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Energie cinétique 1ere s exercices corrigés

Energie cinétique 1ere s exercices corrigés pdf.

Un chariot de montagne russe voyage du point $A$ jusqu'au point $D.$ Le chariot a une masse de $1000.0\,kg$ et une vitesse de $1.80\,m/s$ au point $A.$ 1) Quelle est l'énergie mécanique (énergie totale) du chariot au point $A$ ? 2) Quelle est la vitesse du chariot au point $B$ ? 3) Quelle est l'énergie potentielle et l'énergie cinétique du chariot au
point $C$ ? 4) Quelle est la vitesse du chariot au point $D$ ? Paul, debout sur un pont, lance verticalement vers le haut une pierre de masse $m=70\,g.$ Celle-ci s'élève jusqu'à une hauteur de $10\,m$ au-dessus du point de lancement puis redescend et tombe dans l'eau. La surface de l'eau est située $2.0\,m$ plus bas que le point de lancement de la
pierre. $-\ $ l'énergie potentielle de pesanteur de la pierre dans sa position la plus haute $-\ $ l'énergie potentielle de pesanteur de la pierre dans sa position la plus basse $-\ $ la variation d'énergie potentielle de la pierre Si l'on choisit comme niveau de référence (origine de l'axe $Oz$ dirigé vers le haut) 1.1 Le niveau du point de lancement de la
pierre 1.2 Le niveau de la surface de l'eau. 2.
Exprimer l'énergie potentielle de pesanteur de la pierre lorsqu'elle est située à une altitude $z$ quelconque par rapport au point de lancement dans les deux cas précédents Un skieur à l'épreuve du kilomètre lancé $(KL)$, en recherche de vitesse sur une piste plane, bien damée et inclinée d'un angle $\alpha=26.0^{\circ}$ par rapport à l'horizontale,
part du point $A$ et atteint une vitesse de $182\,km\cdot h^{-1}$ $(=50.5\,m\cdot s^{-1})$ au bout d'un $km$ de piste, au point $B.$ La masse du skieur et de son équipement est de $115\,kg.$ 1) Donner l'expression littérale de l'énergie potentielle du skieur en $A.$ Faire l'application numérique correspondante en prenant comme origine des
énergies potentielles le point $B.$ 2) Donner l'expression littérale de l'énergie cinétique du skieur en $B.$ Faire l'application numérique correspondante. 3) Nommer les forces appliquées au système {skieur$+$équipement} et les représenter sur un schéma. 4) Donner l'expression du travail de chacune de ces forces. 5) Donner la relation liant la
variation d'énergie cinétique du système et le travail des différentes forces. 6) Si le skieur glisse sans frottement. Quelle serait alors sa vitesse au point $B$ ? 7) En fait les frottements ne sont pas négligeables lors d'une telle descente ; déterminer la valeur de ces frottements. Dans un parc d'attractions, un wagonnet de masse $m=65\,kg$ se déplace
sur des rails dont le profil est donné sur le schéma ci-dessous : Les hauteurs des différents points $A$, $B$, $C$, $D$ et $E$ sont repérées par rapport au sol et ont pour valeurs : $h_{A}=20\,m\quad h_{B}=10\,m\quad h_{C}=15\,m\quad h_{D}=5\,m\quad h_{E}=18\,m$ Calculer la variation d'énergie potentielle de pesanteur du wagonnet passant :
Une piste est constituée par un plan incliné $AB$ de longueur $l=2r$ d'un angle $\alpha=30^{\circ}$ sur l'horizontale et se raccordant tangentiellement à une portion $BC$ circulaire de centre $O$ et de rayon $r=OB=OC=50\,cm$ Un solide $(S)$ ponctuel de masse $m=50\,g$ est suspendu en $C$ au fil $OC$ accroché en $O.$ Un autre solide
ponctuel $(S')$ de masse $m'=60\,g$ est lâché sans vitesse initiale au point $A$ et glisse sans frottement le long de la piste. Au point $C$ il heurte de plein fouet le solide $(S).$ Prendre $g=9.8\,N\cdot Kg^{-1}$ et $\theta=60^{\circ}$ 1. Le point $C$ étant considéré comme position de référence, exprimer l'énergie potentielle de pesanteur du
solide $(S')$ au point $A$ en fonction de $m'$, $g$, $r$, $\alpha$ et $\theta$ et au point $B$ en fonction $m'$, $g$, $r$ et $\theta$ 2.1 Calculer l'énergie mécanique totale du solide $(S')$ au point $A.$ 2.2 Calculer la vitesse du solide $(S')$ au point $B$ et la vitesse qu'il a acquise juste avant le choc au point $C$ en supposant que les forces de
frottement sont négligeables sur toute la piste 3. Le pendule constitué du solide $(S)$ et le fil s'écarte d'un angle $\beta$ par rapport à la position verticale d'équilibre stable du pendule avant le choc. 3.1 Exprimer l'énergie potentielle de pesanteur du solide $(S)$ en fonction de $m$, $g$, $r$ et $\beta$ ; la position verticale étant prise pour position
de référence. 3.2 Calculer l'énergie mécanique du solide $(S)$ à son départ du point $C$ sachant qu'il acquiert une vitesse $v=3.4\,m\cdot s^{-1}$ juste après le choc. 3.3 Calculer le moment d'inertie $J$ du solide $(S)$ par rapport l'axe passant par le point $O'$ et l'écart maximal $\beta_{max}$ atteint par le solide $(S)$ en supposant négligeable la
résistance de l'air.

