreprise en situation quasi-monopole (seul employeur)
sur son marché du L (région isolée ou requiert compétences particulières)
→ devient price-maker sur marché du L → parle d’un monopsone
Cm > CM : entreprise doit augmenter W pour attirer un salarié supplémentaire et le coût
s’applique à ts les employés → conséq : salariés sont payés en-dessous de leur prodté
marginale
→ David Card + Alan B. Krueger (1994), “Minimum wages and employment: a case study of
the fast-food industry in New Jersey and Pennsylvania”, American Economic Review
● Idée: comparaison entres les Etats américains
- Hausse W minimum au New Jersey en 1992 de 17% (de 4.25$ à 5.05$)
- W minimum est resté constant dans l’état voisin de Pennsylvanie à 4.25$
● Enquête auprès de 410 restaurants (fast-food) : 331 au NJ et 79 en Pennsylvanie
→ résultat analyse de l’xp nat
● emploi dans NJ augmente en termes relatifs par rapport à l’emploi en PA
● hausse de l’emploi tirée par augmentation relative de l’emploi dans les restaurants
qui payaient des W en dessous du nouveau W minimum avant la hausse
● résultats suggèrent un impact positif de la hausse du W minimum sur l’emploi dans
les restaurants qui payaient les W les + faibles (en situation de monopsone?)
● Validité externe? Nombreuses études depuis Card & Krueger qui montrent des effets
hétérogènes sur l’emploi et les probabilités individuelles de trouver un emploi
Conso
● composante la + importante de la D globale → corrélée positivement avec
croissance du PIB (pro-cyclique), mais - volatile que le PIB (surtout B non-durables)
→ B durable = comme I, voiture =/= B non-durable = dépenses quotid, alimentaire
● 2 déterminants :
- Rv dispo = Rv – Impôts
→ hausse Rv dispo encourage conso
→ hausse anticipations de Rv futur encourage aussi à consommer + ajd
- tx d’intérêt r : effet nég sur conso
→ arbitrage entre conso présente & future
→ effet sur les incitations à épargner ou coût de l’endettement
→ impact sur les décisions d’I immobiliers
Investissement = dépenses brutes des entreprises pour accroître leur stock de K productif
● à court terme, composante de la D globale → achat de B d’équipement, K physique
● composante essentielle dans fluctuations de l’act éco → pro-cyclique et + volatile
que la conso
déterminants de I :
● niveau des ventes courantes et anticipées : effet positif
- rôle essentiel des anticipations des entrepreneurs : I accroît capacités
productives dans l’avenir et dépend donc des débouchés courants et
anticipés → rôle de la confiance des entreprises (s’écroule qd crises éco car
difficile anticiper)
hypothèses fondatrices :
● Rigidités à court terme des prix et W → s’ajustent pas instantanément pour équilibrer
les marchés (≠hypothèse classique de prix flexibles) :
- Rigidité des px des B : coûts de catalogue, contrats implicites avec les clients
- Rigidité des W : contrats de W et négo (chaque année en Fr…)
→ conséq : Ajustement par les qtés (prod, emploi...) et non plus par les prix
conséq de insuffisance de la D
● entreprises ajustent leur prod à la D de B. Si la D est faible, la prod est faible :
situation durable de sous-emploi
● chô = involontaire : résulte de l’insuffisance de la D de B et non du coût du L
● Solution vs chô (involontaire) → Stimuler la D sur le marché des B
3. Finances publiques
a. Soutenabilité de la dette
● déficit pub primaire = G (infrastructures, fonctionnaires, ...) - recettes pub (fiscalité)
● déficit pub total = déficit pub primaire + intérêts payés sur la dette
● ex : déficit 2021 estimé à 197,6 Mds d’€ (environ 8% du PIB)
contrainte budgétaire de l’Etat :
● si r > g : besoin surplus primaire (Gt > Tt) (d’autant plus dette initiale élevée) : sinon
effet boule de neige et dette non soutenable
● si r < g : stabilisation de la dette poss même avec déficit primaire
Intro
