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DÉFINITION DE LA MATHÉMATIQUE FINANCIÈRE

Les mathématiques financières (aussi nommées finance quantitative) sont une branche des mathématiques
appliquées ayant pour but la modélisation, la quantification et la compréhension des phénomènes
régissant les opérations financières d'une certaine durée (emprunts et placements / investissements) et
notamment les marchés financiers. Elles font jouer le facteur temps et utilisent principalement des outils
issus de l'actualisation, de la théorie des probabilités, du calcul stochastique, des statistiques et du calcul
différentiel.

OBJECTIF DE LA MATHÉMATIQUE FINANCIÈRE

Les mathématiques financières sont une matière incontournable pour quiconque envisage un cursus
universitaire en finance. Vous l’avez compris, si vous envisagez de faire une carrière en finance, vous
serez obligés de passer par la case mathématiques financières. Et quand bien même vous ne souhaitez pas
travailler dans le monde de la finance, il faut savoir que c’est une matière qui est généralement étudiée
lors des années en tronc commun dans la plupart des grandes écoles de commerce.De par son intitulé, les
mathématiques financières peuvent effrayer ceux qui ne sont pas spécialement à l’aise avec les
mathématiques en général. C’est à ce moment que The Big Win se doit d’intervenir. En effet, les
mathématiques financières ne sont pas une matière foncièrement difficile à partir du moment où cette
dernière est enseignée de manière claire. La raison est simple : les mathématiques financières ne sont que
l’application bête et méchante de formules pour réaliser des calculs et / ou résoudre des problèmes.
Encore faut-il comprendre à quoi servent ces formules.

L’équipe The Big Win a décidé de rédiger un article complet sur les mathématiques financières afin de
proposer une vision simple et concise d’une matière qui ne doit plus être crainte par les étudiants, quelque
soit la formation suivie. Dans cet article, vous retrouverez les notions élémentaires expliquées de manière
à ce qu’elles soient compréhensibles de tous. En d’autres termes, c’est grâce à cet article que vous
comprendrez les tenants et les aboutissants des mathématiques financières.

OUTILS UTILISÉS

C’est une branche des maths appliquées.Le but de ces maths financières est de faire comprendre le
fonctionnement des marchés financiers et boursiers.Parmi les outils les plus utilisés, on retrouve les
probabilités, les statistiques, le calcul différentiel.

Toutes ces opérations de maths financières se rattachent à l’analyse des opérations de prêt et d’emprunt
dans un environnement précis : la grande caractéristique des cours boursiers et bancaires est qu’ils sont
très volatiles et il faut sans cesse prendre en considération les taux d’intérêt.

On le devine aisément, les maths financières ne sont pas nécessairement une partie de plaisir, sauf pour
celui qui aime manier les chiffres et les pourcentages. C'est pourquoi il est vivement recommandé de
prendre des cours de math dans ce domaine-ci.

FORMULES

Dans ce qui suit, les variables utilisées sont les suivantes :


− C0 : valeur initiale ou valeur actuelle

− Cn : valeur finale après n périodes, ou valeur future

− iN : taux d’intérêt nominal ou par année

− i : taux d’intérêt périodique exprimé en notation décimale

− n : nombre de périodes considérées

− Pmt : valeur de l’annuité (remboursement ou investissement)

− Sn : somme des valeurs capitalisées après n versements

− S0 : valeur initiale à investir pour obtenir une annuité de Pmt

La terminologie particulière est présentée en caractères italiques.