Un solide $(S)$ de masse $m=500\,g$ assimilable à un point matériel est lancé à partir d'un point $A$ sur un plan incliné d'un angle $\alpha_{0}=30^{\circ}$ par rapport à l'horizontal avec une vitesse $V_{A}=12\,m/s.$ La réaction d'intensité supposée constante exercée par le plan sur $(S)$ fait un angle $\alpha_{1}=30^{\circ}$ avec la normale
au plan. La composante de la réaction parallèle au plan incliné a un sens opposé au vecteur vitesse de $\overrightarrow{V}$ de $(S).$ 1.1 Représenter les forces qui s'exercent sur $(S).$ 1.2 Calculer les travaux de toutes ces forces au cours du déplacement $AB=\ell=1\,m.$ On donne $R=0.4\,N$ et $g=10\,N/kg.$ 1.3 Déterminer la vitesse $V_{B}$
de $(S)$ au point $B.$ 2. Calculer la variation de l'énergie mécanique de $(S)$ entre les points $A$ et $B.$ Dans ce qui suit, la résistance de l'air et les frottements sont supposés nuls. Le solide $(S)$ continue son mouvement sur $(BC)$ horizontal ; $(CO)$ incliné d'un angle $\delta=40^{\circ}$ par rapport à l'horizontal et $(OD)$ incliné d'un angle
$\beta=30^{\circ}$ par rapport à l'horizontal. En $O$, $(S)$ heurte un solide ponctuel $(S')$ de masse $m'=200\,g$ accroché à l'extrémité d'un fil de longueur $\ell'=10\,cm$ et de masse négligeable ; il s'écarte d'un angle $\theta_{0}$ par rapport à la verticale. 3. On prend comme position de référence le point $O$ d'altitude zéro. 3.1 Calculer les
énergies potentielles de $(S)$ aux points $C$ et $D.$ 3.2 Lorsque le solide $(S)$ est sur la partie $(OD)$ de longueur $x\in[0\;;\ 0.1\,m]$, déterminer l'énergie potentielle de $(S)$ en un point de $[OD]$ en fonction de $x.$ 3.3 Le solide $(S)$ rebrousse chemin en $D.$ Déterminer l'altitude maximale $Z_{max}$ atteinte sur $[OC]$ par $(S).$ 4.1
Calculer le moment d'inertie de $(S')$ par rapport à l'axe $(\Delta).$ 4.2 Exprimer l'énergie potentielle de $(S')$ en fonction de $m'$, $g$, $\ell$ et $\theta_{0}.$ 4.3 Le solide $(S')$ part de sa position $\theta_{0}$, passe par sa position verticale puis remonte. 4.3.1 Déterminer sa vitesse angulaire au passage par sa position verticale avec
$\theta_{0}=60^{\circ}.$ 4.3.2 De quel angle $\theta_{max}$ remonte-t-il ? 5. On suppose que $(S)$ et $(S')$ ne se rencontrent plus. Décrire qualitativement les mouvements ultérieurs de $(S)$ et $(S').$ On néglige tous frottements. Une bille de masse $m$ lancée du point $A$ à la vitesse $v_{A}$ se déplace sur un plan incliné vers le point $D.$
L'origine de l'énergie potentielle de pesanteur est le point le plus bas $A.$ $m=1.0\,kg\ ;\ OB=0.50\,m\ ;\ AB=2.0\,m\ ;\ \alpha=20^{\circ}\ ;\ \beta=60^{\circ}\ ;\ v_{A}=18\,km/h\text{ et }g=9.8\,N/kg.$ 1) Calculer les altitudes de $B$, $C$ et $D.$ 2) Calculer l'énergie mécanique en $A.$ 3) Calculer les vitesses en $C$ et en $D$ en $km/h.$ 4) la
vitesse initiale $v_{A}$ est divisée par deux, calculer : 5) L'énergie mécanique, les vitesses en $C$ et en $D.$ On considère le système mécanique représenté ci-dessous est formé par un parcours $ABC$ et un solide de masse $m=20.0\,g$, assimilable à un point matériel. La partie $AB$ est rectiligne confondue avec le plan horizontal $(\Pi).$ La partie
$BC$ est une boucle circulaire de rayon $r.$ On repère le solide dans cette boucle par l'abscisse angulaire $\theta=BOM$ Les frottements sont négligeables sur tout le parcours $ABC.$ On prend l'état de référence pour l'énergie potentielle de pesanteur le plan horizontal $(\Pi)$ et l'axe $Oz$ orienté vers le haut. 1) Exprimer l'énergie potentielle de
pesanteur du solide en en fonction de $m$, $g$, et $z$ l'altitude du solide mesurée à partir de l'état de référence choisi. 2) Déduire l'énergie potentielle de pesanteur au point $M$ en fonction de $m$, $g$, $r$, et $\alpha$ 3) Pour quelle position l'énergie potentielle de pesanteur est maximale ? 4) Trouver l'expression de l'énergie mécanique du
