Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Seminaire
Seminaire
international et
contentieux
international
Oumayma Marouen
M2 recherche droit public
Problématique Est-ce contentieux international et procès international sont des
expressions synonymes ?
Plan
Page | 1
Introduction :
1
SALMON J. (Dir.), Dictionnaire de droit international public, Bruxelles, Bruylant, 2001, p. 248
Page | 2
Donc on va référer au procès international en tant que la procédure utilisée pour
résoudre les différends entre sujets de droit international.
Il s’avère donc qu’un différend est obligatoire pour qu’on peut parler d’un contentieux
international ou/et d’un procès international.
Selon Carlo Santulli Un différend naît dès lors que la prétention d’une partie est
contestée par l’autre2 mais la définition la plus fiable reste celle de la Cour
permanente de Justice internationale.
L’intérêt de l’étude
Historiquement
Théoriquement
2
SANTULLI C., Droit du contentieux international, Paris, LGDJ, Collection : Domat Droit public, 2015, p. 19
3
CPJI, Concessions Mavrommatis en Palestine, arrêt (exception d’incompétence), 30 août 1924, Série A,
p. 11.
4
Exemple: Convention de la Haye du 18 octobre 1907
Page | 3
Le sujet "Le Procès International et le Contentieux International" revêt un intérêt
théorique majeur en explorant les fondements conceptuels qui sous-tendent ces
mécanismes juridiques cruciaux.
Cette exploration permet une réflexion critique sur l'équilibre entre diplomatie et
justice, ainsi que sur l'efficacité des mécanismes alternatifs tels que la médiation.
En résumé, le sujet offre une plateforme théorique essentielle pour comprendre les
dynamiques complexes des relations internationales et pour envisager des
améliorations dans les mécanismes juridiques internationaux afin de répondre aux
défis contemporains.
Pratiquement
Il existe aujourd’hui une confusion et utilisation faussée des deux termes à savoir « le
contentieux international » et « le procès international ».
Les deux termes sont souvent utilisés dans des contextes similaires, mais leurs
implications légales et procédurales peuvent varier considérablement.
Cependant nous en tant que juristes Il est essentiel de reconnaître cette distinction
pour garantir une communication précise dans le domaine du droit international et
pour éviter des interprétations incorrectes
Page | 4
Pour répondre à cette problématique, une analyse comparative doit être faite afin de
démonter qu’il y ait en fait des points de convergence sur le plan institutionnel entre
procès international et contentieux international (I) cependant il en existe des points
de divergence qui interdisent l’utilisation synonyme de ces deux termes sur le plan
matériel (II).
Ces institutions sont tenues de respecter des règles procédurales, assurant une
résolution équitable des différends internationaux.
1-Diversité d’institutions :
-Des juristes, tels que représenté en particulier par Maurice Hauriou 5en France et
par Santi Romano 6en Italie., ont développé la doctrine de l'institutionnalisme
juridique, en insistant sur l'impératif de créer des institutions et organes juridiques
5
Millard Éric. Hauriou et la théorie de l'institution. In : Droit et société, n°30-31, 1995. L'environnement et le
droit. pp. 381-412.
6
ALVAZZI DEL FRATE, P. (2012). L’institutionnalisme juridique dans la doctrine italienne du XXe siècle :
considérations sur l’institutionnalisme de Santi Romano. REVUE D'HISTOIRE DES FACULTÉS DE DROIT ET DE LA
SCIENCE JURIDIQUE, 32, 389-396.
Page | 5
formels en tant que pierre angulaire assurant la stabilité et la prévisibilité dans le
domaine du droit international. Ces institutions fournissent un cadre structurel
consacré à la résolution des différends, contribuant ainsi à l'ordre et à la légitimité
dans le contexte légal international.
-La pensée d’institutionnalisme britannique, illustrée par des penseurs tels que Martin
Wight, Hedley Bull, David Mitrany, prévoit que la mise en place d'institutions pour
structurer les rapports entre États est un moyen de prévenir les conflits. Elle soutient
que l'institutionnalisation offre des mécanismes formels permettant une résolution
pacifique des désaccords.7
Exemples :
Tribunal Pénal International (TPI) : créé par le biais d'un traité. Le Statut de
Rome, signé en 1998.
Tribunal international du droit de la mer (TIDM) : Le TIDM est créé par la
Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, adoptée en 1982.
