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Rapport Final
Rapport Final
DOMESTIQUE
DEDICACE
A
TOUTE MA FAMILLE
SOMMAIRE
Introduction
L’Ecole nationale Supérieur des Sciences Agro-Industrielle (ENSAI) de Ngaoundéré est
une école qui forme des ingénieurs de conceptions en Maintenance Industrielle et
Productique, Chimie Industrielle et Génie de l’Environnement et en Industrie Agro-
Alimentaire durant une période de trois (03) ans en vue d’obtention du diplôme d’ingénieur.
En plus, elle a en son sein le cycle de recherche jusqu’à la thèse. Durant le cycle de formation
des ingénieurs, chaque étudiant doit impérativement effectuer à la fin de chaque année un
stage d’ordre académique dans le but de mettre en pratique les connaissances acquises lors de
sa formation. En ce qui concerne pour cette année, il s’agit d’un stage agent de maitrise dont
la durée est d’un mois. C’est dans ce même conteste que nous avons effectué un stage ouvrier
allant du 10 decembre 2022 au 28 fevrier 2023 au sein de l’ENSAI. Ce stage agent de maitrise
a pour objectifs d’identifier les principales missions attendues d’un chef d’équipe en secteur
technique et échanger sur les difficultés les plus fréquemment rencontrées en matière de
gestion d’équipe, de consolider acquis de chacun dans le domaine d’évolution désiré et
apprendre/perfectionner la rédaction d’un rapport. Dans le but d’éclaircir notre travail, nous
allons présenter au premier temps l’entreprise, en suite les taches effectuées et en fin les
relations humaines au sein de l’entreprise.
Ingénieurs de conception
Ingénieurs des travaux
Techniciens supérieurs dans les filières suivantes:
.
L’Ecole Nationale Supérieure des sciences Agro-Industrielles est née de la réforme
universitaire par arrêté N° 010/CAB/PR du 19 janvier 1993, elle s'organise plus tard par le
décret n2deg; 95/061 du 03 avril 1995. L'implantation de cette école au sein des locaux de la
défunte ENSIAAC se justifiait à double titre par:
Cette école offre deux cycles de formations aux niveaux master et doctorat du système LMD :
• Cycle des ingénieurs de conception: trois filières de
formations:
B. Historique de l'ENSAI
- 1977: création de l’ENSIAAC
- 1982: ouverture de l’ENSIAAC
- 1993: réorganisation de l’ENSIAAC en ENSAI
GETA;
TEFI;
Laboratoire de microbiologie;
Laboratoire de RDM;
Laboratoire d’électronique;
Laboratoire d’électrotechnique;
Laboratoire de biochimie;
L'ouvrier travaille dans une bonne ambiance maintenue par les encadreurs. Il doit
respecter certaines règles de sécurité, telles que le port de la blouse, du cache-nez, le
silence au laboratoire et les horaires de travail. La ponctualité était de rigueur.
A- NORMES
I-1-1 Définition :
Les normes sont des référentiels techniques élaborés conjointement par les acteurs
économiques d’une filière (industriels, installateurs, fournisseurs d’énergie, etc.) et des
organismes indépendants (associations, laboratoires publics, etc.). Elles ont vocation à décrire
les bonnes pratiques d’un métier qui garantissent la qualité des produits et des services, ainsi
que la sécurité des biens et des personnes.
b) UTE : Union technique d’Electricité. C’est l’organisme qui est chargé par AFNOR
de l’élaboration des normes relatives à l’électrotechnique.
La distribution des luminances : il est important d’éviter les luminances trop fortes
(pour ne pas créer l’éblouissement) mais également les contrastes de luminances trop
importants qui nécessitent d’incessants changements d’adaptation des yeux et enfin de
trop faibles luminances ou de faibles contrastes qui conduiraient à un environnement
ennuyeux et peu stimulant.