solide aux points suivants : $A$, $B$ et $C$, sachant que le solide arrive au point $C$ avec une vitesse $v_{C}.$ 5) Montrer que le solide parcours le périmètre du boucle, on doit avoir $EC(A)>2mgr.$ 6) On donne $r=1.5\,m$, calculer la valeur de la vitesse initiale $v_{A}$ pour que le solide arrête au point $C$ Une barre $AB$ homogène de
longueur $L=1\,m$, est mobile autour d'un axe horizontal passant par le point $A$ de son extrémité. Son moment d'inertie par rapport à cet axe est $J\Delta=1/3\,m\cdot L^{2}.$ On écarte la barre de sa position d'équilibre stable d'un angle $\alpha=60^{\circ}$ et on le lance, à l'instant $t=0$ avec une vitesse angulaire $w_{0}=2\,rad/s$ Les
frottements sont négligeables. On prend l'état de référence pour l'énergie potentielle de pesanteur le plan horizontal qui passe par $O'$ et l'axe $Oz$ orienté vers le haut. 1) Calculer la vitesse linéaire $v_{B}$ du point $B$ à l'instant $t=0$ 2) Trouver l'expression de la variation de l'énergie cinétique entre la position initiale et la position de la barre
d'abscisse angulaire $\theta=OAB$ en fonction de $L$, $m$, $g$, $\theta_{0}$ et $\theta$ 3) Montrer que l'expression de la vitesse angulaire $w$ lorsque la barre passe par la position d'abscisse angulaire $\theta$ est donnée par la relation suivante : $$w=\sqrt{w_{0}^{2}+\dfrac{3g\left(\cos\theta-\cos\theta_{0}\right)}{L}}$$ 4) Calculer la
vitesse linéaire $v_{B}$ lorsque la barre passe par sa position d'équilibre stable Un solide de masse $m_{1}=100\,g$ peut coulisser le long d'un plan inclinée $\alpha=30^{\circ}$ par à rapport à l'horizontal Le solide $S$ est relié à un ressort de constante de raideur $100\,N/m$ dont l'autre extrémité est fixe (voir figure) La position $O$, à
l'équilibre, de l'extrémité $M$ du ressort est prise comme origine $(O\;,\ \vec{i})$ d'un repère orienté comme le montre la figure 1) Donner l'expression littérale et calculer potentielle élastique $E_{pe}$ du système en équilibre en fonction de l'allongement $\Delta Δ_{l0}$ du ressort. 2) Un manipulateur saisit le solide $S$ et le tire vers de telle sorte
que l'abscisse de $M$ soit égale $X_{M}=-a=-3\,cm$ Donner l'expression littérale et calculer l'énergie potentielle élastique du système 3) Donner l'expression littérale et calculer l'énergie potentielle de pesanteur du solide en adoptant la position d'équilibre initiale comme état de référence 4) Le manipulateur lâche le solide $S$ qui effectue alors des
oscillations le long du plan incliné d'amplitude $a$ ; les frottements sont négligeables Donner l'expression en fonction de $x$ de l'énergie-potentielle élastique $E_{pe}$ et de l'énergie potentielle de pesanteur En déduire l'expression de l'énergie cinétique $E_{C}$ Calculer la vitesse du solide lorsque $x=2\,cm$ 5) Représenter graphiquement en
fonction de $x$, $E_{PP}$, $E_{Pe}$ et $E_{C}$ Mettre en évidence l'expression de la somme $E_{M}=E_{PP}+E_{Pe}+E_{C}$ Un solide de masse $m=200\,g$ se déplace dans une glissière constituée d'une partie rectiligne $BC$ et d'une partie circulaire $BD$ de centre $O$ et de rayon. On néglige des frottements. L'origine des altitudes est le
point $B$ et celle des énergies potentielles est le plan horizontal contenant $B$ (voir figure 1) Le solide part du point $C$ avec une vitesse initiale de $1.6\,m/s$ 1) Représenter en $C$ et en $M$ les forces appliquées au solide 2) Calculer les altitudes $Z_{c}$ et $Z_{e}$ des points $C$ et $E$ ; en déduire l'énergie potentielle du solide lorsqu'il se
trouve en chacun de ces points. On donne $CB=5\,m\ ;\ \alpha=20^{\circ}\ ;\ R=1\,m$ 3) Calculer le travail du poids lorsque le solide passe de $C$ à $B.$ En déduire l'énergie cinétique du solide au point $B$ 4) Calculer l'énergie mécanique du solide en $B$ 5) Donner l'expression de la vitesse $V_{M}$ du solide du point $M$ en fonction de
$V_{E}$, $m$, $g$, $r$ et $\theta$ calculer $V_{m}$ pour $\theta=\dfrac{\pi}{2}$ 6) Le solide pourra-t-il atteindre le point $D$ ? $\begin{array}{c}\blacktriangleright\,\boxed{\text{Correction des exercices}}\end{array}$ Résumé de cours Exercices et corrigés Cours en ligne de physique-chimie en Première Ces exercices corrigés en 1ère pour
