Vous êtes sur la page 1sur 1

Josette Pantin Catherine

 Vit au cours de la II guerre mondiale  Vit après la II guerre mondiale


 âgée de 16 ans, fille d’une couturière  Elle demeure avec sa nièce (fille de sa soeur aînée)
 elle n’a pas de certificat → (sans instruction)  une étudiante qui termine sa licence d’anglais. Elle donne des cours
 une figure d’enfant sous-alimenté, de grands yeux d’anglais → (avec une bonne instruction)
noirs et un air craintif  Elle ne restait jamais inactive, et donnait pourtant l’impre¬ssion d’être
 Elle regagna son cinquième en dansant. → toujours disponible, prête à chanter, à rire. Elle sem¬blait jouer toute la
(joyeuse, gaie) journée +
 Pour fêter l’embauche elle acheta deux tulipes  Catherine dansait, astiquait, chantait, frottait les casseroles, se mirait dedans
pour sa mère → (généreuse) et riait de se voir si belle en ce miroir +
 sa mise qui était vraiment déplorable +  On apercevait alors les deux patins de laine sur lesquels étaient posés ses
 le tricot rapiécé → (pauvre) deux pieds – Catherine encaustiquait le parquet → (travailleuse, gaie)
 en rougissant +  Catherine cuisinait fort bien→ (bonne cuisinière)
 Le petit visage de Josette se crispa; une larme Attitude envers Catherine
parut dans son œil → (timide, modeste)  Papa était aussi séduit par Catherine.
Attitude envers Josette  son maître, debout derrière elle, lui lisait un chapitre d’histoire naturelle
 essayait de ne pas grelotter  Maman ne pouvait plus se passer d’elle. Elle la consultait aux passages
 Elle lui adressa le mot désagréable difficiles de ses traductions.
 Elle pour la première fois, disposait d’un  Tous les soirs, après le dîner, Catherine s’installait à la table de la salle à
subalterne, elle en “profitait”( manger, et se plongeait dans les verbes irréguliers anglo-saxons. Pendant ce
temps, dans la cuisine, Maman repas¬sait le linge, Papa moulait le café, et je
lavais la vaisselle. Par une espèce de conspiration amicale, toute la famille
s’était mis en tête de décrocher la licence de Catherine. Elle n’était pas
tombée sur de mauvais patrons, notre nouvelle bonne!

→ On la maltraitait, exploitait → On la respectait, bientraitait.


économisait sur elle On se comportait avec elle comme avec l’égale.
On se comportait avec elle comme avec un esclave Tous voudrait l’aider dans les tâches ménagers et dans les études

Vous aimerez peut-être aussi