● politique monétaire, autre type de po
● rôle des BC, qui décident de la po monétaire
● impact de la po monétaire sur l’act éco (augmenter D pr lutter vs chô) et inflation
● effets court et moyen et long terme → cadre d’analyse
tx d’i dir de BC
● tx d’i des emprunts des banques commerciales à la BCE (0,25%)
● tx auquel banques commerciales qui déposent liquidités à BC en zone euro sont
rémunérées = -0,50%
● intéressant car modifications du tx d’i dir se reflètent sur ts tx d’i des marchés
(influence ens chaîne des crédits et des tx d’i) → affecte éco réelle via I et conso
politique monétaire non conventionnelle : quantitative easing (QE) : achat massif par les
BC d'actifs financiers, obligations, bons du trésor (Japon dep 2001, USA dep 2008…)
● augmentation du bilan du la BC
coûts de l’inflation
● qd px augmentent souvent et bcp, individus ont du mal a comprendre système de px,
donc peuvent faire mauvaises décisions, mauvaise allocations des ress
● redistrib entre ménages : inflation favorise débiteurs vs inflation favorise créditeurs
● déflation : pire situation (donc pour ça que cible de BCE = 2% et pas 0%) car cercle
vicieux :
● mais maitriser inflation sinon difficultés des agents à choisir niveau de conso
représentation de la DA
● éq sur marché des B en tenant compte des px : Y = C(Y,P) + I(r) + G
● A px donnés, l’augmentation de la D conduit à une hausse de l’O (relance
keynésienne)
● A moyen terme, hausse des px conduit à baisse de la DA via la conso des ménages
éq du marché du L :
● combinant relations WS et PS :
● Relation positive entre px fixé par entreprises et px anticipé par travailleurs :
↑de Pe → ↑W (WS)
↑ W → ↑ de P (PS) [boucle px-W]
● Taux de chômage “structurel” (ou naturel), indép des anticipations des prix
→ Causes structurelles liées au fonctionnement marché du L et des B : tx de marge,
instit du marché du L...
● à très court terme : px fixes (choc positif de la DA augmente prod mais change pas
les px. Puisque inflation pas affectée, courbe de Phillips = horizontale)
● moyen terme : arbitrage inflation - chô (choc positif de D augmente prod & px.
inflation augmente en même tps que tx de chô : la courbe de Phillips = décroissante
→ donc arbitrage entre inflation et chô)
● long terme : OA atteint niveau (OA & chô ont atteint niveau “structurel” (= de
long terme) → choc positif de D génère augmentation des px et W mais cela n’a pas
d’effet sur la prod. inflation augmente mais tx de chô de long terme est fixe : courbe
de Phillips est verticale)
débats actuels
● retour de l’inflation? → situation actuelle n’est pas la stagflation
● Po monétaire et bulles financières/immobilières → Quels impacts de QE sur px
d’actifs financiers ?
● L’impact de la po monétaire sur les inégalités → Rv, Richesse
● Po monétaire et réchauffement climatique? → Quels actifs acheter ?
A retenir
● BC utilisent différents instruments de po monétaire en particulier le tx d’i et
récemment des instruments non conventionnels (achats massifs d’actifs)
● Une po monétaire expansionniste stimule la D via des canaux divers. Lorsque les tx
d’i sont proches de 0 la po monétaire perd une partie de son efficacité
● A moyen terme une BC peut faire face à un arbitrage entre inflation et chô.
Empiriquement, courbe de Phillips illustre cette relation négative entre chô et inflation
● indép des BC mise en place à part 1970s pour asseoir leur crédibilité → gardent un
objectif de stabilisation pour atteindre leur cible d’inflation : po monétaire +
expansionniste qd l’inflation est trop faible et + restrictive qd l’inflation est trop élevée.
Séance 10 : L’éco internatio
Intro
● Quelles gdes évolutions de la mondialisation?
● Pourquoi pays commercent-ils? Quels sont les gains au commerce internatio ?
● Quel impact de l’ouverture aux échanges sur les po éco ?