-Il existe aussi des créations par des résolution d’OI : juridiction imposée par une
résolution. Cela pose d’ailleurs un problème de légitimité de l’organisation.
7
Battistella, D., Cornut, J. & Baranets, É. (2019). Chapitre 1. Théorie et relations internationales. Dans : , D.
Battistella, J. Cornut & É. Baranets (Dir), Théories des relations internationales (pp. 9-48). Paris: Presses de
Sciences Po. https://doi.org/10.3917/scpo.batti.2019.01.0009
Page | 6
- ces institutions peuvent être des juridictions ou encore d’autres formes tels que
l’institution de conciliation.
Rubrique critique
8
Sorel, J. (2011). Les tribunaux pénaux internationaux : Ombre et lumière d'une récente grande ambition.
Revue Tiers Monde, 205, 29-46. https://doi.org/10.
3917/rtm.205.0029
Page | 7
On est droit de penser que la Juridiction n’est pas forcément un progrès du droit.
Doyen Carbonnier : la Juridiction c’est la pathologie du Droit » 9. C’est bien d’avoir
une juridiction mais si elle fonctionne c’est que le droit est malade. Ex : L’OMC a fêté
plus 500 requêtes : multiplication des différends, c’est bien que le droit malade. C’est
l’agencement des accords commerciaux qui crée les différends.
Ces principes englobent des règles de procédure qui guident le déroulement des
litiges internationaux. Ils comprennent des garanties telles que le droit à une
audience équitable, être jugé sans retard excessif, l'accès à une défense adéquate,
et la transparence des procédures. Ces principes sont inscrits dans des conventions
internationales :
Exemples :
Page | 8
L’affaire Lubanga (2006), où la CPI a jugé son premier accusé, ont contribué
à établir des précédents sur les normes de preuve, le droit à un procès
équitable et la protection des droits des accusés.
-Il faut rappeler à ce niveau que jusqu’à la moitié du XX e siècle, le recours à la force
armée était le mode le plus utilisé pour régler un différend.
Page | 9
Comme on a précisé antérieurement, le différend international selon les termes de la
CIJ est « un désaccord sur un point de droit ou de fait, une contradiction, une
opposition de thèse juridique ou d’intérêt entre deux Etats, la divergence d’opinion se
manifeste dès que l’un des gouvernements en cause constate que l’attitude
conservée par l’autre est contraire à la manière de voir du premier »
En effet, la tension internationale est souvent diffusée, car les points de désaccord
ne sont pas clairement définis. Il s'agit d'un phénomène principalement politique.
L'objet de la "tension internationale" est mal défini et est constamment en quête d'un
nouvel équilibre. En effet, la tension internationale vise à transformer les relations de
puissance dans le but d'instaurer un nouvel équilibre qui demeure toujours précaire
dans les relations entre États, comme en témoigne la tension entre les blocs Est et
Ouest pendant la guerre froide.
On parle dans le cadre de notre étude d’un différend d’ordre juridique et non pas un
différend d’ordre politique.
Page | 10
D’après cette définition, un différend juridique est celui qui est relatif à un droit,
susceptible d’une solution par l’application des règles de droit international mais
surtout qu’il n’affecte pas les intérêts vitaux des Etats.
À cette époque, le recours à la force armée était la méthode ultime de sanction pour
régler les litiges internationaux, la solidarité entre les États ne suffisant pas à créer
un mécanisme plus efficace pour le règlement pacifique des différends politiques
internationaux.
La Cour internationale de justice estime que tout différend international peut revêtir à
la fois un caractère juridique et politique, mais qu'elle se prononcera, si elle est
saisie, exclusivement sur l'aspect juridique.
La Cour a rejeté ce motif, car celle-ci, «ne s’est jamais dérobée devant l’examen
d’une affaire pour la simple raison qu’elle avait des implications politiques ou
comportait de sérieux éléments d’emploi de la force ».
Page | 11
La Cour n’accorde pas une importance si le Conseil de sécurité, serait parallèlement
saisi de l’affaire. C’est aussi le cas, par exemple, dans l’affaire de Lockerbie (Libye
c/ Etats Unis, Libye c/ R.S) en 1992 et en 1998.
Page | 12
juridictionnelle de règlement du différend, avec des règles et des normes spécifiques
qui guident la procédure.