Capitalisation après 1 an: Cn=C0+i×C0

Intérêts simples annuels: IA=C0×i

Profit: Itotal=Cn−C0

Valeur finale (intérêts simples): Cn=C0+ (C0⋅i⋅n)

Taux de rendement (en pourcentage): Rendement=ProfitC0⋅100

Taux d’intérêt périodique: i=iNn

Formules pour un montant initial fixe et un intérêt composé

Valeur initiale: C0=Cn (1+i) n

Valeur finale: Cn=C0⋅ (1+i) n

Nombre de périodes: n=ln (CnC0) ln (1+i)

Taux d’intérêt: i=CnC0−−−√n –1

Formules pour une série de versements réguliers (Pmt) affectés d’un intérêt composé réinvesti à chaque
fin de période

Valeur initiale : S0=Pmt⋅(1 –(1+i)−ni)

Valeur finale : Sn=Pmt⋅((1+i)n –1i)

Nombre de périodes quand on connait la valeur actuelle : n=−ln(1 –S0Pmt⋅i)ln(1+i)

Nombre de périodes quand on connait la valeur finale : n=ln(1 +S0Pmt⋅i)ln(1+i)


Montant des paiements quand on connait la valeur actuelle (formule utilisée pour calculer les
remboursements réguliers Pmt d’une dette C0 :

Pmt=S0⋅ (i1 –(1+i)−n)

Montant des paiements quand on connait la valeur finale (formule utilisée pour calculer les dépôts
réguliers Pmt permettant de générer à terme un fonds Cn :

Pmt=Sn⋅(i(1+i)n −1)

CONCLUSION

Les marchés financier’s se prêtent naturellement à la construction de modèles mathématiques car ils
produisent des données numériques en grande masse. Au premier rang d’entre elles se trouvent les prix
des produits financiers, plus ou moins exotiques. Souvent, ces prix sont exprimés à partir de paramètres à
qui l’on donne un sens intuitif:

Les taux d’intérêt et taux de rendement;

Les probabilités de défaut;

La volatilité;

La volatilité de la volatilité;

Les diverses corrélations…

Quel que soit le modèle utilisé, le mécanisme de calcul du prix d’un produit financier, aussi appelé «
valorisation du produit », est toujours le même : (i) on postule un modèle ; (ii) on choisit les paramètres
d’entrée qui permettent au modèle d’être cohérent avec les prix des produits financiers cotés sur les
marchés ; cette étape constitue la calibration du modèle, les paramètres ainsi trouvés sont dits « implicites
» ; (iii) on utilise le modèle ainsi calibré pour calculer les prix des produits financiers non observables sur
les marchés.

Il est alors possible que les paramètres ainsi utilisés en entrée des modèles n’aient rien à voir avec les
données réelles ou économiquement anticipées. Ces paramètres intègrent souvent une prime de risque qui
conduira, par exemple, à des probabilités de défaut implicites supérieures aux probabilités de défaut
réellement anticipées. Les paramètres implicites et économiques ne pourront être comparés qu’à condition
que le modèle utilisé ait un minimum de sens économique et de cohérence avec la réalité…

L'ARTHMETIQUE COMMERCIALE

Définition

Deux effets sont équivalents, à une date donnée, si à cette date, ils ont des valeurs actuelles égales, si on
les escompte au même taux .Cette date est alors dite date d’équivalence.L’équivalence de deux effets peut
se rencontrer lorsqu’un débiteur demande à son créancier de proroger la date d’échéance d’un effet, de
modifier sa valeur nominale, ou de renouveler l’effet par la création d’un nouvel effet lorsque le premier
est impayé à l’échéance.
Donc les problèmes relatifs aux effets équivalents peuvent se ramener à 3 types suivant que l’on doit
calculer:

La valeur nominale de l’effet de remplacement

L’échéance de l’effet de remplacement

Le taux auquel on a calculé l’équivalence.

II. Calcul de la valeur nominalement

Science qui a pour objet l'étude de la formation des nombres, de leurs propriétés et des rapports qui
existent entre eux (théorie des opérations; les quatre opérations de l'arithmétique : addition, soustraction,
multiplication, division).

