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QU'EST-CE QUE LES DÉFENSES ANTÉRIEURES ?

La défense préalable, qui est la défense déposée lorsqu'une condition de procédure n'a pas été remplie, c'est-à-dire que la loi prévoit que certaines conditions
doivent être remplies au préalable sans lesquelles il n'est pas possible d'engager valablement une procédure civile.
Les défenses préliminaires sont des instruments procéduraux par lesquels le défendeur demande la suspension de la procédure engagée jusqu'à ce que le
plaignant ait fait ce que le droit matériel prévoit comme activité préliminaire à l'introduction de l'action en justice. Les défenses préjudicielles ne dénoncent pas
une omission procédurale parce qu'elles ne reposent pas sur les lois adjectives mais sur l'ordre substantiel, cependant, elles affectent le processus, bien
qu'elles n'impliquent pas sa conclusion mais évitent seulement temporairement sa poursuite.
TACHES CONTRE LES TÉMOINS (Art. 300 CPC)
 Al en est absolument incapable.
 Une personne qui a été condamnée pour un délit qui, de l'avis du juge, affecte son aptitude.
 À un parent au 4e degré de consanguinité ou au 3e degré d'affinité, au conjoint, au cohabitant, sauf dans le cadre du droit de la famille ou sur
proposition de la partie adverse.
 Toute personne ayant un intérêt direct ou indirect à l'issue de la procédure.
 Au juge et à l'huissier, la procédure devant eux.
QUELS SONT LES OBJECTIFS DE LA PHASE DE CANDIDATURE ?
 Proposer des réclamations et des défenses.
 Effectuer le premier contrôle de la relation juridique procédurale (qualification de la créance).
 Nettoyer la relation procédurale.
 Favoriser la conciliation entre les parties.
 Pour régler les points litigieux.
 Réorganisation de la preuve.
 Préjuger le processus (si possible)