En plus une étape du consentement : il faut être d’accord pour qu’un tribunal
international se saisisse de l’affaire, mais une fois la compétence d’un tribunal
acceptée, alors la procédure prend son cours et l’arrêt rendu est contraignant pour
les États en cause.
10
On va citer cet exemple en raison de son pertinence mais il convient de préciser que ce n’est pas le seul
organe auprès duquel on peut intenter un procès ,déjà comme on a expliquez dans la première partie , il y a
diversification de ces organes.
Page | 13
Il existe plusieurs juridictions spécialisées dont les compétences sont restreintes :
- La Cour internationale de Justice (CIJ) est composée de quinze juges élus par
l'Assemblée générale et le Conseil de sécurité. Leur élection se fait par vote à la
majorité absolue pour un mandat de neuf ans, renouvelable par tiers tous les trois
ans. Les juges, indépendants de leur nationalité, sont choisis parmi des
personnalités jouissant d'une haute considération morale et possédant les
qualifications requises en droit international. Ils bénéficient d'irrévocabilité, de
privilèges, et d'immunités pour assurer leur indépendance. La possibilité de désigner
des juges ad hoc, en l'absence d'un juge de la nationalité d'une partie, apporte de la
souplesse au processus, garantissant la prise en compte de différents points de vue.
-La Cour internationale de Justice (CIJ) exerce une double compétence, à la fois
contentieuse et consultative.
11
Tels que prévu par l'article 92 de la Charte des Nations unies : « La Cour internationale de Justice constitue
l'organe judiciaire principal des Nations unies. »
Page | 14
notable est l'avis de la Cour sur la déclaration d'indépendance unilatérale du
Kosovo en 2010.
Pour aller plus loin voir :la fiche 42 et 43 du Martin-Bidou, P. (2017). Fiches de Droit
international public : Rappels de cours et exercices corrigés. Ellipses.12
2- L’arbitrage
-Sa naissance remonte aux rapports entre les cités grecques (par exemple : Traité
de paix entre Lacédémone et Argos de 418-avant JC), L’Arabie préislamique a
également connu un système d’arbitrage très élaboré (le Hakam).
Page | 15
collégiale indépendante. Le procédé sera ensuite réaffirmé par la première
convention de La Haye de1907, ainsi que par l'Acte général d'Arbitrage adopté
par l'Assemblée générale de la SDN, le 26 septembre 1928 et l'article 33 de la
Charte des Nations unies.
-Après l'apparition d'un différend, les parties ont la possibilité de choisir l'arbitrage
comme moyen de le résoudre. Elles formalisent cette décision en concluant un
compromis d'arbitrage, un traité détaillant l'objet du litige, l'organisation de l'organe
arbitral, la nomination des arbitres, ainsi que les règles de procédure et de fond à
suivre. C'est à travers ce compromis que les parties soumettent leur différend à
l'organe arbitral.
-Les États peuvent également anticiper le recours à l'arbitrage pour des litiges
éventuels à venir en incluant une clause compromissoire dans un traité. Cette
clause, qui constitue la disposition finale du traité, stipule que tout litige concernant
l'application ou l'interprétation du traité sera soumis à l'arbitrage.
-De plus, les États peuvent manifester leur consentement au recours à l'arbitrage
dans un traité d'arbitrage obligatoire, exclusivement dédié à l'utilisation de l'arbitrage
en cas de différend entre les États parties. Cette pratique était particulièrement
répandue entre les deux guerres, avec l'adoption de traités bilatéraux d'arbitrage et
de conciliation, ainsi que de traités multilatéraux comme l'Acte général d'arbitrage
du 26 septembre 1928.
Page | 16
le principe avait été accepté dans la clause compromissoire ou le traité
d'arbitrage initial.
Pour aller plus loin vous pouvez consulter : la fiche 41 du Martin-Bidou, P. (2017).
Fiches de Droit international public : Rappels de cours et exercices corrigés.
Ellipses.13
-Le droit international offre aux Etats une grande latitude pour recourir aux moyens
appropriés afin de régler leurs différends. Le principe en la matière étant le principe
de la liberté de choix des moyens comme l’annonce la Déclaration 2625 : « Les
différends internationaux doivent être réglés sur la base du libre choix des moyens ».