OUTILS

L'arithmétique est la branche des mathématiques qui étudie les nombres entiers naturels {\displaystyle (\
mathbb {N} )}{\displaystyle (\mathbb {N} )}, relatifs {\displaystyle (\mathbb {Z} )}{\displaystyle (\
mathbb {Z} )} et rationnels {\displaystyle (\mathbb {Q} )}{\displaystyle (\mathbb {Q} )}, voire réels {\
displaystyle (\mathbb {R} )}{\displaystyle (\mathbb {R} )}, ainsi que leurs relations et propriétés, en lien
avec quelques opérations élémentaires : addition (+), soustraction (−), multiplication (×), division (÷, /, ou
:), puissance et racine (√ ). Le terme inclut parfois d'autres concepts de la théorie des nombres.

RÉSUMÉ

Le module « arithmétique commerciale » a pour but de faciliter aux stagiaires l'assimilation de tous les
autres modules. Il se divise en six parties:

Une première partie qui traite les rapports et proportions, les grandeurs proportionnelles et le partage
proportionnel

DOCUMENTS COMMERCIAUX

I) Définition

II) On appelle document commercial tout document qu'une entreprise émet conformément aux
articles R. 123-237123−237 et R. 123-238123−238 du Code du Commerce.

OBJECTIF

Les documents commerciaux sont tous les documents qui jalonnent la relation commerciale que vous
avez avec vos clients. Leur objectif est de sécuriser vos transactions.

Il en existe de différentes sortes:


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Document commercial - Qu'est-ce que c'est, définition et concept

Document commercial - Qu'est-ce que c'est, définition et concept

Table des matières

Raisons d'utilisation et exigences d'un document commercial

Types de documents commerciaux

Exemples de document commercial

Un document commercial, ou document commercial, est un titre qui est délivré, par écrit, pour attester
d'une transaction commerciale ou commerciale effectuée entre deux parties.

Il s'agit donc de consigner par écrit ce qui s'est passé lors d'une opération. Dans ce document, le fait, les
conditions convenues et toute autre information d'intérêt seront exposés. Bien entendu, les informations
des pièces doivent apparaître clairement et en détail.

Devis ;

Factures ;

Bons de commande ;

Bons de livraison ;

Conditions générales de vente.

II) Factures
Faisant partie des documents commerciaux obligatoires, les factures ont une valeur commerciale,
comptable et juridique. Elles détaillent un achat / vente de produits ou de services en mentionnant leur
nature, leur quantité et les conditions de la transaction.

Toute structure juridique (association, société, etc.) peut éditer des factures. Les factures servent de
preuves en cas de contrôle par l'administration fiscale. Le contrôle en question peut avoir lieu durant le
délai légal de conservation des factures (uniquement dans leur forme originale) qui est de 66 ans.

Les factures sont également des pièces comptables qui ouvrent droit à une réduction de TVA.

III) Devis

Le devis est édité par le professionnel avant la conclusion de la transaction avec un client. Il comporte les
informations concernant l'offre, particulièrement le prix.

Utilisé essentiellement dans le cadre d'une prestation de services, ce document commercial vaut offre de
contrat. Sa signature par le client implique l'accord de ce dernier concernant les conditions mentionnées.

Le devis sécurise la relation commerciale en servant de preuve en cas de litiges au moment de régler la
facture. C'est également un gage de sérieux pour le prestataire. Enfin, il relève d'une obligation légale
d'informations précontractuelles avec diverses mentions obligatoires.

IV) Bons de commande

Le bon de commande est un document commercial non-obligatoire. Utilisé lors d'une vente de biens en
dehors des transactions électroniques, ce document est établi par le vendeur et signé par l'acheteur. Dès la
signature du bon de commande, le vendeur est légalement tenu de livrer la marchandise. L'acheteur quant
à lui, doit réceptionner la marchandise et en régler le prix.

Le bon de commande comporte diverses mentions obligatoires:

Numéro et date;

Identité de l'entreprise vendeuse;

Identité du client acheteur;

Les éléments d'informations précontractuelles pour un client consommateur;

Les mentions obligatoires propres aux conditions générales de vente pour un client professionnel.

Quels qu'ils soient, au-delà de leur utilité fiscale, les documents commerciaux servent de preuve en cas de
litige. Les différentes informations obligatoires mentionnées (date, adresse du client, etc.) sont cruciales
pour la traçabilité des transactions.