Effets des exceptions


Les effets qu'il produit sont les suivants :
Elles visent à différer ou à retarder la procédure pénale dans laquelle elles ont été contestées, afin de se conformer à des formes ou à des exigences
juridiques spécifiques.
Article 451 - Effets des exceptions.
Une fois que l'ordonnance déclarant fondée l'une des exceptions énumérées à l'article 446 a été consentie ou exécutée, le dossier des exceptions est ajouté
au dossier principal et produit les effets suivants :
1. Suspendre la procédure jusqu'à la comparution du demandeur incapable, légalement assisté ou représenté, dans un délai fixé par l'ordonnance, en cas
d'exception d'incapacité du demandeur ou de son représentant.
2. Suspendre la procédure jusqu'à ce qu'il soit remédié au défaut ou à l'insuffisance de représentation du demandeur dans un délai à fixer dans
l'ordonnance de décision.
3. Suspendre la procédure jusqu'à ce que le demandeur remédie aux défauts signalés dans l'ordonnance de décision et dans le délai fixé par l'ordonnance,
s'il s'agit de l'exception d'obscurité ou d'ambiguïté dans la manière de proposer la demande.
4. Suspendre la procédure jusqu'à ce que le demandeur établisse le lien procédural légal entre les personnes ordonnées par l'ordonnance et dans le délai
fixé par l'ordonnance, en cas d'exception de défaut de qualité pour agir du défendeur.
1. À l'expiration des délais visés aux paragraphes précédents, si l'ordonnance n'est pas respectée, la procédure est déclarée nulle et non avenue et le
processus est clos.
5. annuler ce qui a été fait et mettre fin à la procédure, s'il s'agit d'une exception d'incompétence, de représentation insuffisante du défendeur, de non-
épuisement de la procédure administrative, de défaut de qualité pour agir du demandeur, de litispendance, d'autorité de la chose jugée, de désistement
de la demande, de clôture de la procédure par conciliation ou transaction, de péremption d'instance, d'extinction de la prescription ou d'accord pour
mettre fin à la procédure.La juridiction peut annuler la procédure et y mettre fin, s'il s'agit d'une exception d'incompétence, de représentation insuffisante
du défendeur, de non-épuisement des voies de recours administratives, de défaut de qualité du demandeur, de litispendance, d'autorité de la chose
jugée, de désistement de la demande, de clôture de la procédure par voie de conciliation ou de transaction, de péremption, de prescription extinctive ou
de convention d'arbitrage.
Phases de l'activité probatoire
PÉRIODES
L'activité probatoire se déroule en quatre moments : l'offre, l'admission, la préparation, la réception ou la présentation.
L'OFFRE
Il s'agit de la période de la phase probatoire de la procédure au cours de laquelle les parties peuvent proposer au juge de recevoir les preuves qu'elles
estiment pertinentes. Les lignes directrices suivantes doivent être respectées :
Les moyens de preuve doivent être présentés dans un délai commun de cinq jours, à compter du jour où la notification de l'ordonnance d'ouverture du procès
aux preuves prend effet (art. 2.126), à l'exception des aveux, qui peuvent être présentés avant l'audience, des documents précédemment exposés et des
pièces du dossier, qui doivent être pris en compte même s'ils ne sont pas expressément proposés, et des documents relatifs à des événements antérieurs ou
dont l'existence est inconnue, qui peuvent être présentés ultérieurement et avant la convocation du jugement, lorsque ce fait est affirmé sous serment.
La preuve doit être apportée pour chacun des points litigieux, sous peine d'être rejetée. (Art. 1.258)
L'ADMISSION
Il s'agit de la période de la phase probatoire de la procédure au cours de laquelle le juge analyse les preuves proposées par les parties et détermine s'il est
possible de procéder à leur préparation et à leur examen. Elle s'effectue dans le cadre d'une ordonnance dite d'admission des preuves et doit répondre aux
exigences suivantes :
A remettre le lendemain de la fin du délai de présentation des preuves.
Déterminer les preuves à admettre sur chaque fait, en pouvant limiter le nombre de témoins et rejeter les preuves contraires à la loi, aux bonnes mœurs, ou
portant sur des faits non contestés par les parties, impossibles ou notoirement invraisemblables. (Art. 1.258)
Lorsqu'un moyen de preuve est rejeté, un recours peut être introduit avec effet dévolutif, car s'il est admis, seul le recours en responsabilité est possible.
PRÉPARATION
Il s'agit de la période de la phase probatoire de la procédure au cours de laquelle les activités nécessaires sont effectuées pour que les preuves admises par
le juge puissent être examinées. Chaque instrument de preuve, en fonction de sa nature, comme nous le verrons plus loin, exige que certaines dispositions
soient prises pour rendre sa pratique possible, comme la convocation des parties, des témoins, des experts, la demande d'un rapport aux autorités, l'émission
de commissions rogatoires, etc. Dans les procédures ordinaires, le juge, avec l'aide des parties, est directement chargé de la préparation ; cependant, dans
certains procès spéciaux, afin d'accélérer le processus, les parties sont obligées de procéder à la préparation en étant averties que si elles ne le font pas, les
preuves ne seront pas reçues.
L'ACCUEIL OU LE SOULAGEMENT
Elle se déroule devant le juge dans le cadre d'un acte public appelé audience de preuves et d'allégations, qui doit respecter les lignes directrices suivantes :
Les parties sont convoquées dans l'ordre d'admission des preuves.
Une date doit être fixée pour l'audience dans les 15 jours suivant l'ordonnance d'admission des preuves. (Art. 2.126)
Le juge, le greffier, les parties, les experts, les témoins et les autres personnes qui doivent intervenir doivent y assister.
Les parties peuvent être assistées par leurs avocats.
Au début de la réunion, il convient de déterminer qui restera dans la salle et qui se trouvera dans un endroit séparé, qui sera présenté en temps voulu.
Elle doit se dérouler en présence ou non des parties et en l'absence ou non de témoins, d'experts ou d'avocats, conformément aux lignes directrices qui
seront adoptées ultérieurement .
Source du test
Ce sont les faits perçus par le juge et qui lui servent à déduire le fait à prouver" (CARNELUTTI. 1982: 89). Selon lui, les sources de preuve sont regroupées
en deux grandes catégories selon qu'elles constituent ou non la représentation du fait à prouver, mais on suppose que dans les deux cas il y a des sources
de preuve.
Moyens de preuve
C'est l'instrument, la chose ou la circonstance dans laquelle le juge trouve les raisons de sa condamnation. ment, la chose ou la circonstance dans laquelle le
juge trouve les raisons de sa condamnation. La preuve est rapportée par l'un des moyens que la loi admet et ainsi la déclaration par un témoin véridique du
fait dont il a été témoin est un mobile de la preuve".
Les moyens de preuve sont ceux qui permettent de prouver au juge qu'un fait donné a été vérifié, en se basant sur ceux déterminés par la loi.
Test
Le but de la preuve étant de démontrer l'existence ou la non-existence d'un fait, tout ce qui peut faire l'objet d'une connaissance et qui est allégué comme
fondement du droit revendiqué doit être compris comme l'objet d'une preuve.

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