Cette norme détaille également des exigences relatives à chaque type de local (bureau,
salle de restauration, chambre d’hôpital, etc.). Les spécifications concernent les paramètres
suivants:
Iz
Ib ≤ In; I2 ≤ 1.45Iz; In ≤ k3 (1)
-Son pouvoir de coupure (PDC) doit être au moins égal au courant de court-circuit présumé au
point où le dispositif est installé ;
-Sontemps de coupure de tout courant résultant ne doit pas être supérieur au temps pendant
lequel la température des conducteurs atteindra la limite admissible donnée par la relation
suivante :
𝑲×𝑺 (2)
𝑻 = √( )
𝑰
T : temps de coupure en S ;
S : section des conducteurs en mm² ;
I : Intensité du courant en A
K = 115 pour les conducteurs en cuivre isolé ;
K = 135 pour le caoutchouc ou butyle ;
K = 143 isolés au PRC ;
K = 74 aluminium isolé au PVC.
v. Le disjoncteur
Un disjoncteur est à la fois un dispositif de coupure capable d’établir, de supporter et
d’interrompre des courants d’une intensité au plus égale à son courant assigné (In), et un
dispositif de protection capable d’interrompre automatiquement des courants de surintensité
qui apparaissent généralement suite à des défauts dans les installations. Le choix d’un
disjoncteur et de ses caractéristiques est corollaire au dimensionnement de l’installation. La
figure suivante est l’exemple des disjoncteurs et son symbole général.
Figure 1: Disjoncteur
K3 : Facteur de correction pour les fusibles ayant pour valeurs : In ≤ 10A K3 = 1,3 ; 10A ≤ In
< 25A K3 = 1,21 ; In > 25A ; K3 = 1, 10.
Figure 6:Régime TT
Figure 7:Régime IT
Sélectivité chronométrique Les seuils (Ir D1, Isd D1) de D1 et (Ir D2, Isd D2) de D2
respectent les règles d’étagement de la sélectivité ampère métrique.
La limite de sélectivité Is :
• Is<Ii D1 sur les départs terminaux et/ou divisionnaires. Des disjoncteurs de catégorie
A (suivant CEI 60947-2) en aval peuvent être utilisés avec des disjoncteurs légèrement
temporisés en amont. Cela permet de prolonger la sélectivité ampère métrique jusqu’au seuil
de protection Instantané Ii1 du disjoncteur en amont.
• Is > Icw D1 sur les arrivées et les départs du TGBT. A ce niveau, la continuité de
service étant prioritaire, les caractéristiques de l’installation permettent l’utilisation de
disjoncteurs de catégorie B (suivant CEI 60947-2) conçus pour un déclenchement temporisé.
Ces disjoncteurs ont une tenuethermique élevée (Icw < 50 % Icu pour ∆t = 1s). Ces
différentes phases sont représentées par la courbe suintante :
IV.4- Appareillages
Le dimensionnement de l’appareillage nécessite une bonne connaissance du fonctionnement
de l’installation au préalable. On procède circuit par circuit, pour chaque circuit, on détermine
la liste des fonctions nécessaire à la protection et à l’utilisation de l’installation, puis on teste
une ou plusieurs associations sur plan et de toute l’installation. Dans le cadre de notre travail,
les méthodes et le matériel sont présentés dans chapitre suivant.
V- Choix de liminaire
V.1 Le plafonnier
Le plafonnier est un des luminaires le plus couramment utilisés pour l’éclairage des
habitations. Sa ou ses lampes sont en général masquées par un verre diffusant qui répartit
assez largement la lumière dans le local.
Nombre de luminaire 𝑭
NL =
𝑭𝑳
I. Matériel
Notre étude est basée sur le dimensionnement d’une installation d’un bâtiment
résidentiel constitué de deux séjours, trois chambres, quatre toilettes, un dressing, un bureau,
une salle à manger, une cuisine, un magasin, un couloir, et deux vérandas. Pour mener donc à
bien ce travail, nous disposons de certains matériels à savoir :
I.1. L’ordinateur
Avant tout nous avons d’abord un ordinateur qui est une machine capable de traiter les
informations. Cette machine a été un élément indispensable pour la réalisation de ce travail.