CONCLUSION

Le secteur du commerce joue un rôle central dans l’économie tant par sa contribution à l’emploi que par
son poids dans la valeur ajoutée. Cependant, à l’exception de quelques remarquables essais publiés au
début des années 80 (Messerlin, 1982 ; Lepage, 1982), ce secteur a été relativement peu étudié par les
économistes. En effet, si le marketing ou encore le management de la grande distribution ont su acquérir
une réelle visibilité en tant que discipline ou champs d’analyse autonome, il semble pour le moins
incongru parfois de parler « d’économie de la distribution ». À l’heure actuelle, ce champs d’études et de
recherches ne parvient à regrouper, en économie, que quelques travaux épars qui s’intéressent
prioritairement aux conséquences de la réglementation (Boylaud et Nicoletti, 2001 ; Bertrand et Kramarz,
2002) ou plus récemment à la régulation des relations entre fournisseurs et distributeurs (Rey et Tirole,
2000 ; Allain et Chambolle, 2003). La question de l’innovation dans le commerce est quant à elle
systématiquement absente des débats. Elle n’a donné lieu qu’à très peu de travaux et publications.

Une telle méconnaissance de l’innovation dans le commerce n’est finalement pas étrangère au système de
représentation théorique mais également profane, encore dominant, qui produit l’image d’une structure
économique centrée sur l’industrie et la production matérielle et qui relègue les services et les fonctions
de service à la périphérie, dans le monde improductif. On retrouve bien ici l’idée que le commerce et plus
spécifiquement les acteurs du commerce seraient des « …

COMPTABILITÉ GÉNÉRALE

La comptabilité générale se définit comme le traitement des flux financiers en provenance et à destination
de l’entreprise, en données exploitables. Une fois centralisées dans un logiciel de gestion, les données
financières apportent de la visibilité sur l’activité et l’état de santé de l’entreprise.La comptabilité
générale se définit comme le suivi financier d’une entreprise. Toutes les organisations ont pour obligation
de renseigner par date et par nature, les flux entrants et sortants de l’entreprise. Composée de règles
strictes, la comptabilité générale doit être renseignée suivant les normes fixées légalement par le code du
commerce. Sa forme est également très encadrée et doit suivre une nomenclature inscrite dans le plan
comptable général (PCG).

OBJECTIF

La comptabilité joue un rôle stratégique dans la gestion de l’entreprise. Elle donne des indications sur la
stabilité financière de l’entreprise: trésorerie, bénéfice ou perte, capacité d’investissement, etc.

La comptabilité générale permet également de dresser la comptabilité analytique de l’entreprise.

Cette dernière a pour but d’analyser l’activité financière en profondeur et par poste de dépense.

Avec son orientation stratégique, la comptabilité analytique permet aux dirigeants d’entreprises et aux
experts-comptables d’étudier l’ensemble des dépenses par produit/activité et de prendre des décisions
précises.

CONCLUSION

La comptabilité se doit de refléter la situation économique des entreprises en prenant en compte


l’environnement financier dans lequel elles évoluent. Le monde économique, comme celui de la finance,
change rapidement. Le PCG 82 qui reste la base sur laquelle repose l’information comptable en est donc à
son troisième toilettage (1999, 2005, 2014). La comptabilité est tout sauf une techno-science figée.
La comptabilité d'entreprise est un outil d'évaluation recensant et communiquant des informations sur :
l'activité économique d'une entité économique de type entreprise ; ainsi que sur les éléments de son
patrimoine incorporel (fonds de commerce par exemple), matériel et financier.

OBJECTIF

La comptabilité permet de disposer d'une trace de tous les événements économiques réalisés par une
entreprise. Les états financiers sont établis périodiquement, de façon à disposer d'une synthèse à une date
et sur une période donnée.

OUTILS

6 outils de comptabilité en ligne

Sage Bob. Conçu pour que les PME, les commerçants et les artisans puissent gérer facilement leur
comptabilité dans le cloud et collaborer avec leur comptable. ...