I. Commerce internatio
1. Mondialisation : tendances historiques et régionales
● Taux d’ouverture = (Exportations + Importations)/PIB ou Exportations/PIB
= Indicateur mondialisation commerciale (B&S) :
→ Statistiques de bonne qualité (bcp de données)
2 mondialisations :
- 1ere : 1860-1914 (colo, X… fin avec crise 1929)
- 2e : 1990-2008 (commence ap WW2 et s’accélère 2000s) : hyper-mondialisation
1990s, étude de chocs (entrée Chine dans OMC), récession avec 2008, ajd
tendance à stabilisation du tx d’ouverture, crise covid : prod & commerce se
contractent très fortement mais reprise rapide (par rapp à 2008)
→ observe épisodes où monde se replie
mondialisation financière
- déb 1990s, très forte augmentation volume d’échange d’actifs financiers dans pays
dvlp (dans période de l’hyper-mondialisation), pas trop sur reste monde
→ si conc P&P : frontière des possibilités de prod = contrainte budg (frontière des
possibilités de conso)
● All : pour produire une unité d’auto de +, faut renoncer à 2 unités textile vs Chine :
pour produire une unité d’automobile de +, faut renoncer à 5 unités textile.
→ + efficace de produire les auto en All et le textile en Chine
● Avec ouverture au commerce, existe un prix relatif mondial tel que les 2 pays
souhaitent échanger :
● Avec ce prix, All se spécialise dans prod d’auto et Chine dans prod en textile
● échange mutuellement avantageux : chaque pays peut acheter relativement - cher à
l’étranger le B produit avec un désavantage comparatif domestiquement
→ All produit plus que voitures et Chine que textile → étend possibilités de conso (droite) =
nvelle contrainte budg (en théorie spécialisation complète) ⇒ les 2 contraintes budg sont
parallèles et au-dessus des frontières de possibilités de prod (car en autarcie pas poss de
prod autant de B donc consommateurs + contents)
→ commerce internatio augmente pouv d’achat (mais pb de créa de chô)
tx de change réel = px relatif des B étrangers par rapp aux B domestiques (permet
d’observer compétitivité des pays en comparant prix des B produits dans chaque pays)
● tx de change flottant = taux de change déterminé sur les marchés des changes
sans intervention des BC (très volatile)
● tx de change fixe = intervention des BC sur les marchés pour maintenir le tx de
change à un niveau (ou autour de ce niveau) défini préalablement (ex : Danemark en
tx de change fixe par rapp à l’euro)
- Ex : Étalon-or à la fin 19ème siècle, parité Franc/Deutsche Mark, système de
Bretton Woods jusqu’en 1971, cas de certains PED et pays émergents
● bcp de situations intermédiaires : « dirty floating »
● Union monétaire = forme extrême de régime de change fixe (zone euro tx de
change fixe → pays ont pas capacité de laisser monnaie s’apprécier ou déprécier)
représente euros
Ee: taux de change anticipé euro/dollar dans un an
→ investit en euro si
→ investit à l’étranger si
→ sorties de K conduisent alors à dépréciation de monnaie domestique (hausse E) jusqu’au
pt où ces I sont plus rentables
→ à éq :
⇒ baisse du tx d’i r€ provoque sortie de capitaux et dépréciation immédiate du tx de change
nominal : E↑ (+ d’euros pour acheter un $)
le trilemme de Mundell
3. Politique budgétaire en économie ouverte
DA = C + I + G + X nettes
en éco ouverte, multiplicateur + petit qu’en éco fermée : + pays est ouvert et - relance budg
efficace :
→ partie hausse des Rv profite à éco étrangère (via M) et balance commerciale se dégrade
→ multiplicateurs budg sont + faibles pour les pays + ouverts (propension marginale à
importer élevée) en zone euro
A retenir
● Faits stylisés : monde a connu dep révol indus 2 gdes phases de mondialisation
(1860-1914 et 1990-2008) → baisse coûts de transport & tarifs douaniers = à
l’origine de croissance du commerce. Dep 2008 toutefois, commerce internatio
augmente pas + rapidement que PIB mondial. émergence Chine transformé
commerce mondial
● Qui exporte quoi ? Pour Ricardo, spécialisation internatio basée sur avantages
comparatifs. qd pays a une prodté relativement + élevée dans 1 secteur que d’autres
pays, il se spécialise dans prod de ce secteur et M des B pour lesquels est
relativement - productif. Si pays à faible prodté bénéficie de l’ouverture au
commerce, reste - riche que pays à forte prodté.