I.2.Le bâtiment
Ce bâtiment est une maison d’habitation constituée des éléments cités là-haut. La figure
suivante nous donne le plan architectural du bâtiment.nous supposons que notre installation se
fera dans un hotele
Véranda 1
Maga
sin Séjour
visiteur
Cuisine
Séjour privé
Véran
Salle à manger Bureau
da 2
Toilett Couloir
e
Toilet Dressing
te 2 Chambre
privée
Chambre 1
Chambre 2
II. Méthodes
Pour réduire les risques liés à l’utilisation de l’électricité, l’installation électrique de
notre bâtiment doit tenir comptes de normes précises.
Dans cette partie, nous allons tout d’abord faire l’état des lieux, déterminer le nombre
des luminaires de chaque pièce, faire le bilan de puissance, ensuite choisir les dispositifs de
protections appropriés pour chaque bloc et de l’ensemble du bâtiment, élaboré les schémas
unifilaires et architecturaux de l’installation, proposer l’armoire électrique et enfin faire
l’estimation du cout du matériel. Ce récapitulatif nous ait donné par la figure suivante :
h′
Rapport de suspension (J) : J = h′ +h
(6)
Après calcul, la valeur de K est choisie parmi les dix valeurs normalisées (0,6 - 0,8 - 1 - 1,25 -
1,5 - 2 - 2,5 - 3 - 4 et 5) et deux valeurs pour J (0 et 1/3). Dans les calculs, si l'on obtient des
valeurs différentes, il faudra parfois interpoler.
Les caractéristiques du local : La détermination de ces facteurs nécessite la
connaissance des couleurs des parois. Ici, d’après le cahier de charge notre plafond
sera clair, les murs seront moyens et les plans utiles seront sombres. Les luminaires
seront encastrés dans le plafond (J = 0) Durant notre travail, nous allons utiliser le
tableau suivant :
Très clair Clair Moyen Sombre Nul
Plafond 8 7 5 3 0
Murs 7 5 3 1 0
Plan utile 3 3 1 1 3
L’éclairement, l’IRC (Indice de rendu des couleurs) et la température vont nous permettre de
déterminer le type de source, sa puissance, l’efficacité lumineuse et sa durée de vie. Le
tableau permettant de déterminera ces valeurs sera retenu comme annexe (annexe 6).
Les flux : Le flux lumineux noté F et s’exprime en lumen [lm] est de deux types :
Le flux d’une lampe qui sera déterminé connaissant son efficacité lumineuse Ɛ en
lumen par watt (lm/W) et sa puissance nominale P en Watt (W)
F= Ɛ.P (8)
Le flux lumineux F [lm] total de l’ensemble des lampes à installer dans le local :
𝐄.𝐒.𝐝
𝑭= (9)
𝛈.𝐔
𝐅
𝑵= 𝐟
(10)
Avec :
Pnom (11)
Pins =
ƞ
La puissance appelée est le produit de la puissance installée et les différents facteurs Ku,
Ks (il est appliqué à chaque récepteur et à un groupement de circuit) et Kr respectivement
facteur d’utilisation, de simultanéité et le coefficient de réserve (il ne sera ajouté qu’au niveau
des départs). Il varie généralement de 15 à 25%. Les valeurs attribuées à chaque coefficient
dépendent essentiellement des types d’installation. Le tableau permettant de déterminer ces
facteurs estretenu en annexe (annexe 7). La puissance appelée est donnée par la formule
suivante :
Les puissances actives et réactives appelées sont liées par l’expression ci-dessous :
Connaissant ces deux puissances, nous déterminerons la puissance apparente S qui est la
puissance du dimensionnement de notre installation. Elle est donnée par l’expression
suivante :
Connaissant Sapp et Papp, le facteur de puissance Cosφ de l’installation est donné par la
relation suivante :
Papp
Cosφ = Sapp (15)
Le tableau permettant de déterminer le facteur de puissance des récepteurs dans le cas général
est retenu en annexe (annexe 8).
À partir de la puissance à véhiculer dans le câble, on calcule le courant d’emploi Ib. Le guide
UTE C 15-105 décrit une méthode de détermination du courant maximal d’emploi qui
s’appuie sur la connaissance de la puissance du circuit d’utilisation.