Winbooks. ...

Horus. ...

Odoo. ...

Rydoo (anciennement Xpenditure) ...

Onexpense. ...

Mooncard. ...

Odoo expenses.

CONCLUSION

Ainsi, entre construction et représentations du Monde, la comptabilité semble poursuivre une quête de
sens constamment renouvelée et par suite toujours inachevée. Autrement dit, loin de se définir comme
une nomenclature figée d’items chiffrables et de règles normatives intangibles, elle se comprend comme
l’image changeante, socialement construite et inscrite, d’organisations infiniment variées et variables dans
leurs formes et leurs finalités. En cela, elle constitue une source inépuisable de questionnements et donc
de recherches, ainsi qu’en a fondamentalement témoigné chacun des chapitres de l’ouvrage. Un vaste
spectre de questions scientifiques se dessine alors, ou se confirme, entre, et pour simplifier, numérisation
« profonde » des données et représentations comptables d’une part et, d’autre part, quête des sources,
formes, et limites comptables de la valeur, entendue dans une perspective sociétale. Si la comptabilité
parvenait en effet à figurer et communiquer la complexité du monde, elle pourrait et devrait aussi en
orienter le changement, et lui conférant un sens commun. Réciproquement, le monde garderait ainsi la
capacité de rester maître de ses propres représentations comptables, et des significations qu’elles
propagent.

Au plan immédiat de la diffusion des techniques numériques, l’interrogation renvoie au foisonnement des
images, en l’occurrence celles des organisations, en l’occurrence considérées comme réductibles à un
hypothétique statut d’objets connectés. Pour certains, il s’agirait ainsi de préparer et légitimer
implicitement une simplification réductionniste, et bientôt purement normative, des représentations
associées, à commencer bien sûr par celles d’ordre comptable…

COMPTABILITÉ ANALYTIQUE

La comptabilité analytique est une discipline particulière qui prend ses sources dans la comptabilité
générale. Elle permet de procéder au calcul de différents coûts (coûts complets, coûts partiels) et
constitue, à ce titre, un véritable outil de gestion et de pilotage de l'entreprise.

OBJECTIF

Le principal objectif de la comptabilité analytique consiste à dispenser au chef d'entreprise tous les
éléments nécessaires pour étudier les dépenses engagées et la rentabilité sur base de données financières
pertinentes.

OUTILS

Les méthodes de comptabilité analytique. Il existe différentes méthodes permettant le calcul des coûts en
comptabilité analytique dont les principales sont : la méthode des coûts complets, la méthode des coûts
directs, la méthode des coûts standards, la méthode des coûts variables et la méthode ABC.

FORMULES

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Comptabilité Analyse comptable et financière

La détermination des coûts en comptabilité

SOMMAIRE

LA DETERMINATION DES COUTS : LES DIFFERENTS TYPES DE COUTS

LA DETERMINATION DES COUTS : LES DIFFERENTS TYPES DE CHARGES A INCORPORER

LA DETERMINATION DES COUTS : LES CALCULS

LA DETERMINATION DES COUTS : LES DIFFERENTES METHODES

La détermination des coûts est une étape très importante afin de fixer le prix de vente le plus adéquat. Les
coûts sont donc des éléments primordiaux en comptabilité. Un coût est composé d’un ensemble de
charges relatives à l’entreprise et son activité. La détermination des coûts peut paraître complexe.