En plus L’article 33 de la CNU dresse une liste non limitative de moyens pour régler
pacifiquement les différends entre Etats. C’est l’expression même de la volonté
étatique.
Page | 17
-En optant pour des mécanismes de règlement politique, il devient envisageable de
traiter le différend dans son intégralité, englobant ainsi ses dimensions politique,
psychologique, financière, etc. Ce choix permet d'aborder tous les aspects du conflit,
d'exprimer librement toutes les préoccupations et de parvenir à un accord global.
Dans la phase actuelle de son évolution, la communauté internationale ne peut pas
imposer l'obligation d'une résolution effective des différends entre les parties.
-Ces modes, tels que la médiation, les bons offices, la conciliation, ou l'enquête , sont
flexibles, faisant appel au droit et à l'équité, et peuvent se conclure par une
transaction sans se conformer à une règle de droit spécifique.
- Les parties ont un contrôle total sur le processus et peuvent choisir librement le
mode de règlement, avec ou sans l'intervention d'un tiers. La solution retenue ne
devient obligatoire que si les deux parties l'acceptent, soit unilatéralement, soit par la
conclusion d'un accord les entérinant.
-Ces modes sont appréciés pour leur souplesse, et bien qu'ils puissent suffire à
résoudre un différend, ils peuvent également être suivis d'une procédure
juridictionnelle si les parties le décident, ce qui les rend adaptés à des différends de
nature diverse, allant des mineurs aux politiquement importants où les parties
souhaitent maintenir un contrôle significatif.
Page | 18
La médiation : Selon les articles 2 et 4 de la Convention de la Haye, la
médiation est l’action d’un ou plusieurs Etats tiers, d’une organisation
internationale ou d’une personnalité privée, à la demande des parties,
cherchant à les rapprocher et préparer un arrangement à l’amiable.14
o Exemple : « Woltster » a été nommé par le Président américain
Jonshon pour résoudre le conflit opposant la grande Bretagne au
Guatemala concernant le territoire Denise.
Les bons offices : D’origine coutumière, les bons offices ont été codifiés par
les conventions de La Haye du 29 juillet 1899 et du 18 octobre 1907. Selon
l’article 3 de la Convention de la Haye, il s’agit de l’action d’un Etat tiers,
spontanément ou sur sa demande, de chercher des moyens diplomatiques
pour rapprocher deux Etats entre lesquels il existe un différend ou les amener
à entamer ou reprendre les négociations afin de mettre fin à leurs différends.
o Exemple : Les bons offices des Etats Unis et de la Grande
Bretagne entre la France et la Tunisie (1958) concernant les
événements de Sakiet Sidi Youssef.
14
la médiation est un moyen de parvenir à un règlement informel du litige, sur la base de l’accord entre les
parties. La médiation ne débouche pas sur une décision juridictionnelle obligatoire, il
s’agit d’un simple avis non contraignant. Par conséquent, tout comme les autres moyens diplomatiques de
règlement pacifique des différends, la médiation revêt une nature consensuelle elle nécessite le concours des
volontés (offre et acceptation de la médiation), elle est souvent présentée comme un complément pratique de
la négociation, mais elle garde un caractère non formel, laissant une large part à l’improvisation, selon les
circonstances et le contexte
Page | 19
o Exemple : Belgique contre Luxembourg dans l’affaire de
contrebande de l’eau de vie (1934).
Conclusion finale :
Bibliographie
BERLAIEN, « La distinction entre les Différend juridiques et les Différends
politiques dans la pratique des organisations internationales », in RBDI, 1975,
pp. 405-444. L.
CAFLISCH, « Cent ans de règlement pacifique des différends interétatiques »,
R.C.A.D.I. 2001.288, pp. 245-467G. COHEN-JONATHAN, J.-F. FLAUSS dir.,
Page | 20
Mesures conservatoires et droits fondamentaux, Bruxelles, Bruylant,2005, coll.
Droit et justice n)65
F. HORCHANI Règlement pacifique des différends internationaux, Centre de
publications, Tunis, 2002D. SCHINDLER, « Les progrès de l’arbitrage
obligatoire depuis la création de la SDN. » in RCADI ?1928-V, vol.25, pp.237-
361E.