la spécialité physique chimie sur le théorème de l’énergie cinétique pourront vous aider à mieux comprendre les notions de travail d’une force constante sur un déplacement rectiligne et l’énergie cinétique. Vous pourrez mieux appréhender la force d’une force du frottement, loi de Coulumb et l’altitude maximale. Si vous avez des difficultés ou
souhaitez exceller, nous proposons des professeurs particuliers de physique chimie pour les élèves de première sur notre plateforme. Vous pouvez consulter d’autres exercices et corrigés de physique chimie en première sur notre site : exercices sur l’évolution d’un système chimique, exercices sur le dosage colorimétrique ou encore les exercices
corrigés sur la structure des espèces chimiques, etc. QCM sur le théorème de l’énergie cinétique en 1ere Question 1 : Le travail d’une force constante perpendiculaire à un déplacement rectiligne vaut a. b. c. d. Question 2 : Une force fait avec le déplacement un angle Le travail de cette force est a. strictement négatif b. nul c. strictement positif d. de
signe impossible à affirmer par manque de données Question 3 : Un objet de masse subit une force unique et constante le long d’un déplacement rectiligne de à avec * * l’angle entre et vaut compris entre 0 et 90 degrés. La vitesse de l’objet en vaut Sa vitesse en vaut a. car le poids n’intervient pas b. c. d. e. Corrigé du QCM de 1ère sur le théorème de
l’énergie cinétique Question 1 : Le travail est égal au produit scalaire Il est donc nul car les vecteurs sont perpendiculaires. Question 2 : Le travail est égal au produit scalaire soit Or le cosinus d’un angle obtus, compris entre 90 et 180 degrés, est strictement négatif et les normes sont strictement positives, donc le travail est strictement négatif.

Question 3 : Par application du théorème de l’énergie cinétique d’où l’expression de la formule (e). Attention à la simplification piège de la proposition (d), la racine carrée de la somme n’est pas égale à la somme des racines carrées ! Exercices sur le théorème de l’énergie cinétique en 1ère Exercice sur le travail d’une force de frottement, loi de
Coulomb On veut expliquer pourquoi il est plus fatiguant de déplacer une armoire qu’un tapis de même surface au sol. La force de frottement que subit un objet de masse quand on le fait glisser sur le sol horizontal a pour norme (loi de Coulomb) où est le coefficient de frottement entre l’objet et le sol. est très grand pour le caoutchouc (), moins grand
pour le bois (), et petit pour les tissus () Un objet de masse est glissé sur une distance sur le sol horizontal. a. Donner l’expression du travail de la force de frottement sur le déplacement, en fonction de , , et b. En estimant les ordres de grandeur des différents paramètres, donner une valeur approximative du travail de la force de frottement quand on
glisse une armoire, dont les pieds sont en bois, sur une dizaine de mètres. c. Faire de même pour un tapis. d. Conclure. Exercice sur l’altitude maximale en première On lance verticalement vers le haut une pierre de masse depuis l’altitude On note le champ de pesanteur, où est un vecteur unitaire vertical dirigé vers le haut. La vitesse initiale de la
pierre, quand elle quitte la main du lanceur, vaut a.

On néglige tout frottement.

Déterminer la hauteur maximale à laquelle la pierre monte, en fonction de , et b. Si on prend en compte la force de frottement de l’air, opposée en sens et en direction au vecteur vitesse, la pierre montera-t-elle plus haut ou moins haut que ?
Justifier soigneusement la réponse. c. On néglige à nouveau tout frottement. Quelle est la vitesse de la pierre lorsqu’après avoir atteint son point culminant, elle repasse par l’altitude en retombant ? d. Toujours en négligeant les frottements, quelle est sa vitesse juste avant qu’elle ne touche le sol ? Corrigés des exercices sur le théorème de l’énergie
cinétique en 1ere Corrigé de l’exercice sur le travail d’une force de frottement, loi de Coulomb a.