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La détermination des coûts en comptabilité

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LA DETERMINATION DES COUTS : LES DIFFERENTS TYPES DE COUTS


Afin de réaliser la détermination des coûts d’une entreprise, il faut d’abord savoir de quoi il s’agit. Il
existe en effet plusieurs types de coûts :

le coût d’achat, parfois appelé coût d’approvisionnement, déterminé par le prix d’achats et les frais
supplémentaires

le coût de production, déterminé par les charges directes de production comme le prix des matières
premières et charges indirectes

le coût de distribution, qui comportent le prix des activités annexes, de gestion des stocks et de transport

et enfin, le coût de revient qui regroupe tous les coûts cités ci-dessus

LA DETERMINATION DES COUTS : LES DIFFERENTS TYPES DE CHARGES A INCORPORER

Pour la détermination des coûts, il faut prendre en compte les différentes charges à incorporer. Les
charges se décomposent en charges variables, qui varient selon le niveau de chiffre d’affaires, et les
charges fixes, qui restent les mêmes quelque soit le niveau de chiffre d’affaires.

Lors de la détermination des coûts, il faut également prendre en compte que les charges peuvent être
directes, donc directement imputables aux coûts, ou indirectes et nécessitant des calculs préalables.

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LA DETERMINATION DES COUTS : LES CALCULS

La détermination des coûts nécessite la réalisation de calculs préalables :

Coût de revient = coût d’achat + coût de production + coût de distribution

Coût d’achat = prix d’achat + frais d’achat + charges d’approvisionnement

Coût de production = coût des matières première + charges liées à la production

Coût de distribution = charges de distribution + charges d’adminis

CONCLUSION

Une comptabilité analytique conforme au fonctionnement de votre entreprise. La comptabilité analytique


n'est aucunement obligatoire pour les entreprises qui ont déjà une comptabilité générale. Elle reste une
discipline qui permet de procéder au calcul de différents coûts.

FISCALITE

Définition de la fiscalité : il s'agit de l'ensemble de règles et de lois qui constitue le cadre fiscal d'un État.
La fiscalité s'apparente à des pratiques utilisées par l'État pour percevoir des impôts. Elle joue un rôle
déterminant dans le fonctionnement économique d'un pays, mais aussi dans la vie de ses
résidents.éfinition de la fiscalité : il s'agit de l'ensemble de règles et de lois qui constitue le cadre fiscal
d'un État. La fiscalité s'apparente à des pratiques utilisées par l'État pour percevoir des impôts. Elle joue
un rôle déterminant dans le fonctionnement économique d'un pays, mais aussi dans la vie de ses résidents.

OBJECTIF

Le premier objectif d'un régime fiscal est de prélever des revenus suffisants et stables afin que le
gouvernement finance les dépenses budgétaires. Par ailleurs, dans l'élaboration de la politique fiscale,
plusieurs autres objectifs peuvent également être pris en compte.

OUTILS

Les chiffres utiles intègrent les barèmes plafonds ainsi que les seuils fiscaux constamment mis à jour.

L’agenda fiscal permet de connaître les obligations déclaratives auxquelles les particuliers et les
entreprises sont soumis.

Un suivi législatif s’appuyant sur la documentation produite par l’exécutif et le Parlement. Celle-ci est
attachée aux projets de loi, des rapports de commissions, des amendements adoptés ou rejetés et aux
textes de loi définitifs.

Un onglet spécifique axé sur le contrôle et le contentieux fiscal. Celui-ci survient en cas de contestation
d’un redressement. En outre, vous trouverez toute l'information utile relative à l'abus de droit fiscal

FORMULES

Le résultat fiscal est le montant du résultat de l'entreprise (bénéfice ou perte) utilisé pour calculer ses
impôts. Le résultat fiscal s'obtient à partir du résultat comptable :résultat fiscal = résultat comptable +
réintégrations - déductions

Résultat Comptable = Produits - Charges

Résultat Fiscal = Résultat Courant avant Impôts et Participation+ Réintégrations (charges non
déductibles)- Déductions (produits non imposables)

ANALYSE FINANCIÈRE

Def:L'analyse financière est l'activité qui permet de fournir des vues globales et granulaires des données
financières d'une entreprise, contribuant ainsi à améliorer ses performances commerciales. Les
perspectives prédictives, fondées sur les données, aident votre équipe du début à la fin.

Les objectifs de l'analyse financière

L'analyse financière permet d'émettre un avis, positif ou négatif, sur la santé financière d'une société. Elle
est utilisée en interne pour améliorer les performances financières d'une entreprise.