BOREL, « Les voies de recours contre les sentences arbitrales », in RCADI
1935-II, vol.52, pp.5-105J-P A. FRANCOIS, « La Cour Permanente
d’arbitrage », in RCADI, 1955-I, vol. 87, pp. 457-553
Millard Éric. Hauriou et la théorie de l'institution. In : Droit et société, n°30-31,
1995. L'environnement et le droit. pp. 381-412.DOI :
https://doi.org/10.3406/dreso.1995.1343
www.persee.fr/doc/dreso_0769-3362_1995_num_30_1_1343
ALVAZZI DEL FRATE, P. (2012). L’institutionnalisme juridique dans la
doctrine italienne du XXe siècle: considérations sur l’institutionnalisme de
Santi Romano. REVUE D'HISTOIRE DES FACULTÉS DE DROIT ET DE LA
SCIENCE JURIDIQUE, 32, 389-396.
Battistella, D., Cornut, J. & Baranets, É. (2019). Chapitre 1. Théorie et
relations internationales. Dans : , D. Battistella, J. Cornut & É. Baranets (Dir),
Théories des relations internationales (pp. 9-48). Paris: Presses de Sciences
Po. https://doi.org/10.3917/scpo.batti.2019.01.0009
Sorel, J. (2011). Les tribunaux pénaux internationaux: Ombre et lumière d'une
récente grande ambition. Revue Tiers Monde, 205, 29-46.
https://doi.org/10.3917/rtm.205.0029
Klabbers, J. (2009). An Introduction to International Institutional Law. Leiden :
Brill.
Rousseau, C., Blocher, J., & Jimenez, J. E. (2008). Droit international public.
Paris : Éditions Montchrestien.
Dupuy, P. M. (2009). Droit international public. Paris : Dalloz.
Sands, P. (2018). Principes de droit international. Paris : Éditions LGDJ.
Cassese, A. (2005). International Law. Oxford : Oxford University Press.
Grewe, W. G. (2000). Droits de l'homme et droit international public. Paris :
Pedone.
Page | 21
Henckaerts, J.-M., Doswald-Beck, L. (2005). Customary International
Humanitarian Law. Cambridge : Cambridge University Press.
Zimmermann, A., Tomuschat, C., & Oellers-Frahm, K. (2009). Droit
international public. Paris : Éditions L.G.D.J.
Tomuschat, C. (2003). Droit international pénal. Paris : Éditions Pedone.
CONFÉRENCE DES NATIONS-UNIES SUR LE COMMERCE ET LE
DÉVELOPPEMENT LE RÈGLEMENT DES DIFFÉRENDS CENTRE
INTERNATIONAL POUR LE RÈGLEMENT DES DIFFÉRENDS RELATIFS
AUX INVESTISSEMENTS,2.1 Présentation, NATIONS UNIES, New York et
Genève, 2003
Martin-Bidou, Pascale. Fiches de Droit international public. Rappels de cours
et exercices corrigés. Ellipses, 2017
Milhat, C. (2016). Les indispensables du Droit international public. Ellipses.
Klabbers, J. (2009). "International Law." Cambridge University Press.
James J. Busuttil, Practice and Methods of International Law, by Shabtai
Rosenne, 9 Md. J. Int'l L. 211 (1985).Available at:
http://digitalcommons.law.umaryland.edu/mjil/vol9/iss2/4
Les contributions présentées à la deuxième édition des Conférences Gaetano
Morelli, tenues au printemps 2015, sur « Les décisions de la CIJ comme
sources du droit international ? ». Les deux premiers chapitres reproduisent
les deux cours généraux d'Alain Pellet et de Christian J. Tams. Le troisième
chapitre, de Paolo Palchetti, contient quelques réflexions supplémentaires sur
ce sujet.
Briggs, H. (1959). The Development of International Law by the International
Court. By Sir Hersch Lauterpacht. London: Stevens & Sons, Ltd.; New York:
Frederick A. Praeger, 1958. pp. xx, 408. Index. £ 3 3 s. American Journal of
International Law, 53(2), 471-472. doi:10.2307/2195832
Jean-Philippe Bufferne, La fonction de la Cour internationale de justice dans
l’ordre juridique international: quelques réflexions, 2002 15-1 Revue
québécoise de droit international 141, 2002 CanLIIDocs 207,
<https://canlii.ca/t/x7vp>, consulté le 2023-10-06
Page | 22