En utilisant la formule du cours b. On estime et En prenant pour le bois comme indiqué dans l’énoncé, on a c. Pour un tapis en tissu, et on estime donc d. Le travail qu’il faut fournir pour le déplacement est au moins égal à l’opposé du travail de la force de frottement, déplacer l’armoire est donc environ 100 fois plus fatiguant que le tapis. Corrigé sur
l’altitude maximale en première a. Au point d’altitude maximale, la vitesse s’annule, donc En appliquant le théorème de l’énergie cinétique entre le point 0 et le point 1 soit donc b. La force étant opposée au vecteur vitesse, elle est aussi opposée au vecteur déplacement. Si on considère un tout petit déplacement pendant la phase de montée rectiligne
verticale, de telle sorte que la force de frottement soit presque constante pendant ce petit déplacement, son travail en faisant de même sur tous les petits déplacements qui décomposent la montée complète, la somme des petits travaux, tous strictement négatifs, est strictement négative Le théorème de l’énergie cinétique entre le point 0 et le point 1
s’écrit alors Donc Donc Donc c. En appliquant le théorème de l’énergie cinétique entre le point 0 et le point 2 Soit Donc et d. En appliquant le théorème de l’énergie cinétique entre le point 0 et le point 3 soit donc Retrouvez d’autres cours en ligne gratuits en 1ère sur notre site : . Partie A : Le travail d’une force . I Évaluer le travail d’un cheval de
trait qui tire un chariot sur des rails . Même sur une section horizontale, le cheval doit effectuer un certain travail pour vaincre les forces de frottements et sortir le chariot de la mine. Si les frottements sont nuls, la force à appliquer est nulle et le travail sera nul : Le chariot avance tout seul (=sans travail) après l’avoir lancé. En pente, il faudra
nécessairement faire intervenir un travail. On imagine qu’un contremaître doit évaluer le travail effectué par le cheval. Ce travail tiendra compte de la distance de transport effectuée.
. 1° Dans la situation 1 : Le cheval s’est mis en travers et tire le chariot perpendiculairement aux rails. La force exercée est réelle mais le chariot ne bouge pas. Du point de vue du travail effectué pour l’entreprise, le contremaitre note un travail effectif = 0. .
2° Dans la situation 2 : Le cheval tire le chariot parallèlement aux rails. La force exercée est la même mais le chariot bouge. Le contremaître note un travail effectif positif. Il note même que le cheval produit un travail maximum par rapport à la force qu’il déploie. . 3° Dans la situation 3 : Le cheval tire le chariot de biais par rapport aux rails (voir
schéma) La force exercée est la même et le chariot bouge. Le contremaître note un travail effectif positif mais il note que le travail effectué n’est pas optimal par rapport à la force qu’il déploie. Remarque : Dans le cas d’un cheval, utilisé pour tirer une péniche en oblique depuis la berge, une partie de son énergie est perdue dans les remous
occasionnés par le gouvernail qui doit redresser la trajectoire. Son travail n’est pas optimal. Plus l’angle α (entre la force et le déplacement) est grand, plus le travail effectué est faible. Il en vient à noter que le travail peut être comptabilisé en fonction du cosinus de l’angle α car cos(α) est minimum pour α = 90° (cos 90° = 0) et maximum pour α = 0
(cos 0° = 1). . II Calculer le travail d’une force Le cheval cité précédemment n’était ici qu’un prétexte pour évaluer le travail. En science, la notion de travail sera associé à une force F et à un déplacement représenté par le vecteur AB . Le produit scalaire de 2 vecteurs est une opération qui fait intervenir le cosinus de l’angle α entre ces 2 vecteurs. Le
produit scalaire est noté par un point entre les 2 vecteurs. Exemple : Le du produit scalaire entre les vecteurs F et AB s’écrit : F . AB et le calcul de sa valeur se fait en faisant : || F || × || AB || × cos α Soit plus simplement : F × AB × cos α On résume cela ci-dessous : Remarque : Le produit scalaire de 2 vecteurs n’est pas un vecteur mais une valeur
numérique. Remarque 2 : On pourra donc remarquer que le travail d’une force peut être négatif si la force s’oppose au sens du déplacement (= cas d’une force de frottements) .

III Le travail d’une force constante ne dépend pas du chemin suivi. On peut décomposer le trajet en sections élémentaires (=petites sections). Pour trouver le travail total, il faut additionner les travaux élémentaires. Avec une force constante, le produit scalaire est distributif (voir maths). On peut donc écrire : Le travail ne dépend donc pas du chemin
suivit.
Il ne dépend que du point de départ et du point d’arrivée. . .