● commerce entre pays similaires (échanges intra-industriels) fondé sur exploitation
des éco d’échelle → modèle de conc monopolistique montre que ouverture au
commerce internatio diminue coût moyen de prod, augmente conc et diminue px
● éco ouverte : pays en déficit de compte courant s’endette vis à vis du reste du
monde. En change flexible, baisse tx d’i produit dépréciation tx de change (parité de
tx d’i). En change fixe et parfaite mobilité des capitaux, le pays perd sa souveraineté
monétaire (trilemme de Mundell). Une po budgétaire expansionniste creuse déficit du
compte courant et bénéficie en partie à ses voisins. multiplicateur budgétaire est +
faible dans les pays + ouverts.
Séance 11 : Inégalités
Intro
● Quelles dimensions, évolutions dans l’espace/le tps des inég ? Rv et richesses
● Quels sont déterminants des inég ? → Commerce, Techno, Dotations, Institutions ?
● Quel futur pour les inég ? Job polarization ou émergence société polarisée ?
● Pk certaines sociétés + égalitaires que d’autres ? → rôle des po pub et fiscalité ?
inég de Rv dans pays OCDE : coeff de Gini varie entre 0,2 et 0,6 , le compare av et ap impôt
régions du monde hétérogènes en terme d’inég
(pas tjrs ttes les infos pour calculer le coeff de Gini)
inég dans l’esp et tps
→ tendance à la baisse des inég dans 20e
→ mtn : stabilisation des niveaux d’inég et retours à pentes croissantes parfois (dep 1980
mais à rythmes diff)
+ d’ineg aux USA qu’en Chine,
● la part des 1% aux Rv les + élevés et des 50% aux Rv les + faibles (1980–2021)
inég intergénérationnelles
● inég importantes et persistent
● bcp de reproduction intergénérationnelle (riches restent riches etc) → bcp aux USA
● reprod - marquée au Danemark
● + de reprod dans pays + inégalitaires
inég sur appartenance à un groupe
● bcp de stat ethniques aux USA : blancs + riches, origine ispanique ou noirs - riches
● mais + d'ascenseur social dans gpe hispanique (enfants gagnent + que parents)
● Inde : malgré po pour lutter vs discriminations des castes, inég restent très marquées
inég de genre
● Fe - payées que Ho à niveau d’étude équivalent (env 20%)
● + dans certains pays, - d’accès à l’éduc pour Fe
● pénalité à avoir des enfants → perdent 20 à 30% de Rv au moment où elles ont leur
premier enfant
inég spatiales
● FR : répartition du Rv natio : + de richesses à Paris, inég entre régions (sud > Est)
● mais baisse des inég de Rv / hb entre les départements
inég vs pauvreté
● pays en dvlpmt : utilise mesures comme seuil de pauvreté (absolu = 1$/jour)
● croissance en Chine permet de sortir individus de la pauvreté (1970s-2000s)
● Nigéria : pauvreté reste et parfois s’accentue avec crises
B. Mondialisation et inégalités
mondialisation et inég
● commerce internatio lié à spécialisation des pays sur leurs avantages comparatifs
● Commerce mutuellement avantageux : chaque pays peut acheter - cher à l’étranger
les B qu’il produit relativement inefficacement
● Modèle ricardien : un seul facteur de prod et donc pas d’inég
commerce et inégalités
● 2 facteurs de prod : L qualifié (H) et L non qualifié (L)
● théorie Heckscher-Ohlin-Samuelson explique avantage comparatif par dotations
relatives en facteurs
● Spécialisation dans prod du B qui utilise intensivement le facteur dispo en
abondance dans pays
● Gain agrégé mais perdants et gagnants à l’ouverture au commerce
● Travaux sur Chinese shock regardent que effets des produits importés