Sapp
En monophasé : Ib = Avec :
(16)
U
Papp(tanφ−tanφ′ )
Récepteur triphasé couplé en Etoile : C= (18)
ωU2
Papp(tanφ−tanφ′ )
Récepteur triphasé couplé en triangle : C= (19)
3ωU2
Iz : Courant admissible en A,
Le tableau permettant de lire ces coefficients est retenu en annexe (Annexe 15).
Toutefois, le choix du jeu de barres se fera par lecture dans les abaques des constructeurs à
l’aide du courant d’emploi. Le courant d’emploi du jeu de barres dérivé est fonction du
nombre de départs associés. Puissance apportée par les composants.
Ie 2
Pd = Pn (Ith)
(23)
II. Éclairage
Que ce soit pour un bâtiment tertiaire, industriel ou résidentiel, l’éclairage joue un rôle
indispensable au quotidien: il contribue au confort des usagers, à la productivité des
employés, à l’amélioration de la performance et à la sécurité des utilisateurs. Sans compter
qu’il permet aussi de valoriser et de mettre en valeur les espaces et l’architecture du bâtiment.
Les disjoncteurs retenus pour ces différents appareils sont de type magnétothermique.
Partant de ces caractéristiques, on peut conclure que la protection des biens et des personnes
est assurée.
Dans ce tableau nous avons un sectionneur suivi de deux disjoncteurs principaux. Après
ces disjoncteurs, on retrouve les disjoncteurs de tête des circuits dérivés. Les dispositifs sont
montés sur des rails eux-mêmes montés sur le châssis de l’armoire. La figure retenue en
annexe (Annexe 17) nous donne une visualisation de ce tableau. On verra la disposition des
composants sur les rails. On retrouve également le rail réservé à l’extension ou l’ajout du
matériel. L’indice de protection est de 40. Elle est uniquement protégée contre les corps
solides supérieurs à 1 mm par conséquent l’armoire devra être placée dans un endroit sec c’est
à dire inaccessible au corps liquides.
Ouvrage :
Norme française NFC15-100, (Décembre 2002), Installation électrique à basse tension,
UTE, France, 503 pages ;
Schneider Electric, (2010), Guide de l’installation électrique 2010, Collection technique,
274 pages ;
Legrand, (2007), Guide puissance / 2007, 587 pages.
RGIE (Règlement Général sur les Installations Électriques), Edition 2013. Editeur
Kluwer, 25 pages ;
Deneyer, P. D’Herdt, Deroisy, Roisin, M. Bodart et J. Deltour ; Guide pratique et
technique de l’éclairage résidentiel, 62pages.
Article de journal :
Roger Cadiergues, le calcul des installations électriques d’éclairage 195 pages ;
Claude, Normes de sécurités des luminaires, 19pages ;
Mémento de schémas électriques, guide de schéma électrique, 53 pages.
Cours :
M. HOUOSSO CLEMENT, Support de cours GEL2, installation électrique IUT de
Ngaoundéré, 2020-2021 ;
M. HOUOSSO CLEMENT, Support de cours GEL2, régime de neutre et sécurité
électrique IUT de Ngaoundéré, 2020-2021.
0
ANNEXES
Annexe 1 : Les appareils d'une installation électrique
Les prises de
courant
Les interrupteurs
a
Redigé par ALLARASSEM NGARMADJI Apotre
ETUDE ET MISE EN CONFORMITE D’UNE INSTALLATION ELECTRIQUE DOMESTIQUE
Appareils
d’éclairage
TableauGeneral
Basse
Tension(TGBT)
Les appareils
Particuliers
b
Redigé par ALLARASSEM NGARMADJI Apotre
ETUDE ET MISE EN CONFORMITE D’UNE INSTALLATION ELECTRIQUE DOMESTIQUE
0
Le compteur
électrique
c
Redigé par ALLARASSEM NGARMADJI Apotre
ETUDE ET MISE EN CONFORMITE D’UNE INSTALLATION ELECTRIQUE DOMESTIQUE
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Annexe 2 : Classe de qualité d’un local