IV Le travail du poids sur le trajet de A vers B. . Le poids est ici une force constante. Le travail du poids sur le trajet de A vers B se calcule donc à partir du vecteur AB . D’après l’étude précédente, ce travail ne dépend pas du trajet choisi pour aller de A à B. . 1° Vérification sur l’exemple d’un skieur. Sur l’exemple d’un skieur (voir image ci-dessous),
on pourra vérifier que, sans frottements, le poids va provoquer un mouvement d’accélération dont la vitesse finale (en B) ne dépend pas du chemin suivi pour parcourir le trajet AB. Le travail du poids est donc le même quelque soit le chemin suivi. . 2° Expression mathématique du travail du poids Par convention : On repère les altitudes Z sur un axe
vertical orienté vers le haut.
Lorsque le poids P d’un objet reste constant, le travail du poids sur le déplacement AB s’écrit donc : WAB(P) = P . AB (produit scalaire) Ou WAB(P) = P × AB × cos α (multiplication) Or comme il est indiqué sur la figure, on a : AB × cos α = ZA -ZB Le travail du poids peut donc se retenir par définition sous la forme : WAB(P) = P × (ZA – ZB) Or,
d’après la définition du poids : P = m × g. L’expression précédente peut donc s’écrire sous la forme : WAB(P) = m × g × (ZA – ZB) WAB(P) : Travail du poids sur le trajet AB (en J) P : Poids de l’objet (en N) ou m : masse de l’objet (en kg) et g : pesanteur (en N.kg-1) ZA et ZB : Altitudes des points A et B (repérées sur un axe vertical orienté vers le
haut) exprimées (en m). . Remarque : On évitera la notation m × g × h car h est forcement positif alors que ZA – ZB ne l’est pas forcement, suivant le sens du trajet (A voir selon l’exercice).
. . Partie B : L’énergie cinétique et le théorème de l’énergie cinétique . I La définition de l’énergie cinétique 1° Évolution de l’énergie en fonction de la vitesse pour une voiture. Sur le diagramme suivant on a tracé l’énergie due à un choc sur un obstacle en fonction de la vitesse. (Pour faire le TP complet de la classe de 3ème, cliquez sur le lien suivant
: « Une animation pour calculer l’énergie cinétique ».) On observe que l’évolution de l’énergie cinétique Ec varie suit une loi qui est fonction de la vitesse au carré. .
2° Énoncé de la relation de définition de l’énergie cinétique Suite à l’étude précédente, on obtient la relation suivante : . . II Le théorème de l’énergie cinétique . 1° Exemple du trajet d’un train Il s’agit ici d’un train super rapide car il se déplace dans un tunnel « sous vide ». Ce projet s’appelle « Hyperloop ». On remarquera que les frottements étant
supposés négligeables dans ce type de train, le travail du moteur sur la portion à vitesse constante est considéré comme nul. .
Le travail du moteur du train entre O et A est positif : On parle de travail moteur dont l’expression serait : WOA(FAccélération) = FAccélération . OA Le travail de freinage du train entre B et E est négatif : On parle de travail résistant dont l’expression serait : WBE(FDécélération) = FDécélération . BE On peut facilement comprendre (et démontrer)
qu’il faut fournir le même travail pour accélérer le train que pour le ralentir. De sorte que sur l’ensemble du trajet, le travail est nul. On écrira la somme des travaux : ∑WOE(F) = WOA(FAccél) + WBE(FDécél) = 0 L’énergie cinétique initiale en O est nulle (vitesse initiale nulle). L’énergie cinétique finale en E est nulle (vitesse finale nulle) Sur ce trajet
on écrira la variation d’énergie cinétique : ΔEc = Ecfinale – Ec(finitiale ) ΔEc(O→E) = Ec(E) – Ec(O) = 0 Les égalité précédente donne le même résultat. Sur ce trajet on pourra donc écrire que : ΔEc = Ec(E) – Ec(O) = ∑WOE(F) Cette relation sera généralisable à l’étude d’autres systèmes.