→ emplois sont créés via canal de l’X mais les déséq de BC impliquent que ces créa
d’emplois sont petites par rapp aux destructions
● Rôle crucial de l’imparfaite mobilité du L (entre secteurs et dans l’espace)
● Si effet du commerce = avéré, explique pas à lui seul les inég : Hausse des inég
concerne aussi pays qui se spécialisent sur des B intensifs en L non qualifié
→ commerce a un impact mais n’explique pas tout (compléter avec d’autres explications)
autres po
● éduc pour tous : Perry’s preschool program → xp randomisée ciblée sur enfants de
milieux défavorisés, en âge d’aller à maternelle. Programme de 2 ans comprend
2h30 de cours par semaine, 1h30 accompagnement des parents, et méthodes
pédagogiques centrée sur l’enfant
● moving to opportunity (inég persistantes dans l’espace)
- xp MTO conduite entre 1994-1998 dans 5 gdes villes USA sur échantillon env
4 600 familles vivant dans quartiers défavorisés
- 2 gpes traités et 1 gpe de contrôle → 2 groupes traités reçoivent subvention
pour déménager (1 dans quartier où taux pauvreté est <10% de distribution)
- Résultats:
→ résultats sont décroissants de l’âge au moment du déménagement
→ Pour enfants qui déménagent entre 13-18 ans, pas d’effet significatif (ou
effet légèrement négatif)
→ Pour enfant de 8 ans, déménager dans quartier à faible taux de pauvreté
augmente Rv totaux sur l’ens de la vie de 302,000 USD en moy
● fighting poverty
- travaux en éco du dvlpmt basés sur idée d’une “trappe à pauvreté” qui
expliquerait des trajectoires où certains pays émergent (Chine, Inde) et
d’autres restent bloqués à niveaux de PIB et croissance faibles (Nigéria)
- Trappe à pauvreté = cercle vicieux dans lequel la pauvreté explique la
pauvreté
- Sources des trappes à pauvreté (qui se cumulent très souvent) :
- Institutions : Accès à l’école, aux marchés financiers
- Dotations / ress nat (syndrome hollandais)
- Démographie : Fertilité élevée ⇒ Faible I par enfant ⇒ Prodté faible
- Santé : Pauvreté ⇒ Malnutrition ⇒ Pb de santé ⇒ Faible prodté ⇒
Pauvreté
→ Solution : “Big push” (Duflo & Banerjee) : pb de trappe à pauvreté souvent expliqués par
des éq multiples ⇒ Faire « sauter » l’éco d’un mauvais à un bon éq
- Évidences empiriques :
➔ Ppalement xp randomisées, répliquées pls contextes pr confirmer validité
➔ Énorme littérature : Voir Duflo, Banerjee, Dupas, Jpal…
- ex : Why do people stay poor ? (Bandiera et al, 2020)
➔ Trappe à pauvreté ou rôle des caractéristiques intrinsèques?
➔ xp randomisée basée sur 23 000 ménages localisés dans 1 309 villages dans
les 13 districts les + pauvres du Nord du Bangladesh
➔ Programme : Transfert d’actifs productifs + formation permettant d’offrir 1
source de Rv réguliers à des Fe pauvres (valeur de l’actif 560 USD PPA)
➔ Résultats:
- qd programme permet aux individus de passer un seuil minimum de
richesse initiale, ils sortent durablement de la pauvreté
- programme n’a pas d’effets pervers sur les individus non traités
A retenir
● existe nmbreuses mesures des inég éco → coeff de Gini : calcule aire entre courbe
de Lorenz et droite à 45° (= distrib parfaitement égale des richesses)
● Rv et richesses = inégalement distribués entre pays et dans pays → pays les +
inégaux ajd sont ppalement pays en voie de dvlpmt
● Sur très long terme, les inég ont suivi tendance ppalement décroissante → Mais
tendance semble s'être inversée dep 1980.
