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Méthode d’échauffement musical.

Echauffement physique.
Je prépare mon corps à l’exercice du chant en :
- M’étirant.
- Réveillant les différentes parties de mon corps qui soutiennent l’appareil respiratoire :
le visage, la nuque, le dos, le bassin ainsi que les jambes et les pieds qui y sont accrochés.
- Me tenant droit : le dos et la nuque alignés, les épaules basses, les genoux légèrement
déverrouillés, les pieds parallèles, le centre de gravité descendu au niveau du bassin.

Echauffement respiratoire.
J’apprends ensuite à maitriser mon souffle en :
- Inspirant par le nez : sans forcer, les épaules toujours
basses, le diaphragme descend et aide les poumons à se
gonfler d’air. Le ventre semble lui aussi se gonfler.
- Expirant par la bouche : toujours sans forcer, le
diaphragme remonte et, avec les muscles abdominaux,
aide les poumons à expulser l’air le plus longtemps
possible.
- Répétant ces longues respirations 4 ou 5 fois de
suite : le rythme cardiaque doit ralentir, les expirations
doivent être de plus en plus longues.

Echauffement vocal.
J’échauffe enfin mes cordes vocales pour ne pas les abîmer en :
- Faisant des vocalises bouche fermée : « Mmm ! » à différentes hauteurs, sans forcer,
comme lorsque l’on s’extasie devant un bon gâteau.
- Entrainant ma diction avec des jeux de prononciation : « Tagada, takata, tagada, takata »
en rythme et de plus en plus vite.
- Faisant des vocalises bouche ouverte : « La, la, la, la, la » en suivant les notes de la gamme,
de plus en plus aigu, en utilisant différentes syllabes (« mi, mi, mi » / « lou, lou, lou » / « gnia,
gnia, gnia » …).
- Alliant exercice de souffle et exercice de chant : chanter un mot le plus longtemps possible,
sur une ou plusieurs notes : « Hééééééééélas ».

Ça y est, je suis prêt à chanter !


Méthode d’échauffement musical.
Echauffement physique.
Je prépare mon corps à l’exercice du chant en :
- M’étirant.
- Réveillant les différentes parties de mon corps qui soutiennent l’appareil respiratoire :
le visage, la nuque, le dos, le bassin ainsi que les jambes et les pieds qui y sont accrochés.
- Me tenant droit : le dos et la nuque alignés, les épaules basses, les genoux légèrement
déverrouillés, les pieds parallèles, le centre de gravité descendu au niveau du bassin.

Echauffement respiratoire.
J’apprends ensuite à maitriser mon souffle en :
- Inspirant par le nez : sans forcer, les épaules toujours
basses, le diaphragme descend et aide les poumons à se
gonfler d’air. Le ventre semble lui aussi se gonfler.
- Expirant par la bouche : toujours sans forcer, le
diaphragme remonte et, avec les muscles abdominaux,
aide les poumons à expulser l’air le plus longtemps
possible.
- Répétant ces longues respirations 4 ou 5 fois de
suite : le rythme cardiaque doit ralentir, les expirations
doivent être de plus en plus longues.

Echauffement vocal.
J’échauffe enfin mes cordes vocales pour ne pas les abîmer en :
- Faisant des vocalises bouche fermée : « Mmm ! » à différentes hauteurs, sans forcer,
comme lorsque l’on s’extasie devant un bon gâteau.
- Entrainant ma diction avec des jeux de prononciation : « Tagada, takata, tagada, takata »
en rythme et de plus en plus vite.
- Faisant des vocalises bouche ouverte : « La, la, la, la, la » en suivant les notes de la gamme,
de plus en plus aigu, en utilisant différentes syllabes (« mi, mi, mi » / « lou, lou, lou » / « gnia,
gnia, gnia » …).
- Alliant exercice de souffle et exercice de chant : chanter un mot le plus longtemps possible,
sur une ou plusieurs notes : « Hééééééééélas ».

Ça y est, je suis prêt à chanter !

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