On l’appelle le « théorème de l’énergie cinétique ». . 2° Énoncé du théorème de l’énergie cinétique Unités : ∑WOE(F) : (en J) ΔEc : (en J) . III Exemple d’application du théorème de l’énergie cinétique : La chute libre. 1. Modélisation des forces pour le système en chute libre . La seule force agissante est le poids P du mobile qui s’applique au centre de
gravité noté G. Par définition : une chute libre se passe sans frottements. 2. Étude énergétique sur le trajet AB Expression du travail des forces sur le trajet entre A et B. Le travail du poids entre A et B s’écrit : WAB(P) = m × g × (ZA – ZB) Remarque : Le travail du poids est positif car ZA > ZB. Expression de la variation d’énergie cinétique entre A et
B Par définition, la variation d’énergie cinétique entre A et B s’écrit : ΔEc(A→B) = Ec(B) – Ec(A) = ½ × m × VB2 – ½ × m × VA2 Application du théorème de l’énergie cinétique entre A et B. Par définition on écrit : ΔEc(A→B) = ∑WAB(F) Avec les notations de l’exemple, on écrit alors : ½ × m × VB2 – ½ × m × VA2 = m × g × (ZA – ZB) On pourra
remarquer que la masse m peut être simplifiée dans cette équation. D’où les expressions finales : ½ × VB2 – ½ × VA2 = g × (ZA – ZB) ou VB2 – VA2 = 2 × g × (ZA – ZB) Une résolution possible : Indication : La valeur de g est connue : g = 9,81 N.kg-1 Par exemple, si la vitesse initiale VA = 0, on pourra calculer la vitesse en B : On pourra alors
démontrer (à savoir faire) que VB2 = 2 × g × (ZA – ZB) soit que VB = √ [2 × g × (ZA – ZB)] .
3c. Remarque sur les unités de g : D’après l’équation précédente liée à la chute libre, on pourrait recalculer g : soit g = VB2 / [2 × (ZA – ZB)] L’équation aux unités donne g en m2.s-2.m-1 soit en m.s-2. Dans le SI, il y a donc une équivalence entre le N.kg-1 et le m.s-2. Cela explique pourquoi certains exercices donnent indifféremment g = 9,81 N.kg-1
ou g = 9,81 m.s-2. . IV Exemple d’application du théorème de l’énergie cinétique : Un skateur glisse sans frottement sur une rampe. . 1. Modélisation des forces Le poids P s’applique au centre de gravité du skateur noté G. La force de réaction R du support s’applique au point de contact avec le sol. Elle est toujours perpendiculaire au sol. Toutes ces
forces passent par G. Ce point semble indiqué pour poser la construction vectorielle pour l’étude de la première section du trajet.
. 2.
Travail de la force de réaction R On notera que la réaction R du support fournit toujours un travail nul car elle est toujours perpendiculaire au déplacement. 2.1 Par définition pour une force de réaction perpendiculaire d’un support : WAB(R) = 0 Remarque : On peut le démontrer si demandé : Sur un trajet AB s’écrira donc : WAB(R) = R . AB = R × AB
× cos 90 = 0 (rappel cos 90° = 0) .
2.2 Remarque : Pour un skateur sur une piste semi-circulaire. Modélisation : . Travail de la force R : A chaque instant, la force R reste en permanence perpendiculaire au déplacement. Le travail de cette force est donc nul et on écrira : WAB(R) = 0 Pour info : On se peut pas utiliser la formule précedente de la définition du travail R. AB car la force R
n’est pas constante sur le trajet AB (Elle change de direction). Néanmoins, on pourra calculer son travail car le vecteur R reste à chaque instant perpendiculaire à déplacement qu’on peut qualifier d’élémentaire (=très petit). Chaque travail élementaire est donc nul et la somme de ces travaux élementaire donnera un travail total nul. . Modélisation
d’une force de frtottement éventuelle. On fait figurer les frottements pat une force non constante mais qui restera à chaque instant tangente au déplacement. . 3. Modélisation des autres sections (sans frottement) On décompose le trajet du skateur en 3 sections comme indiqué sur le schéma ci-dessous. . 4. Étude énergétique sur la première section
du trajet : Expression du travail effectué par les différentes forces sur le trajet entre A et B : > Par définition, le travail du poids entre A et B s’écrit : WAB(P) = m × g × (ZA – ZB) Remarque : Le travail du poids est moteur (> 0) > Par définition, pour le travail de la force de réaction R on écrit : Le travail de la force R est nul car cette force est
perpendiculaire au déplacement AB. Soit WAB(R) = 0 Rédaction alternative : WAB(R) = R × AB × cos 90 = 0. Expression de la variation de l’énergie cinétique entre A et B : > Par définition de l’énergie cinétique, on écrit : ΔEc = Ec(B) – Ec(A) = ½ × m × VB2 – ½ × m × VA2 L’application du théorème de l’énergie cinétique sur ce trajet : > D’après la
définition du théorème de l’énergie cinétique on écrit : ΔEc = ∑WAB(F) Ce qui s’écrit ici, avec les notations de l’exercice : ½ × m × VB2 – ½ × m × VA2 = m × g × (ZA – ZB) Soit après simplification par m : ½ VB2 – ½ × VA2 = g × (ZA – ZB) ou VB2 – VA2 = 2 × g × (ZA – ZB) Une résolution possible : Indication : La valeur de g est connue Par
exemple, si on connait la masse du skateur, sa vitesse initiale VA et sa perte d’altitude, on pourra calculer la vitesse en bas de la pente VB. . 5. Etudes menées sur les autres sections du trajet : On connait maintenant VB et d’autres variables. Cela permet de continuer la résolution. On peut faire la remarque que, sur la troisième section, le travail du
poids sera résistant. . V Les frottements 5.1 Modélisation d’une force de frottement constante Le mouvement s’effectue de A vers B. Les fottements sont modélisés par une force Ffrott qui s’oppose à ce mouvement. On peut la représenter donc par un vecteur parallèle au support, s’exerçant dans le sens opposé au mouvement. L’angle entre les
vecteurs AB et Ffrott vaut donc 180°. . 5.2 Expression du travail d’une force de frottement constante Rappel : cos 180 = -1 Le travail des forces de frottements sur le déplacement AB s’écrira donc : WAB(Ffrott) = Ffrott . AB = Ffrott × AB × cos 180 = – FFrott × AB Remarque : Ce travail est donc bien négatif (= travail résistant). . . : Savoir maîtriser .