OUTILS

5 outils pour analyser la performance financière de votre...

Ratios de liquidité ...


Ratios de rentabilité ...

Ratios de levier financier. ...

Ratios de gestion. ...

ROI, ROE et EVA: des indicateurs pour calculer la performance financière.

Formules principaux

Marge nette = Résultat net / Chiffre d'affaires. Rentabilité des actifs = Résultat net / Total actifs.
Rentabilité des capitaux propres = Résultat net / Capitaux propres. Rentabilité des capitaux investis =
[Résultat d'exploitation * (1 – taux d'imposition)] / [Total actifs – Passifs courants].

Conclusion

La conclusion de cette analyse se matérialise par une vision très claire de la solvabilité de l'entreprise, de
sa rentabilité et de ses perspectives.

GESTION FINANCIÈRE À LONG TERME

La gestion financière à long terme est constituée des décisions relatives à l'allocation et à la recherche des
ressources stables, en fonction du plan stratégique et du plan de financement qui en découle.

Objectif

L' objectif principal de la gestion financière des entreprises est d'augmenter la valeur actionnaire. Il aide
les dirigeants à équilibrer le financement du capital entre les investissements dans le projet et la durabilité
à long terme d'une entreprise.

Outils

Top 5 des meilleurs logiciels de gestion financière en 2023?

Workday: une architecture 100 % Cloud.

Sage Intacct: le logiciel de gestion multifonctions.

Synder: le plus d'options d'intégrations.

LeanPay: un suivi de KPIs en temps réel.

Anaplan: le meilleur outil de planification.

Conclusion

In fine, Ce qui provoque la faillite d'une entreprise et sa disparition, c'est l'impossibilité dans laquelle elle
se trouve un jour de faire face à ses engagements financiers. Celle-ci intervient quand la firme n'a plus
suffisamment de ressources pour faire face à ses besoins et qu'elle ne parvient plus à en trouver. Mais on
n'en arrive pas à une telle extrémité de façon mécanique par une sorte de fatalité. Dans la plupart des cas,
la faillite est l'aboutissement d'un processus qui trouve sa source dans l'inadéquation entre les aspects
stratégiques et les enjeux financiers. Une façon de réconcilier les deux domaines et d'éviter les échecs
consiste à promouvoir la « gestion par la valeur ».

Les problèmes financiers et leurs conséquences ne se voient pas toujours prêter l'attention qu'ils méritent
dans les procédures de gestion. Le plus souvent, la raison en est une simple méconnaissance d'un domaine
dont la forte cohérence interne et le caractère rigoureux peuvent rebuter. Or, s'il est vrai que
l'instrumentation des concepts financiers restera durablement un travail de spécialiste, la connaissance et
la compréhension de ces concepts sont accessibles à tous et les décideurs n'ont strictement aucune excuse
pour les méconnaître. Il faut lutter contre la pratique répandue qui consiste à traduire les contraintes
financières sous la forme de normes atemporelles et intangibles. La matière financière n'est pas une
simple technique de représentation de la réalité, elle est une matière vivante qui a la capacité d'agir sur la
réalité.

GESTION BUDGÉTAIRE

Qu'est-ce qu'on entend par la gestion budgétaire?

La gestion budgétaire utilise des données d'entrée sur vos ventes pour estimer les quantités à produire, les
charges et les moyens nécessaires à celles-ci. Vous pouvez ainsi déterminer votre politique de stockage et
élaborer un plan d'investissement pour prévoir le financement des moyens.

OBJECTIF

La gestion budgétaire a pour but d'établir les charges et les résultats que génèrent un exercice. L'objectif
étant de gérer l'activité, d'anticiper les risques et de prendre des bonnes décisions.