● inég de richesse et Rv minimisées par taxes progressives, redistrib, transferts → FR
: la différence entre inég av et ap redistribution est significative
● inégalités sont nota portées par :
- accumulation du K
- mondialisation,
- inég d'accès à l'éduc (cf. K humain)
● existe pls types de po pour limiter inég, nota les po redistributives (taxe progressive)
ou po visant accès à l'éduc → po émettent jugement sur ce que société devrait être
(éco normative), se justifient par théories de la justice (utilitarisme, voile de
l'ignorance ou maximisation des capabilités)
contexte et motivation
● COP26 (Conférence des Parties) Glasgow
● COP21 Paris (2015) : défini nouveau cadre de négo avec :
- trajectoire globale
- flexibilité aux parties pour déterminer elles-mêmes engagements climatiques
(NDCs = Nationally Determined Contributions)
- 3 piliers principaux :
1. Atténuation : maintenir augmentation T° d’ici 2100 par rapp aux
niveaux pré-industriels à + 2°C et poursuivre efforts pr limiter cette
augmentation à 1,5° C
2. Adaptation : renforcer capacités des pays à faire face aux impacts du
changement climatique
3. Finance : mobiliser 100 milliards de $ /an de financements climat
Nord-Sud d’ici 2020
Glasgow :
● Policies and action : Basé sur po environnementales actuelles
● 2030 targets only : Implémentation complète objectifs pour 2030 des 150 pays (sur
196) ayant déposé de nouveaux engagements (les « NDC »)
● Pledges & targets : Implémentation complète objectifs pr 2030 et à LT des pays NDC
● Optimistic scenario : Implémentation complète des objectifs annoncés, y compris la
neutralité carbone, pour tous les pays
UE agit le +,
question du financement de la transition énergétique pour les pays en dvlpmt
pas que question de qui émet mais aussi qui a émis
FR : empreinte carbone des transports, industrie, agriculture, bâtiments etc
● Sans baisse POP et/ou PIB/POP (décroissance) : nécessité découplage absolu entre
CO2 et PIB dep 1990:
- pas de découplage absolu au niveau mondial
- UE : E/PIB et CO2/E ↓ mais insuffisant pr objectif net zéro + pb CO2 importé
- découplage relatif (E/PIB et CO2/E ↓) mais largement insuffisant pour
compenser hausse du PIB
● Décroissance et retour du pessimisme de Malthus ou capacité d’une rupture sans
équivalent ? → trajectoire actuelle pas la bonne
climat et B pub
● Qui va payer pour protéger le climat ?
● Climat et sa protection = pur B pub :
- Non-exclusion : personne peut être exclu de la protection du climat
- Non-rival : + de protection pour 1 pays signifie pas - de protection pr 1 autre
● Pb de l’Action Collective et du Passager Clandestin
- Non-exclusion : Imposs exclure qq un des bénéf de la protection climatique
même si aucun prix payé
- Passager clandestin : citoyens et pays peuvent vouloir bénéficier de la
protection sans en partager les coûts : intérêt à attendre que autres payent
● Défaillance de marché
● Sans mécanisme de coordination, situation d’éq est l’absence d’I de chacun dans la
protec climatique
● Nécessité trouver cadre crédible : où chaque agent peut s’engager et vérifier
l’engagement et la coop des autres
- niveau national, cadre défini par les Etats
- niveau internatio, cadre est bcp + difficile à définir, pas de police internatio et
échec de Kyoto → besoin règles crédibles et atteignables
climat et externalités
taxe pigouvienne
● Fixer taxe T par tonne d’émission pour obliger à produire qté Q + faible d’émissions
● En théorie, régulation a même effet que taxe si toutes les entreprises ont le même
coût marginal privé à dépolluer
● taxe comme le quota augmentent les prix. taxe implique un Rv qui peut ê redistribué
commerce et environnement
● ress environnementales sont un B pub global
● Mais po environnementale largement définie à l’échelle natio → Dumping
environnemental, pollution havens
● mondialisation permis une déconnection entre localisation des prod et conso
- empreinte carbone de la conso fr est en partie importée
- transport internatio est source croissante d’émissions GES
● Comment articuler po environnementales et po commerciales?