1° Comment convertir des km.h-1 en m.s-1 ?
Plus d’info : Revoir des exercices du chapitre « La vitesse » de la classe de 3ieme pour voir des exercices. . 2° Que signifie le panneau routier « Route à 10 % d’inclinaison » ? Le dénivelé h est donc égale à 10% de la distance parcourue par la voiture. . . Exercices possibles .
Sauf indication contraire, pour tous les exercices, on donne g = 9,81 (SI). La conception d’un schéma est souvent profitable. Un signe (*) indique qu’une indication est apportée ci-après. Exercices d’application directe p 292 et suivantes : Ex 16 – Ex 19 – Ex 21(*corrigé vidéo) – Entrainez-vous, leurs corrigés sont déjà accessibles dans la partie «
Corrigés des exercices » au bas de cette page. Exercices d’approfondissement – p 291 et suivantes : n° 20(*) – n° 23(**) — n° 33(***) – n° 35(****) – (*)Indication pour n°20 : On négligera les forces de frottements de la carrosserie sur l’air (**)Schéma d’accompagenement pour l’ex 23 : Voir ci-dessous. (***)Indication pour n° 33 : On considérera que g
= 9,81 (SI) sur l’ensemble du trajet. (****)Indication pour n°35 : On se reportera à l’annexe (ci-dessous sur cette page) pour comprendre comment utiliser une pente indiquée en %. . Exercices de type « problème » identique à l’exercice résolu – p 294 et suivantes n° 28(*) – n° 30. (*)Question complémentaire pour ex 28 : Exprimer et calculer le travail
W(P)AB du poids entre A et B. Ce travail est-il moteur ou résistant ? .
. Bilan . Cliquer sur le lien suivant pour accéder à « L’essentiel du chapitre » Cliquer sur le lien suivant pour accéder à une Synthèse des activités du chapitre. . . Corrigés des exercices . Cliquez sur les liens suivants pour accéder à leurs corrigés. Corrigés des exercices d’application directes : Lien pour accéder à la « Rédaction de l’exercice 16 » Lien
pour accéder à la « Rédaction de l’exercice 19 » Lien pour accéder au « Corrigé vidéo de l’exercice 21 » ou à la « Rédaction de l’exercice 21 » . Indication : Les liens suivants ne sont actifs que lorsque le chapitre ou une partie de chapitre est terminé. . . Exercices corrigés à imprimer pour la première S – Energie d’un objet ponctuel en
mouvementÉnergies cinétique, potentielle et mécaniqueExercice 01 : Choisir la (les) bonne(s) réponse(s) Pour que l’énergie cinétique d’un solide soit multipliée par 4 :Sa vitesse doit être doubléeSa vitesse doit être multipliée par 4.Sa masse doit être doublée.L’expression littérale de la vitesse d’un solide de masse m dont on connait l’énergie cinétique
Ec est :L’énergie cinétique d’une luge de masse m = 25,0 kg dont la vitesse est v = 36,0 km / h est de :1,62 x 104 J1,25 x 104 J1,25 x 103 JOn donne g = 10 N / kg. L’énergie potentielle de pesanteur étant choisie comme nulle au niveau de la mer, celle d’un plongeur de masse m = 100 kg à la profondeur h = 10 m, a pour valeur :Exercice 02 : Quelle
est l’expression de l’énergie potentielle de pesanteur ?Préciser la signification des termes, leur unité et les conditions d’application de l’expression.s de la mer.En prenant le niveau de la mer comme référence des énergies potentielles.Calculer son énergie potentielle de pesanteur au point le plus haut de son saut.Energie d’un objet ponctuel en
mouvement – Première – Exercices rtfEnergie d’un objet ponctuel en mouvement – Première – Exercices pdfCorrectionCorrection – Energie d’un objet ponctuel en mouvement – Première – Exercices pdf Vous êtes ici : Autres ressources liées au sujet Tables des matières

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