Formule

Ex : Pour une activité de 5 000 UO, le coût budgété de ce centre d'élèveà : (4 * 5 000) + 8 400 = 28 400€
(soit 20 000 € de charges variables et 8 400 € de charges fixes).10 avr. 2023

Outils

Avoir ses outils de pilotage budgétaire

Le PCGA. Il s'agit d'un document qui sert de référence pour l'enregistrement des différentes opérations
comptables de l'association. ...

La comptabilité analytique. ...

Le budget prévisionnel et le plan de trésorerie. ...

Le budget projeté/réalisé

Conclusion

Le contrôle budgétaire est un outil de gestion apparu dans la mouvance taylorienne des années vingt. Il
s'est développé dans un environnement peu turbulent et dans un contexte social assez particulier. C'est
aujourd'hui une pratique de gestion qui s'exerce selon des modalités très différentes selon les entreprises,
sans toutefois que les conditions de son application soient toujours bien comprises, ni même connues. On
ne peut donc être surpris des critiques qui lui sont adressées et que nous avons largement développées :
difficulté à décliner la stratégie, langage exclusivement financier, faible contrôlabilité...

En outre, il semble qu'il n'existe pas un système de contrôle budgétaire unique et valable pour toutes les
entreprises. Plusieurs modèles, correspondant à des conditions d'activité très différentes, peuvent
coexister. L'important pour ces systèmes est d'être en phase avec le style de management qui prévaut dans
l'entreprise. Celui-ci est fonction d'un grand nombre de variables parmi lesquelles la stratégie,
l'organisation et la structuration de l'entreprise, le style de management, le type de processus
technologique ou encore l'environnement. Ces variables ne sont d'ailleurs pas indépendantes les unes des
autres mais se définissent de façon systémique. Cela renforce l'idée selon laquelle, plus que le contrôle
budgétaire lui-même, c'est la façon dont il s'intègre à l'entreprise qui est pertinente pour analyser son
fonctionnement. La mise au jour d'idéaux-types de contrôle budgétaire permet de définir des modèles
faisant juste appel à un nombre limité de fonctions propres à chaque cas, et ainsi d'éviter les conflits de
rôles qui nuisent au bon fonctionnement des budgets…

COMPTABILITÉ NATIONALE

La comptabilité nationale a un but descriptif : elle rassemble dans un cadre comptable cohérent toutes les
opérations effectuées par les agents d'une écono- mie nationale au cours d'une année, en vue de connaître
et de synthétiser (par exemple, à travers l'élaboration des agrégats) la situation de cette économie.

Objectif

La comptabilité nationale permet de définir les différents agents économiques, leurs ressources et les
emplois qu'ils en font, ainsi que les échanges qu'ils effectuent entre eux. L'ensemble de ces opérations
révèle les interdépendances et les relations entre les unités économiques (ménages, entreprises, etc.)

Outils

La comptabilité nationale ne représente que les flux monétaires. -Les 3 outils permettant de calculer le
PIB sont représentés : la production, le revenu et les dépenses.

Formule

la demande : PIB = CF + FBCF + ( X - M ), avec CF la consommation finale, FBCF la formation brute de


capital fixe (l'investissement), X les exportations et M les importations.

Conclusion

La comptabilité nationale est une représentation schématique et quantifiée de l'activité économique d'un
pays. Elle consiste en une mesure des flux monétaires représentatifs de l'économie d'un pays pendant une
période donnée, en principe une année, et les regroupe dans des totaux nommés agrégats, dans un but
analytique direct. La comptabilité nationale prend en compte de nombreux indicateurs
macroéconomiques, dont le plus important est le PIB (produit intérieur brut), qui correspond à la somme
des valeurs ajoutées — auxquels il faut ajouter les impôts nets des subventions sur les produits — des
biens et services produits dans un pays donné au cours d'une année. La comptabilité nationale prend en
compte de nombreuses informations, contenues dans les documents comptables des entreprises d'une part,
mais aussi dans les rapports des institutions administratives. La comptabilité nationale classe ainsi les
différents agents économiques en catégories, les secteurs institutionnels, afin de recenser au mieux les
différentes informations relatives à l'économie.

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