Fuites de carbone → Impact réduit des réglementations et taxes sur émissions une fois
prises en compte décisions de relocalisation et prix mondial :
● Directes : déplacement de la prod émettrice de GES des pays taxant fortement vers
les pays qui taxent peu ou pas les GES
● Indirectes : réduction de la D des NRJ fossiles des pays régulateurs ⟹ baisse prix et
hausse émissions des pays aux réglementations environnementales faibles
Enjeu d’acceptabilité
● Supposons des ménages qui sont diff du pdv de leur TMS entre B carbonés et non
carbonés (préférences, capacité à substituer, etc)
● Choix de conso : Etant donné un prix relatif p pour le bien carboné
- consommateurs tels que a ≥ p choisissent conso carbonée
- consommateurs tels que a < p choisissent conso décarbonée
● Intro taxe carbone uniforme
- Hausse prix relatif des B carbonés
- Baisse de conso carbonée
- Transition de certains ménages vers une conso décarbonée
● 3 catég d’agents
- Ceux qui consomment tjrs carboné (perte pouv d’achat) (ménages ruraux/
riches)
- Ceux qui changent vers conso décarbonée du fait de la taxe
- Ceux qui consomment tjrs décarboné (ménages urbains)
→ perdants sont consommateurs qui ont un TMS faible
● soutien po dépend de proportion de la pop qui gagne à l’intro de la taxe & de la
manière dont Rv de la taxe sont distribués
- redistribuer l’intégralité des Rv de la taxe
- Utilisation des Rv pour subventionner conso décarbonée, surtout pour ceux
pour qui transition est + coûteuse
C. Autres enjeux
● Incertitude : ampleur & conséq changement climatique restent incertaines
→ “worse-case scenario” ou “most-likely scenario” ?
● Irréversibilité : augmentation concentration en CO2 de l’atmosphère en partie
irréversible → conséq des comportements des générations déjà nées sont imposées
aux générations futures → Décisions nécessitent comparer l’utilité des générations
présentes et futures → Quel TMS ?
A retenir
● augmentation T° directement liée à l’act éco dep révol indus
● Sans changement drastique des po environnementales, dynamique des émissions
de GES nous éloigne de trajectoire où réchauffement limité d’ici 2100 par rapp
niveaux pré-industriels à + 2°C
● ajd, flux d’émissions CO2 dominés par Chine (27% du total et forte augmentation
dep 2000). Mais resp des stocks émis incombe aux USA (25%) et Eu (22%).
● L’équation de Kaya comptabilise diff composantes de croissance des émissions :
augmentation pop, du PIB/tête, de l’intensité énergétique de la prod et du contenu en
carbone de la prod NRJ. Réduire émissions nécessite de jouer sur 3 derniers
composants simultanément
● qualité environnementale = B pub pur, génère sous-I. Corriger externalité nécessite
mettre en place mécanisme d’internalisation par le marché
● En théorie, diff mécanismes peuvent ê mis en place de manière équivalente : Taxe
pigouvienne, Quota d’émission, Quota d’émission avec échange de droits à polluer.
En pratique, certains + facile mettre en place que d’autres (nécessitent bcp d’info)
● Si mécanismes existants montré efficacité, outils en place restent insuffisants, nota
du fait de pb d’implémentation
● régulations environnementales nationales perdent en efficacité en éco ouverte (fuites
de carbone) → mécanismes d’ajustement carbone aux frontières peuvent améliorer
efficacité
● régulations environnementales = régressives. Mettre en place mécanismes de
redistrib = nécessaire pour questions d’équité et raisons d’acceptabilité
● régulation environnementale définie dans cadre de forte incertitude sur conséq du
changement climatique, avec difficultés de mesure importantes et pb fondamental de
transferts intergénérationnels des coûts et bénéf